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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Nicreampie
#2805469
Bonjour,
Avant de commencer ce récit, je précise qu'il s'agit d'une fiction.
Si vous voulez savoir ce qu'il en est de mon histoire véritable, j'ai commencé à en parler dans la rubrique des fantasmes candaulistes.
J'en profite également pour rappeler que la vraie vie n'est pas une fiction, qu'il faut respecter le consentement de ses partenaires.
Bonne lecture.

*

Je viens tout juste de rentrer. La journée a été longue et mes collègues, particulièrement insupportables.
Je m'installe dans le fauteuil du salon après m'être servi un grand verre de vin. Je dénoue ma cravate, boit une gorgée, et alors que je m'enfonce confortablement au fond du fauteuil, je ferme les yeux.
La lueur du jour s'amenuit, il commence à se faire tard. Marie n'est pas encore revenue du travail mais je ne m'en inquiète pas.
Il n'est pas rare qu'elle fasse des heures sup'. Ma femme a toujours été très investie dans son boulot … Un peu trop même à mon goût.
Ma fille Aurélie, quant à elle, réside quelques jours chez ses grands-parents. Me voilà donc seul. Je profite de ce moment de tranquillité pour m'assoupir. Une courte sieste me fera du bien.

*

A mon réveil, ma tête me paraît lourde. J'ai de toute évidence dormi bien plus longtemps que prévu, car la pièce est plongée dans la pénombre.
Je n'ai pas entendu Marie, mais je la sais rentrée puisque le son de la télé me parvient depuis notre chambre. Sans doute n'a-t-elle pas voulu me réveiller.
Je mets quelques minutes à émerger de ma somnolence puis décide de rejoindre ma femme à l'étage.
En me levant, je remarque un post-it collé sur mon verre de vin. Je décolle le morceau de papier et entreprends de lire ce qui est écrit dessus malgré le manque de lumière.
"Monte, Mets le masque et toque à la porte de notre chambre."
C'est tout. Le masque en question est posé en évidence sur la table basse, juste à côté du verre de vin.
Il s'agit d'un masque de nuit pour se couvrir les yeux. Ma femme a manifestement envie de s'amuser.
Pour ma part, je ne suis pas vraiment d'humeur à ça. Je vais toutefois faire un effort et me prêter au jeu, car Marie et moi faisons peu l'amour ces derniers temps.
Quand elle m'a demandé pourquoi je n'avais plus envie d'elle, je lui ai répondu que nos rapports manquaient de piment.
Le coup de faire l'amour les yeux bandés, ça n'est pas très original. Mais au moins Marie essaye de faire quelque chose … Contrairement à moi.

*

Une fois devant la porte de notre chambre, j'enfile le masque et toque … Deux coups. La télé s'éteint et j'entends les pas de Marie sur le parquet, de l'autre côté.
Elle marque une pause, puis m'ouvre la porte. S'imposent alors quelques secondes de silence durant lesquelles ni moi ni ma femme ne bougeons.
Marie prend ma main, me fait entrer dans la chambre et me plaque contre le mur. Sans dire un mot, elle s'agenouille - du moins j'en ai l'impression - et commence à déboutonner mon pantalon.
En quelques secondes, je me retrouve la queue à l'air, mon pantalon et mon caleçon baissés à mi-hauteur des cuisses.
Toujours dos au mur, je sens le souffle de Marie sur ma queue. La situation commence à m'exciter et mon pénis entre en érection.
Après quelques secondes à trépigner d'impatience, Je tente de passer ma main dans la chevelure blonde de mon épouse pour l'inciter à me sucer. Mais la coquine semble s'être éloignée.
Je l'entends fouiller dans son sac à main, à quelques pas de là. Elle est partie chercher quelque chose.
Un accessoire peut-être ? Je suis curieux.
Ma femme revient vers moi et s'agenouille à nouveau. Elle dépose un baiser sur ma queue avant de la saisir de sa main gauche.
Puis, avec sa main droite, elle effectue des gestes étranges … Je n'arrive pas à bien définir ce qu'il se passe. Je ressens soudainement quelque chose de froid sur mon gland.
Ah ! Ca y est, je comprends … Sans vraiment comprendre … Ma femme vient de m'enfiler une capote.
Pourquoi ? Bientôt quinze ans de mariage, ça fait longtemps qu'on ne se protège plus ! J'ai eu recours à une vasectomie après la naissance de notre fille. Alors, à quoi bon ?
Cependant, une idée me traverse l'esprit : Peut-être n'est-ce pas Marie qui se tient devant moi ?
Je peine à y croire, car ma femme est plutôt jalouse. Est-ce que de me savoir les yeux bandés l'aide à freiner sa jalousie ?
Peut-être que je me tiens devant l'une de ses amies et que Marie nous observe dans un coin de la pièce ?
Les amies de ma femme sont toutes très belles, j'ai de nombreuses fois fantasmer sur elles.
Au fond, je sais tout cela peu probable, mais j'en ai tellement envie qu'il m'est très facile de l'imaginer.
Marie compte sans doute là-dessus, c'est pourquoi elle n'a rien dit jusque là : Si elle parle, le mystère vole en éclat.
Quant à moi, je n'ose pas poser de questions. Je veux me convaincre que je vais bel et bien en baiser une autre.

