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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#867607
Nous étions là dans ce restaurant , un espace feutré avec de grandes tables en bois recouvertes de nappes noires et de grands chandeliers où coulait la cire rouge des bougies.
Heureux de nous retrouver ,de cette soirée idyllique, trop rare de ces instants merveilleux.
Les premiers moments, cette soirée me confirmaient que tu savais précisément ce que tu faisais en l'organisant.
Le restaurant que tu avais choisi pour son cadre intime et chaleureux, aux tables espacées, propices aux confidences proposait une soirée «Vin et Jazz».
Je trouvais que mon épouse avait bien choisi sa tenue qui la mettait en valeur. Une jupe noir mi-cuisse qui dissimulait avec mal la lisière de son portes jarretelles,de ces bas opaque qui la rendais que plus sexy, des chaussures à talons, une chemise blanche et une veste ceintrée qui lui donnait une certaine classe plutôt sensuelle. Je me rendis compte par certains de tes mouvements que l’éclairage laissait deviner la dentelle d’un ravissant soutien-gorge, une révélation fût pour moi du choix qu'elle avait eu, quand j’aperçus une pointe de ses seins légèrement bandé certainement dû au frottement de sa chemise ,ou alors était-ce dû au Martini que ma tendre consommais délicatement, quoi qu'il en soit ,la certitude était faite qu'il t avais sur son corps,des sous vêtements ouverts sexy qui lui laissais liberté; pointes et auréoles et lèvres rosée de sa chatte n'avais aucune laisse ce soir...
Je me suis surpris à m'évader un court moment à imaginer la douceur, l’odeur de sa peau, ses formes sensuelles ce qui éveillaient en moi un désir lancinant. Il s’agissait d’une correspondance épidermique. Elle avait un corps de rêve, comme les métis peuvent afficher avec des seins arrogants, des fesses charnues, pleines, des cuisses musclées, un ventre plat, une tignasse noir voluptueuse, un sexe d’ange lisse . Un joli visage, une bouche pulpeuse et sensuelle, un regard où flotte une pointe d’espièglerie. Miss était affolante, excitante, bandante.
J’entendais derrière moi la bonne humeur des tablées de personnes. Nous avions déjà dégusté deux ou trois vins différents et les tanins avaient chauffé les esprits, dont celui de mon épouse quelque peu pompette à ce moment-là. Quelques lueurs coquines éclairaient le fond de ses prunelles.
Vers le milieu du repas, il me sembla qu'elle regardait au-dessus de mon épaule,je suivis ce regard pour cibler notre serveur... Je ressentis une légère contraction au creux du ventre, car son regard s’était voilé, nimbé d’une ombre lascive. Elle me dit avoir chaud d’une voix changeante, plus grave. Elle défit un bouton de sa chemise. Elle était gaie, joyeuse, souriante pour un rien, ou peut-être pour le regard éventuel d’une personne située dans mon dos. L’ouverture de sa chemise était très jolie. Au passage du serveur qui remplissait nos verres, je pus remarquer son regard d'homme pétiller en apercevant la naissance de la poitrine galbée dans une dentelle noire très sexy, sa poitrine passait pour généreuse dans cette tenues, l'échancrure de son chemisier offrait à notre vue la chair délicate du sillon qui sépare les deux globes et peut être avait-il compris en apercevant la naissance des mamelons le genre de sous vêtement que portait ce soir ma douce.
Surprendre le regard de cet homme provoqua une émotion intense que je ne connaissais pas. Voir ainsi un aspect sexy de mon épouse révélée à un autre me troublait d’une façon délicieuse et nouvelle.
Elle avait chaud. Je le voyais, je pouvais même percevoir les fragrances ambrées que sa peau exhalait dans ce genre de circonstances, en été ou lorsqu’elle faisait des exercices physiques par exemple. Ses doigts jouaient nonchalamment avec les boutons de son chemisier. Elle déboutonna un cran de plus, ce n’était pas indécent, mais de plus en plus sexy. Je savais que le spectacle qu’elle offrait devenait le point de mire de certains mâles de la salle. Surtout qu’en la voyant, on devinait aisément qu’elle n’était plus vraiment en pleine possession de toutes ses facultés de raisonnement. J’étais en même temps excité comme un fou, et empreint d’un sentiment de jalousie délicieusement blessante, fier de son attitude audacieuse et envoûtante, et troublé par les regards qui caressaient son corps.
J’étais en train de vivre un moment d’une exceptionnelle révélation. Le fait que mon épouse soit provocante et sexy en public me plaisait énormément…Et Val me connaissait,elle le savait.
La soirée se poursuivit ainsi, avec un roulement du serveur à notre table qui avaient soit énormément de professionnalisme soit un attrait pour apprécier ma belle qui n’avait pas froid aux yeux, ni à la poitrine.
Lorsqu’elle se leva une première fois pour aller aux toilettes, je surpris quelques regards émoustillés dont notre serveur qui tournait sa tête à s'en rompre le coup sur la croupe fabuleuse qui tendait le tissu de sa jupe. J’aurais volontiers renversée ma douce sur une table à ce moment là ,ma queue glissant au travers de son string pour rejoindre le double renflement symétrique de sa chatte que je devinais certainement très humide et délicieuse...
A cette imagination de l' instant, ma queue bandée depuis longtemps eus pour réactions de léger soubresaut orgasmique ,presque à en avoir peur de livrer une éruption...
En revenant prendre place, nous pûmes tous remarquer qu’à chaque pas l’ouverture de sa chemise s’élargissait, frisant l’indécence. Elle ne montrait aucune gêne. Elle se pencha pour s’asseoir, ce qui eut pour effet de dégager un peu plus ses seins. Allongeant le bras vers moi,le poing serré ,délivrant sur la table un morceau d'étoffe que je m’empressais de saisir à la reconnaissance , au sourire de notre serveur qui se présenta à notre table pour nous débarrasser au même moment, certainement témoin du petit string ornent notre table et qui puisait dans ses ressources à la vue de sa bosse distincte sur le devant de son pantalon. Il toucha frauduleusement d’ailleurs le coude de mon épouse avec son émois, Val ne fis pas cas ou ne me le montra pas... Je sentis alors dans ma main une moiteur relative venant du string de mon épouse qui c'était sans doute insinué entre ces lèvres , forcé de constaté avec délice que je ne m'étais pas trompé ,je glissa l'étoffe au fond d'une de mes poche. Je la savais désormais cul nu ,trempée de cyprine et heureuse de temps présent. Je lui demanda alors de se reculer légèrement de la table ,de décroiser les jambes. Je lui proposai d’avoir l’audace d’exciter cet inconnu en lui montrant davantage,un peu pour le remercier de son sans fautes envers nous. Qu’elle ait cet amour, cette envie de me faire plaisir et qu’elle ait ce geste fou d’indécence sexy d’écarter les cuisses pour lui montrer son intimités. Sans autre détour ,elle le fit...Le serveur s’en rendit compte, il passa de plus en plus souvent en jetant un regard ravi vers elle, vers ses jambes. Dans un petit mouvement de balancier, elle ouvrait légèrement les cuisses dans sa direction… L’homme était très élégant,la trentaine, assez musclé, bronzé, beau mec,il souriait, ravi du paysage sensuel et sexy qu’il pouvait apercevoir, je vis Val alors lui sourire aussi,encouragé par l'homme en noir, ma femme écarta davantage les jambes et se figea en rougissant tandis que cet homme découvrait la peau de l’intérieur des cuisses, puis le liseré des bas. Dans un dernier mouvement, elle lui signifia la mesure de son audace en regardant autour d'elle et écarta largement ses cuisses, le sexe offert à sa vue, les lèvres mises à nu légèrement ouvertes, roses, luisantes de la mouille qui trahit la perversité troublante de mon épouse, mon adorable Val, l’ange de ma vie. Et je sus alors qu’il la voyait belle, tandis qu’elle adoptait ce regard mystérieux, presque hautain de celle qui domine, qui dirige, qui fait tourner les têtes.
Comme une victoire ,elle me regarda provocante,porta un doigt à sa bouche et le suça délicatement et sensuellement ...
Je ne pouvais plus contrôler le pré-sperme qui coulait de ma verge et cette délicate constatation fût perturbée avec sursaut par ton pied au contacte de mes testicules,du bout du pied, elle me caressa les jambes et mon entrejambe. En même temps, nous nous regardions dans les yeux ,Val me souriais ,fière de me montrer tes capacités,ce qui ne faisais aucun doute...Nous exprimions tous deux l' envie du jeu et du désir et le besoin de l'autre…
Malgré les passages du serveur t'observant et t'écoutant à la dérobée,elle me décrivis comment l'envie d' être prise était forte, de ce que son minou réclamait expressément ,que sa poitrine était gonflé comme des phares allumés...Que cette mise en scène l'avait mise dans un drôle d’état, et au point où elle en n’était ,n'importe quelle bite la satisferais pour la délivrer de cette pression enivrante ...Une fois de plus, je comprenais ma chance et son envie que me suscitait ma femme. Je l'aimais vraiment cette femme.
Tu t’excusas à nouveau pour aller te rafraichir, te ré-maquiller ,il me sembla ou j’espérais que le prétexte était autre ,t'ayant demandé plusieurs fois de te masturber quand tu en avais envie, sachant que tu adorais cela,je pencha pour cette solution se qui ne fit que d'augmenter le frétillement de ma queue bien trop serré dans mon boxer...
La salle s’est légèrement vidée mais notre serveur est à point, il avait le plus grand mal à cacher la bosse qui déformait son pantalon. Je lui commanda un café et lui répondis à son sourire à mon tour, l'air interrogatif, il s'éloigna...
Pendant cet instant tu t’apprêtais à quelques retouches de maquillage lorsque la lumière s’éteignit. tu cherchas l’interrupteur à tâtons quand soudain, un corps se plaqua contre ton dos. Tu n’eus pas le temps de réagir que déjà une bouche se posa dans ton cou, te mordilla la nuque, t’envoyant du coups une série de décharges électriques. Des mains t’ enlacèrent, parcoururent ton corps, palpent ses seins avec fougue ,en les faisant jaillir malgré eux du chemisier. Elle devine que Phil ,son maris n’ai pu attendre d’être dans la voiture pour épancher sa soif de son corps, du coups ,elle ne réagis pas, peut être l'alcool aidant, elle se contenta de tendre les bras vers le lavabo pour ne pas tomber. Son agresseur en profita pour remonter le tissu de ta jupe sur le haut de tes reins et pour frotter son paquet sur tes fesses. Malgré la peur d’être surprise par d'autre,elle frémissais de cette attente, la frustration était haute et elle tendis sa croupe vers le mâle pour lui faire comprendre. Mais il ne l'entendis pas de cette oreille et la fis pivoter ,la poussant légèrement vers le bas , telle compris ça demande ,et ce baissa, presque accroupis, ces mains remontent pour déboutonner son pantalon et faire glisser l'ensemble avec le caleçon jusqu'à terre...Un mat surgissant vint à sa rencontre,elle le saisie, le caressa, aimante et fière de lui, couvrant amoureusement le membre tout dure de bisous......Mais elle ne s'arrêta pas là, doucement en le bécotant elle fis sortir le gland de sa cachette, le couvrant tout aussi doucement de baisers, l'enroulant délicatement de sa langue.....Faisant courir la pointe de ta langue de sa base jusqu'au gland en le titillant à l'envol...Aspirant même les testicules à chaque passage, son membre sursautant par moment en signe approbateur....elle lui parût plus grosse, pas plus longue,mais vraiment plus large, différente,même le gout la perturbas mais elle attribuas cette différence à l’excitation, la soirée, au repas...Malgré le noir absolu de la petite pièce ,elle s'appliqua ne laissant pas un seul centimètre vierge de sa langue sur cette magnifique bite ,la bouche grande ouverte tantôt suçant, tantôt donnant des coups de langues baveuses sur ce gland décalotté et frétillant,tu l'aspirais pompant chaque instant le liquide qui en sortais. Puis sans un mot il la releva ,puis la tournant ,et il lui glissa sa bite le long de ses fesses nues. Il la poussa délicatement en avant et elle ne pût que se pencher davantage, en cambrant involontairement sa croupe. Il glissa sa main entre ses cuisses déjà ouvertes, découvrant son antre trempée et enfonça directement ses doigts dans sa chatte. Cette douce violente lui convenus à merveille. Il pinça son clitoris, le malaxa, le titilla. Elle étais aux anges, une vraie fontaine. Elle imagina le besoin urgent de cette bite..., Elle sentis sont gland chercher son chemin à l’entrée de son vagin,cette queue qui s'imprégnait de son liquide comme un pinceau sur une aquarelle.. Val gémissais, comme pour supplier la fin de ce calvaire sexuelle. Il ne tâtonna pas longtemps guidé par cette source qui semblait inépuisable et s’enfonça en elle par de petites poussées royales,un râle ,un allaitement sorti de la gorge de ma femme, enfin, elle sentais la bite dans son ventre,elle la pénétrait,douce et violente sensation à la fois, tu l'aimais, elle te délivrais. Il agrippa ses hanches et lui imposa quelques va et viens qui ne firent qu'augmenter les sens , elle sentais ces grosses couilles lui fouetter la moule, elle la labourait lentement la chatte ,écartant inexorablement ces lèvres gonflés ,inondant sans retenue cette queue de son jus comme pour la refroidir ...Elle lui faisait tellement de bien, elle oubliais le temps,juste l'instant présent ne comptais plus...
Soudain, la lumière s’alluma et dans le miroir, elle découvris avec stupeur et interrogation , que ce n’est pas Phil son homme qui était au fond de ta chatte,c’était le beau serveur qui, derrière elle, était train de la baiser avec frénésie. Malgré elle,sans autre réaction, sa chatte s’inondait encore plus à cette découverte. La honte mélangée à la panique ne furent que très furtives , le sourire aux lèvres,ton maris s'approcha de ces deux corps soudés. Le serveur le vit aussi mais ne ralentit pas sa petite chevauchée. Il continuait à te prendre en te malaxant les fesses. Tu tournas la tête légèrement vers ton amour,tu attendis ces réactions... Le spectacle devait lui plaire car il te fit un bisous tendrement de ses lèvres, il se dégrafa rapidement ,libérant la chose, et il te présenta sa bite bien raide et brillante, humectée de sa liqueur. Tu ouvra largement la bouche et elle s’y engouffra rapidement. Tu te retrouvais coincée entre deux morceaux de chair, défoncée par deux belles queues à chaque extrémité. Tu te laissa projeter par les mouvements de va et viens du serveur et la queue de ton homme s’enfoncent sur ta langue. Tu étais une poupée de chair soumise à leur plaisir, folle d’excitation d’être traitée comme cela, tu ne vis plus que par tes deux trous qui étaient obstrués. Tu explosa alors violemment, sans savoir si ta jouissance est provoquée par la pipe que tu prodiguais à ton homme ou la bitte large dans ton vagin..Derrière toi, le serveur se retira,tu le compris pour laisser la place à ton mari,il retira son préservatif puis te tourna délicatement et engloba tes seins pour les triturer de ses mains avides,puis tu te laissa pénétrer par sa langue, et tu répondis à se mélange de salive et de tournoiement de langues avides , Phil te pénétra à son tour découvrant avec bonheur ce sexe noyé par tant de sécrétion, tu jouis une nouvelle fois mais tu ne comptais plus.
Tu avais saisis la queue de ton amant d'un soir, le gland violacé de l'homme te plaisait, tu te penchas abandonnent ça bouche pour de nouveau le happé, le délecté,le nettoyé...
Tu entendis les gémissements et les soupirs de tes deux mâles et tu devina la fin est proche. Comme si eux aussi l’avaient senti,ensemble ils se présentaient à toi en disposent leur attribut enflés devant tes lèvres que tu ouvris volontairement ,passant de l'une à l'autre comme pour trouver les différences et ils explosèrent au même moment. Ce fût un feu d’artifice de sperme qui pulsa dans ta bouche, sur tes lèvres,sur ton mentons,coulant sur ta poitrine fièrement dresser et tu essayas de t’applique à avaler chaque giclée crémeuse mais impossible par la quantités . Lorsque ses couilles furent vides, tu nous sentis glisser nos pieux sur ta bouche comme pour te caresser, tu avais tes doigts s'agitant une dernière fois sur ton Mont Vénus ,nous te laissions jouir en silence ce coups-ci ,la bouche ouverte ,ta langue sortie sur nos gland . Tu étais exténuée... Tu avais encore les yeux dans le vague et dans le miroir, réaliser la réalité de ce qui c'était passé...
Tu les regardais remettre leurs pantalons,l'homme en jetant un regard complice à ton maris et un autre de remerciement à ton égard en quittant les lieux. Tu remis de l’ordre à ton tour dans ta tenue, t'essuyant le visage et la poitrine ,tu réajustes ton maquillage, enfin comme si de rien n’était, nous sommes sortis,main dans la main, tu avais du mal à traverser la salle, heureusement qu’elle s’était vidée car ta démarche était assez hésitante. Par contre, le regard des autres serveurs étaient éloquents. Notre serveur nous signala que l’addition avait déjà été réglée et nous raccompagna à la sortie. En nous tenant la porte, il nous adressa un « A votre service, Madame,Messieurs, en espérant vous revoir très vite » plein de sous-entendus...
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Modifié en dernier par SamEtNoa le 01 sept. 2012, 21:20, modifié 1 fois. Raison : Pas de termes vulgaires ou dégradants sur le forum "Erotisme", merci.
#868278
eric121 a écrit :chapeau ! un texte si long et sans fautes d'orthographe ni de syntaxe...


