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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par cffj14
#335456
Lucas27 a écrit :7 - Les absents ont toujours tort

Je me levais et la prenant par les mains je l’attirai vers moi pour un tendre baiser d’amoureux. Nous avons alors fait quelques pas sur le chemin, tendrement enlacés. Elle était inquiète, je la rassurais, la remerciais de sa franchise, sachant qu’il n’est pas facile de raconter ces événements. Elle m’expliqua qu’elle aimait son frère et lui donnait toute la tendresse et l’amour que sa mère ne savait pas donner, même si ses parents étaient pleins de bonté et de générosité. Sur le ton de la plaisanterie je rajoutai : -Et même un peu plus ! - Je la serrai un peu plus et je me mis à rire. Cela la décontracta et elle me sourit avec ce regard qui me fait fondre de suite. « Je t’aime mon amour, me dit-elle, mais j’aime aussi Frédéric ! » Elle me demanda si j’étais jaloux, je lui répondis bien sur un peu. Alors elle me dit qu’il fallait que je l’accepte comme elle était avec son amour pour moi et celui de son frère. J’acceptai par amour pour elle. Mais je lui demandais dorénavant de ne plus jamais rien me cacher. Elle acquiesça en m’embrassant avec passion.
Une question me revint :
- Et ton ex, avais tu fait l’amour avec lui le jour de notre rencontre ?
- Avec Olivier ? Oui, dit-elle d’une petite voix de nouveau timide, me confiant qu’elle avait passée de nombreuses et longues soirées avec lui en voiture.
Je m’en doutais ! Je ne fus donc pas surpris et puis lui c’était de l’histoire ancienne. Ancienne ? Et là, la question qui fâche :
- Tu l’as revu depuis que vous avez rompu?
- Oui.
- Quand ?
- Eh bien ….un peu avant Pâques, il a été muté dans une agence à Lambersart.
- Et que voulait-il ?
- Il reprenait contact pour savoir comment j’allais, avec qui j’étais, enfin toutes les questions qu’un ex peut poser. Puis il m’a invité au resto, je n’avais aucune raison de refuser me dit-elle, je ne l’avais pas quitté en mauvais terme.
- Alors que s’est-il passé ?
- Nous sommes sortis au restaurant, il n’a pas arrêté de me draguer de la soirée.
- Comment t’étais tu habillée ?
- J’avais mon petit gilet rose à boutons que j’avais laissé un peu ouvert sur le haut, ma mini-noire, des bas et mes escarpins à talon haut.
- Et en dessous ?
- Une petite culotte blanche
- Et en haut ?
- Rien, tu sais bien que je n’en mets presque jamais quand il fait chaud, répondit-elle.
- Ne me dis pas que tu y es allée pour simplement parler du bon vieux temps à moitié à poil ? Elle eut un silence gêné et finit par répondre :
- non j’avais envie de le revoir.
- Et la suite, raconte.
Voila j’étais en train de devenir voyeur avec effet rétroactif, cette situation m’excitait. La suite elle me la raconta : pendant tout le repas il la courtisa et se fit de plus en plus entreprenant, lui disant des mots doux, lui faisant des petits bisous sur les mains, dans le cou, mettant sa main sur ses genoux et remontant vers l’intérieur de ses cuisses. A la fin du repas elle était super excitée et lorsqu’il la raccompagna chez nous, elle le fit monter pour un dernier verre. Arrivés à l’intérieur du studio il l’enlaça tendrement, ils échangèrent alors un baiser torride qui les conduisit dans notre lit ou ils firent l’amour et il la baisa comme jamais me dit-elle. Anticipant ma question elle me dit qu’elle avait passé la nuit avec lui et qu’au matin ils avaient recommencé. Depuis ils s’étaient souvent revus, en fait dès que j’étais parti il rappliquait et la possédait entièrement comme ce fut encore le cas la nuit dernière. Ainsi c’était lui la nuit précédente et lui que j’avais vu ce matin.
