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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Tout d’abord, je tiens à me présenter:je m’appelle Philippe, j’ai 45ans, je suis marié à Valérie depuis 1999, 42 ans, belle brune aux yeux vert-gris, 1m72, 54 kg , des petit seins fermes qui me rendent toujours fou d’amour. Nous avons un magnifiques enfant .
Notre vie est plutôt simple mais pas banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties .
Au niveau sexuel, je ne dirais pas que c'est classique,des rapports assez fréquents, les idées sont variées, aimons nous exposer l'un à l'autre dans nos masturbations après une longue fellation. Nous sommes Naturiste ce qui pose aucun problème à Val d'exposer son corps . De plus sommes sortis en club échangiste ayant obtenu une expérience entre filles et une autre mélangiste ,qui me confirma que mon épouse avais plus d' intérêt et de plaisir sur la gente masculine.
Avons décidez un jour de nous rendre en week-end d' amoureux à Paris.
Arrivés gare de Luxembourg-ville, notre chauffeur de taxi ne se privait pas pour savourer la vision de ses jolies jambes mises à nu par cette robe légère mi-cuisse, et nous sommes partis enlacés vers notre destination. J’ai toujours aimé sa finesse avec ses formes, mais là, je ne saurais dire si c’était le printemps, l’air des vacances, je sentis monter un violent désir en moi. Naïve, ma douce ne s’est pas aperçue de l’effet qu’elle provoquait chez nos congénères masculins. Inconsciente de son charme, elle se déroula hors du taxi, mes yeux rivés sur ses petites rondeurs si sensuelles. Tenant la porte de la voiture dans un état second, je dus atterrir brusquement, m’arrachant de ce moment de volupté.
Nos légers sacs de voyage en main, nous avons pris le temps de prendre un café en gare dans l'attente du futur départ, vivant dans un rythme en totale adéquation avec la frénésie ambiante. On s' aimait des yeux, comme à notre habitude, comme de jeunes tourtereaux que nous n'étions plus. Après cet interlude de tranquillité, nous sommes montés dans le train, en première. Ma douce mérite au moins le meilleur mais déception dans le train, au moment de la réservation, nous étions séparés par le couloir et un homme de 30-35 ans, plutôt pas mal, bien habillé, bref, le jeune homme que toutes les belles-mères imaginent comme «gendre idéal».Ma douce côté fenêtre, ma pomme en solitaire à l’autre fenêtre. Les autres voyageurs étant parsemés mais loin de nous plus à l'avant du wagon..
Tant pis, pour le retour, nous ferons attention .
Nous prîmes place à nos sièges respectifs, mon regard et mes pensées s’évadant vers la cohue de la gare et du train démarrant, puis dans le début de ma lecture,appréciant ma bulle de calme. Je lisais sans trop faire attention, mais au bout d’un moment malgré la revue ouverte du personnage, j’ai remarqué que l’homme posait ostensiblement sa main sous sa lecture , ce qui devait être sur sa braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets…! Et mon épouse à ses côtés jouant avec son IPhone ne semblait rien voir...Je ne sais pas dire pourquoi, même en étant offusquée intérieurement, j’étais comme attirée par ce petit manège, discret au début, puis qui m’a semblé plus insistant. Je regardais à la dérobée derrière mon magazine,il me semblait que ma Val avait le feu aux joues ,difficile d'imaginer qu'elle ne l'avais pas observée,de plus elle décroisait régulièrement les jambes ....
Et alors que le train s’ébranlait en direction de Paris, c'est avec sidération que je la vit engager la conversation avec son compagnon de route, dont le regard faisait beaucoup d’allers retours de sa lecture aux courbes de ma jolie compagne. Sa lecture qui était au passage un roman des plus érotique ,connaissant l'éditeur... Après un quart d'heure de conversation dont je ne pût entendre la teneur (merci la première!). Un moment je le surpris à me regarder comme pour dévoiler sa connaissance du couple que nous formions avec ma tendre,souriant...m'adressant un clin d’œil ...Je râlais intérieurement, car sur l’instant je l’ai trouvée «gonflée»,
Puis il enleva sans se lever sa veste de costume et la posa sur ces genoux ,le haut dépassant légèrement sur ceux de ma femme qui ne broncha pas mais qui décroisa définitivement ses jambes se tournant légèrement vers lui, une chaleur me pénétra à cette instant...Sans doute a-t-il pris le geste de ma femme pour un encouragement car il lui montra sa lecture qu' elle feuilleta avec attention s’arrêtant sur un article désigné par les soins du Monsieur, je perçus à nouveau sa main gesticulante en explication ,effleurer futilement le bras en plusieurs endroits de ma conjointe et finalement se poser sur la cuisse de ma douce touchent le tissu cette fois-ci de sa robe.
Alors que j’attendis qu’il se prenne une réprimande, elle la laissa en place et tu lui sourie et ,du coups très vite il accentue sa prise avançant délicatement, gravissant quelques centimètres supplémentaires, descendant, comme une caresse, remontant par la même sa robe à la limite de la vision de son string. Val s'enfonça un peu plus sur ton siège ce qui fit qu'accentuer la situation ,lecture du livre prêté et dans les commentaires de l'homme que je percevais par bribe... Désormais j’apercevais et reconnaissait ton mini-string de chez Lola ,et espérance sans me l'avouer que ton choix ce soit porté sur celui qui était ouvert. Situation à la fois déroutante mais combien excitante de la crainte et de ton attitude abandonnée de tes désirs les plus chauds...
Il te glissa quelque chose à l’oreille. Je t’observais lui sourire ,lui répondre ,tes pommettes n'étaient que vifs ,tu me donnais l’impression de chaleur ,puis d'un geste sûr ton bras bougea ,je vis ta main planée et venir à l’encontre de son entrejambe ,tu palpais délicatement son paquet sous sa veste ,tu me regardais discrètement et me faisais comprendre la grosseur de la chose,pendant que celui-ci avais glissé ses mains sous ta robe et touchent ton entre-cuisse...De la valeur de ton geste il se désigna pour être encore plus entreprenant dans ses attouchements. Tu écartas les cuisses timidement et puis franchement,te laissant abandonner ,te laissant guider...
Mais nous vîmes arriver de loin le contrôleur ,ce qui n’eus pas beaucoup d'effet réactionnel sur vos positions ,cachées en partie par la veste ....Le temps de contrôle dura puisque ton inconnue engagea comme par jeu la discutions avec celui-ci, présenta son billet et le tien par la même occasion avec sa main libre et de l'autre s'activait certainement dans ta moiteur, ton comportement me fût troublant encore plus quand tu ouvrais la bouche comme pour parler mais qu'aucun sons ne sortais...J'ai supposé à cette instant une pénétration inquisiteur d'un doigt...Puis le contrôleur vagua à son destin au wagon suivant nous remerciant et nous souhaitant une belle journée...