Surtout une situation très érotique et excitante. Quant à l'orthographe ce n'est pas le principal non, sinon il faudrait revoir le passé simple, mais on était au restau pas à l'école et en plus Madame avait deux stylos qui étaient plutôt affolant et affolés!!
Merci ValPhil!
Les grincheux, prenez votre plume ou votre clavier et faites mieux pour notre plaisir... ;)
#925103
Une belle rencontre. :P Et en plus, le serveur fait cadeau de l'addition. ;)
#966044
c ta ...???
Modifié en dernier par SamEtNoa le 01 sept. 2012, 21:21, modifié 1 fois. Raison : Pas de termes vulgaires ou dégradants sur le forum "Erotisme", merci.
#978102
Récit de Val:

Mon chéri,


Cette histoire t’est adressée, parce que je sais que tu vas aimer et aussi sans ta volonté, nous n’en saurions pas là…
Tu vas être aussi très fière de moi en la découvrant, comprendre quand je te disais me mettre en chasse.
Je sais aussi qu’en me lisant, ta queue serra tendue, tes masturbations fréquentes, pour notre plus grand bonheur …

À côté de notre vie quotidienne faite d’un amour si tendre où tu m’apportes tant de satisfactions, je me suis mise à vivre différemment sous tes conseils, par ton aiguillage mon regard sur la vie est autre, depuis notre histoire au restaurant, tu n’as fais que m’ouvrir les yeux, depuis ce jour cette autre vie, c’est la mienne mais aussi la notre.
Cette Valérie que tu n’as pu connaître et qui est pourtant bien ta femme, je veux en tous cas que tu saches que je n’ai jamais douté de mon amour pour toi. Cet amour c’est seulement transformée grâce à toi.

La relation que j’ai avec celui qui n’était à tes yeux qu’un collègue de mon entreprise est venu s’immiscer dans l’espace qui existait entre nous. C’est un monde où la passion du sexe est aussi importante que la tendresse.

J’espère que tu comprendras que la situation que j’ai voulu te décrire n’a pas été simple à vivre pour moi, dans d’autre moment où tu étais finalement toi-même plutôt insouciant. Tu as bénéficié, sans le savoir, des débordements de désir et de tendresse que cette relation nouvelle a révélé en moi.

Ma fidélitée, comme convenu et d’une certaine manière, je l’ai mise toute entière dans celle à te rapporter les faits tels que je les ai vécus dans les moindres détails.

Pourtant, je dois reconnaître que la description qui t’est faite est toute sauf celle d’une épouse fidèle !

Mon nouveau correspondant Parisien a exigé assez vite et dès le début, par ta complicité que je rédige ce récit régulier comme un gage indéfectible de l’attachement que j’avais pour lui et pour toi. Il m’a avoué bien plus tard que cela l’excitait beaucoup d’imaginer, le fait que je te révèle avec détail mes actes pleinement assumés.
Il était convenu dès le début, que je garde cet espace de liberté de ne pas lui faire lire certaines de mes lettres, si je le désirais. Il voulait ainsi que j’exprime mes sentiments avec la plus grande sincérité. Mais il lui arrivait cependant régulièrement de me demander de lui en dévoiler une de mon choix qu’il souhaitait que je lui lise à voix haute, ce qui le rendait fou d’excitation. Cela peut te paraître incroyable, mais j’avais l’impression dans ces moments avec lui d’être un peu avec toi, de ne pas réellement te tromper, puisque j’allais tout te révéler.
Paradoxalement, te décrire avec la plus grande franchise ma relation passionnelle avec celui qui, pour toi, n’est qu’un amant, me rapprochait en quelque sorte de toi. Je crois que tu as dû ressentir quelque chose, car j’avais l’impression que tu devenais plus amoureux à la mesure du désir naissant qui grandissait en moi. D’ailleurs tu me disais souvent ne m’avoir jamais vue aussi radieuse. Sache que, si je ne me suis jamais sentie aussi heureuse, c’est en grande partie grâce à toi.


lundi 22 avril


Mon cœur,


Il y a beaucoup de bruits autour de moi, mais cette agitation ne me dérange pas…
Je suis sur un petit nuage !… Je ne sais comment te décrire ce que je ressens. Il y a la joie, bien sûr, de me sentir redevenir quelqu’un, l’excitation qui me rappelle l’exaltation que j’avais lorsque j’étais collégienne et que j’étais tombée sous le charme d’un garçon pour la première fois !

Aussi, je ressens une fébrilité un peu folle à écrire ces lignes, et même si je sais que c’est absurde, je crois que je me sens amoureuse.

J’avais préparé cette rencontre en ayant conscience que dans ce genre de rencontre il y a toujours une part de séduction.
Tu m’as d’ailleurs encouragée à porter ce tailleur qui, selon toi, m’allait à ravir, parce qu’il mettait en valeur ma « jolie silhouette ». Tu me disais aussi que l’on pouvait apprécier davantage la finesse de ma taille et l’honnête volume de ma poitrine, dont je dois avouer être assez fière. Et puis, il y avait ce généreux décolleté que tu m’as encouragé à mettre et que tu m’as assuré n’être pas vulgaire. Tu m’as même incitée à mettre des portes-jarretelles et ces bas de soie au discret motif sur la dentelle du haut. Ceux-là même que je ne porte d’habitude que pour te séduire davantage ou lorsque nous allons à une soirée et cela, malgré le fait que je dévoile largement mes jambes sous cette jupe moulante, fendue sur le côté.

À vrai dire, il a fallu tous tes talents de persuasion pour me convaincre de m’habiller ainsi, alors que je craignais que le relief de mes jarretelles soit visible pour un œil attentif, sous les finesses du tissu.
Pour toi, cette sensualité que je dissimulais sous mes vêtements me rendait encore plus radieuse et plus « femme », et mettait ainsi toutes les chances de mon côté dans un tel entretien pour un métier de relation avec la clientèle.
Tu me disais l’importance de la première impression lors d’un entretien d’embauche.

J’ai conscience de pouvoir plaire aux hommes. Du moins, je me sais désirable, tout en sachant l’aspect superficiel et intéressé du regard qu’ils portent souvent sur moi.
Dans ma jeunesse, j’étais aussi très timide, et les quelques aventures que j’ai eues avant de te rencontrer n’étaient en rien torrides.

Avec toi, Phil, je connais quelque chose de fort, même si je soupçonne, précisément de la passion. Tu étais gentil, aimant et rassurant de ton protectorat. Nous avons, durant des années, construit notre vie selon nos désirs, accédant au confort matériel et à la jouissance d’une relation stable et heureuse.
Mais aujourd’hui, je me sens bouleversée et ce que je viens de vivre, je ne m’en croyais pas capable !
Cela avait commencé il y a quelques semaines, en rentrant dans les bureaux, j’étais très intimidée et à la fois impatiente, la présence de collaborateurs basés sur Paris n’était pas étrangère à cette situation. L’équipe était composée de plusieurs membres, un manager nommé Vincent me tourmentait, à sa seule brève visite sur le Lux, nous avions échangé des regards appuyés, une émotion me traversa, un je ne sais quoi, intervint en moi...
Avant de le décrire, je dois te parler de l’expression de son visage lorsqu’il a levé les yeux sur moi, visiblement heureux de me redécouvrir, ce qui curieusement me laissa un souvenir ému. il était attendri et me gratifiant de son sourire radieux. Son attitude était même un peu mielleuse, mais curieusement tout cela me flattait.
Je me souviens du trouble rencontré, alors que j’étais en train de le dévisager, pendant les fractions de secondes de ses déplacements, je le détaillais formulant de sa corpulence élégante, impeccablement soignée et select, sa silhouette musclé et grande en imposait.
Entre la première et la deuxième rencontres, de nombreux appels téléphoniques nous ont rapproché, allant en découverte de l’autre, il aimait écouter ma voie….Et moi la sienne.
Nous étions maintenant calé dans nos fauteuils autours d’une tasse de café, mon supérieur, et moi qui venais d’accepter, le cœur battant de partir pour la capitale Français pour une mission de deux semaines.
L’attitude était plus qu’affable, nous étions ravies, comme des enfants qui découvrent de nouveaux jouets, mais je lisais dans son regard bien plus qu’un désir enfantin.
Je tentais de retenir mes yeux à trop l’observer, cet excès d’insistance, sa façon de me scruter devenait pesante, la panique me gagnait. Le déshabillage que je subissais me rendait de sensations nouvelles.
Son visage qui était agréablement bien dessiné, ses yeux noirs à l’expression intense à ces instants qui, lorsqu’ils croisèrent les miens, après s’être attardés de façon interminable sur diverses parties de mon corps, me semblèrent d’une profondeur insondable comme si je devais m’y noyer ! J’étais complètement accrochée par ce regard, conquise à lui…
J’osais soutenir sans baisser les yeux, tout en réalisant qu’une telle attitude ne pouvait qu’interprétée l’aveu impudique d’un désir de femme pour un homme.
Il venait littéralement lire en moi et que je ne devais rien devoir lui cacher !
Il me fit de nombreux éloges complimenteurs de mon travail, mais aussi de sous-entendues de mon élégance, de charme, de mon sourire et du son de ma voix que je trouvais pleine de tension. Je tremblais, tous cela était nouveau pour moi.
Lui en face de moi, proche, jusqu’à sentir la discrète odeur de son eau de toilette, je le détectais à l’affut de mes croisements de jambes, jouant certainement découvrir plus de moi, le rêve semblait vouloir devenir réalité quand ont nous laissa seul, faisant semblant de poursuivre la réunion, mes chevilles se retrouvèrent parallèles et comme si deux pôles étaient en contact, elles s’éloignèrent de l’une de l’autre, lentement. Je me sidérais moi -même à tant d’audace.
Et j’ai craqué, de lui avoir fermé la bouche d’un baiser voluptueux. Nos lèvres sont restées longtemps jointes, mes mains bloquant la tête de mon partenaire, nos langues enrôlées dans un combat humide, un baiser, épicé.. Entre ses jambes, je sentais l’outil qui allait me labourer le sillon.
Je me sentais terriblement tendue et en même temps excitée l’attention qu’il venait de me porter à cette douce sensation de dépendance, faisait que je me sentais totalement en sa possession et prête à accepter bien des choses. Mais, j’étais en même temps troublée parce que je craignais qu’il se méprenne sur la femme que j’étais vraiment. Je repensais à toutes tes paroles sur les réactions à avoir dans des cas bien précis.
J’observai ses doigts longs et fin manucuré, je réalisai que j’avais envie de toucher ou d’être touchée par ces mains là. Puis d’une voie chaleureuse il m’annonça vouloir de moi une écriture journalière en ta faveur, tous les jours une lettre. Son désir de vouloir m’exprimer avec la plus grande franchise possible de ce que je pouvais ressentir à son égard et, pour que cela soit possible, il me demanda de lui faire lire ces lettres secrètes avant de te les envoyer. C’était pour lui un gage de fidélité indispensable pour une bonne relation de travail ! Bien sûr, personne d’autre que moi, que lui-même ou que toi mon époux ne devait prendre connaissance de l’existence de cette correspondance !
Je ne m’attendais évidemment pas à un tel contrat ! Avant même d’avoir réfléchi, je me mis pourtant à lui répondre, ce que j’aurais répondu à n’importe quelle question :
• — C’est comme vous voudrez.
Il n’en fallait pas plus pour le contenter, au moins pour le moment, car il se releva et il ne m’échappait pas que ses yeux s’attardaient pesamment sur ce qu’il pouvait voir de ma poitrine alors que j’attendais pour ma part un signal avant de me redresser. Tout en contournant le bureau, je sentis son regard glisser de mes fesses à mes cuisses.
Il me prit la main comme on prend la main d’une « dame », à l’ancienne. Ses doigts étaient brûlants et sa peau un peu moite. J’étais maintenant debout face à lui, à quelques centimètres, et son odeur douce, emplissait mes narines. Il me regardait à nouveau de la tête aux pieds sans dire un mot ! Je n’ai jamais ressenti ça à un tel point et surtout aussi vite, mais j’avais une envie folle qu’il me prenne dans ses bras et qu’il me serre très fort contre lui !
Au lieu de cela, il a reculé d’un pas et m’a adressé un large sourire :
• — À demain ! J’ai déjà confiance en vous et je pense ne pas être déçu! J’espère que vous avez confiance en moi…
Je me mis alors à lui sourire à mon tour et j’étais assez fière de parvenir à ne pas rougir devant lui. Mais alors, il m’adressa à nouveau la parole !
• — C’est une très bonne idée d’avoir mis des porte-jarretelles. J’adore les femmes qui portent des sous-vêtements sexy, n’hésitez surtout pas les jours suivants !
Cette fois je devais être écarlate et je n’osai plus croiser son regard en quittant la pièce, comme une gamine prise en faute !



Mardi 03 avril


Mon tendre amour,
Hier, de retour, tu m’as complimenté sur mon tailleur noir qui découvrait mes « superbes » jambes gainées de soie à mi-cuisse. Je venais à peine d’être présentée à celui qui n’était alors qu’un collaborateur, mais je me souviens t’avoir embrassé avec toute l’énergie possible. Tu me trouvas vraiment sensuelle et j’avoue que tes propos n’ont fait que confirmer ce que je devinais ce jour-là. Mon bonheur était bien présent…
J’étais, bien sûr, heureuse de cette expérience pour Munich, elle correspondait parfaitement à ma formation et à mon désir, mais les heures que je venais de passer, telle une assistante de direction appliquée auprès de mon patron et de notre collègue, avait produit un curieux effet.
Le soir j’avais une envie si forte de toi, que je t’ai léché avidement les lèvres pour te pénétrer de ma langue à la rencontre de la tienne. Pendant que tu caressais le haut de mes cuisses nues, en frôlant du bout des doigts mes porte-jarretelles… J’ai alors osé faire sauter l’agrafe de mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine. Je portai ce jour-là un chemisier de satin et j’éprouve encore de l’émotion en pensant aux caresses de mes bouts de seins gonflés contre ton torse. Je n’ai pu m’empêcher de te pousser doucement vers notre chambre tout en continuant à t’embrasser, comme si je devais boire un divin nectar issu de tes lèvres. Je me suis mise alors torse nu et puis j’ai libéré ton sexe déjà gorgé de désir ! J’ai fais glisser ma culotte et ma jupe pour faire glisser ton membre dans mon intimité que je savais déjà chaude et onctueuse. J’avais envie de te regarder fixement, et le fait de te sentir en moi m’apaisa. En même temps, alors que je savourai ta présence, je pensai à lui…à cet homme que je venais de rencontrer pour la deuxième fois et qui avait eu le pouvoir perturbant sur moi, son charme me déstabilisait. J’avais désormais besoin, plus que tout, de tendresse, et cette envie folle de partager jusqu’à la duplicité de mon émoi. Je voulais même, si j’avais cru cela possible, que tu sois mon confident, mon complice, tu accueillais cette nouvelle avec bonheur.
Je t’ai parlé de son âge, la trentaine passé et du fait qu’il m’avait mise tout de suite à l’aise. Tout en continuant de parler, je te massai la verge doucement avec mon sexe. Je t’ai dit qu’il m’avait demandé d’écrire une correspondance et que j’avais alors exprimée positivement. Pendant ce temps, je te gardai en moi en bougeant le bassin avec une lenteur voluptueuse et, alors que je te chevauchai, ma voix était à peine altérée par de faibles soupirs de jouissance.
Décrivant de son ton flatteur, de son regard pénétrant, J’ai ressenti à cet instant que le fait de te le divulguer à travers moi, de mon regard et de mes sensations, cela te troublait.
Ta voix n’était pas habituelle lorsque, comme un garçon timide, tu t’es mis à me demander plus de détail, comment il avait cherché à me séduire. Curieusement, était-ce sous l’effet de la jouissance, alors que je ne cessai de te caresser de mon vagin, ou parce que je me sentis alors avoir un pouvoir sur toi, je me souviens avoir esquissé un sourire. Tu me demandas plus encore, je t’avouais tous en détail, de cette confession… La jouissance nous frappait, m’inondant le con de tes longs jets brulants.
Tu étais persuadé comme la première fois que je lui avais « tapé dans l’œil », et tu m’as dit alors ne jamais m’avoir vue aussi radieuse ! Je sais que je souriais vraiment et essentiellement cette fois parce que j’étais flattée. Alors que je me laissai envahir par le plaisir, mes yeux cherchèrent vainement à croiser les tiens, mais je n’arrivai plus à me contrôler et je me sentis à nouveau partir…
Avec le recul, je crois avoir été totalement impudique en t’offrant le contact de mon postérieur se frottant contre tes doigts et le spectacle de mon abricot d’amour imberbe qui coulissa sur ta verge comme pour bien te la graisser…
Et puis il y avait surtout le fait de continuer à te parler, sans plus réaliser ce que je disais. Je me souviens t’avoir dit qu’il n’était pas sans charme, de son élégance, qu’au moins dans son apparence, avec son côté un peu beaucoup très classe. Et puis j’ai dû t’avouer que malgré tout, il me faisait bonne impression, qu’il m’inspirait confiance. Ce dont je me souviens aussi, c’est que ce jour-là, j’ai joui comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps…
Plus tard dans la nuit, serré l’un contre l’autre, j’ai pensée avoir été un peu trop loin et, qu’en te montrant à quel point j’étais excitée, tu devais forcément te douter de ce qui allais se passé…