*

L'amie de Marie me prend par la main à nouveau. Elle me fait avancer vers le lit, s'allonge et m'invite à me positionner au-dessus d'elle.
Comme je ne vois rien, elle prend les choses en mains. Elle guide ma queue à l'entrée de sa chatte et appuie sur mes fesses de sa main droite pour me faire entrer doucement en elle.
Mon dieu, que c'est chaud.
Je n'ai plus l'habitude des capotes mais, lorsque nous étions jeunes, Marie avait trouvé une technique pour me faire oublier la sensation de "plastique" du préservatif. Elle mettait du lubrifiant à l'intérieur avant de me l'enfiler.
C'est ce qui a été fait là aussi, je m'en rends bien compte. Cela explique la sensation de froid que j'ai ressenti quelques instants plus tôt.
Dois-je en déduire que Marie a confié sa technique à son amie ?

*

La femme que je suis en train de pénétrer soupire mais se retient de crier. Je ne peux pas identifier sa voix et mon imagination s'emballe de plus belle.
Qui suis-je en train de baiser ? Julie ? Mélissa ?... Qu'importe, elles sont toutes sublimes.
Je commence à accélérer le rythme, et enfonce ma queue plus profondément dans l'intimité de l'inconnue qui s'offre à moi.
Quand soudain …
-Tu veux enlever la capote ?
Déception ! C'est la voix de ma femme. C'est bel et bien elle que je baise depuis cinq minutes.
Pourquoi a-t-elle parlé ? Pourquoi arrêter de jouer ? Que de frustration …
-Oui, dis-je simplement.
Maintenant que je sais qu'il s'agit de Marie, la capote n'est plus nécessaire.
-Je vais l'enlever, me dit mon épouse. En échange, lèche moi la chatte.
Bah voyons ! Madame n'a même pas daigner me sucer, mais moi, il faut que je lui fasse un cuni …
Elle tire sur la capote et, très lentement, la retire de ma queue. J'entends le froissement des draps alors qu'elle se repositionne dans le lit.
Sans dire mots, elle met sa main dans mes cheveux et enfonce ma tête entre ses cuisses.
La chatte de Marie m'est familière … Pourtant, lorsque le bout de ma langue effleure son sexe, je devine un goût inhabituel.
C'est amer … Et alors que ma langue glisse doucement le long de sa fente, je sens un liquide visqueux couler dans ma bouche.
J'opère immédiatement un mouvement de recul, par réflexe, mais Marie resserre rapidement ses larges cuisses autour de mon cou.
-Lèche !, m'ordonne-t-elle.
Je nai pas le choix, je suis pris au piège ! Et alors que je m'apprête à obéir, Marie enleve le masque de mes yeux.
Là ... Je n'en reviens pas ...
A quelques centimètre de mon visage, la capote est négligemment posée sur le bas-ventre de ma femme, au niveau de ses poils pubiens. Un liquide blanchâtre s'en échappe et coule sur sa chatte.
Du sperme ... La capote en est pleine. Ce que j'ai pris pour du lubrifiant, c'est en fait du sperme ! Marie m'a fait porter une capote usagée à mon insu !
Elle se met à rire en voyant ma tête déconfite :
-Hé oui mon chéri, ta queue a trempé dans le sperme d'un autre … Maintenant, lèche !
Je n'ai aucune envie de lui obéir.
-Lèche ou c'est le divorce !, s'impatiente-t-elle.
Je n'en reviens pas qu'elle me menace ainsi … Que lui arrive-t-il ?
Je ne veux pas que ma famille vole en éclat, alors je commence à lécher malgré mon dégoût.
-C'est bien, tu as compris, me chuchote Marie.
Elle prend la capote, et la vide complétement sur sa toison parsemée de poils clairs.
-Et t'as intérêt à bien tout nettoyer, poursuit-elle.
Je continue donc à lécher la chatte pleine de foutre de ma femme. Plus je m'y applique, moins ça me répugne.
-Tu sais au moins comment je me suis procurré ces capotes ?, me demande mon épouse. Je pense que je n'ai pas besoin de te l'expliquer.
Je me fige un instant. Je n'y avais même pas réfléchi ... Marie m'a trompé ?
Pas besoin de lui demander, elle me donne la réponse sans plus attendre :
-Hé oui mon chéri, tu es cocu ! Tu lèches le sperme d'un de mes amants.
Un de ses amants ? Elle en a plusieurs ? Depuis quand ?
Elle reprend :
-Des mois que tu ne me baises plus, tu croyais que j'allais t'attendre ?
Evidemment que non, quel idiot j'ai été.
-Tu voulais de la nouveauté ? Et bah voilà. Maintenant je suis une salope, comme mes copines, m'avoue-t-elle avant de poursuivre :
-Je sais que t'as toujours rêvé de te les taper. Je te comprends, c'est vrai qu'elles sont bonnes. Mais tu vas voir. Moi aussi, je peux être bonne quand je veux.
Sur ces mots, Marie me prend par les cheveux et colle ma bouche contre sa chatte avec force.
-Tu me trouves pas bonne comme ça, cocu ?, jure-t-elle en serrant les dents.
Si … Je dois bien l'avouer, la situation m'excite. En guise de réponse, je bouffe la chatte mielleuse de ma femme.