Tu repoussas légèrement sa veste et je découvris ta poigne sur un sexe membré si imposant et si surprenant a la fois ,couronné par un gland turgescent,complètement libre de chair... Je n'avais même pas vu la libération n'y le doute de présence de celui-ci tellement j' étais omnibulé par le pouvoir de la main de cette homme sur la chatte de mon épouse...L’idée de voir ma compagne accrochée au pénis d’un autre homme m’envoûtait...Tu le masturbais en regardant parfois attentivement autour de nous, la peur d’être découverte .L'homme ne prêtait guère attention, bien au contraire,il dégagea ces bourses du pantalon, elles étaient sans poils comme le reste mais elles n'avaient pas de scrupules sur la taille avec le reste, une parfaite synchronisation.
Tu avais tes pointes de seins bandées à l’extrême ,déformant le naturel de ta robe,tes yeux mi-clos par instant, impression de savourer. Je bandais à en avoir mal , adrénaline en moi et mon cœur battait à toute allure Je pensais à ces petits jeux où l’on imaginait d’autres hommes te mater ,te caresser, te regarder occupée à offrir une gâterie dont tu a le secret ,ta bouche,ta langue délicieuse,sentir couler ta salive... Je me rappelle à quel point ces petits scénarios stimulaient tes orgasmes pendant nos ébats, ces moments ou je te demandais tes désirs ,que tu me proclamais assez difficilement sauf l'orgasme arrivant...une autre queue...oui je veux une autre queue...
Tes lèvres se mordant échappant un gros soupir étouffé ,me firent sortir de mes rêveries ..Il avait tous découvert très certainement et totalement exploré ta fente ,la découvrant épilée et dégoulinante de tes sécrétions, de ta mouilles...Tu t’écartais au maximum, offrant totalement ton intimité ,tes grandes lèvres gonflées dépassant de ton string de chaque cotés,s' ouvrantes d’elles-mêmes pour offrir ton sillon d' aspérité luisante,ta grotte offerte ...Tu le laissa jouer avec ton bouton bandé décapuchonné et gorgée de sang. Ta bouche s'ouvrait et se refermait sans contrôle ,tu étais haletante ,acceptant les contraction au fond de toi. Son bras naissant de sa main entama un léger va et viens ,un clapotement se faisait entendre distinctement ,il te baisais avec plusieurs doigts...
Tu ne restes pas inactives de tes longs doigts enroulés autour de ce gros gland décalotté rouge vif ,une masturbations saccadée est lancée ;personne n'est en reste sur l'excitation car j'aperçus rapidement une grosse goutte translucide qui perlait à la pointe de sa queue...De ton autre main ,tu la porte à ta poitrine qui se souleva,la malaxant tendrement ,jouant avec le pointes au travers du fin tissus... Ta jouissance te frappa si soudainement ,des convulsions prirent possession de ton corps, une extase longue et forte accompagné de bruits, humide et d'un léger râle provenant de ta gorge et de ton vagin partiellement étouffée par le train lancé...Ta main toujours active su la colonne de chair maintenant gluante , tu me regardais malicieuse,regard entre-coupé de coups d’œil furtif au alentour ,ta décision est vite prise, tu te penches bouche ouverte sur ça bite, soubresauts annonciateurs au contacte de ta langue ,de tes autres lèvres se refermant dessus, le gobant, l'aspirant avec frénésie ,je vis rapidement cette queue tressauter ,frappant ton palais avec vigueur, le Don Juan se cabra ,se déversa et se vidant en toi de sa semence, giclée après giclée laissant apparaitre à tes commissure un liquide crémeux d'aspect blanchâtre qu'aucun échappatoire ne vint délivrer, ton corps avalait le nectar avec délectation ,puis comme par soucis de propreté, ta langue passas sur tous les contours et surfaces possibles ,le pompant et essayant d'extraire le maximum, allant sur ses bourses en remontant sur la hampe, à la pointe du pieu bientôt déchu, avec un regard dans ma direction comme une victoire certaine... Tu lui rendis cette queue qui ne semblait pas baisser la garde, propre et luisante ,tes yeux dans mes yeux, fière de toi ,comme moi de toi...
Et réalisais en changeant de place avec le beau mec pour te retrouver que j'avais déchargé depuis un bon moment dans mon boxer...
Valphil.
#887664
Super comme récit. On ressent tes sentiments et la façon dont l'homme à prit le contrôle de ta femme pour ces quelques minutes. Moi je ne demande qu'a lire la suite, ces explications et peu être plus, le voyage jusqu’à Paris risque d'être long
#888321
Bonjour et merci de vos encouragements,Val est très excitée à notre écritures ,ainsi que l'importance de vos commentaires, nous nous mettons au travail sur la suite...Bientôt.attachment=0]Valphil.JPG[/attachment]
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#888376
Je me joins aux autres pour dire mon excitation et plaisir à la lecture de ce récit... Je vous encourage fortement à continuer, madame et vous même avez l'air très doués pour la réalité et la fiction... Un plaisir de découvrir le fruit de nos désirs en photos...merci
#891912
Après avoir avoir pris possession de notre chambre d' hôtel Rue des Capucines , une bonne douche ou nous nous sommes savonnés ensembles mêlé de nos fou-rire, nous avions décidés de faire les magasins ,du shopping ,Val recherchant à s'habiller... Mon épouse pour ce fait se décida pour une robe courte et légère et me surpris sur le fait de ne pas porter de culotte, juste un soutien gorge , elle le fit de manière délibérée ,accédant de ce fait à un de mes fantasmes, plutôt pour me faire plaisir à moi son chéri et pour me rendre certainement encore plus amoureux. De la même façon qu'elle apprécie la sensation d’être nue, sur le bord de la piscine en Provence ou ailleurs de nos vacances, ce sentiment de liberté que lui procure le bien fait ...

Dans la grande boutique de vêtements où ma Miss avais vu les articles qui l’intéressaient, elle choisis deux jupes assez courtes et entra dans une cabine, quitta sa robe se retrouvant par le fait presque nue de la taille aux pieds et enfila une des jupe ce qui ne fit que de recouvrir le bas de son corps dévoilant sa poitrine enrobée dans ce petit soutien-gorge transparent qui laissait apparaitre les pointes saillantes et couronnées de ses auréoles .Séparée des autres clients que par un mince rideau de tissu ou je passais ma tête de temps en temps pour la découvrir dans son évolution.
Dans un autre magasin celui-ci de sous vêtements luxueux, elle demanda au vendeur (que nous soupçonnions être le Boss) qui nous accueillie et se présenta à nous, belle homme de la trentaine, grand et fin ,couvert d'un élégant costume, un peu surpris que nous soyons tombé sur un homme dans ce genre de vente ,découvrant d'un balayage un petit nombre de vendeuses bien occupées à d'autres clients autour de nous, Val un peu honteuse lui fis part pour les modèles Vitovenice que ma douce avait visionnée sur internet, ainsi qu’une paire de bas. Celui-ci pris le tous et nous dirigea dans l'arrière boutique ,style salon équipées d’un miroir sur la paroi du fond et de tenture rouge, pièce surchauffée, il nous laissa vaquer à l'essayage et disparut derrière un rideau velours. Elle enleva de nouveau sa robe et installant le soutien-gorge par-dessus le sien (hygiène oblige.) Observant son déshabillage avec un intérêt certain je me posais sur un fauteuil. Val passa le porte-jarretelles. Ensuite, elle se posa sur le banc pour enfiler les bas ,son pubis glabre et lisse ,ses lèvres rose au centre ,son petit bouton ornant sur le dessus, le tous entouré par le porte-jarretelles. Belle, hyper sexy, sont les mots qui touchèrent mon esprit, dans cette tenue ,elle me regarda souriante ,une pointe aguichante et fière du résultat, allant même à outrance écarter les cuisse par jeu...Une érection non dissimulé bosselant mon pantalon, je parla même à mon sexe, ce qui déclencha une rigolade à l’unisson.
