- 21 août 2011, 16:29
#713437
Hier encore Madame X, l'élégante et austère patronne de la pharmacie toisait la clientèle d'un air aigri et sévère ; jamais un mot aimable
et toujours à bousculer les petites assistantes sous prétexte de rentabilité. Un jour, alors qu'elle était seule derrière le comptoir, je fus séduit
par les courbes généreuses que dessinait le joli moule de sa blouse blanche. Mes questions sur les sirops et autres petits soins de santé
n'étaient que des prétextes pour gagner du temps et profiter du joli panorama de son corps ondulé. Je me rinçait l'oeil quand elle se retournait
et je lorgnais son cul que je trouvais à mon goût. Je remarquai que ses belles fesses de femelle semblaient à l'étroit dans son tablier noué aux
hanches par une petite cocarde blanche que j'aurais bien dénoué derechef.
Ses lunettes un peu classiques et trop carrées cachaient ce qui en vérité, à mieux y regarder, était un visage d'un beau dessin japonisant.
Je décidai tout à coup de prendre les devants tant je mourrais d'envie de faire tomber son masque fragile de femme qui croit tout contrôler.
D'ailleurs c'était le bon moment car elle commençait à être exaspérée par mes questions incessantes qui dépassaient à présent la limite de
ce qu'elle pouvait tolérer.
- Bon, vous n'avez pas l'air de savoir exactement ce que vous voulez monsieur, me lâcha-t-elle sèchement.
Au lieu de me fondre en excuses comme je l'aurais fait ordinairement, je ne dis rien et me contentai de scruter ses yeux en laissant
flotter un grand silence qui nous troubla tous les deux.
- Euh oui, pardon, J'abuse de vous alors que vous êtes seule en magasin. Pardonnez-moi mais, .. une toute dernière question.
(j'en profitai pour lâcher un petit lapsus volontaire)
- Est-ce que vous utilisez, euh .. est-ce que vous vendez des gels lubrifiants ?
Après un silence plus long mais plus doux que le précédent, la bouche légèrement entrouverte par la stupéfaction et les yeux hypnotisés par l'idée
soudaine d'une bite disponible sur le champ, elle entonna ces quelques mots malicieux
- Si monsieur veux bien me suivre dans l'arrière-boutique.
Il ne nous fallut qu'une minute pour verrouiller la porte et défaire sa jolie tenue blanche de pharmacienne lubrique. En lui sommant de baisser les yeux et de maintenir son tablier bien relevée sur ses dessous. je lui rabaisse sèchement sa petite culotte jusqu'à mi-cuisse. Je la forcer à m'exhiber vulgairement
son petit trésor de chair duveteuse. Ses lèvres sont bien visible et pendant que je me réjouis du spectacle je tripote bien à fond la chair de ses fesses et
du petit trou chaud et moite entre elles.
Voilà, madame X. est moins fière tout à coup, obligée qu'elle est à présent de me montrer sa chatte eau grand jour et de se laisser tripoter le fion.
Je me penche sur son minou. A présent, la voici qui a vendu son royaume pour quelques coups de langue bien placés et plus rien ne peut plus retenir
son râle profond de chienne satisfaite comme j'aime. Je lui lèche goulûment les lèvres roses et humides, et son gros bonbon à présent rouge et tendu
de désir entre ses doigts me supplie de le manger
Je l'invite à se retourner. Elle se soumet définitivement à mes caprices en s'exécutant dans un bruit de talon qui s'ajustent. Ca y est, nous y sommes,
et j'y vais d'une fessée franche et de quelques pincettes obscènes, en creusant bien profond avec mes doigts, toujours et encore dans sa honte de
femme déchue, encore et encore dans la-mienne de bête révélée qui se dans sur cette poupée de chair à baiser. Mais non pas tout de suite.
Je veux encore profiter de la situation, aller et venir avec ma bite dans la mains vers sa bouche et la fourrer, puis retourner vers la vulve en demande,
pincer toutes ces extrémités délicieuses et recommencer sans cesse. Une fessée par-ci, un doigt dans le cul par-là, une petite semonce sur les tétons,
et un dernier bourrage encore.
C'était délicieux de l'entendre répondre "Oui Monsieur" à mes question du genre
- Alors tu l'as bien mérité cette correction ?
- Oui monsieur, je suis votre petite pute et il faut bien m'utiliser, faites ce que vous voulez !
Aussi tire-t-elle bien la langue hors de la bouche et ce spectacle ainsi que celui de sa petite culotte de coton à ses chevilles me rend fou.
- Bon je vais me vider dans ton cul, écarte bien les fesses avec tes doigts !
- Oui Monsieur.
Et elle s'exécute splendidement. Voilà son trou du cul totalement offert et j'en profite pour y faire disparaître mon membre gonflé et sans tarder vider
ma semence en quelques longues salves de plaisir. Puis aussitôt elle se relève et vient me nettoyer tout ça à coups de langues papillonnantes et petite
sucions divines. Petit détour vers l'anus, puis elle prend une dernière fois mon sexe reposé dans la bouche pour le faire reluire et avaler les dernière
gouttes.
- Allez file maintenant, lui dis-je sans ménagement, retourne au boulot ! je reviendrai si j'ai encore besoin de tes services et pas de bêtise hein, sinon
c'est la correction assurée !
- Oui Monsieur, me répond-elle avec candeur et je lorgne une dernière fois ses fesses lorsqu'elle s'en va avec son air adorable de personnel soumis.
