- 11 mars 2013, 15:16
#1312690
Mon épouse et moi-même habitons dans un lotissement assez chic, où chaque voisin bénéficie d’une surface de terrain très grande sur lesquelles s’implantent de belles maisons. Nous avions choisi ce lieu pour vivre car il permettait de bénéficier d’une intimité importante tout en conservant un lien de quartier. Et de fait nos voisins étaient des gens intéressant avec qui nous avions des relations suivies. Enfin sauf avec un qui avait eu le terrain par héritage et avait fait construire là une petite maison, malheureusement en face de la notre. Agé d’une cinquantaine d’années, il était bedonnant, chauve et sale. Il dénotait vraiment dans notre quartier et nous n’avions pratiquement aucun échange si ce n’est des bonjours quand nous nous croisions. Ma femme le méprisait même et ne lui disait bonjour que quand elle était vraiment obligée. Elle me disait qu’il la répugnait. Un soir, lors d’une réunion de quartier, alors qu’elle avait fait la bise à chacun des autres hommes présents, elle lui tendit la main, ce qui sembla lui déplaire fortement. Il faut dire que mon épouse était sans contestation possible la plus belle femme de la soirée, avec sa grande chevelure rousse et ses formes généreuses que l’on pouvait à peine deviner sous son tailleur.
Un soir, alors que nous étions sortis au restaurant, nous trouvâmes à notre retour la porte de notre maison ouverte. En pénétrant dans notre domicile, nous nous aperçûmes que nous avions été cambriolé. Plusieurs bijoux, un peu d’argent et surtout 4 sculptures de grande valeur. Je m’aperçu vite du problème, nous n’avions pas fermé la porte, et il n’y avait pas effraction. Malgré le fait qu’il y ai eu de récent cambriolage dans le village dans lequel nous habitons, nous ne pensions pas que des cambrioleurs aient le temps d’agir en si peu de temps.
Je savais que l’assurance ne rembourserait jamais si il y avait eu une négligence de notre part, et c’était une sacrée négligence que de ne pas fermer sa porte à clef. Je pris donc un pied de biche, fermait la porte à double tour et forçait moi-même la porte. C’était la seule solution trouvée pour nous permettre d’être remboursé. Peu de temps après je contactais la gendarmerie pour déclarer le cambriolage et 15 jours plus tard nous étions remboursés par l’assurance.
Un matin, alors que j’allais partir au travail, je vis mon voisin d’en face sortir et venir me saluer. Très rapidement, il me demanda si je connaissais la peine encourue pour une escroquerie à l’assurance. J’ai cru que mon cœur s’arrêtait ! Je lui rétorquais que je ne savais pas de quoi il voulait parler, quand il me montra une photo très nette de moi en train de forcer ma porte. Je compris tout de suite où il voulait en venir et je lui demandais combien pour les clichés. Il me dit de passer chez lui le soir après le boulot et qu’il m’expliquerait. Et il précisa :
- Au fait, à titre d’information, c’est passible de 5 ans de prison et de 375 000€ d’amende.
Inutile de vous dire que je passais une très mauvaise journée, à penser sans arrêt à ce chantage. Je me demandais combien il allait vouloir pour me rendre les clichés.
Le soir je me rendais directement à sa porte et sonnais. Il me fit rentrer dans sa maison dans laquelle une odeur forte se répandait. Comme je voulais abréger cette conversation, je lui demandais immédiatement combien il voulait. Il me répondit alors qu’il ne désirait pas d’argent. Etonné, je lui demandais alors ce qu’il voulait.
- Ton épouse est bien belle, mais j’ai l’impression qu’elle me regarde de haut. J’ai trois photos de toi en train de défoncer ta porte. Si tu veux en récupérer une, il suffit que tu mettes cet objet dans ta salle de bain pendant que ta femme se lave.
En disant ces mots, il sortit une petite pendule dont il m’expliqua que le cercle tenant les aiguilles était en fait un objectif qui se déclenchait avec le mouvement. Je m’offusquai mais il me dit que c’était ça ou les gendarmes. Après tout, ce n’était qu’une petite exhibition de ma femme, ce qui n’était pas totalement pour me déplaire, même si le voyeur ne correspondait pas à l’image que je m’en faisais. J’acceptais donc et allais immédiatement placer la caméra espion dans notre salle de bain, afin qu’elle ait une vue imprenable sur la douche et le dressing.
Un soir, alors que nous étions sortis au restaurant, nous trouvâmes à notre retour la porte de notre maison ouverte. En pénétrant dans notre domicile, nous nous aperçûmes que nous avions été cambriolé. Plusieurs bijoux, un peu d’argent et surtout 4 sculptures de grande valeur. Je m’aperçu vite du problème, nous n’avions pas fermé la porte, et il n’y avait pas effraction. Malgré le fait qu’il y ai eu de récent cambriolage dans le village dans lequel nous habitons, nous ne pensions pas que des cambrioleurs aient le temps d’agir en si peu de temps.
Je savais que l’assurance ne rembourserait jamais si il y avait eu une négligence de notre part, et c’était une sacrée négligence que de ne pas fermer sa porte à clef. Je pris donc un pied de biche, fermait la porte à double tour et forçait moi-même la porte. C’était la seule solution trouvée pour nous permettre d’être remboursé. Peu de temps après je contactais la gendarmerie pour déclarer le cambriolage et 15 jours plus tard nous étions remboursés par l’assurance.
Un matin, alors que j’allais partir au travail, je vis mon voisin d’en face sortir et venir me saluer. Très rapidement, il me demanda si je connaissais la peine encourue pour une escroquerie à l’assurance. J’ai cru que mon cœur s’arrêtait ! Je lui rétorquais que je ne savais pas de quoi il voulait parler, quand il me montra une photo très nette de moi en train de forcer ma porte. Je compris tout de suite où il voulait en venir et je lui demandais combien pour les clichés. Il me dit de passer chez lui le soir après le boulot et qu’il m’expliquerait. Et il précisa :
- Au fait, à titre d’information, c’est passible de 5 ans de prison et de 375 000€ d’amende.
Inutile de vous dire que je passais une très mauvaise journée, à penser sans arrêt à ce chantage. Je me demandais combien il allait vouloir pour me rendre les clichés.
Le soir je me rendais directement à sa porte et sonnais. Il me fit rentrer dans sa maison dans laquelle une odeur forte se répandait. Comme je voulais abréger cette conversation, je lui demandais immédiatement combien il voulait. Il me répondit alors qu’il ne désirait pas d’argent. Etonné, je lui demandais alors ce qu’il voulait.
- Ton épouse est bien belle, mais j’ai l’impression qu’elle me regarde de haut. J’ai trois photos de toi en train de défoncer ta porte. Si tu veux en récupérer une, il suffit que tu mettes cet objet dans ta salle de bain pendant que ta femme se lave.
En disant ces mots, il sortit une petite pendule dont il m’expliqua que le cercle tenant les aiguilles était en fait un objectif qui se déclenchait avec le mouvement. Je m’offusquai mais il me dit que c’était ça ou les gendarmes. Après tout, ce n’était qu’une petite exhibition de ma femme, ce qui n’était pas totalement pour me déplaire, même si le voyeur ne correspondait pas à l’image que je m’en faisais. J’acceptais donc et allais immédiatement placer la caméra espion dans notre salle de bain, afin qu’elle ait une vue imprenable sur la douche et le dressing.