*

-C'est bien, tu m'as bien nettoyé, me félicite Marie après un moment. J'imagine que tu n'es pas encore satisfait. Tu veux me baiser ?
Je ne réponds pas, la question est rhétorique.
-A partir de maintenant, nouvelle règle !, poursuit-elle. Si tu veux me baiser, ce sera uniquement dans le sperme de mes amants. Chaque fois que je reviendrai avec une capote pleine, tu pourras en profiter.
Je me décide alors à sortir de mon mutisme :
-Mais, du coup, je ne pourrais plus te prendre sans capote ?
-J'ai dis que tu devais me baiser dans le sperme d'autres hommes, me rétorque-t-elle. Pas que tu étais obligé d'enfiler leurs capotes pour ça.
Je ne suis pas sûr de comprendre, ou plutôt, j'ai peur de comprendre.
Marie se lève. Elle se dirige vers la commode sur laquelle ses affaires sont éparpillées.
-Tu as de la chance. Aujourd'hui, tu vas pouvoir me baiser, m'annonce-t-elle.
A ces mots, elle sort de son sac à main une capote taille XXL, remplie de liquide blanc et nouée par un nœud.
-Très gros calibre. Très gros juteur, chuchote ma femme, obnubilée par ce qu'elle tient entre les doigts.
Marie se rallonge sur le lit avant de me demander sans détour :
-Alors ? tu veux baiser ta salope d'épouse ?
Je réponds, un peu honteux :
-La capote n'est pas à ma taille.
-C'est vrai, me confirme Marie. Pas la peine d'essayer de la mettre sur ta petite queue.
Sur ces mots, Marie serre la capote entre ses dents, et tire dessus afin de créer une ouverture. Elle ne manque pas de se faire éclabousser le visage - c'était inévitable, la capote était pleine à craquer - avant de verser un peu de sperme sur sa fente.
-Si tu veux me baiser, c'est le moment., s'exclame-t-elle enfin.
J'ose à peine protester :
-Mais Marie …
-Quoi ?!, me coupe-t-elle. T'as peur que je tombe enceinte ? Et alors ? Moi, j'ai jamais dit que je ne voulais pas de deuxième enfant !
Je reste sans voix. Marie ne m'a jamais parlé de son désir d'avoir d'autres enfants.
Elle poursuit :
-Maintenant, à toi de voir. Soit tu acceptes de me foutre enceinte avec la semence d'un autre. Soit je me rhabille, je sors de cette maison, puis je demande au premier mec que je croise de me baiser comme une vulgaire pute et de se finir dans ma chatte.
Je suis sous le choc. Tu parles d'un choix …
Devant tant d'autorité, Je m'approche timidement de ma femme - si je peux encore l'appeler ainsi - et frotte ma queue contre sa chatte gluante. J'hésite à la pénétrer. Si je vais plus loin, il sera trop tard, je ne pourrai plus revenir en arrière.
-Vas-y ! Fais-le, chuchote Marie avec un air de défi dans le regard.
Il n'en faut pas plus pour que ma queue s'enfonce dans son intimité. Je suis comme hypnotisé, l'attitude salope de ma femme me fait perdre la tête.
-C'est bien, tu es un bon cocu, me félicite-t-elle.

