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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par erwin92
#753505
J’ai commencé à écrire une histoire qui va décrire l’initiation progressive d’une jeune femme au candaulisme et bien plus encore…

Je cherche un couple qui incarnerait les deux protagonistes principaux de ce récit. J’adapterais mon récit de façon à les décrire et les mettre en scène de façon réaliste. Leur tâche consistera juste à prendre des photos (visage masqué) pour illustrer ce récit.

Pour limiter le « casting » Je cherche un couple entre 30 et 45 ans.
Madame doit pouvoir par ses vêtements, ses tenues et son maintien, incarner de manière crédible une femme de la haute société.
Le couple peut avoir eu des expériences candaulistes, mais ce n’est pas nécessaire. En avoir l’envie et fantasmer sur ce sujet peut être un excellent stimulant. (dans ce cas, pour les scènes candaulistes, Monsieur devra incarner, le mari et l’invité…)
Une attirance pour l’univers d’histoire d’O, la soumission féminine et les dialogues sans grossièreté ni vulgarité est également nécessaire.
Je prendrais ma décision sur photos mais également sur la présentation écrite que vous ferez de vous deux, de votre couple, de vos expériences, de vos fantasmes et de vos limites.

Voici, tels que je les ai déjà écrits, les deux premiers chapitres de l’histoire. Je les réécrirais bien évidemment en fonction de ceux qui seront choisis, pour faire coller leur description à la réalité, tant sur le plan physique que psychologique. (quelques échanges écrits seront nécessaires pour que je cerne bien la psychologie et les aspirations réelles de mon héroïne et de son compagnon…)
Cette histoire s’intitule « Des ténèbres à la lumière : allers-retours »

Chapitre 1 : La soirée ou tout bascule

Une soirée raffinée… dans les appartements privés du consulat… de hauts plafonds, une cheminée, un coin salon avec un profond canapé faisant face à deux fauteuils. Sur la table basse, tout le nécessaire pour un apéritif qui se respecte.
Dans le rôle titre, Elle, jeune trentenaire issue de la bonne société, très belle, très raffinée, épouse et mère des deux jeunes enfants du Consul.
Le consul… la Quarantaine, poivre et sel, l’archétype du diplomate, actuellement en poste à Berlin… raffiné lui aussi, cigare et whisky
L’ami du consul, un chirurgien renommé… la soixantaine sportive, cheveux blancs, visage buriné, fine barbe blanche… cigare et Whisky, lui aussi, Nous l’appellerons Karl
Madame la Consule porte une jolie robe bustier gris perle, sans manches, avec de fines bretelles qui dévoilent la finesse des épaules, un sage décolleté en V fermé par des boutons et agrémenté de broderie… l’étoffe légère dessine la rondeur des seins soutenus par un balconnet en voile de tulle … La robe mi longue est cintrée sur le buste, jusqu’au ventre et ample à partir de la taille s’évasant en corolle autour de ses genoux.
Aux pieds, elle porte des escarpins d’un gris métallique brillant. Les hauts talons accentuent sa cambrure naturelle et font ressortir la finesse de ses jambes.
Ses cheveux mi longs sont libres et coiffés d’un savant désordre et encadrent harmonieusement son visage, dégageant son front.
Son visage délicat est discrètement maquillé. Un Gloss rose pâle et brillant souligne ses lèvres minces qui lui donnent un doux sourire de Madone. Ses paupières sont fardées d’un rose assorti et ses joues sont poudrées pour soutenir son hâle et éviter tout effet de brillance.
Ses mains sont longues et fines. Ses ongles sont parfaitement manucurés sans être démesurément longs Ses doigts sont libres de toutes bagues, à l’exception de son annulaire gauche où brille de mille reflets une alliance de diamants. Deux petits pendentifs en argent encadrent son visage en soulignant sa noblesse et la beauté de ses traits.

