- 06 déc. 2011, 03:37
#876505
Tout d’abord, je tiens à me présenter:je m’appelle Philippe, j’ai 45ans, je suis marié à Valérie depuis 1999, 42 ans, belle brune aux yeux vert-gris, 1m72, 54 kg , des petit seins fermes qui me rendent toujours fou d’amour. Nous avons un magnifiques enfant .
Notre vie est plutôt simple mais pas banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties .
Au niveau sexuel, je ne dirais pas que c'est classique,des rapports assez fréquents, les idées sont variées, aimons nous exposer l'un à l'autre dans nos masturbations après une longue fellation. Nous sommes Naturiste ce qui pose aucun problème à Val d'exposer son corps . De plus sommes sortis en club échangiste ayant obtenu une expérience entre filles et une autre mélangiste ,qui me confirma que mon épouse avais plus d' intérêt et de plaisir sur la gente masculine.
Avons décidez un jour de nous rendre en week-end d' amoureux à Paris.
Arrivés gare de Luxembourg-ville, notre chauffeur de taxi ne se privait pas pour savourer la vision de ses jolies jambes mises à nu par cette robe légère mi-cuisse, et nous sommes partis enlacés vers notre destination. J’ai toujours aimé sa finesse avec ses formes, mais là, je ne saurais dire si c’était le printemps, l’air des vacances, je sentis monter un violent désir en moi. Naïve, ma douce ne s’est pas aperçue de l’effet qu’elle provoquait chez nos congénères masculins. Inconsciente de son charme, elle se déroula hors du taxi, mes yeux rivés sur ses petites rondeurs si sensuelles. Tenant la porte de la voiture dans un état second, je dus atterrir brusquement, m’arrachant de ce moment de volupté.
Nos légers sacs de voyage en main, nous avons pris le temps de prendre un café en gare dans l'attente du futur départ, vivant dans un rythme en totale adéquation avec la frénésie ambiante. On s' aimait des yeux, comme à notre habitude, comme de jeunes tourtereaux que nous n'étions plus. Après cet interlude de tranquillité, nous sommes montés dans le train, en première. Ma douce mérite au moins le meilleur mais déception dans le train, au moment de la réservation, nous étions séparés par le couloir et un homme de 30-35 ans, plutôt pas mal, bien habillé, bref, le jeune homme que toutes les belles-mères imaginent comme «gendre idéal».Ma douce côté fenêtre, ma pomme en solitaire à l’autre fenêtre. Les autres voyageurs étant parsemés mais loin de nous plus à l'avant du wagon..
Tant pis, pour le retour, nous ferons attention .
Nous prîmes place à nos sièges respectifs, mon regard et mes pensées s’évadant vers la cohue de la gare et du train démarrant, puis dans le début de ma lecture,appréciant ma bulle de calme. Je lisais sans trop faire attention, mais au bout d’un moment malgré la revue ouverte du personnage, j’ai remarqué que l’homme posait ostensiblement sa main sous sa lecture , ce qui devait être sur sa braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets…! Et mon épouse à ses côtés jouant avec son IPhone ne semblait rien voir...Je ne sais pas dire pourquoi, même en étant offusquée intérieurement, j’étais comme attirée par ce petit manège, discret au début, puis qui m’a semblé plus insistant. Je regardais à la dérobée derrière mon magazine,il me semblait que ma Val avait le feu aux joues ,difficile d'imaginer qu'elle ne l'avais pas observée,de plus elle décroisait régulièrement les jambes ....
Et alors que le train s’ébranlait en direction de Paris, c'est avec sidération que je la vit engager la conversation avec son compagnon de route, dont le regard faisait beaucoup d’allers retours de sa lecture aux courbes de ma jolie compagne. Sa lecture qui était au passage un roman des plus érotique ,connaissant l'éditeur... Après un quart d'heure de conversation dont je ne pût entendre la teneur (merci la première!). Un moment je le surpris à me regarder comme pour dévoiler sa connaissance du couple que nous formions avec ma tendre,souriant...m'adressant un clin d’œil ...Je râlais intérieurement, car sur l’instant je l’ai trouvée «gonflée»,
Puis il enleva sans se lever sa veste de costume et la posa sur ces genoux ,le haut dépassant légèrement sur ceux de ma femme qui ne broncha pas mais qui décroisa définitivement ses jambes se tournant légèrement vers lui, une chaleur me pénétra à cette instant...Sans doute a-t-il pris le geste de ma femme pour un encouragement car il lui montra sa lecture qu' elle feuilleta avec attention s’arrêtant sur un article désigné par les soins du Monsieur, je perçus à nouveau sa main gesticulante en explication ,effleurer futilement le bras en plusieurs endroits de ma conjointe et finalement se poser sur la cuisse de ma douce touchent le tissu cette fois-ci de sa robe.