*

Alors que je la pénètre doucement, Marie vide le reste de la capote sur ma queue.
A chaque mouvement de vas et viens, ma bite fait entrer un peu plus de sperme dans l'intimité de mon épouse.
Elle me demande :
-Tu aimes ta femme ? Même si c'est une grosse pute ?
Je ne réponds pas, peut-être par fierté … Mais dans ma tête je pense très fort :
"Oui ! Je t'aime ! Je t'aime justement parce que t'es qu'une grosse pute."
Entendre Marie dire des choses aussi obscènes me met dans un état second.
Elle passe sa main dans mes cheveux et approche mon visage du sien. Elle sent le foutre. J'observe le noir de son mascara se mélanger au blanc de la semence qui coule sur ses joues.
-Embrasse-moi si tu m'aimes, me murmure-t-elle avec un regard de chienne.
Je m'exécute sans réfléchir. Je fourre ma langue dans sa bouche … Quel délice !
Mon cœur bat la chamade.
J'ai du mal à réaliser ce qui m'arrive mais je suis sûr d'une chose : Jamais je n'ai été aussi excité. La situation est trop intense, je sens que je ne vais plus tenir longtemps.
Je préviens Marie :
-Je vais jouir ...
-Pas en moi, me répond-elle. Ton sperme m'est inutile.
Sur ces paroles dégradantes, je me retire in extremis de la chatte de ma femme et jouis au creux de sa main tendue vers moi.
J'éjacule abondement. Ma jouissance terminée, Marie colle sa main sur ma joue et étale ma semence sur celle-ci.
Ma tendre épouse dépose un rapide baiser sur mes lèvres avant de murmurer :
-C'est bien.
Visiblement, c'est tout ce qu'elle a à dire. Elle se lève et part prendre une douche, me laissant seul avec mes pensées, à la fois humilié et plus amoureux que jamais.
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par sergio
#2805513
Voila un fantasme qui devrait plaire à beaucoup.
Merci du partage.
Nicreampie a liké
par Nicreampie
#2838446
Bonjour,
Je me suis finalement décidé à écrire la suite.
Bonne lecture.

Depuis la fois où Marie m'a cocufié et humilié en jouant avec le sperme laissé par ses amants dans leurs capotes, il ne s'est rien passé. Cela fait bientôt deux mois et rien ne laisse supposer dans le comportement de ma femme qu'elle me trompe. En tout cas, si c'est le cas, je ne vois rien, il faut dire que je suis très occupé par mon travail et que je ne cherche pas spécialement à en savoir plus. J'eus beau avoir trouvé l'expérience sexuelle de la dernière fois excitante, ce fut aussi particulièrement troublant. Maintenant que je suis de retour dans la réalité du quotidien, je ne suis pas sûr de pouvoir assumer le plaisir que j'ai pris dans tout cela.

Marie et moi n'avons pas fait de débrief, nous avons repris notre petite vie comme si rien ne s'était passé. Elle n'est pas enceinte, mais je suis sûr qu'il n'y avait aucun risque que cela arrive, elle avait dit vouloir être enceinte d'un autre simplement pour accentuer mon humiliation dans le feu de l'action. Oui, j'en suis persuadé ... Je connais ma femme, je suis certain qu'elle prend ses précautions.

Je repense à tout cela en rentrant du travail. Mes journées sont chargées et j'ai hâte de partir en vacances avec Marie, et aussi ma fille que je ne vois pas si souvent puisqu'elle est en internat. J'arrive devant chez moi. Allez, encore Un tour de clé dans la serrure de la porte d'entrée et je pourrai me détendre.