Là, pour le coup, j’étais effondré, depuis que nous nous connaissions, elle ne cessait de me clamer son amour pour moi, me parlait mariage, faisait des projets d’avenir avec moi et dès que j’avais le dos tourné elle me faisait cocu. Etait-elle plus pervertie que moi ? Non en fait sa nature se dessinait, elle ne savait pas dire non à l’amour. De ce coté sexe, elle était insatiable, elle aimait ça, moi aussi !
Assommé par ces révélations, nous avons continué en silence notre promenade, cela me donnait le temps de réfléchir. Mais une inquiétude venait et montait graduellement. A cette époque Joëlle ne prenait pas la pilule contraceptive, le SIDA n’existait pas encore et lors de nos rapports nous faisions très attention. Je lui demandai s’il en était de même à chaque fois. Un silence puis une réponse ambiguë : - pour l’instant me dit-elle, je ne suis pas encore enceinte-. Abasourdi je retournai dans mes pensées.
Nous sommes rentrés doucement à la maison, complètement perdu dans mes pensées. Nous avons retrouvés de suite ses parents et son frère. J’étais dans un nuage, absent des conversations, et je bu ce jour là avec le beau-père beaucoup plus que je ne pouvais le supporter, vraiment beaucoup plus.
Le matin m’a surpris alors qu’elle s’était lovée contre moi. Ma décision était prise, Joëlle m’excitait, je la désirai plus que tout autre chose au monde, je souhaitai vivre avec elle. Je ne voulais vivre que pour son bonheur. Peu importe avec qui elle avait couché, peu importe ses infidélités, je lui demandai simplement de me le dire à chaque fois. Cette situation m’excitant au plus haut point et affolant mes fantasmes. Le week-end se poursuivit, j’évitais au maximum son frère, ne sachant pas quelle conduite avoir envers lui. Elle du le maintenir éloigné car en fait je ne le vis qu’au moment des repas, se faisant lui aussi très discret. Puis nous sommes rentrés à Lille et nous avons continués tranquillement et amoureusement ces derniers jours de l’année scolaire. Pour moi ces épisodes de sa vie étaient clos. Je l’aimais, elle m’aimait et cela me suffisait.


8 - un Week-end bien rempli

Le week-end suivant, nous avions programmé de rester à Lille en particulier pour que je puisse finir mon rapport de stage que je devais présenter le lundi matin et pour terminer des TD en retard que nous devions rendre aussi ce lundi, avec mes copains Alain et Luc. Nous avions eu l’autorisation de refaire les parties pratiques des TD ce samedi dans les labos de l’école. Mais le jeudi soir, sa mère l’appela chez notre voisine pour lui demander de rentrer, elle avait besoin d’elle pour préparer le mariage. Il nous était impossible de lui refuser. Il fut donc décider que Joëlle rentrerait seule à Leulinghem.
Elle me demanda entre deux câlins si cela ne m’embêtait pas qu’elle profite de la voiture d’Olivier qui retournait au village ce vendredi soir. Je lui demandai comment elle savait cela. Mais simplement parce qu’elle l’avait revu à la sortie de la fac ce jour même. Comme depuis mon retour ils n’avaient pas eu l’occasion de se revoir, il s’ennuyait un peu. Ils avaient juste pris un café à la cafétéria du resto U puis elle était rentrée sagement. Je réfléchissais pendant qu’elle me racontait cela. Mes fantasmes de la savoir de nouveau faire l’amour avec lui occupaient à nouveau mes pensées. J’acceptais. Nous avons refaits l’amour d’une manière torride peut-être pensant à la même chose tous les deux.
