- 08 mars 2012, 10:46
#1022501
J'espère que ce nouveau texte qui reflète le petit diable et le petit ange de ma douce sur un fond de mélange de réalité et de fiction, vous plaira à tous, j'espère qu'il plaira aussi au Dc Vincent et sa Goldwing 1800 ...J'attend avec hâte vos commentaires.
Valphil.
*1ere Partie:
Tu rentre ce soir, comme d’autre soir chez nous et découvres sans me voir et immédiatement surpris, une table dressée, victuailles des grands jours sont disposés de part et d’autre de la table. Je suis présente devant toi, un sourire aux lèvres comme très fière, de ton regard d’interrogation plein de surprise je te révèles enfin la chose, le fait d’avoir retrouvé un emploi, le fait de commencer Lundi, la ferveur te gagne aussi et comprend dès lors mon excitation… Je te livres les détails en rafale, je commences la semaine prochaine et c’est un poste de secrétaire dans un cabinet médicale, avec un joli salaire à la clé… Je suis heureuse, et de ce fait tu l’est suis aussi. Le fait du lieu à son importance puisque mon poste est à proximité de notre habitation. Je te tend un verre de ta boisson favorite, un dix huit ans d’âge, nous trinquons à cette événement…
Tu me trouves belle et je te retourne le compliment largement amplifié… Tu as envie et cela me gagne aussi.
Après une nuit merveilleuse j’ai rendez vous avec la jeune femme que je remplaces, nous sommes Vendredi, nous nous retrouvons à deux pas d’ici, à la terrasse d’un café…
Assise en face de cette belle blonde, tu te dit que cela va changer pour ton nouveau patron, d’une blonde à une brune… Elle t’explique tous, tu la trouve adorable et gentille,…L’accueil des clients, les prises de rendez-vous, les facturations, courriers et en viens au plus important, le Dc Vincent comme elle le nomme t’est décrit comme sympas, cool et zen, très discret et pas du tous le genre à être désagréable bien au contraire, plutôt au petit soin avec son personnel. Cela te rassure. Il n'y a qu'une chose qui te refroidit un peu dût au ton employé sur le fait qu’il est particulièrement rigoureux sur l'hygiène mais tu lui donne raison , dans le milieu médical, çà se passe comme çà... Puis elle te décrit les taches comme de nettoyer régulièrement les poignées, les portes et les sièges de la salle d'attente, éliminer au maximum les virus. Ce que tu comprends. Mais tu vois, te dit-elle par exemple, il m'a demandé de couper mes ongles... De porter des semelles en bois. Et une blouse blanche, de la laver tous les jours…tu penses ne pas voir où est le problème…
Elle le devine, et reprend : Oui, seulement au milieu de la conversation, il m’a expliqué que les vêtements sont des nids à microbes. Ce qui est juste et il à raison. Il ne veut pas que tu portes de vêtement sous ta blouse. - Comment çà ?... Pas de vêtement... Du tout ? - Non, ni vêtement, ni sous-vêtement. Tu penses tous haut qu’il n’a pas tort, on ne sait pas le nombre de microbes qu'on peut porter dans nos habits, mais quand même. Tu du mal à m’imaginée nue sous ma blouse…Tu lui demande : Votre médecin, c'est un dragueur ? - Ah non, pas du tout !
- Bon, a priori, c'est simplement un fan de l'hygiène. On ne peut pas l'en blâmer. Si vous saviez le nombre de personnes en bonne santé qui ressortent malades d'un cabinet médical. L'air est chargé de tout un tas de petites bêtes. Il veut seulement respecter les règles les plus élémentaires d'hygiène. Juste que, ce qui m'embête, c'est que les deux blouses que j'ai achetées sont assez courtes. Je lui en fais part et me répond sans détour que son cabinet est bien chauffé, il fait super chaud...
Non, ce n’est pas çà, pensais-je. J'ai peur de me sentir gênée. Toute nue sous la blouse. Quand même !...
- Oh, vous vous y habituerez. Vous n'aurez qu'à bien croiser les jambes. Vous savez, Valérie. Il ne faut pas faire la fine bouche. Un job comme çà, çà ne se refuse pas. Franchement, si vous voulez mon avis, vous ne devriez pas vous poser des questions sur ce que vous devez porter sous votre blouse...
- Mais qu'est-ce que je vais dire à Phil, mon mari pour ma tenue ?
- Rien ! Qu'est-ce que vous voulez lui dire ? Vous ne travaillez pas ensemble, je crois ? C'est tout simple. Vous ne lui dite rien et le problème est réglé. Il n'en saura rien du tout… Comme le mien ne l’a jamais su.
- C’est vrai..., alors ! Tout paraît si simple et c'est un super poste.
Lundi.
-Bonjour docteur. - Bonjour mademoiselle. Je suis heureux que vous ayez accepté ce poste. Je vous souhaite la bienvenue. Je suis très occupé et n’aurai pas le temps malheureusement de vous former. Je vous laisse découvrir votre tâche. Si vous avez des questions, vous avez un système d'interphone. N'en abusez pas, s'il vous plait. Je vous ai laissé sur votre bureau quelques factures à faire. Pour les courriers, vous trouverez le texte ici, sur le dictaphone...
- Juste une petite question, docteur. Je peux me changer où ?
- Désolé. Pour accéder aux toilettes, il n'y a pas d'autre choix que de passer par mon cabinet. Vous comprendrez aisément que cela n'est pas possible. Je ne vois pas d'autre solution que celle de vous changer dans la salle d'attente. Vous avez un placard, là. Fermez bien la porte d'entrée à clé. Pour ma part, je ne sors jamais de mon bureau. Bonne journée, mademoiselle...
-Heu... Bonne journée, Docteur...
Tu hésites un peu, ferme rapidement la porte à clé, ôte de manière empressée ton manteau, ta robe et tes sous-vêtements pour enfiler au plus vite ta petite blouse de travail. Tu peines à trouver les manches, on te sent agitée. Les joues commencent à te chauffer mais réussit enfin à l'enfiler. Tu fermes rapidement tous les boutons jusque très haut sur ta gorge. Se mettre entièrement nue dans un lieu que tu ne connait pas, un lieu où défilent habituellement tant de personnes, crée chez toi le sentiment de vivre une situation surréaliste. Ce sentiment s'amplifie lorsque tu sens que seul le tissu de sa blouse recouvre ton corps. L'espace d'un instant, tu te demande ce que tu fait là, sensation comme une envie pressante de t'en aller, de tout quitter pour rentrer chez nous. Tu respire un bon coup et s'installe à ton bureau d'accueil, l'observe, détaille chacun des éléments qui se trouvent sur celui-ci.
Le téléphone sonne.
-Cabinet du docteur Vincent. Bonjour... Oui, un rendez-vous. Quinze heures ?... Très bien. Vous êtes madame ?... C'est noté. A cet après-midi, madame.
C'est le premier rendez-vous que tu prends. Cela s'est bien passé. Tu reprends un peu confiance. Tu sais qu'il va y en avoir beaucoup d'autres, cela ne te fait plus peur. On sonne à la porte.
- Zut ! J'ai oublié d'ouvrir la porte d'entrée...
C'est un homme qui entre. Il a un physique plutôt, agréable, son regard est brillant, il se présente. Il sourit tout en détaillant la fille devant lui et il à plutôt l’air satisfait, de la vision qu'il a à cet instant. Il faut dire que, voir en plein hiver une jolie jeune femme comme toi en petite blouse blanche assez courte, les jambes nues et aux pieds de petites claquettes en bois simplement recouvertes d'une bande de cuir large et blanche, çà ne laisse pas forcément indifférent. Tu est un peu gênée de voir ce regard rivé sur tes cuisses mais propose à l'homme de s'installer dans un fauteuil pour attendre. Tu te places à ton bureau d'accueil. Celui-ci ne couvre que le devant. Comme par hasard, l'homme s'est installé sur le coté. Tu te sent rougir, tellement peur qu'il puisse se rendre compte que tu ne porte pas de culotte. Tu t'en veut d'avoir choisi ces deux blouses aussi courtes, tu ne sais plus, un doute sur le fait d’avoir accepter ce travail. Que faire ? Tu te souvient du conseil se la blondinette et croise tes jambes en les serrant au maximum pour que l'homme ne puisse absolument rien voir.
Ce à quoi tu n'avais pas pensée, c'est qu'en croisant les jambes, cela aurait tendance à relever le tissu sur le coté, pour le plus grand plaisir du monsieur.
C'est fou, tu ressens son regard. Il te désire ouvertement, tu n’aimes pas cette situation. En même temps, se sentir désirée à ce point, crée en toi une émotion nouvelle que tu ne comprends pas. Se promener devant un homme qui est en pull, pantalon velours à grosses cotes et manteau en laine, et être en petite blouse, nue en dessous, il y a de quoi se sentir déstabilisée, et, tu l’est... En plus, ce qui ne vient pas arranger ton affaire, l'homme est plutôt séduisant. C'est même le style d'homme que tu adores, grand, de beaux yeux bleus, bruns, un sourire de jolies dents plein de séduction... Tu te sent émue, il faut réagir, faire quelque chose... Et le docteur qui ne sort pas de son cabinet. Il faut l'appeler, lui dire que son rendez-vous est là. L'interphone... Tu appuies sur le bouton. Un écran se redresse. Un petit message apparait "Pour appeler, appuyer sur le bouton". Oui, mais lequel ? Il y en a plein. Ce doit être celui-là... C'est une image qui apparait à l'écran. Le docteur Vincent est là. Oups !... Il est en train de se changer, enlève sa chemise et ôte son boxer. Tu sent tes joues te chauffer encore plus à en être rouge écarlate, il est maintenant entièrement nu devant tes yeux écarquillés...
Tu te retournes rapidement en direction du patient. Il sent qu'il se passe quelque chose, il te regarde avec un petit sourire amusé. Tu es de plus en plus gênée. Tu penses dans un instant de lucidité avoir tort, a tort, l'homme ne pouvait pas voir. Pourquoi s'être affolée de la sorte, comme çà ?... Tu regarde de nouveau l'écran. Le docteur est encore nu, tu n'en crois pas tes yeux. C'est fou ! Il a une... une... Qu'est-ce qu'elle est grosse ! Tu est loin d'être experte dans ce domaine, mais hormis ton mari tu n’en es pas à ton premier amant, mais en même temps, tu ne l’as jamais trompé. De cette grandeur, tu n'en as jamais vu... sans ignorer que cela pouvait exister. Elle est au repos et pourtant tu ne peut t'empêcher de penser à la taille qu'elle doit faire quand elle est redressée... Heureusement pour toi, le docteur vient d'enfiler une tenue verte style chirurgien, pantalon et haut sans bouton. Il est maintenant décent. Cela fait drôle quand même de savoir que lui aussi est nu sous ses habits professionnels. La blonde avait raison. Le docteur est loin d'être un pervers. C'est simplement un perfectionniste de l'hygiène et rien de plus. J’avais tort de se faire des idées. C'est fou, tout de même. Tu repenses à ce sexe. Il a poussé l'hygiène jusqu'à entièrement l'épiler, il n'a plus un seul poil, son pubis, ses bourses sont entièrement lisses. Tu trouves ce sexe beau et cela te perturbe. C'est bien la première fois de ta vie que tu penses quelque chose comme cela. Tu ravales ta salive, éteint l'écran et essaye un autre bouton.
- Oui, Madame.
- Heu... Docteur, votre rendez-vous de huit heures trente est arrivé.
- Faites entrer.
Tu te lève, et demande à l'homme de te suivre, traverse la pièce très lentement et t'arrête devant la porte de la consultation et reste là, un petit temps sans frapper, comme paralysée. Tu ne sait pas pourquoi tu es là immobile. Peut-être parce tu ne veux pas déranger ou peut-être as-tu peur que le docteur soit nu ? Peut-être, tout simplement, parce que tu as dans ton dos un homme qui te regarde, toi en petite blouse. Tu sens qu'il te désire si fort... Tu frappes.
La matinée s'est bien passée. A Midi trente, le dernier patient est sorti. Le docteur ouvre la porte de son bureau.
- Vous pouvez y aller. Si cela ne vous dérange pas d'être de retour avant quatorze heures... Tenez, un double des clés du cabinet. Cela sera plus pratique pour vous.
- Merci Docteur. Bon appétit !
C'est quand même formidable est bien consciente qu'une coupure comme çà, chez nous pendant le temps de midi, ce n'est pas donné à tout le monde. En plus, tu est plutôt contente de ta matinée, tu t'est vraiment bien débrouillée. Sans avoir à déranger le docteur toutes les cinq secondes. L'accueil des patients, la prise de rendez-vous, les courriers, tout cela ne te poses aucun problème, tu es même plutôt efficace. Tu sais que si tu continues comme çà, ta période d'essai ne sera plus qu'un lointain souvenir. Le médecin te parait très sérieux, mais il est gentil avec toi. Tout va bien. Enfin, il y a quelque chose qui ne va pas, qui te déranges. C'est plutôt par rapport à toi même. Ta propre réaction. Tu t’es sentie tellement bizarre ce matin. Te promener comme çà, sans culotte, cela ne te fait pas peur. Au final, il semble bien t’y habituer facilement, la chevelure de feu avait raison. A la fin de la matinée, plongée dans ton travail, cela ne te gênait presque plus de te promener sans rien sous ta blouse, non, ce qui t’ennuie, c'est plutôt l'impression de ne pas trouver çà si désagréable. Tu n’es pas du tout habituée à ce genre de situation, cela ne t'a jamais attirée. Pourtant tu commences presque à l'apprécier, à y prendre goût, à te sentir tout émue en repensant au fait de cette mise à nue dans la salle d'attente, que ta blouse est courte, que les patients te regardent, quelquefois avec insistance. Cet homme en particulier. Il était si beau... Et puis il y a aussi le docteur Vincent. Quand il s'est changé, tu l’as vu. C'est incroyable. Il en a une si... si grosse. Tu n'en avais jamais vu de pareil.
Habituellement, tu n'es pas intéressée plus que çà, mais là, dans ce cadre, dans l'ambiance de ce cabinet surchauffé... Elle est tellement grosse... Tu dois bien se rendre à l'évidence de s'être sentie tout excitée à l'idée de l’avoir vue... De ce forcer à penser à autre chose. Tu vas manger, non, tu n'as pas faim. Tu vas te poser un peu, le stress du premier jour. Tu te sens si fatiguée...
Tu te réveilles en sursaut, le corps tout trempé, ta vulve, elle aussi, est toute mouillée. Le souvenir confus de rêve... Il faut tu y aille. Quelle heure est-il ? Treize heures vingt. Ouf, tu n’es pas en retard, tu as même tout ton temps mais décides de partir tout de suite. L’importance d’être bien vue par son employeur. Il ne doit pas être du style à arriver en retard. Il sera là à moins dix, moins quart, peut-être. Il va entrer. Il verra qu'elle est déjà là, au travail. Il ne dira rien, mais tu es sûre qu'il appréciera. Il te sourira et entrera dans son bureau. Il se changera... Non. Il ne faut pas que tu pense à çà... Finalement, ce n'est pas une si bonne idée. Il ne faut pas y ailler tout de suite... Pas maintenant... Pas tout de suite... Et puis oui tu t’y rend.
