- 15 sept. 2019, 13:40
#2341179
Nous étions en vacances dans une petite île des Caraïbes, Madinina, nous avions décidé ce jour-là de louer une petite Jeep pour aller voir des coins un peu reclus de l’île. L’hôtel nous avait préparer un somptueux panier pique-nique, il avait vraiment eu peur que nous manquions à la quantité préparée…
Le temps étant remarquablement chaud et agréable, mon épouse, Doris, ne portait qu’un T-shirt très suggestif qui laissait deviner sa poitrine, une jupette ample et légère, un string de son maillot de bain sur le dessous. Moi-même, je ne portais qu’un T-shirt et mon maillot de bain. Nous avions pris aussi chacun nos serviettes de bain et un change pour nous changer éventuellement après nous être baignés.
Après deux heures de voiture avec plusieurs arrêts au bord d’immenses et magnifiques plages de sable blanc, après avoir traverser un petit village où nous nous étions arrêtés pour acheter des bouteilles d’eau fraîche. Nous décidâmes de faire escale sous le conseil de la commerçante qui nous avait indiqué une plage paradisiaque à deux ou trois kilomètres du village. Nous avions garé la voiture à proximité de la plage, sous les palmiers, le lieu était désert, avant de nous étreindre sur nos serviettes posées au sol, je me suis approché de ma belle pour l’aider à enlever son haut, puis j’ai posé mes mains sur la cordelette du tissu sur ces hanches pour le faire glisser au sol, mon maillot alla rejoindre son string, et c’est nu que nous avons rejoint l’eau salée.
Une baignade des plus sensuelle qui soit, frottements, caresses et baisés entrecoupés de nages, de l’eau jusqu’au ventre, Doris m’empoigna le sexe, nous allions sortir de l’eau ainsi, tiré par de la main ferme de ma muse sur une queue déjà bien en érection, nous n’étions pas sortis que quatre jeunes garçons torses nus en tenue de bain apparurent devant nous, Doris ne m’a pas lâchée, bien au contraire, la force de sa main sur ma verge c’est accentué créant même un léger coulissement, j’essayais de balbutier quelques mots pour lui faire comprendre… Ma coquine avait le sourire aux lèvres, fière sa capture et de cette exhibition, pour couronner le tout, ces fesses se sont mises à onduler outrageusement, pour mon plus grand plaisir, de la voir s’afficher de la sorte, elle était très provoquante, elle se pencha même dans une posture improbable pour ramasser un coquillage imaginaire, les cuisses écartées, ses orifices visibles ruisselants de gouttelettes d’eau de mer, avec mon étendard à la main, cambrant les reins et ouvrant de sa main libre, le sillon profond de sa croupe, dévoilant son anus rose pâle en une invite explicite.
Les quatre jeunes gens à quelques mètres de nous, n’avaient rien loupé de la scène, leurs tenues de bain très suggestifs par les formes dessinées sous les tissus, indiquaient même au repos, des mensurations inhabituelles, d’où nous venions. Nu comme des vers, le fou rire nous a pris, nous avons déballé nos petites provisions de fruits prédécoupés.
Eux, après quelques allées et venues en nous regardant du coin des yeux, toujours dans le jeu, je ne me démontais pas, je voulais provoquer quelques choses qui pour la première fois, bien conscient, que je n’allais peut-être pas pouvoir contrôler…
D’un geste, je les invitais à s’approcher comme pour leurs demander un renseignement, sous le regard surpris de mon épouse…
C’est debout devant nous que nous eûmes une sorte de conversation qui nous firent bientôt rire avec force gestes et mimiques, notre espagnol était des plus sommaires et ils ne parlaient aucune autre langue, si ce n’est quelques mots d’anglais élémentaire comme « yes, no, good, nice, very good », etc.
Doris avait du mal pour se retenir, hormis leurs magnifiques abdos, ces jolis yeux descendaient régulièrement pour se poser furtivement sur les tissus déformés qui comprimait leurs attributs et ce fait, dessinaient avec un détail incroyable les formes des cylindres…
Je leurs proposais de partager le panier repas qui constituaient notre déjeuner, ce qu’ils acceptèrent avec joie, se posant à nos pieds, au plus près de ceux de ma femme, la vulve presque apparente de ma belle attirait les regards mais discrets, j’étais fière, cela me provoquait admiration et sourire, et puis… je tenais ma petite vengeance de sortie d’eau...