Alors que j’attendis qu’il se prenne une réprimande, elle la laissa en place et tu lui sourie et ,du coups très vite il accentue sa prise avançant délicatement, gravissant quelques centimètres supplémentaires, descendant, comme une caresse, remontant par la même sa robe à la limite de la vision de son string. Val s'enfonça un peu plus sur ton siège ce qui fit qu'accentuer la situation ,lecture du livre prêté et dans les commentaires de l'homme que je percevais par bribe... Désormais j’apercevais et reconnaissait ton mini-string de chez Lola ,et espérance sans me l'avouer que ton choix ce soit porté sur celui qui était ouvert. Situation à la fois déroutante mais combien excitante de la crainte et de ton attitude abandonnée de tes désirs les plus chauds...
Il te glissa quelque chose à l’oreille. Je t’observais lui sourire ,lui répondre ,tes pommettes n'étaient que vifs ,tu me donnais l’impression de chaleur ,puis d'un geste sûr ton bras bougea ,je vis ta main planée et venir à l’encontre de son entrejambe ,tu palpais délicatement son paquet sous sa veste ,tu me regardais discrètement et me faisais comprendre la grosseur de la chose,pendant que celui-ci avais glissé ses mains sous ta robe et touchent ton entre-cuisse...De la valeur de ton geste il se désigna pour être encore plus entreprenant dans ses attouchements. Tu écartas les cuisses timidement et puis franchement,te laissant abandonner ,te laissant guider...
Mais nous vîmes arriver de loin le contrôleur ,ce qui n’eus pas beaucoup d'effet réactionnel sur vos positions ,cachées en partie par la veste ....Le temps de contrôle dura puisque ton inconnue engagea comme par jeu la discutions avec celui-ci, présenta son billet et le tien par la même occasion avec sa main libre et de l'autre s'activait certainement dans ta moiteur, ton comportement me fût troublant encore plus quand tu ouvrais la bouche comme pour parler mais qu'aucun sons ne sortais...J'ai supposé à cette instant une pénétration inquisiteur d'un doigt...Puis le contrôleur vagua à son destin au wagon suivant nous remerciant et nous souhaitant une belle journée...
Tu repoussas légèrement sa veste et je découvris ta poigne sur un sexe membré si imposant et si surprenant a la fois ,couronné par un gland turgescent,complètement libre de chair... Je n'avais même pas vu la libération n'y le doute de présence de celui-ci tellement j' étais omnibulé par le pouvoir de la main de cette homme sur la chatte de mon épouse...L’idée de voir ma compagne accrochée au pénis d’un autre homme m’envoûtait...Tu le masturbais en regardant parfois attentivement autour de nous, la peur d’être découverte .L'homme ne prêtait guère attention, bien au contraire,il dégagea ces bourses du pantalon, elles étaient sans poils comme le reste mais elles n'avaient pas de scrupules sur la taille avec le reste, une parfaite synchronisation.
Tu avais tes pointes de seins bandées à l’extrême ,déformant le naturel de ta robe,tes yeux mi-clos par instant, impression de savourer. Je bandais à en avoir mal , adrénaline en moi et mon cœur battait à toute allure Je pensais à ces petits jeux où l’on imaginait d’autres hommes te mater ,te caresser, te regarder occupée à offrir une gâterie dont tu a le secret ,ta bouche,ta langue délicieuse,sentir couler ta salive... Je me rappelle à quel point ces petits scénarios stimulaient tes orgasmes pendant nos ébats, ces moments ou je te demandais tes désirs ,que tu me proclamais assez difficilement sauf l'orgasme arrivant...une autre queue...oui je veux une autre queue...