Mercredi 04 Avril

Mais ce matin, quand je suis partie avec ma jupe noir plus courte encore que la veille et un chemisier légèrement transparent surmonté de ma veste cintrée, je n’ai senti aucun reproche de ta part ; plutôt un sentiment de fierté, puisque tu m’as dit que j’étais plus séduisante et plus belle que jamais. Ce que tu n’as pas remarqué ce jour là, c’est que j’avais encore mis des porte-jarretelles et ce n’était pas, cette fois, sur tes conseils. Et qu’il suffirait que je sois assise, pour qu’apparaissent au-dessus de mes bas de soie, le haut de mes cuisses nues enjôlées de mes attaches ! J’avais mis également un string en dentelle qui, par de menus frottements à chacun de mes pas, agaçait délicieusement mes petites lèvres.
Arrivée au bureau, je ne le vis tout d’abord pas. Et puis entrant dans le salon ou il s’était installé provisoirement, il apparut et me gratifia d’un bonjour un peu sec sans même lever son regard vers mon visage. En le voyant essentiellement attiré par les courbes de ma silhouette, je ne pus m’empêcher de penser négativement. Mais dès qu’il a plongé ses yeux dans les miens, j’étais à nouveau prête à fondre. Il me demanda de l’attendre me présentant le dossier de présentation de notre travail.
Il insistait sur le devoir d’information à la clientèle, la capacité à convaincre, l’appât qu’il fallait exploiter concernant les produits, le fait de donner le sentiment que l’offre proposée avait quelque chose d’unique, même pour les produits standard. Bien sûr, l’accent était mis sur la patience et l’amabilité. Tout cela me paraissait tout à fait naturel et, dans ce document officiel, il n’était évidemment pas question du contrat bien particulier qui me liait à lui.
À vrai dire, je ne savais pas quelle était la nature profonde de ses exigences, même si le simple fait d’écrire ces lettres singulières qui t’étaient adressées, impliquait d’évidence des rapports bien plus étroits que ceux que l’on entretient d’habitude avec un supérieur. Il me dit ensuite, en quittant la pièce, de l’attendre quelques instants.
J’étais assez tendue, une fois la lecture du rapport achevée, et l’attente me parut interminable. J’ai eu alors le loisir d’observer certains objets qui parsemaient son bureau. Un agenda en cuir disposé dans ma direction m’interpela, dans l’angle de celui-ci, je distinguais ce qui devait être la naissance de quelques photos, de ma main tremblante et sans même réfléchir je l’ouvris. Il y avait ainsi une superbe Noire à la poitrine arrogante, dont le corps quasi-nu recouvert d’huile, brillait sous un soleil de plomb. Dessous, une Asiatique au corps menu, bien que parée d’un voile de soie, ne masquait pas grand chose de son anatomie, sous l’effet à la fois de l’humidité moite qui faisait adhérer le tissu à sa peau et d’une lumière directe qui révélait son entrecuisse à la sortie d’un bain. Plus loin encore, c’était une Indienne dans une position plus impudique encore, parce qu’elle paraissait dérobée par le photographe, qui soulevait son sari pour se livrer à des ablutions intimes, les lèvres brillantes de sécrétion, et la dernière, la plus osée était une femme blonde qui avait les cuisses écartées, du sperme coulant en grande quantité de sa chate encore ouverte, le regard révulsé…
Quand la porte s’ouvrit, « petite visite » fut interrompue je ne pus m’empêcher de sursauter. C’était déjà la première fois que je me sentais prise en faute…
• — Mes photos vous plaisent ?
Cette fois, je ne savais quoi répondre, dans ma tenue « d’hôtesse d’accueil » apprêtée avec soin, je me sentais mal à l’aise. Sans doute qu’il ressentit cette situation puisque ses premiers mots furent pour me rassurer.
• — Vous êtes parfaite ! Vous êtes à la fois tout à fait intelligente et en même temps, diablement séduisante dans ce petit tailleur qui met vos formes délicieuses particulièrement en valeur. La prochaine photo de ma collection vous serra destinée…
Je n’étais pas insensible à toutes ces flatteries qui émanaient de l’homme auquel je n’avais cessé de penser lorsque j’avais choisi soigneusement ces vêtements.
• — Est-ce que vous avez commencé à rédiger vos lettres ?
Je lui ai répondu que oui, aussi naturellement que si j’avais terminé de taper un rapport de travail.
• — Rassurez-vous, je ne vous demanderai pas tout de suite de m’en faire la lecture. Il faut au moins que vous ayez le choix entre plusieurs.
Je savais que je m’étais soumise à ses comptes rendus épistolaires sans savoir encore à quelle occasion tu pourrais toi-même les lires. Mais je ne lui posai pas davantage de questions.
• — Je vais vous laisser, mais j’aimerais vous demander pour aujourd’hui une dernière faveur.
Curieusement, je devinai encore une fois que je ne pourrais que lui dire oui, alors que j’ignorais la nature même de sa requête…
• — Je voudrais que vous me montriez ce que vous cachez sous votre jupe pour savoir si…si vous êtes attentive à ce que je vous ai dit.
Je ne pus m’empêcher de penser alors aux photos très subjectives que je venais de voir. Pour ne rien faire paraître de mon émotion, je décidai de le regarder fixement. Je n’étais plus moi-même, c’était comme s’il venait de s’adresser à une autre que moi. Je m’aperçus pourtant alors, que le plus simplement du monde… c’était bien moi, ta petite femme d’habitude si timide, qui était en train lentement de relever sa jupe de mi-cuisse jusqu’à la taille !
J’étais littéralement sous son emprise et je réalisai que, si telle était sa volonté, il était capable de m’emmener très loin, dans des territoires pour moi aussi inconnus que la plupart de ces destinations qu’il me fallait aider à vendre pour le satisfaire.
Curieusement le temps paraissait suspendu et je n’entendis bientôt plus que le frottement du tissu sur mes bas, sur mes dessous de dentelle et de ma peau nue.
Ensuite ce fut le doux bruit de sa respiration lente et profonde alors qu’il s’était placé à genoux sans que je m’en sois vraiment rendue-compte. Son visage était proche, au point que je sente la douce caresse de son souffle entre mes cuisses.
Je ne pus réfréner mon envie de baisser les yeux pour le découvrir prostré, comme en prière, il semblait fasciné par le spectacle de mon intimité parée de minces pièces d’étoffe et de dentelle.
Je ne sais combien de temps tout cela a pu durer, mais comme la veille, un désir irrépressible commençait à me gagner. Ce n’étais plus me serrer entre ses bras qui aurait pu alors me satisfaire…mais qu’il enfouisse sa tête entre mes cuisses et qu’il y fourre sa langue comme un chien gourmand pour y goûter le succulent nectar !
J’avais l’impression que j’allais vaciller sur mes jambes qui se tendaient sous l’effet d’une excitation grandissante, quand il se releva en s’appuyant à mes poignets, pour les abaisser doucement, afin que je rajuste ma jupe.
• — J’avais envie de voir ce que vous me cachiez … et que vous avez peut-être caché à votre mari !
C’est vrai que je n’ai pas voulu, dès aujourd’hui, te mettre dans la confidence des dessous sexy que j’ai décidé de porter. C’est un secret intime de désir, que finalement je n’étais prête à partager qu’avec mon troublant collègue même si je sais qu’à partir de maintenant, je ne te dissimulerai aucunes choses sur la nature de cette relation nouvelle, ne voulant pas creuser un fossé irrémédiable entre nous…
En même temps ma conscience se libère un peu, la honte ou toute forme de peur n’ont d’idée qu’un jour tu liras ce texte et qu’ainsi la communion serra parfaite …

Ton épouse pleine de pensées tendres pour son mari…



Mercredi 05 avril


Départ le matin très tôt pour Orly, je vais bientôt le rejoindre sur son lieu de travail, l’hôtel est agréable … Tu as bien reçu mon sms, accompagné de la photo qui me montre t’adressant un bisou de ma main…
Mon cœur sache que malgré l’intensité de ce que je vis, malgré tous ces bouleversements et ceux que je suis peut-être amenée à connaître, je sais que tu resteras toujours mon être cher auquel je ne pourrai m’empêcher de penser avec la plus grande tendresse. Cet amour entre nous et que j’ai depuis plusieurs années, rien ne peut nous le retirer. Le désir naissant que je te décris, autant que je le décris à moi-même, ne fait qu’accompagner le nôtre, sans l’effacer pour autant. Il se révèle en moi depuis si peu de temps du désir bien réel en moi, une soif de posséder, de vivre des sensations intenses, tu avais raison, mon corps s’exprime…
De t’écrire ces lettres c’est aussi pour moi la possibilité de rester avec toi à chaque instant où je suis avec lui, puisque je sais que j’aurai à t’en rendre compte…

Je découvre l’entreprise, les bureaux et suis présentée à ces collaborateurs, Kristopher est là, à un mètre de moi…
Il me regarde avec ce petit air malicieux qui me fait chavirer, il est galant et attentionné. Je n’ai pourtant rien d’une nymphomane, mais ce type à décidément un charme fou, et je lui ferait volontiers un petit câlin. Mon micro string blanc, transparent et trempé de mouille depuis de longs moments déjà, le mont de vénus douloureux, insatisfait et impatient. Je suis complètement bouleversé par cette sensation inconnue qui c’est brusquement répandue dans tout mon corps, un fleuve de plaisir, un plaisir total, puissant, impossible à dominer. Je me suis soumise à cette onde merveilleuse et inépuisable.

Ta Val qui t’aime tendrement.





Jeudi 06 avril


Mon doux chéri, excuse-moi ! Excuse-moi d’être si directe et si crue dans les descriptions que je vais te faire. Mais je suis tenue au compte rendu le plus sincère et je souhaite trahir le moins possible la vérité, à l’égard de lui, mais aussi surtout de toi…
Je savais qu’en arrivant ce matin, il allait se passer quelque chose de plus sérieux et je ne me suis pas trompée. Pourtant tout avait commencé au contraire d’une façon banale. Kristopher était venu me voir, toujours avec ce regard « baladeur » et peut-être un peu inquisiteur, mais comme les autres jours, il semblait satisfait de ma tenue. Je ne souhaite pas m’attarder la dessus si ce n’est pour te dire que j’assume de plus en plus le fait de m’apprêter le matin dans le but premier de le séduire et de séduire, selon sa volonté …
Ensuite, je ne l’ai pas revu de la matinée, mais l’activité était assez soutenue ce matin et je n’en n’ai pas trop souffert. Je me souviens particulièrement d’un de ces collaborateur à ma disposition semblait plus attentif à la profondeur de mon décolleté qu’aux présentations faites. Visiblement il aurait aimé découvrir autre chose que des chiffres…
Mon Don Juan se manifesta, je reçu par sms une proposition de déjeuner ensemble.

C’était un lieu fréquenté essentiellement par de jeunes cadres « actifs » du quartier de l’Opéra. Il était visiblement fier de me faire passer pour sa maîtresse que je n’étais pas encore! D’un certain côté avec ce qui c’était passé entre nous, je savais bien que notre relation, malgré le quasi absence de contact direct, avait déjà quelque chose de puissamment charnel !
En marchant dans la rue à ses côtés, je constatai pour la première fois qu’il était très grand. Bien sûr je portais des talons assez hauts, mais il arrivait tout juste à sa hauteur. En nous regardant par bribe, il glissa sa main dans la mienne, comme si nous étions de jeunes amoureux, je ne pus m’empêcher de penser au contraste que nous formions aux yeux des passants qui nous croisaient sur le trottoir…
Lorsque je suis à tes côtés en public, j’ai l’impression parfois que nous offrons l’image d’un couple « équilibré » qui attire l’attention, un peu comme ceux qu’on voit dans les publicités. Je sais par expérience que tu as comme moi cette faculté de séduire d’emblée sans trop d’effort. Avec lui c’était différent. Je me rends compte que les regards plus encore qu’à tes côtés étaient focalisés sur moi. Il faut dire que j’étais habillée de façon sexy et presque provocante avec ma jupe courte et fendue du jour qui dévoilait un peu mes cuisses. Mais cela était dû aussi à l’effet de contraste de mon « amoureux » à la démarche élégante, la démarche qui trahissait un côté trop sûr de lui, accentué par le fait qu’il portait une chemise blanche cravatée surmonté d’un costume Boss . Sur son torse bombé reposait une chainette d’argent. La grosse montre qu’il avait à son poignet ainsi qu’un bracelet assorti à sa chaîne accentuait son aspect clinquant, un peu superficiel ou régnais l’ordre.

Il n’a rien des hommes qui m’ont jusqu’ici attiré, et peut-être bien que dans un autre contexte, je l’aurais trouvé ridicule. Mais aujourd’hui j’étais à ses côtés, il me tenait la main et je me sentais bien !

Ces regards qui sont plus encore posés sur moi en ces moments où je suis avec lui, finalement, ne sont pas pour me déplaire. Vous êtes différents, mais peut-être le changement, que c’est cela qui me rassure.
Avec lui, je ne me sens pas en compétition et les quelques coups d’œil sarcastiques que je devine, qui laisseraient penser que je suis auprès de lui pour quelques choses, me laissent dans l’indifférence. Bien sûr, il est « à l’aise » et cela a de l’importance pour moi et il faut avouer que cette aisance se traduit aussi par un comportement plus ostentatoire dans sa générosité pour moi. Je me surprends à penser comme toi, que notre personnalité est souvent faite de contradictions et que bien des souffrances résultent de ces confrontations subies entre deux désirs opposés. Je suis bien avec lui, je suis bien avec toi, mais être à vos côtés, indépendamment de la torture de devoir penser à ce que chacun penserait de l’autre, c’est aussi mettre en relation deux parts contradictoires de ma véritable identité et me mettre ainsi en face de mes propres lâchetés !
Je préfère vivre ces relations en parallèle en ayant la certitude de celle qui prendra le pas sur l’autre.
Pour revenir au déroulement de cette journée qui marque un tournant dans ma relation avec lui, nous nous sommes donc retrouvés au restaurant, pour la première fois longuement, l’un en face de l’autre.
Il m’a posé beaucoup de questions sur toi. Je ne lui ai rien caché de l’attachement et de l’amour que j’avais à ton égard et il en paraissait ravi ! Il l’était plus encore de constater, lorsqu’il a pris mes mains dans les siennes, que je ne me dérobai pas. Il ne savait pas combien j’attendais cet instant d’un contact prolongé avec lui, combien je me sentais heureuse de pouvoir plonger mon regard dans le sien tout en buvant ses paroles si flatteuses.
• — Vous ne pouvez pas savoir ce que cela représente pour moi, de partager ce précieux moment auprès d’une femme aussi belle que vous. Au risque de vous choquer, dès que je vous ai vue, je vous ai imaginée d’une façon précise… entièrement nue devant moi ! Comme si vous étiez l’apparition de la femme parfaite que j’ai toujours espéré rencontrer. J’avais l’impression de lire en vous un désir irrépressible que j’avais jusqu’ici gardé enfoui en moi. J’ai connu, je dois l’avouer, beaucoup de femmes, mais en vous voyant debout si proche, j’avais comme la révélation pour la première fois de percevoir ce qu’est vraiment la féminité.
Bien sûr, au fond, j’ai pensé que ce discours, il l’avait tenu avec bien d’autres femmes et je devine ta conviction à se sujet. Mais j’avais terriblement envie de le croire ! Comme la chaleur de ses mains, c’était une chaleur si douce qui m’enveloppait toute entière, jusqu’au bout de mes pieds. J’ai ressenti alors un léger picotement délicieusement sensuel qui bientôt fut perceptible à la pointe de mes seins frottant de plus en plus mon chemisier, presque à le tendre…
Je ne sais plus, par moment de raisonnement, je me crois folle, que je te raconte là des histoires de midinettes. C’est peut-être vrai. Mais je craque d’envie pour lui !
Tout doucement, il m’a demandé de me déchausser, pour moi aussi lui offrir la jouissance d’une « douce chaleur », celle du plat de mes pieds gainés de soie, caressant les siens.
Nous sommes restés longtemps comme cela après le dessert, pour en savourer un plus succulent encore, celui de ce plaisir tactile, sensuel, éminemment sexuel aussi, comme si malgré la table qui nous séparait, nous ne formions qu’un, dans l’entrelacement de nos mains, les caresses de nos pieds presque nus…
Comme précédemment, j’étais soudainement possédée d’un désir terriblement violent et irrationnel. Un instant j’eu la vision exquise de cet homme se jetant sur moi pour m’arracher mes vêtements et me pénétrer à même le sol. Ce qui me tira de ma rêverie, c’est le regard de concupiscence avide qu’il porta clairement sur moi comme s’il était au même instant animé des mêmes intentions.
Je ressentis dans tout mon être ce qu’il m’avait dit tout à l’heure. C’était comme si j’étais vraiment nue devant lui ! Il semblait deviner avec une telle ardeur ce que dissimulaient mes vêtements que je me sentis plus impudique encore, ici au milieu de ce restaurant, que si je m’étais retrouvée dans le plus simple appareil dans un lieu plus intime.
• — J’ai envie que nous partions d’ici !… Voulez-vous venir dans mon bureau ?
Cette phrase suscita chez moi un sourire involontaire lié au souvenir des douces paroles, pas si lointain, où il me conviait pour la première fois à pénétrer dans son lieu de travail. En revenant dans la rue, main dans la main, j’aurais voulu encore ignorer la présence des passants pour le voir réaliser un désir fou : qu’il vienne glisser ses doigts chauds et humides sous ma petite culotte, qui l’était bien davantage !
Quelques instants plus tard, c’est précisément dans son bureau que nous nous retrouvions et que je me dis qu’enfin il allait faire cesser mon supplice. Mais au lieu de se jeter sur moi, il me demanda à nouveau de m’asseoir et s’installa dans son fauteuil ! Je me trouvais démunie. Je ne savais ce qu’il attendait ! J’avais tellement à lui offrir.
Au bout d’un instant qui me paru interminable, il fit glisser son siège vers le mien pour se retrouver assis face à moi. Il se baissa alors et pris délicatement ma cheville droite pour la relever avec la même attention que celle que l’on porterait à cueillir une fleur fragile. À vrai dire, je ne me sentais plus du tout forte à ce moment là, et je me serais bien laissée cueillir toute entière. Pour l’instant il ne semblait convoiter que l’extrémité de ma jambe. Il se mit à me masser délicieusement la cheville, remontant doucement jusqu’au mollet et au pli du genou mais, alors que je pensais qu’il allait pousser son investigation plus loin vers un territoire qui ne demandait qu’à être exploré, il redescendit à ma cheville pour la libérer de la fine lanière qui la couvrait ! Il fit glisser ensuite ma chaussure qui tomba doucement en un bruit feutré sur la moquette et se mit alors à me masser la voûte plantaire du pied, procurant chez moi une sensation à la puissance érotique des plus exquises !
D’un côté, j’aurais souhaité que ce moment dure une éternitée, et en même temps je voulais qu’il me pénètre. Je me surprenais alors à imaginer son sexe et c’est le moment qu’il choisit pour me mettre en contact avec lui.
Il approcha un peu plus son siège et souleva encore mon pied pour le faire glisser entre ses cuisses qu’il venait légèrement d’écarter. Je ressentis alors à travers le tissu de son pantalon son membre en érection, à la fermeté pour moi véritablement flatteuse. J’avoue que cette sensation de pouvoir sentir sa verge sous mon pied était des plus agréables et que ce contact électrisait tout le bas de mon corps, lorsque je fis glisser, dans un mouvement régulier, mes orteils le long de sa braguette. Bien sûr, le relief que je découvris ainsi, et que j’imaginai venir bientôt en moi, n’était pas d’un volume spectaculaire ! Son sexe paraissait plus court que le tien, mais aussi plus massif dans la circonférence, à l’image du reste de sa corpulence.
Sans même m’en rendre compte, j’étais bien en train de le branler ! En vérité, c’est l’étreinte de plus en plus forte de sa main sur ma cheville, pour accompagner et accélérer le mouvement de ma jambe, qui me fit m’en rendre compte.
C’est alors que je pris l’initiative de me libérer de sa main pour ôter ma seconde chaussure et venir blottir, bien au chaud, mes deux pieds contre son sexe. J’osai ainsi avec une certaine témérité soutenir son regard sans bouger, comme si soudainement je me sentis la force de prendre la direction des opérations. J’écartai légèrement les cuisses pour lui offrir, de façon plus avantageuse, une vue sur ma petite culotte.
Je saisis l’occasion, tant j’étais parvenue à capter son regard à la naissance de mes cuisses, pour reprendre un massage lascif de sa verge bandée, en faisant cette fois coulisser l’intérieur de mes pieds. Dans le silence feutré de la pièce, le crissement de mes bas contre son pantalon ne faisait qu’attiser l’atmosphère puissamment érotique qui se dégageait de notre petit jeu, plus du tout innocent.
Pourtant, au moment où je t’écris ces lignes, je ne me suis pas encore donnée physiquement à lui. Je veux dire que nous n’avons pas fait totalement l’amour. Il s’en est presque excusé. En fait, c’est lui qui a très vite repris le contrôle, en me demandant seulement de le branler ainsi jusqu’à la jouissance !
Il a voulu me rassurer en m’affirmant qu’il n’était pas fétichiste, qu’il souhaitait faire durer le plaisir !
Il m’a aussi juste demandé de me masturber ce soir-là de la façon la plus débridée en pensant très fort à lui, et de lui en rendre compte dans ma prochaine lettre.

