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par asmdf510
#1863257
Il y a quelques années déjà, il nous est arrivé une aventure fort excitante et imprévue pendant nos vacances d'été.
Nous avions prévu de passer deux semaines chez nos amis qui ont une résidence d'été près de Béziers à partir du 10 août et étant en congés début août, nous avions décidé de louer une semaine dans l'Ariège avant de descendre au bord de la méditerranée. Nous en avons profité pour visiter le pays cathare que nous ne connaissions pas et surtout se reposer en profitant du soleil et du jardin de notre location située dans un petit bourg bien tranquille.
C’est ainsi que le premier jour en fin de matinée, nous sommes allés faire nos courses dans une des superettes de la ville pour remplir le frigo. Décontractés comme des gens en vacances que nous étions, alors que nous rangions les provisions, je reçus un appel sur mon portable avec un numéro affichant l'indicatif de la région. Intrigué car ne connaissant personne dans le coin, je décrochai et entendis une voix rauque d'homme qui m'annonçait avoir récupéré mon portefeuille sur le trottoir devant la superette. Je vérifiai immédiatement dans la poche de mon short pour m'apercevoir qu'effectivement, il n'y était pas. Il avait dû glisser de ma poche lorsque je suis rentré dans la voiture. Je le remerciais vivement pour son attention et proposais de suite de partir le chercher. L'homme affable me donna son adresse en m'assurant qu'il m'attendait. J'informais ma femme de la situation en me félicitant de notre chance, j'avais tous mes papiers et cartes bancaire dedans et nous aurions été dans de beaux draps sans ce portefeuille. La laissant à la maison, je pris la voiture et rejoignais rapidement l'adresse indiquée qui n'était pas loin de notre résidence, il faut dire que le village n'est pas bien grand, c'est la raison qui nous l'avait fait choisir, comme lieu de repos c'est idéal avant nos deux semaines qui risquaient d'être beaucoup plus mouvementées avec les amis et les apéros au rosé du pays.
Je trouvais facilement l'adresse avec mon GPS et me garais devant une petite résidence aux allures de logement social, mais bien tenue et propre. Je sonnais à l'entrée au nom que l'homme m'avait donné et l'entendit me dire que c'était au RDC en déclenchant l'ouverture de la porte d'entrée. Ayant ouvert la porte de son logement, il me fit entrer dans une pièce qui faisait office de salon salle à manger et chambre. Les volets étaient fermés pour garder la fraîcheur sous cette chaude journée et j'aperçu deux autres hommes qui buvaient une bière, l'un affalé sur le lit et l'autre à califourchon sur une chaise. Les trois n'étaient guère reluisants, mal rasés en maillot de corps, ma première impression de la résidence était la bonne, il devait s'agir d'une sorte de foyer. L'homme me tendit mon portefeuille, c'était bien le mien et une rapide inspection me permettait à ma grande satisfaction, de m'apercevoir que tout y était hormis les billets de banque que je me gardais bien de leur faire remarquer, surtout que je ne devais pas avoir plus de 10 ou 20 euros en liquide. Je les remerciais de leur honnêteté, ne sachant comment les récompenser en leur faisant observer, à juste titre que je n'avais pas d'argent sur moi. Les voyant m'observer en silence, attendant visiblement un geste de ma part, je leur proposai de repasser après être allé chercher du liquide et à boire, car visiblement c'était leur occupation favorite. L'homme m'ouvrit la porte et me dit de ne pas m'inquiéter, qu'ils m'attendaient.
Aussitôt sorti, je sautais dans la voiture et rentrais rapidement à la maison. L'ambiance de la pièce dans la pénombre avec ces trois hommes négligés d'une bonne cinquantaine d'années me donnait des idées lubriques et c'est fort excité que je racontais tout à ma femme en lui proposant de m'accompagner pour récompenser dignement ces honnêtes hommes.
Il faut préciser que nous sommes assez libertins tous les deux et avons régulièrement des aventures. Ma femme adore s'exhiber et être prises par plusieurs hommes avec moi comme complice et protecteur. Elle était d'ailleurs entièrement nue lorsque je suis arrivé, toute luisante de crème solaire, se faisant bronzer sous le chaud soleil du midi. Nadine, âgée alors de 45 ans, a encore fière allure avec une belle poitrine aux seins bien pleins, déjà bien bronzée intégralement ayant préparé sa peau aux UV avant de partir. Nous pensions d'ailleurs aller faire quelques incursions sur les plages nudistes, peut être au Cap que nous ne connaissions pas. Je lui demandais de revêtir une robe courte sans rien dessous et l'instant d'après, sans se faire prier elle arrivait avec une robe légère d'été, courte et décolleté à souhait, rouge à petits pois blancs. J’avais déjà une belle érection à la voir ainsi, pimpante, excitante et excitée, surtout à l'idée de ce qui allait suivre.
Je pris vingt euros dans son portemonnaie et surtout un pack de bières que nous venions d'acheter.