Treize heures trente. C'est toi qui ouvre le cabinet, dois te changer, referme à clé, et défait tes habits. Tu es nue et sans savoir pourquoi, tu n'enfiles pas tout de suite ta blouse, mais te promènes dans la salle d'attente, s'assoies, prends un magazine. Tu te dirige vers la porte du bureau du docteur et l'ouvre, c'est une lourde porte. L'intérieur est tout capitonné, le secret médical ne risque pas de s'échapper de ce lieu. Tu te places sur le pas, un pied dans la pièce, le regard détaille tout alentour et avances un peu dans cet espace où tu ne devrais pas te trouver. La porte de l'ascenseur se referme. Il y a des bruits de pas, tu revient en hâte juste le temps pour toi d'enfiler ta blouse et de la reboutonner.
Le docteur entre, il t’adresse un sourire poli, se dirige vers son bureau et referme sa porte. Tu as eu si peur et pourtant, tu se sens prise d'une envie irrépressible d'allumer cet écran. Il faut que tu te retiennes, si on te voyait. Il n'est pas question qu'une fille aussi équilibrée que toi se laisse aller, devenir à croc de ce que tu a vu ce matin, même si le membre du docteur Vincent... Non ! Tu décides avec conviction de te mettre au travail... Dix minutes plus tard, tu n’as toujours pas avancé dans ses courriers, un peu tendue, le talon vient claquer sans cesse sur tes chaussures de bois, les mains sont moites et tes tempes martèlent chaque battement de cœur. Tu ne comprends pas ton état, que t’arrive t’il…Tu lèves la tête en direction du bureau du médecin, ta main se redresse, bien malgré toi comme commandée par une force surnaturel, à deux doigts du bouton commandant l'écran. Hésitante, de toute façon, tu ne risques rien. Il y a longtemps que le docteur a dû se changer, tu capitules acquiesçante de ton corps…Il est debout face à son bureau, sa chemise est ouverte, l'air de réfléchir. Tout à coup, on voit son regard s'illuminer, il ôte sa chemise, défait sa ceinture, ouvre les boutons de son pantalon, le baisse, se retourne, le plie, le range, il est de dos lorsque ma femme le voit enlever son boxer. Tu ne peux t'empêcher de te dire que ses fesses sont magnifiques ayant le sentiment de jouer les voyeuses, une pensée de vouloir éteindre, mais tu ne le fais pas. Tu voudrais avant qu'il se retourne, il reste comme çà longtemps, sans bouger. Tu t’exclame tous bas : Oh, mon Dieu !... Il s'est retourné. Son sexe est tellement gros, tellement beau, le gland est surdimensionné par rapport à sa colonne de chair, décalotté et tout lisse comme çà... Et péniblement, de tes doigts, tu éteins l'écran. Heureusement d'ailleurs, car le premier patient vient d'entrer...
L'après-midi se passe au mieux, tu es très prise par son travail. Pensée pour la blondinette qui avait raison sur le fait de s'habituée très bien à la nudité sous la blouse. Les gens ne se doutent de rien, chaque heures qui passent, tu te sens de plus en plus à l'aise. Te surprenant même à balancer très légèrement des hanches quand tu conduit un patient vers le docteur. Oh, pas beaucoup, juste un peu, juste pour voir. Tu sais que ta petite blouse d'infirmière, tes cuisses nues en plein hiver, cela fait fantasmer les hommes, c’est ostentatoire, sans aucun doute. Cela ne te gêne plus, tu t'en balance et apprécies même, et c’est nouveau, jeu de séduction du mâle, ceux-ci adorent, cela t'amuse beaucoup, et tu te surprend même... A dix-sept heures, il n'y a plus personne. Trois rendez-vous se sont désistés. Il faut dire que dehors, la nuit est là. Tu vois par la fenêtre, dans les halos des réverbères, tomber abondamment la neige. Ton travail est à jour et tu vas pouvoir te reposer un peu. Dans les rues, il doit faire si froid, dire qu'il fait si bon dans cette salle d'attente. Et même si chaud. En ce moment, tu est payée, et même bien payée, pour rêvasser, réfléchir au cadeau de Noël que tu fera à ton homme, imaginer quelles tenues tu vas pouvoir acheter pour le séduire, le rendre fou de désir. Tu penses de nouveau à celle qui occupait ton poste jadis, comment savait-elle qu'elle s'habituerait à se promener sans rien dessous ? Cela lui serait-il arrivé ?... Peu importe, tu est là, nue sous sa tenue de travail et tu te sent si bien. C'est fou de savoir que n'importe quel visiteur pourrait relever sa petite blouse, pour voir, pourrait décider de s'aventurer à la prendre sur place. Tout irait si vite... L'homme de ce matin, quand tu le précédait pour le conduire vers le bureau du docteur... Il aurait pu se retrouver en toi en un rien de temps... Cela te fait un peu peur. En même temps, tu sais bien qu'un cabinet médical est un lieu où les gens savent rester sérieux. Tu n'y risque absolument rien, mais tu t’avoue à toi même que les réactions de ton corps sont curieuses, depuis quelque heures tu coules, sans savoir vraiment pourquoi, mais cela n’arrête pas. Ok il y a bien le docteur, mais quand même ...
Tu allumes l'écran, il est à son bureau, plongé dans quelque chose, sans doute la lecture d'un rapport médical. Ton esprit s'évade à nouveau, tu repenses au regard des hommes sur ton corps. C'est loin de te déplaire, à la fois un peu normal mais une impression inhabituelle, bizarre ! N'importe où ailleurs, tu détesterais cette sensation. Ici dans l'univers surchauffé et surprotégé du cabinet médical, cela te séduit, te conquis, te sentant une autre femme. Il fait si chaud, défaire un, puis deux boutons de sa blouse, le joli décolleté est plaisant. Tu te lève, t'avance devant la grande glace qui couvre un pan de mur, pour voir ce qu’il est possible d’apercevoir. Tu te penches en avant, un peu, un peu plus, découvre la vision de tes seins en entier, les pointes sont dardées, ils sont beaux. Tu n’es pas vraiment attirée par les filles, mais cette paire de seins, Dieu que à l’envie de les toucher, ta main incontrôlable s'installe dans ton décolleté et folâtre avec les deux jouets qui ne demandent qu'à s'amuser. C'est marrant, c'est la première fois que tu prends un réel plaisir à jouer avec tes seins, du moins ailleurs que ton dans lit, mais il te semble plus logique de caresser le torse de ton homme plutôt que le tien, sauf que là, c'est différent, comme parfois dans ton lit tu est seul, tu prend goût de la situation. Peut-être le lieu public, parce qu'à chaque instant, la porte d'entrée peut s'ouvrir... Tu ne regrette pas d'avoir accepter ce poste. Tu te caresse, les pinces, caresse tes mamelons, en plus, tu est payée pour çà !... Ta blouse est courte, te demande ce qu'on peut voir lorsque tu te penche.
Tu essayes en retournant la tête en direction de la glace, découvre le haut de tes cuisses. Il n'en faudrait pas beaucoup pour que... Voilà ! Tu te penches un peu plus, la vision de tes fesses et les deux demies lunes de ton abricot apparaissent. Tout de même !... Tu ne pensais pas qu'on pouvait voir autant... Tu n’es pas attirée par les filles, pas vraiment, juste un peu. Mais bon Dieu, qu'est-ce que ce minou dégarni de ces petits poils bruns te fait envie. Tu passe ta main sur ses fesses avec effleurement, les trouve très jolies, tes doigts se font caresses, les malaxes un peu, l'impression de caresser quelqu'un d'autre, une autre femme. Celle-ci te tripote avec tant de zèle. C'est bon... C'est bon... C'est bon... Doucement, la porte s'ouvre...
Juste le temps de te redresser. La porte d'entrée s'est ouverte. Ouf ! Tu te retournes pour accueillir le patient. Il n'a rien dû voir.
- Heu... Bonjour Monsieur.
- Bonjour Madame, J'ai rendez-vous avec le docteur Vincent à dix-huit heures. Je suis très en avance. Mais avec ce temps. Je voulais me mettre au chaud.
- Très bien, si vous voulez vous assoir en attendant, pour patientez quelque instant…
Tu retournes à ton bureau. L'homme se défait de son manteau et de son écharpe qu'il place sur ses genoux. Comme par hasard, il s'est assis sur la seule chaise où on voit sous ton bureau, c'est à croire qu'ils le font exprès. Et voilà qu'il te reluque sans se gêner, mate tes jolies cuisses encore bronzées par l'été qui a fortement duré cette année. Pour changer, tu confirme en toi que cela te plait d'être regardée…
Tu n'a pas eu le temps ou même pensée à refermer ses deux boutons du haut, heureusement qu'il est assis, sinon il verrait tes seins bien ferme et tendus à l'intérieur de ton décolleté, ils ne sont pas encore calmés. Cela va être dur d'ailleurs car il te déshabille du regard à chaque instant, ce n'est pas la première fois qu'on te regarde, juste que, tu n'aime pas cela d'habitude, mais là...
L'homme se lève et vient vers le bureau d'accueil.
- Excusez-moi... Il est juste devant le comptoir et se penche légèrement en avant. C'est évident, il voit les tes petits seins, il sourit, un peu euphorique même. Tu ne sait que dire, puis bredouille un petit …
-"oui".
- Avez- vous mon dossier ?
- Heu... Oui...
- Pourriez-vous ajouter que depuis peu, je suis allergique aux principes dérivés du Daquin.
- Heu... A quoi ?...
- Aux principes dérivés du Daquin.
Tu fouille pour trouver le dossier voulant le sortir au plus vite. Tu sens que l'homme plonge ses yeux au plus profond de l'échancrure de ta blouse, face à lui. C'est sûr, il voit tes deux dômes aux bouts tout tendus. Quelle idée, tu a eu d'ouvrir ses deux boutons ?... L'homme est spécialement beau, en d'autres situations, il t’aurait paru insignifiant. Là, tu ne peut t'empêcher de se sentir troublée par sa présence. Tu regarde le dossier mais sans le lire, tu n'y arrives pas, tu le cherche mais ne voit plus rien, tourne et retourne les feuilles. Tu ne déchiffre pas même un caractère.
-Si vous me permettez... C'est dans cette case... Là…
L'homme est passé derrière toi, il a le doigt pointé en direction de la feuille et tu sais qu'il a une vue encore plus plongeante sur tes seins et tu sens bien que tes bouts sont pratiquement entièrement sortis, ils sont si durs… Tu est plus que troublée et ne sait que faire. En passant derrière toi, il t’a entouré de son bras, sa main que tu devine délicate est sur ton épaule. Les doigts posés sur le tissu, le pouce est sur sa peau...
-Heu... Oui, monsieur.
- Si vous voulez bien noter... Allergique... aux... principes...
Tu recopie à la hâte ce que lui dit l'homme, son pouce qui commence à masser délicatement ta peau t’électrise, déverrouillant de plus en plus tes barrières naturelle, sachant que tu ne devrait pas accepter qu'un autre homme que ton époux pose la main sur ta peau nue. Mais voilà, tes seins sont tendus, offerts en visuelle et bien marqués par le tissu au regard de l'homme, c’est plus qu'une invitation.
-Aux principes... dérivés... du... Daquin.
Il ne bouge pas, masse plus largement la peau de ton épaule. Que faire ?... Il faut que tu réagisses avant qu’il ne soit trop tard... Heureusement, comme une délivrance le son de l'interphone retentit.
- Excusez moi...
- Oui, docteur...
- Vous n'avez personne ?
- Si docteur, un monsieur vient d'arriver.
- Faites-le entrer.
- Oui. Tout de suite, monsieur.
Dix-huit heures cinq, tu rentre chez nous, une heure au moins avant que je rentre. C'est bien la première fois depuis longtemps, que tu m’attends avec une telle impatience, de ferveur, d’urgence, tu as terriblement envie de faire l'amour. Mais le mot n’est pas correct car un nouveau mot qui te choque pourtant, passe sans cesse se relace dans ta tête, une envie…une envie de baise, oui c’est bien ça tu te l’avoue à toi même, tu as envie de baiser.
Tout ce que tu as vécu aujourd'hui ne te peut te laisser de marbre, c'est le moins qu'on puisse dire, une fontaine bouillante à la ressource illimitée est née…
Il te faut absolument ma venue, au plus vite, te satisfaire de ce besoin, la nécessité de sentir au plus profond de toi une grosseur...
Tu cherche en vain de te calmer, et tu trouve nécessaire d’aller prendre une douche qui te fera le plus grand bien, éliminer les sécrétions abondantes qui t’on envahie allié à un besoin d’une baisse de température sont des raisons complémentaires...
Quand le Dc t’a fait signe d’ y aller, tu a eu envie de demander à rester, soit disant parce que tu avais des courriers à terminer. En fait, tu voulais attendre dix-neuf heures trente, que le dernier patient soit parti, il allait se changer, tu voulait juste encore une fois voir ce sexe tellement...Proéminant, heureusement ou malheureusement tu ne sais pas mais ne l'a pas fait... Tu es maintenant sous la douche, les mains appuyées sur le mur, les yeux fermés, cela te fait tant de bien, tes mains se mettent en action, elles frictionnent doucement ce corps sensible avec un produit moussant et relaxant. Tout va pour le mieux, tu te sens te calmer, redescendre et ton esprit s'évade vers des rêves doux, tu te détends bien. Tu redeviens ce que tu as toujours été, une fille tendre, douce, sereine et équilibrée, ton autre toi, un semblant de toi dompté. Tu profites au maximum de ce moment détaché où tu peux te laisser aller. Ton regard se porte sur ta petite blouse jonchée sur le sol, à te voir dedans quelques instants plus tôt. Tout revient à ton esprit et te trouble à nouveau, tes gestes sont moins précis et tes mains aux grands désespoirs s'attardent sur tes seins, tes petits bouts ne se lassent pas de leurs activités. Ton autre main glisse sur ton ventre, passe sur le haut de tes jambes, remonte entre tes cuisses... Ton abricot lisse est humide et chaud, tes lèvres sont gonflées, prémisse d’une trop longue envie certainement.
-Phil... Dépêche-toi ! Dépêche toi !...
