- 10 oct. 2012, 09:33
#1214425
J’étais en poste en Afrique et, comme là-bas tout est compliqué, nous avions un chauffeur qui accompagnait mon épouse pour tous ses déplacements.
Je qualifierais ma femme de cochonne, amoureuse de son homme.
Avant moi, elle avait eu des relations avec d’autres hommes et je savais qu’elle avait un faible pour les hommes de couleur.
Notre chauffeur était un black quelconque, pas très souriant et pour moi, il était impossible que quelque chose puisse se passer avec mon épouse.
Un matin, j’étais en ville pour une réunion et, celle-ci s’étant finie plus tôt, je décidais de passer à la maison pour prendre un café.
Je débarquais sans faire de bruit, la voiture était garée dans l’allée centrale, mais pas de trace de mon chauffeur. J’ouvrais la porte de la cuisine, personne pour m’accueillir.
J’allais ressortir quand j’entendis des râles venant de notre chambre à coucher. Je m’approchais sur la pointe des pieds, je passais la tête par la porte et je découvris ma femme, au lit avec mon chauffeur.
Cette salope était à quatre pattes, cambrée au maximum, la tête dans l’oreiller, se faisant défoncer le cul. Elle gémissait, hurlait en bougeant ses fesses, sous les coups de boutoir.
Ahmed était monté comme un âne, je voyais sa bite énorme, luisante, entrer et sortir du cul de ma femme, défonçant sa rondelle. Il coulissait en elle avec facilité, ses couilles tapaient sur les fesses de ma chérie qui l’encourageait en lui demandant de l’enculer plus fort. Il rentrait et sortait de son orifice distendu, posant ses mains sur la croupe de sa maîtresse pour admirer ce fessier qu’il défonçait avec son gros gourdin.
Je n’avais jamais vu mon épouse se déchaîner autant au lit. J’étais jaloux de la grosse bite d’Ahmed qui donnait tant de plaisir à ma femme.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux du spectacle qui m’était offert, j’aurais dû intervenir et, au lieu de ça, je restais planté là, à regarder, ma bite gonflée par le désir, prête à exploser.
Le rythme s’accélérait, Ahmed baisait de plus en plus fort le cul de ma femme, elle criait des mots crus, encourageant son amant à en finir.
Ce dernier, sentant qu’il allait éjaculer, se retira du cul de ma femme, elle se cambra et posa les mains sur ses fesses pour écarter encore plus sa rondelle.
De longues giclées de foutre l’arrosèrent, graissant son œillet bien ouvert.
Je comprenais pourquoi ma femme avait pris autant de plaisir en voyant la bite d’Ahmed cracher son jus. Elle était veinée, puissante, large et très longue. Sa queue devait mesurer au moins 25 cm et plus de 5 cm de diamètre. Ma femme se retourna et prit à deux mains son sexe. Elle enfourna ce morceau de chair dans sa bouche et se mit à le pomper comme une furie. Elle, qui avait tant de mal à avaler ma queue d’habitude, s’enfonçait dans la gorge près de 20 cm de bite. Je ne la reconnaissais plus, elle était complètement accro à la grosse bite du black.
Je m’échappais sans faire de bruit et quittais la maison, encore troublé du spectacle auquel j’avais assisté. Je rentrais ce soir-là, à la maison, plus tard que d’habitude, retrouvant une femme épanouie.
Je savais qu’elle se faisait baiser mais elle ne se doutait de rien.
Après avoir découvert que ma femme se faisait baiser par notre chauffeur, je décidais de la piéger. J’installais une caméra-espion dans notre chambre, reliée à mon ordinateur portable.
Le matin avant de partir, je mettais la caméra en mode enregistrement et je pouvais ainsi contrôler ce qui se passait dans notre chambre à coucher.
Dès le lendemain de mon installation, je fus récompensé. Après s’être levée, douchée, ma femme revint nue dans notre chambre. La quarantaine, ma femme mesure 1,65 m et pèse 53 kg. Adepte de fitness, elle est bien faite, ses seins sont fermes, son ventre plat et ses fesses musclées. Elle prend soin d’elle au quotidien, se fait masser régulièrement et fait des UV toute l’année. Son pubis est entièrement épilé, ainsi que ses fesses.
Je la vis se planter devant le miroir et s’admirer sous tous les angles.
