- 07 janv. 2012, 14:04
#939976
Sandrine et moi revenions d’une soirée chez des amis et nous filions sur l’autoroute vers 1h du matin.
La soirée s’était très bien déroulée, l’ambiance sympathique et la table excellente. J’étais plutôt d’humeur coquine et je taquinais mon épouse à qui j’avais laissé le volant. Elle était superbe dans une petite robe noire ultracourte et largement décolletée, des collants noirs et des escarpins noirs vernis à talons aiguilles.
-Pourquoi ne t’arrête tu pas sur la prochaine aire, nous pourrions faire des câlins ? ai –je demandé
-Tu es incorrigible, je ne suis pas sûre d’en avoir vraiment envie et puis, il fait froid.
A force d’insister Sandrine accepta de bifurquer et de se s’engager sur la dernière aire de repos située peu avant notre sortie. Le parking était occupé par quelques camions et le bâtiment de la station service semblait désert. Elle contourna les pompes à essence et se gara à une vingtaine de mètres de la vitrine éclairée.
-Alors que fait-on ? me demanda –t’elle
-J’ai ma petite idée. Tu sors et tu vas dans la boutique prendre un café à la machine.
-A cette heure et dans cette tenue ? Au mieux on me prendra pour une pute, au pire le premier routier va me violer sur place !
-Allez un peu de fantaisie. Prends ça comme un jeu. Si tu te fais draguer de manière trop insistante, tu reviens et on dégage…
-Gros malade, tu l’auras voulu…
Sandrine enfila sa petite veste pour se protéger du froid et quitta la voiture. Je la suivi des yeux alors qu’elle parcourait la distance la séparant de la boutique. Elle était effectivement très sexy dans cette robe très très courte en tissu fluide qui lui couvrait tout juste les fesses qui découvrait ses jolies jambes gainées de nylon noir. Elle marchait en chaloupant sur ses talons de 12cm.
Lorsqu’elle entra dans la station service, elle réveilla probablement l’employé que je n’avais pas remarqué et qui surgit derrière son comptoir. De la voiture, je pouvais distinguer qu’il s’agissait d’un jeune type un peu gauche. Sandrine le salua et se dirigea vers les machines à café. Le type la suivi du regard, visiblement intéressé par cette jolie apparition au milieu de la nuit. Alors que ma femme prenait son café, le bruit d’une portière qui claque attira mon attention. D’un camion garé dans l’obscurité derrière moi descendit un grand type. La cinquantaine, le crane dégarni, il était vêtu d’un survêtement et de baskets.
Il me jeta un coup d’œil en passant et entra dans la boutique. Il se dirigea vers le coin café et se servit à la machine. Il mâtait mon épouse très ostensiblement, tournant autour d’elle en attendant sa boisson. Il me sembla qu’il lui adressait la parole. Ils commencèrent par échanger quelques mots, l’homme se rapprochait d’elle tout en lui parlant. Il lui posa la main sur l’épaule, puis dans le dos glissant en direction de ses fesses. Sandrine se dégagea, jeta son gobelet et sortit précipitamment de la boutique. Elle monta dans la voiture, l’air furieux.
-Ce salaud m’a proposé de me baiser. Ce petit jeu n’était vraiment pas une bonne idée…
-Attends, attends, que t’a-t-il dit ?
-Il parle mal le français, il est roumain ou quelque chose comme ça. Il a bien vu que je n’étais pas seule mais il doit bien se douter qu’une jeune femme habillée de la sorte sur ce parking a des idées derrières la tête. Il m’a proposé d’aller dans son camion ce vieux cochon…
-Je croyais que ce type d’aventures t’excitait et que tu voulais tenter une expérience un peu libertine.
-C’est vrai mais là franchement, je n’ai pas envie de me faire prendre par ce cosaque à l’arrière de son bahut.
-Et une pipe sur le siège arrière de notre voiture ?
-Tu es saoulant avec tes fantasmes de mec
-S’il te plaît, fais le pour moi… !
-C’est bon, tu l’auras voulu, après tout ce sera toi le cocu… mais c’est toi qui va le chercher.
Banco… j’étais arrivé à mes fins. Je bondis hors de la voiture et je suis entré dans la boutique où le type baragouinait avec le caissier. Je le pris à part et je lui expliquai que j’étais le mari de la jolie brune. Dans un français basique j’essayais de lui faire comprendre nous aimions les expériences libertines et que nous étions d’accord pour qu’elle lui fasse une fellation dans notre voiture. Ce n’est déjà pas une proposition facile à expliquer mais avec un roumain, c’était un vrai challenge.
-Comment moi pouvoir baiser Madame dans voiture ?