Au même moment, la vendeur arriva sans crier gare: «Ça va, Madame, vous avez tout passé? »«Euh, non! Je ne peux pas... »Elle répondit cela sans trop réfléchir. Lui, certainement intriguée et désireux de l’aider,mais qui n'avait pas pût ne pas voir mon épouse les jambes ouvertes, s'approcha d' elle, la découvrant à moitié nue. Pas démonté pour autant il lui dit: «Ah, oui! Je comprends! Cet ensemble vous va à ravir, les bas vont bien avec, mais vous n’avez pas attaché le petit nœud.» Et il se pencha pour faire la boucle du ruban décoratif du porte-jarretelles,se trouvant par ce fait à quelque centimètre de son intimités, les yeux à la hauteur de son pubis, puis ajusta sur ses hanches les clips sur les bas rehaussés d’une large bande de dentelle, lui frôlant l' aine pour l’intérieure .Le contact de ses mains qui me semblais comme des caresses me troublaient et certainement Val ne restait pas insensible à cette situation, à quelques centimètres de l'intimité de mon épouse que je devinais à coup sûr humide, la voyant frissonner et un peu troublée de la situation ,déclenchant la rigidités de ses pointes bandées, parfaitement visible même au travers des textiles, le tissu tendu peinant à contenir cette chair vivante décuplé.
J’aurai eu envie de l’embrasser, de la couvrir de mon corps, tellement le tableau sous mes yeux était divin....
L'homme porta un regard bref vers moi me découvrant une mine réjouie, se retournant vers mon épouse décida d'une manœuvre délicate en voulant lui remonter un bas mal posé, Val leva légèrement le pied du sol, mais déséquilibrée n’eut comme appuis les épaule du vendeur, pour ne pas tomber, elle sentis brusquement une main se plaquer sur la cuisse à sa naissance ,lui touchant par son revers les lèvres intimes. Elle sursaute à ce contact auquel elle ne s’attendait pas.
«N’ayez crainte, je voulais juste vous éviter de tomber, pas que le spectacle de votre corps allonger au sol ne me déplaise mais je ne voudrais pas que vous vous fassiez mal.»Elle bafouilla un je ne sais quoi pour se sortir d’affaire...
Tu sentais cette proximité gênante et excitante à la fois. Il était si proche de toi, que tu devais sentir la chaleur de son corps tous près du tien et, comme dans le train, ton excitation monter inexorablement d’un nouveau cran. Ce n’est plus un chatouillement qui te picotait le bas-ventre, tu avais l’impression de couler comme une fontaine...Le pire pour toi était d'imaginer ,que sa main au contacte de ton sexe, allait s'apercevoir de cette humidités, tr ressaisir était pour toi le mot d'ordre, mais il ne t'en laissera pas le temps...
Conscient de ton trouble il lui dit :«Ça ne va pas?» «Si si, bien merci »,«Je vous sens évasive tout d’un coup » «C’est que… je ne sais pas, je me sens gêner dans cette situation, je me dis que nous devons être fous et puis quelqu’un pourrait entrer.»en me regardant avec des yeux remplis de SOS «Gêner? Une aussi jolie femme que vous? On vous a déjà dit que vous aviez la peau très douce je suppose….? » Sur cette parole, il intensifia la pression de sa main sur sa cuisse, puis se mit à la caresser tout doucement :« Je sens votre corps traversé de millions de frissons, le plaisir sûrement mais aussi la surprise, l’étonnement....vos jambes , je les trouve si attirante ainsi gainées… »Il ne te laissa pas le temps de répondre que déjà son autre main glissait le long de sa jambe jusqu’à la cheville, puis remontait doucement jusqu’au genou. La caresse état douce, sensuelle, un brin érotique. Ces doigts se fessaient légers puis plus insistants. Il touchait, caressait, palpait …«Vous aimez vous faire caresser ainsi, devant votre maris?» «Oui beaucoup, mais je dois avouer que c’est la première fois dans une cabine d’essayage». «Et ça vous déplait?» « Non, mais disons que je trouve ça gênant, sachant que du monde sont de l’autre côté et puis on ne se connaît pas ….. »«Justement c’est ça qui est excitant ….. on ne se connaît pas, nous avons donc tout à découvrir l’un de l’autre….. Mais puisque la cabine vous gêne, je vous propose de dîner ensemble ….. Il y a un très bon restaurant juste en face. Ça vous tente vous et votre époux, de dîner avec un inconnu comme moi?» Tu as une seconde d’hésitation, la situation va tellement vite ….. Tu me regarde ,acquiescer de la tête et alors comme un nouveau défi à toi-même tu rétorques: «Pourquoi pas .»«Très bien, alors disons rendez-vous à 20 h. en face, je vous y attendrai. Juste une chose : gardez ces sous-vêtements SVP.»
Après un dernier regard sur ton corps à demie-nue et un sourire charmeur au bord des lèvres, il nous laissa plantés là, dans cette pièce qui tout à coup nous semblait immense. Je me levais pour te prendre dans mes bras et nous nous prenions nos bouches, nos langues se mêlant, je glissais ma main vers ta grotte et découvrais sans surprise qu'elle était inondée...Une fois rhabillée, tu sortis toute ébouriffée par l’émotion. La vendeuse car le vendeur avait disparu ,d’un sourire qui en dit long s’empressa d’emballer les sous-vêtements que tu portais en arrivant…..Enfin le pluriel est inapproprié…..
Il se trouva que le restaurant en face ,était le restaurant de notre hôtel...
Le soir venu ,nous nous sommes préparés ,physiquement bien sur , me freinant de caresse pour toi tant l' excitation était déjà forte, mais aussi moralement, peur de l'inconnue ,des limites fixées ,poussés dans nos retranchements.
Ma femme plus que moi encore, remettant en compte nos désirs ...Mais je l'encourageais dans cette voie ,persuadés de nos vœux et de l'évènement positif qui nous attendait ...
L'heure arrivant nous descendîmes au restaurant, traversant la salle, j'étais dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit par ton élégance, ton sexe à pile sur les serveur et les autres convives attablés te regardèrent en tournant la tête sur ton passage ,notre invité au loin déjà posé nous regardant nous approcher devait avoir le même effet, il se leva ,me salua et te fis la bise, te prenant par la taille, nous primes place ,moi à côté de mon épouse et lui en face de toi...Val avait revêtue son soutiens gorge achetés le jour même comme pour jouer le jeu, un chemisier unis noir légèrement transparent avec les deux premier boutons ouverts ,et une jupe courte de même couleur qui dissimulait à peine son porte jarretelle, laissant juste deviner la naissance de la tendelle du bas une fois assise ,sans string ou autre dessous ce qui me ravissais, quelque bijoux discrets et, parfumée à l’exquise, se qui mettais son corps très en valeur ,tu devais être la plus belle femme de la soirée sans aucun doute...
