- 12 juil. 2012, 12:46
#1150588
Avant mon mariage il y a trois ans, je menais une vie assez libre. Et puis, j'ai rencontré Agnès qui allait devenir ma femme. J'avais été séduit par sa réserve, sa pudeur. Mais au fil du temps, cette attitude, un peu coincée, dirais-je, a entraîné une lassitude, un train-train préjudiciable à notre entente sexuelle qui, pour moi, manquait de piment. Mais tenant toujours à elle, j'ai décidé, petit à petit, de modifier son attitude et de l'amener à érotiser notre relation.
J'ai commencé par lui faire abandonner le soutien gorge, le plus souvent possible. Un dimanche matin, je suis sorti de la douche avec simplement une serviette autour de la taille et me suis approché d'Agnès couverte de sa petite nuisette.
-Chérie, j'ai lu récemment un article qui indiquait que le port du soutien-gorge gênait la circulation du sang et de la lymphe au niveau des seins et pouvait augmenter le risque de cancer du sein. Tu as une belle poitrine, pas très grosse mais bien ferme, dis-je, en faisant glisser une bretelle pour découvrir l'une de ses mamelles. Tu peux être fière de ta poitrine, regarde-toi dans le miroir, vois comme tes nichons sont beaux tous les deux ! Je fais glisser la deuxième bride et la dénuder jusqu'à la taille. Ils tiennent tout seul. Tu as une très belle poitrine avec de belles aréoles larges et foncées. Vois comme tes tétons bruns se dressent dès qu'on les caresse .Tu n'as vraiment besoin d'aucun soutien, tu peux facilement te passer de ce carcan qu'est un soutien-gorge. A la rigueur, une simple parure « seins libres » pour le sport et encore ! Aujourd'hui, fais moi plaisir, n'en mets pas sous ton corsage, tu verras comme tu te sentiras plus légère. Sens comme cette idée me met en émoi, lui dis-je, en dirigeant sa main sous ma serviette soulevée par ma bite.
Je ne suis pas allé plus loin. Nous avons pris le petit déjeuner sans changer de tenue, sa nuisette toujours abaissée jusqu’à la taille me permettait de savourer le balancement de ses nibards au moindre geste. Toute la journée, elle s'est prêtée au jeu, ses seins totalement nus sous un corsage assez fin qui révélait ses tétons bruns plutôt tendus. J'ai eu l'impression qu'elle jouissait de cette liberté. L'expérience ne lui a pas déplu et, très souvent maintenant, elle se passe de cet accessoire.
Petit à petit, lors d'achats, je l'incitai à choisir des jupes de plus en plus courtes. La dernière fut la plus difficile à lui faire accepter, elle lui couvrait tout juste les fesses mais elle l'acheta sur ma promesse de ne la porter que dans notre logement.
Ses corsages et ses robes devinrent plus décolletés, largement ouverts sous les bras et de plus en plus translucides. Je n’arrêtai pas de la complimenter sur ses tenues, la rassurai quand elle se posait la question de sortir ainsi.
-Je suis très fier de t'avoir à mon bras, je suis sûr que beaucoup m'envient d'avoir une femme aussi belle et élégante.
-C'est vrai, je remarque beaucoup de regards surtout de mâles mais aussi de beaucoup de femmes qui s’attardent sur moi lors de nos sorties. Mais n'es-tu pas jaloux ?
-Bien sûr que non, je me sens valorisé quand tu es avec moi. C'est très agréable d'être envié de la sorte.
Je m’étais aussi intéressé à ses culottes, très sages, très couvrantes au début. Petit à petit, elle est passée du brésilien au string, puis au string ficelle qu'elle accepta pour sortir en ville avec une jupe pas trop courte toutefois. Chez nous, elle se contentait souvent de n'être vêtue que d'un chemisier transparent et d'une courte jupe sans rien dessous.
C'est dans cette tenue que l'un de mes amis put l'admirer sous toutes les coutures. Nous n'attendions personne mais, sur un coup de sonnette, je suis allé ouvrir la porte.
-Pierrot, que fais-tu dans notre quartier. Tu es en nage, entre, viens boire un coup. Agnès, c'est Pierrot un ami de travail.
-Je viens de faire un peu d'exercice et je me suis rappelé que vous habitiez dans le coin. Bonjour Madame.