-Non pas baiser, elle peut te faire une pipe, te sucer quoi…
-Sucer ma bite… oui… mais après je pénétrer sa chatte. Tu peux regarder…
L’animal commençait à vouloir négocier, un comble…
-Non sucer uniquement sinon rien…
-OK, OK mais moi vouloir toucher ses nichons et sa chatte pendant qu’elle suce. Et puis vouloir vider mes couilles dans sa bouche, elle avaler…
-Très bien mon gars, si tu y tiens
-Touche ma main si toi d’accord
Je lui tapai dans la paume et nous avons regagné la voiture. Sandrine nous attendais l’air un peu inquiet. Je lui transmis les demandes de notre ami, elle haussa les épaules et me fusilla du regard. Néanmoins elle descendit du véhicule et monta à l’arrière. J’invitai le roumain à la rejoindre et je m’installai à l’avant.
-Vas-y chérie, déshabille-toi, notre ami n’attend que ça.
Ma femme défit les attaches de sa robe et l’enleva en la faisant passer par-dessus sa tête. Elle dégrafa son soutien-gorge et libéra sa lourde poitrine sous les yeux ébahis du routier. Elle n’était vêtue que de son collant en voile noir qu’elle portait sans culotte à même la peau et de ses escarpins.
Le roumain attrapa son sein et se mit à le pétrir sans douceur
-Hé, doucement cochon, tu me fais mal !
-Tu fermes ta gueule sale pute. Ton mari me donne autorisation faire ce que j’ai demandé. Il a donné parole donc tu obéis. Ecarte les cuisses…
Sandrine me regarda étonnée et je lui lançai :
-Il a raison, ce sont les termes du marché.
-Ok mais pas de violence d’accord ?
-Moi tranquille si toi fais ce que moi veux comme bonne petite pute. Sinon je demande ton mari tu viens dans mon camion tu prendre ma bite dans ton cul. Ecarte les cuisses…
-C’est raisonnable, tu le suces comme il veut ou il t’encule… dis-je en riant
-Tu es un vrai salaud, ce plan est vraiment foireux.
Sandrine obéit néanmoins et le roumain se mit à lui caresser le sexe au travers de son collant, elle se pinça la lèvre et commença à respirer bruyamment. Encouragé par cette réaction, l’homme glissa sa main sous le nylon et insinua ses doigts dans les replis de sa vulve.
-Chatte rasée comme les putes, j’adore… ma femme vieille et poilue.
Il sortit son sexe en érection de son jogging et d’un slip kangourou douteux. Il saisit Sandrine par les cheveux et l’obligea à se pencher sur sa verge.
-Suce ma bite, petite pute.
Sandrine prit son membre en bouche et commença à le sucer. L’homme lui saisit les seins et se mit à les palper. Il introduisit son autre main entre le collant et les fesses et glissa jusqu’à son entrecuisse pour lui caresser sexe. Je compris qu’il lui enfonçait un doigt dans le vagin lorsqu’elle émit un petit cri vite étouffé par les va et vient du gros sexe entre ses lèvres.
-Tu aime regarder femme qui suce ma bite ? Je pelote ses nichons et j’ai mis le doigt dans sa chatte mouillée. Elle bonne pute, elle suce bien la queue.
Ma femme continuait à pomper le routier tout en se faisant tripoter, elle mettait du cœur à l’ouvrage et j’imaginais qu’il allait rapidement jouir.
-Arrête sucer, lèche les couilles…
Sandrine me regarda et j’acquiesçai du regard. Elle se mit donc à lécher les grosses bourses poilues d’une langue chaude et humide. Je bandais comme un âne mais je n’osais pas me masturber pendant qu’un parfait inconnu se tapait ma femme.
-Suce encore et vide mes couilles…
Sandrine reprit la fellation de manière plus énergique, le roumain se crispa et abattit sa main sur la nuque de mon épouse pour l’obliger à garder sa verge en bouche.
-Ahhhh, avale le sperme salope, prends tout….
Sous mes yeux excités il éjacula longuement dans la bouche de ma femme qui n’eut pas d’autre choix que d’avaler toute sa semence. Il ne la libéra que lorsque sa verge se ramollit. Sandrine se redressa, les joues rouges et les yeux brouillés de larmes. Le salopard avait déchargé une sérieuse quantité de foutre dans sa gorge. Le type se reculotta.
-Ta femme bonne pute, félicitations. Toi remplit contrat. Je dors ici 15 de chaque mois. Tu peux revenir avec elle mois prochain, moi aimerais la baiser et l’enculer, possible ?
-On verra mon pote. Allez laisse-nous maintenant.
-OK, OK je dis au revoir à Madame
Il lui pelota les seins une dernière fois pendant son autre main lui fouillait à nouveau l’entrecuisse.
-Hé laisse-la maintenant, tu as eu ce que tu voulais, non ?
Il sortit du véhicule et disparut dans la nuit.
