- 25 juil. 2020, 13:52
#2441096
Un jour, j’entendis ma femme Nadia dire par GSM à son amant Larbi « que j’avais mangé les restes », et ils semblaient en rire beaucoup. Du coup, je n’avais rien compris !
Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous mais je sentais que ma femme était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Larbi devant moi, avec des allusions à peine voilées.
Lorsque vint le week-end suivant, elle m’appela dans la chambre où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l’aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d’œil : « Karim chéri, si c’est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moitié ! ».
Je connus l’humiliation mais aussi le plaisir sulfureux de me mettre à genoux devant elle pour l’aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l’accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe ! Et je me l’imaginais avec envie dans les bras de son amant Larbi.
Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout penaud, l’attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon pour voir dans quel état j’étais et rigola franchement en voyant mon petit zizi redressé !
« On est loin de ce que je viens de m’enfiler, me dit-elle, mais on voit que tu t’appliques. Sois heureux, je t’ai ramené de bons restes, encore tout frais ! ».
Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n’avait pas remis sa culotte.
« Viens ici, mon gros cocu ! », dit-elle.
Et je m’agenouillai devant la table et enfouis mon visage entre ses cuisses musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de son amant. Je n’éprouvais aucun dégoût, juste l’envie d’en profiter pleinement !
Pendant que je la léchais, elle m’expliqua qu’il avait joui trois fois en elle et qu’ils avaient décidé de me faire tout nettoyer puisque j’aimais ça. Elle me dit : « tu pourrais dire merci », et éclata de rire.
Puis, l’idée lui venant tout à coup, elle prit son GSM et composa un numéro, elle dit : « je te passe Karim, mon cocu, il veut te dire merci ».
Je pris le téléphone en tremblant et j’entendis une voix très virile et très méprisante me dire :
« Alors lopette, qu’est-ce qu’on dit maintenant que je t’ai baisé ta femme ? ».
« Merci »
« Merci qui ? Merci pourquoi ? »
« Merci Monsieur d’avoir bien baisé ma femme ».
Il partit d’un grand rire : « eh bien, on va bien s’entendre alors ! ».
Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Nadia pendant qu’elle reparlait avec son mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation), j’entendais ma petite chérie utiliser des expressions comme :
« Tu as bien baisé ta salope ! J’ai adoré ton gros zob bien dur qui me pénétrait ! Tu es mon mâle, vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne ! ».
Lorsqu’elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit : « et maintenant, ta petite récompense ! ».
Je croyais qu’elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n’en fut rien. Elle se mit debout sur la table et m’ordonna de poser mon petit zizi sur le rebord. Ensuite, elle posa le bout de son escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer.
« Branle-toi avec ma semelle ! », me dit-elle.
Honteux et confus, j’obéis. Sa semelle m’écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu’à ce que je jouisse.
Elle rit encore, puis alla se coucher.
Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous mais je sentais que ma femme était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Larbi devant moi, avec des allusions à peine voilées.
Lorsque vint le week-end suivant, elle m’appela dans la chambre où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l’aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d’œil : « Karim chéri, si c’est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moitié ! ».
Je connus l’humiliation mais aussi le plaisir sulfureux de me mettre à genoux devant elle pour l’aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l’accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe ! Et je me l’imaginais avec envie dans les bras de son amant Larbi.
Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout penaud, l’attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon pour voir dans quel état j’étais et rigola franchement en voyant mon petit zizi redressé !
« On est loin de ce que je viens de m’enfiler, me dit-elle, mais on voit que tu t’appliques. Sois heureux, je t’ai ramené de bons restes, encore tout frais ! ».
Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n’avait pas remis sa culotte.
« Viens ici, mon gros cocu ! », dit-elle.
Et je m’agenouillai devant la table et enfouis mon visage entre ses cuisses musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de son amant. Je n’éprouvais aucun dégoût, juste l’envie d’en profiter pleinement !
Pendant que je la léchais, elle m’expliqua qu’il avait joui trois fois en elle et qu’ils avaient décidé de me faire tout nettoyer puisque j’aimais ça. Elle me dit : « tu pourrais dire merci », et éclata de rire.
Puis, l’idée lui venant tout à coup, elle prit son GSM et composa un numéro, elle dit : « je te passe Karim, mon cocu, il veut te dire merci ».
Je pris le téléphone en tremblant et j’entendis une voix très virile et très méprisante me dire :
« Alors lopette, qu’est-ce qu’on dit maintenant que je t’ai baisé ta femme ? ».
« Merci »
« Merci qui ? Merci pourquoi ? »
« Merci Monsieur d’avoir bien baisé ma femme ».
Il partit d’un grand rire : « eh bien, on va bien s’entendre alors ! ».
Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Nadia pendant qu’elle reparlait avec son mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation), j’entendais ma petite chérie utiliser des expressions comme :
« Tu as bien baisé ta salope ! J’ai adoré ton gros zob bien dur qui me pénétrait ! Tu es mon mâle, vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne ! ».
Lorsqu’elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit : « et maintenant, ta petite récompense ! ».
Je croyais qu’elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n’en fut rien. Elle se mit debout sur la table et m’ordonna de poser mon petit zizi sur le rebord. Ensuite, elle posa le bout de son escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer.
« Branle-toi avec ma semelle ! », me dit-elle.
Honteux et confus, j’obéis. Sa semelle m’écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu’à ce que je jouisse.
Elle rit encore, puis alla se coucher.