Nos échanges nous permirent d’apprendre qu’ils avaient entre 19 ans et 24 ans respectivement et étaient venus du village parce que la plage où nous nous étions arrêtés était « very nice ». Le plus âgé et le plus grand s’appelait Juan, les autres, Miguel, Tonio et Alberto. Tous étaient de jeunes métis locaux avec une belle peau lisse d’un brun léger, et on pouvait voir qu’ils étaient costauds, avec des bras et des jambes solides, les muscles bien dessinés. Ils riaient avec nous de nos efforts de conversation polyglottes en essayant de jouer avec quelques mots de français typiques comme « joulie, Pareee et madameu ».
Il y avait à peu près une demi-heure que nous étions ensemble et nous venions de finir notre dégustation quand Juan sortit de son sac à dos, une bouteille de Rhum sans étiquette, des morceaux de bois à l’intérieur, je connaissais cette pratique, le rhum arrangé au bois bandé avait des vertus local dit aphrodisiaques. Il nous en proposa, que nous goutâmes tous les six en nous passant la bouteille à tour de rôle, en commençant par ma femme. L’atmosphère était déjà très détendue et ce que nous nous partagions la rendit vite encore plus agréable. La chaleur aidant, je savais que l’effet sur ma belle serait puissant, autant que sur moi, et je supposai que ce serait légèrement différent pour nos compagnons certainement habitué à cette boisson.
Au bout de quelques instants, d'ailleurs, je constatai que ces messieurs regardaient avidement mon épouse, les larges sourires s’accentuaient, certains étaient couché sur le côté, les cuisses écartées, ce qui avait tendance à accentuer leurs virilités et de créer des soubresauts. Ils portaient également de plus en plus ouvertement les yeux sur son corps, elle s’en était aperçue, au début, dans un mouvement de va et viens, ses jambes se disjoignaient du balancement, de plus en plus, ce qui leurs laissaient apparaitre ces petites lèvres roses légèrement ouverte sur le bas, elle se montrait aguicheuse, elle savait que toutes ses formes étaient contemplées jusqu’aux plus intimes détails. Cela l’excitait, elle s’était placée de telle sorte que de ma place j’avais moi aussi, une vue directe sur ses jambes, qu’elle avait délibérément entrouvertes avec un air coquin. L’alcool aidant certainement, le processus ambient devint érotique, avec une mine approbatrice à leurs intentions, ils plongeaient leurs regards dans son entrejambe ainsi offert qui eut pour effet d’augmenter nos érections. Mon visage illuminé induit immédiatement l’accroissement de l’ouverture des cuisses où apparurent au grand jour, les petites lèvres délicatement écartées de mon épouse qui ne se sentait nullement gênée par la présence de nos hôtes, exposant sans la moindre pudeur sa chatte luisante d’humidité, et dont les lèvres battaient sous les effets de l’excitation. Ils échangeaient de temps en temps des paroles discrètes et Juan fut soudain assez audacieux pour me faire comprendre en riant, gestes à l'appui, que Doris lui semblait très belle, très « joulie », ces formes, qu'il dessina dans l'air avec ses mains, ce que j'approuvai sur-le-champ en riant.
Durant notre pique-nique improvisé, de gros nuages s’étaient formés au-dessus de nos têtes et je me dis que nous allions sans doute avoir un peu de pluie, une de ces pluies brèves et soudaines des Caraïbes qui sont très appréciées quand il fait si chaud. Effectivement, quelques minutes plus tard, la pluie se mit à tomber, mais beaucoup plus fort que je ne l’avais pensé. En quelques secondes, nous étions tous trempés en quelques minutes, la température baissa rapidement. Nous rassemblâmes en vitesse nos affaires en rigolant et Juan nous fit signe de le suivre en courant. Notre petit groupe partit donc au pas de course dans la direction qu’il nous indiquait, sous les palmiers et les frondaisons. Soudain, mon épouse perdit la serviette dans laquelle elle s’était enroulée, je m’arrêtai pour la ramasser, ce qui me fit prendre quelques pas de retard sur les autres. Je me trouvais ainsi derrière eux cinq qui couraient sous les palmiers et je vis Juan prendre la main de Doris pour la guider.