Mon cœur, je te quitte… pour savoir que je vais te retrouver dans quelques jours afin que tu me fasses l’amour comme je l’adore. À ce moment, je ne t’ai pas encore fait totalement cocu, mais je pense que dans cette nuit où je vais me laisser savourer particulièrement le contact de mon corps, je vais franchir un pas de plus, car c’est à lui que je penserai…



Samedi 07 Avril


Mon chéri,
Hier soir, j’aurais voulais me donner entièrement à lui. Une envie « d’allumer », c’est toi qui ma poussée à être plus provoquante, et je dois dire que je prend gout à ce désir… Vêtue de ma nuisette transparente dans cette chambre d’hôtel, en dessous de laquelle je ne portais aucun sous-vêtements. Cela m’excitait de me dévoiler à demi nue devant le miroir en pensant que j’attisais son désir par la vision mon corps, celui-ci même qui, te troublait tellement… J’aurais tellement désirée sa queue qu’il n’aurait pas valu qu’un homme frappe à ma porte…
Alors je me suis laissé imaginée qu’il me regardait avec complaisance… j’aurais aimé qu’il soit la qui me voie ainsi, quasiment nue, et déjà je me prenais à l’imaginer en moi, dans mes entrailles.
Bien plus que d’habitude, j’ai fermé les yeux quand mes doigts ont parcourues ma grotte. Je ressentais son odeur et le grain soyeux de sa peau, je pensais à lui autant qu’il est possible. Avec un effort de concentration sur le zéro, se qui témoignait de la force de mes convictions, je me plaisais à m’imaginer m’abandonnant à ses caresses, et laissant pénétrer mes chairs intimes de son sexe humide et chaud !
J’ai jouie comme jamais et de nombreuses fois, ma liqueur débordait allégrement de ma chatte, tachant les draps de mes soupirs soutenus, de mon corps cambré, je me suis gouté de mes doigts, cela t’aurait plu ! J’espère, de mes cris ne pas avoir dérangée mes voisins de chambrées…
Ce matin, j’étais plus heureuse encore de reprendre le travail. Je n’avais jamais connu auparavant ce délicieux privilège d’être payée pour faire ce que j’adore le plus au monde : me satisfaire et satisfaire au mieux les volontés des êtres que j’apprécie.
Chaque jour, il me faut trouver des vêtements appropriés qui puissent séduire, attirer les regards, sans jamais franchir les bornes de la vulgarité… Par contre comme tu as dû t’en apercevoir, j’ai emmenée avec moi mes sous vêtements ouverts de chez Lola…Depuis que j’ai ce travail, tu as sans doute remarqué à quel point j’accorde de l’importance à mon apparence, et le temps que j’y consacre avant de partir le matin. Et encore, tu ne sais pas la plupart du temps…ce que je porte en dessous.
J’ai pour ma part bien compris le message de mon séduisant collaborateur, Kristopher attend de moi par ces allusion de tact que je sois plus féminine encore lorsqu’il s’agit des vêtements que lui seul sera, s’il le souhaite, amené à découvrir… Il prétend qu’en portant une lingerie des plus sexy, je suis plus performante encore dans mon pouvoir de séduction vis-à-vis des hommes. Je sais également que si tel est son désir, je serai capable de ne rien porter en dessous…
Mais pour l’instant en tout cas, il accorde une extrême attention à ce que je choisisse une lingerie intime.
Ainsi dès ce matin, il a souhaité que je le rejoigne à son bureau. Et à l’instant où la porte s’est fermée, il m’a demandé de venir tout près… J’étais intimidée, surprise, mais aussi flattée d’attirer son attention.
• — Je ne vous ai pas dit à quel point j’apprécie le port altier de votre buste, la beauté que je devine et en partie que je vois de vos seins… Aujourd’hui, j’aimerais faire connaissance un peu plus avec eux…
Ces propos, comme tout ce qui émanait chez lui d’un désir à mon égard, diffusaient en moi comme une douce chaleur.
Je ne me vivais plus alors comme l’employée de mon supérieur, mais comme la femme mariée qui s’apprêtait à succomber aux exigences que lui soumettrait son nouveau maître. L’une de celles-ci étant, qu’à travers la rédaction de ce courrier que je t’adresse, l’esprit conscient que la relation que j’ai avec cet homme n’est pas anodine. Que dans ce jeu délicieusement pervers qui se développe entre Kristopher et moi, il y a avant tout une relation adultère… Avec la saveur singulière de l’interdit…le plaisir que je dois avouer d’avoir à te tromper, même si, je te le rappelle, c’est sans volonté de te faire souffrir, bien au contraire…
Je n’aurais jamais imaginée la satisfaction profonde, attisée par ce léger sentiment culpabilisée et d’insécurité, que toi, mon petit mari chéri, tu me procurerais indirectement par ton désir de caudillismes.
Comment t’expliquer à toi le plaisir que je retirais de la conscience pleine et entière que j’étais en train de te faire cocu ?
J’aimerai être avec toi dans cette lecture rien que pour voir tes réactions… J’ai malgré toute une petite idée sur la question.

J’ai retiré mon chemisier, le cœur battant la chamade. Il a pu dès lors entrevoir ma poitrine aux pointes moulées dans la dentelle, ce que tu aimes tant et dont tu sais également que je suis si fière… Un peu par orgueil et dans le désir de retrouver les sensations que j’éprouve à exhiber mon corps nus sur la plage, j’ai ôté l’agrafe de mon soutien-gorge… Mais d’un geste ferme qui m’a surprise et un peu déstabilisée, il a bloqué mon bras !
• — Je ne souhaite pas que vous me montriez tout ! En tout cas, pas tout de suite… Je veux d’abord apprendre à les découvrir, à les apprivoiser…
Et pendant qu’il me disait cela d’une voix assurée mais douce, il s’est levé et m’a serrée dans ses bras très fort tout en m’invitant à me rajuster…
Tout cela, comme le contact de son torse contre le mien, m’excitait terriblement et je sentis mes petits mamelons gonflés contraints par l’armature de ma parure de dentelle, plus fermes et imposants que jamais. Cette sensation d’être trop à l’étroit avec une pièce de vêtement que j’avais pourtant l’habitude de mettre avec toi me révélait le trouble physique particulier qu’il était le seul capable de provoquer en moi.
J’avais l’impression de vivre une véritable métamorphose, comme si une part cachée de ma féminité se développait à son contact ! Curieusement, ce sentiment trouble de sentir ma poitrine serrée dans mon vêtement sexy me donnait l’impression d’être plus impudique encore que si j’avais été nue.
J’éprouvais, dans ce contact inédit de ma chair, à la fois le contour enveloppant de l’armature et le dessin des motifs de dentelles qui laissaient entrevoir bien des aspects de ma poitrine.
Il ne pouvait pas échapper à l’observateur avide que j’avais devant moi que mes tétons, dont la pointe tendaient le tissu, exprimaient un désir puissamment érotique envers lui !
Son attitude encore fut différente de celle que j’attendais… Au lieu de s’approcher pour me sucer les mamelons que je m’apprêtais bien volontiers à lui offrir, il m’observait sagement et esquissa tout juste un geste timide qui frôla à peine et brièvement ma poitrine. Mais ce contact furtif provoqua chez moi un plaisir d’une force étonnante et je ressentis instantanément sur tout le corps un agréable frisson…
Il baissa alors la tête, pour la blottir entre mes seins, alors qu’il semblait vouloir savourer l’odeur qui se dégageait, mêlée de senteurs parfumées au creux du sillon accueillant de ma poitrine…
Après quelques minutes de pure tendresse où son visage semblait vouloir trouver refuge contre moi, il parut vouloir inverser les rôles. Une fois assis dans son confortable siège de bureau, il me fit comprendre d’un seul geste qu’il souhaitait que je vienne sur ses genoux. Je n’avais aucune raison de lui témoigner la moindre réticence… et en un instant j’avais mes cuisses posées sur les siennes !
Le bonheur que j’avais à être simplement là, sur ses genoux, avait quelque chose de presque enfantin. Il y avait une part d’innocence en une attitude qui pouvait sembler naturelle… J’avais envie d’être contre lui, comme il semblait avoir envie d’être contre moi… Mais cette posture et ses manières sucrées perdirent de leur naturel dès qu’il glissa sa main entre mes cuisses à la recherche d’une autre chaleur moins innocente !
À la sensation de ses doigts contre mon string ouvert déjà passablement humide, je savourais pour la seconde fois ce contact directement sexuel !
Je me sentais curieusement toute petite et un peu honteuse, car je savais que les lentes caresses qu’il me prodiguait ne dissimulaient plus rien de mon état d’abandon à la moindre de ses exigences.
Littéralement, je me sentais fondre sur lui. Je savourais avec délectation le fait qu’il me branle avec une si grande douceur, un peu comme aurait pu le faire la seule caresse du vent… vu l’état dans lequel je me trouvais déjà, prête à réagir à la sollicitation des plus légères ! Il avait, pendant ce temps, approché sa bouche. Du bout de la langue, délicatement, il s’est mis à laper le bout d’un de mes seins, ce qui provoqua en moi des frissons aussi inattendus que délectables…
Sans même m’en rendre compte, et peut-être, au début, tout juste pour chercher un soutien, j’avais glissé ma main dans son entrejambe contre la couture du pantalon… De la façon la plus naïve et, pour une fois, sans attendre sa permission, j’ouvris habilement sa braguette et introduisis mes doigts à l’intérieur de son slip. Son sexe était dur et large, déjà chaud et très gluant dans le creux de ma main. Curieusement, j’avais envie de le dorloter comme on le fait d’un animal familier. En même temps, sa consistance me plaisait. Elle était là, coincée entre mes doigts, enfin, je la découvrais. Nos rapports de domination semblèrent s’inverser. De la femme un peu timide et soumise qui s’était blottie sur les genoux de son maître, je me sentais devenir la maîtresse d’un jeu érotique et pervers où c’était moi qui le dominait, assise sur lui et possédant au creux de ma main l’objet de sa possible jouissance.
Mais je n’avais pas l’intention de le faire souffrir bien longtemps en le plaçant dans une intenable attente. Sa mandibule m’inspirait plus que tout de l’affection et je me mis à la caresser sur son long avec autant de douceur et d’application qu’il en mettait maintenant à flatter mes seins de sa bouche et de sa langue légèrement râpeuse…
Nous étions en train de nous masturber l’un l’autre, mais cela était venu avec un tel naturel et une telle douceur que cet échange de caresses avait encore la saveur d’une relative innocence, hormis le fait que ce contact émanait aussi d’une femme mariée, jusqu’ici, en tous points honorable…
Par moments, il glissait son visage dans le creux de mes seins pour y frotter son joli nez, me léchant au plus profond de ce que lui offrait mon décolleté… Ses petites mains un peu massives avaient entrepris, d’une façon que je dois avouer à la fois habile et tout à fait agréable, de caresser au travers du tissu mes mamelles qui me semblaient être devenues encore plus gonflées que tout à l’heure !
Sa verge commençait flatteusement à réagir à mes caresses manuelles et occupait maintenant un volume tout à fait des plus convenable, peut être aussi longue que la tienne, mais surtout beaucoup plus large, surtouts son phallus.
Alors que je chatouillais ses bourses du bout de mes doigts qui glissaient et se faufilaient humidifiés par son prés-sperme, son gland m’arrivait désormais au poignet, il était maintenant humecté d’un chaud liquide fluide coulant sur la hampe, prémisse, sans aucun doute, d’une prochaine sécrétion plus onctueuse et plus épaisse…
Mais à nouveau, je ne contrôlais plus vraiment la situation. Il avait glissé son majeur dans ma culotte et pénétré ma fente d’amour… Son doigt me baisait d’une façon sublime et sa paume massait divinement mon clito…
Aussi je m’étais lovée plus encore contre lui et, ayant relevé les jambes, le bas de mon corps n’était plus en contact avec lui que par mes fesses qui se frottaient à ses cuisses au rythme de ses caresses.
Au bout de quelques minutes, la crème épaisse et gluante qui recouvrait ses doigts m’annonçait l’explosion de nos jeux érotiques. Mais je fus bientôt surprise par la brusquerie avec laquelle il arrêta de me branler…pour me glisser doucement à l’oreille, et j’ai encore l’impression de ressentir le souffle de son haleine, ces mots qui firent tressaillir mon corps abandonné :
• — Retirez votre culotte ! Je veux la garder tout humide avec moi…et que vous rentriez à votre hôtel cul nu sous votre jolie jupe…
Terriblement frustrée par l’interruption soudaine de nos ébats, je me mis à faire glisser la pièce de dentelle effectivement humide et odorante… Il la porta alors à ses lèvres et à ses narines, comme s’il voulait s’imprégner profondément de ma saveur de femme ! Il me regardait désormais droit dans les yeux, et son beau regard noir me donnait le vertige. C’était comme s’il parvenait à absorber une partie de moi, comme si je devais lui avouer qu’aujourd’hui, après ce qui venait de se passer…j’étais encore plus « sa chose », la petite épouse modèle d’un autre, soumise à ses moindres caprices…
Je me sentais possédée ! Comme on l’est d’un être cher… ou d’un démon ! Moi qui habituellement détestait cela…

Alors que je termine cette lettre, avec étonnement, sans me soucier de l’hygiène et selon sa volonté posé mes fesses nues sur la banquette en cuir du café. Vision de mon état d’excitation et la chaude liqueur qui doit perler encore de mes lèvres intimes, je pense que celui ou celle qui me succédera sur cette banquette se posera peut-être quelques questions… Un jeune homme en face de moi, les yeux bas sous ma table ne me quitte pas des yeux, son ardeur de jeunesse me fait sourire.
Toi mon époux, si tu étais là près de moi et curieux, je crois que toi aussi tu aurais ta petite surprise, s’il te venait l’envie de glisser tes mains sous ma jupe !