Puis, elle se mit à se caresser les seins, ses doigts jouant avec ses tétons. Sa bouche entrouverte confirmait qu’elle prenait plaisir à se caresser. Ses mains descendirent entre ses cuisses et elle se mit à jouer avec son bourgeon. Je l’entendais respirer plus fort, elle se cambrait, se laissant aller.
Après quelques minutes à se masturber, elle se retourna et se mit à quatre pattes pour mater son cul ferme et rebondi. Elle passa un doigt dans sa fente humide et se masturba à nouveau. Son abricot lisse était en feu, un autre doigt s’introduisit dans son sexe pour en ressortir peu de temps après et venir titiller sa rosette. Pour la petite histoire, ma femme prend son pied par le cul…..
Elle se cambra, posa son doigt sur son œillet lubrifié par son jus et l’introduisit dans son cul.
Elle se mit à faire tourner son doigt pour ouvrir son petit trou.
Sa rondelle très souple s’ouvrit rapidement, elle posa les mains sur ses deux globes de chair et les écarta, laissant apparaître son trou de salope bien dilaté.
Elle garda la position quelques instants, admirant son cul bien ouvert tout en prononçant ces mots crus : « ça, c’est un cul de salope aimant la grosse bite de black !».
Puis, elle se leva, enfila un string noir, se regarda à nouveau dans le miroir, se cambrant pour admirer ses fesses.
Contente d’elle, elle appela Ahmed qui devait se trouvait dans la cuisine.
Ce dernier arriva dans la chambre, quelques secondes plus tard, découvrant sa maîtresse à quatre pattes, un string noir dans la raie séparant ses deux globes de chair rebondis.
Elle lui demanda de baisser son pantalon et s’empressa de lui flatter ses couilles et sa grosse tige qui pendait. Sa queue au repos avoisinait les 18 cm et près de 4,5 cm de diamètre. Elle goba ses deux boules, les aspira, les fit rouler dans sa bouche. Elle se mit à lécher cette colonne de chair qui se redressait doucement, titillant du bout de la langue le gland gonflé. Elle tétait le gros fruit rubicond, aspirant goulûment cette tige qui se dressait fièrement. Après avoir joué avec, elle ouvrit grand la bouche et avala, cm par cm, la queue d’Ahmed. Elle salivait, pompait le gros morceau de chair qui palpitait, descendant de plus en plus loin, pour en prendre le maximum au fond de la gorge.
La bite du chauffeur était tendue, veinée, énorme, les deux boules gonflées se faisant malaxer par les doigts experts de ma salope de femme.
Ahmed était aux anges, il grognait de plaisir, encourageant mon épouse, en appuyant sur sa tête. Il matait dans le miroir le cul de ma femme qui n’arrêtait pas de se trémousser pour exciter son amant. Il lui demanda d’accélérer, elle pompait de plus en plus vite, il se dégagea d’elle et saisit d’une main sa queue. Ma femme ouvrit la bouche et reçut une première giclée de foutre, suivi d’autres plus abondantes.
Son visage souillé, elle avala le sperme de son amant, qu’elle avait pris dans la gorge.
Elle, qui d’habitude se refusait à cette pratique, se délectait de tout ce foutre.
Elle reprit en bouche la bite encore dure et se mit à nouveau à pomper son amant.
Ahmed ne débandait pas, sa queue était toujours en érection et ma femme en profita pour se faire baiser. Elle se positionna sur le dos, releva les jambes, dévoilant ainsi sa chatte qui mouillait abondamment. Ahmed pointa son gland sur la fente humide de ma femme et se mit à lui frotter le clito. Puis, sans prévenir, il s’enfonça de plus de la moitié.
Il se mit à coulisser en elle, allant de plus en plus loin, à chaque coup de reins.
Ma femme hurlait de plaisir, disait des mots crus, bougeait son bassin à la rencontre de cet énorme pieu de chair. Elle se faisait défoncer son trou de salope par son chauffeur et elle en voulait encore plus. « Ahmed, mets-la-moi dans le cul, encule-moi avec ta grosse bite de black, dilate ma rondelle de grosse salope ! ».
Ce dernier ne se fit pas prier, il laissa la chatte de sa maîtresse et lui planta sa queue luisante de mouille dans le fion. Il l’enculait sans ménagement, lui arrachant des cris de plaisir.