Après avoir bien dîné et bu, en racontant pas mal de bêtises, parfaitement détendus, je proposa un dernier verre, à l'étage, nous avions tous les trois regagné notre chambre naturellement ou nous disposions d'un petit coin salon où nous attendait une bouteille de mousseux.
Val avait les joues roses et les yeux verts, pétillants de ces petites bulles qui lui font tant d'effet et la rendent amoureuse et déchaînée dans les jeux érotiques.
Tout naturellement, elle est allée s'asseoir dans le canapé, la place la plus profonde, ce qui l'obligeait à tenir serrés ses genoux pour préserver son intimité. Moi à ses cotés et notre invité s’installant en face de nous, ou plutôt en face d'elle dans un fauteuil.
A chaque fois que mon épouse se penchait pour poser son verre sur la table basse, nous avions une vision profonde et presque complète de sa superbe poitrine, son chemisier avait deux boutons supplémentaires ouverts libérés en cours de soirée, laissant apparaitre son soutien-gorge, son sillon entre les deux lobes…
Une coupe de champagne et quelques mouvements plus tard, sa jupe remontait par le frottement et dévoilait le haut de ses cuisses, laissant visible l' attaches de ses bas, qui n’arrangeait pas la gêne de Patrick qui devait la trouver de plus en plus …désirable !!!
Tu continuais à parler et à rire, et sans que rien ne laisse supposer qu'elle s'en fut aperçue, ses genoux légèrement desserrés révélaient l’intérieure de ses cuisse, laissant deviner au loin dans le sombre, ton intimité...
Ton sourire angélique, ton air serein et innocent rendaient cette exhibition terriblement excitante.
Patrick,le prénom de notre vendeur, un peu agité dans son fauteuil, semblant faire de vains et surhumains efforts pour empêcher son regard de plonger directement entre tes cuisses, il avait le sentiment d’être un voyeur privilégié profitant de ces trésors dévoilés par inadvertance. Val était maintenant totalement désinhibée par le champagne. Moi son mari laissait ce moment durer et il devenait évident pour Patrick que je ne cherchait pas à le priver des charmes de ma jolie compagne, ne faisant rien auprès d'elle pour lui faire rectifier une attitude qui devenait un appel au viol.
La tension dans la pièce était palpable. Patrick qui avait de plus en plus de mal à cacher son trouble et un début d’érection et sans oser croiser le regard de son hôte, osait observait ma muse directement entre les jambes. Tu me regarda comme pour chercher l’absolution, me souriant coquinement dans un sourire de Joconde, mon visage positif, tes jambes s'ouvrir un peu plus, la scène devenais obscène, pour notre plus grand plaisir. J' était dans un état d'excitation proche de l'orgasme tant cette exhibition était perverse et imaginait que Patrick ne devait plus savoir penser, une bosse non dissimulable était apparue depuis longtemps sur son pantalon.
Après avoir resservit leur verres, ma puce posa sa tête sur mon épaule, les jambes tournées vers Patrick, légèrement ouvertes. La vue devait était superbe, il avait sous ses yeux les cuisses de ma femme et la jupe était remontée si haut qu’il ne devinait plus rien.
Le bras autour des épaules de ma femme, j' avait glissé ma main dans le décolleté de ma femme pour empaumer un sein , chaud et ferme. Elle n’eut aucun mouvement de recul et s'appuyant encore plus lourdement sur moi. Dans cet abandon, ses fesses glissaient de quelques centimètres sur le canapé, sa jupe noire remontante à l’extrême ,découverte de la base à l'autre extrémité de ses lèvres vaginales plus que brillante, nous devinions dans un replis de tes chairs, posé comme une gouttelette de crème voulant sans échapper.
Patrick ne perdait pas une miette du spectacle. La respiration de ma douce un peu haletante ,son téton qui durcissait, ta poitrine gonflée sous ma main inquisitrice. Plus personne ne parlait et un fond de musique berçait une atmosphère irréelle et chaude, libérant peu à peu cette odeur agréable de désir…
Au bout de quelques instants, je me jetait à l'eau, de ma main libre, je faisais sauter délicatement les boutons restant de son chemisier, continuant à titiller et à caresser le téton que j' avais empaumé.
Notre invité s’excusa et pris possession de la salle de bain... Quant il revenu ,il nous trouva enlacé , bouches ouvertes et langues virevoltantes, chemisier et soutiens gorge envolés, j' abandonna mon épouse à mon tour,le besoin de faire un petit brin de toilette en laissant place et désignant le canapé à notre hôte , ce qu'il accepta immédiatement...
A mon retour je les découvris s'embrassant fougueusement, je pris place en face d'eux ,mon verre à la main me délectant du spectacle offert, j'étais transporté ...
Patrick ne se contentât pas de lui fouiller la bouche avec la langue,alternant sa langue sur tes tétons qu'il happait et tes lèvres, il attrapa le bas de la jupe pour tenter de la remonter et à mon grand étonnement, tu soulevas ton bassin pour faciliter le geste de cet homme.
Troussée jusqu'à la taille, exposant tes jambes musclées et bronzées sans marques, ton joli fessier, seins nus débarrassée de ton chemisier et soutien-gorge , tu t' offrais et terriblement excitante, plus encore ...
Patrick se dégageait légèrement pour atteindre son ventre et poser sa main sur la chatte. Tu écartait très légèrement les cuisses. Il devait sentir tes lèvres gonflées et humides.
La situation t'excitais bien autant que les deux hommes et tu te sentais prête à subir un traitement beaucoup plus énergique.
Devant ton spectateur, moi ton mari ,il commençait à te peloter du bout des doigts, formant un petit cercle en mouvement sur le haut de ta chatte, tu t'est mise à gémir doucement, ouvrant lentement tes cuisses, jusqu'à poser une jambe sur le canapé, tes portes d'amour se désunir, laissant apparaitre ton trou de plaisir mais comblé de cyprine.
Je ne voulais pas bouger pour l'instant, malgré le signe que notre ami me faisait pour que je les rejoigne. Je me contentait d'apprécier ce superbe spectacle que m'offrait mon épouse en se laissant branler. Ton clitoris était complétement sortit, tendu d'un rouge vif, comme une mini-bitte, recherchant absolument le plaisir...
Ma femme ondulait dans les bras d'un autre, ce qui me procurais plaisir immense mais aussi un pincement au cœur, une jalousie apparente par moment mais vite effacé par la sensation de ma verge qui tressautais seul, et bien trop à l'étroite dans mon caleçon désormais trempé de mes sécrétions ...