-Appelle-la Agnès , pas de chichis entre nous , d'ailleurs nous sommes en tenue légère , il fait tellement chaud , j'espère que cela ne te gène pas . Ne sois pas gênée Agnès, tu es resplendissante ainsi et Pierrot ne s'en plaindra pas. Assieds toi, on va prendre un rafraîchissement. Tu veux peut-être prendre une petite douche rapide avant ? Viens, je te montre la salle de bain.
Pendant que Pierre se douche, Agnès me rabroue un peu.
-Tu le fais entrer comme çà sans me prévenir, je suis à peine habillée ! Mais si ça t'excite de voir ton ami me mâter, tu seras servi.
Avant que je puisse répondre, Pierre nous interpelle :
-Désolé, mais quelle serviette dois-je utiliser ?
-J'arrive, s'écrie Agnès qui se précipite pour aider mon ami. Tenez une serviette toute propre.
Ce disant, elle entre dans la salle de bain, saisit une grande serviette de toilette dans l'armoire qu'elle tend à Pierre comme s'ils se connaissaient depuis toujours, sans apparemment se soucier de la totale nudité de celui-ci. Puis comme si de rien n’était, elle passe à la cuisine préparer les boissons.
-Chéri, tu devrais prêter à ton ami un tee-shirt et un short, les siens sont trempés de sueur.
Pierre, séché et vêtu de mes affaires, vient me rejoindre au salon, il a mis son propre tee-shirt, short et slip dans un sachet que je lui ai fourni. Il s'assoit sur le fauteuil face à moi et nous échangeons quelques banalités en attendant les rafraîchissements.
Agnès arrive peu après, tenant un plateau devant elle à deux mains, à hauteur de sa taille. Son chemisier me semble s'être ouvert de quelques boutons et nous dévoile le sillon entre ses seins dont les mamelons tendent le tissu. Ses larges aréoles et ses tétons plus bruns se devinent à travers le voilage translucide. Malicieusement tournant le dos à mon ami, elle se penche sur la table basse pour poser son chargement. Je remarque qu'elle n'a pas plié les genoux mais légèrement écartées les jambes. Je me demande jusqu’où Pierre peut voir les charmes dévoilés lorsque j'avise le miroir qui me renvoie l'image de ses cuisses dénudées, le pli de ses fesses et même un début de raie ! Elle reste un moment dans cette position sous prétexte de remplir les verres puis se retourne et présente à Pierre le jus d'orange bien frais. Pour ce faire toujours debout, elle s'incline vers lui pour lui tendre la boisson. Pierre doit avoir une vue plongeante sur les seins de ma femme. Il ne peut plus ignore l'absence de sous-vêtement. Lorsqu'elle se penche vers moi, je peux me rendre compte que, par le généreux décolleté, une partie de ses aréoles sont bien visibles mêmes si les bouts pointés sont encore sous le tissu. Agnès s'assoie alors non loin de moi sur le pouf un peu bas, ce qui l'oblige à avoir les genoux un peu plus haut que les fesses et donc glisser la jupe sur les cuisses. Vraiment, Agnès a décidé de me faire enrager ou de me rendre jaloux ? Faisant mine de rien, la conversation s'engage sur les loisirs de chacun. Agnès, dans le feu de la conversation, bouge souvent les jambes, les écarte, les resserre … Pierre a très souvent le regard attiré par l'entrejambe de ma femme même s'il semble très intéressé par la conversation. Je suis sûr qu'Agnès a décidé de lui montrer sa chatte et même qu'elle doit mouiller à cette exhibition. Je ne l'ai jamais connue comme cela. Pierre nous avoue qu'il aime bien passer ses week-ends et ses vacances dans des lieux naturistes.
-Je m'en suis rendue compte quand je vous ai porté la serviette, j'ai pu voir que vous êtes vraiment bronzé de partout, c'est très joli un ventre et des fesses bien bronzées. Chéri, il faudrait que nous l’accompagnons, moi je suis toute pâle. Regardez !
Elle se lève et, soulevant bien sa jupe à deux mains, elle tourne lentement sur elle-même, nous faisant admirer son cul et son pubis effectivement tout roses.
-Agnès, voyons tu vas gêner Pierrot.
-Mais non, voyons, puisqu'il fait du naturisme, il ne peut être gêné.
