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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par fatswaller
#1506702
Tout ce que je vais écrire est parfaitement réel, c'est l'histoire d'un cocu.
Ma femme est une très jolie blonde au carré, d'allure bourgeoise, mince, avec des petits seins.
Nous nous sommes connus très jeunes et j'ai toujours été profondément amoureux d'elle. D'un caractère assez froid et hautain, elle ne s'est jamais montrée très porté sur le sexe. J'ai accepté d'avoir une sexualité réduite à sa plus simple expression : une missionnaire une fois par semaine et jamais un orgasme pour elle. Toutes mes tentatives pour sortir de cette routine furent à chaque fois vertement repoussées !
J'ai donc accepté ce que je ne pouvais pas changé et les années passèrent comme cela...
Cette sexualité commença à changer lorsque Sophie arriva dans sa vingt septième année : le peu qu'elle m'accordait fut encore réduit, elle refusait maintenant toute pénétration et en en plus elle me témoignait une froideur absolue.
J'ai alors commencé à avoir de sérieux doutes et les preuves indirectes commencèrent à s'accumuler.
Elle allait quasiment tous les jours faire les magasins sans faire d'achat, les réunions professionnelles se multipliaient et s'éternisaient, elle fréquenta régulièrement les instituts de beauté pour se faire épiler les jambes, des coups de téléphone avec quelqu'un qui raccroche aussitôt, en fouillant dans ses armoires, je trouvais même de la
lingerie sexy alors qu'elle avait toujours revendiquée le style petit bateau !
Je trouvais même des dim-up dans un de ses tiroirs ce qu'elle m'avait toujours refusé avec la plus grande fermeté.
Un matin, en lui faisant la bise avant de partir au travail, je posais ma main sur sa jupe, je sentis la couture des bas..un soir,
elle revint tard d'une réunion et en lui disant bonjour, je sentis dans son haleine l'odeur de bite !!!
Vous imaginez bien les tortures insupportables que je subissais.
Les mois passèrent ainsi
par fatswaller
#1506758
Un dimanche matin, Sophie sortit de notre chambre en tenue de sport et m'annonça qu'elle partait courir dans le quartier.
Qu'elle ne fut pas ma surprise...en 10 ans de vie commune, elle n'avait jamais couru!
Je ne m'opposais pas à son jogging et elle partit en petites foulées...
5 minutes après son départ, je pris ma voiture et je fis le tour du quartier.
Et je l'ai trouvé en train de téléphoner d'une cabine ( on était encore à l'époque des balbutiements des portables).
Je me suis alors garé vivement, à côté de la cabine et nos regards se sont croisés.
Elle était prise sur le fait mais au lieu de lire dans ses yeux de l'angoisse, je perçus une pointe d'arrogance et de fierté !!
Je l' a fis sortir de la cabine et elle monta en voiture.
Elle m'avoua alors qu'elle avait un amant, qu'il s'agissait d'un de ses collègues, qu'il avait 20 ans de plus qu'elle et que sexuellement, "ils avaient tout fait sauf la sodomie" selon ses mots.
J'ai compris très vite que mon destin était écrit et qu'elle allait vraisemblablement me quitter pour vivre avec lui.
Mais je n'ai jamais aimé les histoires déjà écrites !!!
par fatswaller
#1507168
Voici la suite...
Le cours d'un destin est parfois lié à une décison instinctive : j'ai compris au fond de moi que Sophie attendait une réaction violente de ma part pour avoir le courage de me quitter.
C'est difficile pour une femme de quitter le père de son fils pour un homme beaucoup plus âgé qu'elle et sans les attributs qui donnent du charme à la maturité : fortune ou pouvoir, il faut affronter les regards de la famille et des amis !
J'ai pris le contre-pied de ce qu'elle attendait de moi : je me suis montré calme et compréhensif et elle en fut déstabilisée. Nous avons parlé et j'ai pu brosser le portrait de son amant : un physique de plus banals, un petit sexe (contrairement à moi), une santé fragile mais un voix grave et virile, du magnétisme, de l'éloquence et de la culture.
Sophie qui avait perdu son père très jeune venait de franchir la barrière de l'oedipe et de s'amouracher d'un homme manipulateur et aux idées glauques (une extrême droite des plus malsaines).
Cet homme était certain que Sophie allait me quitter pour vivre avec lui...un bras de fer d'environ un an s'est engagé entre lui et moi. Sophie ne se décidant pas à me quitter, il a fini par perdre son calme, il lui a posé des ultimatums et à la fin par dépit, il est parti travailler à l'autre bout de le France.
Pendant tout ce temps, ma sexualité avec Sophie ne s'est pas améliorée : un rapport une fois par semaine," il lui fallait du temps pour se reconstruire" selon ses mots...
