- 07 août 2014, 17:32
#1636960
Bonjour,
Pour mon premier post, une présentation rapide :
Moi Sébastien, 35 ans, ingénieur. Ma femme : Aurélie, 36 ans, directrice d’une PME, beaux seins et superbe cul.
Nous avons beaucoup fréquenté les boites échangiste, depuis que nous sommes ensemble (10 ans). Ma femme est très ouverte en matière de sexe, très branchée scénario, peu de tabous.Depuis un moment nous préférons les plans plus spontanés dont voici un extrait datant de pas plus tard que Lundi dernier.
Lundi, 14h, en ce mois d’aout ou le temps alterne entre pluie et soleil radieux… Aujourd’hui il fait beau !
Nous sommes à l’Intermarché de notre campagne, vide en ce mois d’aout et à cette heure. La seule clientèle se résume ainsi : des papys, des mamies et quelques ménagères.
Aurélie, loin de sa PME situé dans le 93 se lâche plus facilement surtout lorsque je lui propose une idée, qui je sais, va la séduire, allumer des vieux ! Tout s’y prête, peu de monde, elle est habillée d’une petite robe blanche très courte et surtout des papy la regarde déjà du coin de l’œil.
Au bout de quelques minutes je suis situé à une quinzaine de mètres d’elle avec mon caddy. Elle est plus loin avec son panier. Je regarde de si, de là les yeux de ses pervers qui lorgne ma femme. Déjà en imaginant les commentaires qu’ils se font sur elle, j’en ai un début d’érection.
Pour elles, toutes les occasions sont bonnes pour se baiser. 2 jeunes passent à côté d’elle et reste figés devant le spectacle puis repartirent en gloussant.
Il y en a un qui avait accroché : la bonne soixantaine, pas bien gros, l’air vicelard a peine caché par sa casquette noir. Il suivait ma femme depuis un moment et ne loupait pas une miette du spectacle. Au rayon surgelé, Aurélie se penchas (encore une fois) au-dessus des congélateurs qui s’ouvre par le dessus. Elle se pencha tellement que je puis voir le bas de ses belles fesses bien rondes. Lorsque je portai mon regard sur le vieux, je remarquai qu’il n’était qu’a environ 4 mètres d’elle collé à un bac ou était entreposé des viennoiseries. Je remarquai surtout qu’il s’y frottait la queue se vieux pervers.Je pris rapidement mon téléphone et envoyas un texto à ma femme :
« Le vieux en casquette se tripote en te regardant »
Je la vis quelque seconde plus tard en train de regarder son portable, elle le rangea puis quelques secondes après elle tourna la tête doucement, l’air de rien en sa direction.
Je vis la scène avec fascination : Il resta pétrifié en la regardant, Aurélie lui fit un magnifique sourire d’une douceur extrême puis s’approchas de lui avec son panier.
Je vis la scène de loin mais la conversation qui suis me fit bien évidement racontée par Aurélie, une fois rentrée à la maison :
Elle :- « Je peux vous aider ? » en regardant le vieux encore collé au bac de viennoiseries- « heu, non, non, je cherchais quelque choses… » l’air extrêmement gêné. Il recula du bac, se rendant compte qu’elle le regardait avec insistance. Il avait la braguette ouverte mais si ma femme ne vis pas son sexe sortis, elle s’aperçu quand même que son sous vêtement était de couleur bordeaux. Ma femme insista :
- « Je suis sûr que vous me regardiez en vous touchant, je me trompe ?Il n’osa répondre, elle continua :- « Vous savez, il n’y a pas de mal, ça me flatte même !
Elle regarda au tour d’eux, a par moi elle ne vis personne. Elle mit sa main droite dans l’ouverture de son pantalon, palpas la demi-érection du vieux monsieur et lui dit :
- « Vous êtes sûr que je ne peux pas vous aider ? »
La suite arrive vite. Etant nouveau sur le forum, je ne peux recevoir de message alors n’hésitez pas a laissé vos commentaires ici !!