Le cul de ma femme aspirait littéralement la bite d’Ahmed, et ses grosses couilles ne tardèrent pas à claquer sur ses fesses. Les coups de boutoir étaient de plus en plus forts, il entrait et sortait du cul de mon épouse, son orifice dilaté se régalant de cette énorme colonne de chair. Après plusieurs minutes de ce traitement de choc, Ahmed se retira du cul de ma femme et lui éjacula sur le ventre et les seins. Pas encore rassasiée, ma femme reprit en bouche la bite souillée de son amant et lui nettoya à grands coups de langue.
Le soir, au retour du boulot, je découvris tout cela sur mon ordinateur.
Je m’empressais de le ranger bien à l’abri, pour pouvoir le ressortir au moment opportun.
Les semaines passaient et mon épouse continuait à se faire baiser par Ahmed.
Je découvrais chaque soir sur mon ordinateur les ébats des deux amants.
De jour en jour, ma femme était de plus en plus salope, accro à la queue d’Ahmed.
Ce dernier la besognait chaque matin, lui dilatant l’œillet avec son énorme zob.
J’étais un cocu content.
Son petit trou s’était assoupli considérablement et je le sentais à chaque fois que je la prenais par derrière. Ma queue plus fine coulissait sans peine dans son cul, elle était littéralement aspirée dès que je posais mon gland sur sa rosette.
Un soir, alors que j’enculais ma femme, je lui proposais de lui goder le cul avec quelque chose de plus gros que ma queue. A ma grande surprise, elle accepta de suite alors que, jusqu’alors, elle avait toujours refusé. J’allais dans la cuisine et revînt avec un concombre de fort belle taille.
Je le montrais à ma femme qui accepta de suite avec un grand sourire. Après l’avoir soigneusement lavé et passé sous l’eau chaude, je l’enduis de vaseline et le présentais à son œillet. Elle s’était positionnée à quatre pattes, cambrée au maximum, les mains sur les fesses, écartant son trou déjà bien dilaté par ma queue.
« Vas-y mon salaud, défonce-moi le cul. Mets le moi en entier, je veux que tu me remplisses mon trou de salope. Dilate-moi la rondelle, fais-moi jouir du cul… »
Je ne me fis pas prier, je posais le concombre sur la rosette de ma femme et poussais.
Celui-ci entra sans peine, son cul aspirant l’objet sans difficulté. Je commençais un va et vient dans son petit trou, gagnant quelques centimètres à chaque mouvement. Très vite, elle se retrouva avec plus de 20 cm plantés dans son fion. Elle se cambrait, écartant au maximum ses fesses pour bien sentir l’énorme légume lui défoncer le cul.
« Oh oui ! C’est bon, vas-y, pousse encore plus fort, mets le moi en entier. J’en veux plus dans mon cul. Encule moi à fond, je suis une grosse salope qui aime se faire bourrer son trou du cul ! ».
J’enfonçais le concombre un peu plus et bientôt, elle se retrouva avec près de 30 cm plantés dans le cul. Je n’en revenais pas qu’elle puisse s’en prendre autant dans le cul.
« Tu aimes te faire enculer salope ! Est-ce que c’est aussi bon que la grosse queue d’Ahmed ?
J’avais à peine fini ma phrase qu’elle se retourna en me demandant de répéter ce que je venais de dire. Je la sentais gênée, prise au piège.
« Je sais tout, je t’ai surprise au lit avec Ahmed il y a quelques semaines mais vous ne m’avez pas vu. J’ai filmé tes ébats tous les jours et je te confirme que tu es une sacrée salope qui aime la grosse bite de black ! ».
Je quittais la chambre et revins avec l’ordinateur portable. J’ouvrais une vidéo et la fis visionner à ma femme. Elle se découvrit sur l’écran, à 4 pattes, se faisant chevaucher par Ahmed. Ce dernier l’enculait, entrant et sortant sa grosse tige veinée de son orifice distendu.
A la vue de ces images, elle se mit à bredouiller des mots et éclata en sanglots.
Je la rassurais de suite, lui expliquant que je ne lui en voulais pas et, qu’au contraire, j’étais content puisque maintenant je profitais de son cul du fait qu’elle était beaucoup plus salope qu’avant et qu’elle avait la liberté totale de me cocufier avec qui elle désirait.