Dans la voiture, elle me dit être excitée par l'aventure mais aussi un peu angoissée en comptant sur moi pour la protéger en cas de besoin. Je la rassurais en la caressant entre les cuisses, sa chatte lisse et épilée était déjà humide, ce qui me donna également confiance.
Quelques minutes après, nous étions sur les lieux et les trois hommes nous accueillirent avec satisfaction surtout en voyant le pack de bières. Je glissais le billet dans la main de l'homme qui m'avait rendu le portefeuille et il nous fit asseoir sur deux chaise qu'il alla chercher dans l'étroite cuisine qui donnait dans la pièce principale. Nous ouvrîmes chacun une bière fraîche sortie de leur frigo, ma femme également qui refusa un verre de rosé craignant pour la propreté des verres.
Nous devisâmes gentiment sur les vacances et les endroits à visiter dans la région, mais je voyais bien que les regards avaient du mal à quitter les cuisses de ma femme largement découvertes bien que sagement croisées. Ils étaient tous trois assis sur le lit face à nous et je voyais bien que le gros plutôt affalé qu'assis, avec son gros ventre sortant du maillot de corps n'en perdait pas une miette, n'hésitant pas à se gratter les couilles à travers son pantalon de jogging en matant les jambes bronzées. La tension monta d'un cran, lorsque ma chérie se pencha en avant pour poser sa bière par terre en prenant le temps nécessaire pour faire admirer ses deux globes pratiquement sortis du décolleté et ses jambes qu'elle avait décroisé et étaient assez écartées pour laisser apercevoir son entrecuisse, peut-être même sa petite chatte bien lisse. Elle demanda alors à aller faire pipi, et le premier homme lui indiqua la porte des WC au bout de la cuisine. Tous les regards étaient braqués sur elle alors qu’elle s’y dirigeait nonchalamment. Il faut dire qu’elle était super excitante de dos avec ses fesses qu’elle balançait sciemment à la vue de tous, sa petite robe qui lui arrivait à mi-cuisses et une des bretelles descendue de son épaule. Les trois hommes profitèrent de son absence de la pièce pour me complimenter et me déclarer que j’avais beaucoup de chance d’être avec une si belle femme. Le gros en profita mêm, pour glisser entre deux rots quelques remarques salaces sur son comportement au lit.
Ma chérie revint rapidement s’asseoir en laissant les jambes un peu écartées et j’en profitais pour lui répéter les compliments qu’elle avait reçus en mettant ma main sur sa cuisse et en la remontant pour relever sa robe et dévoiler sa chatte. Elle écarta en grand les jambes pour me permettre de la caresser. Je lui écartais les lèvres pour découvrir aux yeux de tous son clitoris bien dressé, elle était trempée. L’homme qui lui avait montré la direction des WC était resté debout et il en profita par derrière pour lui prendre à pleines mains ses deux seins qui jaillirent facilement du décolleté, elle avait les tétons dressés. Sous la pression de ses deux mains qui lui malaxaient la poitrine elle se leva de la chaise ce qui eut pour effet de faire tomber la robe à ses pieds. Elle était maintenant nue devant ses trois hommes avec un dans le dos qui ne lâchait pas sa poitrine, un second qui s’accroupit pour lui lécher la fente alors que le gros avait sorti son pieu et se masturbait devant le spectacle.
Ma chérie était partie en extase et plus rien n’aurait pu l’arrêter, elle râlait de plaisir en s’abandonnant tête renversée en arrière posée sur l’épaule de l’homme derrière elle une main agrippant son sexe au travers du pantalon, alors que l’autre main agrippant la chevelure de l’homme accroupi enfoui dans son entrejambe. N’en pouvant plus moi-même, je dégageais mon sexe de mon short et me masturbais devant ce spectacle. Il faisait moite dans la pièce et nous étions tous en sueur.
Sans bouger du lit, le gros qui semblait avoir l’ascendant sur les deux autres leur ordonna de lui amener la pute selon ses termes, il l’agrippa sans ménagement et lui renversa la tête sur son sexe en lui ordonnant de le sucer. Nadine ne se fit pas prier et lui goba sa queue goulûment en lui malaxant en même temps sa paire de couilles fort volumineuses. Ainsi penchée, le cul en l’air, notre lécheur changea de côté et entrepris de lui lécher la raie et son anus, ce que ma chérie a toujours beaucoup apprécié. Pour preuve, tout en continuant à pomper le dard du gros qui ne cessait de hurler des obscénités, elle écarta bien les jambes pour lui permettre de bien pénétrer profond son anus avec la langue. Le troisième ne restait pas inactif, il avait plongé ses doigts dans la fente ruisselante et s’appliquait à la masturber violemment. Nadine n’en pouvait plus et au bout de quelques minutes, elle s’affala à bout de souffle, la tête posée sur le gros ventre poilu alors que celui-ci giclait puissamment en inondant le dos de Nadine trempée de sueur. Elle râlait de plaisir sous les caresses des deux autres et des doigts agiles qui lui exploraient et le vagin et son petit trou.