Ta jambe posée sur le canapé était agitée de tremblements. Tu avait tourné la tète, le visage désormais niché dans son cou et il sentait tes lèvres l'embrasser sous l'oreille. Les seins qu’il pelotait tour à tour dans sa main étaient déformés ,étirés, ils avaient l'air très excités, alors sans plus se préoccuper de lui, il t'écartait le fin sillon , tes petites lèvres gonflées totalement ouvertes comme une fleur et la rosée du matin, plongeant un doigt dans ta grotte gluante de jus, il s’attaquait aussi en parallèle au bourgeon dressé. Très vite, tu lui murmurais à son oreille, lui demandant plus encore...De ce fait il plongea l’index dans ton ventre , tu étais distendue, brûlante et trempée. Par moment arque bouté dans ses bras en geignant. Le doigt entrant et sortant de son vagin produisait un clapotement obscène, j'avais les yeux rivés à l'entrejambe presque à l'équerre de ma femme, tu semblais prête à basculer en avant. Il te branlait avec fougue, sentant la montée de ton plaisir, jusqu'à l' explosion, feulant , tendue et tremblante lançant un oui terrible...Elle déchargeait une quantités de mouille dans la main de notre hôte comme jamais, ma présence en tant que spectateur lui procurait, semblait-il, un plaisir bien plus fort qu'à l'habitude.
Tu retombait inerte dans les bras de Patrick, le visage toujours niché au creux de son cou, cuisses grandes ouvertes.
Semblant m'interroger du regard, et encouragé par mon signe , Patrick se leva et agenouillé devant toi. Il déposait ses deux mains sur tes hanches et approchait son visage jusqu’à l'écraser sur ta motte. Mon amour se tordait pour avancer son bassin à la rencontre de cette nouvelle caresse, Patrick te baisait lentement de sa langue,tu t'écartelait encore plus, te redressait pour regarder la tète de notre invité entre tes cuisse qui s'activait avec frénésie, les deux mains posées sur tes cuisses.
J' observait le bassin de mon épouse avancer par ac-coups à la rencontre de cette langue qui la fouillait au plus profond, et dans les moindres replis, soudain, elle décollât ses pieds du sol, remontant ses jambes au ciel, cuisses ouvertes au maximum. Patrick te saisissant sous les plis des genoux... Maintenait écartelée, totalement indécente, tes fesses presque décollées du canapé ayant sous les yeux ta fente béante et ruisselante, inondant tes fesses ,tachant le canapé.
Après s’être écarté quelques secondes de ce spectacle, Patrick replongeait à nouveau sur ton coquillage tandis que j’épiai sa langue pénétrer ton vagin, son nez frottant sur le clitoris tendu.
Tu t'est mise à délirer, gémissante, parcourue de tremblements, tétanisée, et tu jouissais en hurlant, alors que lui, collé à ton sexe, continuait à te laper de débarrassant de ta liqueur....
Je me déshabilla habilement, ma hampe gonflé expira de cette liberté, jamais mon phallus n'avais eu un pareil couleur...
Patrick m' imitais dans la seconde qui suivait mais sans décoller la bouche du corps de ma femme ,avec une grande dextérité ,il se débarrassa de tous ,découvrant ensemble avec mon épouse un corps assez musclé ,une queue large et brillante, tendue vers les étoiles, légèrement recourbé ,un gland plus large, violet et déjà décalotté, un sexe qui m’impressionna...
Val le repoussa légèrement, le fit se lever et s’installa, les genoux à terre, entre les jambes de notre hôte. Découvrant ce sexe, l’objet de sa convoitise , passant ses mains sur ses cuisses, apercevant au passage un petit sourire m'étant destiné. Soupesant ses bourses, le masturbant d'une main avec respect, elle commença par lui envoyer quelque cout de langue, créant des fils entre le méat et ses lèvres, puis elle aspira sa bite et commença à le sucer, sa queue gonflait encore et encore, la ressortant pour la découvrir encore mieux, complètement bandée décalotté et gonflé, la peau du prépuce tendue vers l’arrière, elle l'engouffra avec un réel plaisir dans les yeux,distillant consciencieusement son savoir faire.
L’excitation montait toujours en nous, je regardais ce couple d'un soir, Patrick semblait se détendre, il regardait les lèvres de ma douce se referment sur lui, coulant de son nectar à l’intérieure, la langue de ma femme tournoyante autour de son gland...Puis tu descendis sur ces bourse que tu goba, une à une, avec des bruits de succions, le masturbant, il se lamentait, il aimait cela mais quel homme n’aimait pas ça d’ailleurs ..
Je me rendis compte de moi même sans savoir combien de temps, ma main allait et venais sur ma queue trop désireuse de cet effet...
Val entrais son gland violacé encore plus profond dans sa bouche, elle le suçais fort et vite et quelques sons sortaient de sa bouche, le bisouillait, sa tête montait et descendait le long de cette queue fièrement dressée et enduite de ta salive...
Sans l'ondulation de ta croupe je ne me serais pas aperçu de ton autre main posé sur ta fente se branlant avec douceur et harmonie en alternance avec ton index glissant au fond de ton anneau musclé, ma femme semblait dans un état d’excitation incroyable, tu faisais salope, et j'adorais cela....
Un échange de regard complice avec Patrick intervint entre nous, il te releva à son tour, te déposant sur le dos les jambes relevées sur le canapé, glissant sa main entre tes cuisses, constatant ta chatte couverte d'un miel odorant et enivrant, ses doigts forçaient sa queue contre ton sexe ouvert, s’amusant à glisser près de son clitoris, il se frottait tout en prenant bien soin de ne pas la pénétrer.
Je ne manquait rien du spectacle dont tu avais le premier rôle. Ta respiration se faisait de plus en plus marquée, ma Miss se retrouvait avec la bouche ouverte, les yeux exorbités tantôt ouverts ou fermés, le visage rougit par l’excitation et ridé par les orgasmes, ta chevelure collée au visage, la main gauche agrippée à l' accoudoir, tandis que la droite avait pris possession de la barre de fer que Patrick avait entre les jambes.
Les mains fermement agrippées à tes hanches, sa queue désormais recouverte d'un préservatif, jouant toujours sur la longueur de ton abricot luisant, tapant avec son gland sur le clitoris, appuient sur tes lèvres à demie-écartées, la poussant à l'ouverture sombre très secrète ...Tout doucement ta chatte avala cette colonne, ce sexe volumineux et bien dur ne mit pas longtemps à disparaître profondément en toi. Instantanément habituée à sa présence comme chevillée, tu commenças des mouvements de bassin qui favorisaient les va-et-vient. Tu gémissais, tu râlais, tu te tordais de plaisir sentent buter tout au fond de toi l'organe palpitant, encaissant les coups de boutoir qui limait vigoureusement ton vagin ,ses mouvements amples et profonds semblaient te combler, ne sachant plus définir la multitude d'orgasme qui te traversaient, il te baisais énergiquement, t'arrachant de forts gémissements, cramponner aux fesses de cet homme, il ralentissait pour te prendre plus sensuellement, puis se retira du l’étroit conduit, te laissant pantelante quelques instant. Ma femme donna des coups de cul vers l' avant, semblant réclamer la saillie, il repointa et repris une cadence... Je vis tes mains lâcher les fesses de Patrick pour aller lui caresser le dos, le prendre par le cou pour attirer sa bouche sur la tienne. Cela dura quelques minutes comme ça jusqu'à ce qu'il reprenne son rythme fou qui, très vite cette fois-ci, te fit partir dans un très gros orgasme. Il resta quelques instants en toi, sans bouger, pendant tu jouissais toujours, un long plaisir charnel. Ensuite, il se retira pour se mettre à genoux, tu restais sans bouger, les cuisse ouvertes, laissant ta chatte et ton trou dilatée à notre vue.