Mais à peine ai-je ouvert la porte que je reste figé sur le palier, face une vision qui me plonge dans l'incompréhension. Les vêtements et sous-vêtements de ma femme sont éparpillés sur le sol du salon. Chose qui ne lui ressemble pas ... Mais surtout, je reconnais, au milieu de ce désordre, un jean et un caleçon d'homme qui ne m'appartiennent pas.

Alors que je fouille la pièce du regard, j'entends des bruits provenir de la chambre à l'étage. Il n'y a plus aucun doute sur ce qui est en train de se passer dans cette maison. Ça y est, Marie a recommencé, et cette fois elle le fait dans notre lit conjugal. Quelle salope !

Je ne sais pas vraiment comment réagir. Une part de moi souhaiterait faire irruption dans la chambre pour tout arrêter. Pourtant je n'en fais rien ... car je bande. Savoir que mon épouse est en train de me faire cocu en ce moment même, sous mon toit, m'excite terriblement.

Je choisis donc de monter les escaliers, sans faire de bruit, puis je jette un oeil dans la chambre tout en prenant soin de rester derrière la porte entrouverte. Je déboutonne mon pantalon. Je m'apprête à me masturber en regardant ma femme se faire sauter par un autre, mais à ce moment là je suis comme en transe, c'est à peine si je réfléchis.

Je vois Marie se faire prendre en levrette par un homme grand, trapu, à la peau noire. Alors c'est ça son fantasme ? Je regarde la scène et entend ma femme balancer des obscénités : "Baise moi comme une salope", " Je suis qu'une grosse pute blanche", "Je préfère ta queue à celle de mon mari". Sur ce dernier point, je vois difficilement comment je pourrais rivaliser avec l'amant de ma bien aimée, il en a une bien plus grosse que moi. Je suis bien obligé de le constater quand Marie demande à celui-ci de se retirer pour le sucer. Je la regarde enfourner l'énorme sexe dans sa bouche. De là où je suis, j'ai vraiment une belle vue.

Marie s'interrompt un instant.
-Je peux retirer la capote ?, demande-t-elle après un moment d'hésitation. J'ai pas envie de sucer du plastique.
L'homme a l'air un peu surpris par la question mais mon épouse ne lui laisse pas le temps de réfléchir, elle tire sur la capote et la jette par terre avant de reprendre sa fellation. Son amant se laisse aller et commence à remuer le bassin. Puis, soudainement, il attrape Marie par les cheveux et se met à violemment lui baiser la bouche. N'est-ce pas trop gros pour ma petite femme ? Elle n'arrive pas à retenir sa salive de couler, cela doit faire horriblement mal à la mâchoire. Pourtant Marie tient bon. Il faut que je me rende à l'évidence, elle a de la pratique, et pas avec ma queue.

N'en pouvant plus, ma salope d'épouse arrête sa gâterie et demande à son homme de la baiser à nouveau.
-Attends, répond-t-il, je vais chercher une autre capote.
-Non, pas besoin, rétorque Marie, je veux te sentir pour de vrai.
L'homme reste silencieux un moment, regardant mon épouse s'offrir à lui les jambes écartées. Il ne résistera pas, je le sais. Après être resté quelques secondes immobile, il se positionne entre les cuisses de ma bien aimée. Je le savais. Il la pénètre d'un coup puissant et commence à la baiser sauvagement en la traitant de tous les noms. J'entends ma femme jouir en quelques minutes, mais l'homme demeure imperturbable, il continue à la démonter comme une vulgaire chienne.
-Je vais jouir, lâche-t-il au bout d'un moment.
-Tu veux jouir en moi ?!, s'exclame Marie.
-Sûrement pas espèce de salope, je veux pas te mettre enceinte.
Sur ces mots, l'homme s'extirpe des cuisses de mon épouse avec force et éjacule abondamment sur sa chatte.
Il est temps que je m'éclipse, je reboutonne mon pantalon et pars me réfugier dans la salle de bain. Je n'ai aucune envie de faire face à celui qui vient de baiser ma femme. Qu'est-ce que je lui dirais ? Bonjour ? C'est ridicule.

Après quelques minutes à réfléchir à ce qu'il venait de se passer, j'entends la démarche lourde et précipitée de l'homme dans les escaliers. Il se rhabille en vitesse et part en claquant la porte.

