- 15 oct. 2024, 15:44
#2830273
J’avais, comme beaucoup ici, très envie de vous faire découvrir notre première fois mais il m’a fallu
attendre un moment pour trouver le temps de le faire.
Nous sommes un couple libertin depuis une dizaine d’années avec pas mal d’expériences vécues en
trio avec des femmes, des soirées coquines à quatre et quelques trios avec des hommes mais sans
pénétration possible pour notre partenaire de jeu. C’était ainsi que C avait définit ses désirs pour ces
moments précisément.
C est une salope qui s’est longtemps ignorée. Je précise mon propos, salope n’a pour moi aucune
connotation péjorative, bien au contraire, c’est même une qualité voir un élément fondateur de ce
que peut être la féminité à mon sens. Ma femme a une petite bouche parfaitement dessinée, des
seins ronds et fermes, un très joli grain de peau. Ses hanches sont à l’image de sa taille, parfaitement
dessinée et son cul rebondi font d’elle une femme avec une silhouette qui ne laisse pas les hommes
indifférents. Il est évident qu’elle attire les regards dès lors qu’elle porte des vêtements qui la
mettent en valeur.
Elle savait depuis longtemps l’excitation que pouvait me procurer les scénarios dont nous échangions
et au cours desquels, elle s’offrait totalement, seule ou en ma présence, à un homme venu la
combler. Il arrivait même que nous utilisions ces situations comme source d’excitation lors de nos
ébats et elle-même pouvait parfois jouir violemment quand je lui racontais quelques scénarios à
l’oreille.
Lors de nos trios avec des hommes, elle se limitait à prendre le coquin uniquement en bouche. Pour
autant, il s’était passé quelque chose de particulier lors de notre dernière rencontre avec un homme
seul. Pour la première fois, alors qu’elle s’était installée en 69 avec ce mec, elle m’avait clairement
mis de côté et elle m’avait jeté un regard qui en disait long sur ses motivations à prendre du plaisir et
pour me faire comprendre qu’à ce moment-là, c’était elle et lui. Je m’étais moi-même installé la
queue à la main et je m’étais retrouvé à me masturber pendant que ma femme partageait avec lui
des jeux de langues qui les avaient amené à jouir.
Mais revenons à l’origine de notre histoire qui est SA première fois…
Ce jour-là, nous nous étions réveillés absolument sans intention de coquiner, bien au contraire,
l’objectif était d’aller acheter des vêtements pour un mariage prévu dans la famille. C avait pris sa
douche et passé des dessous sexy ainsi qu’une petite robe d’été moulante. Je lui avais fait la
remarque sur le fait qu’elle était magnifique et que si nous avions été seuls dans la maison, je
n’aurais pu m’empêcher de la baiser debout dans la salle de bain sans aucuns préliminaires comme
cela peut nous arriver parfois quand l’envie me prend de simplement profiter de son petit cul
rebondi. Mais ce n’était ni le jour, ni l’occasion, ce serait pour une autre fois…
Dans la voiture, on a échangé sur un profil de couple candauliste présent sur le réseau libertin que
nous fréquentons. On parlait de la beauté qui existe dans le rapport d’amour et de confiance quand
un conjoint, un mari, une femme laisse l’autre pouvoir goûter à d’autres formes de plaisir avec l’idée
que cela puisse contribuer au bonheur des deux.
C me disait qu’elle se projetait dans l’idée que je puisse avec son autorisation me rendre chez une
femme pour lui donner du plaisir et revenir lui raconter le moment dans ses moindres détails.
J’ajoutais que ce qu’elle projetait était très proche de mes propres désirs, à savoir la voir combler par
un autre homme mais qu’à la différence près que je voulais être présent pour la regarder baiser,
sublime, magnifique et l’entendre jouir.
Arrivés dans la boutique, comme à mon habitude, je la laissais aller dans les rayons qu’elle souhaitait
parcourir pour aller de mon côté directement au rayon homme. Cela faisait un moment que je
regardais costumes et chemises quand je la vis arriver avec un sourire. Je lui en demandais la raison,
elle me répondit qu’un homme qui au départ était au rayon des chaussures, avait commencé à
tourner autour d’elle dans les rayons femme et qu’ils avaient échangés tous les deux quelques
regards et sourires.