Sa queue était vraiment énorme maintenant. Il alla s'allonger sur ton coté, à l'opposé de moi, et il te fit comprendre de te mettre sur le coté, de ce fait, tu te retrouva face à moi. La lampe de chevet éclairait ta jolie poitrine qui semblait plus gonflée qu'ordinaire. Tes tétons pointaient outrageusement. Je bandais fougueusement et surtout ne pouvant plus me retenir, tellement la situation était bandante. Je me décida, me levant vers toi, la bite érigée et gluante ,m'approcher de ton visage, te voir ouvrir la bouche avec une expression de délivrance et en même temps un gémissement. Sans doute ta grotte à nouveau pénétrée .Je posa mon gland décalotté sur ta langue bientôt rejointe de tes tendres étaux roses et humide ,tu commença à me suçoter, pointant ta langue sur mon méat...
Il te relevais la jambe pour la poser sur la sienne tout en te labourant.
Tes gémissements étouffés de râlement rauque étaient plus en plus fort.
Nous parcourions nos mains à l'unissons sur ton corps de femme en s'arrêtant souvent sur tes seins, les pressants, pincent tes tétons ce qui t'excitait certainement encore plus...
Je sentais avec la cadence que nous imposais Patrick ma jouissance culminante, et plus encore à son accélération soudaine, ton orgasme qui s’ensuivit dépassa tout ce tu avait connu auparavant. Tes dents tenaillant ma queue m'obligeant à rendre les armes, je me déversais dans ta bouche demie ouverte avec une rare violence ,regardant mon sperme te frapper le palais , envahir ta langue,que tu avalas pour la première fois à grande gorgée, me reprenant la queue en bouche comme pour extraire le maximum et vint son tour,il s' extirpa de toi, arrachant son préservatif, se masturbant avec vigueur, il se crispa, des jets puissants de foutre atteignit ton menton, inondant au passage ta poitrine et ton ventre, ne laissant que peux de peau apparente tant la quantités était présente...
Nous nous posâmes tous les trois sur le lit ,t'entourant de nos bras comme reconnaissance du plaisir offert par tes sens, à notre réveil, il n'était plus là...
Valphil.
#902792
Récit d'autant plus excitant que hé prend le train tous le jours et que je prend plusieurs fois le tgv pour Paris avec comme fantasme de croiser un couple exhiber voire une "madonne dès sleepings"(c un fantasme vous dis je ...)!

Merci pour ce récit et quel corps sublime !!!

Je le goûterai bien tous les jours sans fin ni retenue!
#906037
Ce matin, petit déjeuné au lit, apprécier la vue des toits de Paris, nous avons fais l’amour, tendrement et passionnément, une douche ...
Notre séjour était à l'aube de notre retour et nos envies nous poussaient à plus, le soir, avions prévu une visite en club, de la réputation chaude sur le sujet dans la capitale, décidés d'en découdre et de nous repousser dans nos retranchements.
Nous voilà devant l’enseigne, la nuit est tombée, sous ton manteau, tu as une robe noir satin très courte dans le style romanesque, des bottes montante, aucun dessous, et un pendentif ancien autour du cou, je te trouve très en beauté, tu est belle...
Le Mas... un club que nous avions choisi un peu par hasard s’était révélé l’endroit idéal pour débuter cette nuit. L’éclairage tamisé, la décoration et l’ambiance musical genre Lounge Bar ainsi que l’accueil par les sourires nous démontraient la justesse de notre choix ,dès les premières minutes nous avons été conquis, puis envoûtés par la beauté et le raffinement des lieux.... Nous avons franchi les doubles portes imposantes de cet endroit insolite, après être passé au vestiaire et choisi un loup, une obligation en ce site, nous étions Val et moi très détendus mais également très excités à l’idée de ce qui pouvait nous attendre. Nous aimons beaucoup fantasmé sur ces partages de ma tendre et douce épouse et nous sommes sur la récidive.
Nous échangeons quelques mots, quelques bisous et, main dans la main, nous empruntions les quelques marches et le couloir qui nous amenaient au cœur de l’établissement en pleine découverte. Croisant de toute part des couples raffinés, des hommes seul aussi, des beaux , des moins beaux mais tous étaient soignés, l’élégance de leurs tenues, tous étaient très glamours.
Il y avait déjà des couples qui dansaient au son d’une musique rythmée. Il était tôt dans la soirée mais déjà des parties de vêtements reposaient çà et là sur les chaises autour des tables et des fauteuils. Nous avons commandé deux verres et nous avons profité du spectacle. La pièce était tamisée mais pas trop pour qu’on puisse distinguer les acteurs sur la piste de danse. Des couples s’agitent sur la piste de danse. D’autres sirotent une boisson au bar ou sur des canapés. À notre gauche un homme s’approche d’un couple et se met à peloter la femme, visiblement avec l’assentiment de son mec. Je remarque également que plusieurs femmes sur la piste offrent la vue de leurs corps en partie dénudés. Ma douce et moi nous amusons à commenter leurs choix vestimentaires.
Nous décidons de pousser notre visite vers l’étage inférieur où nous pensons trouver les alcôves et petits salons, les coins censés être plus privés… où en fait l’action réelle se passe. Nous pénétrons dans un couloir très obscur qui semble désert mais des soupirs nous parvenant de part et d’autre nous prouve que nous ne sommes pas seuls, aux abords des premières alcôves. Nos corps se frôlent au autres, tu m'indiques des mains baladeuses qui effleurent tes fesses, nous nous embrassons par dessous nos masques, en nous caressant franchement, ta main est sur ma bosse proéminente, je découvre avec bonheur ton nid d’amour qui bave son excitation, s’exhiber devant des regards inquisiteurs, et sans doute un peu concupiscents, la règle de ces lieux fait qu’à aucun moment nous ne sommes dérangés, mais le monde augmente.
En progressant doucement dans ce couloir de plus en plus sombre nous jouons de notre tour le rôle de voyeurs. C’est quelque chose de bien étrange quand on n’y est pas familier. Pour moi j’y prends de plus en plus de plaisir avec les minutes qui s’écoulent. Il me semble évoluer au milieu d’un film érotique amateur. La qualité des scènes qui s’offrent à nos regards varie. D’un côté nous apercevons un couple et un homme dans des positions impressionnantes, poussent des sons de bucherons. Sur notre gauche deux couples sont entremêlés dans un amas de jambes et de bras et il est bien difficile de savoir ce qui est à qui, c’est intrigant mais toujours un peu émoustillant. Mais devant nous sommes soudain attiré par un autre tableau vivant. Dans une grande pièce où trône des miroirs au plafond se sont réfugiées peut-être une dizaine de personnes, hommes et femmes, tous sont intégralement nus. Le tableau qu’ils dessinent est puissamment érotique. Ils sont en train de copuler et semblent tous danser dans la même fièvre, ils forment une toile d’araignée, ayant tous un partenaire au minimum, mais tous de leurs mains s’occupent des voisins, masturbations, fellations, tous se caressent pratiquement sur le même rythme. Au premier plan deux hommes s’occupent d’une fort belle fille au seins bandés, peut-être âgée de vingt-cinq ans, cette blonde subit depuis un bon moment les orgasmes, sa peau transpirante et ses cheveux collés en disent long sur son parcourt. Nos regards ne pouvant nous s'empêcher de regarder cette femme qui jouit à répétition...