Tu te rince rapidement, sort précipitamment de la douche, t'essuie au plus vite et enfile ton peignoir vert pastel, assez court et légèrement transparent. Il faut que tu sortes de cette atmosphère emplie de vapeur d'eau. Te voilà dans le salon et il fait nuit noir dehors, la neige s'est arrêtée. Il reste sur les balcons de l'immeuble d'en face un superbe manteau blanc, c'est si beau. Tu va pour fermer les rideaux comme tu le fais tous les soirs mais te ravise, un peu marre de ne pas profiter de l'extérieur sous le simple prétexte qu'on peut nous voir. Comme si les gens n'avaient que çà à faire... Et décide plutôt d'allumer la télé en t'installant dans le canapé. Les programmes ne sont pas fameux, mais tant pis ! Cela permettra de patienter avant l'arrivée de ton homme. Ton regard s'enfouit dans les images de plateaux d'où des applaudissements crépitent à rythme régulier, des cris, des embrassades pour un jeu, des actualités saignantes, des entrecôtes à point, des pubs pour des voitures, du crédit, des vacances au soleil... du parfum pour homme... Celui-là, il est beau ! Son torse est parfaitement musclé. Un sourire tendre et son regard est si bleu, si séduisant, tu ne te reconnais pas, tu sent que tu vas craquer... Tu sort ta petite langue et le fait passer sur le pourtour de tes lèvres en desserrant un peu les jambes, faisant s'ouvrir un peu le pan de soie... Tout à coup, tu te rappelle que les rideaux ne sont pas clos en relevant la tête pour vérifier si dans l'immeuble d'en face, personne ne s'est aperçu de ton émoi. Non. Il y a bien un homme. Il te semble jeune mais lui aussi assis dans son canapé en regardant la télé. Il ne ta sûrement pas vu. Il semble absorbé par les images... Peut-être fait-il, comme toi ? Il zappe. Les actus, les plateaux, les pubs. Lui aussi est peut-être ému par une image de parfum où une femme apparait, profondément séduisante, enivrante, envoûtante, excitante... C'est marrant, au moment où tu te dit çà, les lèvres du jeune homme s'entrouvre et il fait passer sa langue sur le haut de sa bouche, semble apprécier ce qu'il voit, fait glisser sa main sur le tissu couvrant son torse, son ventre, frôle son sexe... D'un coup, il enlève sa main, se redresse, regarde en direction de la baie, semble gêné et toi aussi par la même occasion, pourvu qu'il n'ait pas vu. Lui te perçoit troublée, son regard est fuyant dans tous les sens. Au bout d'un instant, il réussit à se calmer un peu et s'aperçoit que la femme allongée en face de lui sur le canapé, ne porte qu'un peignoir assez court sur ses jambes nues. Ses yeux s'ouvrent en grand car il distingue des formes sous la couleur verte d’eau, il semble apprécier et se met à te fixer, à te dévisager de haut en bas, d’un coup le tissus s’écarte, volontaire ou pas pour lui, la chose caché est un fantasme agréable. Tu fais celle qui ne le voit pas, et négligemment, te lève, va vers la fenêtre, t'apprête à fermer le rideau, mais au dernier moment ta main se ravise, ne voulant plus de çà, ce soir là, tu décideras de ne plus jamais fermer les rideaux. Hier, cela ne te gênait pas d'avoir les rideaux tirés mais aujourd'hui, tu à l'impression de se sentir mal, d'étouffer... Et puis…
Et puis tu préfères plutôt aller te changer. Quelques instant plus tard, tu revient avec un jean taille basse et un petit top sans manche et sans décolleté, te rassoies sur le canapé, se sentant maintenant très présentable, l'homme peut te regarder. Il est presque vingt heures. Qu'est-ce qu'il fait Phil, ce soir ? Juste le soir où tu n’as vraiment pas envie d'attendre, où tu as envie de te laisser aller... C'est décidé, elle va lui faire le grand jeu, il va pleuvoir des mots doux, un rien d'ingénuité, le regard aguicheur, des phrases plus osées, des positions lascives et cambrées, un air de petite fille modèle, ses petits talons haut, sa nouvelle nuisette de couleur noire et son petit string ouvert un peu coquin...
Et le téléphone sonne :
- Amour... Qu'est-ce qui se passe ?... Ah !... D'accord !... Non, je ne suis pas pressée... J'avais seulement envie de te voir. Tu m'as manqué toute la journée, mon Coeur... OK, je ne t'attends pas pour manger. C'est promis. A tout à l'heure. Dépêche-toi !... Tu est très déçue, cela c’est perçu à l’intonation du son de ta voie, le `Je rentrerais un peu plus tard que prévu`. Juste ce soir où tu a tant besoin de moi !...
Presque de façon automatique, une jambe passe sous le haut de tes cuisses, l'autre étant repliée, le genou en l'air, tu masses ton pied nu posé sur le cuir du canapé. Notre voisin d'en face a de nouveau à redressé la tête, son visage n'est plus rivé à l'écran. Qu'est-ce qu'il regarde ?... Il a l'air intéressé par tes gestes, les caresses que tu t’appliques sur tes pieds. Tu penses que décidément, il y en a, il leur en faut peu pour s'émoustiller. Après tout, si il veut regarder. Ce n'est pas si grave, les voyeurs ne te dérangent pas. Le reste est parfaitement couvert par ton jean et ton top. Et puis, ce n'est pas si désagréable de se sentir séduisante, d'avoir l'impression que l'homme a envie de vous, qu'il vous désire, qu'il aimerait peut-être vous prendre, là, sur le canapé... Et ce, juste avant que ton mari rentre...
Tu accentues le massage de ton pied, le talon, la voûte... Peut-être que depuis que l'homme l'observe, tes caresses sont un peu plus douces... Peut-être que tu as placé ton pied de façon plus visible par rapport à lui... Peut-être tient-tu comptes un peu plus que la normal ne le devrait de ce visiteur qui s'est invité dans ton salon... Le problème, c'est que... Tu y prendrais presque goût, toi qui n’est pas du tout porter sur çà, décidément... Là, tu ne sais pas pourquoi, l'ambiance du cabinet, la chaleur, la blouse... Tu ne comprends pas ce qui t'arrive mais un sentiment de plaisir te parcourt tout le ventre, depuis des heures. Les caresses sur ton pied se font plus sensuelles, le jeune homme a les yeux rivés sur toi, et continue pourtant de manière plus appuyée à te regarde et tu dois te l'avouer, tu j'aime çà. Il ne voit rien bien sûr, tu t’emploies à cela, mais, lorsque tu sens son regard sur ton corps, tu ne peux pas m'empêcher d'apprécier. Qu'est-ce qui m’arrive ? Penses-tu, un peu inquiète de ne plus me connaître, de ne pas être comme çà. C'est peut-être ce lieu, ce cabinet médical, trop chaud, trop confiné, où je me suis trop laissée à moi-même...
Tes caresses sur tes doigts de pieds se font chatte, l'un après l'autre sans jalousie dans un doux mouvement de va-et-vient, sachant que plus tu montes dans la grosseur des orteils, plus ce mouvement devient suggestif, et arrive enfin au gros, le tenant bien entre les doigts et le massant de haut en bas et de bas en haut, très suggestive ment. L'homme s'est levé. Il te regarde, la bouche légèrement entrouverte, tu augmentes le rythme, tu te sens toute chose... Tu as beau faire cela le plus naturellement du monde, sans vraiment donner l'impression d'avoir remarquer la présence de l'homme, mais en sachant que le geste que tu fais peut être pris dans un sens attirant, énervant, érotique... sexuel... Il te regarde et cela l'excite et t’excites sans aucun doute...
Tu sers encore plus ton orteil entre tes doigts qui forment un anneau et le fait aller et venir dans un mouvement toujours plus vif. Les bouts de tes tétons se mettent à se redresser, tu n’avais pas prévu cela, ils marquent le tissu de ton petit haut à outrance et cela crée une caresse douce sur les bouts de ses seins qui s'allongent toujours plus. L'homme va s'en apercevoir, il s'en aperçoit peut-être déjà... Tu te sent seulement émue, très émue, tu te sens toute chose. Tellement d’envies sexuelles sont dans tes songes que tu pense devoir arrêter ce travail... Non ?... Je crois que je dois continuer?... Tu penses que tu vas t'habituer, mais tu n’est pas sûr, si troublée et tellement peur de te laisser aller... Mais tellement d’envie... Oui, c'est vrai et tu le sais...Ce n'est pas un drame de se montrer un peu raisonnablement. Quand tu es sur la plage, tu ne te poses pas tant de questions puisque tu es nue de nos pratiques naturistes… Mais là, tu trouves du plaisir entre tes cuisses... Tu t’interroges, à la majorité des filles ressentent ce que tu ressens ? Qu'elles n'en parlent pas parce que cela ne fait pas bien. Tu as remarqué les femmes qui se penchent en avant plus qu'elles ne le devraient, qui ont des jupes tellement courtes qu'au moindre coup de vent elles s'envolent, qui prennent des positions inconsidérées, passives et provocantes à la fois... C'est vrai. Elles le font, mais elles ne le disent pas. Après tous si les gens ne sont pas contents, ils n'ont qu'à pas regarder. Et si tu y prenais vraiment goût ?... Si tu te laissais aller... A ouvrir par exemple quelques boutons de ta blouse. Et que tu laisses aux patients la possibilité de voir... N'oublie pas que tes deux seins sont nus en dessous... Tu passes ta main sur ta joue, lève ton bras très haut en l'air tout en redressant ton torse face à l'homme. Il a l'air si ému, tu fais celle qui ne le voit pas mais tu sais bien de ta posture, tes bouts pointant le tissu tendu au maximum, ne peut qu'avoir un effet des plus effectifs sur le jeune homme.
- Il faut qu'il se passe quelque chose, tellement ton envie de faire l'amour est fort, rien que d’y penser, ta chatte est trempé et... Ah... tu entends la clé dans la serrure et prête à tout... d’avoir si chaud à l'intérieur...
-Bonsoir mon amour, je suis crevé, Je vais me coucher.
- Pas tout de suite cœur, ce n'est pas possible.... Tu viens à peine d'arriver.
- Tu sais bien que je me lève tôt demain. Je suis vanné mon coeur.
- Tu ne veux pas savoir comment çà s'est passé ma première journée ?
- Ah si. Comment çà s'est passé ? - Heu... Bien. Bien... - Je suis content pour toi. Allez ! Bonsoir chéri.
Il t'embrasse tendrement sur la joue, enlève sa chemise, son pantalon et saute sous les draps de notre lit.
-Attends, amour !... Je viens. Ne t'endors pas tout de suite. S'il te plait. J'ai une surprise pour toi.
Tu cours à la salle de bain et enfile la pette nuisette achetée la semaine dernière sur Lola et tu es bien décidée de l’étrenner ce soir. Elle est noire, à l'aspect soyeux, avec une très fine bride sur chaque épaule. Elle est assez courte, t’arrivant à mi-cuisse, tu es très belle dedans. Assez sexy, tu as vraiment l'impression de te faire femme. Phil va adorer... Cela tombe bien car le désir de la femme devient plus pressant et il y a un temps où on ne peut plus attendre, envie de lui, tellement excitée...
Ce soir, tu serais prête à expérimenter des choses jamais essayées, je pourrais tout te demander, juste l’espérance pour toi d’être introduite par le chibre de ton amoureux. Tu sort de la salle de bain, court jusqu'au lit, s'arrête à distance idéale pour permettre le regard de ton homme, de parfaitement apprécier.
- Amour... ...
- Tu ne vas pas dormir ?... Amour...
-Regarde ! Ma surprise...
- Ma petite tenue...
- Elle te plait ?... Non !... Pas çà !... Réveille-toi ! Réveille-toi !... C'est vraiment trop injuste !
Tu te redresses, contracte ton visage, serre tes dents, te lève et sort de notre chambre. Tu es vexée, énervée, furieuse intérieurement. Lui faire çà à toi, ce soir. Alors qu'elle en a tellement envie... Elle veut tant se venger de ton comportement...
Tu va à la cuisine, avale un grand verre de jus d'orange, se dirige rapidement vers le salon, entre, et quand tu te trouve au milieu de la pièce, tu sait bien, les rideaux. Tu regardes au dehors. Une seule fenêtre est éclairée. L'homme qui te regardait tout à l'heure est toujours devant la télé. Vraisemblablement, il ne te voit pas toi qui ne porte que ta nuisette et rien dessous. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu’elle est plutôt sexy est assez courte. Les bras et tes épaules sont nus, tes seins sont plutôt découverts sur les cotés. Cette sensation d'être dans le salon, les rideaux ouverts, dans une petite tenue sexy, achetée spécialement pour séduire et penser que tout le monde pourrait te voir, profiter de la vue sur ce corps si peu couvert. Ce garçon, entre autres... On est en plein hiver. Une fille comme çà qui se promène dans son appartement avec seulement une petite nuisette, cela doit produire son effet, non ?... En tout cas, cela en produit chez toi. Tu sens monter en toi l'irrépressible besoin de montrer la beauté de ce corps délaissé, comme méprisé il y a quelques minutes par ton mari, mériterait d'être flatté par le regard d'un autre... Tu passes très sensuellement la main dans ses cheveux et l'homme relève la tête. Oui... Il t'a vu. Doucement, tu te retournes sur le coté, te laissant un instant admirer, il a l'air d'apprécier, son regard est des plus caressant, tu sais qu’il glisse doucement sur ton corps de femelle.
Histoire d'avoir quelque chose dans les mains, te donner une contenance, tu prend un livre dans la bibliothèque, le serre fort entre tes mains, finit par le poser sur la table du salon et s'en va. Elle est à nouveau dans le couloir. Elle meurt d'envie de rentrer. Qu'il l'apprécie encore ce corps qui désire tant se laisser voir. Pas tout de suite. Elle se met à compter, doucement... Un, deux, trois... jusqu'à soixante-huit. Voulant le faire attendre, patienter. Qu'il soit à croc d'elle...de toi. Tu rentres enfin dans la pièce. C'est gagné. Le regard de l'homme s'illumine comme des braises sous l'action d'un souffle de femme, tu te sens toute excitée à cette idée, t'approche de la table du salon, attrape le livre et t'assied sur le canapé. Tu t’es mise de trois quarts, les genoux repliés sur le cuir à trop faire semblant de lire... C'est si bon d'être là, les rideaux ouverts, face à cet homme, beau, qui n'a d'yeux que pour toi, ta silhouette. Ta main se promène de ton genou à ton mollet, par le contact de tes doigts sur ta cuisse te procure multiples frissons, une tache et désormais visible sur le cuir, provenant de l’extrémité de tes équerres, elles s’éloignent inexorablement de l’une de l’autre comme deux pôles opposés, ton autre main glisse à la naissance d’un seins puis ose le titiller de deux doigts, faisant rouler un téton développé tantôt dans un sens, tantôt de l’autre… Tu glisses discrètement ton regard sur lui en face de toi, sa main est posé sur une bosse imposante te semble t-il, il se masse… Tu changes de seins pour éviter toute concurrence et de ton autre main, tu découvres le bourgeon englué de sécrétion, ta bouche s’ouvre et se referme, c’est si bon… Tu ne quittes plus des yeux ton admirateur, tu le découvres nu, la tige très arquée vers le ciel, une main coulissant dessus… Comme pour lui rendre l’appareil tu t’ouvres à son regard, tu offres la vue de tes lèvres gonflées, elles s’ouvrent guidées de leur grande sœurs dans un flop sous l’effet musculaire de la traction exercée par tes jambes, tes doigts s’immisçant sans pudeur au plus profond de ta chair dans un naturel qui rendrait perplexe, tu regarde toute haletante la belle érigée, si désirable de l’autre coté, les rictus de l’homme sont marqué par le plaisir. Son gland gonflé est brillant, tu à une envie de le cajoler, de le rendre propre, mais aussi de le gouter, de l’avoir sur ton palais.
Ta deuxièmes mains rejoint la première prenant possession de ton bourgeon dès lors décalotté, et rapidement un premier orgasme violent te traverse, inondant jusqu’au creux de ta paume la liqueur expulsé en petits jets, sans cessé cette masturbation, tu perçois la sève giclé de l’homme, la semence s’écrase avec violence et saccade sur la vitre du salon coulant sur tous le long. Un nouvelle orgasme de haute magnitude aura raison de toi, te laissant toute pantelante , ayant pour seul courage de ton annulaire laissant une empreinte mouillée sur l’interrupteur.
Tu te retrouves seule dans ton lit, il est cinq heures trente, la lumière s'éveille. Tu pense à tout ce que tu as vécu hier, espérant sans succès un rêve, toi d'habitude si sérieuse... La décision est prise de retourner au cabinet ce matin, par contre de faire ton job et rien de plus, pas question de te laisser aller à regarder le docteur en train de se changer. Plus question non plus de se laisser mater par les patients ou par ton voisin. Redevenir la femme adulte et sérieuse que tu a toujours été. Et ce sera beaucoup mieux !