Je qualifierais ma femme de cochonne, amoureuse de son homme.
Avant moi, elle avait eu des relations avec d’autres hommes et je savais qu’elle avait un faible pour les hommes de couleur.
Notre chauffeur était un black quelconque, pas très souriant et pour moi, il était impossible que quelque chose puisse se passer avec mon épouse.
Un matin, j’étais en ville pour une réunion et, celle-ci s’étant finie plus tôt, je décidais de passer à la maison pour prendre un café.
Je débarquais sans faire de bruit, la voiture était garée dans l’allée centrale, mais pas de trace de mon chauffeur. J’ouvrais la porte de la cuisine, personne pour m’accueillir.
J’allais ressortir quand j’entendis des râles venant de notre chambre à coucher. Je m’approchais sur la pointe des pieds, je passais la tête par la porte et je découvris ma femme, au lit avec mon chauffeur.
Cette salope était à quatre pattes, cambrée au maximum, la tête dans l’oreiller, se faisant défoncer le cul. Elle gémissait, hurlait en bougeant ses fesses, sous les coups de boutoir.
Ahmed était monté comme un âne, je voyais sa bite énorme, luisante, entrer et sortir du cul de ma femme, défonçant sa rondelle. Il coulissait en elle avec facilité, ses couilles tapaient sur les fesses de ma chérie qui l’encourageait en lui demandant de l’enculer plus fort. Il rentrait et sortait de son orifice distendu, posant ses mains sur la croupe de sa maîtresse pour admirer ce fessier qu’il défonçait avec son gros gourdin.
Je n’avais jamais vu mon épouse se déchaîner autant au lit. J’étais jaloux de la grosse bite d’Ahmed qui donnait tant de plaisir à ma femme.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux du spectacle qui m’était offert, j’aurais dû intervenir et, au lieu de ça, je restais planté là, à regarder, ma bite gonflée par le désir, prête à exploser.
Le rythme s’accélérait, Ahmed baisait de plus en plus fort le cul de ma femme, elle criait des mots crus, encourageant son amant à en finir.
Ce dernier, sentant qu’il allait éjaculer, se retira du cul de ma femme, elle se cambra et posa les mains sur ses fesses pour écarter encore plus sa rondelle.
De longues giclées de foutre l’arrosèrent, graissant son œillet bien ouvert.
Je comprenais pourquoi ma femme avait pris autant de plaisir en voyant la bite d’Ahmed cracher son jus. Elle était veinée, puissante, large et très longue. Sa queue devait mesurer au moins 25 cm et plus de 5 cm de diamètre. Ma femme se retourna et prit à deux mains son sexe. Elle enfourna ce morceau de chair dans sa bouche et se mit à le pomper comme une furie. Elle, qui avait tant de mal à avaler ma queue d’habitude, s’enfonçait dans la gorge près de 20 cm de bite. Je ne la reconnaissais plus, elle était complètement accro à la grosse bite du black.
Je m’échappais sans faire de bruit et quittais la maison, encore troublé du spectacle auquel j’avais assisté. Je rentrais ce soir-là, à la maison, plus tard que d’habitude, retrouvant une femme épanouie.
Je savais qu’elle se faisait baiser mais elle ne se doutait de rien.
Après avoir découvert que ma femme se faisait baiser par notre chauffeur, je décidais de la piéger. J’installais une caméra-espion dans notre chambre, reliée à mon ordinateur portable.
Le matin avant de partir, je mettais la caméra en mode enregistrement et je pouvais ainsi contrôler ce qui se passait dans notre chambre à coucher.
Dès le lendemain de mon installation, je fus récompensé. Après s’être levée, douchée, ma femme revint nue dans notre chambre. La quarantaine, ma femme mesure 1,65 m et pèse 53 kg. Adepte de fitness, elle est bien faite, ses seins sont fermes, son ventre plat et ses fesses musclées. Elle prend soin d’elle au quotidien, se fait masser régulièrement et fait des UV toute l’année. Son pubis est entièrement épilé, ainsi que ses fesses.
Je la vis se planter devant le miroir et s’admirer sous tous les angles.