A suivre...
Le temps étant remarquablement chaud et agréable, mon épouse, Doris, ne portait qu’un T-shirt très suggestif qui laissait deviner sa poitrine, une jupette ample et légère, un string de son maillot de bain sur le dessous. Moi-même, je ne portais qu’un T-shirt et mon maillot de bain. Nous avions pris aussi chacun nos serviettes de bain et un change pour nous changer éventuellement après nous être baignés.
Après deux heures de voiture avec plusieurs arrêts au bord d’immenses et magnifiques plages de sable blanc, après avoir traverser un petit village où nous nous étions arrêtés pour acheter des bouteilles d’eau fraîche. Nous décidâmes de faire escale sous le conseil de la commerçante qui nous avait indiqué une plage paradisiaque à deux ou trois kilomètres du village. Nous avions garé la voiture à proximité de la plage, sous les palmiers, le lieu était désert, avant de nous étreindre sur nos serviettes posées au sol, je me suis approché de ma belle pour l’aider à enlever son haut, puis j’ai posé mes mains sur la cordelette du tissu sur ces hanches pour le faire glisser au sol, mon maillot alla rejoindre son string, et c’est nu que nous avons rejoint l’eau salée.
Une baignade des plus sensuelle qui soit, frottements, caresses et baisés entrecoupés de nages, de l’eau jusqu’au ventre, Doris m’empoigna le sexe, nous allions sortir de l’eau ainsi, tiré par de la main ferme de ma muse sur une queue déjà bien en érection, nous n’étions pas sortis que quatre jeunes garçons torses nus en tenue de bain apparurent devant nous, Doris ne m’a pas lâchée, bien au contraire, la force de sa main sur ma verge c’est accentué créant même un léger coulissement, j’essayais de balbutier quelques mots pour lui faire comprendre… Ma coquine avait le sourire aux lèvres, fière sa capture et de cette exhibition, pour couronner le tout, ces fesses se sont mises à onduler outrageusement, pour mon plus grand plaisir, de la voir s’afficher de la sorte, elle était très provoquante, elle se pencha même dans une posture improbable pour ramasser un coquillage imaginaire, les cuisses écartées, ses orifices visibles ruisselants de gouttelettes d’eau de mer, avec mon étendard à la main, cambrant les reins et ouvrant de sa main libre, le sillon profond de sa croupe, dévoilant son anus rose pâle en une invite explicite.
Les quatre jeunes gens à quelques mètres de nous, n’avaient rien loupé de la scène, leurs tenues de bain très suggestifs par les formes dessinées sous les tissus, indiquaient même au repos, des mensurations inhabituelles, d’où nous venions. Nu comme des vers, le fou rire nous a pris, nous avons déballé nos petites provisions de fruits prédécoupés.
Eux, après quelques allées et venues en nous regardant du coin des yeux, toujours dans le jeu, je ne me démontais pas, je voulais provoquer quelques choses qui pour la première fois, bien conscient, que je n’allais peut-être pas pouvoir contrôler…
D’un geste, je les invitais à s’approcher comme pour leurs demander un renseignement, sous le regard surpris de mon épouse…
C’est debout devant nous que nous eûmes une sorte de conversation qui nous firent bientôt rire avec force gestes et mimiques, notre espagnol était des plus sommaires et ils ne parlaient aucune autre langue, si ce n’est quelques mots d’anglais élémentaire comme « yes, no, good, nice, very good », etc.
Doris avait du mal pour se retenir, hormis leurs magnifiques abdos, ces jolis yeux descendaient régulièrement pour se poser furtivement sur les tissus déformés qui comprimait leurs attributs et ce fait, dessinaient avec un détail incroyable les formes des cylindres…
Je leurs proposais de partager le panier repas qui constituaient notre déjeuner, ce qu’ils acceptèrent avec joie, se posant à nos pieds, au plus près de ceux de ma femme, la vulve presque apparente de ma belle attirait les regards mais discrets, j’étais fière, cela me provoquait admiration et sourire, et puis… je tenais ma petite vengeance de sortie d’eau...