Tu te rendors un moment...Sept heures, le réveil sonne, tu t'étire, te lève, prend ton petit déjeuner, te douche, te sèche, enfiles string, décides d’abandonner le soutien gorge, à quoi bon, un pantalon noir, et un chemise blanche cintrée. Tu pars au cabinet, l'air très froid de l'extérieur te saisit. Dans l'ascenseur, tu t’aperçois ton bout du nez tout rosi. Cela te fait sourire. Tu enfile la clé dans la serrure et ouvre. Tu est seule, te change rapidement te met au travail. Tu as décidé de mettre en place un classement plus approprié avec des porte-dossiers plus nets, plus faciles à retrouver.
C'est très à l'aise que tu vois Vincent arriver sur sa Goldwing 1800 modèle 2012, fini les émotions de la veille. Il entre et tu le salue poliment et continue ce qui est entamé. Le docteur va dans son bureau.
Midi arrive, tu ne t'en est pas aperçue, tu rentre chez nous, te prépare un repas équilibré, mange avec appétit, puis lit un ou deux magazines. Il est l'heure de retourner au travail.
Tu es contente d’avoir retrouvé un rythme habituel, une vie normale et social, sans excès, tu sais maintenant que tu peux m’attendre tranquillement jusqu'à samedi. Tu n’es plus du tout tentée par le petit démon qui la titillait hier. Tu te dit que finalement, la normalité de la chose, le stress de la première journée, cela a dû dérégler tes hormones. Le corps est le fruit de multiples rapprochements chimiques qui quelquefois ont des résultats étonnants. Ma femme sait que tout cela peut arriver. Tu sais aussi que cela ne dure pas, l'esprit d'un être équilibré est plus fort que la chimie qui le compose. Elle adore son travail, tout ce que tu fais ici, tu le fais avec grand plaisir, vraiment faite pour être secrétaire médicale. Elle se relance dans le téléphone, l'accueil des patients, les courriers, la facturation. Le temps passe à toute allure...
Au milieu de l'après-midi, elle est encore prise à ses classements. Il n'y a plus personne dans la salle d'attente. Il règne un silence bienfaiteur pour un travail rondement mené.
L'interphone retentit.
- Oui, monsieur.
- Valérie, vous êtes-vous épilée ?
- Heu... Pardon, monsieur...
Prise au dépourvu et un peu stupéfaite de la question…
- Comme je vous l'ai demandé lors de notre entretien, vous êtes-vous bien épilée sous les bras et l'entrejambe ?
- Mais, monsieur... Vous ne l'avez pas fait ?... Vous ne m'avez jamais parlé de cela.
- Ah, excusez-moi ! J'ai dû oublier.... J'ai beaucoup de travail en ce moment et je n'arrive pas toujours à penser à tout. Je vous explique... Vous n'êtes pas sans savoir que le système pileux est un véritable nid à microbes. C'est pourquoi d'ailleurs, je vous ai demandé d'attacher vos cheveux. Le reste de la pilosité est beaucoup plus rétentif en ce qui concerne les germes. Par souci d'hygiène, je souhaiterais que vous vous sépariez de tout poil sur votre corps. Cela ne vous dérange pas ?
- Heu... Non, mais... De toute façon je n’en ai pas habituellement…Juste que je dois le faire prochainement…Cela vous convient ?
Relevant le bouton de l'interphone et semblant abasourdie…
Tu avais imaginé que l'interphone sonnait...
- Valérie, pouvez-vous passer tout de suite dans mon bureau ?
Tu entrait en se pinçant les lèvres, sachant pertinemment ce que le docteur allait lui demander.
- Otez votre blouse, s'il vous plait.
Tu avais prévu de le faire de la façon la plus anodine possible, en sachant bien que la situation allait te troubler, tes gestes seraient moins précis et aurait du mal à dégrafer chacun de tes boutons. Arrivée en bas de la boutonnière, le stress ou Dieu sait quoi, tu ouvrirais d'un coup les pans de ta blouse, montrant en même temps ta paire de petits seins et ton petit minou. Tu te dirait comme possédée "Pourquoi j'ai fait çà ?...".
A peine aurait-elle le temps d'y penser que ta blouse serait tombée à tes pieds sur le sol du cabinet, tu resterais comme çà debout devant le regard du docteur un grand moment. Le silence augmenterait le désir de vous deux.
Doucement, tu te retournerais pour qu'il voie que tu ne caches rien, que tes fesses aussi sont nues, tu lui les montrerais bien, un peu cambrée, ta rosace brune toute lisse. Tu sais qu'il en aurait envie. Tu te retournes encore pour lui faire à nouveau apprécier le devant, tout en ramassant ta blouse au sol, la main tendue, les genoux pliés vers la gauche, tu garderait les yeux dans sa direction. Ton regard quitterait le visage de l'homme pour descendre sur le haut du pantalon en tissu vert, tu sais qu’il est nu en dessous mais tu veux vérifier si elle te fait un minimum d'effet. Tout en enfilant ta blouse, tu distingueras la bosse, ou plutôt une grosse, quand tu penses à la taille étonnante de la verge du médecin. Ouvertement, tu fixeras l’objet du désir avec provocation, le sexe de l'homme sera forcément très redressé.
De ta blouse tu ne refermeras pas les boutons, attrapera de tes deux mains tes cheveux à l'arrière, pour refaire la petite queue de cheval imposée par le docteur, tu sait que cela gonflera ton torse, ta poitrine déjà ferme, ses petits bouts seront tendus, là, il ne verra plus qu'elle. Tu en rajouteras en prenant ta queue de cheval dans une main et en enserrant le chouchou autour d'elle, tu sais que ce geste le fera grossir encore plus. Tu te trémousseras sans excès, la blouse ouverte, les lèvres entrouvertes, le regard fixé sur le membre prêt à déchirer le tissu. Ta petite langue jouera avec tes lèvres. Tu te mettras alors à genou, ta peau nue sur le carrelage du cabinet, javellisé à l'excès, il estimera certainement devoir de faire jaillir ce sexe devant tes yeux ou alors tu feras sauter le noeud qui retient le pantalon de l'homme et entrera ta main et prendra ce beau membre lisse de partout jusqu'à la base et de ses bourses. Tu lèchera, les gobera tout en les suçotant, remontera sur sa hampe, fera passer ta langue sur l’orée du gland…Là, tu en aura envie. Vraiment.
Peut-être parce que l'homme est épilé, peut-être parce qu'il en a une tellement grande, tellement belle, tellement bien proportionnée. Tu en aurait tellement envie. Tu le sais. …
Hollola !... Il faut que tu te calmes... Heureusement que tout cela ne s'est pas passé. Que le docteur ne lui a pas demandé d'ôter sa blouse. Qu'il n'a pas eu envie de vérifier....
Tu as attendu, espérant ce moment avec impatience, maintenant, tu sais qu'il ne se produira pas, il l'aurait déjà ordonné. Non, le docteur est quelqu'un de respectueux. Il lui a demandé d'être nue en dessous, te fait confiance et il n'est pas homme à vouloir contrôler, tester, vérifier.
En tout cas, ce que lui a demandé le docteur, n'a pas contribuer à la mettre dans un état tout ce qu'il y a de plus normal. Comme hier, tu dois bien s'avouer que tu te sens toute excitée. Pourtant, tu avais réussi à avoir une journée de travail ressemblant à celle de madame tout le monde. Là, c'est retour à la case départ, tu est dans le même état qu'hier. Tu sens ton petit minou mouiller un peu le long du haut de tes cuisses. Pas de quoi fouetter un chat. Mais tout de même, de quoi sévèrement te troubler...
Surtout que vient d'entrer dans le cabinet un couple assez jeune. Le mec est très mignon, grand, châtain, un joli sourire. Après que la femme les ait présenté, ils s'asseyent. Lui, vient se placer sur la chaise permettant de voir sous ton bureau.
Ce n'est pas pour arranger la situation... Heureusement, l'homme ne te regarde pas vraiment, il est tourné vers sa femme et semble très à l'écoute, très attentionné. Cela doit être un jeune couple. Il n'a d'yeux que pour elle.
Il faut dire que la jeune femme est vraiment très jolie, grande, assez mince, brune, cheveux longs, des petits yeux noisettes et souriante. Elle est vêtue d'un grand manteau en cachemire, anthracite, d'un pull beige de la même matière, d'une jupe noire en laine lui arrivant au-dessus genou sur des collants de qualité, la couvrant jusqu'à une paire de talon noirs, haut de gamme. L'homme est très prévenant, il s'enquiert de savoir si sa femme n’à pas trop chaud, lui propose un peu d'eau.
Tu craques sur la gentillesse du type et en plus il est mignon. Si tu n’étais pas déjà en couple... Il a l'air musclé, viril et tendre, tout ce que tu aimes. Tu te met à penser qu'hier, quand nous nous sommes couchés, ton apparussions en petite tenue, l'homme lui, avec son regard plein d'amour, ne t'aurait pas laissé tomber. Tu en est sûr, ce doit être un bon amant.
Se blottir contre ce torse viril, te laisser aller, s'offrir entièrement à lui, se laisser câliner et prendre en douceur. Sentir ce sexe qui t'écarte et te pénètre de manière attentionnée, se...
Et voilà !... tu sens que tu commences à nouveau à déraper. Qu'est-ce qui te fait cet effet là, l’ambiance de cabinet ?... les patients ?... Cette petite blouse blanche sur son corps nu ?
Tu ne sais pas mais tu es sûre d'une seule chose. L'homme ne t'aurait pas laissé tomber, hier, il n’aurait pas rejoint Morphée. Enervée comme tu étais, en aucun cas, tu ne lui aurais permis, même s'il avait fallu, tout admettre de lui... Il est si beau, certainement attachant. Il faut le voir pour le croire, si dévoué avec sa femme. C'est bizarre ! Celle-ci ne semble pas s'apercevoir de la chance qu'elle a, ne le regarde pas vraiment. Elle lit son magazine sans porter la moindre attention aux gestes de tendresse de l'homme. Elle semble même un peu le rejeter… C'est incompréhensible pour toi. Quelle petite prétentieuse ! Etre avec un aussi beau garçon et ne pas même le regarder, l'admirer, le serrer fort dans ses bras.
Au contraire, elle donne l'impression de presque ne pas le supporter, presque étouffer. Décidément, la vie est mal faite...
- Ma chérie ! Tu n'enlèves pas ton manteau ?
Il dit cela avec une voix grave craquante qui te met tout en émoi.
- Non, je l'enlèverai tout à l'heure dans le cabinet.
- Comme tu voudras. Tu veux que je vienne avec toi ?
- Ah non, Bastien. J'y vais seule !
- Bon, Bon. C'était simplement pour t'accompagner.
- Je te remercie mais, là, non !
- D'accord ! D'accord !...
Le médecin me demande de faire entrer la jeune femme.
- Très bien, docteur. Tout de suite…
Tu demande à la femme de te suivre et balance ton petit derrière sous ta blouse, voulant créer à la fois un certain émoi chez l'homme et une certaine jalousie chez cette Pimbèche.
Quand tu te retournes pour faire entrer la femme, tu s'aperçois que ton petit effet est raté, tu as eu beau avancé en te trémoussant sensuellement. Ni l'un, ni l'autre ne semble l'avoir regardée. La femme disparait derrière la porte sans remarquer le petit signe amoureux que son mari lui envoie. Tu te sent un peu méprisée, insignifiante à leurs yeux, presque humiliée. Quand tu reviens à ton bureau, l'homme est plongé dans un magazine et ne décroche pas de celui-ci. Même tu n’es pas quelqu'un de spécialement orgueilleux, là, tu te sens touchée dans ton amour-propre. Il n'est pas question qu'elle reste sur ce qu'elle considère comme un échec.
Tu t'assied nonchalamment de telle manière que ta blouse se raccourcie lorsque tu t'enfonces dans la chaise dactylo et vas même jusqu'à écarter un petit peu les jambes.
Tu veut que l'homme te considère pour ce que tu est, une très belle fille en petite blouse, les jambes nus, dont les formes mettrait en appétit le plus fervent des moines, le plus fidèle des maris. Rien n’y fait, l'homme ne lève même pas les yeux de sa revue de sport. Un peu vexée, tu es quand même bien faite, ton corps ne demande qu'à être regardé. L'homme pourrait ne serait-ce qu'un instant lever un peu le nez. L’agacement te gagne... Bon, tout ceci n'est pas un drame, il est amoureux, voilà tout. Tu ne vas pas le blâmer. Toi aussi es amoureuse de ton homme, même si hier, tu lui en voulais un peu, tu sais que ce soir, quand tu seras dans ce lit trop grand pour toi, il ne sera pas là pour la réchauffer, l'envelopper dans ses bras musclés, il va te manquer. Il ne faut pas se fier aux apparences...
La femme, elle aussi, est peut-être très amoureuse de son mari, tu lui en veux peut-être pour quelque chose qu'il a fait ou qu'il n'a pas fait. Comme pour toi hier soir.
Tu regrettes presque de t'être dit que c'est une petite prétentieuse, une Pimbèche, une mijaurée. Dans le fond, la jeune femme a un visage gentil, presque un peu timide. Tu te dis que finalement, c'est bête de juger les gens aussi vite... Tu vas plutôt te remettre au travail, avec des courriers à taper.
Tu reprend le dictaphone, enfile le casque micro-oreillette, met en route et commence la frappe sur le clavier. Machinalement, s'engouffre dans tes phrases, des mots, du langage, frôle de tes doigts des rachis lombaires, des radios de l’ oesophage, des Témesta, des mononucléoses, des troubles hormonaux, des Gaviscon, des appendicectomies... Tout un langage barbare qui virevolte dans ta tête avec pour seule autocensure la faute d'orthographe. Au bout d'un moment, tu redresses la tête et vient de penser que ton casque avec son micro lui permettrait peut-être de répondre au téléphone sans utiliser le combiné. Ce serait bien...
Tu change la connexion, çà marche, essayes la même chose avec l'interphone, et entend dans ton oreillette la conversation à l'intérieur du cabinet entre la jeune femme et le docteur.
Tu a réussi. Très contente d'avoir eu cette idée. Le fait d'avoir insérer la prise du casque, le son du haut-parleur a été coupé. Quand tu voudras avertir le docteur de l'arrivée d'un de ses rendez-vous, tu ne gêneras personne dans la salle d'attente. Tu écoutes un peu ce qui se dit dans la pièce voisine, des échanges pas très originaux qu'ont sans doute à longueur de journée les médecins avec leurs patients, t'apprête à rebrancher la fiche sur le dictaphone, et ta main se fige lorsque tu entends les derniers mots du docteur...
- Bien. Déshabillez-vous, madame !
Tu te rappelles du petit fantasme avoir eu tout à l'heure, quand tu t'imaginais devoir te dévêtir devant lui. Juste avoir envie de voir l'effet que cela aurait pu te faire, tout du moins, tu voudrais envisager celui que cela va produire chez la jeune femme, alors tu appuies sur une touche de l'interphone. L'écran s'allume...
- J'enlève juste le haut, docteur ?...
- Oui, oui.
Tu vois sur l'écran la jeune femme en train de se défaire de son pull beige clair. Elle à un joli soutien-gorge en dentelle couleur blanche sur une paire de seins importante. "Un bon 90 C, tu te dis.
- Je dois l'enlever aussi, docteur ?
- Oui, oui.
La jeune femme dégrafe son soutien-gorge et fait apparaître des seins bien plantés aux formes plantureuses, tu es presque troublée par leur beauté.