J’ai démarré sans laisser le temps à Sandrine de se rhabiller. J’étais pressé de rentrer à la maison et de faire l’amour à ma femme.
La soirée s’était très bien déroulée, l’ambiance sympathique et la table excellente. J’étais plutôt d’humeur coquine et je taquinais mon épouse à qui j’avais laissé le volant. Elle était superbe dans une petite robe noire ultracourte et largement décolletée, des collants noirs et des escarpins noirs vernis à talons aiguilles.
-Pourquoi ne t’arrête tu pas sur la prochaine aire, nous pourrions faire des câlins ? ai –je demandé
-Tu es incorrigible, je ne suis pas sûre d’en avoir vraiment envie et puis, il fait froid.
A force d’insister Sandrine accepta de bifurquer et de se s’engager sur la dernière aire de repos située peu avant notre sortie. Le parking était occupé par quelques camions et le bâtiment de la station service semblait désert. Elle contourna les pompes à essence et se gara à une vingtaine de mètres de la vitrine éclairée.
-Alors que fait-on ? me demanda –t’elle
-J’ai ma petite idée. Tu sors et tu vas dans la boutique prendre un café à la machine.
-A cette heure et dans cette tenue ? Au mieux on me prendra pour une pute, au pire le premier routier va me violer sur place !
-Allez un peu de fantaisie. Prends ça comme un jeu. Si tu te fais draguer de manière trop insistante, tu reviens et on dégage…
-Gros malade, tu l’auras voulu…
Sandrine enfila sa petite veste pour se protéger du froid et quitta la voiture. Je la suivi des yeux alors qu’elle parcourait la distance la séparant de la boutique. Elle était effectivement très sexy dans cette robe très très courte en tissu fluide qui lui couvrait tout juste les fesses qui découvrait ses jolies jambes gainées de nylon noir. Elle marchait en chaloupant sur ses talons de 12cm.
Lorsqu’elle entra dans la station service, elle réveilla probablement l’employé que je n’avais pas remarqué et qui surgit derrière son comptoir. De la voiture, je pouvais distinguer qu’il s’agissait d’un jeune type un peu gauche. Sandrine le salua et se dirigea vers les machines à café. Le type la suivi du regard, visiblement intéressé par cette jolie apparition au milieu de la nuit. Alors que ma femme prenait son café, le bruit d’une portière qui claque attira mon attention. D’un camion garé dans l’obscurité derrière moi descendit un grand type. La cinquantaine, le crane dégarni, il était vêtu d’un survêtement et de baskets.
Il me jeta un coup d’œil en passant et entra dans la boutique. Il se dirigea vers le coin café et se servit à la machine. Il mâtait mon épouse très ostensiblement, tournant autour d’elle en attendant sa boisson. Il me sembla qu’il lui adressait la parole. Ils commencèrent par échanger quelques mots, l’homme se rapprochait d’elle tout en lui parlant. Il lui posa la main sur l’épaule, puis dans le dos glissant en direction de ses fesses. Sandrine se dégagea, jeta son gobelet et sortit précipitamment de la boutique. Elle monta dans la voiture, l’air furieux.
-Ce salaud m’a proposé de me baiser. Ce petit jeu n’était vraiment pas une bonne idée…
-Attends, attends, que t’a-t-il dit ?
-Il parle mal le français, il est roumain ou quelque chose comme ça. Il a bien vu que je n’étais pas seule mais il doit bien se douter qu’une jeune femme habillée de la sorte sur ce parking a des idées derrières la tête. Il m’a proposé d’aller dans son camion ce vieux cochon…
-Je croyais que ce type d’aventures t’excitait et que tu voulais tenter une expérience un peu libertine.
-C’est vrai mais là franchement, je n’ai pas envie de me faire prendre par ce cosaque à l’arrière de son bahut.
-Et une pipe sur le siège arrière de notre voiture ?
-Tu es saoulant avec tes fantasmes de mec
-S’il te plaît, fais le pour moi… !
-C’est bon, tu l’auras voulu, après tout ce sera toi le cocu… mais c’est toi qui va le chercher.
Banco… j’étais arrivé à mes fins. Je bondis hors de la voiture et je suis entré dans la boutique où le type baragouinait avec le caissier. Je le pris à part et je lui expliquai que j’étais le mari de la jolie brune. Dans un français basique j’essayais de lui faire comprendre nous aimions les expériences libertines et que nous étions d’accord pour qu’elle lui fasse une fellation dans notre voiture. Ce n’est déjà pas une proposition facile à expliquer mais avec un roumain, c’était un vrai challenge.
-Comment moi pouvoir baiser Madame dans voiture ?