J’insistais en lui demandant s’il était beau mec, elle me répondit qu’il était très bel homme. Excité par
sa réponse, je sentis immédiatement un gonflement au niveau de mon boxer. « Vas-y » lui dis-je.
« Joue, fais toi plaisir ». Elle me répondit que non, que nous étions venu là tous les deux pour
s’acheter une tenue, que ce n’était pas le moment de coquiner, ce à quoi je lui répondit qu’il n’y avait
pas de « moment » pour coquiner mais plutôt des opportunités.
Elle me regarda et me dit :
- Ok j’y retourne mais qu’est-ce que je fais s’il m’aborde ? »
Je répondis par jeu :
- Emmène-le dans une cabine !
Elle eut un rire et se dirigea de nouveau vers l’endroit où il se trouvait. Bien évidemment, il avait vu
que nous parlions et avait compris que ma femme n’était pas seul. Il était resté à distance mais c’est
elle qui revint proche de la zone où il se trouvait.
A ma grande surprise et non sans excitation, je la voyais s’approcher, regardant un vêtement puis un
autre tout en minaudant pour le capter et l’attirer à elle. Lui, un peu plus sur la réserve désormais,
souriait mais conservait une distance sans masquer finalement l’envie que ce moment s’interrompt.
Ma femme me regardait avec une attitude qui en disait long et je la vis s’approcher de lui pour
engager la conversation qui fut brève. Je ne sais toujours pas ce qui s’est dit à ce moment précis mais
je la vis le saisir par la main pour l’emmener avec elle. C’était la première fois que je voyais ma
femme aussi sûre de son fait et déterminée.
Je les suivais pour les voir entrer dans une cabine au fond de l’espace essayage. Je ressentais à la fois
une forme de fébrilité mais surtout une excitation forte, intense à me brûler le bas ventre.
J’approchais doucement pour ne pas attirer l’attention et conserver de la discrétion et j’écartais
doucement le rideau.
Je vis C à genou, qui n’avait pas perdu de temps, la queue de cet homme dans la bouche, ses deux
mains sur ses couilles et sa queue. Lui, une main sur la tête de ma femme était de dos.
Immédiatement, il me vit dans le miroir installé au fond de la cabine et eut un moment de recul. Et
là… pour la première fois de ma vie, je ressentis de manière intense ce que pouvait être le plaisir
candauliste quand C qui avait compris ce qui se passait, arrêta de le sucer pour le regarder et lui dire :
- Aucun souci, ne t’inquiète pas, c’est mon cocu.
Pour la première fois dans l’histoire de notre vie de couple, C m’appelait ainsi alors qu’elle avait
beaucoup de difficulté à se projeter habituellement et éprouvait un sentiment de rejet à l’idée de
pouvoir se laisser aller à tenir ce genre de propos. Elle disait se refuser à tomber dans l’humiliation
quand nous jouions et considérait ce genre de propos de facto comme humiliants.
J’étais à la fois dans la sidération mais la tête dans cette cabine, j’avais surtout envie de pouvoir sortir
mon sexe et me branler. Evidemment, au milieu des cabines d’essayage, j’étais dans l’impossibilité de
pouvoir le faire.
C avait repris son coquin dans la bouche et il était maintenant très dur. Son sexe était beau, raide
sans être massif. Il lui caressait la tête et le visage et mettait des petits coups de reins pour lui baiser
la bouche. Il ne prononçait pas un mot et évitait mon regard dans le miroir.
Il se retira et demanda à C de se relever. Il la plaqua contre le miroir pour l’embrasser
fougueusement et C répondit à cela en s’appliquant à ce que ce baiser soit le plus intense possible.
Tout en le branlant, elle lui léchait le cou et avait déboutonné quelques boutons de sa chemise pour
le caresser.
Je la regardais le branler en attendant de le voir venir mais rien ne s’est passé comme d’habitude. C
s’est retournée et s’est cambrée pour offrir son cul. Une bouffée de chaleur s’est emparée de moi. Je
commençais à transpirer.