Nos échanges nous permirent d’apprendre qu’ils avaient entre 19 ans et 24 ans respectivement et étaient venus du village parce que la plage où nous nous étions arrêtés était « very nice ». Le plus âgé et le plus grand s’appelait Juan, les autres, Miguel, Tonio et Alberto. Tous étaient de jeunes métis locaux avec une belle peau lisse d’un brun léger, et on pouvait voir qu’ils étaient costauds, avec des bras et des jambes solides, les muscles bien dessinés. Ils riaient avec nous de nos efforts de conversation polyglottes en essayant de jouer avec quelques mots de français typiques comme « joulie, Pareee et madameu ».
Il y avait à peu près une demi-heure que nous étions ensemble et nous venions de finir notre dégustation quand Juan sortit de son sac à dos, une bouteille de Rhum sans étiquette, des morceaux de bois à l’intérieur, je connaissais cette pratique, le rhum arrangé au bois bandé avait des vertus local dit aphrodisiaques. Il nous en proposa, que nous goutâmes tous les six en nous passant la bouteille à tour de rôle, en commençant par ma femme. L’atmosphère était déjà très détendue et ce que nous nous partagions la rendit vite encore plus agréable. La chaleur aidant, je savais que l’effet sur ma belle serait puissant, autant que sur moi, et je supposai que ce serait légèrement différent pour nos compagnons certainement habitué à cette boisson.
Au bout de quelques instants, d'ailleurs, je constatai que ces messieurs regardaient avidement mon épouse, les larges sourires s’accentuaient, certains étaient couché sur le côté, les cuisses écartées, ce qui avait tendance à accentuer leurs virilités et de créer des soubresauts. Ils portaient également de plus en plus ouvertement les yeux sur son corps, elle s’en était aperçue, au début, dans un mouvement de va et viens, ses jambes se disjoignaient du balancement, de plus en plus, ce qui leurs laissaient apparaitre ces petites lèvres roses légèrement ouverte sur le bas, elle se montrait aguicheuse, elle savait que toutes ses formes étaient contemplées jusqu’aux plus intimes détails. Cela l’excitait, elle s’était placée de telle sorte que de ma place j’avais moi aussi, une vue directe sur ses jambes, qu’elle avait délibérément entrouvertes avec un air coquin. L’alcool aidant certainement, le processus ambient devint érotique, avec une mine approbatrice à leurs intentions, ils plongeaient leurs regards dans son entrejambe ainsi offert qui eut pour effet d’augmenter nos érections. Mon visage illuminé induit immédiatement l’accroissement de l’ouverture des cuisses où apparurent au grand jour, les petites lèvres délicatement écartées de mon épouse qui ne se sentait nullement gênée par la présence de nos hôtes, exposant sans la moindre pudeur sa chatte luisante d’humidité, et dont les lèvres battaient sous les effets de l’excitation. Ils échangeaient de temps en temps des paroles discrètes et Juan fut soudain assez audacieux pour me faire comprendre en riant, gestes à l'appui, que Doris lui semblait très belle, très « joulie », ces formes, qu'il dessina dans l'air avec ses mains, ce que j'approuvai sur-le-champ en riant.
Durant notre pique-nique improvisé, de gros nuages s’étaient formés au-dessus de nos têtes et je me dis que nous allions sans doute avoir un peu de pluie, une de ces pluies brèves et soudaines des Caraïbes qui sont très appréciées quand il fait si chaud. Effectivement, quelques minutes plus tard, la pluie se mit à tomber, mais beaucoup plus fort que je ne l’avais pensé. En quelques secondes, nous étions tous trempés en quelques minutes, la température baissa rapidement. Nous rassemblâmes en vitesse nos affaires en rigolant et Juan nous fit signe de le suivre en courant. Notre petit groupe partit donc au pas de course dans la direction qu’il nous indiquait, sous les palmiers et les frondaisons. Soudain, mon épouse perdit la serviette dans laquelle elle s’était enroulée, je m’arrêtai pour la ramasser, ce qui me fit prendre quelques pas de retard sur les autres. Je me trouvais ainsi derrière eux cinq qui couraient sous les palmiers et je vis Juan prendre la main de Doris pour la guider.
A suivre...