Nous sommes nombreux à admirer le tableau, je suis derrière toi, mais légèrement en retrait, sur le coté, poussé par la réussite et la popularité du show, le couloir exigu est bondé.
C’est alors qu’il me semble te voir onduler, des couples et des hommes t’entourent, mais je suis attiré par un qui se tiens à ta gauche arrière, collé à toi, comme nous le sommes tous d' ailleurs, tous les yeux braqués dans la même direction sauf les miens…
Mon épouse est l’incarnation de tout ce qui peut faire la séduction d’une femme ayant dépassé la quarantaine, à l’éducation bourgeoise un peu coincée, mais qui à largement évoluée et, un pouvoir de séduction d’autant plus troublant que les effluves de son parfum de ce soir, l’enveloppent littéralement.
Alors que ma propre femme était désormais troublée par l’attitude de cet homme dans ce que je percevais désormais comme des avances, son animalité révélée, tu dévoiles une impudeur inconnue et délicieuse. Les mouvements sont si infimes qu’ils sont difficiles à percevoir. Le ventre se plaît contre la soie, entraîné par les lentes contractions des fesses. Les rondeurs imposent leur envie et leur force à l’ensemble de ton corps.
Tu peux paraître consciente mais un j’ai un doute sur ton savoir concernant l’identité de cette main qui se profile sur tes fesses nues sous ta jupette.
Je change de place pour t’admirer, et te découvres visage abandonné, à des sensations plus que charnelles. Tes yeux dans le vague toujours pointés sur le spectacle, ta respiration s’accélère, insensiblement ton corps se livre, s’abandonnent, tu te cambres, tes jambes s’ouvrent lentement et elles commencent à frémir doucement, tu commences des mouvements masturbatoires langoureux, un soupir appuyé, la main de l’inconnue et entre tes cuisses, te titillant délicatement le clitoris.
Mais le mouvement des personnes et trop fort et au bord de l’orgasme, faisant face l’homme, tu lui parle à l’oreille, tu décides en le remerciant il me semble d’arrêter le jeu...Je te découvre totalement lucide et réveillées. Je n’aurais jamais cru pouvoir éprouver autant de tendresse, d’amour, de sentiments, de sensations diverses (toujours agréables!) avant de te connaître. Je suis un homme heureux, comblé et fière de toi et mon unique désir est de te rendre heureuse, toi aussi.

Main dans la main, nous reprenons direction de la piste, envahie d'une foule compacte, la danse est prioritaire sur le parquet, les tenues ne le sont plus, certaines femmes ont les seins à l’air, d’autres ont apprises leurs jupes à voler, que ce soient des femmes seules ou des hommes seuls, ou même des couples, chacun se cherchait partenaire, l'heure était propice...
Après des bisous, quelques caresses, je te propose de te chercher un cocktail qui te ravie… Le temps pour moi de t’admirer au loin, est, je suis fière de toi…
Dans l’attente fastidieuse de ma commande, les slows sont de la partie, un homme providentiel c’est approché de toi, toi qui me cherches du regard, tu acquiesces, et tes mains se poses sur ces épaules, les siennes sur la naissance de tes fesses. Je le trouve pas mal, plus jeune que nous, mais pas mal… Ta chevelure à la deuxième dance se pose centimètre après centimètre sur son épaule et les verres en main je décide de ton initiative de laisser le temps et de rester un moment au bar…
Tu ne m’apparais que par bride, entrecroisée des autres et une évolution est certaine, il a son torse plaqué à ta poitrine, une de ses main sur ta taille et l’autre sur la base de tes fesses, tu ne lutte pas, sa main quitte ta taille, te remonte sur le dos délicatement et passe dans ton cou et tes cheveux, tu relève la tête et sans attendre il te dépose un baisé langoureux. Tu disparais par intermittence dans cette dance lancinante, je te découvre la robe maintenant remontée à la lisière de tes fesses, ton esprit… romantique s’échappe et vagabonde, mon érection ne me quitte plus.
Je devinais que c’était l’intensité du regard qui se fondait dans le sien qui t’attirait si fortement.
Ta main à rejoins la sienne entre vous, tu découvres le fruit remplit de sève et lui n’est pas en reste, découvrant tes lèvres gonflées suintante de désirs.
Tu te détache de lui, te tourne dans ma direction, surpris que tu saches ou je suis, et me fais signe de la direction des alcôves, sourire au lèvres, je te fais comprendre mon aval et te vois disparaître avec ton admirateur dans le couloir, me freinant de vous suivre dans l’immédiat, vouloir votre intimité.
Je te découvre sur ce matelas de cuir noir, il te caresse avec soin, promenant ses lèvres dans ton cou, tu frissonnes et ta main trouve sa queue trop serrée dans le pantalon, tu t’attaques à sa ceinture. Il glisse vers tes jambes qu’il parcourt en allant vers l’intérieur de tes cuisses, partie de peau si douce avant d’atteindre tes lèvres humides de plaisir. Il s’est agenouillé à hauteur de ton visage et te caresse la poitrine, le cou et descend vers le ventre à la recherche de ta fleur. Tu te penches et relèves ta robe que tu fais glisser sous tes fesses soulevées pour aider à l’effeuillage. Une fois nue, tu te rallonges tandis que je prends un sein en bouche. Niché entre tes jambes, il te lèche l’intérieur de tes cuisses et viens boire ta mouille et sucer ton clitoris maintenant bien sorti de son capuchon Sa langue vient goûter le suc qui coule de tes lèvres qu’il écarte pour aller titiller le bouton rose que je découvre en même temps que lui en écartant le haut de la vulve. Le petit clitoris rose pointant fièrement son nez, dégagé de son capuchon, lui aussi, il contemple ce bonbon rose, il le suce doucement alternant coups de langues et succion se régalant du goût de cette mouille abondante. Mon amour gémit maintenant et demande qu’il poursuive ses caresses.
Il parcourt des doigts l’entrée de ta grotte glissant légèrement à l’intérieur du vagin accueillant et bouillonnant, découvrant les dégâts occasionnés par votre dance langoureuse.
Tu accèdes à la verge tendue que tu convoites. Il t’aide bien évidemment et se met nu comme par égalité je l’accompagne. Tu as maintenant pris sont sexe imberbe en main et le masturbe lentement, serrant volontiers la base de la tige, enveloppant le gland dans la paume et redescendant sans relâcher la pression exercée. Tu le malaxes en descendant vers ça base venant enserrer et caresser les bourses bien remplies, soudées au pieux, il aspirent manifestement à venir se nicher entre tes cuisses.
L’inconnue glisse un doigt entre les lèvres reprenant possession de ta chatte, et sa promenade du clitoris vers le petit trou plissé se perd dans la grotte humide. Il entame un lent va-et-vient te provoquant les gémissements de la belle subissant les assauts conjoints, il introduit maintenant deux doigts, maintenant la cadence d’un va-et-vient lent et profond. Tu geins de plus en plus d’autant que la langue de ton amant part à la conquête de tes reins. Sa langue se promène dans ton sillon allant du bas du dos jusqu’au périnée et remontant récolter l’humidité de ta fente, qu’il pénètre de sa langue maintenant comme une petite bite.
