- 02 janv. 2012, 17:16
#927205
Pour mon plus grand plaisir, ma femme accepte que je l’offre à un inconnu.
Pour que je détaille chacun de ses petits gestes sous l’emprise du désir.
Pour que j’observe sa bouche gourmande suçant un autre membre.
Pour que j’entende ses mots appelant sa jouissance qui vient.
Pour que je m’extasie de son regard transformé par l’orgasme.
Pour que je la découvre, vue de l’extérieur lorsqu’elle devient délicieusement salope.
Pour que, tel un spectateur, je la regarde se faire baiser et jouir d’un autre que moi.
Pour son plus grand plaisir, j’accepte que ma femme s’offre à un inconnu.
Pour qu'elle découvre une autre forme de possession, par personne interposée.
Pour qu'elle s'ouvre à d’autres gestes et reçoive d’autres caresses.
Pour qu'elle ose ce que jamais elle n’aurait imaginé oser.
Pour qu'elle jouisse doublement, de se savoir observée et d'un autre sexe.
Pour qu’elle me regarde, vue de l’intérieur lorsqu’elle se fait délicieusement salope.
Pour que, telle une actrice, elle joue le rôle de celle qui se fait baiser et jouit d’un autre que moi.
Son acceptation résonne comme une victoire, une consécration qui s’apparente à un aboutissement.
Au début, pour chacune de mes propositions il y avait un refus. A force d’obstination, un timide « oui » était apparu, mais ses premiers accords n’avaient d’autres buts que de me plaire. Pourtant, à chaque fois son excitation et son plaisir s’en trouvaient décuplés. Le temps aidant, ce qui se révélait inconcevable est devenu peu à peu envisageable. Le poids de l’éducation s’estompait et les interdits disparaissaient. Même si passer à l'acte faisait encore peur, s'imaginer prise par un autre devenait une éventualité plausible et désormais imaginable.
Dès lors, nul besoin d’être au bord de l’orgasme pour en parler. Le sujet pouvait être abordé à tout moment et à chaque fois notre excitation s'enflammait. Et puis vient le jour où sa réponse ne fût plus "on verra" mais "je suis d’accord".
Reste donc ce qui est probablement le plus compliqué, organiser cette première.
L'idée venant de moi, c'est à moi que revient ce rôle. Tout est possible, il peut y avoir préméditation si je le souhaite. A moi de l’organiser à ma convenance. De son côté elle ne souhaite pas y être associée et préfère vivre un instant spontané.
Ensemble nous avons fixé les règles du jeu. Elle accepte de se soumettre à mes désirs du moment que je respecte les codes que nous avons établis. Je peux décider du scénario selon mes envies dès lors que toute vulgarité est exclue. L’inconnu doit être à son goût, attentionné et non violent. Le préservatif est obligatoire pour les pénétrations et pas de sodomie sans son accord préalable. Elle n'avale pas le sperme d'un inconnu. Enfin, sur un simple mot convenu entre nous, nous arrêtons tout sur le champ.
Pour le reste, elle est ouverte à nos pratiques courantes. Elle ne réfute pas les mots crus, tels que « salope » ou équivalents, dès lors qu’ils sont judicieusement utilisés. Il lui arrive même de se décrire comme telle à des moments bien choisis.
Reste à dénicher celui qui aura le privilège de la baiser. Cette tâche est à la fois terriblement excitante et difficile.
En fait, elle aimerait un parfait inconnu. Une rencontre faite à l'occasion de nos vacances, loin de la maison et de nos connaissances. Un inconnu qu’elle aurait repéré et pris au piège de ses décolletés aguichants comme elle les aime.
Ne reste plus qu’à trouver ou provoquer la situation idéale. Je crains cependant qu’il ne faille pas trop compter sur la chance et qu’il va être nécessaire de forcer le destin si nous ne voulons pas attendre trop longtemps.
Pour que je détaille chacun de ses petits gestes sous l’emprise du désir.
Pour que j’observe sa bouche gourmande suçant un autre membre.
Pour que j’entende ses mots appelant sa jouissance qui vient.
Pour que je m’extasie de son regard transformé par l’orgasme.
Pour que je la découvre, vue de l’extérieur lorsqu’elle devient délicieusement salope.
Pour que, tel un spectateur, je la regarde se faire baiser et jouir d’un autre que moi.
Pour son plus grand plaisir, j’accepte que ma femme s’offre à un inconnu.
Pour qu'elle découvre une autre forme de possession, par personne interposée.
Pour qu'elle s'ouvre à d’autres gestes et reçoive d’autres caresses.
Pour qu'elle ose ce que jamais elle n’aurait imaginé oser.
Pour qu'elle jouisse doublement, de se savoir observée et d'un autre sexe.
Pour qu’elle me regarde, vue de l’intérieur lorsqu’elle se fait délicieusement salope.
Pour que, telle une actrice, elle joue le rôle de celle qui se fait baiser et jouit d’un autre que moi.
Son acceptation résonne comme une victoire, une consécration qui s’apparente à un aboutissement.
Au début, pour chacune de mes propositions il y avait un refus. A force d’obstination, un timide « oui » était apparu, mais ses premiers accords n’avaient d’autres buts que de me plaire. Pourtant, à chaque fois son excitation et son plaisir s’en trouvaient décuplés. Le temps aidant, ce qui se révélait inconcevable est devenu peu à peu envisageable. Le poids de l’éducation s’estompait et les interdits disparaissaient. Même si passer à l'acte faisait encore peur, s'imaginer prise par un autre devenait une éventualité plausible et désormais imaginable.
Dès lors, nul besoin d’être au bord de l’orgasme pour en parler. Le sujet pouvait être abordé à tout moment et à chaque fois notre excitation s'enflammait. Et puis vient le jour où sa réponse ne fût plus "on verra" mais "je suis d’accord".
Reste donc ce qui est probablement le plus compliqué, organiser cette première.
L'idée venant de moi, c'est à moi que revient ce rôle. Tout est possible, il peut y avoir préméditation si je le souhaite. A moi de l’organiser à ma convenance. De son côté elle ne souhaite pas y être associée et préfère vivre un instant spontané.
Ensemble nous avons fixé les règles du jeu. Elle accepte de se soumettre à mes désirs du moment que je respecte les codes que nous avons établis. Je peux décider du scénario selon mes envies dès lors que toute vulgarité est exclue. L’inconnu doit être à son goût, attentionné et non violent. Le préservatif est obligatoire pour les pénétrations et pas de sodomie sans son accord préalable. Elle n'avale pas le sperme d'un inconnu. Enfin, sur un simple mot convenu entre nous, nous arrêtons tout sur le champ.
Pour le reste, elle est ouverte à nos pratiques courantes. Elle ne réfute pas les mots crus, tels que « salope » ou équivalents, dès lors qu’ils sont judicieusement utilisés. Il lui arrive même de se décrire comme telle à des moments bien choisis.
Reste à dénicher celui qui aura le privilège de la baiser. Cette tâche est à la fois terriblement excitante et difficile.
En fait, elle aimerait un parfait inconnu. Une rencontre faite à l'occasion de nos vacances, loin de la maison et de nos connaissances. Un inconnu qu’elle aurait repéré et pris au piège de ses décolletés aguichants comme elle les aime.
Ne reste plus qu’à trouver ou provoquer la situation idéale. Je crains cependant qu’il ne faille pas trop compter sur la chance et qu’il va être nécessaire de forcer le destin si nous ne voulons pas attendre trop longtemps.