Je me rend compte que, loin d’être gêné, Pierrot est plutôt excité par cette exhibe. Il n'a plus de slip et sa bite tendue pointe son nez, dans l'entrejambe du short. Nous continuons à discuter de cette possibilité devant un autre verre. Sautant sur une occasion dans la conversation, Agnès interpelle Pierrot :
-Cela vous gênerait-il de nous montrer votre bronzage ? J'aimerais voir la différence. Les hommes, déshabillez vous tous les deux, je veux voir ça !
Après un petit moment de gêne, nous nous exécutons et nous présentons tous deux de dos. Le vît de Pierrot est plutôt tendu !
-C'est vrai, des fesses bronzées, c'est plus seyant. Penchez vous un peu Pierrot. Regarde chéri, dit-elle en écartant un peu les miches de Pierre, il est même bronzé jusqu'au fond de la raie. C'est très joli ! Tournez-vous, s'il vous plaît … mais regarde chéri, s'écrie-t-elle en soulevant les couilles de mon ami, l'intérieur des cuisses, le périnée, il est vraiment bronzé de partout. C'est superbe, il faudra que nous soyons pareils. Je suis désolée, je vous ai fait bander, excusez moi mais je ne pouvais m'empêcher de vous admirer sous toutes les faces. Je suppose que vous vous rasez intégralement pour avoir les bourses si lisses, insiste-t-elle en les caressant du bout des doigts. Moi j'aimerai être rasée de partout mais je n'ai jamais osée, j'ai peur de me faire mal. Vous avez dû voir, j'ai beaucoup de poils, regardez !
Elle soulève de nouveau sa jupe en écartant bien les cuisses : j'ai même quelques poils sur les grandes lèvres. Coinçant sa jupe sous le menton, elle écarte sa vulve à deux mains pour bien prouver ce qu'elle dit.
Je ne l'ai jamais vue comme çà.
-Si j'osais et si vous avez le temps, vous voudriez montrer à mon mari comment faire pour me raser ? Oui ? Chéri va chercher le matériel s'il te plaît. Je me mets en place, il ne faut pas trop retarder ton ami. Couchée sur la table du salon ça ira ? Attendez, je quitte ma robe ce sera plus pratique … je garde mon corsage …
Pierrot, penché sur le ventre de ma femme, commence à débroussailler le pubis avec des ciseaux puis entreprend le rasage proprement dit.
-Regarde bien Chéri, tu devras pouvoir me le faire, on ne va pas déranger Pierre chaque fois que j'en aurai besoin.
-Voilà le pubis est fait, remontez les genoux vers les épaules, tenez vos chevilles, je dois pouvoir atteindre le périnée. Denis, tu veux bien m’aider, écarte les lèvres de son minou, il y a souvent quelques poils entre les grandes et les petites, tu vois ce n'est pas inutile, tire un peu dessus, c'est plus facile … l'autre … tu vois, je rase aussi le périnée mais, pour la raie du cul, c'est plus facile si elle se retourne. Agnès, mettez-vous maintenant à genoux, la tête contre le plateau de la table, écartez les jambes, voilà ... Denis, écarte bien ses fesses, souvent il y en a quelques uns autour de l'anus … non la, c'est bon, dit-il en passant un doigt négligeant sur la rondelle. Juste un peu sur le périnée entre l'anus et le vagin ...pas de souci, vous êtes peu poilue de ce coté là. Retournez-vous, il faut vérifier le travail. Tu vois Denis, en passant les doigts un peu partout, on sent le moindre duvet … là, il en reste tout près du capuchon du clitoris ... touche-toi même … tu sens ? Ici, une pince à épiler sera mieux … attention ça va faire un peu mal mais ce sera rapide … hop, ça y est … Denis, apporte lui une glace qu'elle puisse juger du travail.
-C'est parfait, ma vulve est bien plus apparente, je vais faire sensation aux terrasses de café en jupe courte et sans culotte ! Denis, tu vas aimer montrer ta petite femme !
Un peu gêné devant mon ami, je range le matériel et lui propose un dernier verre et le remercie, un peu forcé de sa leçon de rasage.
-N'hésitez pas à revenir quand vous voulez Pierrot, même si Denis n'est pas toujours là, je suis très souvent à la maison.
