- 06 oct. 2012, 17:33
#1211977
Le candaulisme, c’est le plaisir de voir son épouse ou sa compagne se donner à un autre. Ma femme s’est donnée en ma présence pendanr quelques années à deux amants avec qui j’avais une complicité totale. Passive, j’avais demandé à ces hommes d’être directifs.
Je livre quelques situations que j’ai aimé.
En préliminaire.
-Je rechignais au départ voir mon épouse se faire embrasser et j’y ai pris goût. L’amant introduisait profondément sa langue dans sa bouche, la violait, tenant sa tête pendant qu’elle s’abandonnait.
-la première introduction de sa main dans sa culotte. Aux mouvements du tissu, j’imaginais qu’il touchait sa fente, allait-il plus loin, que faisait-il exactement, la pénétrait-il ?.
-Le fait qu’il la trousse me plaisait
-j’avais insisté pour qu’il la dirige. Quand elle était en bas et porte jarretelle et culotte debout devant lui dévoilant son sexe, j’appréciais quand il lui baissait sa culotte à mi-cuisse, les jambes légèrement écartées. Il la masturbait, il lui disait « tu es bien offerte », sa respiration s’accélérait.
Puis cela se finissait dans la chambre
-sur le dos il lui faisait écarter les cuisses, la caressait en dégageant sa fente de sa toison et décalottait son clitoris, je ne l’avais jamais fait et vu d’aussi près son clitoris. J’éprouvais une gêne à la voir exhibée ainsi et d’entendre ses commentaires « ton clitoris est bien dressé, ect... pendant qu ‘elle s’exécutait
-j’aimais la voir dirigée ; sur le ventre il lui faisait remonter les genoux pour qu’elle dévoile son intimité et l’encourageait de la voix « montre moi tout »
- quand l’amant enlevait son slip, sexe dressé, je me disais, elle va lui appartenir, mon coeur accélerait.
-venait le moment de la pénétration , position classique souvent. Son sexe dressé à l’entrée du vagin, il s’introduisait vivement lui arrachant un soupir. Je ne perdais pas de vue ce moment où elle appartenait a un autre homme, était couverte par lui. Ce n’était plus l’épouse, mais la femme, la maitresse désinhibée qui se faisait saillir
-L’amant profitait de son sexe, elle du sien. Il la besognait jusque qu’il éjacule en elle. Les deux corps se tendaient et les râles s’entremêlaient. c’était le bonheur de la voir un peu souillée, d’imaginer le sperme l’envahir.
J’aurai aimé que les amants la dominent un peu plus, sans brutalité. Peut-être l’ont-ils fait en mon absence ?
J’aurai aimé la voir agenouillée, l’amant se soulageant dans sa bouche ; se masturber suivant les directives ; être obligée par son amant de se donner à une tierce personne devant lui, de l’amener àtotalement se donner , mais sans être forcée ...
Je livre quelques situations que j’ai aimé.
En préliminaire.
-Je rechignais au départ voir mon épouse se faire embrasser et j’y ai pris goût. L’amant introduisait profondément sa langue dans sa bouche, la violait, tenant sa tête pendant qu’elle s’abandonnait.
-la première introduction de sa main dans sa culotte. Aux mouvements du tissu, j’imaginais qu’il touchait sa fente, allait-il plus loin, que faisait-il exactement, la pénétrait-il ?.
-Le fait qu’il la trousse me plaisait
-j’avais insisté pour qu’il la dirige. Quand elle était en bas et porte jarretelle et culotte debout devant lui dévoilant son sexe, j’appréciais quand il lui baissait sa culotte à mi-cuisse, les jambes légèrement écartées. Il la masturbait, il lui disait « tu es bien offerte », sa respiration s’accélérait.
Puis cela se finissait dans la chambre
-sur le dos il lui faisait écarter les cuisses, la caressait en dégageant sa fente de sa toison et décalottait son clitoris, je ne l’avais jamais fait et vu d’aussi près son clitoris. J’éprouvais une gêne à la voir exhibée ainsi et d’entendre ses commentaires « ton clitoris est bien dressé, ect... pendant qu ‘elle s’exécutait
-j’aimais la voir dirigée ; sur le ventre il lui faisait remonter les genoux pour qu’elle dévoile son intimité et l’encourageait de la voix « montre moi tout »
- quand l’amant enlevait son slip, sexe dressé, je me disais, elle va lui appartenir, mon coeur accélerait.
-venait le moment de la pénétration , position classique souvent. Son sexe dressé à l’entrée du vagin, il s’introduisait vivement lui arrachant un soupir. Je ne perdais pas de vue ce moment où elle appartenait a un autre homme, était couverte par lui. Ce n’était plus l’épouse, mais la femme, la maitresse désinhibée qui se faisait saillir
-L’amant profitait de son sexe, elle du sien. Il la besognait jusque qu’il éjacule en elle. Les deux corps se tendaient et les râles s’entremêlaient. c’était le bonheur de la voir un peu souillée, d’imaginer le sperme l’envahir.
J’aurai aimé que les amants la dominent un peu plus, sans brutalité. Peut-être l’ont-ils fait en mon absence ?
J’aurai aimé la voir agenouillée, l’amant se soulageant dans sa bouche ; se masturber suivant les directives ; être obligée par son amant de se donner à une tierce personne devant lui, de l’amener àtotalement se donner , mais sans être forcée ...