Son amant s’est accroupi pour lui manger les fesses et a écarté son string pour glisser un doigt dans
sa chatte qui devait déjà très humide puisqu’il n’a pas eu besoin de la préparer. C’est rentré tout
seul. J’avais très envie de l’entendre jouir mais son amant qui s’était mis debout se branlait
maintenant sur son cul.
C’est là que notre vie de couple à basculer. C le visage plaqué contre le miroir a dit :
- Tu as une capote ? Sinon j’en ai dans mon sac.
Je ne savais plus quoi penser, quoi faire, quoi dire… Je me laissais simplement porter par la situation
et je voyais ma femme qui s’était toujours refusée à la pénétration d’un autre tendre sa croupe pour
être prise là, débout, dans une cabine d’essayage.
Elle tendit la capote au mec qui ne mit pas longtemps pour l’enfiler. Je le vis s’approcher d’elle et je
me concentrais sur le visage de ma femme tant je ne voulais pas rater ses rictus de plaisir au moment
de la pénétration. Je ne fus pas déçu. Il l’a pénétra sans difficulté tellement elle était trempée. Je la
vis se mordre les lèvres et couvrir sa bouche de sa main pour ne pas lâcher un cri qui pourrait
s’entendre.
Son amant vint rapidement après quelques coups de reins excité lui aussi par la situation et le cul de
ma femme bien évidemment.
Il se retira très vite d’elle, ne dit presque rien si ce n’est pour demander si elle avait quelque chose
pour s’essuyer. Il remit son pantalon. Je lui dis qu’il n’y avait personne et qu’il pouvait sortir. Il n’eut
rien d’autre à dire qu’un vulgaire « salut ». Mais rien de grave… L’essentiel était là. Ma femme en
salope accompli venait sous mes yeux de se faire baiser par un autre et moi, le boxer près à exploser
me faisait mal.
Sur le trajet retour, je ne cessais de lui dire à quel point elle était belle, comme ça debout, le string
écarté par la queue d’un amant d’un jour. Nous sommes rentrés à la maison en évitant notre tribu
pour aller se planquer dans la salle de bain, C s’est mise nue pour se doucher, n’en pouvant plus, je
l’ai mise à genou pour le me vider sur sa poitrine et la souiller comme la bonne salope qu’elle était en
train de devenir.
attendre un moment pour trouver le temps de le faire.
Nous sommes un couple libertin depuis une dizaine d’années avec pas mal d’expériences vécues en
trio avec des femmes, des soirées coquines à quatre et quelques trios avec des hommes mais sans
pénétration possible pour notre partenaire de jeu. C’était ainsi que C avait définit ses désirs pour ces
moments précisément.
C est une salope qui s’est longtemps ignorée. Je précise mon propos, salope n’a pour moi aucune
connotation péjorative, bien au contraire, c’est même une qualité voir un élément fondateur de ce
que peut être la féminité à mon sens. Ma femme a une petite bouche parfaitement dessinée, des
seins ronds et fermes, un très joli grain de peau. Ses hanches sont à l’image de sa taille, parfaitement
dessinée et son cul rebondi font d’elle une femme avec une silhouette qui ne laisse pas les hommes
indifférents. Il est évident qu’elle attire les regards dès lors qu’elle porte des vêtements qui la
mettent en valeur.
Elle savait depuis longtemps l’excitation que pouvait me procurer les scénarios dont nous échangions
et au cours desquels, elle s’offrait totalement, seule ou en ma présence, à un homme venu la
combler. Il arrivait même que nous utilisions ces situations comme source d’excitation lors de nos
ébats et elle-même pouvait parfois jouir violemment quand je lui racontais quelques scénarios à
l’oreille.
Lors de nos trios avec des hommes, elle se limitait à prendre le coquin uniquement en bouche. Pour
autant, il s’était passé quelque chose de particulier lors de notre dernière rencontre avec un homme
seul. Pour la première fois, alors qu’elle s’était installée en 69 avec ce mec, elle m’avait clairement
mis de côté et elle m’avait jeté un regard qui en disait long sur ses motivations à prendre du plaisir et
pour me faire comprendre qu’à ce moment-là, c’était elle et lui. Je m’étais moi-même installé la
queue à la main et je m’étais retrouvé à me masturber pendant que ma femme partageait avec lui
des jeux de langues qui les avaient amené à jouir.