Il présente son engin tendu devant tes lèvres d’ange, tu t’en empares et je te vois l’engloutir avec un plaisir non feint. Tu alternes succion et petits coups de langue sur le frein pour le reprendre au plus profond possible. Tes fesses se soulèvent encore, tendues vers l’avant recherchant quelque chose d’invisible… Ta douce rose nacrée est totalement libérée, ses doigts brillants de sécrétions te fouillent toujours, sa langue est très active.
Il se relève, habille sa queue d’un préservatif et pose la tête de cette bite turgescente à peine libérée de ta main et de ta bouche va à l’entrée de ton vagin trempé d’une source abondante. Il pose les mains sur les hanches, tu as toi même écarté tes cuisses à l’extrême, ta vulve est béante comme réclament son dût, l’envie de son chibre est trop fort, de tes yeux gris l’expression nait d’une supplication, cette pénétration arrive, il s’enfonce lentement jusqu’à venir en butée, délivrant de ta bouche un grand râle …
Il malaxe tes seins et pince les bouts dressés, voulant encore les étirer. Je sais que tu adores cette sensation de presque douleur en phase de jouissance. Tu nous fais part de ton plaisir par des gémissements plus audibles et tes demandes sont plus claires, tu tends la main vers moi, mais je te fais comprendre d’être patiente. Il te pilonne de plus en plus fort, claquant tes fesses de son bassin sort son gland recouvert de ta cyprine en totalité et se renfonce brusquement dans cet antre chaud qui réclame une bite pour le remplir. Il te retourne délicatement, te couchant à genou sur le ventre, relève tes jambes qu’il maintient en te tenant les genoux, tu crie presque d’impatience de venir, de la prendre, je ne t’avais pas souvent vu pareillement excitée. Ta main gauche sous ta cuisse, tu lui caresses les couilles qui battent sur ton corps.
Quelqu’un gratte à la porte, j’ouvre désabusé, me retrouvant en face de l’homme qui t’avait peloté devant le show, je lui réclame la discrétion et le fais rentrer, se déshabillant presque aussitôt, je découvre son membre impressionnant pas par sa longueur mais par sa circonférence, je lui demande de s’équiper d’une protection… l’homme de tes entrailles à bien compris mon manège, il se retire de toi dans un grand flop pour lui laisser la place, te tenant pour que tu ne te relève pas , tu est essoufflée, le gland de la grosse mandibule est déjà au contacte de tes chairs entre tes lèvres emplis de sécrétion blanchâtre. Tu as repris en bouche la queue qui c’est extraite de toi, tête sur le coté, tu ne voie rien de la surprise qui t’attend.
Au lieu de mon sexe, une chose s’immisce comme happé au fond de toi, ton fourreau écarter tu lâches un cri de surprise et de jouissance comme jamais, accompagné d’un Hooo coulant, tu as du mal à reprendre ton souffle, tu tiens toujours en main ,mais ton visage est comme cloué au cuir, il reste abuté bien au fond de ton con accueillant, se retirant, revenant lentement, sortant totalement laissant ton trou béant de sa forme, comme moulé, et revenant brusquement au fond de ta chatte en chaleur. Les gémissements gagnent en intensité, ma main est posée sur ma queue et je me masturbe devant ce tableau idyllique.
En fait j’adore ça, mon excitation redouble encore si c’est possible, ma bite tendue au possible et me fait presque mal, je fond, je coule de désir…
Tu astiques énergiquement la queue de ta main, le gland dans ta bouche au rythme de la pénétration, elle qui coule énormément entre tes lèvres, sans prévenir il décharge sa copieuse semence en pleine extase. Chauffé comme il l’est, ta bouche n’était pas assez grande pour contenir une pareille giclée de foutre qui coule sur ton menton et macule généreusement le matelas en cuire.
Je profite de son recul le sexe déclinant, pour lui faire comprendre que je prends la place, et m’approche de toi, proposant mon gland violet et gonflé à tes lèvres gourmandes. Tu prend mes couilles et les caresses avec violence à la limite de la douleur me faisant frissonner, remontant vers la tige que tu portes à ta bouche alternant fellation et masturbation avant de la reprendre de nouveau goulûment, tu me distingue de tes yeux, dans ces long orgasmes qui ne te quitte plus, tu me traite de salaud, et tu attrape ma bite pour l’enfourner entre des dents, j’y glisse franchement avec délectation, elle sursaute à chaque contacte de ta langue, tu me la dévore sans ménagement comme pour te venger, ma résistance à ce traitement ne risque pas de durer…
J’ai rarement vu mon épouse aussi excitée, sa mouille a humidifié ses cuisses, et la queue qui la traverse n’est pas de nature à faire retomber la fièvre.
Tu t’agite d’avant en arrière de plus en plus rapidement, je me penche un peu sur toi et glisse ma main entre tes cuisses entre lesquelles j’insinue un doigt titillant ton bourgeon distendu et trempée de la mouille de ta chatte .Je touche sans le vouloir le chibre en toi un court instant, assez pour avoir sentis que c’est une barre de fer.
Pas très facile en vérité de s’agiter à deux en même temps mais on trouve un certain rythme qui semble nous convenir à tous trois, en tout cas si j’en crois la montée de tes orgasmes.
Je sens monter le sperme du fin fond du ventre et m’abutant contre ta langue, je me vide littéralement dans ta bouche, je suis comme traversé d’un éclair, mais tu l’extrait par nécessitée à la troisième projection, ta respiration, un jet te frappe le visage, un autre le menton, non sans émettre un vrai grognement de contentement, je me libère de toute pression intérieure.
L’homme derrière toi, éjecte de ton bassin, libère sa queue du plastique qui l’entour et se masturbe, les yeux révulsés, de long jet de sperme frappe ton dos et envahie ta raie fessière, courant rejoindre le jus de ta chatte, le long de tes cuisses.
Tu bascule la tête en arrière et exprime ton plaisir librement, oublieuse de l’environnement et des spectateurs maintenant groupés autour de nous.
A-t-elle senti les mains qui se promènent sur elle, hommes et femmes mêlées ?
Je crois, nous sommes emportés par le plaisir comme jamais.
Nous retrouvons tranquillement nos esprits collés l’un à l’autre. Dans un élan de tendresse, tu me caresses lentement la queue bien moins fière tandis que nos mains de nouvelles jumelles retrouvent le chemin de tes seins et de nos sexes hypersensibles.

La soirée n’est pas finie, mais c’est une autre histoire que nous vous raconterons si vous en avez aimé le début. N’hésitez pas à nous écrire, on vous répondra et peut-être nous rencontrerons-nous un de ces jours…

Valphil.
#928747
Quels recits ... !!

Car la debauche n'est pas que ferroviaire mais semble s'intensifier pour votre plus grand plaisir, ceux des chanceux qui croisent votre route et ont l'audace de s'y attarder (lol), et le notre à la lecture de vos recits et de quelques delicieuses illustrations des plaisirs de Val !!

Magnifique !
#975095
valphil a écrit :
valphil81.jpg



Ravissante et fort gourmande Val ...

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