Les deux hommes parlent Finance… Elle s’ennuie en buvant son martini… les glaçons tintent au fond de son verre… elle soupire… assise de biais dans le profond fauteuil en rotin garni de coussins moelleux… un bras appuyé sur le dossier… rêveuse… Son profil offre aux regards des deux hommes sa divine cambrure, parfait contrepoint aux rondeurs féminines de son buste… mais ils ne la regardent pas…
Puis elle sursaute et regarde son mari. Elle se redresse, figée.
Elle a dû mal entendre. ..
Les deux hommes la regardent en souriant.
Son mari répète doucement :
« Baisse le haut de ta robe, ma chérie… je voudrais que notre ami voie tes seins… »
Elle savait que ce jour viendrait. Ils en avaient parlé, elle hésitait, il lui avait promis de la préparer à ce jour-là… Il lui avait déjà vivre tant d’émotions… mais pas ce soir… Elle n’est pas prête… pas ce soir… sa respiration s’accélère, son buste se soulève. Ses seins, avec ce petit mouvement charmant n’en paraissent que plus fragiles et tentants sous la fine étoffe…
Le Consul se retourne vers son ami Karl:
« Pardonne-la… C’est sa première fois… mais tu vas voir… Elle va faire ce qu’on lui demande… N’est ce pas, ma chérie… ? Tu vas faire tout ce qu’on te demandera ce soir ? Karl est un expert… je voulais que ce soit lui qui t’initie… Es tu d’accord… ?»
Karl acquiesce aux mots du Consul. Elle les voit à travers les volutes de fumée de leur cigare. Seul le crépitement du feu troue par instant le silence…et les battements de son cœur qui résonnent à ses oreilles.
Elle ferme les yeux, se mord la lèvre et lâche un long soupir saccadé par la tension qui vient de la saisir. Puis, elle s’entend murmurer un petit « Oui… » Presque inaudible.
« Bien, alors, défais le haut de ta robe, qu’on voie bien tes seins… »
Elle se redresse légèrement sur son fauteuil et, lentement ses mains tremblantes viennent se poser sur les fines bretelles du bustier de sa robe.

Ce soir, elle va découvrir un nouveau monde…


Chapitre 2 : Flash-back…

Elle a suivi son mari, consul de France à Berlin. C’est une jeune et belle jeune femme, bourgeoise raffinée jusqu’au bout de ses ongles peints d’un rose brillant. Elle revient de conduire ses enfants à l’école Française de Berlin et son portable sonne alors qu’elle s’apprête à monter dans sa Mini Cooper.
C’est son mari qui l’appelle du Consulat …
« Ma chérie… Bonjour… »
Elle sourit machinalement en entendant la voix grave et traînante de son mari.
« Bonjour, Mon amour…et Bon anniversaire… et excuse moi encore pour tout à l’heure je ne t’ai pas entendu partir… je dormais… tu aurais du me réveiller… »
« Ce n’est pas grave, ma chérie… Mais comme c’est mon anniversaire et que tu dois te faire pardonner… - Il marque un silence - Retire ton slip, s’il te plait… »
Elle allait démarrer, mais elle ne tourne pas la clé, comme si elle venait de recevoir une décharge électrique.
Elle reste la bouche ouverte, le portable à l’oreille. Elle voit les autres mères de famille passer sur le trottoir, lui sourire ou la saluer.
Elle ne répond pas.
« Ma chérie ? Retire ton slip, s’il te plaît… Allons, fais ça pour moi…. »
Rougissant comme si tout le monde à l’extérieur de la voiture entendait les paroles qu’il lui murmurait.
« Mais… quoi… tu es fou… je …qu’est ce que… »
« J’aimerai plus que tout au monde être dans ta bouche en ce moment… coulisser à mon gré… profiter de ta langue… de la douceur de ton palais…et aller au fond de ta gorge… jusqu’au hoquet… tu sais… ce haut le cœur que tu n’aimes pas et qui te fait venir les larmes aux yeux… et me déverser dans ta bouche et sur tes joues… ce sera pour ce soir… En attendant, fais moi plaisir… retire ton slip… »
La rue s’est enfin vidée. Elle tente de respirer calmement et chuchote dans le combiné :
« Je suis en voiture… Je ne peux pas… »
Elle entend un léger rire à l’autre bout du fil :
« Et alors… ? Qu’importe… Ah c’est dur de ce contorsionner en voiture, pour se rendre accessible pour son mari….Il faudra bien un jour que tu acceptes de me faire ce plaisir et de bannir définitivement tous ces dessous qui emprisonnent ton sexe et tes fesses… ce serait tellement plus simple si tu étais constamment prête pour moi… pour mes yeux, mes doigts ou ma queue… En attendant, retire ton slip… A ce soir mon amour… CLIC… »
Elle ne le fait pas… mais elle sent, à sa grande confusion, que son ventre s’est contracté et les lèvres de son sexe se sont imperceptiblement désolidarisées en entendant les paroles délicieusement perverses de son époux, rompant l’hermétisme normal de ce délicieux sourire vertical…

