Merci Birdie. En fait, tu as sans doute raison, mais c'est moi qui suit demandeur en ce moment plus que jamais.
Ma femme argue d'une perte de libido, qu'elle attribue à la ménopause. Je ne sais pas si c'est vrai. Quand elle a connu JJ elle l'avait déjà et jamais je ne l'ai vue avoir autant de rapports sexuels de sa vie qu'à ce moment là.
Je pense que c'est plus une impression qu'autre chose. Je suis "viril" en apparence physiquement et assurément psychiquement. Cela observé, une fois le caleçon baissé et en présence des partenaires de ma femme, il y a une différence qui ne passe pas inapercue. C'est juste un fait. Cela ne me complexe pas. Cela peut m'exciter parfois, pour être bisexuel, mais c'est davantage l'ambiance, la situation, le moment ou le lieu et la présence de ma femme dans ces situations que je fantasme ou auxquelles je suis confronté qui créent (ou non) l'excitation.
Je pense que mon problème majeur avec ma femme est que nous ne sommes plus excités par les mêmes choses, ce qui complique évidemment les choses. Il est bien normal que chacun évolue, mais je crains pour moi que nous n'évoluions plus dans la même direction.
J'avoue...jamais je n'ai ramené à la maison une femme qui me trouve à son gout et avec laquelle cela fonctionne sexuellement. Je ne sais plus si c'est le cas encore, mais ma femme a été et reste très jalouse des rares filles que j'ai fait jouir avant que je ne la rencontre (!) et depuis que je l'ai rencontrée.
Je souffre de ne pas faire jouir ma femme avec ma queue, donc "normalement", et je suis certain qu'elle en souffre aussi. Ce qui a été fondamentalement nouveau avec JJ c'est qu'elle soit tombée amoureuse de lui. Ce n'est pas sa grosse queue qui est importante, c'est la réunion d'un sentiment fort, amoureux, imprévu, incontrôlable, et d'un plaisir sexuel intense. Le tout lui apporte une plénitude qui me ramène nécessairement à une comparaison physique, à une taille... car le sentiment amoureux qui continue d'exister entre ma femme et moi n'a jamais été "cimenté" par le plaisir sexuel. Pire, ce que je pensais lui être agréable sexuellement (les masturbations ou caresses que je lui prodiguais) se sont révélées être des "pis-aller". Je l'ai compris la fois où ma femme et JJ se sont vraiment "exposés" à moi dans l'intimité, tout de même plusieurs mois après le début de leur liaison. JJ avec son sexe obtenait le même résultat que moi avec mes doigts. (ma femme est une "femme fontaine"). Evidemment, je le redis, entre jouir de cette façon (c'est un "sur-orgasme" qui dépasse de bien loin un "orgasme ordinaire") et avec les doigts de son mari, il y a véritablement un monde.
Ce n'est pas que ce soit humiliant. C'est "opressant" comme situation. Vous voyez que votre femme vous échappe totalement. Elle éprouve quelque chose pour un autre homme, ce qui ne me pose aucun problème si elle continue d'éprouver quelque chose pour moi), mais le plaisir que cet homme lui donne et que vous ne pouvez pas lui donner n'est plus un "complément", mais il devient le plaisir unique, suprême dont elle a envie puis très vite besoin.
L'en priver, lui interdire ? C'est vrai, je n'ai pas essayé, mais soyons réaliste. Déjà en l'incitant à voir JJ...ma femme le voyait plus souvent qu'elle ne me le disait quand nous étions encore parisiens donc voisins de JJ.
Elle me propose que j'aille baiser avec des mecs. Sans elle ce n'est pas ma tasse de thé. Je retiens l'idée de ramener une nana à la maison

(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)