- 02 juin 2012, 17:47
#1112598
Nous sommes devant l'entrée du centre naturiste de cap d'Agde. L'agence nous a loué le dernier appartement qu'elle possédait suite à un départ précipité d'un couple pour obligation familiale pour une durée de trois jours. Une véritable aubaine, quelques jours de soleil au bord de la mer dans le plus simple appareil. C'était la première fois que nous venions dans ce lieu mythique du naturisme.
Une hôtesse nous accompagna pour nous faire visiter l'appartement, après avoir réglé nos droits d'entrée la barrière se leva et nous entrons dans le plus vaste domaine naturiste de France. A l'intérieur tout le monde se promenait nu sans aucun artifice ni aucune pudeur. En montant les escaliers mon compagnon aurait bien voulu savoir si notre charmante hôtesse n'avait pas de culotte sous son petit tailleur bleu ciel.
Le logement était très petit, une seule pièce avec une table, deux chaises, un canapé lit et un coin cuisine. Une grande baie vitrée donnait sur la terrasse qui dominant l'enceinte du centre. Il faisait très chaud et l'on se retrouva très vite à poils (ou ce qu'il en restait) pour défaire les valises. En bas les gens partaient à la plage dans la tenue d'Adam et Eve et nous décidons d'en faire autant, nous visiterons le site quand il fera moins chaud.
Les seins nus, un pagne léger autour des hanches, crème bronzante et lunettes de soleil, nous nous allongeons à l'écart de la foule entassée près de l'eau, le nez pratiquement dans les affaires du voisin. Pas pudique, mais un peu gênée pour la première fois il faut me laisser le temps de m'habituer.
Il y avait des quéquettes partout en liberté, je mis mes lunettes de soleil pour ne pas avoir l'air d'une voyeuse qui matait tous ces jolis zizous bronzés qui se balançaient autour de moi. Je vis que mon compagnon en faisait autant avec les zézettes cela me fis sourire. La chaleur et la fatigue de la nuit précédente me plongea dans une sieste pleine de merveilleux souvenirs. quand je rouvris les paupières à deux mètres de nous était allongé perpendiculaire à mon corps un très jeune homme brun. Il aurait pu se mettre un peu plus loin avec la place qu'il y a autour de nous dis-je à mon compagnon. Oui répondit-il mais tu ne vas pas être pudibonde et je crois que c'est ton entre- jambes qui l'intéresse cela fait plusieurs fois que je le surprends à te mater et dès qu'il voit que je le regardes il se touche le queue comme s'il se masturbait. On dirait qu'il veut me faire passer un message et qu'il aimerait que je t'exhibe. Instinctivement je resserrais mes cuisses; "Allons ne joue pas les pucelles, ouvres ton coquillage, fait lui profiter du soleil et procures du plaisir à ce jeune garçon qui n'a que d'yeux que pour ton mollusque".
Mon mateur avait entendu les dires de mon compagnon, il secoua son drap de bain pour enlever la sable et en profita pour s'installer encore plus près de nous il se tourna vers moi en tripotant sa jeune verge toute bronzée en la faisant augmenter de volume. Sans m'en rendre compte et sous le charme mes cuisses s'étaient ouvertes offrant à ce jeune homme une vue sur les chairs charnues de ma foufoune, mon compagnon entra dans le jeu en me caressant la chatte et en m'écartant les lèvres pour montrer à mon voyeur mon intimité offerte. Puis il appuya sur mes glandes de Bartholin pour faire sortir de son capuchon mon clitoris qui pointait maintenant à l'extérieur. L'adolescent se rapprocha encore pour ne rien manquer. Je sentais son corps aux bouts de mes pieds. Il en prenait plein les yeux et sera certainement le plus fort de sa classe sur l'appareil génital de la femme.
Exhibitionniste j'éprouvais du plaisir à être matée par ce jeune garçon qui bandait comme un cheval à la vue de mon oursin ouvert sur le sable chaud. Libéré de son enveloppe de poils, les barbillons débordants, il étalait sa chair rosâtre et fraîche et n'attendait que d'être dégusté sur place.
Mon pied remonta doucement le long des jambes de l'adolescent jusqu'à sa verge, tripotant avec mes orteils son paquet. Il se laissait faire en arrêtant de se masturber. Il commença lui aussi à remonter sa main le long de ma jambe. Il se plaça à côté de moi et je pus prendre son sexe dans ma main pour lui tripoter et le masturber. Soudain il se releva et mit sa serviette autour de sa taille pour cacher son érection et s'éloigna de quelques mètres.
Que fais-tu DAVID? Je compris que le couple qui venait de le rejoindre était ses parents. Je vous attendais répondit-il. Tu viens avec nous, nous allons en ville pour t'acheter une nouvelle paire de tennis, je ne veux pas que tu sortes ce soir avec celle que tu as dit sa mère une très jolie femme brune comme son fils qui lui ressemblait beaucoup. Elle avait les cheveux mi-long. Le type "italienne" avec un petit duvet noir au dessus de ses lèvres, des yeux noisettes, un bronzage parfait et intégral qui laissait tout de même voir une légère trace de string. Des petits seins fermes avec de larges aréoles brunes et des petits bouts qui pointaient leur arrogance. Elle avait un corps parfait avec deux petites fossettes sur le haut des fesses. Son triangle était épilé pour que ses poils ne dépassent pas de son trois fois rien qu'elle porte parfois et qui lui a laissé cette petite trace blanche sur son corps pain d'épice.
Elle me fît un sourire complice car elle avait compris ce qui se passait avec DAVID en voyant la bosse sous la serviette de son fils. Ce sourire voulait dire merci de parfaire les cours pratiques de l'éducation sexuelle qu'elle ne pouvait pas faire elle même. Le papa bel homme également n'avait rien perçu mais il se retourna plusieurs fois pour mater mon mollusque sans coquille se prélassant porno graphiquement à la douceur de la brise marine.