Je n’en pouvais moi-même plus et avait arrêté de me masturber pour ne pas éjaculer trop vite, surtout que j’intervins promptement lorsque l’un des deux présenta sa queue hyper raide en voulant pénétrer mon épouse. Je lui refusais en le repoussant, pas question de la pénétrer ainsi, sans préservatif en plus et prenais sa place. D’un coup raide, je m’empalais dans sa fente béante et gluante et lui assenais de rapides coups de butoir qui eurent pour effet de faire hurler de plaisir ma Nadine, la tête enfouie dans le ventre grassouillet et pourtant fort peu ragoutant, ses mains agrippant le gras de ses anches. Le gros semblait y prendre plaisir, il lui caressait les cheveux en frottant son sexe ramolli entre les seins tout en continuant de la traiter de chienne en chaleur et de salope à vieux. Les deux autres, devenus spectateurs se masturbaient et finir par éjaculer de concert sur le dos de Nadine qui commençait à être bien souillée. J’en terminais aussi rapidement, mais moi dans son vagin.
J’allais dans la cuisine pour me nettoyer et m’asperger d’eau froide, la chaleur et l’ambiance étant torride à côté. Je pensais alors que ma chérie, rassasiée viendrait me rejoindre mais ne la voyant pas, je retournais dans la pièce surchauffée. Nadine était restée allongée, la tête sur la poitrine du gros en train de lui téter un sein alors que sa main caressait langoureusement sa queue ramollie pour lui redonner un peu de vigueur. Quant au gros, il passait sa main gluante de mouille sur la raie de ma femme en passant son index dans son petit trou ce qu’elle apprécie au plus haut point en se cabrant sur les genoux pour donner un libre accès à son anus trempé de sa mouille. Les deux autres n’en perdait pas une miette, la queue pendante et à mon avis plus en état de marche avant un moment. Par contre, le gros faisait son show appréciant d’être le clou du spectacle et je dois avouer que ma chérie était dans le même état. Se retournant, elle me demanda un préservatif en bougeant les lèvres sans émettre un son et en retournant vite à son ouvrage. Je lui en tendais un, sorti de ma poche de veste après en avoir arraché l’emballage. Elle s’en saisi et d’une main experte l’appliqua sur le sexe en demi érection, le gros commençait à reprendre des forces apparemment. Nadine le masturba violemment pour lui redonner vigueur, peut-être un peu trop car il poussa un cri de douleur, mais elle continua sur le même rythme certainement pour se venger des injures et saloperies à son égard quoiqu’elle prenne plaisir à se faire traiter. Elle finit par arriver à ses fins avec une queue raide comme un piquet et lui tournant le dos, elle l’enfourna en s’accroupissant, tenant d’une main le sexe en érection et de l’autre écartant ses lèvres pour bien l’engloutir. Nous faisant face, elle se soulevait et s’accroupissait à la force des jambes en jouissant, les paupières closes. Ses seins ballotaient obscènement et de la sueur ruisselait sur son corps plus en chaleur que jamais. Devant un tel spectacle, je recommençais à bander et n’était pas le seul, Nadine nous agrippa le sexe un dans chaque main et montait descendait en rythme avec son propre corps, tandis que le gros affalé râlait de plaisir en proférant toujours ses saloperies sans arriver à conclure, deux fois en si peu de temps, c’était un peu trop pour ses capacités physiques amoindries par l’alcool. Nadine par contre, jouit plusieurs fois en s’enfonçant au plus profond de son vagin, jambes écartées avant de se relever souffle court en laissant une pauvre petite queue gainée de son préservatif fripé, ramollie d’un coup, sans avoir pu une seconde fois jeter son jus.
Remettant ses sandales, le sol n’était pas très propre, elle se dirigea vers la cuisine, entièrement nue et en tournant du cul le plus naturellement du monde. Une rapide toilette et n’ayant pas trouvé de serviette digne de ce nom, elle remit à même la peau mouillée, sa ravissante petite robe qui instantanément pompa l’humidité en se plaquant contre son corps. Visiblement ravie et comblée de cette petite séance, elle lança un bref au revoir, le sourire aux lèvres en jetant un regard sur le corps avachi du gros qui semblait agonir sur son lit.
Nous primes la voiture et rentrâmes rapidement au gite pour prendre une bonne douche et se laver de toutes les souillures reçues pour notre plus grand plaisir.
Après s’être restaurés, allongés au soleil, je repensais à ce qui venait de se passer avec un petit pincement au ventre en revoyant, ma chérie allongée toute nue, contre le gros, complétement soumise dans la pénombre avec les deux autres mâles la regardant. Elle n’avait plus besoin de moi et j’aurais pu l’abandonner là, sans défense à la merci des moindres désirs lubriques de ces trois vicieux, sales et méchants. J’avoue être excité à l’idée, mais ce n’est qu’un fantasme.

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