Une fois rhabillé je dégainz une cigarette et m'en vais rejoindre ma destinée, sans même un regard pour elle en claquant la porte bien huilée de la divine pharmacie.
et toujours à bousculer les petites assistantes sous prétexte de rentabilité. Un jour, alors qu'elle était seule derrière le comptoir, je fus séduit
par les courbes généreuses que dessinait le joli moule de sa blouse blanche. Mes questions sur les sirops et autres petits soins de santé
n'étaient que des prétextes pour gagner du temps et profiter du joli panorama de son corps ondulé. Je me rinçait l'oeil quand elle se retournait
et je lorgnais son cul que je trouvais à mon goût. Je remarquai que ses belles fesses de femelle semblaient à l'étroit dans son tablier noué aux
hanches par une petite cocarde blanche que j'aurais bien dénoué derechef.
Ses lunettes un peu classiques et trop carrées cachaient ce qui en vérité, à mieux y regarder, était un visage d'un beau dessin japonisant.
Je décidai tout à coup de prendre les devants tant je mourrais d'envie de faire tomber son masque fragile de femme qui croit tout contrôler.
D'ailleurs c'était le bon moment car elle commençait à être exaspérée par mes questions incessantes qui dépassaient à présent la limite de
ce qu'elle pouvait tolérer.
- Bon, vous n'avez pas l'air de savoir exactement ce que vous voulez monsieur, me lâcha-t-elle sèchement.
Au lieu de me fondre en excuses comme je l'aurais fait ordinairement, je ne dis rien et me contentai de scruter ses yeux en laissant
flotter un grand silence qui nous troubla tous les deux.
- Euh oui, pardon, J'abuse de vous alors que vous êtes seule en magasin. Pardonnez-moi mais, .. une toute dernière question.
(j'en profitai pour lâcher un petit lapsus volontaire)
- Est-ce que vous utilisez, euh .. est-ce que vous vendez des gels lubrifiants ?
Après un silence plus long mais plus doux que le précédent, la bouche légèrement entrouverte par la stupéfaction et les yeux hypnotisés par l'idée
soudaine d'une bite disponible sur le champ, elle entonna ces quelques mots malicieux
- Si monsieur veux bien me suivre dans l'arrière-boutique.
Il ne nous fallut qu'une minute pour verrouiller la porte et défaire sa jolie tenue blanche de pharmacienne lubrique. En lui sommant de baisser les yeux et de maintenir son tablier bien relevée sur ses dessous. je lui rabaisse sèchement sa petite culotte jusqu'à mi-cuisse. Je la forcer à m'exhiber vulgairement
son petit trésor de chair duveteuse. Ses lèvres sont bien visible et pendant que je me réjouis du spectacle je tripote bien à fond la chair de ses fesses et
du petit trou chaud et moite entre elles.
Voilà, madame X. est moins fière tout à coup, obligée qu'elle est à présent de me montrer sa chatte eau grand jour et de se laisser tripoter le fion.
Je me penche sur son minou. A présent, la voici qui a vendu son royaume pour quelques coups de langue bien placés et plus rien ne peut plus retenir
son râle profond de chienne satisfaite comme j'aime. Je lui lèche goulûment les lèvres roses et humides, et son gros bonbon à présent rouge et tendu
de désir entre ses doigts me supplie de le manger
Je l'invite à se retourner. Elle se soumet définitivement à mes caprices en s'exécutant dans un bruit de talon qui s'ajustent. Ca y est, nous y sommes,
et j'y vais d'une fessée franche et de quelques pincettes obscènes, en creusant bien profond avec mes doigts, toujours et encore dans sa honte de
femme déchue, encore et encore dans la-mienne de bête révélée qui se dans sur cette poupée de chair à baiser. Mais non pas tout de suite.
Je veux encore profiter de la situation, aller et venir avec ma bite dans la mains vers sa bouche et la fourrer, puis retourner vers la vulve en demande,
pincer toutes ces extrémités délicieuses et recommencer sans cesse. Une fessée par-ci, un doigt dans le cul par-là, une petite semonce sur les tétons,
et un dernier bourrage encore.
C'était délicieux de l'entendre répondre "Oui Monsieur" à mes question du genre
- Alors tu l'as bien mérité cette correction ?
- Oui monsieur, je suis votre petite pute et il faut bien m'utiliser, faites ce que vous voulez !
Aussi tire-t-elle bien la langue hors de la bouche et ce spectacle ainsi que celui de sa petite culotte de coton à ses chevilles me rend fou.
- Bon je vais me vider dans ton cul, écarte bien les fesses avec tes doigts !
- Oui Monsieur.
Et elle s'exécute splendidement. Voilà son trou du cul totalement offert et j'en profite pour y faire disparaître mon membre gonflé et sans tarder vider
ma semence en quelques longues salves de plaisir. Puis aussitôt elle se relève et vient me nettoyer tout ça à coups de langues papillonnantes et petite
sucions divines. Petit détour vers l'anus, puis elle prend une dernière fois mon sexe reposé dans la bouche pour le faire reluire et avaler les dernière
gouttes.
- Allez file maintenant, lui dis-je sans ménagement, retourne au boulot ! je reviendrai si j'ai encore besoin de tes services et pas de bêtise hein, sinon
c'est la correction assurée !
- Oui Monsieur, me répond-elle avec candeur et je lorgne une dernière fois ses fesses lorsqu'elle s'en va avec son air adorable de personnel soumis.
Une fois rhabillé je dégainz une cigarette et m'en vais rejoindre ma destinée, sans même un regard pour elle en claquant la porte bien huilée de la divine pharmacie.
Modifié en dernier par SamEtNoa le 21 août 2011, 19:01, modifié 2 fois.
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