Le docteur fait s'approcher la femme de la table d'auscultation, tout de suite, il met en place ses mains et opère de petites pressions sur sa poitrine. Des pressions qui deviennent de plus en plus fournies. On ne serait pas dans le cabinet d'un médecin, on pourrait croire que la jeune femme laisse à l'homme le soin de malaxer ses seins, les pétrir, les tripoter.
Tu ne sais pas si tu te trompes mais l’impression que les bout des tétons de la jeune femme se raidissent légèrement. Dc Vincent ne semble pas s'en offusquer, continuant de la palper. Cela doit être habituel lors de ce genre d'examen. Il semble trouver cela tout à fait normal. Les bouts des seins de la femme se sont effectivement bien raidis outrageusement, ils sont même très développés, le pétrissage du docteur fait son effet. Tu serais vraiment très embarrassée si cette situation t’arrivait, à toi. La femme a l'air tendue. Le médecin augmente le rythme de sa palpation. Tu est presque gênée pour le mari et regardes dans sa direction. D'où il est placé, il ne peut rien voir. Il a toujours son regard plongé dans son magazine. S'il savait qu'à quelques pas de lui, un homme malaxe fermement les seins tendus de son épouse...Tu est toute chose, et presque excitée par ce que tu vois, voilà cela te reprend…
Sentir les mains douces du docteur, bien formées, bien manucurées, avec de grands doigts élégants, racés... Et Phil qui serait juste de l'autre coté de la cloison... Tu comprends maintenant parfaitement que les bouts des tétons de la jeune femme soient sortis. Le médecin les a d'ailleurs attrapé et les roule entre ses doigts. Il les serre délicatement, les pinces. Ils ont encore grossi et t’impressionnent de leurs longueurs. Très professionnellement, il passe derrière la femme, lui fait redresser ses mains et croiser ses doigts derrière la nuque. Elle est là, debout, docile, les coudes levés à hauteur de ses oreilles. Placé contre le dos de la jeune femme, le Dc est en parfaite position pour recouvrir ses seins. Il les attrape dans chacune de ses paumes et commence à les pétrir. Il les fait se soulever et redescendre comme s'il s'agissait de yoyos. Il reprend les bouts dans ses doigts et les pinces délicatement.
La jeune femme se laisse faire. La position de Vincent est plus que suggestive, tu commences à te demander si tout ceci est parfaitement normal.
Tu n’as jamais vu de palpation identique, difficile pour toi d'imaginer que cela puisse être aussi approfondi. Il n'empêche que la réalité te semble très instructive, l'esprit en éveil, la passion d'en savoir plus, le désir de tout appréhender. Là, tu et confrontée à un univers inconnu…Tu as la respiration qui s’accélère, tu ne t’en rend pas compte…
Au départ, la médecine n'était pas vraiment ta tasse de thé. Maintenant, depuis que tu travailles ici, tu adores... Te surprendre à penser à bénéficier du même traitement, se voir si bien à la place de la jeune femme... Voilà qu'il la fait se pencher en avant avec ses mains toujours derrière la nuque. Il continue à malaxer ses seins et elle, se laisse toujours faire, mais tu découvres le pincement juste un peu de ces lèvres. L'homme, pour pétrir sa poitrine, a dû un peu s'affaler sur elle. Il est du coup serré à la jupe en laine de la jeune femme, contre ses fesses. Elle doit bien sentir quelque chose, vu qu'il est nu sous son pantalon léger de chirurgien. Tu te demandes s'il se peut que le docteur ait une érection...
Ce n'est pas possible. La femme s'en serait aperçue, se serait plainte, aurait crier. Elle ne l'aurait pas laissé faire... Quelle idée !... Pourquoi se poser de telles questions ? Où vas-tu chercher tout çà ? Un si gros pénis en érection... Entre les fesses de cette jeune femme... Qu'as-tu tout à coup à voir de la sensualité partout ?...
Tu ne te connaissais pas sous ce jour et ne pensait pas pouvoir être à ce point émue, n'imaginait même pas pouvoir avoir des fantasmes... Aussi troublants... Ton autre toi as pris possession de ton corps… Tu as un peu peur et en même temps tout çà, en prise avec la réalité et s'apercevoir que tes rêves, que tes désirs font basculer le réel. Tu aimes ces sensations nouvelles... Pourtant, tu te dis qu'il faut que tu réagisses, doit reprendre corps avec la réalité.
Le médecin effectue sur sa patiente une simple palpation et rien de plus... Il faut arrêter de penser comme cela... L'examen vient de se terminer et la femme se redresse en descendant les bras le long de son corps. Tu te sens rassurée et sait à cet instant avoir eu tort de te mettre des idées en tête. A l'avenir, tu essaieras de prendre du recul, ne pas imaginer des choses, garder la tête froide, rester les pieds sur Terre... Il n'est plus question de laisse divaguer ton esprit d'une telle manière, et te rappelle des propos de ton homme. A partir de maintenant, elle en fera sa devise : "La raison, toujours la raison"...
La femme reste là, attendant que le docteur lui dise de se rhabiller, lui la détaille du regard, tout en frottant son menton entre ses doigts. Il l'observe, perdu dans ses pensées...
La jeune femme est debout, droite, les bras ballants, le regard en attente, à l'écoute de ce que lui ordonnera le médecin... Il se retourne, avance lentement vers son bureau. On sent que la consultation est terminée. Il va certainement lui dire à la femme de se vêtir... mais se ravise et revient se placer devant elle, la regarde fixement.
- Je voudrais juste vérifier un ou deux points, madame. Pouvez-vous enlever votre jupe ?
- Oui docteur... Bien sûr... Tout de suite, docteur...
En déplaise à la sacrosainte raison de ton homme, le cœur battant tu ne peut s'empêcher d'imaginer qu'il va se passer des choses...La femme libère le bouton sur le coté de la jupe. Elle fait glisser la Fermeture Eclair et ôte le morceau de laine en le faisant courir sur ses jambes et passer sur ses talons hauts.
Tu viens de t'apercevoir que ce ne sont pas en fait des collants qui enserrent ses cuisses, mais du bas noir avec de petits papillons imprimés sur la dentelle surmonté d’une porte-jarretelle. Son string blanc en dentelle est coordonné avec le soutien-gorge, de jolies petites fesses, bien rembourrées sans trop. Tu les trouves très appétissantes.
- Je dois enlever le string aussi ?
- Oui, oui.
Elle s'en sépare faisant apparaître un magnifique petit minou qui doit adorer les transports en commun à la vue du joli ticket de métro, celui-ci est assez peu poilu. Tu te dis :"Cela doit plutôt plaire au médecin...".
Il passe ses doigts sur la petite fente de la femme, directement sans hésitation, ton cœur s’est accéléré d’un coup. Visiblement, elle est mouillée, il porte sa main à son nez, on dirait qu'il analyse l'odeur. Il la fait mettre la contre la table d'auscultation, ses fesses touchent le bord et lui demande d'écarter un peu les cuisses. Elle obtempère.
Il replace ses doigts sur la fente et les fait tournoyer sur le petit clitoris qu’il malaxe de son pouce agile. La femme pousse un petit cri. Il accélère le rythme. Elle lance un gémissement, puis deux, puis trois. De plus en plus fort... D'un coup, il enlève sa main, baisse son pantalon.
Au ton tour de te mordre les lèvres...
Vincent est de dos par rapport à elle, tu ne peut voir que la jolie paire de fesses musclées du docteur et aurait tant aimé avoir devant tes yeux le sexe fièrement dressé, en liberté, debout, en l'air, lancé dans l'espace, défiant les lois de l'apesanteur, il doit être si gros...
Il attrape dans sa poche un préservatif. Il l'ouvre avec les dents, la patiente le regarde avec un mélange de peur et de gourmandise, le fait sortir de son emballage et l'installe.
Elle semble contempler de ses yeux rivés le membre auquel ton regard n'a pas droit, avec un doux plaisir elle a l'air d'apprécier...
Il attrape ses hanches, elle pousse un grand cri, suivi de beaucoup d'autres. Il doit être déjà en elle. Il avance encore. Elle a l'air ravie. Il pousse toujours plus loin son exploration. Elle lance un grand gémissement. Il est sans doute au fond d'elle car il recule et commence un doux va-et-vient. Les râles de la femme rythment l’aller-retour de l'homme, de plus en plus puissant. Elle crie. Heureusement, la porte est capitonnée... Le médecin continue de lancer son assaut, elle est aux anges et crie et crie en oubliant son mari de l'autre coté de la porte. Tout à coup le docteur ressort et elle pousse un cri plus fort que les autres, elle le regarde implorante, il se met à distance en la regardant, contre cette table, les cuisses écartées, la chatte béante, un liquide opaque de ses sécrétions à l’orée de son trou. Elle est vraiment très belle dans cette position, elle se passe la langue gourmande en fixant l'objet sans doute encore redressé, elle semble le provoquer, en avoir tellement envie...
Tu es presque dans un état second, tes pensées sont sur la beauté de Vincent, sa grosseur. Tu trouves la situation trop injuste ! Si tu ne te retenait pas, tu entrerait en trombe dans ce cabinet et se ruerait, bousculant la femme, pour voir ce qu'elle imagine comme absolument gigantesque.
La langue de la femme est maintenant entièrement sortie, elle est très longue et très appétissante, la fait passer tout autour de sa bouche, geste de salope mais qui t’excite aussi.
Elle se redresse, vient se placer nue, à genou, par terre. Elle attend. Lui il la contemple. Il enlève délicatement son préservatif. Il s'avance...
- Nom de Dieu !...
Toi qui d'habitude ne jures jamais, viens de se parjurer en lançant très fort ce juron fendant le silence de la salle d'attente.
Le mari se redresse. Il te regarde très étonné.
- Heu... Excusez-moi, monsieur... Une faute d'orthographe...
Il a un petit sourire et se replonge tranquillement dans la lecture de son magazine sans s'apercevoir que tu te mords les lèvres
En te retournant vers l'écran, tu respires très fort, tes cils clignent à toute allure, ton petit coeur bat la chamade contre sa cage thoracique, les bouffée d'adrénaline te chauffe le visage, tes pointes se tendent à te faire mal, tes sens sont plus qu'en éveil et ta peau est à chair de poule, une inondation en cours. Ton corps est tout tendu vers le désir.
Et puis tu n’en crois pas tes yeux... Le docteur s'est retourné. Tu as devant toi la chose tant désirée, le membre dressé... Tu attendait cela depuis ce qui te parais si longtemps, depuis la première fois que tu a vu le docteur nu dans son cabinet… Il est si beau, si gros, si imposant... Il est grand et large, dur et lisse de toute part, décalotté, le gland est proéminant. Tu le trouve magnifique !... Même si çà te fait rosir du haut jusqu'en bas de ton visage, tu ne peux t'empêcher de penser adorer le sexe de ton employeur… Tu as tout loisir de l'apprécier, peu pressé qu'il est pour l'instant de s'approcher de sa proie.
La patiente contemple, elle aussi, la tige, du docteur avec des yeux gourmands. Elle se dirige vers lui, l'attrape de sa main. Tranquillement, se penche et dépose ses lèvres sur le gland. Elle ouvre un peu la bouche, fait sortir sa petite langue rose pour goûter. Elle a l'air d'aimer... Elle le lèche comme elle lécherait une glace. Elle entre le gland en entier dans sa bouche tout en tenant la hampe. C'est pas vrai !... Il a encore grandi... Le coquin, il est énorme !...tu t'imagine prendre la place de la patiente, le sucerait si bien, si sincèrement, si goulument, même plus encore, mettrait tout son cœur pour lui donner plus envie, persuader que tu pourrais y arriver...
Une fois que tu l'aurait placé dans ta bouche, tu ordonnerais à ta langue de s'activer, s'occupant de chaque millimètre carré de ce Dieu de beauté, le titillant pour mieux l'électriser, le massant fermement de tes lèvres pour mieux qu'il se raidisse, englobant le bout pour mieux le flatter, l'engouffrant pas soudaineté par instinct de propriété, cassant les retenues, lui donnant envie de s'offrir tout entier... Tu en es sûre. C'est toi qui serais si bien le sucer... Vincent stopperait net son envolée, te prendrais dans ses bras musclés pour te déposer sur le bureau en chêne massif, entièrement nu, offerte. Il placerait ce membre immense entre tes cuisses, le ferait entrer délicatement, le gland turgescent tout d'abord, puis la hampe, à un quart, à un tiers, (tu penserais déjà l'avoir tout entier), à la moitié, au trois quart, au quatre cinquième, tout... Tout. Tout. Entièrement... A fond... Jusqu'au bout !...
Tu as laissé s'échapper un long gémissement, le mari lance à nouveau un regard très étonné dans ta direction.
- Heu... Excusez moi
L'homme hausse légèrement les épaules et se replonge dans sa revue avec un immense sourire amusé, le regard continuant de sourire.
Le pauvre !... Il ne sait même pas qu'il est en train d'être cocu. A quelques mètres de lui, sa femme a le sexe du docteur dans sa bouche et elle l'astique avec sa langue...
Il faut que tu fasses quelque chose, lui dire ? N’y arrive pas... Et puis le mari va faire un esclandre. Adieu ton poste... Si ton homme était là, dans les bras d'une doctoresse, il faudrait qu'on lui dise, qu'on fasse quelque chose pour toi. ... Il a l'air si gentil, si mignon, tellement craquant...
C'est décidé. Elle va l'aider... L'homme a été déshonoré, sali. Elle doit laver cette offense. Elle va lui permettre de se venger. Elle va s'offrir à lui...
Contre tout attente, elle s'entend dire :
- Qu'est-ce qu'il fait chaud dans cette petite salle d'attente ! Vous ne trouvez pas ?...
- Oh oui. Vous avez raison.
- Quelle chaleur ! Je n'ai jamais vu çà. J'ai chaud à un point. Je suis toute en sueur...
Négligemment, tu défais un, puis deux, puis trois boutons du haut de ta blouse, tu te retournes vers l'homme et lui sourit.
- C'est mieux comme çà, n'est-ce pas ?...
L'homme se met à rougir comme un collégien. Il doit voir son sein. C'est sûr !... Tu t'étonnes du culot que tu a eu. Il y a une semaine encore, n'aurait jamais pensé être capable de faire quelque chose comme çà. Comme si de rien était, tu te retourne vers l'écran. L'homme est de biais par rapport à toi, assise de cette manière, le tissu se tasse à hauteur des cuisses. Ce qui fait s'ouvrir en grand le pan déboutonné...
Comment fait la femme ?... Comment fait-elle pour en avaler autant ?... tu aimerait tant être à sa place. Elle entre tout dans sa bouche. Puis, elle ressort tout, d'un coup. La langue se promène sur le gland, sur la hampe, sur les bourses entièrement lisses... Il y a tant à lécher... Tant de surface… Elles ne seraient pas trop de deux pour bien s'en occuper !...Tu t'évente avec le pan de ta blouse faisant apparaître à chaque battement ton sein. Tu sens bien maintenant que tu n'es plus du tout dénuée d'intérêt pour l'homme, son regard de mari est complètement plongé dans ce décolleté qui passe son temps à s'ouvrir et se fermer. Cela te rend le sourire, tu aimes te montrer à lui, ton plaisir commence à monter dans l’inconnue...