Ta femme, ton épouse, qui t’adore… Sur le point de te tromper pour notre plus grand bonheur à tous les deux.




Lundi 08 Avril


Mon cœur,

Mon excitation qui n’était en rien retombée ! Il faut dire qu’après ces « coquineries » échangées avec Kristopher, le fait de me balader dans la rue avec la sensation d’être nue sous ma jupe avaient fini de me mettre dans tous mes états !
Je me suis rendu compte que c’était dû au lien particulier qui me liait désormais à lui et à toi… Je ne pourrais pas lui raconter… comme je ne pourrais pas te l’écrire, la surprise naissante telle que je l’aurais lue sur ton visage. Je ne pourrais pas lui parler des soupçons que tu aurais certainement exprimés à mon encontre…
Ma soirée a été ponctuée de longue masturbation, mais j’ai un besoin urgent de son chibre…

Ce matin, une fois encore, à peine étais-je arrivée Berlin qu’il m’a appelée dans son bureau… Il m’a alors fait chercher une de mes lettres dans mon coffre personnel pour que je la lui lise.
Ce fut un moment merveilleux où j’avais l’impression que le temps était suspendu ! Ce n’est pas que mon écriture puisse avoir quoi que ce soit d’exceptionnel… mais m’entendre lui parler, alors que je parlais à toi, provoquait en moi un trouble indicible. J’avais beaucoup de peine à ne pas rougir lorsque j’arrivais à ces passages où je parlais sans détour de mon désir pour lui. Alors qu’il était là, impassible au fond de son fauteuil, un léger sourire aux lèvres, je le devinais en train de déguster mes paroles… et puis quand j’ai terminé ma lecture, il s’est levé.

• — Une fois encore vous avez été parfaite ! Vous savez répondre exactement à ce que j’attends de vous ! Être fidèle à votre infidélité… C’est tellement beau de vous voir assumer comme vous le faites, de tromper votre mari… C’est comme le tromper une seconde fois ! Je sais à quel point je perce votre intimité, lorsque vous me lisez ces lettres qui lui sont adressées… et j’adore ça !

Et puis il se remit à me dévisager de la tête aux pieds, ce qui devenait un rituel entre nous, avant qu’il ne me demande une faveur…

• — Hier, j’ai adoré sentir vos fesses contre mes cuisses, surtout lorsque vous étiez complètement lovée contre moi et que je recevais tout le poids de votre corps par la pression de votre cul ! J’ai envie maintenant de le voir et de le remercier à ma manière !

Il n’en fallait pas plus pour que je lui tourne le dos et que je soulève ma jupe afin de lui offrir le spectacle de mes petits globes fessiers à peine couverts de la ficelle de mon string couleur noir et si absente qu’elle pouvait donner un instant l’illusion que j’étais les fesses à l’air ! Il me dit apprécier le contact l’absence d’étoffe lorsqu’il entreprenait de me caresser la croupe. En vérité sa caresse était si appuyée qu’il s’agissait plutôt d’un massage qu’il s’appliqua à prodiguer à mon mont de vénus glabre d’une façon intense. C’était à tel point vrai qu’il devait pouvoir découvrir en toute impudeur à chaque pression le relief savoureux et fripé de ma petite rosette.
Cette fois, ses gestes étaient moins tendres encore et je me rendais compte que cette brutalité comblait totalement mon désir. Celui d’être violentée, pénétrée par celui que je considérais, dès lors, comme mon maître en amour ! Je n’allais pas être déçue !
Sans aucun préliminaire, il me pénétra de son annulaire ! Et pour la première fois, je me surpris à parler sans plus rien contrôler de mes propos lubriques :

• — Oh oui, je vous en prie! C’est tellement bon! N’arrêtez pas… n’arrêtez pas, je vous en prie !

Un moment, je perçus ces propos comme ridicules, comme issus d’un mauvais film X… et puis je me suis rendu compte que cela finalement l’excitait.

• — Vous aimez ça que je vous branle l? Vous êtes une petite épouse vicieuse ! Qu’est-ce que dirait votre mari s’il devait vous voir comme ça ?
• — Je ne peux pas… Je ne veux pas que ça s’arrête, je n’en ai pas la force ! Je vous en supplie ! Je ne veux pas qu’il me voie ! Dites-moi que ce n’est pas vrai ! Dites-moi qu’il ne peut pas me voir !
• — Et pourquoi n’aurait-il pas le droit de voir sa petite femme chérie se faire doigter par un autre? Il a le droit de connaître la vérité !

Je ne savais plus où était la part de jeu dans ce dialogue totalement irréel alors que, sous l’effet du plaisir qui montait en moi, j’étais désormais incapable de prononcer une phrase sans pouvoir m’interrompre…

• — Finissez-en ! Je n’en peux plus…
C’est alors que quelqu’un frappa lourdement à la porte et je me sentis soudainement prise d’une peur panique ! J’aurais voulu me dérober, mais il m’attrapa la nuque pour me faire basculer plus en avant, mes fesses étant relevées dans une position plus obscène encore !

Ce que j’entendis alors me glaça littéralement :

• — Entrez donc !

J’étais comme paralysée, les jambes écartées et tendues, en train de me faire masser le vagin par Vincent, et brusquement je me disais que c’était toi… que l’amant m’avait tendu un horrible piège qui témoignait bien de son esprit pervers et plutôt torturé !

Lorsque la porte s’est entrouverte, je ne savais plus où me mettre ! Je venais de croiser le regard d’un de ses collègues, qui apportait seulement un document. Il me parut d’un calme désarmant, il me regardais souriant et me détaillant, mais comme s’il n’était pas surpris de découvrir la vision de ma conque parfaitement lisse, de ma vulve perlée d’humidité, on distinguait même le capuchon proéminent de mon clito… Il quitta la pièce, avec cette prestance qui lui semblait décidément naturelle…

• — Pourquoi avez-vous fait ça ?
• — Parce que j’avais envie de mesurer à quel point vous étiez à moi… Je voulais me rendre compte si vous pouviez vous dérober par peur… et puis j’ai vu que, malgré votre volonté, vous n’en étiez pas capable !

Il avait décidément une assurance qui frôlait l’arrogance ! Mais je ne lui en voulais pas…j’avais finalement envie qu’il me parle ainsi… En définitive, le fait qu’il nous ait découvert, qu’il ait vu que j’étais sa maîtresse, ne me perturbait pas plus que cela… C’était un peu comme si cette aventure, dont je me demandais jusqu’ici si elle n’était pas seulement l’objet de mes rêves, venait de s’ancrer dans la réalité. Ma relation adultère n’existait plus uniquement par le secret que nous partagions, lui et moi, elle devenait désormais concrète, puisqu’il y avait maintenant un témoin, et je savais que sa charmante secrétaire qui était à proximité, ne pourrait longtemps ignorer ce qui ce passait…
A mon départ, sa secrétaire m’interpela discrètement me glissant un petit paquet et une enveloppe à mon attention, j’éprouvai finalement un sentiment de honte mais aussi de tendre complicité envers elle, elle qui maintenant savait !
Dans ma chambre j’ouvris l’enveloppe, Vincent m’indiquais pour le lendemain matin de m’équiper du cadeau, le regard posé sur l’emballage, je le pris et l’ouvris en découvrant des boules de geisha assez lourde qui semblait faites d’or, ornées d’inscription chinoise…

Je pris un douche qui me débarrassa de toute trace suspect de l’après-midi, enroulée dans un peignoir comme mes cheveux dans une serviette, à cette instant la porte sonna, un Asiatique en blanc, brun et de taille moyenne se tenait debout dans l’échancrure un grosse valise à la main et une table pliante sur un chariot à sa droite, aux allures médicalisées, il rentra après un bonsoir et sans aucunes explications, comme par automatisme il installa se qui ressemblait à une table de soin directement sur le lit, et enfin il m’indiqua qu’il venait de la part de Kristopher….
Souhaitant se laver les mains je l’ai accompagné à la salle de bains. Comme hypnotisée, je l’ai regardée faire, puis il s’est tourné vers moi avec son regard charmeur. Il s’est approché et lentement, contre toute attente mais avec beaucoup de délicatesse, il a commencé à me déshabiller de mon peignoir et de ma serviette, j’essayais de le stopper lui demandant une minute pour enfiler des dessous, mais il me répondu que je n’en avais pas besoin. Je n’espérais pas lui faire comme un petit strip-tease auquel je m’étais nullement préparée. Instinctivement j’ai porté mes mains ma poitrine et mon sexe.
Me prenant par la main, il m’a conduit à ma chambre. Je me suis allongée sur la table recouverte d’un drap blanc sur le ventre, il a placé des coussins pour que je sois plus à l’aise et il a entrepris le massage.
J’avais l’impression de flotter dans les airs, de me voir d’en haut. Il était debout à mes côtés, tantôt plus allongé sur moi et je sentais alors son sexe qui me semblait tendu qui me frôlait. C’était véritablement enivrant, excitant et relaxant. Au cours du massage qui m’a semblé durer une fraction de seconde, je me suis assoupie. Il me massait et me caressait partout, variant les pressions et le rythme.
Je sentais bien que de plus en plus je devenais une fontaine. Ses caresses sur mes fesses et ses mains entre mes cuisses faisaient s’ouvrir et se refermer mes petites et mes grandes lèvres sans jamais qu’il n’y touche. J’entendais par moment jusqu’au clapotis de mon sexe. Je me sentais complètement offerte, impudique mais tellement heureuse. C’était insupportable de plaisirs, j’étais au bord de la jouissance, j’aurais voulu que Kristopher me prenne là maintenant…

• — Quand vous serez prête, retourne-vous sur le dos

Prête à quoi ? Quelle façon troublante et ambigüe de me parler. Cela faisait des jours que j’étais prête, prête à tout et là plus encore que jamais. Ces simples mots m’ont électrisé. Je suis restée encore un court instant sur le ventre, histoire de faire durer davantage cette rencontre, me remémorer tous les bienfaits tout juste acquis et savourer la suite par anticipation.
A peine remise de mes émotions après ce massage où j’étais sur le ventre, et comme il m’avait invitée à le faire je me suis retournée pour me placer sur le dos. Curieuse et avide de voir son état je l’ai contemplé mais il se tenait debout, le dos tourné pour se verser une nouvelle dose d’huile aux creux de ses mains. Son corps me plaisait beaucoup, j’aurais voulu à mon tour le masser. Pour me calmer je me suis tournée vers le plafond. Il a d’abord posé une main juste au-dessus de mon pubis imberbe et l’autre au-dessus du nombril, sans bouger. Puis dans un geste tournant il a fait glisser ses mains sur mon ventre et il a inversé la position de ses mains. Ayant ainsi appliqué l’huile, il a réajusté les coussins sous les pieds en les levant et les écartant bien davantage. Cela a eu pour effet de m’ouvrir à nouveau le sexe qui devait être extrêmement lubrifié. Bien qu’il fasse chaud dans la pièce, je sentais du frais entre mes jambes et cela contribuait à m’exciter.
Après avoir repris de l’huile il s’est installé entre mes jambes, m’écartant encore davantage les cuisses. Il a commencé à me masser délicatement les épaules, le buste, la poitrine, le ventre. De temps en temps, sentant son corps se rapprocher de mon sexe je relevais imperceptiblement les fesses pour tenter d’y recevoir des caresses. Enfin le massage a vraiment pris tout son sens. C’était absolument exceptionnel de sentir de telles mains sur mon corps ; il alternait parfaitement les pressions, les effleurements, les palpés,… un vrai délice. Je me suis parfaitement détendue, ne pensant plus à rien du tout, jusqu’à presque m’assoupir. Lorsqu’il s’est « attaqué » à mes jambes, j’ai réalisé l’incongruité de la situation. Je me trouvais seule, avec un homme dont je ne connaissais pas l’identité, qui me massait maintenant l’intérieur des cuisses avec une extrême sensualité. J’étais très troublée, partagée entre des sentiments tout à la fois mêlés de crainte, de plaisir, de culpabilité. Il était trop tard, je n’allais pas tout arrêter d’autant que sa conduite était totalement conforme à sa profession.
Ouvrant les yeux par moments, je pouvais voir sa concentration. Mais aussi et surtout j’ai vu enfin son sexe au travers du tissu, droit et fier, gonflé à bloc. Cette image avait un caractère obscène mais radicalement attractif ; je crois en avoir bavé d’envie de le sucer, je ne me reconnaissais plus…
Il changea de position et vient se mettre les genoux autour de ma tête pour continuer le massage du ventre. À chaque passage descendant, il devait se pencher et je pouvais humer son sexe, sans jamais pouvoir l’atteindre complètement. Cela devenait de plus en plus insupportable tellement c’était excitant. Mes seins étaient durs et tendus, chaque effleurement de mes tétons était un ravissement qui se répercutait dans mon bas ventre. Peu à peu je commençais à sentir cela extrêmement excitant et ma respiration devenait saccadée. Chaque passage sur mon pubis me faisait cambrer pour tenter de sentir au moins une fois ses doigts en moi ne serait-ce que par surprise ou par égarement. Il changea une nouvelle fois de position pour me masser les pieds, les jambes puis et surtout l’intérieur des cuisses. Il semblait vouloir en écarter les lobes, si bien que je ressentais de la fraîcheur au niveau de mes lèvres. J’ai pris conscience que cela avait aussi pour effet de les écarter, laissant sans doute s’échapper un peu de ma mouille ; le bruit provoqué ne me laissait plus de doute, pas plus que les effluves que je sentais assez nettement Cette masturbation externe et à distance qu’il me faisait sentir, par l’ouverture et la fermeture de mes lèvres, après toutes les attentions précédentes et toutes les tentations, me fit jouir intensément et comme cela ne m’était encore jamais arrivé. J’ai joui pendant longtemps. Je n’en pouvais plus de jouir à la limite d’en perdre connaissance.
Et pourtant pas une seule fois il ne m’a touché le clitoris, ni pénétré mon sexe ni appliqué sa langue. J’étais définitivement comblée. Je crois que cette jouissance soudaine, brutale, excessive, extrême l’a également surpris. Et c’est très tendrement et respectueusement que j’ai tendu ma main vers son bat ventre franchissant les barrières de textiles, il est venu naturellement à mon contacte, de son gland j’ai senti perler une goutte de son plaisir, et c’est instinctivement que j’ai porté mon doigt humidifié à ma bouche, pour l’essuyer probablement. Sans prendre garde, j’ai goûté à son sexe et j’aimais ça !
Le temps de me remettre de ses émotions, je n’étais pas complètement exténuée. Au contraire il me semblait que je regorgeais soudain de vitalité et de désirs. Je l’ai emprisonné entre mes doigts. J’ai commencé à le caresser sur la longueur. Mes caresses le faisaient frémir, je le sentais vibrer et je le désirais au plus profond de mon intimité.
Mais avant cela je souhaitais le goûter comme une première fois et même davantage car j’avais pris souvent plaisir à le faire à mon mari. En un mouvement je me suis retournée et je l’ai pris en bouche. C’était délicieux, énormément bon. J’ai pris tout mon temps pour explorer ses bourses soigneusement épilées. Un sexe masculin sans poil c’est tellement plus sain, plus agréable à caresser et à lécher. Je comprends mieux l’attente des hommes de voir leur femme intégralement épilée. Manifestement le masseur était ravi de ce traitement. J’ai réalisé qu’à son tour il pouvait voir aussi mon intimité et j’ai senti alors ses doigts s’égarer enfin dans ma grotte. Il me fit jouir ainsi une seconde fois tout aussi incroyablement et sans prévenir ! Tout à ma jouissance et pour retrouver ma respiration, j’ai lâché le sexe de mon masseur, laissant seul ma bouche au contact. Il était toujours aussi tendu, vibrant et sans doute au bord de l’explosion. Il n’a pas tenté de s’enfoncer davantage dans ma bouche, comme je le redoutais aussi ! J’allais à mon rythme, au gré du plaisir que je prenais et qu’il me donnait; il n’avait pas perdu de temps en introduisant deux doigts en moi.
Je désirais à nouveau de jouir, et aussi sentir son sexe en moi, lorsqu’il étendit le bras vers la poche de sa veste toute proche pour en sortir un préservatif. Il me dit alors que si je le souhaitais, il aimerait beaucoup s’introduire en moi… j’en fus flattée et je changeais de position pour lui montrer mon accord.
Il posa son préservatif et présenta son sexe devant le mien. J’avais trop attendue, je n’en pouvais plus, j’avais un désir immense de jouir, d’être pénétrée, de sentir son sexe en moi. Je lui pris en l’introduisit profondément en moi. Je jouis presque immédiatement avec une violence incroyable, et aussi je n’avais jamais connu cette sensation de vide total, de perte de conscience bien qu’éveillée, de décharge liquide en moi… rien de comparable avec mes masturbations ou les jouissances obtenues avec mon clitoris.
Mon Asiatique se vida en moi, remplissant son préservatif du liquide brulant et je pouvais sentir le battement de son cœur au travers de sa queue.
Il m’a alors déclaré que le massage était terminé. Il est alors retourné à la salle de bains pour prendre une douche. Je l’ai naturellement rejoint et je me suis frotté à lui tant que j’ai pu alors qu’il bandait encore très fort. Jamais mon comportement ne c’est traduit de cette manière, à croire que j’étais nymphomane, ne pouvoir résister à prendre son sexe en main, et le diriger de nouveau vers ma grotte en dépit de toute précaution. Mais il a sagement évincé l’entrée. Nous nous sommes savonnés et séchés ensemble.
A ce jeu là, bien est pris qui croyait prendre ! Je m’en veux de l’avoir laissé ainsi et qu’il m’ait laissée ainsi aussi.