Le lendemain, je la quittais après le déjeuner au resto U pour un long week-end, Olivier devant la prendre en voiture vers les 17h00 à sa sortie de fac. Je passais la soirée à boire des bières avec mes potes, rentrant tardivement bien éméché au studio. Le samedi nous l’avons passé à finir nos TD, puis le soir j’allais manger chez mon copain Baudouin et sa femme Mireille. Comme il avait le téléphone, j’ai appelé chez Joëlle. Son père me dit qu’elle était avec sa mère chez de la famille au village et qu’elle me rappellerait. Avec mes amis nous avons entamé des parties de tarot et alors que l’heure semblait venue de nous quitter, le téléphone sonna. Mireille décrocha, me fit signe que c’était Joëlle, discutât un peu avec elle, et me passa le téléphone avec un sourire complice. Ils s’éclipsèrent tous les deux dans la cuisine, me laissant seul avec Joëlle. Elle m’appelait tardivement parce qu’avant elle n’était pas seule. Elle me raconta sa journée avec sa mère, elles avaient été à St Omer pour voir les robes de mariées, elle en avait choisie une, mais je n’en saurai pas plus avant le mariage. Une question me tenaillait : Que s’était-il passé hier avec Olivier que je n’osai lui poser de peur que mes amis ne l’entendent. Elle me raconta la visite à une cousine pour l’inviter au mariage. Je lui demandai si son frère était là, elle me répondit qu’il était rentré hier soir. Je lui dis simplement : - Alors raconte hier ! Elle commença, en parlant doucement, à me dire qu’Olivier était bien venu la chercher comme prévu. Qu’elle ….mais elle s’arrêta me disant que des bruits de pas arrivaient vers le salon où elle était. Un silence puis :
- C’est Frédéric, je vais devoir te laisser mon amour…
- Non attends encore un peu.
- Bon, et toi qu’as-tu fait depuis hier ?
- Avec Alain et Luc nous avons finis les TD.
- Parfait ! Demain tu finis ton rapport ?
- Oui, un silence et j’entendis son Frère lui dire bonsoir, elle lui répondit tendrement
- Bonsoir frérot, puis un long moment sans paroles
- Joëlle, allo Joëlle ? lui dis-je au téléphone. Je l’entendis dire à son frère « attends un peu » et elle reprit sa conversation avec moi
- Tu me manques mon amour, vivement demain, je rentrerai vers 18h00. Puis elle s’arrêta de nouveau et je pu distinguer quelques soupirs et « Non ! Frédéric attends !» quelques instants après « tu es un voyou, attends je dis au revoir à Jean-Michel »
- Allo Jean-Michel ? Je vais te laisser mon amour, je t’embrasse à demain ?
- Oui, à demain soir, je t’embrasse mon amour.
Elle ne raccrocha pas tout de suite et je pu au bout de quelques instants l’entendre gémir doucement avec quelques petits cris étouffés comme elle fait lorsque l’on s’occupe d’elle avec amour puis « viens, allons au lit ». Je raccrochais ne voulant pas éveiller de soupçons chez mes amis et je pris congé d’eux. Je dormis très mal cette nuit là, repensant à Joëlle et à son frère. Avais-je fantasmé ?
La journée fut longue et pluvieuse. J’avais du mal à me concentrer sur mon rapport, ne pensant qu’à Joëlle et à des fantasmes érotiques. Les heures s’écoulaient lentement. 18h00, 18h10, 18h15, les minutes s’égrenaient et elle n’arrivait toujours pas. Le temps continua son lent chemin. Au fur et à mesure je pestais contre son retard, à la fois inquiet, en colère et terriblement excité. Ce ne fut que vers 22h30 que j’entendis la porte s’ouvrir et se refermer. Elle était là dans le couloir, radieuse, contente de me revoir. Elle m’embrassa avec fougue et s’apercevant de mon érection me demanda si c’était elle qui me faisait cet effet.
Je lui demandai pourquoi elle était en retard, elle me demanda une minute pour se mettre à l’aise, retirant son imperméable. Elle apparut magnifique dans une petite robe à fleurs se boutonnant de haut en bas. Un joli décolleté laissait entrevoir une poitrine menue et ferme. Je l’enlaçais à nouveau et mes mains baladeuses s’aperçurent vite de l’absence de tous sous-vêtements. Je l’entrainais doucement vers le lit en lui demandant de raconter son week-end tout en la caressant.
Olivier avait été à l’heure vendredi soir, il avait été charmant durant tout le voyage, lui disant qu’elle lui manquait déjà. Pendant qu’il conduisait, sa main s’égarait sur ses genoux, remontant sous sa jupe et lui prodiguant des caresses à l’intérieur des cuisses. Ils s’étaient arrêtés dans un petit sous bois à l’entrée du village. Après s’être longuement embrassés, il l’avait prise dans la voiture comme ils avaient eu l’habitude de le faire dans le passé. Puis il l’avait ramené devant chez elle.