Tes lèvres se mordant échappant un gros soupir étouffé ,me firent sortir de mes rêveries ..Il avait tous découvert très certainement et totalement exploré ta fente ,la découvrant épilée et dégoulinante de tes sécrétions, de ta mouilles...Tu t’écartais au maximum, offrant totalement ton intimité ,tes grandes lèvres gonflées dépassant de ton string de chaque cotés,s' ouvrantes d’elles-mêmes pour offrir ton sillon d' aspérité luisante,ta grotte offerte ...Tu le laissa jouer avec ton bouton bandé décapuchonné et gorgée de sang. Ta bouche s'ouvrait et se refermait sans contrôle ,tu étais haletante ,acceptant les contraction au fond de toi. Son bras naissant de sa main entama un léger va et viens ,un clapotement se faisait entendre distinctement ,il te baisais avec plusieurs doigts...
Tu ne restes pas inactives de tes longs doigts enroulés autour de ce gros gland décalotté rouge vif ,une masturbations saccadée est lancée ;personne n'est en reste sur l'excitation car j'aperçus rapidement une grosse goutte translucide qui perlait à la pointe de sa queue...De ton autre main ,tu la porte à ta poitrine qui se souleva,la malaxant tendrement ,jouant avec le pointes au travers du fin tissus... Ta jouissance te frappa si soudainement ,des convulsions prirent possession de ton corps, une extase longue et forte accompagné de bruits, humide et d'un léger râle provenant de ta gorge et de ton vagin partiellement étouffée par le train lancé...Ta main toujours active su la colonne de chair maintenant gluante , tu me regardais malicieuse,regard entre-coupé de coups d’œil furtif au alentour ,ta décision est vite prise, tu te penches bouche ouverte sur ça bite, soubresauts annonciateurs au contacte de ta langue ,de tes autres lèvres se refermant dessus, le gobant, l'aspirant avec frénésie ,je vis rapidement cette queue tressauter ,frappant ton palais avec vigueur, le Don Juan se cabra ,se déversa et se vidant en toi de sa semence, giclée après giclée laissant apparaitre à tes commissure un liquide crémeux d'aspect blanchâtre qu'aucun échappatoire ne vint délivrer, ton corps avalait le nectar avec délectation ,puis comme par soucis de propreté, ta langue passas sur tous les contours et surfaces possibles ,le pompant et essayant d'extraire le maximum, allant sur ses bourses en remontant sur la hampe, à la pointe du pieu bientôt déchu, avec un regard dans ma direction comme une victoire certaine... Tu lui rendis cette queue qui ne semblait pas baisser la garde, propre et luisante ,tes yeux dans mes yeux, fière de toi ,comme moi de toi...
Et réalisais en changeant de place avec le beau mec pour te retrouver que j'avais déchargé depuis un bon moment dans mon boxer...
Valphil.
Notre vie est plutôt simple mais pas banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties .
Au niveau sexuel, je ne dirais pas que c'est classique,des rapports assez fréquents, les idées sont variées, aimons nous exposer l'un à l'autre dans nos masturbations après une longue fellation. Nous sommes Naturiste ce qui pose aucun problème à Val d'exposer son corps . De plus sommes sortis en club échangiste ayant obtenu une expérience entre filles et une autre mélangiste ,qui me confirma que mon épouse avais plus d' intérêt et de plaisir sur la gente masculine.
Avons décidez un jour de nous rendre en week-end d' amoureux à Paris.
Arrivés gare de Luxembourg-ville, notre chauffeur de taxi ne se privait pas pour savourer la vision de ses jolies jambes mises à nu par cette robe légère mi-cuisse, et nous sommes partis enlacés vers notre destination. J’ai toujours aimé sa finesse avec ses formes, mais là, je ne saurais dire si c’était le printemps, l’air des vacances, je sentis monter un violent désir en moi. Naïve, ma douce ne s’est pas aperçue de l’effet qu’elle provoquait chez nos congénères masculins. Inconsciente de son charme, elle se déroula hors du taxi, mes yeux rivés sur ses petites rondeurs si sensuelles. Tenant la porte de la voiture dans un état second, je dus atterrir brusquement, m’arrachant de ce moment de volupté.
Nos légers sacs de voyage en main, nous avons pris le temps de prendre un café en gare dans l'attente du futur départ, vivant dans un rythme en totale adéquation avec la frénésie ambiante. On s' aimait des yeux, comme à notre habitude, comme de jeunes tourtereaux que nous n'étions plus. Après cet interlude de tranquillité, nous sommes montés dans le train, en première. Ma douce mérite au moins le meilleur mais déception dans le train, au moment de la réservation, nous étions séparés par le couloir et un homme de 30-35 ans, plutôt pas mal, bien habillé, bref, le jeune homme que toutes les belles-mères imaginent comme «gendre idéal».Ma douce côté fenêtre, ma pomme en solitaire à l’autre fenêtre. Les autres voyageurs étant parsemés mais loin de nous plus à l'avant du wagon..