Alors que Je m'apprête à rejoindre ma dulcinée, je l'entend soudainement se diriger vers la salle de bain. Elle entre, allume la lumière et tombe nez à nez sur moi, debout, planté là comme un con. Je lis l'étonnement sur son visage avant que celui-ci n'affiche un sourire moqueur.
-Alors t'étais là ? Me demande-t-elle. Ça t'a plu de nous entendre baiser ? C'est sûr que c'est pas toi qui m'aurait fait crier comme ça !
Je ne réponds pas et me contente de contempler son corps souillé par la semence d'un autre homme. Elle est plus belle que jamais. Sa toison et l'intérieur de ses cuisses sont recouverts de sperme.
Mon épouse s'impatiente :
-Tu me laisses aller prendre une douche ou tu restes planté là ?
Pour toute réponse, je déboutonne mon pantalon, sors ma queue et commence à me masturber devant elle. Je vois Marie hausser un sourcil. Il y a cet air de défis dans son regard qui me rend fou. Elle se met à chuchoter :
-Tu veux me baiser ?
Je ne réponds pas, je ne sais pas ce que je veux, je ne comprends rien à ce que je suis en train de faire. Pourquoi suis-je aussi excité à la vue de ma femme recouverte de foutre ?

Marie s'approche lentement, me regarde droit dans les yeux. Son visage est à quelques centimètres du mien, son haleine sent la queue.
-T'es sûr que c'est ce que tu veux ?, soupire-t-elle. Tu connais la règle. Mais si tu ne t'en send pas capable, tu peux aussi juste continuer à te masturber devant moi comme un moins que rien.
Quelle salope ! Elle sait très bien que je vais perdre le contrôle. Je l'embrasse goulûment, la plaque contre le mur et commence à frotter mon sexe contre son pubis luisant. Je lubrifie ma queue avec la semence collée aux poils pubiens de mon épouse car je connais effectivement la règle : Si je veux la pénétrer, ce doit être dans le sperme d'un autre.
Marie pose sa main sur mes fesses comme pour m'attirer encore plus à elle. Je ne résiste pas et la pénètre d'un seul coup. Elle se met à rire.
-pauvre cocu, je te sens à peine, se moque ma femme
C'est vrai que sa chatte a été bien élargie, je nage à l'Intérieur. Que c'est humiliant.
-Tu nous as vu ?, me demande Marie. Tu sais que t'es en train de m'inséminer avec le sperme d'un homme noir ? Tu devras assumer si je tombe enceinte.
Je n'aurais pas pris cela au sérieux il y a encore quelques instants, mais le fait que son amant ait refusé de jouir en elle me fait dorénavant douter : Ma femme ne prend-elle vraiment aucune précaution ?
-J'aime les grosses queues noires mon chéri, m'avoue-t-elle en soupirant. La tienne ne me fait plus rien.
C'en est trop. De toute évidence, elle sait parfaitement quels mots employer pour me faire jouir. Je me retire de sa chatte et me répands dans ses poils clairs tout en laissant échapper les mots qui n'ont pas quitté mon esprit depuis tout à l'heure :
-Espèce de salope infidèle. T'es qu'une grosse pute. J'ai épousé la pire des putes.
-Oui c'est vrai je suis une salope. Mais celle des autres uniquement, me rétorque Marie. Toi, je t'interdis de m'appeler comme ça. Je suis ta maîtresse, ta reine. C'est clair ?
- ... Oui ma reine.
-Bien ! Tu n'as pas jouis en moi, bravo. Mais il va falloir que tu nettoies tes bêtises. À genoux !
Je m'exécute, hypnotisé par le ton autoritaire de mon épouse. Je reste quelques secondes à regarder la vision qui s'offre moi. La chatte de Marie est à quelques centimètres de mon visage, pleine de mon sperme et de ce qu'il reste de celui de son amant. Ma maîtresse n'a pas besoin d'en dire plus, je sais ce qu'elle attend de moi. Je plonge ma langue dans la touffe de poils et commence à nettoyer docilement.
-Bien, me dis Marie. C'était la dernière fois que tu me baisais. Car de toute évidence, tu n'es plus capable de te raisonner : risquer de me donner un enfant noir et que tout le monde comprenne que tu es cocu ? T'as perdu les pédales. Je vais t'acheter une cage de chasteté et je me débrouillerai sans toi pour tomber enceinte.
En bon soumis, je ne proteste même pas ...
requiem67, gericom, Mex et 7 autres a liké

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