Dans la pièce à coté, la femme, agenouillée, lèche le gros sexe du médecin. Elle y met tellement de passion que tu te dis qu'elle serait capable de communiquer son enthousiasme à tout un groupe de jeunes filles, toutes prêtes à se disputer la propriété entre leurs lèvres d'un aussi joli morceau. Le monde est curieusement fait... Elle finit par le sortir de sa bouche et lance au docteur un petit regard coquin, éveillant le plus pur des désirs, ingénument allumeur... se relève, tout en continuant de masturber le membre d'une main, l'autre main plonge dans la poche du Dc et attrape un nouveau préservatif, le porte à sa bouche, arrache l'emballage et l'installe avec un grand sourire sur la verge bandée et allonge son torse sur le papier d'auscultation à usage unique. Son corps forme une équerre à la verticale, ses jambes son bien ancrées au sol, les pieds sur terre, sa tête, sa poitrine, son ventre, s'enfouisse dans le moelleux de la table d'auscultation, se détendent, se laissent aller, le coeur dans le rêve. A la charnière entre ses deux droites rectilignes, son petit cul se montre sans ombrage, semblant presque fier de lui et titillant le désir du docteur.
Pour ton plus grand plaisir qui te concentre sur ce sexe dressé, comme pour mieux l'imprimer dans ton esprit et le ressortir à chacune de tes séances solitaires de caresses intimes que tu pratiqueras désormais plusieurs fois par jour.
A ce stade de la consultation, la patiente donne des signes d'impatience et écarte ses cuisses et tourne le visage pour regarder le docteur fixement dans les yeux, fait tout pour qu'il est envie d'elle, qu'il ne s'arrête pas en si bon chemin... Il passe derrière elle, s'agenouille. En un instant, il lui arrache mille gémissements en allant fourrer sa langue sur son sexe et en pinçant de ses lèvres son petit clito bandé, elle jouit profondément dans un hurlement de bonheur qu'elle n'avait sans doute jamais connu jusqu'à présent. Le médecin ne ralentit pas pour autant son exploration, sa langue visite le petit labyrinthe de douceur rosée, elle le sent, exciter toujours plus le petit monticule rose, dressé fièrement au garde à vous devant ce génie du cunnilingus.
Tu pose ton casque sur le bureau, te redresse, te lève. Il faut tu fasses quelque chose... Tu n’en peux plus. Tu te dirige vers la petite table du salon d'attente et te penche pour mettre de l'ordre dans les magazines, tu sais que l'homme voit le haut de tes cuisses, qu'il te désire, qu'il aimerait te prendre, là… Savoir que cet amoureux transi commence à être ému lorsqu'il voit le haut de tes jambes, cela a une tendance à t'exciter. Et ce, de plus en plus...
Tu sais que tu n’as qu'à te pencher encore un rien, pour porter à la vue de l'homme ses deux belles fesses et ton petit abricot…Tu n’as pas de honte à avoir, quand on voit ce que sa femme est en train de faire dans le cabinet. Ton désire et d’aider l'homme à se venger, tu est maintenant prête à tout...
Seulement, tu n'as pas bien l'habitude. Comment lui dire ? Comment lui faire comprendre ?... Tu te dit que tu pourrais, tout en rangeant les revues, de dos par rapport à l'homme, défaire discrètement tous les boutons de ta blouse, te retourner vers lui, ouvrir d'un coup les deux pans et montrer à son regard médusé, tes deux petits seins bombés, ton ventre câlin et tes lèvres roses, s'éventerait des deux pans de la blouse, puis tu la ferait tomber sur ses pieds nus. Tu lui confierais que c'est beaucoup mieux comme çà, lui montrer la cambrure de ton dos sur ta belle paire de fesses que si peu d'hommes, au cours de sa vie, ont vue. Là, il pourrait se lever. Il pourrait décider de se la faire mettre, la mettre à genou, de sortir son sexe, de l'enfourner dans sa petite bouche. Tu ne pourrais rien dire. Il faut bien qu'il soit vengé... Le pauvre ! Il est tellement mignon, tellement beau, tellement craquant !...
Il pourrait ensuite te relever, t'inviter à te coucher sur le ventre sur ton bureau d'accueil, te caresser, lécher de toute part, te prendre comme une salope et te baiser sauvagement, tandis qu’à l'écran sa femme se ferait prendre juste devant tes yeux...!... Tu en a tant envie...
!... Il faut que tu te calmes... Ton esprit divague trop tourmentée. Tu es toute mouillée, et le jus coule ors de son écrin, sur le haut de tes cuisses. Qu'est-ce que c'est que toutes ses idées qui te passent par la tête ?... Tout ton corps en désire, tes seins sont tendus à t’en faire mal, comme jamais.
Nue sous ta blouse, les cuisses offertes au regard de l'homme, le décolleté grand ouvert, tu est là, penchée en avant, presque figée, la mouille coulant un peu plus à mi-cuisses, attendant que l'homme ait enfin le cran de se lever pour te fourrer délicieusement!... Mais rien ne se passe. Il faut se calmer... Tu rejoint ton bureau et te rassied.
A l'écran, le docteur Vincent continue son ouvrage, ce n'est pas vraiment ce qui va avoir tendance à calmer sa secrétaire, il lèche de plus belle le sexe de sa patiente, ses coups de langues remontent sur ces fesses délicieusement rebondies, sur ce dos délicatement musclé, sur ces épaules conçues pour être massées, sur ce cou semblant avoir été créé dans le seul but de recevoir de petits baisers... Elle tourne la tête vers lui, et traduit l'émoi de tout son corps d'un petit sourire humblement remerciant, résolument troublant, sensuellement aguicheur. Sans se faire prier, elle plonge sa langue dans la bouche du docteur et l'embrasse fougueusement, s'abandonnant totalement a lui.
Tu vois ces baisers, ces langues qui se malaxent au dehors de leur fourreaux, te retourne entièrement, lui s'approche, le sexe tendu, majestueux, impérial. Décidément, tu ne t'y feras pas...! Si tu pouvais avoir quelque chose comme çà dans sa main, dans ta bouche, dans ta chatte... Mais non ! C'est l'autre qui va l'avoir. C'est l'autre qui va la prendre, c’est l'autre qui va l'entrer en elle, c’est elle qui va être délivrer…
Non seulement, tu n’es pas, en ce moment même, à la place de l'épouse infidèle dans le bureau du docteur, tes seins collés à la table d'auscultation, les fesses en l'air... Mais en plus, le mari est assez bête pour ne pas avoir profité de la situation qui s'offrait à lui, te laissant comme çà, en plan à ton bureau, le corps dressé d'envie, le con tout trempé, les sentiments exacerbés... Qu'est-ce que tu t'en veut d'être aussi hésitante, aussi timide, avec ce carcan d'éducation et ces habitudes qui te musellent, qui te complexent, qui te coincent... Tu t'en veux tellement. A peine as-tu montré à l'homme un sein et le haut de ses jambes. Rien de plus...
Tu sait bien en toi, qu'il en faudrait bien davantage pour que celui-ci prenne le risque de se lever, de t'embrasser, te chérir, t’aimer, alors que son épouse légitime est en consultation, derrière la cloison, à quelques pas de lui. Tu est inquiète et commence même un peu à t'affoler. Le temps passe... Il faut que tu te décides. Il faut tu y aille. Il faut tu fasse face... L'homme est là, son magazine dans la main. Il ne le lit plus depuis longtemps, les yeux rivés sur ton corps de déesse, attendant un signe, un regard, quelque chose... Le temps passe à toute allure et réduit considérablement les possibilités a te laisser pleinement aller, de prendre les chose en main, d'enfin infiniment vibrer...
Le docteur va bientôt avoir terminé, le prochain patient ne devrait pas tarder à arriver... Tu n’as plus vraiment le choix, te décider, il faut y ailler, face à son destin... C'est maintenant ou jamais !...
A l'écran, la femme semble impatiente. On voit sa main glisser derrière ses hanches, se saisir de la hampe vigoureuse du Doc et l'approcher doucement jusqu'au bord de ses grosses lèvres, largement ouvertes. La voie est ouvertes il n'a plus qu'à pousser un peu pour se mettre en profondeur dans ce trou qui l'attend si amoureusement et commencer ce flot de va-et-vient qui, il le sait, va emporter tout sur son passage... Il est au fond, lime la blonde avec ardeur, la jouissance pour elle est continu, la performance dure, se retire, assoit sa partenaire et la couche sur la table d’osculation, place les pied de celle.ci dans les étrier, la regarde, offerte de son état, puis la pénètre sans plus ménagement, la pilonne tantôt délicatement tantôt furieusement… La fille est une poupée de chiffon, seul sa bouche ouverte émet un son inaudible. Puis il s’extirpe, éjecte le plastique qu’il l’entour, se saisit de la colonne de chair, le premier jet comme le deuxième, sera long et atteignant le visage de la belle, s’immisçant dans la bouche en se déposant sur ça langue, la quantité est aussi impressionnante que le reste, les seins, son ventre, les petits poils blond et la fente ouverte seront englué sous le sperme…
Un quart d'heure plus tard, la femme sort radieuse du bureau du docteur. Elle a le sourire aux lèvres, tu as replacé tes boutons. Le mari semble très gêné, il regrette certainement ce qui vient de se passer... Il n'ose plus regarder sa femme dans les yeux. Son visage est rouge. Il est tellement honteux. Il a pris du plaisir avec une autre femme que la sienne. Il est tout remué. Ces seins très différents de ceux de sa femme, ces cuisses longues et nues lui ont fait un tel effet... Il a même été jusqu'à imaginer un instant que la secrétaire ne portait pas de culotte en dessous. Cela l'a rendu fou... Il se serait presque levé pour vérifier. Cela aurait été tellement facile. La secrétaire, penchée en avant, reclassant les magazines, il avait juste à soulever un peu sa blouse, pour voir. A un moment, elle s'est penchée un peu plus. Il a bien cru qu'il allait être fixé tout de suite. Si elle n'avait pas eu de culotte, comment aurait-il réagi ?... Il aurait pris çà pour un appel. Il se serait approché d'elle. Comme un test, il aurait mis sa main sur sa hanche. Si elle n'avait eu aucune réaction, il se serait aventuré sur sa blouse, ses cuisses, ses petites fesses!... Il en avait tellement envie... Là, son sexe si fort dressé dans son pantalon, la fente de la secrétaire tellement humide, il l'aurait prise tout de go, envoyant au diable ses bonnes manière et sa femme, bravant le risque de la voir sortir à n'importe quel instant du bureau du docteur. Heureusement, il ne l'a pas fait. Il ne s'est pas levé. C'est fou, quand il y pense. Il aurait trompé sa femme sans se poser la moindre question. Et çà, c'est quelque chose qu'il ne veut en aucun cas. Il n'en a même, jusqu'à ce jour, jamais eu l'idée. Il s'est vraiment imaginé n'importe quoi. D'abord, les secrétaires médicales portent toutes une culotte sous leurs blouses...
Il n'est pas fier de lui. Il a eu de ces idées. Il a eu de ces fantasmes Il a eu de ces envies. Avec une autre femme. Pas avec sa femme a lui. Il faut dire pour sa défense que la secrétaire est vraiment super jolie et qu'elle n'y a pas été avec le dos de la cuillère. Il a pu voir ses seins très fermes et le haut de ses cuisses Quand même, en plein hiver ! Il a eu une sacrée érection. Il a réussi à la cacher, non sans mal, aux yeux très curieux de la jolie. Il se sent si gêné. Il ne sait pas comment il va pouvoir se faire pardonner par sa femme... Elle, si belle, si pure... Elle, qui n'a jamais eu un regard, un sourire, une pensée pour un autre homme. Elle, qui reste si droite avec lui.
Pourtant, Dieu, sait que les hommes regardent les femmes, nombreux sont ceux qui n'hésitent pas à se retourner sur toi la secrétaire médicale, à te dévisager, sur tes formes. Même quand nous sommes ensemble, tu te fais matée, ton mari s’en aperçoit clairement plus que toi.
Ton homme, sait bien que tous ces admirateurs de la rue sont touchés par ta démarche, par ta grâce, par ta beauté, par la mise en valeur de ton corps que tu passes tellement de temps à préparer dans la salle de bain et devant le dressing de la chambre à coucher. Il sait bien que ces hommes te désirent instantanément, qu'ils n'hésiteraient pas à t'aborder, te parler, se mettre à genou devant toi, t’attraper le bras pour avoir un contact direct, lancer leurs flammes jusqu'à tes joues, ta petite bouche, te fixer du regard, toucher de leurs doigts sensuels, te montrer dans quel état ils sont en appliquant ta petite main si douce sur leur membre redressé, si gros, si dur. Bien sûr, tu ne les laisserais pas faire. Tu es au-dessus de tout soupçon est mariée de surcroit, avec lui maintenant. C'est certain, elle l'aime, mais...
Lui le mari de la blonde ne préfère pas tenter le diable et sait bien que parfois la chair est faible. Il en est aujourd'hui le cuisant exemple. Il le sait si bien. A l'occasion de chacune des sorties de la femme, le mari s'applique à l'accompagner. Il ne veut pas prendre le moindre risque de voir s'envoler cette blanche colombe, la laisser kidnapper par un de ces bellâtres qui adorent la contempler et qui à la moindre occasion en profiterait pour la frôler, la toucher, lui caresser l'épaule, porter leurs mains sur son corps, s'enfouir en elle. Non, il ne veut pas les laisser faire. Ils ont tant de talent dans l'approche physique des femmes. Leur regard est si prometteur. Son épouse pourrait se sentir troublée, émue, le corps à fleur de peau, tendu vers eux. Il sait bien que sa femme est faite de chair. Si les bouts de ses seins se tendent, elle fera avec eux ce qu'elle a fait avec lui les premiers temps de son mariage. Le corps en émoi, les tétons dressés, la bouche ouverte, la culotte trempée, elle se jettera aveuglément dans leurs bras qui la tiendront fermement tout au long de l'assaut fougueux qu'ils lui feront subir. Non, il ne doit pas la laisser faire. Si il l'avait pu, il l'aurait même bien accompagné jusque dans le bureau du médecin. Ce docteur Vincent a l'air tellement séduisant... Elle ne le connait pas. Pourquoi a-t-elle choisi un homme comme nouveau médecin ? Que lui a-t-il fait ? Lui a-t-il demandé de se déshabiller entièrement ?... Non... Ce n'est pas possible... Pourvu que de séduisant, l'homme n'en profite pas pour se métamorphoser en séducteur... Pourvu qu'il ne la désire pas. Pourvu qu'il ne la prenne pas... Tout à l'heure, lorsqu'il l'a vue entrer seule dans ce bureau, il ne l'a pas montré, il était tellement jaloux...
Que va-t-il s'imaginer ? Il doit se ressaisir. Un médecin, ce n'est pas là pour mettre en émoi les corps, çà sait rester sérieux, çà s'occupe uniquement de pathologies et de radios, çà ne met pas ses pattes partout. C'est même assermenté. Non, un médecin, on peut lui faire confiance... Et puis sa femme ne le laisserait pas faire, tout de même. Son épouse est quelqu'un de tout à fait raisonnable. Elle ne pense à mal. Elle est si gentille. Elle fera ce que lui dit le docteur, et rien de plus. Que va-t-il donc imaginer ?... Il est impardonnable.