Une hôtesse nous accompagna pour nous faire visiter l'appartement, après avoir réglé nos droits d'entrée la barrière se leva et nous entrons dans le plus vaste domaine naturiste de France. A l'intérieur tout le monde se promenait nu sans aucun artifice ni aucune pudeur. En montant les escaliers mon compagnon aurait bien voulu savoir si notre charmante hôtesse n'avait pas de culotte sous son petit tailleur bleu ciel.
Le logement était très petit, une seule pièce avec une table, deux chaises, un canapé lit et un coin cuisine. Une grande baie vitrée donnait sur la terrasse qui dominant l'enceinte du centre. Il faisait très chaud et l'on se retrouva très vite à poils (ou ce qu'il en restait) pour défaire les valises. En bas les gens partaient à la plage dans la tenue d'Adam et Eve et nous décidons d'en faire autant, nous visiterons le site quand il fera moins chaud.
Les seins nus, un pagne léger autour des hanches, crème bronzante et lunettes de soleil, nous nous allongeons à l'écart de la foule entassée près de l'eau, le nez pratiquement dans les affaires du voisin. Pas pudique, mais un peu gênée pour la première fois il faut me laisser le temps de m'habituer.
Il y avait des quéquettes partout en liberté, je mis mes lunettes de soleil pour ne pas avoir l'air d'une voyeuse qui matait tous ces jolis zizous bronzés qui se balançaient autour de moi. Je vis que mon compagnon en faisait autant avec les zézettes cela me fis sourire. La chaleur et la fatigue de la nuit précédente me plongea dans une sieste pleine de merveilleux souvenirs. quand je rouvris les paupières à deux mètres de nous était allongé perpendiculaire à mon corps un très jeune homme brun. Il aurait pu se mettre un peu plus loin avec la place qu'il y a autour de nous dis-je à mon compagnon. Oui répondit-il mais tu ne vas pas être pudibonde et je crois que c'est ton entre- jambes qui l'intéresse cela fait plusieurs fois que je le surprends à te mater et dès qu'il voit que je le regardes il se touche le queue comme s'il se masturbait. On dirait qu'il veut me faire passer un message et qu'il aimerait que je t'exhibe. Instinctivement je resserrais mes cuisses; "Allons ne joue pas les pucelles, ouvres ton coquillage, fait lui profiter du soleil et procures du plaisir à ce jeune garçon qui n'a que d'yeux que pour ton mollusque".
Mon mateur avait entendu les dires de mon compagnon, il secoua son drap de bain pour enlever la sable et en profita pour s'installer encore plus près de nous il se tourna vers moi en tripotant sa jeune verge toute bronzée en la faisant augmenter de volume. Sans m'en rendre compte et sous le charme mes cuisses s'étaient ouvertes offrant à ce jeune homme une vue sur les chairs charnues de ma foufoune, mon compagnon entra dans le jeu en me caressant la chatte et en m'écartant les lèvres pour montrer à mon voyeur mon intimité offerte. Puis il appuya sur mes glandes de Bartholin pour faire sortir de son capuchon mon clitoris qui pointait maintenant à l'extérieur. L'adolescent se rapprocha encore pour ne rien manquer. Je sentais son corps aux bouts de mes pieds. Il en prenait plein les yeux et sera certainement le plus fort de sa classe sur l'appareil génital de la femme.
Exhibitionniste j'éprouvais du plaisir à être matée par ce jeune garçon qui bandait comme un cheval à la vue de mon oursin ouvert sur le sable chaud. Libéré de son enveloppe de poils, les barbillons débordants, il étalait sa chair rosâtre et fraîche et n'attendait que d'être dégusté sur place.
Mon pied remonta doucement le long des jambes de l'adolescent jusqu'à sa verge, tripotant avec mes orteils son paquet. Il se laissait faire en arrêtant de se masturber. Il commença lui aussi à remonter sa main le long de ma jambe. Il se plaça à côté de moi et je pus prendre son sexe dans ma main pour lui tripoter et le masturber. Soudain il se releva et mit sa serviette autour de sa taille pour cacher son érection et s'éloigna de quelques mètres.
Que fais-tu DAVID? Je compris que le couple qui venait de le rejoindre était ses parents. Je vous attendais répondit-il. Tu viens avec nous, nous allons en ville pour t'acheter une nouvelle paire de tennis, je ne veux pas que tu sortes ce soir avec celle que tu as dit sa mère une très jolie femme brune comme son fils qui lui ressemblait beaucoup. Elle avait les cheveux mi-long. Le type "italienne" avec un petit duvet noir au dessus de ses lèvres, des yeux noisettes, un bronzage parfait et intégral qui laissait tout de même voir une légère trace de string. Des petits seins fermes avec de larges aréoles brunes et des petits bouts qui pointaient leur arrogance. Elle avait un corps parfait avec deux petites fossettes sur le haut des fesses. Son triangle était épilé pour que ses poils ne dépassent pas de son trois fois rien qu'elle porte parfois et qui lui a laissé cette petite trace blanche sur son corps pain d'épice.
Elle me fît un sourire complice car elle avait compris ce qui se passait avec DAVID en voyant la bosse sous la serviette de son fils. Ce sourire voulait dire merci de parfaire les cours pratiques de l'éducation sexuelle qu'elle ne pouvait pas faire elle même. Le papa bel homme également n'avait rien perçu mais il se retourna plusieurs fois pour mater mon mollusque sans coquille se prélassant porno graphiquement à la douceur de la brise marine.