Ce fut un nouveau massage mémorable dont seul il semblait avoir le secret.

Bonne nuit amour.

A suivre....
#979557
Mardi 9 Avril


Mon cœur,

Cela ne fait qu’une semaine que ma vie n’est plus la même, et pourtant j’ai l’impression de vivre cette passion dévorante depuis si longtemps…
J’ai envie de te parler de lui, même si je sais que cela peut te faire souffrir, même si je sais que je ne pourrai jamais te faire vraiment comprendre ce qui m’attache à lui avec une telle vigueur !
J’ai envie de te parler de lui surtout parce que j’ai envie de te parler de moi…de ce que tu as pu voir en moi, mais que lui a su déceler dès qu’il m’a rencontrée !
De ma jeunesse a coïncidé avec la découverte de la puberté et d’une sexualité naissante honteuse.
Je me souviens de mes premiers émois, dont je t’ai un peu parlé, pas en totalité, car ils ne correspondaient en rien à l’image de la « trop sage » de la fille que tu as rencontré il y a quelques années…
Je n’ai jamais osé te dire que ce qui m’attirait par-dessus tout chez les hommes depuis l’adolescence, c’était quelque chose que je me répugnais moi-même à accepter… jusqu’à la semaine dernière !
J’ai remarqué que bien des hommes qui m’attiraient alors possédait une part de sensibilité, de classe et de charme naturel.

La première fois que j’ai eu le courage de me masturber dans mon lit, je me souviens alors avoir fantasmé sur ce corps que j’imaginais nu, un sexe imaginatif me pointant. J’aimais, pour ajouter à la crudité érotique de ces tendres visions, nous imaginer lui et moi maculés de sueur après un exercice physique, et sentir sa peau brûlante adhérer à la mienne en imprégnant mon corps.
C’était précisément ce genre de détail, à l’opposé de l’éducation dans laquelle j’étais immergée qui, elle, ne supportait aucune aspérité, pas la moindre trace de souillure, qui m’excitait au plus haut point. J’aimais, sans souvent oser l’avouer, précisément me sentir souillée !
Et puis je t’ai rencontré ! Et c’est comme si notre liaison m’avait subitement « lavée » de tout cela. Je me sentais bien, pleinement femme, parce que je me sentais pleinement respectée comme telle ! J’avais le sentiment d’avoir vraiment mûri et d’avoir chassé à jamais ces pensées secrètes.

La rencontre avec Vincent me prouve qu’il n’en était rien ! J’ai mis cette part essentielle de moi entre parenthèses pendant de nombreuses années… mais depuis ce jour ou tu m’avouas vouloir me faire prendre par un autre, mes inavouables émotions de jeunesse me reviennent brusquement en mémoire… et avec quelle force ! Si ma rencontre avec lui fait à nouveau émerger cette aspiration à vivre une sorte de sexualité débridée, elle m’apporte aussi quelque chose de différent.
C’est un peu comme s’il me permettait de réconcilier ces deux parts de mon être : celle qui est avouable et celle qui l’est un peu moins… Ainsi ce qui me séduit et me fascine en lui, c’est le fait qu’il puisse montrer un certain raffinement lorsqu’il m’exprime la nature de son attirance pour moi avec beaucoup de justesse…
Mais c’est aussi le plus grand respect avec lequel il peut s’adresser à ta femme « très classe » dont je suis l’incarnation à ses yeux.
En même temps, aurais-je le même attrait physique pour cet homme si il avait été vilain, ou légèrement ventripotent ? Je ne le crois pas…

Ce matin quand je suis arrivée, les toilettes ont été la première visite, le but étant de placé le cadeau délicat de mon amant… Je reste debout un pied sur la cuvette, ces boules sont plus petites que d’ordinaire mais aussi plus lourde. Ma chatte depuis quelques jours est toujours aussi trempée, je suis très excitée en pense à ce que je suis prête à faire pour lui. Je me masturbe un peu, je n’ai aucun mal à enfiler les boules, elles entrent toutes seules en moi, sans effort, à chaque passage un petit soupir sort de ma gorge. Je me rhabille, je ressens une petite gêne bien vite dissipée, après tout, c’est la première fois que je fais cela, mais, en même temps, cela m’excite énormément ! Je marche jusqu'à mon bureau situé à l’autre bout de la salle, les boules remuent dans ma chatte au rythme de mes pas, je les sens frotter contre mes parois ! Heureusement que j’ai mis un string fermée, car je sens que je suis en train de la détremper ! J’adore cette sensation, cela doit se voir sur mon visage… Étant assise travaillant tant bien que mal, je ne peux m’empêcher de remuer, l’excitation monte peu à peu et mes nerfs se nouent dans mon ventre. J’ai presque envie de passer ma main sous ma jupe pour me caresser ! …

Tout à coup, j’entends :

• Tu as envie d’aller aux toilettes ? Tu as l’air bizarre ce matin…tout va bien ?

Vincent est dans mon dos je ne sais pas depuis combien de temps, il me fais signe de le rejoindre dans son bureau… Mes pensées furent sur le fait de me calmer, la peur d’avoir un orgasme, j’ai tellement la chatte en feu, une boule brulante dans le ventre ! Les premiers pas que je fais agitent les boules qui s’entrechoquent. Du moins c’est l’impression qu’elles me donnent. En fait, je comprends vite qu’elles sont lestées de l’intérieur par des billes qui se déplacent en fonction de mes mouvements et qui cognent contre la paroi extérieure, répercutant l’onde de choc à mes muscles vaginaux. La sensation est vraiment étrange et malgré tout terriblement excitante. Dans l’escalier, les boules tressautent, se bousculent, prennent vie ; alors, par réflexe, je contracte mon vagin qui me répond par une vague de volupté bien inattendue. Dans un détour du couloir isolé, tu m’attends, tu me demandes ma culotte, sans chercher à comprendre, je la descends le long de mes jambes. Tu la portes à tes narines et la glisse rapidement dans la poche de la veste de ton costume puis tu ouvres la porte de ton bureau, je suis impatiente, j’ai même peur de les voir tomber tellement l’inondation est grande, je vais ouvrir la bouche pour te dire de me baiser vite ! Mais là surprise un de tes collaborateurs est assis dans le salon à la gauche de ton bureau, dos à la baie vitrée, traversé par les rayons de lumière vives, tu me laisse élégamment le soin de m’asseoir sur le fauteuil en face de lui, je m’enfonce, j’ai peur de leur dévoiler ma vulve gluante mal dissimulé, la lumière envahie mes cuisses je me sent prise au piège…
A-t-il deviné mon trouble…? Détecté que je dissimule quelque chose, les boules introduites dans mon intimité me tourmentent par un surprenant plaisir de plus en plus vif…
Nous prenons un café, essayant de dominer l’artifice quand une sensation vibrante intervient au fond de moi, mon regard vers lui est suppliant, je détecte dans ses yeux un plaisir immense. Les boules déclenchent en moi une crampe de plaisir incontrôlé que j’ai du mal à dissimuler. J’ai l’impression que mes muscles internes ont prit vie autour des boules magiques et qu’ils réclament d’autres secousses. Mon ventre se contracte, sur mon visage l’émotion sexuelle qui me ravage crée une profonde gêne, pourtant l’excitation est plus forte que tout alors je soutiens leurs regards. Une goutte de sueur coule sur ma tempe. Malgré moi, des images passent dans ma tête. Vincent me force le déplacement, il me demande de prendre un dossier sur son bureau, dès les premiers chocs. Les boules de geisha m’émoustille à en gémir, ce que je fais je crois, toutes les ondes de choc activent les boules qui me soumettent à un plaisir de plus en plus violent, ma respiration est haletante, je me penche sur le bureau de mes mains marquant un temps d’arrêt, les deux hommes plongent leurs regards sur mes fesses, je le sent…
La paroi de plus en plus sensible de mon vagin complice. Mon point « G » est soumis à un massage si délicieux que tout mon ventre danse au rythme de ces surprenants objets, je suis debout, je leur tourne le dos, une main se pose dans mon dos, il sait que je suis prête à exploser, tous deux guettent mes réactions. Je n’en peux plus, j’essaye de ralentir la montée en puissance de ma jouissance mais je ne suis plus maîtresse de mon sort. Mes seins se gonflent et leurs pointes durcies marquent le tissu à outrance de mon chemisier, ses mains descende à leur contacte, mais je m’en fou, c’est trop tard, trop loin, je me retourne leurs faisant face, ma vision se pose tour à tour au niveau de leurs braguettes, la constatation et rapide, sans équivoque possible… Mes plaintes les font réagir, ils dégrafent prestement leurs braguettes et ont tôt fait d’en extraire leurs queues, je ferme les yeux, toutes honteuse de ce que je déclenche. J’entends ma respiration, lorsque ses mains descendent le long de mes jambes jusqu’à mes pieds et qu’elles remontent en retroussant ma jupe, j’ai un sursaut de gêne et je rabats mon vêtement mais sans conviction. J’ouvre les yeux, constatant que l’autre nous regarde tout se masturbant la tige longue et fine et luisante de son excitation. Je vois dans son regard se succéder un saisissement pudique, la confiance lue dans mon regard devient vite l’acceptation de poursuivre et enfin l’abandon à tous. Je soulève moi même à nouveau ma jupe, mes cuisses s’écartent et j’ouvre de mes mains le chemin de mon sexe. Sa main au contacte de mes lèvres se saisie de la cordelette et leurs donnes de petits coups de vas et vient, puis tire dessus doucement, millimètre par millimètre… Les yeux dans les yeux, ma bouche s’ouvre et se referme sans qu’aucun son ne sorte, un flop mouillé et un peu ignoble en bruit de fond, je crois qu’à partir de ce moment ma perception devint floue, que l’environnement se fait presque indistinct, tant je suis enivrée du désir et de la folie du moment. Reportant mon regard sur l’homme, je vois qu’il s’était approché plus encore, et que sa main frôle ma fente, pour accord mes doigts se saisisse de sa colonne de chair, il est dur, il coule abondamment… Ses doigts prennent à leurs tours possession de ma chatte. Le sentiment que j’eus alors étaient mélangés, mon excitation est intense à l’idée qu’ils se conjuguent en moi, je coulisse leurs deux verges, je sens mes vêtements m’échapper, seul mes bas et porte-jarretelles ont résistés, il me guide tout deux vers un fauteuil ou ils m’allongent, un sexe apparait près de ma bouche, je le gobe et le masturbe en alternance, je rejette son prépuce l’éloignant le plus possible de son gland. Ma main libre s’est emparé des bourses gonflées, et malaxe les testicules fermes et élastiques, exerçant une traction sur eux.
Une langue se pose sur mon clitoris et fouille mon sillon avec des bruits obscènes, il me parcoure de toute part, s’immiscent dans ma grotte, je jouie depuis de longues minutes, cela ne s’arrête pas…
Je m’applique à l’accueillir au plus profond possible. Je le branle uniquement par mes lèvres, je le suce avec ma langue et surtout j’aspire, creusant les joues. Un sexe se frotte à mon entrejambe, entre mes lèvres ouvertes, il étale ma mouille qui coule … Mon clitoris est gonflé de désir, je me sens palpiter contre cette hampe…
Je ne peux plus attendre, je veux plus encore, être pénétrée, je veux sentir sa bite au fond de moi…
J’ai les genoux à hauteur de mes épaules, la pénétration est profonde, très profonde, mon sexe en est comblé. Elle
me remplit parfaitement ! Il n’a pas encore bougé, il reste au fond, me remplissant la chatte de son membre.
Mes bras l’invitent à se baisser pour que nos bouches ne fassent plus qu’une.
Il se tient sur ses bras pour ne pas m’écraser, mais je m’en moque, je le veux sur moi, dans moi. Enfin il se met à
bouger, de petits mouvements, en douceur. Il se retire entièrement, le gland à l’extérieur, sur mes lèvres,
pour redescendre ensuite tout en douceur jusqu’au fond et ainsi de suite. L’impression est fantastique.
Jamais je n’ai été pénétrée de cette façon, tout en douceur, cette queue qui entre et sort au ralenti, pas le
piston déchaîné qui fait mal, quoique parfois.
J’en perds la tête.
Mes mains agrippent ses fesses et lui imposent un rythme plus fort, plus viril. Il bouge entre mes jambes, sa queue
me pénètre dans des mouvements puissants, enfin je suis baisée ! Que c’est bon ! Je l’attire vers moi, nos lèvres
se touchent et un baiser passionné nous unit, nos corps se serrent l’un contre l’autre, je sens sa peau sur la mienne,
quelle sensation ! Ce contact me donne la chair de poule, je ne comprends pas pourquoi, mais c’est agréable.
Enfin ses mains partent à la découverte de mon corps, il me caresse les seins dont les bouts sont anormalement durs
et long, il les pinces légèrement ensuite se penche et les embrasses. Je sens une autre main qui se dirige vers mon sexe,
ses doigts atteignent mes lèvres surdimensionnées, il s’aventure plus loin, elle saisie mon clitoris gorgé de sang.
À peine l’effleure-t-il que des étincelles éclatent dans ma tête, un frisson m’envahit et je me raidis.
Que m’arrive-t-il ? Comment font-il pour déclencher en moi tant de sensations ? Mais c’est bon.
Je me décontracte et le laisse continuer. Ses doigts continuent leurs mouvements sur mon clitoris, il le touche par
petits coups rapides, je gémis de plaisir.
J’ai perdu la notion du temps et j’ai l’impression qu’il jouit très vite dans ma gorge. Que c’est bon de sentir sa crème sortir en jets puissants ! J’avale avec gourmandise ! Je suis heureuse, j’ai réussi à faire jouir un autre homme par ma bouche.

Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Je sens son membre en moi devenir de plus en plus dur, presque prêt à jouir,
mais non, il se retire, il se contrôle, moi pas, quel pied ! L’autre se positionne à sa place, Vincent se recule et reste,
il me semble admiratif du tableau sous ses yeux. D’un regard provocant sur mon amant je dit à l’autre :

• — Viens prend-moi fort comme jamais, j’ai envie de toi…

Il s’exécute, prend sa position sur moi et introduit sa bonne queue dans mon fourreau. C’était tellement bon que je
manque de crier mais je ne peux pas, nous sommes dans un bureau. Sous chaque coup de son membre, je suffoque,
mes seins sont durs, mes tétons pointent arrogamment vers le plafond, mon ventre est noyé, ma moule s’accroche à
ce morceau de chair envahissante, mais tellement bonne. Je veux changer de position.

• — Prends-moi en levrette, j’ai envie…

Il se retire doucement, je me mets en position, à genou sur le fauteuil, la tête posée sur le repose tête, il s’introduit,
puis je me creuse pour une pénétration beaucoup plus profonde, je veux bien la sentir, ma chair est distendue,
son membre gonfle et me redresse, ma chatte par tant de liquide en moi se fait ventouse,
mon jus coule sur mes cuisses… Vincent approche de ma bouche, sa queue est énorme, couverte d’un film blanchâtre,
je la happe goulument bien décidée à en finir de ses résistances, ma langue danse autour de son vit,
elle se fait virevoltante…
Son collègue me prend pendant de long moment, par des mouvements longs et doux puis par d’autre de façon
beaucoup plus virile, des petits mouvements secs et rapides, pas trop profonds pour ne pas me faire mal,
ma sensibilité est accrue par tant de frottement inhabituelle, je me fais sauter comme jamais…
Dans ma bouche Vincent coule comme une jouissance en continu, son gland est doux, entre chaque coulissement
ma langue joue à darder la pointe sur son méat, puis d’une accélération soudaine, son sperme jaillit en saccade,
envahissant ma langue de son nectar, c’est avec surprise que je me délecte de sa semence onctueuse, je le boit et
pour la première fois j’avale le sperme d’un homme, de plus est, que celui-ci n’est pas mon mari… La quantité
est importante, je me concentre mais malgré tous de ma commissure des lèvres s’échappent de fins filets coulant sur
mon menton et goutant sur ma poitrine. Un spasme me traverse avec violence, une jouissance extrême mais nouvelle,
une sensation indéfinie, l’homme dans mes entrailles s’échappe, je sens un liquide chaud m’éclabousser la croupe,
le dos et même mes cheveux, son jus coule abondamment, redescendant sur mon anus et entre mes lèvres
entrouvertes sur mon clitoris…
Mes bras ne me soutiennent plus, je m’effondre la tête dans le cuir, juste à temps pour assourdir mon cri rauque,
je jouis, je jouis.

Je ne peux rien dire d’autre, je suis vaincue.

Je m’écroule sur la moquette, me roule sur le dos, les jambes tantôt écartées, tantôt fermées. Je n’ose toucher ma chatte, mon clito est en ébullition. Je respire vite, j’ai les yeux fermés, je respire fortement, des étincelles pleines la tête, un frisson me parcourt le corps en entier, j’en ai la chair de poule, je suis couverte de leur jus … Je me sent comblée ,comme jamais.

A suivre...