Décidément, il n'est vraiment pas gêné de se dire tout çà. Lui... Pendant qu'elle se laissait sagement ausculté, lui, s'est laissé aller. Il s'est de son départ pour reluquer la première fille qui passait. Il était seul avec la secrétaire. Il en a profité pour regarder ses cuisses, son déhanchement, sa blouse. Il a plongé les yeux dans son décolleté.... Il a honte de tout çà. Que faire ?... Le mieux, c'est peut-être d'en parler à sa femme ?... Lui avouer toutes les pensées qu'il a eues pour la première fois depuis leur mariage... Il sait que c'est le seul moyen de les faire fuir à tout jamais. Oui, il en est sûr. Il en est certain. Il doit lui parler. Elle comprendra. Après tout, elle l'a épousé pour le meilleur et pour le pire. Elle lui pardonnera. C'est évident. C'est décidé. Il va tout lui dire...
- Heu... Dis-moi, chérie... Heu. Je veux te dire...
Il parle sur le ton de la confidence. Tu as tout à coup très peur, ne sachant pas ce qu'il s'apprête à dévoiler.
Si il se met à parler à sa femme de toi... Si il lui dit pour les boutons de ta blouse... Pour tes cuisses nues... Pour ton petit regard aguicheur...
-Je voulais te dire... Heu... Ma chérie... Heu... Dis-moi... çà s'est bien passé ?... Rien d'embêtant ?
- Non, tout va bien, il n'y a rien de grave. Il ne faut pas t'inquiéter. Le docteur a simplement demandé à ce que je sois palpée très régulièrement.
L'homme fronce les sourcils.
-Elle se retourne vers moi
- Pourriez-vous me fixer quelques rendez-vous d'avance ?
- Oui, madame. Le docteur veut vous recevoir tous les combiens ?
- Il ne m'a pas dit exactement. Comme je suis particulièrement angoissée en ce moment, je préférerai qu'il m'ausculte le plus souvent possible. Disons... toutes les semaines.
- Très bien. Je vous propose les mardis à seize heures.
- Cela me convient parfaitement. C'est une bonne heure pour moi. Je vous remercie beaucoup. Vous êtes charmante...
- Je vous en prie. C'est toujours un plaisir de satisfaire les patientes du docteur. Surtout lorsqu'elles sont aussi sympathiques que vous...
Tu ne sait pas pourquoi tu vient de dire cela à la femme, cela sent l’hypocrisie à un point, la femme n'est pas du style à laisser de marbre, elle a tout pour elle, sa voix est caressante, sa beauté culmine délicieusement à chaque déhanchement, la démarche est souple et attirante. Son corps totalement assouvi sexuellement donne l'impression d'être épanoui de toute part. Sa manière particulièrement troublante de te regarder met en valeur ses petits yeux câlins bleus atlantiques. La jeune épouse parait étonnée par tes propos ambigües. Serait-elle au courant de ce qui s'est passé dans le bureau du docteur ? A-t-elle, elle aussi, subit les délicieux assauts du médecin ? Elle est jolie cette secrétaire, en blouse blanche, les jambes nues. La femme est sûre qu'il se passe des choses entre eux. Elle pose une nouvelle petite question pour voir...
- Dites-moi mademoiselle, en cas d'urgence, y a-t-il moyen de voir Mr Vincent dans l'heure ?
- Oui bien sûr, madame. Le docteur se laisse toujours une marge pour s'occuper des personnes qui ont besoin d'être rassurées. Il vous prendra entre deux patientes.
- Il me prendra entre deux patientes... D'accord ... Décidément, il a l'air très bien ce médecin. Vous avez de la chance de travailler avec quelqu'un comme lui. Il doit être particulièrement attentionné avec vous, n'est-ce pas ?...
- Tout à fait, madame. Le docteur est un employeur particulièrement délicat. Souhaitez-vous qu'il devienne votre médecin attitré ?
- Pourquoi pas ?... Que dois-je faire pour cela ?...
- Il vous suffit de m'apporter votre attestation sécurité sociale dûment signée pour une prise en charge totale.
- C'est plus que je n'osais espérer. Et vous m'assurez qu'il me prendra entre deux patientes à la moindre demande ?
- Vous pouvez en être convaincu. Il n'hésitera pas à vous prendre deux ou trois fois dans la journée, si besoin, et même le week-end.
Vous pouvez même le faire venir à domicile. Je ne l'ai encore jamais vu refuser de se rendre jusqu'au lit de ses patientes. De jour comme de nuit...
Si votre mari dort, il vous auscultera là où vous désirerez le recevoir. Au salon, dans la salle de bain, dans la cuisine, s'il le faut, sur le palier.
Il est évident que le docteur a une préférence pour que vous l'accueilliez en journée au sein même du lit conjugal... C'est un homme très dévoué. Vous verrez. Il se donne corps et âme à ses patientes. Je suis sûr qu'il saura vous apporter la meilleure réponse à chacune de vos demandes.
Etant moi-même une femme, je sais que nous attendons beaucoup plus lorsque nous sommes entre les mains de notre médecin. Avec lui, je me laisserai faire les yeux bandés. J'ai entièrement confiance en cet homme.
-Je vois mademoiselle que nous sommes sur la même longueur d'ondes. Cela me convient parfaitement. Merci... Grâce à vous, je me sens tellement rassurée...
- Pourquoi ma chérie ? Tu n'as rien de grave, j'espère ?...
- Mais non, mais non...
Tu n'en revient pas de ce que tu viens de dire à la femme. Tu en as rajouté exprès, par jalousie, pour la décourager de venir à son prochain rendez-vous. Tu voulais en même temps, mettre le doute dans l'esprit du mari. Tu est épatée par le naturel de la réaction de la jeune femme et ne parait pas du tout gênée, le visage est illuminé est zen, totalement remplie, d'un plaisir assouvi. Elle sourit d'un air entendu à toi même, comme si vous partagiez maintenant un secret. Elle s'en va, invitant son mari à la suivre.
Lui, semble trouver tes propos tout à fait normaux. Il s'inquiète seulement pour la bonne santé de sa femme et pour les pensées coupables qu'il a eu en regardant la secrétaire.
Décidément le monde est vraiment mal fait...
A suivre...
Valphil.
Valphil.
*1ere Partie:
Tu rentre ce soir, comme d’autre soir chez nous et découvres sans me voir et immédiatement surpris, une table dressée, victuailles des grands jours sont disposés de part et d’autre de la table. Je suis présente devant toi, un sourire aux lèvres comme très fière, de ton regard d’interrogation plein de surprise je te révèles enfin la chose, le fait d’avoir retrouvé un emploi, le fait de commencer Lundi, la ferveur te gagne aussi et comprend dès lors mon excitation… Je te livres les détails en rafale, je commences la semaine prochaine et c’est un poste de secrétaire dans un cabinet médicale, avec un joli salaire à la clé… Je suis heureuse, et de ce fait tu l’est suis aussi. Le fait du lieu à son importance puisque mon poste est à proximité de notre habitation. Je te tend un verre de ta boisson favorite, un dix huit ans d’âge, nous trinquons à cette événement…
Tu me trouves belle et je te retourne le compliment largement amplifié… Tu as envie et cela me gagne aussi.
Après une nuit merveilleuse j’ai rendez vous avec la jeune femme que je remplaces, nous sommes Vendredi, nous nous retrouvons à deux pas d’ici, à la terrasse d’un café…
Assise en face de cette belle blonde, tu te dit que cela va changer pour ton nouveau patron, d’une blonde à une brune… Elle t’explique tous, tu la trouve adorable et gentille,…L’accueil des clients, les prises de rendez-vous, les facturations, courriers et en viens au plus important, le Dc Vincent comme elle le nomme t’est décrit comme sympas, cool et zen, très discret et pas du tous le genre à être désagréable bien au contraire, plutôt au petit soin avec son personnel. Cela te rassure. Il n'y a qu'une chose qui te refroidit un peu dût au ton employé sur le fait qu’il est particulièrement rigoureux sur l'hygiène mais tu lui donne raison , dans le milieu médical, çà se passe comme çà... Puis elle te décrit les taches comme de nettoyer régulièrement les poignées, les portes et les sièges de la salle d'attente, éliminer au maximum les virus. Ce que tu comprends. Mais tu vois, te dit-elle par exemple, il m'a demandé de couper mes ongles... De porter des semelles en bois. Et une blouse blanche, de la laver tous les jours…tu penses ne pas voir où est le problème…
Elle le devine, et reprend : Oui, seulement au milieu de la conversation, il m’a expliqué que les vêtements sont des nids à microbes. Ce qui est juste et il à raison. Il ne veut pas que tu portes de vêtement sous ta blouse. - Comment çà ?... Pas de vêtement... Du tout ? - Non, ni vêtement, ni sous-vêtement. Tu penses tous haut qu’il n’a pas tort, on ne sait pas le nombre de microbes qu'on peut porter dans nos habits, mais quand même. Tu du mal à m’imaginée nue sous ma blouse…Tu lui demande : Votre médecin, c'est un dragueur ? - Ah non, pas du tout !
- Bon, a priori, c'est simplement un fan de l'hygiène. On ne peut pas l'en blâmer. Si vous saviez le nombre de personnes en bonne santé qui ressortent malades d'un cabinet médical. L'air est chargé de tout un tas de petites bêtes. Il veut seulement respecter les règles les plus élémentaires d'hygiène. Juste que, ce qui m'embête, c'est que les deux blouses que j'ai achetées sont assez courtes. Je lui en fais part et me répond sans détour que son cabinet est bien chauffé, il fait super chaud...
Non, ce n’est pas çà, pensais-je. J'ai peur de me sentir gênée. Toute nue sous la blouse. Quand même !...
- Oh, vous vous y habituerez. Vous n'aurez qu'à bien croiser les jambes. Vous savez, Valérie. Il ne faut pas faire la fine bouche. Un job comme çà, çà ne se refuse pas. Franchement, si vous voulez mon avis, vous ne devriez pas vous poser des questions sur ce que vous devez porter sous votre blouse...
- Mais qu'est-ce que je vais dire à Phil, mon mari pour ma tenue ?
- Rien ! Qu'est-ce que vous voulez lui dire ? Vous ne travaillez pas ensemble, je crois ? C'est tout simple. Vous ne lui dite rien et le problème est réglé. Il n'en saura rien du tout… Comme le mien ne l’a jamais su.
- C’est vrai..., alors ! Tout paraît si simple et c'est un super poste.
Lundi.
-Bonjour docteur. - Bonjour mademoiselle. Je suis heureux que vous ayez accepté ce poste. Je vous souhaite la bienvenue. Je suis très occupé et n’aurai pas le temps malheureusement de vous former. Je vous laisse découvrir votre tâche. Si vous avez des questions, vous avez un système d'interphone. N'en abusez pas, s'il vous plait. Je vous ai laissé sur votre bureau quelques factures à faire. Pour les courriers, vous trouverez le texte ici, sur le dictaphone...
- Juste une petite question, docteur. Je peux me changer où ?
- Désolé. Pour accéder aux toilettes, il n'y a pas d'autre choix que de passer par mon cabinet. Vous comprendrez aisément que cela n'est pas possible. Je ne vois pas d'autre solution que celle de vous changer dans la salle d'attente. Vous avez un placard, là. Fermez bien la porte d'entrée à clé. Pour ma part, je ne sors jamais de mon bureau. Bonne journée, mademoiselle...
-Heu... Bonne journée, Docteur...
Tu hésites un peu, ferme rapidement la porte à clé, ôte de manière empressée ton manteau, ta robe et tes sous-vêtements pour enfiler au plus vite ta petite blouse de travail. Tu peines à trouver les manches, on te sent agitée. Les joues commencent à te chauffer mais réussit enfin à l'enfiler. Tu fermes rapidement tous les boutons jusque très haut sur ta gorge. Se mettre entièrement nue dans un lieu que tu ne connait pas, un lieu où défilent habituellement tant de personnes, crée chez toi le sentiment de vivre une situation surréaliste. Ce sentiment s'amplifie lorsque tu sens que seul le tissu de sa blouse recouvre ton corps. L'espace d'un instant, tu te demande ce que tu fait là, sensation comme une envie pressante de t'en aller, de tout quitter pour rentrer chez nous. Tu respire un bon coup et s'installe à ton bureau d'accueil, l'observe, détaille chacun des éléments qui se trouvent sur celui-ci.
Le téléphone sonne.
-Cabinet du docteur Vincent. Bonjour... Oui, un rendez-vous. Quinze heures ?... Très bien. Vous êtes madame ?... C'est noté. A cet après-midi, madame.
C'est le premier rendez-vous que tu prends. Cela s'est bien passé. Tu reprends un peu confiance. Tu sais qu'il va y en avoir beaucoup d'autres, cela ne te fait plus peur. On sonne à la porte.
- Zut ! J'ai oublié d'ouvrir la porte d'entrée...
C'est un homme qui entre. Il a un physique plutôt, agréable, son regard est brillant, il se présente. Il sourit tout en détaillant la fille devant lui et il à plutôt l’air satisfait, de la vision qu'il a à cet instant. Il faut dire que, voir en plein hiver une jolie jeune femme comme toi en petite blouse blanche assez courte, les jambes nues et aux pieds de petites claquettes en bois simplement recouvertes d'une bande de cuir large et blanche, çà ne laisse pas forcément indifférent. Tu est un peu gênée de voir ce regard rivé sur tes cuisses mais propose à l'homme de s'installer dans un fauteuil pour attendre. Tu te places à ton bureau d'accueil. Celui-ci ne couvre que le devant. Comme par hasard, l'homme s'est installé sur le coté. Tu te sent rougir, tellement peur qu'il puisse se rendre compte que tu ne porte pas de culotte. Tu t'en veut d'avoir choisi ces deux blouses aussi courtes, tu ne sais plus, un doute sur le fait d’avoir accepter ce travail. Que faire ? Tu te souvient du conseil se la blondinette et croise tes jambes en les serrant au maximum pour que l'homme ne puisse absolument rien voir.
Ce à quoi tu n'avais pas pensée, c'est qu'en croisant les jambes, cela aurait tendance à relever le tissu sur le coté, pour le plus grand plaisir du monsieur.
C'est fou, tu ressens son regard. Il te désire ouvertement, tu n’aimes pas cette situation. En même temps, se sentir désirée à ce point, crée en toi une émotion nouvelle que tu ne comprends pas. Se promener devant un homme qui est en pull, pantalon velours à grosses cotes et manteau en laine, et être en petite blouse, nue en dessous, il y a de quoi se sentir déstabilisée, et, tu l’est... En plus, ce qui ne vient pas arranger ton affaire, l'homme est plutôt séduisant. C'est même le style d'homme que tu adores, grand, de beaux yeux bleus, bruns, un sourire de jolies dents plein de séduction... Tu te sent émue, il faut réagir, faire quelque chose... Et le docteur qui ne sort pas de son cabinet. Il faut l'appeler, lui dire que son rendez-vous est là. L'interphone... Tu appuies sur le bouton. Un écran se redresse. Un petit message apparait "Pour appeler, appuyer sur le bouton". Oui, mais lequel ? Il y en a plein. Ce doit être celui-là... C'est une image qui apparait à l'écran. Le docteur Vincent est là. Oups !... Il est en train de se changer, enlève sa chemise et ôte son boxer. Tu sent tes joues te chauffer encore plus à en être rouge écarlate, il est maintenant entièrement nu devant tes yeux écarquillés...
