- 08 janv. 2012, 00:05
#941076
Comme beaucoup je pense que le terme "cocu" est trop souvent galvaudé par ici.
Même s'il y a beaucoup de fantasmeurs qui te balancent du "cocu" dès qu'on évoque la possibilité que madame aille voir ailleurs, il en est d'autre pour se revendiquer candaulistes et non cocus.
Alors voilà la question, l'éternelle question : Où s'arrête le candaulisme et où commence le cocufiage (quel vilain mot !) ?
Car si l'on s'en tient aux définition communément acceptées par la majorité, le candauliste est celui qui prend du plaisir à voir sa compagne régulière avoir une relation sexuelle avec un autre homme tandis que le cocu est celui qui est trompé par sa femme qui va voir dans son dos si l'herbe est plus verte dans le pré du voisin.
Seulement voilà, tout n'est jamais aussi carré, aussi tranché.
Que dire du mari qui laisse sa femme aller batifoler avec un autre homme et qui n'assiste pas aux ébats ?
Où est le plaisir de "voir" sa femme prendre du plaisir ailleurs puisque justement il ne voit rien, il n'entend rien ?
Je sais bien que c'est un plaisir cérébral, limite masochiste, mais vous admettrez qu'on est là dans une forme extrême de candaulisme.
Et que dire de celui dont la femme a carte blanche et qui apprend "aprés coup" (quel mot juste !) qu'elle a eut une aventure sexuelle ?
On serait plus là dans le cas d'un cocu consentant, non ? Sauf que ce sont deux mots antinomiques... par définition, un cocu n'est normalement jamais consentant.
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Même s'il y a beaucoup de fantasmeurs qui te balancent du "cocu" dès qu'on évoque la possibilité que madame aille voir ailleurs, il en est d'autre pour se revendiquer candaulistes et non cocus.
Alors voilà la question, l'éternelle question : Où s'arrête le candaulisme et où commence le cocufiage (quel vilain mot !) ?
Car si l'on s'en tient aux définition communément acceptées par la majorité, le candauliste est celui qui prend du plaisir à voir sa compagne régulière avoir une relation sexuelle avec un autre homme tandis que le cocu est celui qui est trompé par sa femme qui va voir dans son dos si l'herbe est plus verte dans le pré du voisin.
Seulement voilà, tout n'est jamais aussi carré, aussi tranché.
Que dire du mari qui laisse sa femme aller batifoler avec un autre homme et qui n'assiste pas aux ébats ?
Où est le plaisir de "voir" sa femme prendre du plaisir ailleurs puisque justement il ne voit rien, il n'entend rien ?
Je sais bien que c'est un plaisir cérébral, limite masochiste, mais vous admettrez qu'on est là dans une forme extrême de candaulisme.
Et que dire de celui dont la femme a carte blanche et qui apprend "aprés coup" (quel mot juste !) qu'elle a eut une aventure sexuelle ?
On serait plus là dans le cas d'un cocu consentant, non ? Sauf que ce sont deux mots antinomiques... par définition, un cocu n'est normalement jamais consentant.
Et vous, qu'en pensez-vous ?