-Non pas baiser, elle peut te faire une pipe, te sucer quoi…
-Sucer ma bite… oui… mais après je pénétrer sa chatte. Tu peux regarder…
L’animal commençait à vouloir négocier, un comble…
-Non sucer uniquement sinon rien…
-OK, OK mais moi vouloir toucher ses nichons et sa chatte pendant qu’elle suce. Et puis vouloir vider mes couilles dans sa bouche, elle avaler…
-Très bien mon gars, si tu y tiens
-Touche ma main si toi d’accord
Je lui tapai dans la paume et nous avons regagné la voiture. Sandrine nous attendais l’air un peu inquiet. Je lui transmis les demandes de notre ami, elle haussa les épaules et me fusilla du regard. Néanmoins elle descendit du véhicule et monta à l’arrière. J’invitai le roumain à la rejoindre et je m’installai à l’avant.
-Vas-y chérie, déshabille-toi, notre ami n’attend que ça.
Ma femme défit les attaches de sa robe et l’enleva en la faisant passer par-dessus sa tête. Elle dégrafa son soutien-gorge et libéra sa lourde poitrine sous les yeux ébahis du routier. Elle n’était vêtue que de son collant en voile noir qu’elle portait sans culotte à même la peau et de ses escarpins.
Le roumain attrapa son sein et se mit à le pétrir sans douceur
-Hé, doucement cochon, tu me fais mal !
-Tu fermes ta gueule sale pute. Ton mari me donne autorisation faire ce que j’ai demandé. Il a donné parole donc tu obéis. Ecarte les cuisses…
Sandrine me regarda étonnée et je lui lançai :
-Il a raison, ce sont les termes du marché.
-Ok mais pas de violence d’accord ?
-Moi tranquille si toi fais ce que moi veux comme bonne petite pute. Sinon je demande ton mari tu viens dans mon camion tu prendre ma bite dans ton cul. Ecarte les cuisses…
-C’est raisonnable, tu le suces comme il veut ou il t’encule… dis-je en riant
-Tu es un vrai salaud, ce plan est vraiment foireux.
Sandrine obéit néanmoins et le roumain se mit à lui caresser le sexe au travers de son collant, elle se pinça la lèvre et commença à respirer bruyamment. Encouragé par cette réaction, l’homme glissa sa main sous le nylon et insinua ses doigts dans les replis de sa vulve.
-Chatte rasée comme les putes, j’adore… ma femme vieille et poilue.
Il sortit son sexe en érection de son jogging et d’un slip kangourou douteux. Il saisit Sandrine par les cheveux et l’obligea à se pencher sur sa verge.
-Suce ma bite, petite pute.
Sandrine prit son membre en bouche et commença à le sucer. L’homme lui saisit les seins et se mit à les palper. Il introduisit son autre main entre le collant et les fesses et glissa jusqu’à son entrecuisse pour lui caresser sexe. Je compris qu’il lui enfonçait un doigt dans le vagin lorsqu’elle émit un petit cri vite étouffé par les va et vient du gros sexe entre ses lèvres.
-Tu aime regarder femme qui suce ma bite ? Je pelote ses nichons et j’ai mis le doigt dans sa chatte mouillée. Elle bonne pute, elle suce bien la queue.
Ma femme continuait à pomper le routier tout en se faisant tripoter, elle mettait du cœur à l’ouvrage et j’imaginais qu’il allait rapidement jouir.
-Arrête sucer, lèche les couilles…
Sandrine me regarda et j’acquiesçai du regard. Elle se mit donc à lécher les grosses bourses poilues d’une langue chaude et humide. Je bandais comme un âne mais je n’osais pas me masturber pendant qu’un parfait inconnu se tapait ma femme.
-Suce encore et vide mes couilles…
Sandrine reprit la fellation de manière plus énergique, le roumain se crispa et abattit sa main sur la nuque de mon épouse pour l’obliger à garder sa verge en bouche.
-Ahhhh, avale le sperme salope, prends tout….
Sous mes yeux excités il éjacula longuement dans la bouche de ma femme qui n’eut pas d’autre choix que d’avaler toute sa semence. Il ne la libéra que lorsque sa verge se ramollit. Sandrine se redressa, les joues rouges et les yeux brouillés de larmes. Le salopard avait déchargé une sérieuse quantité de foutre dans sa gorge. Le type se reculotta.
-Ta femme bonne pute, félicitations. Toi remplit contrat. Je dors ici 15 de chaque mois. Tu peux revenir avec elle mois prochain, moi aimerais la baiser et l’enculer, possible ?
-On verra mon pote. Allez laisse-nous maintenant.
-OK, OK je dis au revoir à Madame
Il lui pelota les seins une dernière fois pendant son autre main lui fouillait à nouveau l’entrecuisse.
-Hé laisse-la maintenant, tu as eu ce que tu voulais, non ?
Il sortit du véhicule et disparut dans la nuit.
J’ai démarré sans laisser le temps à Sandrine de se rhabiller. J’étais pressé de rentrer à la maison et de faire l’amour à ma femme.