Val.
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#979820
Mercredi 10 Avril


Mon tendre amour,


Ce matin je l’ai vu arriver accompagné et devant le bureau, embrasser cette personne…Je crois sa femme.
J’étais stupéfaite de ressentir cette intrusion soudaine dans ce que je croyais être mon intimité exclusive avec lui ! J’ai ressentis tout d’abord une blessure, un profond sentiment de trahison, et puis curieusement très vite j’ai pensée à ma propre situation. Ne suis-je pas moi-même une épouse qui vit en parallèle deux relations, qui se partage entre deux hommes et qui de plus entretient avec eux une activité sexuelle ?

Soudain, après m’être sentie propulsée si loin de lui et renvoyée à une cruelle solitude, j’ai éprouvée cette révélation comme quelque chose qui nous rapprochait. Il y a chez lui cette même duplicité qui est la mienne, si ce n’est que toi, tu éprouves toujours un profond désir pour moi…
Cette dernière réflexion me rendit soudain un peu perplexe et doublement fautive. À la faute de l’adultère vis-à-vis de toi, mon tendre époux, venait s’ajouter celle de la tromper elle, cette femme dont j’ignorais un instant auparavant l’existence, et pour laquelle j’éprouvais soudainement une certaine tendresse…
Je me suis retrouvée devant lui, assit derrière son bureau, une grimace sur les lèvres, juste pour lui dire, je t’ai vu…Tu sais ?
En même temps je perçus pour la première fois qu’il devait avoir peur, qu’il était suspendu à un geste de ma part ! C’est alors que, sans plus réfléchir, je me suis doucement approchée de lui. Comme l’autre fois, je me suis assise sur ses genoux et puis j’ai déboutonnée mon corsage pour libérer un sein, sans même défaire mon soutien-gorge, et je l’ai porté à sa bouche !
C’était un instant d’une tendresse infinie. Il me tétait comme l’aurait fait un petit enfant. Je n’avais d’autre désir que de le rassurer… et je crois que son attitude, toute à l’abandon et à la jouissance de l’instant, me rassurait aussi.
J’ai glissée mes doigts dans ses cheveux en un lent et tendre massage jusqu’à sa nuque, que je me mis à caresser.
Pendant ce temps, j’observais avec ravissement ce mâle que je savais maintenant marié et peut être père de famille, sucer avec délice mon mamelon, et une attention exquise à ne pas me faire mal… Je savourais de façon intense l’avidité qu’il avait à me « boire », même si je n’avais pas de lait ! Il a ensuite glissé sa main sous mes vêtements pour caresser l’autre sein.
Cette double caresse sur mes pointes naturellement allongées commençait à faire son effet, et je ne voulais pas être en reste…
Moi aussi, j’ai glissé ma main sous la barrière du tissu pour atteindre son membre. Sa proportion encore modeste m’attendrit, mais je prolongeai mon attouchement et bientôt chacune de mes mains flattait une part de ses bourses gonflées et douce. Mais bientôt son sexe se raidit et prit un certain volume et je le libérai d’un geste rapide, ayant dégrafé sa braguette. Je pouvais ainsi le branler librement.
Ce qui avait aussi gonflé pendant ce temps, c’est ma poitrine trop serrée dans mes vêtements. Sans doute pour répondre au soulagement que je venais de lui apporter en libérant son sexe, il la libéra de toute contrainte, faisant sauter une simple attache entre mes seins. C’est maintenant goulûment qu’il entreprenait de les lécher, de les sucer, de les mordiller. Je ne me maîtrisais déjà plus et me mis à le supplier :

• — Je vous en prie, sucez-les encore !

Je savais pleinement que ce que nous faisions n’était pas bien, mais je n’avais surtout pas envie d’arrêter… J’avais seulement envie de sentir la culpabilité dans ma chair !
D’un autre côté, je le masturbais moi aussi sans ménagement, et je découvrais aussi sa complaisance à ressentir sa propre douleur ! Je la trouvais belle, un peu courbé vers lui et…avec certitude plus large que la tienne.

Nous devons rester l’un pour l’autre avant tout un mystère. Et c’est vrai que si, chaque jour, j’ai l’impression de découvrir davantage ce qu’est vraiment la personnalité de mon amant, je dois avouer que j’ai bien conscience de la distance qui nous sépare. Et puis, il y a celle qui résulte de notre présence-absence, toi et moi ! Lorsque nous ne sommes pas l’un avec l’autre… nous savons que nous pouvons nous retrouver dans les bras l’un de l’autre et y puiser l’apparence d’un réconfort bourgeois.
Avec lui, c’est précisément ce que nous voulons éviter : tout ce qui est de l’ordre de « l’installé », du confort ! Cela nous aide aussi à mieux vivre l’ambiguïté, d’avoir à connaître deux relations affectives à la fois !
La jouissance nous frappa, inondant communément nos doigts.

Mille baisers de ton épouse qui t’aime !

Jeudi 11 Avril


Je m’aperçois que ma relation épistolaire « suspendue » avec toi, prend une part non négligeable de mon temps et de ce qui est mon travail chaque jour. Elle instaure ainsi, paradoxalement, le renforcement d’un lien entre nous. Celui d’une femme à son mari qui en vient à rendre des comptes, même si par ce moyen, c’est aussi rendre des comptes à mon amant… Je suis avec toi en pensées plus souvent que tu ne le crois et en même temps, la semaine dernière, encore avec toi… je pensais à lui !

Cette situation fait que j’ai l’impression d’être doublement conquise et comblée, par le petit mari tendre qui a une totale confiance en moi et qui m’aime tendrement et exclusivement, et par l’amant fougueux, passionné et avide de moi qui m’avoue pourtant ne pas avoir rompu sexuellement avec sa propre femme ! Avec lui malgré, ou peut-être à cause, de la révélation du fait qu’il trompe lui aussi…de plus avec moi ; j’ai l’impression de vivre un nouveau rapprochement, une complicité plus étroite qui émane de notre double secret.
J’ai perçu combien, en arrivant ce matin au travail, je me sentais plus qu’une simple maîtresse. Quelque chose de formel s’installait entre nous.
Tous les matins, peu après mon arrivée, je me rendais compte que mon emploi du temps intégrait cet « entretien » privé avec mon supérieur.
Une fois encore, il m’a demandé de lui lire aujourd’hui un extrait de mes lettres. Il a voulu que je ne m’arrête pas. Il souhaitait continuer à entendre le « joli son de ma voix », me voir parler en quelque sorte à mon mari… pendant que je me laissais faire. L’extrait que je lui ai lu ce jour-là a été beaucoup plus long que d’habitude et j’ai continué ma lecture tant que je l’ai pu, tant que mon corps, soumis à ses caresses et attouchements, m’en a laissé la force !
Il s’est d’abord glissé derrière mon siège pour me caresser la poitrine sans chercher tout d’abord à ôter mes vêtements. En se penchant vers moi, il m’a gratifié de petits baisers dans le cou dont la sonorité délicate et brève m’émoustillait autant que le doux contact. Et puis j’ai senti sa langue effleurer délicieusement ma nuque.
Parfois quelques mots tendres parvenaient à mes oreilles, sans que je ne cesse pour autant de lui parler… de te parler, en lui dévoilant la teneur de mes écrits. Il me flattait à propos de mon parfum, de la douceur de ma peau… de la fermeté de mes seins. Il ne les caressait plus vraiment, mais les massait, les pétrissait, comme si, tel un artisan, il souhaitait en apprêter la forme avant de leur accorder une attention plus fine et rigoureuse… Et c’est ce qui se passa ! Finalement il vint s’agenouiller entre mes jambes, mais ce ne sont pas elles qui pour l’instant retenaient son attention.
Autant il avait été doux et d’une patience infinie lorsqu’il était placé derrière moi, autant en m’offrant le spectacle de son regard vicieux irrésistiblement porté sur ce qu’il appelait mes superbes nichons, il m’apparut dévoré par un désir sauvage et soudainement brutal. Il fit sauter deux boutons de mon corsage et ne dut pas prêter une attention extrême à la finesse délicate de ma lingerie, car il découvrit un de mes mamelons pour le téter aussitôt, goulûment, comme un jeune veau l’aurait fait, ayant été sevré durant plusieurs jours des mamelles gorgées du lait de sa mère !
En me tétant, en me suçant, en aspirant bruyamment mes bouts de seins, il me fit pousser les premiers soupirs qui commençaient à entrecouper mes phrases. Mon excitation était soudaine, brutale, savoureusement inédite… tu ne m’avais jamais sucée comme ça !
Comme si sa violence ne suffisait pas, je voulais en rajouter, et comme je ne pouvais le faire par les mots, concentrée encore en partie par ma lecture, je lui agrippai d’une main la tignasse comme pour me branler la poitrine avec sa bouche. Il se mit alors à mordiller mes tétins, puis à les mordre sans trop de ménagement, mais je n’eus aucun geste de recul, bien au contraire.
Et tout en lui signifiant de ma main libre combien j’appréciais également cette étreinte douloureuse, je dus cette fois interrompre ma lecture…

• — N’arrêtez pas ! Mordez-les moi plus fort ! Bouffez-moi les nichons !

Je n’en revenais pas, que ces paroles sortent de ma bouche ! J’avais l’impression d’être devenue quelqu’un d’autre… et pourtant j’étais cette même femme sérieuse, un peu honteuse aussi de lui avoir lu tes lettres. C’était moi, l’épouse et la mère de famille, jusqu’ici bien sage et réservée, qui me mettaient à éructer des obscénités à l’égard d’un homme qui n’était pas mon mari et que je vouvoyais !

• — J’ai envie de vous ! C’est tellement bon de vous sentir me dévorer les seins… J’ai envie de votre bite ! … S’il vous plaît baisez-moi ! Je veux vous sentir en moi !

Je ne savais plus moi-même où j’étais et je crois qu’à cet instant je me serais peut-être laissée me faire baiser par n’importe quel inconnu !
Il faut dire que mon « amant de travail » se montrait sous un jour nouveau ! Je n’étais plus en présence que d’un rustre, d’un « mâle dominant » décidé coûte que coûte à satisfaire ses pulsions ! Quant à moi, je m’apprêtais à lui offrir l’abandon le plus total de mon corps, après lui avoir livrée celui de mon esprit. C’est avec cette même rudesse qu’il a abandonné brusquement mes seins pour enfouir sa tête sous ma courte jupe. Le mot sauvagerie est ce qui correspond le mieux à son comportement si soudain. De même, je me sentais désormais plus femelle que femme, comme si j’étais envoûtée et gagnée par cette part de bestialité qui semblait exulter de tout son être. L’homme qui me lapait la chatte sans aucune tendresse, évidemment j’avais conscience que ce n’était pas toi ! Et je dois dire que c’était bon aussi parce que c’était la première fois, la première fois que je me faisais brouter comme cela… Mais curieusement à ce moment-là, je n’avais pas non plus l’impression de connaître cet homme entre mes cuisses. Il n’était plus ce supérieur, exigeant mais patient, qui aimait faire durer le désir, qui aimait savourer l’idée que je puisse un jour m’offrir à lui. Je le voyais pourtant qui fourrageait désormais sa langue dans mon minou ! Bientôt, il se mit à sucer mon clito avec la même gourmandise et la même vigueur que mes bouts de seins l’instant d’avant. En me penchant vers eux pour en éprouver l’état, je ne les reconnus plus, eux aussi… Ils étaient rouges et tuméfiés comme de petites verges, qui auraient voulu encore tellement qu’on les agace et les flatte ! Là encore, je me rendis compte que la montée de mon plaisir était associée à une exquise douleur. Celle de sentir le frottement énergique de son visage sur mon sexe, de sa bouche, de sa langue, de son nez, fouinant sans ménagement au tréfonds de mes petites lèvres intérieurs. Par la suite, ce sont mes propres mains qui ne se sont plus contentées de caresser et de masser mes seins, mais désormais les pinçaient, les griffaient sans aucun ménagement. Mon plaisir sans équivoque devenait celui d’une jouissance délicieuse de caresses sensuelles, mêlée de la saveur de la souffrance qui imprégnait mes chairs.
Et puis rapidement, cela ne me suffit plus. Je n’en pouvais plus de lui… Il fallait qu’il me prenne !

• — Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi !…

Il n’en fallait pas plus. Déjà, il s’était extirpé de ma jupe pour saisir soudainement mes chevilles. Il releva mes jambes sans ménagement et ôta mon string ouvert. Il avait devant son visage, par ses profondes caresses autant que par son désir sauvage, le spectacle de mon sexe nu écarlate et brillant de salive et de sécrétion. J’avais pris soin de me faire épiler la chatte à l’anus chez Rosana, rien que pour lui, mes lèvres rose découverte et entrouverte, comme un écrin pour l’accueillir… Mais il ne s’attarda pas longtemps sur ce touchant spectacle d’une femme à l’abandon, qui offre ce qu’elle a de plus cher et de plus intime à un homme qui n’est pas son mari ! Déjà il avait glissé sa verge en moi après avoir mis une protection! Enfin, je lui appartenais complètement, exclusivement et totalement ! Je ne peux pas te décrire à quel point j’étais heureuse et comblée ! Je me faisais sauter ! Il me besognait avec la brutalité et la maladresse d’un puceau, mais aussi avec la même fougue qu’un soupirant accédant enfin, après des années, aux appâts les plus convoités d’une princesse ! Il me pilonnait, me ramonait sans délicatesse. Je trouvais délicieuses les tapes de ses couilles sur mes fesses. Quel plaisir que d’accompagner ses saillies en empoignant ses fesses. À chaque coup de queue, il s’enfonçait jusqu’à la garde dans mon fourreau baveux si accueillant. Il ne pensait pas aller si fort, j’en suis sur, mais partenaire que je suis, ne protestant pas, au contraire je prend mon pied.
J’étais son employée, j’étais sa servante. Une servante qui se faisait baiser comme jamais. Je n’étais plus une femme, j’étais un sexe en feu qui se faisait limer… J’étais une croupe embrasée par les frottements du cuir…une paire de seins et tendus qui ballottaient légèrement impudiques, à chaque secousse.
Il repart pour une nouvelle chevauchée, je noue mes jambes autour de sa taille. À ce moment mon IPhone sonne. Par réflexe, d’une main, je m’en empare et prend la ligne, de l’autre je la pose sur le torse de Vincent. C’est toi, mon mari, le petit démon qui est en moi, l’autre Gémeau me pousse à te parler. La pensée m’émoustille, j’ai le pieu enfoncé dans le fondement et je te parle… Tu me parles d’amour, tu as compris l’instant, mes gémissements t’excitent, je te demande de te branler à fond pour me rattraper…j’ai subi la litanie de tes louanges… Je te raconte son continue sans arrêt, de son écrasement sur mon bouton, de mon ruissèlement comme une source, je ne peux pas m’en empêcher…trop envie de jouir, de m’abandonner contre lui…Dans mon état de rut proche de la folie, je me suis trouvée effroyablement salope dans la situation, de ce que tu attendais de moi, de tes rêves les plus fous qui devenaient réalités.
Je te sentais de plaisir, mêlés en une mixture de sentiments impossibles à démêler. Ton désir montait, au rythme de ton souffle et de ta main enroulée pendant que ta femme était offerte sans retenue…J’étais ce corps inondé de sueur qui sentait bientôt dans ses entrailles la brûlure du foutre.
J’aurais voulue le et te sentir écouler dans mon puits au lieu de ton long jet dans le vide, j’aurai aimée être souillée… Aussi de ta langue sur mon bourgeon au dessous cette colonne de chair oscillante entre mes cuisses de chaleur, ma fente aurait aimée…je rêve de fantasmes encore plus dérangeants.
Je n’étais plus qu’une épouse qui trompait son mari et qui adorait ça ! Mais en même temps, si la part qu’il me restait d’esprit n’avait pas été à cet instant en partie avec toi, est-ce que j’aurais joui avec la même plénitude ? Je n’en suis pas vraiment sûre !

Ta femme qui continue toujours à t’aimer très fort… même en prenant son pied avec un autre !

A suivre...

Val


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#984250
Vendredi 11 Avril


Malgré ce que je t’ai évoqué, si je dis que la relation que j’ai avec lui est sans tendresse, je ne te dis pas la vérité. Or, le pourquoi, la raison de ces lettres, est de te rendre compte le plus fidèlement possible des différents aspects de ma liaison avec lui. Je ne connais pas à ses côtés, lorsque je suis nue contre lui, cette affection tendre et douce, presque fraternelle que nous partageons, et qui je crois, est le privilège des couples qui vivent ensemble depuis bien longtemps. Tu fais partie de l’univers familier et rassurant qui est le mien. Je sais qu’avec toi je ne risque rien. J’ai la conviction que tu ne peux me faire volontairement du mal et j’aime à croire que me tromper ne t’effleurera plus l’esprit. Il en était de même pour moi jusqu’ici, avant que je ne me pousse à le faire, à découvrir un autre sexe…
Au moins consciemment, je n’avais pas jusqu’ici désiré te tromper parce qu’il me semblait me retrouver totalement en toi. J’avais l’impression que tu avais la capacité de combler entièrement mes désirs de femme et d’épouse.
Mais ma rencontre avec Vincent, m’en a révélé d’autres, enfouis et inavouables, que je ne peux avoir à envisager avec toi sans avoir à te blesser, mais je pense que c’est cela que tu attendais, tu savais.
Et puis il y a cette autre dimension. J’ai confiance en toi en toute sérénité comme étant un être protecteur qui me préserve souvent des duretés de cette vie. Mais je me suis rendue compte qu’à tes côtés j’étais devenue, en même temps qu’une femme fidèle à son foyer, un peu aussi une femme-enfant dans nos débuts Dès lors, une part importante de ma féminité s’est trouvée étouffée dans ce cadre trop confortable.
Avec lui, je vis des sentiments et des émotions bien différents, en ce sens où j’ai confiance en lui et en même temps, j’ai peur. Je me sens prête à tout partager sans savoir même où il veut m’emmener. Je me demande si ce qui me rassure chez lui, ce n’est pas finalement son pouvoir et l’autorité qu’il a sur moi. Je me sens d’ailleurs incapable de contester des ordres futurs qu’il pourrait m’adresser, même si jusqu’ici il ne m’a forcée en rien.
Avec lui, j’ai l’impression que l’insécurité, le sentiment de trahison, la douleur physique et morale éveillent en moi des sens qui s’étaient assoupis à tes côtés sous ta protection et ta tendresse. J’ai l’intuition de vivre une renaissance, comme si d’un seul coup mon existence un peu terne retrouvait du sens.
Je sais pourquoi j’existe… J’existe pour toi! J’existe pour satisfaire mes exigences et combler mes désirs ! J’existe à travers lui en quelque sorte et pourtant je ne cesse pas vraiment de penser à toi !
J’ai l’impression d’ailleurs que mon épreuve la plus douloureuse sera celle-là. Celle qui m’imposera de faire un choix entre ces deux aspects de mon identité de femme. Mais peut-être que j’ai déjà choisi sans me l’avouer… sinon pourquoi ces lettres ?