Quand il lui parle comme ça… Ses joues virent au pourpre et son émoi lui est incompréhensible…Gênée, troublée, horrifiée, excitée… un peu tout à la fois… et son esprit qui se refuse à analyser ce que sa morale réprouve mais que son corps approuve….
Aussi, ce soir, quand les enfants seront couchés, et que le personnel se sera retiré des appartements privés, elle sait qu’il lui demandera d’aller le rejoindre au salon… elle le fera…
Elle entendra dans le silence de la vaste demeure, résonner sur le parquet, les talons des escarpins qu’elle aura conservé, comme son tailleur, d’ailleurs… Alors qu’elle aurait pu depuis longtemps se mettre à l’aise…

Sans un mot, il se postera devant elle. Il posera ses mains sur ses épaules puis descendra le long des bras jusqu’aux poignets. Son geste sera lent et doux comme une caresse. Mais il s’agit aussi, dans leur code muet, de lui indiquer qu’il souhaite que, dorénavant, elle laisse ses bras le long du corps.
Ensuite, il la regardera dans les yeux, avec un vague sourire aux lèvres. Elle cillera, comme à chaque fois, incapable de soutenir son regard brillant. Elle avalera tant bien que mal sa salive, pour soulager la boule qui lui noue la gorge.
Puis, comme s’il s’agissait de la chose la plus naturelle du monde, il ouvrira mécaniquement tous les boutons de son chemisier et le fera glisser sur ses épaules, pour dénuder son buste.
Il parcourra ensuite des yeux les rondeurs bronzées des seins enchâssés dans un soutien gorge à balconnets de satin blanc rehaussé de dentelle. Elle sentira presque physiquement son regard parcourir la chair bombée et frémissante des globes et la vallée qui les sépare, masses de chair vivante, mouvante sous les inspirations profondes qu’elle s’impose pour se calmer.
Il glissera le pouce et l’index sous la dentelle d’un des balconnets de son soutien gorge, progressera contre la peau satinée, jusqu’au contact grumeleux de l’aréole pour saisir d’un geste précis un téton. Il le prendra bien en main en le pinçant légèrement et s’en servira pour tirer son sein vers le haut et le sortir de la corbeille satinée. Il repliera le balconnet sur lui-même avant de reposer le globe entièrement dénudé sur le support ainsi confectionné, avant de recommencer l’opération sur l’autre sein.
Elle se sentira défaillir à subir ces pratiques si peu conventionnelles… Elle fermera les yeux et son souffle s’accélérera quand il fera rouler les mamelons sous ses doigts, sans douceur, mais sans méchanceté non plus… Juste pour les faire gonfler et durcir.
Il pressera ses seins l’un contre l’autre puis les relâchera pour le plaisir de les voir reprendre leur place naturelle sur le redresse-seins qu’il a improvisé, dans un mouvement de vague voluptueux.
Il adore ses seins lourds, épanouis qui contrastent tellement avec son buste si fin, presque frêle. Il adore leur forme oblongue et les mamelons qu’il fait durcir sous ses doigts. Ses deux grossesses ne lui ont laissé aucune autre trace que la majesté nouvelle de ses seins.
Elle a des tétons minuscules qui se confondent avec le mamelon. Il faut les travailler longuement pour qu’ils s’épanouissent et daignent enfin durcir. Quand il s’en occupe, Elle garde une sensibilité sur la pointe des seins pendant plusieurs jours. Elle ne supporte pas, alors, de porter un soutien gorge et le frottement du tissu lui est difficilement supportable sur ses tétons. Ses seins lui paraissent alors, plus lourds encore, plus « présents » et plus vivants aussi. Cependant, ces jours là, Elle se laisse ployer encore plus facilement que d’habitude aux fantaisies de son époux. Cela n’a pas échappé à ce dernier qui en use et en abuse…

Il la traite comme un objet. Elle n’aime pas ça… et pourtant elle sent son ventre s’ouvrir malgré elle, redoublant son trouble, lui faisant perdre pied.

