par Kimilefty75 - 19 oct. 2024, 21:45
- 19 oct. 2024, 21:45
#2831375
Est-ce la pornographie qui a façonné nos tendances ou obsessions candaulistes ?
La première video qui m’a fait tombé dedans, c’était une scène dans le film de minuit de Canal+ je m’en rappellerai toute ma vie.
Une blonde pulpeuse en porte-jarretelles, encore à moitié habillée, poitrine plus que généreuse, se fait prendre en double pénétration sur une table par deux pompistes.
Je viens de retrouver la vidéo (joy karins classique double pénétration sur X hamster) il y en a des milliers comme celle-là, c’est du cinéma et pourtant elle me marque encore. C’est bien jouer, elle est complètement bloquée, prise en sandwich par deux mâles, mais elle a la meilleur place. Elle adore, c’est elle qui leur est tombé dessus et pas l’inverse. Cela m’a donné une excellente image de la pluralité masculine et surtout de la puissance de la sexuelle féminine.
Par la suite, quand j’ai rencontré ma première femme, à peu près à la même époque, j’y repensais souvent.
A 17 ans, Sandrine bien que timide, ressemblait à l’actrice porno. A 25 ans et un enfant, la poitrine de la grossesse en prime … c’était elle. D’autant plus qu’elle avait beaucoup d’envie et petit détail, elle portait des lunettes au travail… que nous lui demandions de garder au lit pour nous exciter.
Par curiosité, puceau tout les deux, nous regardons un peu de porno ensemble. Comme toute femme, elle préférait l’action mais elle ne détestait pas les scènes de trio avec deux hommes et les gangbang. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle allait adoré plus tard.
Lorsque nous en mettions pendant nos trios avec Philippe, pour repartir de plus belle, ou juste pour se détendre, affalé tous les trois dans le canapé cela ne lui déplaisait pas non plus, elle était épanoui entre nous deux, elle voyait que cela nous faisait plaisir comme durcir aussi.
C’est alors que nous imaginions des choses avec d’autres hommes, elle faisait celle qui n’en voulait pas, pas tout de suite, pas trop vite, l’appréhension probablement … et cela s’est finalement réalisé merci Philippe.
L’envie d’être cocu est venu bien après, comme une conséquence de ces fantasmes de pluralité pour ma femme.
La première video qui m’a fait tombé dedans, c’était une scène dans le film de minuit de Canal+ je m’en rappellerai toute ma vie.
Une blonde pulpeuse en porte-jarretelles, encore à moitié habillée, poitrine plus que généreuse, se fait prendre en double pénétration sur une table par deux pompistes.
Je viens de retrouver la vidéo (joy karins classique double pénétration sur X hamster) il y en a des milliers comme celle-là, c’est du cinéma et pourtant elle me marque encore. C’est bien jouer, elle est complètement bloquée, prise en sandwich par deux mâles, mais elle a la meilleur place. Elle adore, c’est elle qui leur est tombé dessus et pas l’inverse. Cela m’a donné une excellente image de la pluralité masculine et surtout de la puissance de la sexuelle féminine.
Par la suite, quand j’ai rencontré ma première femme, à peu près à la même époque, j’y repensais souvent.
A 17 ans, Sandrine bien que timide, ressemblait à l’actrice porno. A 25 ans et un enfant, la poitrine de la grossesse en prime … c’était elle. D’autant plus qu’elle avait beaucoup d’envie et petit détail, elle portait des lunettes au travail… que nous lui demandions de garder au lit pour nous exciter.
Par curiosité, puceau tout les deux, nous regardons un peu de porno ensemble. Comme toute femme, elle préférait l’action mais elle ne détestait pas les scènes de trio avec deux hommes et les gangbang. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle allait adoré plus tard.
Lorsque nous en mettions pendant nos trios avec Philippe, pour repartir de plus belle, ou juste pour se détendre, affalé tous les trois dans le canapé cela ne lui déplaisait pas non plus, elle était épanoui entre nous deux, elle voyait que cela nous faisait plaisir comme durcir aussi.
C’est alors que nous imaginions des choses avec d’autres hommes, elle faisait celle qui n’en voulait pas, pas tout de suite, pas trop vite, l’appréhension probablement … et cela s’est finalement réalisé merci Philippe.
L’envie d’être cocu est venu bien après, comme une conséquence de ces fantasmes de pluralité pour ma femme.