Pour revenir à la tendresse que je partage malgré tout avec lui, et qui est si différente de la tienne, elle s’apparente à un réconfort nécessaire, une accalmie, après m’avoir fait franchir un pas supplémentaire vers lui et vers des territoires inconnus. Ainsi, suite à l’âpreté et la rudesse que j’ai connues ces derniers jours, liées à la révélation de sa vie conjugale et à l’animalité un peu sadique qu’il peut exprimer dans sa sexualité, j’ai retrouvé à ses côté une attention d’une douceur extrême… Même si je sais déjà qu’il me faudra affronter d’autres défis et vivre, sans doute!

Il a su, en tout cas, se montrer particulièrement doux et tendre aujourd’hui. En m’accueillant, il m’a dit vouloir me masser délicatement la nuque. C’est ensuite le haut de mon dos qui a bénéficié de ses attouchements. Je lui ai ainsi découvert un don supplémentaire. Il masse divinement bien, et ce fut pour moi un moment d’une détente exquise qui, bien qu’empreint de sensualité, n’avait alors aucune connotation sexuelle. Il réussit par la magie de ses manipulations à me faire apprécier simplement mon corps de femme qui gardait encore les séquelles des petites violences et agacements de la veille. J’étais plongée dans un bain voluptueux d’une exquise tendresse. La fermeté des pressions qu’il exerçait patiemment sur chaque partie de mon corps alternant avec la douceur de ses caresses, me fit accéder à une jouissance d’une nature singulière. Une fois encore, je me rendais compte que je lui étais redevable de me faire découvrir une part inconnue de ce que je suis vraiment. Cette femme si coupée d’elle-même, si étrangère à sa propre identité !
Il m’aidait à être pleinement féminine, et non plus seulement la docile et attentive épouse que tu connais.
Une fois ce long massage terminé, sans qu’il ait cherché à me prodiguer le moindre attouchement directement sexuel, la seule reconnaissance qui me parut naturelle fut de lui prodiguer un délicat baiser sur le front.

Je t’embrasse fort,

Ta Val qui t’aime…





Samedi 12 Avril


Mon amour,

Quand je te disais que les jours ne se ressemblent décidément pas dans la relation tumultueuse que j’ai avec mon Parisien, je ne pensais pas si bien dire. À cet instant, c’est la souffrance de la lucidité qui me « travaille » à nouveau et m’angoisse. Devoir passer de la confiance à la crainte, au soupçon, à la peur, certainement que cela me rend compte combien je suis en vie et combien je suis amoureuse de toi… Mais par moments j’ai l’impression que je pourrais tout perdre.
Au fond, je me cachais encore la vérité. Ce n’était pas possible qu’un homme comme lui ne s’intéresse qu’à moi, n’ait du désir que pour moi. Je me mettais également à le soupçonner de me mentir sur la nature réelle de sa relation conjugale. Sans doute le désir qu’il avait pour sa femme n’était pas exclusivement la transposition du désir qu’il avait pour moi…

Certainement, j’étais consciente de ce que je faisais ce jour-là, en arrivant plus tôt que prévu à l’agence. Et je crois, avec le recul, que c’est la preuve d’un certain masochisme naissant en moi. Il m’avait laissée les clés, tout en insistant fermement pour que je n’arrive jamais avant 9 h 30. Ainsi chaque matin, je suis d’habitude la dernière à arriver à l’agence, et j’ai le plaisir d’être accueillie par le charmant collaborateur de Vincent.
En entrant ce matin-là et en ne voyant que ce dernier, visiblement embarrassé, pour la première fois ne me gratifiant pas de son sourire radieux, j’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose ! Je l’ai vu esquisser un mouvement vers le bureau de Vincent, mais cela m’a déterminée plus encore à me diriger vers sa porte, consciente et inconsciente à la fois du spectacle que je craignais de découvrir ! Ces quelques secondes m’ont paru brèves et interminables à la fois, car j’ai eu le temps de repenser à tout ce qui me faisait craindre d’avoir été à nouveau trompée. Je me disais que cette fille était si jolie… et je repensais au regard concupiscent de Vincent que j’avais cru percevoir bien des fois et qui ne s’adressait pas qu’à moi !
Quand j’ai ouvert la porte, j’ai essayé de faire le moins de bruit possible et je les ai découverts là… lui assis à son bureau, comme à son habitude… et elle sont épouse tout naturellement, installée face à lui!
J’ai cru percevoir chez elle un léger soubresaut quand, malgré mes efforts, le bruit de mes pas a percé le silence de la pièce. Lui, il était resté impassible comme à son habitude.

• — Excusez-moi de vous déranger, mais j’étais en avance et…

En fait je ne savais trop quoi dire et je m’en voulais déjà d’avoir eu des pensées aussi déplacées…
Et puis elle s’est tournée vers moi. J’ai bien cru que je les dérangeais, et c’est vrai que c’est la première fois que je m’immisçais dans le privé, à cette heure de la journée. En voyant la découvrant pour la première fois assise dans ce bureau, dans un cadre pour moi chargé de tant de souvenirs et d’émotions, et à une place où j’avais déjà commis avec mon maître bien des forfaits, je ne pus m’empêcher de ressentir un trouble… Elle était tellement jolie et fraîche dans son petit tailleur ajusté et toujours aussi coquette et belle ! Quand elle s’est relevée comme pour me céder la place, j’ai eu l’impression de la découvrir pour la première fois ! Elle était plus jeune que lui ! En voyant cette longue et fine silhouette parée de tous les atours harmonieux qui attirent le regard des hommes…je me rendis compte que j’étais moi-même sous le charme !
C’était la première fois qu’à un tel point, en parcourant des yeux la superbe anatomie d’une femme, je fus surprise d’un désir spontané : la voir entièrement nue devant moi et m’approcher, ayant ôté mes vêtements, pour sentir la douceur et la chaleur de son corps contre le mien ! C’est avec la même évidence que mon regard fut attiré par son joli décolleté qui était comme à son habitude tout sauf provoquant, mais qui pourtant laissait entrevoir de bien jolis appâts. Était-ce la perception chez elle de la nature singulière du regard que je portais sur elle, ou l’effet de la surprise provoquée par mon introduction dans ce bureau, ou bien une conséquence de mon imagination ? Mais j’aurais juré avoir vu ses jolies petites joues rosir !
Lorsqu’elle s’est éloignée pour me laisser seule avec lui me confronter à des explications que je ne savais comment formuler… j’étais fascinée par tout ce qui se dégageait d’elle : ce parfum exquis et pur qui imprégnait la pièce, la grâce de sa démarche, le spectacle de la courbe de ses hanches ondulant d’une façon si plaisante… Et puis il y avait son petit cul ravissant et ferme, moulé avantageusement dans une jupe étroite, qui se balançait sans excès…
Cette séduction qui paraît si naturelle chez certaines jeunes femmes qui n’ont guère à s’apprêter pour capter le regard des hommes, était avantageusement servie par le port de chaussures à talons qui soulignaient la cambrure de ses reins.

Le reste de la journée s’est déroulé normalement et finalement assez sagement. Une fois que je me suis tirée de justifications un peu embarrassées mais finalement crédibles, il s’est « contenté » ce jour-là de m’écouter lui lire une nouvelle lettre, assise sur ses genoux, pendant qu’il tripotait mes seins sous mes vêtements sans même les dénuder !

Je t’embrasse et je suis contente de bientôt te retrouver…
Ta chérie qui t’aime…





Lundi 13 Avril


Mon petit mari,

Ma passion reste intacte. Je t’aime plus que tout, j’avais envie de lui et qu’il me fasse l’amour, j’ai toujours envie, en permanence, mais je n’arrivais pas à le croire… Cette douleur naissante de la jalousie est d’autant plus cruelle pour moi qu’elle me confronte à une solitude incontournable. Tiraillée entre deux hommes, et coupée de plus en plus de mes amies par les contraintes de ma double vie, j’ai l’illusion de la tendresse dans le contact de corps qui me convoitent et que j’aime, mais je me trouve incapable de parler directement de ce que je ressens à quiconque. Encore une fois, je perçois une fonction à ces lettres que je t’adresse, mon chéri, mais je me rends compte aussi que leur existence m’aliène plus qu’elle ne me libère ! Je t’écris, je te parle à toi qui veut bien m’entendre, et je porte le secret même de ces lettres que je ne peux dévoiler à nul autre qu’à vous deux… comme une prison que j’élabore moi-même, captive que je suis d’une passion dévorante.
Ainsi, en arrivant ce matin, je me sentais un peu comme une étrangère, comme si j’étais de trop. L’accueil de Muriel aussi chaleureux que d’habitude avait soudain une saveur cruelle. Je me suis rendue à mon « entretien » habituel, mais j’avais du mal à extraire de mes pensées cette sensation de lassitude qui résultait à la fois d’une nuit sans sommeil. La question n’était plus celle de la confiance que je pourrais avoir à son égard, elle était celle de la confiance perdue vis-à-vis de moi-même. Autant je me sentais transformée, plus forte et peut-être plus belle sous l’effet d’un amour que je croyais exclusif, autant le doute qui s’était insinué en moi et qui prenait toutes les apparences de la certitude, me rendait soudain terriblement fragile. Bien sûr, en venant comme chaque matin, j’ai remarqué quelques regards de passants qui auraient pu me rassurer, mais au lieu de me flatter, j’avais l’impression que ces derniers glissaient sur moi comme s’ils s’étaient adressés à quelqu’un d’autre ; à une femme à l’apparence épanouie et dynamique et à la réussite sociale éclatante… mais qui n’était finalement qu’une femme d’apparence !
Il apparu dans l’échancrure de ma porte, il était beau comme jamais, et je me suis à nouveau sentie belle… parce qu’il me l’a dit !

• — Vous êtes ravissante ! Je suis tellement flatté que vous puissiez éprouver un quelconque intérêt pour moi !… Qu’est-ce que je pourrais faire maintenant pour vous faire plaisir ?

Je n’avais qu’un désir à cet instant… qu’il me serre très fort dans ses bras et qu’il continue à me témoigner ainsi de l’affection, comme si nous étions seuls au monde. Je me suis approchée de lui et en prenant son visage entre mes mains, j’ai rapproché ses lèvres des miennes, comme j’aurais porté à ma bouche un calice pour en boire la saveur sacrée. Quand je les ai senties tout contre moi, la caresse de sa respiration me devenant sensible, j’ai eu l’impression que j’allais l’embrasser pour la première fois. Ce fut un baiser tendre, sensuel et langoureux comme seuls en connaissent les amoureux des premiers jours. Je m’abandonnais d’autant plus à sa puissante étreinte, qu’une fois encore, il agissait comme je le souhaitais…
Longtemps il a caressé mes cheveux tout en embrassant avec la plus grande délicatesse les moindres recoins de mon visage.
Et puis j’ai eu cette envie brutale de me donner à lui, curieusement, moins portée par un désir physique intense, que par celui de le remercier. J’avais vraiment l’intuition provisoire de n’être qu’à lui, comme cela, tout de suite, sans plus de préliminaires, était ce que j’avais en cet instant magique, le mieux à lui offrir ! J’ai ôté mon string d’une façon si discrète, alors qu’il ne cessait de cajoler mon visage, que je ne suis pas certaine qu’il s’en soit d’abord aperçu… et lorsque j’ai pris sa main pour la porter sous ma jupe. J’étais davantage guidée par la tendresse que par l’excitation. Lui offrir le contact que j’espérais soyeux de ma petite motte baveuse, n’était pour moi qu’une caresse de plus que je lui prodiguais. En effet, c’est moi qui guidais ses gestes plus qu’il ne me caressait. Il se laissait faire, et c’était bien… Nous étions debout et j’avais l’impression d’être plus fermement campée sur mes jambes que lui, malgré mes talons et ma posture indécente. Et puis ses doigts qui venaient se nicher dans ma fente devenue crémeuse, commencèrent à faire leur effet… À mon tour je me sentais vaciller. J’ai dégagé son membre déjà bandé et me suis laissée glisser jusqu’à me retrouver, le plus naturellement du monde sur les genoux en train de le sucer avec gourmandise. Je le caressais pendant ce temps si légèrement entre les jambes que je devais le chatouiller car je sentis bientôt, par l’aspect soudainement granuleux de sa peau et la perception chez lui d’un léger tremblement… qu’il venait d’être saisi d’un frisson. J’étais comblée de sentir à quel point j’avais la faculté encore de lui procurer du plaisir, et c’est vrai que j’y mettais alors toute mon attention et ma patiente application. Certes, j’avais aussi envie d’être comblée d’une autre manière, mais je souhaitais par dessus tout faire durer notre étreinte le plus longtemps possible, comme une réponse des plus féminines à nos ébats précédents si sauvagement masculins ! C’est pour cette raison que je me suis mise à ralentir la cadence. Je ne cessais pas d’avoir sa verge adorée dans ma bouche, mais je la suçotais plus que je ne la suçais. C’était ma langue qui œuvrait à lui prodiguer de douces caresses alors que mes ongles grattaient à peine ses testicules. Je gardai sa petite bite gorgée de désir bien au chaud dans ma bouche, lui serrant fortement les bourses, je sais que tu adores cela, et lui aussi appréciait, je sentais au contact de ma langue, la saveur salée et maintenant humide de son gland. C’est alors que je me suis mise à lui téter la bite comme l’aurait fait un petit animal qui cherche désespérément du lait.
Tout cela était pour moi avant tout le témoignage de la plus grande tendresse que je pouvais lui fournir. Le sexe n’était finalement ici qu’un moyen. Je voulais qu’il vive ainsi le fait que « nous fassions l’amour » à l’opposé des saillies sans tendresse qu’il faisait subir à son épouse. Ainsi je me sentais plus que jamais dans cet état de soumission et de domination, comme étant sa tendre concubine. Du même coup, j’avais l’impression qu’à ses yeux je redevenais quelqu’un.
Finalement, qu’il puisse séduire, jouir, ou faire jouir d’autres femmes, cela n’avait plus d’importance, si par mon inventivité et la nature singulière de nos rapports, j’étais capable de lui offrir quelque chose de différent, qu’aucune autre ne pourrait lui donner. Il fallait pour cela que je ne faiblisse pas comme je venais de le faire. Je devais toujours lui montrer une disponibilité sans faille. Je devais non seulement être capable de répondre, mais aussi d’anticiper ses désirs les plus secrets. Je serais maintenant son esclave consentante, mais aussi plus que cela. Désormais, en prenant également l’initiative, j’aurais le plaisir de me sentir maîtresse en partie de ma destinée, même si celle-ci devait rester encore enveloppée de mystère ! C’est avec cette conscience et cette confiance retrouvée, que je l’ai fait basculer sur le tapis. J’ai libéré son sexe complètement en baissant son pantalon, pour lui offrir un écrin plus savoureux encore. Avec la détermination d’une cavalière qui veut apprivoiser un jeune étalon, j’ai entrepris de le chevaucher. Quand j’ai senti son membre s’engloutir dans mon sexe, ce fut différent comme sensation, sa chaleur plus importante, le contacte plus doux, le ressentiment de chaque parcelle de sa tige, de son gland, je compris un peu trop tard qu’il était sans protection, certainement dû à l’intense excitation d’une nature singulière et puis, de le sentir emprisonné entre mes cuisses, c’était sans regret, de jouir de ce nouveau pouvoir que je croyais finalement avoir sur lui.
Après l’avoir savouré longuement, tout en maintenant ses mains au sol, afin de lui interdire de me prodiguer la moindre caresse, j’ai senti sa semence inonder mon vagin se mêlant à ma propre cyprine , comme un cadeau hors de prix qui était finalement ma juste récompense ! Nous sommes restées emboitées l’un dans l’autre, le temps n’avait plus d’importance, il était remplacé par des caresses profondes, de bisous prononcés et de ballet de langues baveuses, très envoutants… Traversée de petits orgasmes contrôlés, sa queue repris de la vigueur en moi, la hampe gonflée à bloc, le coulissement repris pour mon plus grand désir, mais très vite son éjaculation arriva, mon con débordait de trop plein de son sperme.

Un baiser sur tes lèvres de ma part …


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