Moi qui avais décidé d'initier Agnès aux joies de l’érotisme, je me sens désorienté, l'élève dépasse le maître, sa perversité me surprend mais me réjouit en même temps. Nous aurons dorénavant à deux des jeux plus excitants, mais pourquoi pas, sans doute, avec Pierrot ou d'autres ?
J'ai commencé par lui faire abandonner le soutien gorge, le plus souvent possible. Un dimanche matin, je suis sorti de la douche avec simplement une serviette autour de la taille et me suis approché d'Agnès couverte de sa petite nuisette.
-Chérie, j'ai lu récemment un article qui indiquait que le port du soutien-gorge gênait la circulation du sang et de la lymphe au niveau des seins et pouvait augmenter le risque de cancer du sein. Tu as une belle poitrine, pas très grosse mais bien ferme, dis-je, en faisant glisser une bretelle pour découvrir l'une de ses mamelles. Tu peux être fière de ta poitrine, regarde-toi dans le miroir, vois comme tes nichons sont beaux tous les deux ! Je fais glisser la deuxième bride et la dénuder jusqu'à la taille. Ils tiennent tout seul. Tu as une très belle poitrine avec de belles aréoles larges et foncées. Vois comme tes tétons bruns se dressent dès qu'on les caresse .Tu n'as vraiment besoin d'aucun soutien, tu peux facilement te passer de ce carcan qu'est un soutien-gorge. A la rigueur, une simple parure « seins libres » pour le sport et encore ! Aujourd'hui, fais moi plaisir, n'en mets pas sous ton corsage, tu verras comme tu te sentiras plus légère. Sens comme cette idée me met en émoi, lui dis-je, en dirigeant sa main sous ma serviette soulevée par ma bite.
Je ne suis pas allé plus loin. Nous avons pris le petit déjeuner sans changer de tenue, sa nuisette toujours abaissée jusqu’à la taille me permettait de savourer le balancement de ses nibards au moindre geste. Toute la journée, elle s'est prêtée au jeu, ses seins totalement nus sous un corsage assez fin qui révélait ses tétons bruns plutôt tendus. J'ai eu l'impression qu'elle jouissait de cette liberté. L'expérience ne lui a pas déplu et, très souvent maintenant, elle se passe de cet accessoire.
Petit à petit, lors d'achats, je l'incitai à choisir des jupes de plus en plus courtes. La dernière fut la plus difficile à lui faire accepter, elle lui couvrait tout juste les fesses mais elle l'acheta sur ma promesse de ne la porter que dans notre logement.
Ses corsages et ses robes devinrent plus décolletés, largement ouverts sous les bras et de plus en plus translucides. Je n’arrêtai pas de la complimenter sur ses tenues, la rassurai quand elle se posait la question de sortir ainsi.
-Je suis très fier de t'avoir à mon bras, je suis sûr que beaucoup m'envient d'avoir une femme aussi belle et élégante.
-C'est vrai, je remarque beaucoup de regards surtout de mâles mais aussi de beaucoup de femmes qui s’attardent sur moi lors de nos sorties. Mais n'es-tu pas jaloux ?
-Bien sûr que non, je me sens valorisé quand tu es avec moi. C'est très agréable d'être envié de la sorte.
Je m’étais aussi intéressé à ses culottes, très sages, très couvrantes au début. Petit à petit, elle est passée du brésilien au string, puis au string ficelle qu'elle accepta pour sortir en ville avec une jupe pas trop courte toutefois. Chez nous, elle se contentait souvent de n'être vêtue que d'un chemisier transparent et d'une courte jupe sans rien dessous.
C'est dans cette tenue que l'un de mes amis put l'admirer sous toutes les coutures. Nous n'attendions personne mais, sur un coup de sonnette, je suis allé ouvrir la porte.
-Pierrot, que fais-tu dans notre quartier. Tu es en nage, entre, viens boire un coup. Agnès, c'est Pierrot un ami de travail.
-Je viens de faire un peu d'exercice et je me suis rappelé que vous habitiez dans le coin. Bonjour Madame.
-Appelle-la Agnès , pas de chichis entre nous , d'ailleurs nous sommes en tenue légère , il fait tellement chaud , j'espère que cela ne te gène pas . Ne sois pas gênée Agnès, tu es resplendissante ainsi et Pierrot ne s'en plaindra pas. Assieds toi, on va prendre un rafraîchissement. Tu veux peut-être prendre une petite douche rapide avant ? Viens, je te montre la salle de bain.