J'ai commencé à beaucoup me masturber en imaginant Sophie dans ses ébats, faisant avec un homme pervers ce qu'elle n'avait jamais fait avec moi . L'idée d'être cocu m'excitait de plus en plus, je ne voulais juste pas perdre Sophie.
J'ai fouillé les affaires de Sophie, j'ai découvert un dépistage HIV ainsi qu'un test de grossesse. Ils couchaient ensemble sans préservatifs et sans moyens de contraception... ont-ils cherché à avoir un enfant, je n'ai jamais su !!!
J'ai souvent examiné les petites culottes de Sophie et lorsque j'y trouvais une tache de sperme , j'ai parfois léché les traces blanches avec gourmandise.
Un soir, Sophie me supplia de l'autoriser à aller passer une partie de la soirée avec son amant, je ne m'y opposais pas et elle partit le rejoindre. Je me retouvais seul, ne tenant pas en place, pris entre les feux de l'excitation à imaginer Sophie dans ses ébats et les brulures de la jalousie et de l'humiliation. Je montais alors dans ma voiture et j'ai roulé dans ma ville la nuit.
Suite bientôt...
par fatswaller
#1511616
J'ai alors roulé machinalement, assailli par des sentiments contradictoires et je me suis retouvé sans savoir pourquoi sur un petit parking discret, dans un bois réputé dans ma région pour des rencontres homosexuelles.
Je précise tout de suite que je n'avais jamais eu la moindre attirance pour les hommes.
Il n'y avait personne et je ne savais pas comment ce type de rencontre se déroulait...
Au bout de quelques instants, une voitre blanche s'approcha, roulant au pas et se gara à côté de moi. Un homme blond, jeune, grand et d'allure virile m'examina à travers les vitres et devant lui plaire, il sortit de sa voiture et vint s'assoir dans la mienne. J'étais paralysé, tremblant comme une feuille, incapable de tenir un discours cohérent.
Il parla très peu et me dit de le suivre.
Nous nous engeâmes dans un bosquet et nous trouvâmes derrière un arbre, faisant écran avec la route, un coin tranquille. Il mit sa main derrière ma nuque et m'attira vers lui avec énergie pour m'embrasser. Pendant ce long baiser, il me caressa le ventre, les tétons et les fesses. Puis, il sortit son sexe, d'une vingtaine de centimètre et très large...
Il enfila un préservatif et me demanda de baisser mon pantalon. Je me retournais, me penchant et m'appuyant d'une main sur le tronc de l'arbre.
Il cracha dans sur le bout de ses doigts et me lubrifia le cul puis il m'enfonça un doigt.
Le passage étant ouvert, il introduisit alors son énorme sexe, la douleur fut fulgurante, j'eus l'impression d'être déchiré...
Mais très vite, la douleur s'estompa,j'ai alors commencé à me caresser et un plaisir intense finit par m'envahir.
Mon excitation était à son paroxysme, l'idée de me faire baiser par un homme pendant que Sophie se donnait à son amant démultipliait mon plaisir. J'avais l'impresson d'être à sa place, j'étais moi aussi une femme adultère.
Le rythme des coups de reins s'accéléra pour devenir frénétique et sauvage...et nous finimes par jouir en même temps.
Je n'ai jamais connu un orgasme aussi intense avec une femme, je ne savais pas que l'on pouvait prendre autant de plaisir ! Mon amant blond repartit comme il était venu, sans beaucoup parler et je rentrais chez moi.
J'étais alors parfaitement calme, serein et content d'avoir trompé Sophie, transgressé les règles et d''avoir ma part de perversité.
Je m'endormais d'un sommeil appaisé ce que je n'avais pas connu depuis des mois.
Sophie rentra dans la nuit me réveillant, surpise de me voir dormir profondément et elle m'expliqua que son amant lui avait annoncé qu'il venait d'obtenir sa mutation, lui demandant de partir avec lui et devant son refus, il lui fit une scène. Ce soir là, il ne couchèrent pas ensemble et finalement, ce fut leur dernière soirée !
Je savourais intérieurement toute l'ironie de la scène, l'infidélité de Sophie s'est arrêtée quand la mienne a commencé.
Son amant était vieux, de santé fragile, avec un petit sexe et d'une libido très limitée par l'usage de médicaments (elle me l'a avoué par la suite) et le mien était beau, grand, viril,monté comme un âne et il m'a donné un plaisir indescriptible !
La vie finit par reprendre son cours, notre couple se ressouda et nous retrouvames même une certaine complicté sexuelle. Je précise que je ne suis pas retourné sur mon parking ne voulant pas avoir une double vie homosexuelle.
Mais Sophie allait de nouveau céder à la tentation..

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