Il fera glisser ses mains sur ses flancs, éprouvant la finesse de sa taille, la courbe de ses hanches. Ses doigts descendront le long de ses cuisses, jusqu’à ses genoux, jusqu’à l’ourlet de sa jupe en jersey noir, fluide… De ses doigts, il saisira l’ourlet et fera remonter le tissu, dévoilant ses cuisses et le voile de soie sombre et brillante qui les recouvre. Il la fera remonter au dessus de la lisière de ses bas auto-fixants. (A force de persuasion, il lui a, depuis longtemps, fait renoncer aux collants.)
Il forcera un peu pour faire franchir à l’étoffe de la jupe, la courbe des hanches pour la laisser, un instant, ainsi troussée jusqu’à la taille, le temps de la contempler, sans un mot, sans la moindre expression sur son visage...
Ses escarpins accentuent la cambrure naturelle de ses reins et la contraignent à garder les jambes bien tendues.
Sous la jupe roulée à sa taille, et sous le léger arrondi du ventre qu’elle rentre, crispée, le renflement du pubis disparaît dans le creux de ses longues cuisses serrées, moulé par un voile de tulle translucide sous lequel on devine les deux bourrelets du trait vertical de son sexe.
(Elle a fini par céder à son désir répété de la voir toujours le ventre parfaitement lisse, et après de longues et coûteuses séances d’épilation Laser, elle est définitivement vierge de tout poil, des mollets aux aisselles.)
Ses longues cuisses sont enserrées à leur sommet par l’élastique orné de dentelle noire des bas qui compriment la chair délicate, livrant, alors même que ses genoux sont serrés l’un contre l’autre, un accès facile aux lèvres de son sexe.

Elle présente cette particularité anatomique que les libertins nomment la « Rivière Parisienne ». Le consul l’a remarqué dès leur première nuit. Il aime cette complète accessibilité à l’intimité de sa femme aussi bien par devant que par derrière. Même si elle veut se refuser en serrant les genoux, elle ne peut empêcher les doigts fureteurs d’accéder aux ressorts de son désir, et avec patience, il réussit toujours à la plier à sa volonté et à ouvrir le passage pour son sexe. Parfois, seul son regard suffit en guise de sésame pour voir s’écarter ses lèvres intimes.

Il baissera le slip à mi cuisses un peu brutalement, soudain impatient et fera glisser un doigt entre ses lèvres, le fera aller et venir en appuyant pour l’ouvrir et faire venir la moiteur qu’il attend. Il se délectera de ses yeux fermés et de ses narines frémissantes. Quand le passage s’ouvrira, il fera aller son index et son majeur en crochet loin dans son ventre, la faisant chanceler sur ses talons, lui arrachant un souffle rauque. Il attendra patiemment le premier gémissement et retirera ses doigts qu’il essuiera doucement sur ses lèvres maquillées, les rendant encore plus brillantes.
Il lui prendra alors les bras, la poussant en arrière, la guidant pour la faire asseoir dans le canapé.
Les yeux toujours fermés, elle sentira derrière ses mollets, le cuir du canapé et pliera les jambes pour s’asseoir au bord de l’assise. Elle sentira le pied de son époux s’insinuer entre les siens pour qu’elle ouvre bien les jambes, cuisses écartées, sexe ouvert, offert et luisant.
Il se défera alors doucement et posera une main sur sa nuque, l’autre guidant sa longue verge recourbée vers les lèvres de son épouse.
Le bruit d’étoffe froissée et celui d’une fermeture éclair la fera frissonner, précédant de peu le contact brûlant du gland, doux comme du velours, sur ses lèvres.
Il la frôlera un moment de son gland soyeux et brûlant. Il a un gland particulièrement proéminent, presque triangulaire. Il en fera glisser la pointe sur sa bouche, l’insinuant entre les lèvres gonflées à force d’avoir été mordues nerveusement. Il forcera doucement le passage. Vaincue, elle reposera ses mains de chaque côté de son corps, sur le cuir du canapé, puisque dans ces circonstances, il ne veut pas qu’elle se serve de ses mains. Puis, il ira et viendra dans l’onctueux réceptacle, se délectant de la vision des lèvres arrondies enserrant son membre. Il adore plus que tout, les bruits de succion et de déglutition que produit sa bouche.