Pendant que Pierre se douche, Agnès me rabroue un peu.
-Tu le fais entrer comme çà sans me prévenir, je suis à peine habillée ! Mais si ça t'excite de voir ton ami me mâter, tu seras servi.
Avant que je puisse répondre, Pierre nous interpelle :
-Désolé, mais quelle serviette dois-je utiliser ?
-J'arrive, s'écrie Agnès qui se précipite pour aider mon ami. Tenez une serviette toute propre.
Ce disant, elle entre dans la salle de bain, saisit une grande serviette de toilette dans l'armoire qu'elle tend à Pierre comme s'ils se connaissaient depuis toujours, sans apparemment se soucier de la totale nudité de celui-ci. Puis comme si de rien n’était, elle passe à la cuisine préparer les boissons.
-Chéri, tu devrais prêter à ton ami un tee-shirt et un short, les siens sont trempés de sueur.
Pierre, séché et vêtu de mes affaires, vient me rejoindre au salon, il a mis son propre tee-shirt, short et slip dans un sachet que je lui ai fourni. Il s'assoit sur le fauteuil face à moi et nous échangeons quelques banalités en attendant les rafraîchissements.
Agnès arrive peu après, tenant un plateau devant elle à deux mains, à hauteur de sa taille. Son chemisier me semble s'être ouvert de quelques boutons et nous dévoile le sillon entre ses seins dont les mamelons tendent le tissu. Ses larges aréoles et ses tétons plus bruns se devinent à travers le voilage translucide. Malicieusement tournant le dos à mon ami, elle se penche sur la table basse pour poser son chargement. Je remarque qu'elle n'a pas plié les genoux mais légèrement écartées les jambes. Je me demande jusqu’où Pierre peut voir les charmes dévoilés lorsque j'avise le miroir qui me renvoie l'image de ses cuisses dénudées, le pli de ses fesses et même un début de raie ! Elle reste un moment dans cette position sous prétexte de remplir les verres puis se retourne et présente à Pierre le jus d'orange bien frais. Pour ce faire toujours debout, elle s'incline vers lui pour lui tendre la boisson. Pierre doit avoir une vue plongeante sur les seins de ma femme. Il ne peut plus ignore l'absence de sous-vêtement. Lorsqu'elle se penche vers moi, je peux me rendre compte que, par le généreux décolleté, une partie de ses aréoles sont bien visibles mêmes si les bouts pointés sont encore sous le tissu. Agnès s'assoie alors non loin de moi sur le pouf un peu bas, ce qui l'oblige à avoir les genoux un peu plus haut que les fesses et donc glisser la jupe sur les cuisses. Vraiment, Agnès a décidé de me faire enrager ou de me rendre jaloux ? Faisant mine de rien, la conversation s'engage sur les loisirs de chacun. Agnès, dans le feu de la conversation, bouge souvent les jambes, les écarte, les resserre … Pierre a très souvent le regard attiré par l'entrejambe de ma femme même s'il semble très intéressé par la conversation. Je suis sûr qu'Agnès a décidé de lui montrer sa chatte et même qu'elle doit mouiller à cette exhibition. Je ne l'ai jamais connue comme cela. Pierre nous avoue qu'il aime bien passer ses week-ends et ses vacances dans des lieux naturistes.
-Je m'en suis rendue compte quand je vous ai porté la serviette, j'ai pu voir que vous êtes vraiment bronzé de partout, c'est très joli un ventre et des fesses bien bronzées. Chéri, il faudrait que nous l’accompagnons, moi je suis toute pâle. Regardez !
Elle se lève et, soulevant bien sa jupe à deux mains, elle tourne lentement sur elle-même, nous faisant admirer son cul et son pubis effectivement tout roses.
-Agnès, voyons tu vas gêner Pierrot.
-Mais non, voyons, puisqu'il fait du naturisme, il ne peut être gêné.
Je me rend compte que, loin d’être gêné, Pierrot est plutôt excité par cette exhibe. Il n'a plus de slip et sa bite tendue pointe son nez, dans l'entrejambe du short. Nous continuons à discuter de cette possibilité devant un autre verre. Sautant sur une occasion dans la conversation, Agnès interpelle Pierrot :
-Cela vous gênerait-il de nous montrer votre bronzage ? J'aimerais voir la différence. Les hommes, déshabillez vous tous les deux, je veux voir ça !