Pour mon premier post, une présentation rapide :
Moi Sébastien, 35 ans, ingénieur. Ma femme : Aurélie, 36 ans, directrice d’une PME, beaux seins et superbe cul.
Nous avons beaucoup fréquenté les boites échangiste, depuis que nous sommes ensemble (10 ans). Ma femme est très ouverte en matière de sexe, très branchée scénario, peu de tabous.Depuis un moment nous préférons les plans plus spontanés dont voici un extrait datant de pas plus tard que Lundi dernier.
Lundi, 14h, en ce mois d’aout ou le temps alterne entre pluie et soleil radieux… Aujourd’hui il fait beau !
Nous sommes à l’Intermarché de notre campagne, vide en ce mois d’aout et à cette heure. La seule clientèle se résume ainsi : des papys, des mamies et quelques ménagères.
Aurélie, loin de sa PME situé dans le 93 se lâche plus facilement surtout lorsque je lui propose une idée, qui je sais, va la séduire, allumer des vieux ! Tout s’y prête, peu de monde, elle est habillée d’une petite robe blanche très courte et surtout des papy la regarde déjà du coin de l’œil.
Au bout de quelques minutes je suis situé à une quinzaine de mètres d’elle avec mon caddy. Elle est plus loin avec son panier. Je regarde de si, de là les yeux de ses pervers qui lorgne ma femme. Déjà en imaginant les commentaires qu’ils se font sur elle, j’en ai un début d’érection.
Pour elles, toutes les occasions sont bonnes pour se baiser. 2 jeunes passent à côté d’elle et reste figés devant le spectacle puis repartirent en gloussant.
Il y en a un qui avait accroché : la bonne soixantaine, pas bien gros, l’air vicelard a peine caché par sa casquette noir. Il suivait ma femme depuis un moment et ne loupait pas une miette du spectacle. Au rayon surgelé, Aurélie se penchas (encore une fois) au-dessus des congélateurs qui s’ouvre par le dessus. Elle se pencha tellement que je puis voir le bas de ses belles fesses bien rondes. Lorsque je portai mon regard sur le vieux, je remarquai qu’il n’était qu’a environ 4 mètres d’elle collé à un bac ou était entreposé des viennoiseries. Je remarquai surtout qu’il s’y frottait la queue se vieux pervers.Je pris rapidement mon téléphone et envoyas un texto à ma femme :
« Le vieux en casquette se tripote en te regardant »
Je la vis quelque seconde plus tard en train de regarder son portable, elle le rangea puis quelques secondes après elle tourna la tête doucement, l’air de rien en sa direction.
Je vis la scène avec fascination : Il resta pétrifié en la regardant, Aurélie lui fit un magnifique sourire d’une douceur extrême puis s’approchas de lui avec son panier.
Je vis la scène de loin mais la conversation qui suis me fit bien évidement racontée par Aurélie, une fois rentrée à la maison :
Elle :- « Je peux vous aider ? » en regardant le vieux encore collé au bac de viennoiseries- « heu, non, non, je cherchais quelque choses… » l’air extrêmement gêné. Il recula du bac, se rendant compte qu’elle le regardait avec insistance. Il avait la braguette ouverte mais si ma femme ne vis pas son sexe sortis, elle s’aperçu quand même que son sous vêtement était de couleur bordeaux. Ma femme insista :
- « Je suis sûr que vous me regardiez en vous touchant, je me trompe ?Il n’osa répondre, elle continua :- « Vous savez, il n’y a pas de mal, ça me flatte même !
Elle regarda au tour d’eux, a par moi elle ne vis personne. Elle mit sa main droite dans l’ouverture de son pantalon, palpas la demi-érection du vieux monsieur et lui dit :
- « Vous êtes sûr que je ne peux pas vous aider ? »
La suite arrive vite. Etant nouveau sur le forum, je ne peux recevoir de message alors n’hésitez pas a laissé vos commentaires ici !!