Son frère Frédéric était déjà là et il l’aida de suite à porter ses affaires dans sa chambre. Là il en profita pour la serrer contre lui et l’embrasser, mais ne voulant pas qu’il découvre sa chatte encore dégoulinante du sperme d’Olivier, elle l’avait repoussé en lui disant de revenir cette nuit. Ensuite le repas et la soirée s’étaient déroulés tranquillement si ce n’est Frédéric qui essayait par tous les moyens de la toucher, en particulier à table ou il s’immisça, caché par la nappe, jusqu’à son intimité. Son père travaillant en équipe du matin, il ne tarda pas à aller se coucher avec sa mère. Elle resta un peu à regarder la télévision, son frère venant se blottir contre elle lui prodiguant baisers et caresses. Ils étaient allés rapidement au lit ou il lui fit l’amour sauvagement. « Il devait être en manque » me dit-elle. Ils avaient ensuite dormis ensemble et avaient recommencés le matin.
Pendant la journée, elle avait aidé sa mère aux tâches ménagères, puis à compléter les préparations nécessaires au mariage. L’après-midi elles avaient donc acheté la robe du mariage. Elle avait attendu le soir que ses parents soient couchés pour m’appeler. Elle voulait tout me raconter mais l’arrivée de Frédéric l’avait interrompue. Elle ne voulait pas raconter notre vie sexuelle, enfin surtout la sienne devant son frère. Pendant qu’elle me parlait, il l’avait embrassé et avait commencé à lui faire des câlins, puis à lui lécher la chatte sous sa chemise de nuit. Elle avait préféré aller au lit avec lui de peur que ses parents ne se relèvent et les surprennent. Elle avait à nouveau passé la nuit avec lui à se faire défoncer, le fait que j’eu été au téléphone alors qu’il s’occupait d’elle, avait du décupler leurs ardeurs et leurs besoins de sexe. Elle me dit aussi que Frédéric lui avait demandé si j’étais au courant. Elle avait préférée lui dire oui, clarifiant la situation. Il s’était étonné que j’accepte la situation. Elle avait mis fin à la discussion en lui disant que nous nous aimions mais que j’acceptais qu’elle ait des amants si elle y trouvait du plaisir et qu’avec lui ça ne sortait pas de la famille. Voila, je savais que son frère savait, comment allait-il me regarder dorénavant ?
Le dimanche s’était passé calmement avec des visites à la famille, et elle était partie vers 16h00 pour rentrer avec Olivier. Sa mère avait eu l’air surprise de le voir mais n’avait rien dit. Sur le retour, Olivier lui avait proposé de passer chez lui en premier, il avait une envie folle de la baiser. Ils étaient donc allés chez lui pour s’envoyer en l’air, c’était plus confortable que la voiture. Elle s’était donnée à lui et elle avait jouie au moment ou il s’était vidé en elle. Elle s’était juste habillée de sa robe. Maintenant qu’elle m’avait raconté, elle voulait que je lui fasse l’amour avec tendresse et passion. J’avais déjà pu sentir sa nudité sous sa robe, je vérifiais sa petite chatte avec un doigt pour constater son humidité. Ouvrant sa robe, je plongeais mon regard vers sa vulve pour constater ses poils poisseux, collés entre eux, ainsi qu’un filet de liquide s’écoulant doucement de son vagin. Surexcité par cette vision et son récit, je la baisais immédiatement entrant sans difficulté ma queue dans son sexe déjà bien lubrifié et mélangeant mon sperme à celui de son amant.
Quel tempérament ! Mais au moins elle ne m’avait rien caché et j’aimais cette fille et son besoin de faire l’amour. Du moment qu’elle y prenait son plaisir, j’étais heureux et elle m’aimait.


je n ai pas encore eu le temps de tous lire
mais jusque la c est un plaisir

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