Après un petit moment de gêne, nous nous exécutons et nous présentons tous deux de dos. Le vît de Pierrot est plutôt tendu !
-C'est vrai, des fesses bronzées, c'est plus seyant. Penchez vous un peu Pierrot. Regarde chéri, dit-elle en écartant un peu les miches de Pierre, il est même bronzé jusqu'au fond de la raie. C'est très joli ! Tournez-vous, s'il vous plaît … mais regarde chéri, s'écrie-t-elle en soulevant les couilles de mon ami, l'intérieur des cuisses, le périnée, il est vraiment bronzé de partout. C'est superbe, il faudra que nous soyons pareils. Je suis désolée, je vous ai fait bander, excusez moi mais je ne pouvais m'empêcher de vous admirer sous toutes les faces. Je suppose que vous vous rasez intégralement pour avoir les bourses si lisses, insiste-t-elle en les caressant du bout des doigts. Moi j'aimerai être rasée de partout mais je n'ai jamais osée, j'ai peur de me faire mal. Vous avez dû voir, j'ai beaucoup de poils, regardez !
Elle soulève de nouveau sa jupe en écartant bien les cuisses : j'ai même quelques poils sur les grandes lèvres. Coinçant sa jupe sous le menton, elle écarte sa vulve à deux mains pour bien prouver ce qu'elle dit.
Je ne l'ai jamais vue comme çà.
-Si j'osais et si vous avez le temps, vous voudriez montrer à mon mari comment faire pour me raser ? Oui ? Chéri va chercher le matériel s'il te plaît. Je me mets en place, il ne faut pas trop retarder ton ami. Couchée sur la table du salon ça ira ? Attendez, je quitte ma robe ce sera plus pratique … je garde mon corsage …
Pierrot, penché sur le ventre de ma femme, commence à débroussailler le pubis avec des ciseaux puis entreprend le rasage proprement dit.
-Regarde bien Chéri, tu devras pouvoir me le faire, on ne va pas déranger Pierre chaque fois que j'en aurai besoin.
-Voilà le pubis est fait, remontez les genoux vers les épaules, tenez vos chevilles, je dois pouvoir atteindre le périnée. Denis, tu veux bien m’aider, écarte les lèvres de son minou, il y a souvent quelques poils entre les grandes et les petites, tu vois ce n'est pas inutile, tire un peu dessus, c'est plus facile … l'autre … tu vois, je rase aussi le périnée mais, pour la raie du cul, c'est plus facile si elle se retourne. Agnès, mettez-vous maintenant à genoux, la tête contre le plateau de la table, écartez les jambes, voilà ... Denis, écarte bien ses fesses, souvent il y en a quelques uns autour de l'anus … non la, c'est bon, dit-il en passant un doigt négligeant sur la rondelle. Juste un peu sur le périnée entre l'anus et le vagin ...pas de souci, vous êtes peu poilue de ce coté là. Retournez-vous, il faut vérifier le travail. Tu vois Denis, en passant les doigts un peu partout, on sent le moindre duvet … là, il en reste tout près du capuchon du clitoris ... touche-toi même … tu sens ? Ici, une pince à épiler sera mieux … attention ça va faire un peu mal mais ce sera rapide … hop, ça y est … Denis, apporte lui une glace qu'elle puisse juger du travail.
-C'est parfait, ma vulve est bien plus apparente, je vais faire sensation aux terrasses de café en jupe courte et sans culotte ! Denis, tu vas aimer montrer ta petite femme !
Un peu gêné devant mon ami, je range le matériel et lui propose un dernier verre et le remercie, un peu forcé de sa leçon de rasage.
-N'hésitez pas à revenir quand vous voulez Pierrot, même si Denis n'est pas toujours là, je suis très souvent à la maison.
Moi qui avais décidé d'initier Agnès aux joies de l’érotisme, je me sens désorienté, l'élève dépasse le maître, sa perversité me surprend mais me réjouit en même temps. Nous aurons dorénavant à deux des jeux plus excitants, mais pourquoi pas, sans doute, avec Pierrot ou d'autres ?