Tant pis, pour le retour, nous ferons attention .
Nous prîmes place à nos sièges respectifs, mon regard et mes pensées s’évadant vers la cohue de la gare et du train démarrant, puis dans le début de ma lecture,appréciant ma bulle de calme. Je lisais sans trop faire attention, mais au bout d’un moment malgré la revue ouverte du personnage, j’ai remarqué que l’homme posait ostensiblement sa main sous sa lecture , ce qui devait être sur sa braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets…! Et mon épouse à ses côtés jouant avec son IPhone ne semblait rien voir...Je ne sais pas dire pourquoi, même en étant offusquée intérieurement, j’étais comme attirée par ce petit manège, discret au début, puis qui m’a semblé plus insistant. Je regardais à la dérobée derrière mon magazine,il me semblait que ma Val avait le feu aux joues ,difficile d'imaginer qu'elle ne l'avais pas observée,de plus elle décroisait régulièrement les jambes ....
Et alors que le train s’ébranlait en direction de Paris, c'est avec sidération que je la vit engager la conversation avec son compagnon de route, dont le regard faisait beaucoup d’allers retours de sa lecture aux courbes de ma jolie compagne. Sa lecture qui était au passage un roman des plus érotique ,connaissant l'éditeur... Après un quart d'heure de conversation dont je ne pût entendre la teneur (merci la première!). Un moment je le surpris à me regarder comme pour dévoiler sa connaissance du couple que nous formions avec ma tendre,souriant...m'adressant un clin d’œil ...Je râlais intérieurement, car sur l’instant je l’ai trouvée «gonflée»,
Puis il enleva sans se lever sa veste de costume et la posa sur ces genoux ,le haut dépassant légèrement sur ceux de ma femme qui ne broncha pas mais qui décroisa définitivement ses jambes se tournant légèrement vers lui, une chaleur me pénétra à cette instant...Sans doute a-t-il pris le geste de ma femme pour un encouragement car il lui montra sa lecture qu' elle feuilleta avec attention s’arrêtant sur un article désigné par les soins du Monsieur, je perçus à nouveau sa main gesticulante en explication ,effleurer futilement le bras en plusieurs endroits de ma conjointe et finalement se poser sur la cuisse de ma douce touchent le tissu cette fois-ci de sa robe.
Alors que j’attendis qu’il se prenne une réprimande, elle la laissa en place et tu lui sourie et ,du coups très vite il accentue sa prise avançant délicatement, gravissant quelques centimètres supplémentaires, descendant, comme une caresse, remontant par la même sa robe à la limite de la vision de son string. Val s'enfonça un peu plus sur ton siège ce qui fit qu'accentuer la situation ,lecture du livre prêté et dans les commentaires de l'homme que je percevais par bribe... Désormais j’apercevais et reconnaissait ton mini-string de chez Lola ,et espérance sans me l'avouer que ton choix ce soit porté sur celui qui était ouvert. Situation à la fois déroutante mais combien excitante de la crainte et de ton attitude abandonnée de tes désirs les plus chauds...
Il te glissa quelque chose à l’oreille. Je t’observais lui sourire ,lui répondre ,tes pommettes n'étaient que vifs ,tu me donnais l’impression de chaleur ,puis d'un geste sûr ton bras bougea ,je vis ta main planée et venir à l’encontre de son entrejambe ,tu palpais délicatement son paquet sous sa veste ,tu me regardais discrètement et me faisais comprendre la grosseur de la chose,pendant que celui-ci avais glissé ses mains sous ta robe et touchent ton entre-cuisse...De la valeur de ton geste il se désigna pour être encore plus entreprenant dans ses attouchements. Tu écartas les cuisses timidement et puis franchement,te laissant abandonner ,te laissant guider...
Mais nous vîmes arriver de loin le contrôleur ,ce qui n’eus pas beaucoup d'effet réactionnel sur vos positions ,cachées en partie par la veste ....Le temps de contrôle dura puisque ton inconnue engagea comme par jeu la discutions avec celui-ci, présenta son billet et le tien par la même occasion avec sa main libre et de l'autre s'activait certainement dans ta moiteur, ton comportement me fût troublant encore plus quand tu ouvrais la bouche comme pour parler mais qu'aucun sons ne sortais...J'ai supposé à cette instant une pénétration inquisiteur d'un doigt...Puis le contrôleur vagua à son destin au wagon suivant nous remerciant et nous souhaitant une belle journée...