Mais revenons à l’origine de notre histoire qui est SA première fois…
Ce jour-là, nous nous étions réveillés absolument sans intention de coquiner, bien au contraire,
l’objectif était d’aller acheter des vêtements pour un mariage prévu dans la famille. C avait pris sa
douche et passé des dessous sexy ainsi qu’une petite robe d’été moulante. Je lui avais fait la
remarque sur le fait qu’elle était magnifique et que si nous avions été seuls dans la maison, je
n’aurais pu m’empêcher de la baiser debout dans la salle de bain sans aucuns préliminaires comme
cela peut nous arriver parfois quand l’envie me prend de simplement profiter de son petit cul
rebondi. Mais ce n’était ni le jour, ni l’occasion, ce serait pour une autre fois…
Dans la voiture, on a échangé sur un profil de couple candauliste présent sur le réseau libertin que
nous fréquentons. On parlait de la beauté qui existe dans le rapport d’amour et de confiance quand
un conjoint, un mari, une femme laisse l’autre pouvoir goûter à d’autres formes de plaisir avec l’idée
que cela puisse contribuer au bonheur des deux.
C me disait qu’elle se projetait dans l’idée que je puisse avec son autorisation me rendre chez une
femme pour lui donner du plaisir et revenir lui raconter le moment dans ses moindres détails.
J’ajoutais que ce qu’elle projetait était très proche de mes propres désirs, à savoir la voir combler par
un autre homme mais qu’à la différence près que je voulais être présent pour la regarder baiser,
sublime, magnifique et l’entendre jouir.
Arrivés dans la boutique, comme à mon habitude, je la laissais aller dans les rayons qu’elle souhaitait
parcourir pour aller de mon côté directement au rayon homme. Cela faisait un moment que je
regardais costumes et chemises quand je la vis arriver avec un sourire. Je lui en demandais la raison,
elle me répondit qu’un homme qui au départ était au rayon des chaussures, avait commencé à
tourner autour d’elle dans les rayons femme et qu’ils avaient échangés tous les deux quelques
regards et sourires.
J’insistais en lui demandant s’il était beau mec, elle me répondit qu’il était très bel homme. Excité par
sa réponse, je sentis immédiatement un gonflement au niveau de mon boxer. « Vas-y » lui dis-je.
« Joue, fais toi plaisir ». Elle me répondit que non, que nous étions venu là tous les deux pour
s’acheter une tenue, que ce n’était pas le moment de coquiner, ce à quoi je lui répondit qu’il n’y avait
pas de « moment » pour coquiner mais plutôt des opportunités.
Elle me regarda et me dit :
- Ok j’y retourne mais qu’est-ce que je fais s’il m’aborde ? »
Je répondis par jeu :
- Emmène-le dans une cabine !
Elle eut un rire et se dirigea de nouveau vers l’endroit où il se trouvait. Bien évidemment, il avait vu
que nous parlions et avait compris que ma femme n’était pas seul. Il était resté à distance mais c’est
elle qui revint proche de la zone où il se trouvait.
A ma grande surprise et non sans excitation, je la voyais s’approcher, regardant un vêtement puis un
autre tout en minaudant pour le capter et l’attirer à elle. Lui, un peu plus sur la réserve désormais,
souriait mais conservait une distance sans masquer finalement l’envie que ce moment s’interrompt.
Ma femme me regardait avec une attitude qui en disait long et je la vis s’approcher de lui pour
engager la conversation qui fut brève. Je ne sais toujours pas ce qui s’est dit à ce moment précis mais
je la vis le saisir par la main pour l’emmener avec elle. C’était la première fois que je voyais ma
femme aussi sûre de son fait et déterminée.
Je les suivais pour les voir entrer dans une cabine au fond de l’espace essayage. Je ressentais à la fois
une forme de fébrilité mais surtout une excitation forte, intense à me brûler le bas ventre.
J’approchais doucement pour ne pas attirer l’attention et conserver de la discrétion et j’écartais
doucement le rideau.
Je vis C à genou, qui n’avait pas perdu de temps, la queue de cet homme dans la bouche, ses deux
mains sur ses couilles et sa queue. Lui, une main sur la tête de ma femme était de dos.