Puis, elle se mit à se caresser les seins, ses doigts jouant avec ses tétons. Sa bouche entrouverte confirmait qu’elle prenait plaisir à se caresser. Ses mains descendirent entre ses cuisses et elle se mit à jouer avec son bourgeon. Je l’entendais respirer plus fort, elle se cambrait, se laissant aller.
Après quelques minutes à se masturber, elle se retourna et se mit à quatre pattes pour mater son cul ferme et rebondi. Elle passa un doigt dans sa fente humide et se masturba à nouveau. Son abricot lisse était en feu, un autre doigt s’introduisit dans son sexe pour en ressortir peu de temps après et venir titiller sa rosette. Pour la petite histoire, ma femme prend son pied par le cul…..
Elle se cambra, posa son doigt sur son œillet lubrifié par son jus et l’introduisit dans son cul.
Elle se mit à faire tourner son doigt pour ouvrir son petit trou.
Sa rondelle très souple s’ouvrit rapidement, elle posa les mains sur ses deux globes de chair et les écarta, laissant apparaître son trou de salope bien dilaté.
Elle garda la position quelques instants, admirant son cul bien ouvert tout en prononçant ces mots crus : « ça, c’est un cul de salope aimant la grosse bite de black !».
Puis, elle se leva, enfila un string noir, se regarda à nouveau dans le miroir, se cambrant pour admirer ses fesses.
Contente d’elle, elle appela Ahmed qui devait se trouvait dans la cuisine.
Ce dernier arriva dans la chambre, quelques secondes plus tard, découvrant sa maîtresse à quatre pattes, un string noir dans la raie séparant ses deux globes de chair rebondis.
Elle lui demanda de baisser son pantalon et s’empressa de lui flatter ses couilles et sa grosse tige qui pendait. Sa queue au repos avoisinait les 18 cm et près de 4,5 cm de diamètre. Elle goba ses deux boules, les aspira, les fit rouler dans sa bouche. Elle se mit à lécher cette colonne de chair qui se redressait doucement, titillant du bout de la langue le gland gonflé. Elle tétait le gros fruit rubicond, aspirant goulûment cette tige qui se dressait fièrement. Après avoir joué avec, elle ouvrit grand la bouche et avala, cm par cm, la queue d’Ahmed. Elle salivait, pompait le gros morceau de chair qui palpitait, descendant de plus en plus loin, pour en prendre le maximum au fond de la gorge.
La bite du chauffeur était tendue, veinée, énorme, les deux boules gonflées se faisant malaxer par les doigts experts de ma salope de femme.
Ahmed était aux anges, il grognait de plaisir, encourageant mon épouse, en appuyant sur sa tête. Il matait dans le miroir le cul de ma femme qui n’arrêtait pas de se trémousser pour exciter son amant. Il lui demanda d’accélérer, elle pompait de plus en plus vite, il se dégagea d’elle et saisit d’une main sa queue. Ma femme ouvrit la bouche et reçut une première giclée de foutre, suivi d’autres plus abondantes.
Son visage souillé, elle avala le sperme de son amant, qu’elle avait pris dans la gorge.
Elle, qui d’habitude se refusait à cette pratique, se délectait de tout ce foutre.
Elle reprit en bouche la bite encore dure et se mit à nouveau à pomper son amant.
Ahmed ne débandait pas, sa queue était toujours en érection et ma femme en profita pour se faire baiser. Elle se positionna sur le dos, releva les jambes, dévoilant ainsi sa chatte qui mouillait abondamment. Ahmed pointa son gland sur la fente humide de ma femme et se mit à lui frotter le clito. Puis, sans prévenir, il s’enfonça de plus de la moitié.
Il se mit à coulisser en elle, allant de plus en plus loin, à chaque coup de reins.
Ma femme hurlait de plaisir, disait des mots crus, bougeait son bassin à la rencontre de cet énorme pieu de chair. Elle se faisait défoncer son trou de salope par son chauffeur et elle en voulait encore plus. « Ahmed, mets-la-moi dans le cul, encule-moi avec ta grosse bite de black, dilate ma rondelle de grosse salope ! ».
Ce dernier ne se fit pas prier, il laissa la chatte de sa maîtresse et lui planta sa queue luisante de mouille dans le fion. Il l’enculait sans ménagement, lui arrachant des cris de plaisir.