Tu repoussas légèrement sa veste et je découvris ta poigne sur un sexe membré si imposant et si surprenant a la fois ,couronné par un gland turgescent,complètement libre de chair... Je n'avais même pas vu la libération n'y le doute de présence de celui-ci tellement j' étais omnibulé par le pouvoir de la main de cette homme sur la chatte de mon épouse...L’idée de voir ma compagne accrochée au pénis d’un autre homme m’envoûtait...Tu le masturbais en regardant parfois attentivement autour de nous, la peur d’être découverte .L'homme ne prêtait guère attention, bien au contraire,il dégagea ces bourses du pantalon, elles étaient sans poils comme le reste mais elles n'avaient pas de scrupules sur la taille avec le reste, une parfaite synchronisation.
Tu avais tes pointes de seins bandées à l’extrême ,déformant le naturel de ta robe,tes yeux mi-clos par instant, impression de savourer. Je bandais à en avoir mal , adrénaline en moi et mon cœur battait à toute allure Je pensais à ces petits jeux où l’on imaginait d’autres hommes te mater ,te caresser, te regarder occupée à offrir une gâterie dont tu a le secret ,ta bouche,ta langue délicieuse,sentir couler ta salive... Je me rappelle à quel point ces petits scénarios stimulaient tes orgasmes pendant nos ébats, ces moments ou je te demandais tes désirs ,que tu me proclamais assez difficilement sauf l'orgasme arrivant...une autre queue...oui je veux une autre queue...
Tes lèvres se mordant échappant un gros soupir étouffé ,me firent sortir de mes rêveries ..Il avait tous découvert très certainement et totalement exploré ta fente ,la découvrant épilée et dégoulinante de tes sécrétions, de ta mouilles...Tu t’écartais au maximum, offrant totalement ton intimité ,tes grandes lèvres gonflées dépassant de ton string de chaque cotés,s' ouvrantes d’elles-mêmes pour offrir ton sillon d' aspérité luisante,ta grotte offerte ...Tu le laissa jouer avec ton bouton bandé décapuchonné et gorgée de sang. Ta bouche s'ouvrait et se refermait sans contrôle ,tu étais haletante ,acceptant les contraction au fond de toi. Son bras naissant de sa main entama un léger va et viens ,un clapotement se faisait entendre distinctement ,il te baisais avec plusieurs doigts...
Tu ne restes pas inactives de tes longs doigts enroulés autour de ce gros gland décalotté rouge vif ,une masturbations saccadée est lancée ;personne n'est en reste sur l'excitation car j'aperçus rapidement une grosse goutte translucide qui perlait à la pointe de sa queue...De ton autre main ,tu la porte à ta poitrine qui se souleva,la malaxant tendrement ,jouant avec le pointes au travers du fin tissus... Ta jouissance te frappa si soudainement ,des convulsions prirent possession de ton corps, une extase longue et forte accompagné de bruits, humide et d'un léger râle provenant de ta gorge et de ton vagin partiellement étouffée par le train lancé...Ta main toujours active su la colonne de chair maintenant gluante , tu me regardais malicieuse,regard entre-coupé de coups d’œil furtif au alentour ,ta décision est vite prise, tu te penches bouche ouverte sur ça bite, soubresauts annonciateurs au contacte de ta langue ,de tes autres lèvres se refermant dessus, le gobant, l'aspirant avec frénésie ,je vis rapidement cette queue tressauter ,frappant ton palais avec vigueur, le Don Juan se cabra ,se déversa et se vidant en toi de sa semence, giclée après giclée laissant apparaitre à tes commissure un liquide crémeux d'aspect blanchâtre qu'aucun échappatoire ne vint délivrer, ton corps avalait le nectar avec délectation ,puis comme par soucis de propreté, ta langue passas sur tous les contours et surfaces possibles ,le pompant et essayant d'extraire le maximum, allant sur ses bourses en remontant sur la hampe, à la pointe du pieu bientôt déchu, avec un regard dans ma direction comme une victoire certaine... Tu lui rendis cette queue qui ne semblait pas baisser la garde, propre et luisante ,tes yeux dans mes yeux, fière de toi ,comme moi de toi...
Et réalisais en changeant de place avec le beau mec pour te retrouver que j'avais déchargé depuis un bon moment dans mon boxer...
Valphil.