- 23 sept. 2024, 14:48
#2825859
Expérience particulière ce week-end puisqu'un amant, trouvé par Ishtar est venu de loin pour passer 48h chez nous.
Au programme officiel, il y avait des massages. J'ai été le serviteur, sexe en cage. Celui qui a préparé le temple. Apporté des serviettes, fait le lit de l'amant, préparé les repas.
L'amant et Ishtar sur le matelas de massage.
Méditation, respiration, connexion.
Dans l'obscurité des lumières rouges et les vapeurs d'encens, ils entament une longue séance de massages.
Après 2h de massages tout ce qu'il y avait de plus académique, le dérapage a eu lieu. Etant à côté, à leur disposition, j'ai bien évidemment tout vu, tout entendu. La lumière rouge sacrée n'a pas permis de laisser le doute sur ce que j'ai vu. Il y a eu des moments longs et très intenses entre eux.
Voir Ishtar gémir de plaisir. Rester silencieux. Regarder sa délectation, sous les soupirs de l'amant incandescent. Ses doigts entrelacés dans les siens, dans une silencieuse caresse.
Ishtar a joui. Plusieurs fois. Des soupirs que je ne lui connaissais pas. La vertu de l'amant, en plus de remettre en question la plus intime facette d'un couple, permet également de révéler des facettes de ma Déesse que je lui avait jamais permis de révéler. C'est sans doute ce qui est le plus impliquant pour le cocu. Voir sa chérie dans une discussion qu’on n’a jamais eu avec elle, voir le corps de sa déesse convulser avec délice, voir son amoureuse dans une volupté encore inconnue, grâce à l'interaction avec un autre homme. On parle d'alchimie.
Dans le feu de l'action, ce sont mes capotes que l'amant a prises. Il s'est servi dans ce qui me relie intimement à Ishtar. Cela fait aussi partie de la soumission du cocu... en plus d'utiliser les surnoms affectueux envers Ishtar que moi seul utilise d’habitude.
La plus viscérale des tortures est lorsque ne voyant que leur couple de dos en train de s’unir, j'aperçois les jambes relevées d'Ishtar, le dos de l'amant et ses allers-retours. Et là je vois les mains de ma Déesse. Ses mains délicatement posées sur le dos de l'amant. Ces mains qui caressent tendrement cette peau qu'elle semble trouver douce, au rythme lent de leur danse primitive.
Etre cocu, c’est voir l’amant s’emparer du plus intime de ma relation avec Ishtar.
Etre humilié, c’est voir Ishtar telle que je ne la devinais pas. Telle que je n’ai jamais réussi à la faire devenir.
Etre cocu et humilié, c'est le panache de l’amant qui, ayant un regard décontracté sur moi, réussit à prendre les attributs du cocu, tout en servant à Ishtar quelque chose de nouveau.
En cela, ce week-end a été très humiliant, intimement humiliant.
le cocu d'Ishtar 
Au programme officiel, il y avait des massages. J'ai été le serviteur, sexe en cage. Celui qui a préparé le temple. Apporté des serviettes, fait le lit de l'amant, préparé les repas.
L'amant et Ishtar sur le matelas de massage.
Méditation, respiration, connexion.
Dans l'obscurité des lumières rouges et les vapeurs d'encens, ils entament une longue séance de massages.
Après 2h de massages tout ce qu'il y avait de plus académique, le dérapage a eu lieu. Etant à côté, à leur disposition, j'ai bien évidemment tout vu, tout entendu. La lumière rouge sacrée n'a pas permis de laisser le doute sur ce que j'ai vu. Il y a eu des moments longs et très intenses entre eux.
Voir Ishtar gémir de plaisir. Rester silencieux. Regarder sa délectation, sous les soupirs de l'amant incandescent. Ses doigts entrelacés dans les siens, dans une silencieuse caresse.
Ishtar a joui. Plusieurs fois. Des soupirs que je ne lui connaissais pas. La vertu de l'amant, en plus de remettre en question la plus intime facette d'un couple, permet également de révéler des facettes de ma Déesse que je lui avait jamais permis de révéler. C'est sans doute ce qui est le plus impliquant pour le cocu. Voir sa chérie dans une discussion qu’on n’a jamais eu avec elle, voir le corps de sa déesse convulser avec délice, voir son amoureuse dans une volupté encore inconnue, grâce à l'interaction avec un autre homme. On parle d'alchimie.
Dans le feu de l'action, ce sont mes capotes que l'amant a prises. Il s'est servi dans ce qui me relie intimement à Ishtar. Cela fait aussi partie de la soumission du cocu... en plus d'utiliser les surnoms affectueux envers Ishtar que moi seul utilise d’habitude.
La plus viscérale des tortures est lorsque ne voyant que leur couple de dos en train de s’unir, j'aperçois les jambes relevées d'Ishtar, le dos de l'amant et ses allers-retours. Et là je vois les mains de ma Déesse. Ses mains délicatement posées sur le dos de l'amant. Ces mains qui caressent tendrement cette peau qu'elle semble trouver douce, au rythme lent de leur danse primitive.
Etre cocu, c’est voir l’amant s’emparer du plus intime de ma relation avec Ishtar.
Etre humilié, c’est voir Ishtar telle que je ne la devinais pas. Telle que je n’ai jamais réussi à la faire devenir.
Etre cocu et humilié, c'est le panache de l’amant qui, ayant un regard décontracté sur moi, réussit à prendre les attributs du cocu, tout en servant à Ishtar quelque chose de nouveau.
En cela, ce week-end a été très humiliant, intimement humiliant.