Le cul de ma femme aspirait littéralement la bite d’Ahmed, et ses grosses couilles ne tardèrent pas à claquer sur ses fesses. Les coups de boutoir étaient de plus en plus forts, il entrait et sortait du cul de mon épouse, son orifice dilaté se régalant de cette énorme colonne de chair. Après plusieurs minutes de ce traitement de choc, Ahmed se retira du cul de ma femme et lui éjacula sur le ventre et les seins. Pas encore rassasiée, ma femme reprit en bouche la bite souillée de son amant et lui nettoya à grands coups de langue.
Le soir, au retour du boulot, je découvris tout cela sur mon ordinateur.
Je m’empressais de le ranger bien à l’abri, pour pouvoir le ressortir au moment opportun.
Les semaines passaient et mon épouse continuait à se faire baiser par Ahmed.
Je découvrais chaque soir sur mon ordinateur les ébats des deux amants.
De jour en jour, ma femme était de plus en plus salope, accro à la queue d’Ahmed.
Ce dernier la besognait chaque matin, lui dilatant l’œillet avec son énorme zob.
J’étais un cocu content.
Son petit trou s’était assoupli considérablement et je le sentais à chaque fois que je la prenais par derrière. Ma queue plus fine coulissait sans peine dans son cul, elle était littéralement aspirée dès que je posais mon gland sur sa rosette.
Un soir, alors que j’enculais ma femme, je lui proposais de lui goder le cul avec quelque chose de plus gros que ma queue. A ma grande surprise, elle accepta de suite alors que, jusqu’alors, elle avait toujours refusé. J’allais dans la cuisine et revînt avec un concombre de fort belle taille.
Je le montrais à ma femme qui accepta de suite avec un grand sourire. Après l’avoir soigneusement lavé et passé sous l’eau chaude, je l’enduis de vaseline et le présentais à son œillet. Elle s’était positionnée à quatre pattes, cambrée au maximum, les mains sur les fesses, écartant son trou déjà bien dilaté par ma queue.
« Vas-y mon salaud, défonce-moi le cul. Mets le moi en entier, je veux que tu me remplisses mon trou de salope. Dilate-moi la rondelle, fais-moi jouir du cul… »
Je ne me fis pas prier, je posais le concombre sur la rosette de ma femme et poussais.
Celui-ci entra sans peine, son cul aspirant l’objet sans difficulté. Je commençais un va et vient dans son petit trou, gagnant quelques centimètres à chaque mouvement. Très vite, elle se retrouva avec plus de 20 cm plantés dans son fion. Elle se cambrait, écartant au maximum ses fesses pour bien sentir l’énorme légume lui défoncer le cul.
« Oh oui ! C’est bon, vas-y, pousse encore plus fort, mets le moi en entier. J’en veux plus dans mon cul. Encule moi à fond, je suis une grosse salope qui aime se faire bourrer son trou du cul ! ».
J’enfonçais le concombre un peu plus et bientôt, elle se retrouva avec près de 30 cm plantés dans le cul. Je n’en revenais pas qu’elle puisse s’en prendre autant dans le cul.
« Tu aimes te faire enculer salope ! Est-ce que c’est aussi bon que la grosse queue d’Ahmed ?
J’avais à peine fini ma phrase qu’elle se retourna en me demandant de répéter ce que je venais de dire. Je la sentais gênée, prise au piège.
« Je sais tout, je t’ai surprise au lit avec Ahmed il y a quelques semaines mais vous ne m’avez pas vu. J’ai filmé tes ébats tous les jours et je te confirme que tu es une sacrée salope qui aime la grosse bite de black ! ».
Je quittais la chambre et revins avec l’ordinateur portable. J’ouvrais une vidéo et la fis visionner à ma femme. Elle se découvrit sur l’écran, à 4 pattes, se faisant chevaucher par Ahmed. Ce dernier l’enculait, entrant et sortant sa grosse tige veinée de son orifice distendu.
A la vue de ces images, elle se mit à bredouiller des mots et éclata en sanglots.
Je la rassurais de suite, lui expliquant que je ne lui en voulais pas et, qu’au contraire, j’étais content puisque maintenant je profitais de son cul du fait qu’elle était beaucoup plus salope qu’avant et qu’elle avait la liberté totale de me cocufier avec qui elle désirait.