Immédiatement, il me vit dans le miroir installé au fond de la cabine et eut un moment de recul. Et
là… pour la première fois de ma vie, je ressentis de manière intense ce que pouvait être le plaisir
candauliste quand C qui avait compris ce qui se passait, arrêta de le sucer pour le regarder et lui dire :
- Aucun souci, ne t’inquiète pas, c’est mon cocu.
Pour la première fois dans l’histoire de notre vie de couple, C m’appelait ainsi alors qu’elle avait
beaucoup de difficulté à se projeter habituellement et éprouvait un sentiment de rejet à l’idée de
pouvoir se laisser aller à tenir ce genre de propos. Elle disait se refuser à tomber dans l’humiliation
quand nous jouions et considérait ce genre de propos de facto comme humiliants.
J’étais à la fois dans la sidération mais la tête dans cette cabine, j’avais surtout envie de pouvoir sortir
mon sexe et me branler. Evidemment, au milieu des cabines d’essayage, j’étais dans l’impossibilité de
pouvoir le faire.
C avait repris son coquin dans la bouche et il était maintenant très dur. Son sexe était beau, raide
sans être massif. Il lui caressait la tête et le visage et mettait des petits coups de reins pour lui baiser
la bouche. Il ne prononçait pas un mot et évitait mon regard dans le miroir.
Il se retira et demanda à C de se relever. Il la plaqua contre le miroir pour l’embrasser
fougueusement et C répondit à cela en s’appliquant à ce que ce baiser soit le plus intense possible.
Tout en le branlant, elle lui léchait le cou et avait déboutonné quelques boutons de sa chemise pour
le caresser.
Je la regardais le branler en attendant de le voir venir mais rien ne s’est passé comme d’habitude. C
s’est retournée et s’est cambrée pour offrir son cul. Une bouffée de chaleur s’est emparée de moi. Je
commençais à transpirer.
Son amant s’est accroupi pour lui manger les fesses et a écarté son string pour glisser un doigt dans
sa chatte qui devait déjà très humide puisqu’il n’a pas eu besoin de la préparer. C’est rentré tout
seul. J’avais très envie de l’entendre jouir mais son amant qui s’était mis debout se branlait
maintenant sur son cul.
C’est là que notre vie de couple à basculer. C le visage plaqué contre le miroir a dit :
- Tu as une capote ? Sinon j’en ai dans mon sac.
Je ne savais plus quoi penser, quoi faire, quoi dire… Je me laissais simplement porter par la situation
et je voyais ma femme qui s’était toujours refusée à la pénétration d’un autre tendre sa croupe pour
être prise là, débout, dans une cabine d’essayage.
Elle tendit la capote au mec qui ne mit pas longtemps pour l’enfiler. Je le vis s’approcher d’elle et je
me concentrais sur le visage de ma femme tant je ne voulais pas rater ses rictus de plaisir au moment
de la pénétration. Je ne fus pas déçu. Il l’a pénétra sans difficulté tellement elle était trempée. Je la
vis se mordre les lèvres et couvrir sa bouche de sa main pour ne pas lâcher un cri qui pourrait
s’entendre.
Son amant vint rapidement après quelques coups de reins excité lui aussi par la situation et le cul de
ma femme bien évidemment.
Il se retira très vite d’elle, ne dit presque rien si ce n’est pour demander si elle avait quelque chose
pour s’essuyer. Il remit son pantalon. Je lui dis qu’il n’y avait personne et qu’il pouvait sortir. Il n’eut
rien d’autre à dire qu’un vulgaire « salut ». Mais rien de grave… L’essentiel était là. Ma femme en
salope accompli venait sous mes yeux de se faire baiser par un autre et moi, le boxer près à exploser
me faisait mal.
Sur le trajet retour, je ne cessais de lui dire à quel point elle était belle, comme ça debout, le string
écarté par la queue d’un amant d’un jour. Nous sommes rentrés à la maison en évitant notre tribu
pour aller se planquer dans la salle de bain, C s’est mise nue pour se doucher, n’en pouvant plus, je
l’ai mise à genou pour le me vider sur sa poitrine et la souiller comme la bonne salope qu’elle était en
train de devenir.