Elle a appris, comme il aime, à saliver abondamment, pour rendre sa bouche encore plus douce et chaude.

Il poussera doucement son gland, plus loin, coulissant le long de la langue, jusqu’au fond du palais, jusqu’à la luette, jusqu’au haut le cœur. Il se retirera doucement, puis recommencera… arrachant un nouveau hoquet à son épouse... Encore, jusqu’à ce qu’elle ouvre enfin les paupières et lève vers lui ses yeux fardés ou brilleront les premières larmes.
Alors, il se relâchera et se déversera dans sa gorge à grands jets, puis se retirera de la bouche offerte.
Un dernier jet spasmodique viendra échouer sur l’aile du nez. Il pressera une dernière fois son gland de ses doigts pour en extraire les dernières gouttes qu’il déposera comme une signature sur sa joue.
Il la laissera déglutir plusieurs fois et se réintroduira pour recommencer quelques lents va et vient, le temps de reprendre ses esprits. Il sortira un mouchoir de sa poche pour nettoyer tendrement les lèvres et le visage de son épouse. Il s’emploiera ensuite, avec son mouchoir, à essuyer sa verge soigneusement, avant de se réajuster
Puis toujours sans un mot, il la prendra par le bras pour la faire se lever face à lui et l’embrassera à pleine bouche.

Tremblant sur ses talons, sur le point de défaillir, elle le laissera presser un sein dans sa main gauche, ses doigts s’enfonçant dans la chair comme pour chercher la glande du sein qu’il fera rouler entre ses doigts. Son autre main glissera vers le ventre lisse et viendra décapuchonner le clitoris du bout de l’index, avant de l’agacer en le faisant riper sous son doigt.
Quand son majeur viendra s’insinuer entre ses petites lèvres pour prendre possession du plus profond de son ventre, ses jambes se déroberont sous elle, l’empalant bien involontairement encore plus sur le doigt de son mari. Son souffle deviendra rauque. Il fera ensuite glisser sa main plus bas, et le majeur recouvert de cyprine viendra se placer au centre de la petite étoile plissée de son anus. Une légère pression fera céder le muscle qui laissera le passage au doigt inquisiteur, dans un léger chuintement d’air.
Simultanément, son pouce viendra prendre place dans son ventre, et sous la pression de cette pince diabolique, il entamera un lent massage de la fine paroi séparant les deux orifices.
Elle jouira alors, s’affaissant dans les bras de son mari qui la soutiendra uniquement de ses doigts en elle et de son autre main sous son aisselle.
Après de longues minutes, elle ouvrira les yeux, essoufflée, pour plonger son regard mouillé dans les yeux de son mari, y cherchant une réponse à toutes ses questions.
Il lui dit juste d’un ton égal :
« Tu vois, le jour ou tu accepteras d’être toujours nue sous tes jupes ou tes robes… je pourrais te faire jouir comme ça… n’importe ou … n’importe quand…
Pourquoi n’a-t-il pas ajouté : « avec n’importe qui ? ». Elle y a pensé et s’en veut immédiatement. Mais elle sait que ça arrivera ; Elle est effrayée à cette perspective, mais les images que ça évoque pour elle, sèment une telle confusion dans ses sens et dans son esprit…
Pourquoi ne jouit elle jamais aussi fort que quand il la traite ainsi et qu’elle imagine ces images si perverses ? Pourquoi quand ils font l’amour tendrement, dans leur lit a-t-elle tant de difficulté à jouir ?
Lui a compris… Il l’embrasse tendrement sur le front et l’accompagne jusqu’à leur chambre et repart sans un mot vers son bureau ou de tardives affaires l’attendent…

C’était il y a quelques mois… Elle était déjà sur le chemin qu’il lui avait tracé et dont les étapes se succédaient lentement… Peut être au cours de ce récit, évoquerons-nous quelques unes de ces étapes… Certaines vous intéresseront sans doute…

A suivre... Peut être
#841947
Un talent certain !!

Une vraie cerebralité .... nous gardons le contact pour un prochain passage sur Paris !

Bravo encore ...

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