Tu te retournes rapidement en direction du patient. Il sent qu'il se passe quelque chose, il te regarde avec un petit sourire amusé. Tu es de plus en plus gênée. Tu penses dans un instant de lucidité avoir tort, a tort, l'homme ne pouvait pas voir. Pourquoi s'être affolée de la sorte, comme çà ?... Tu regarde de nouveau l'écran. Le docteur est encore nu, tu n'en crois pas tes yeux. C'est fou ! Il a une... une... Qu'est-ce qu'elle est grosse ! Tu est loin d'être experte dans ce domaine, mais hormis ton mari tu n’en es pas à ton premier amant, mais en même temps, tu ne l’as jamais trompé. De cette grandeur, tu n'en as jamais vu... sans ignorer que cela pouvait exister. Elle est au repos et pourtant tu ne peut t'empêcher de penser à la taille qu'elle doit faire quand elle est redressée... Heureusement pour toi, le docteur vient d'enfiler une tenue verte style chirurgien, pantalon et haut sans bouton. Il est maintenant décent. Cela fait drôle quand même de savoir que lui aussi est nu sous ses habits professionnels. La blonde avait raison. Le docteur est loin d'être un pervers. C'est simplement un perfectionniste de l'hygiène et rien de plus. J’avais tort de se faire des idées. C'est fou, tout de même. Tu repenses à ce sexe. Il a poussé l'hygiène jusqu'à entièrement l'épiler, il n'a plus un seul poil, son pubis, ses bourses sont entièrement lisses. Tu trouves ce sexe beau et cela te perturbe. C'est bien la première fois de ta vie que tu penses quelque chose comme cela. Tu ravales ta salive, éteint l'écran et essaye un autre bouton.
- Oui, Madame.
- Heu... Docteur, votre rendez-vous de huit heures trente est arrivé.
- Faites entrer.
Tu te lève, et demande à l'homme de te suivre, traverse la pièce très lentement et t'arrête devant la porte de la consultation et reste là, un petit temps sans frapper, comme paralysée. Tu ne sait pas pourquoi tu es là immobile. Peut-être parce tu ne veux pas déranger ou peut-être as-tu peur que le docteur soit nu ? Peut-être, tout simplement, parce que tu as dans ton dos un homme qui te regarde, toi en petite blouse. Tu sens qu'il te désire si fort... Tu frappes.
La matinée s'est bien passée. A Midi trente, le dernier patient est sorti. Le docteur ouvre la porte de son bureau.
- Vous pouvez y aller. Si cela ne vous dérange pas d'être de retour avant quatorze heures... Tenez, un double des clés du cabinet. Cela sera plus pratique pour vous.
- Merci Docteur. Bon appétit !
C'est quand même formidable est bien consciente qu'une coupure comme çà, chez nous pendant le temps de midi, ce n'est pas donné à tout le monde. En plus, tu est plutôt contente de ta matinée, tu t'est vraiment bien débrouillée. Sans avoir à déranger le docteur toutes les cinq secondes. L'accueil des patients, la prise de rendez-vous, les courriers, tout cela ne te poses aucun problème, tu es même plutôt efficace. Tu sais que si tu continues comme çà, ta période d'essai ne sera plus qu'un lointain souvenir. Le médecin te parait très sérieux, mais il est gentil avec toi. Tout va bien. Enfin, il y a quelque chose qui ne va pas, qui te déranges. C'est plutôt par rapport à toi même. Ta propre réaction. Tu t’es sentie tellement bizarre ce matin. Te promener comme çà, sans culotte, cela ne te fait pas peur. Au final, il semble bien t’y habituer facilement, la chevelure de feu avait raison. A la fin de la matinée, plongée dans ton travail, cela ne te gênait presque plus de te promener sans rien sous ta blouse, non, ce qui t’ennuie, c'est plutôt l'impression de ne pas trouver çà si désagréable. Tu n’es pas du tout habituée à ce genre de situation, cela ne t'a jamais attirée. Pourtant tu commences presque à l'apprécier, à y prendre goût, à te sentir tout émue en repensant au fait de cette mise à nue dans la salle d'attente, que ta blouse est courte, que les patients te regardent, quelquefois avec insistance. Cet homme en particulier. Il était si beau... Et puis il y a aussi le docteur Vincent. Quand il s'est changé, tu l’as vu. C'est incroyable. Il en a une si... si grosse. Tu n'en avais jamais vu de pareil.
Habituellement, tu n'es pas intéressée plus que çà, mais là, dans ce cadre, dans l'ambiance de ce cabinet surchauffé... Elle est tellement grosse... Tu dois bien se rendre à l'évidence de s'être sentie tout excitée à l'idée de l’avoir vue... De ce forcer à penser à autre chose. Tu vas manger, non, tu n'as pas faim. Tu vas te poser un peu, le stress du premier jour. Tu te sens si fatiguée...
Tu te réveilles en sursaut, le corps tout trempé, ta vulve, elle aussi, est toute mouillée. Le souvenir confus de rêve... Il faut tu y aille. Quelle heure est-il ? Treize heures vingt. Ouf, tu n’es pas en retard, tu as même tout ton temps mais décides de partir tout de suite. L’importance d’être bien vue par son employeur. Il ne doit pas être du style à arriver en retard. Il sera là à moins dix, moins quart, peut-être. Il va entrer. Il verra qu'elle est déjà là, au travail. Il ne dira rien, mais tu es sûre qu'il appréciera. Il te sourira et entrera dans son bureau. Il se changera... Non. Il ne faut pas que tu pense à çà... Finalement, ce n'est pas une si bonne idée. Il ne faut pas y ailler tout de suite... Pas maintenant... Pas tout de suite... Et puis oui tu t’y rend.
Treize heures trente. C'est toi qui ouvre le cabinet, dois te changer, referme à clé, et défait tes habits. Tu es nue et sans savoir pourquoi, tu n'enfiles pas tout de suite ta blouse, mais te promènes dans la salle d'attente, s'assoies, prends un magazine. Tu te dirige vers la porte du bureau du docteur et l'ouvre, c'est une lourde porte. L'intérieur est tout capitonné, le secret médical ne risque pas de s'échapper de ce lieu. Tu te places sur le pas, un pied dans la pièce, le regard détaille tout alentour et avances un peu dans cet espace où tu ne devrais pas te trouver. La porte de l'ascenseur se referme. Il y a des bruits de pas, tu revient en hâte juste le temps pour toi d'enfiler ta blouse et de la reboutonner.
Le docteur entre, il t’adresse un sourire poli, se dirige vers son bureau et referme sa porte. Tu as eu si peur et pourtant, tu se sens prise d'une envie irrépressible d'allumer cet écran. Il faut que tu te retiennes, si on te voyait. Il n'est pas question qu'une fille aussi équilibrée que toi se laisse aller, devenir à croc de ce que tu a vu ce matin, même si le membre du docteur Vincent... Non ! Tu décides avec conviction de te mettre au travail... Dix minutes plus tard, tu n’as toujours pas avancé dans ses courriers, un peu tendue, le talon vient claquer sans cesse sur tes chaussures de bois, les mains sont moites et tes tempes martèlent chaque battement de cœur. Tu ne comprends pas ton état, que t’arrive t’il…Tu lèves la tête en direction du bureau du médecin, ta main se redresse, bien malgré toi comme commandée par une force surnaturel, à deux doigts du bouton commandant l'écran. Hésitante, de toute façon, tu ne risques rien. Il y a longtemps que le docteur a dû se changer, tu capitules acquiesçante de ton corps…Il est debout face à son bureau, sa chemise est ouverte, l'air de réfléchir. Tout à coup, on voit son regard s'illuminer, il ôte sa chemise, défait sa ceinture, ouvre les boutons de son pantalon, le baisse, se retourne, le plie, le range, il est de dos lorsque ma femme le voit enlever son boxer. Tu ne peux t'empêcher de te dire que ses fesses sont magnifiques ayant le sentiment de jouer les voyeuses, une pensée de vouloir éteindre, mais tu ne le fais pas. Tu voudrais avant qu'il se retourne, il reste comme çà longtemps, sans bouger. Tu t’exclame tous bas : Oh, mon Dieu !... Il s'est retourné. Son sexe est tellement gros, tellement beau, le gland est surdimensionné par rapport à sa colonne de chair, décalotté et tout lisse comme çà... Et péniblement, de tes doigts, tu éteins l'écran. Heureusement d'ailleurs, car le premier patient vient d'entrer...
L'après-midi se passe au mieux, tu es très prise par son travail. Pensée pour la blondinette qui avait raison sur le fait de s'habituée très bien à la nudité sous la blouse. Les gens ne se doutent de rien, chaque heures qui passent, tu te sens de plus en plus à l'aise. Te surprenant même à balancer très légèrement des hanches quand tu conduit un patient vers le docteur. Oh, pas beaucoup, juste un peu, juste pour voir. Tu sais que ta petite blouse d'infirmière, tes cuisses nues en plein hiver, cela fait fantasmer les hommes, c’est ostentatoire, sans aucun doute. Cela ne te gêne plus, tu t'en balance et apprécies même, et c’est nouveau, jeu de séduction du mâle, ceux-ci adorent, cela t'amuse beaucoup, et tu te surprend même... A dix-sept heures, il n'y a plus personne. Trois rendez-vous se sont désistés. Il faut dire que dehors, la nuit est là. Tu vois par la fenêtre, dans les halos des réverbères, tomber abondamment la neige. Ton travail est à jour et tu vas pouvoir te reposer un peu. Dans les rues, il doit faire si froid, dire qu'il fait si bon dans cette salle d'attente. Et même si chaud. En ce moment, tu est payée, et même bien payée, pour rêvasser, réfléchir au cadeau de Noël que tu fera à ton homme, imaginer quelles tenues tu vas pouvoir acheter pour le séduire, le rendre fou de désir. Tu penses de nouveau à celle qui occupait ton poste jadis, comment savait-elle qu'elle s'habituerait à se promener sans rien dessous ? Cela lui serait-il arrivé ?... Peu importe, tu est là, nue sous sa tenue de travail et tu te sent si bien. C'est fou de savoir que n'importe quel visiteur pourrait relever sa petite blouse, pour voir, pourrait décider de s'aventurer à la prendre sur place. Tout irait si vite... L'homme de ce matin, quand tu le précédait pour le conduire vers le bureau du docteur... Il aurait pu se retrouver en toi en un rien de temps... Cela te fait un peu peur. En même temps, tu sais bien qu'un cabinet médical est un lieu où les gens savent rester sérieux. Tu n'y risque absolument rien, mais tu t’avoue à toi même que les réactions de ton corps sont curieuses, depuis quelque heures tu coules, sans savoir vraiment pourquoi, mais cela n’arrête pas. Ok il y a bien le docteur, mais quand même ...
Tu allumes l'écran, il est à son bureau, plongé dans quelque chose, sans doute la lecture d'un rapport médical. Ton esprit s'évade à nouveau, tu repenses au regard des hommes sur ton corps. C'est loin de te déplaire, à la fois un peu normal mais une impression inhabituelle, bizarre ! N'importe où ailleurs, tu détesterais cette sensation. Ici dans l'univers surchauffé et surprotégé du cabinet médical, cela te séduit, te conquis, te sentant une autre femme. Il fait si chaud, défaire un, puis deux boutons de sa blouse, le joli décolleté est plaisant. Tu te lève, t'avance devant la grande glace qui couvre un pan de mur, pour voir ce qu’il est possible d’apercevoir. Tu te penches en avant, un peu, un peu plus, découvre la vision de tes seins en entier, les pointes sont dardées, ils sont beaux. Tu n’es pas vraiment attirée par les filles, mais cette paire de seins, Dieu que à l’envie de les toucher, ta main incontrôlable s'installe dans ton décolleté et folâtre avec les deux jouets qui ne demandent qu'à s'amuser. C'est marrant, c'est la première fois que tu prends un réel plaisir à jouer avec tes seins, du moins ailleurs que ton dans lit, mais il te semble plus logique de caresser le torse de ton homme plutôt que le tien, sauf que là, c'est différent, comme parfois dans ton lit tu est seul, tu prend goût de la situation. Peut-être le lieu public, parce qu'à chaque instant, la porte d'entrée peut s'ouvrir... Tu ne regrette pas d'avoir accepter ce poste. Tu te caresse, les pinces, caresse tes mamelons, en plus, tu est payée pour çà !... Ta blouse est courte, te demande ce qu'on peut voir lorsque tu te penche.
Tu essayes en retournant la tête en direction de la glace, découvre le haut de tes cuisses. Il n'en faudrait pas beaucoup pour que... Voilà ! Tu te penches un peu plus, la vision de tes fesses et les deux demies lunes de ton abricot apparaissent. Tout de même !... Tu ne pensais pas qu'on pouvait voir autant... Tu n’es pas attirée par les filles, pas vraiment, juste un peu. Mais bon Dieu, qu'est-ce que ce minou dégarni de ces petits poils bruns te fait envie. Tu passe ta main sur ses fesses avec effleurement, les trouve très jolies, tes doigts se font caresses, les malaxes un peu, l'impression de caresser quelqu'un d'autre, une autre femme. Celle-ci te tripote avec tant de zèle. C'est bon... C'est bon... C'est bon... Doucement, la porte s'ouvre...
Juste le temps de te redresser. La porte d'entrée s'est ouverte. Ouf ! Tu te retournes pour accueillir le patient. Il n'a rien dû voir.
- Heu... Bonjour Monsieur.
- Bonjour Madame, J'ai rendez-vous avec le docteur Vincent à dix-huit heures. Je suis très en avance. Mais avec ce temps. Je voulais me mettre au chaud.
- Très bien, si vous voulez vous assoir en attendant, pour patientez quelque instant…
Tu retournes à ton bureau. L'homme se défait de son manteau et de son écharpe qu'il place sur ses genoux. Comme par hasard, il s'est assis sur la seule chaise où on voit sous ton bureau, c'est à croire qu'ils le font exprès. Et voilà qu'il te reluque sans se gêner, mate tes jolies cuisses encore bronzées par l'été qui a fortement duré cette année. Pour changer, tu confirme en toi que cela te plait d'être regardée…
Tu n'a pas eu le temps ou même pensée à refermer ses deux boutons du haut, heureusement qu'il est assis, sinon il verrait tes seins bien ferme et tendus à l'intérieur de ton décolleté, ils ne sont pas encore calmés. Cela va être dur d'ailleurs car il te déshabille du regard à chaque instant, ce n'est pas la première fois qu'on te regarde, juste que, tu n'aime pas cela d'habitude, mais là...
L'homme se lève et vient vers le bureau d'accueil.
- Excusez-moi... Il est juste devant le comptoir et se penche légèrement en avant. C'est évident, il voit les tes petits seins, il sourit, un peu euphorique même. Tu ne sait que dire, puis bredouille un petit …
-"oui".
- Avez- vous mon dossier ?
- Heu... Oui...
- Pourriez-vous ajouter que depuis peu, je suis allergique aux principes dérivés du Daquin.
- Heu... A quoi ?...
- Aux principes dérivés du Daquin.
Tu fouille pour trouver le dossier voulant le sortir au plus vite. Tu sens que l'homme plonge ses yeux au plus profond de l'échancrure de ta blouse, face à lui. C'est sûr, il voit tes deux dômes aux bouts tout tendus. Quelle idée, tu a eu d'ouvrir ses deux boutons ?... L'homme est spécialement beau, en d'autres situations, il t’aurait paru insignifiant. Là, tu ne peut t'empêcher de se sentir troublée par sa présence. Tu regarde le dossier mais sans le lire, tu n'y arrives pas, tu le cherche mais ne voit plus rien, tourne et retourne les feuilles. Tu ne déchiffre pas même un caractère.
-Si vous me permettez... C'est dans cette case... Là…
L'homme est passé derrière toi, il a le doigt pointé en direction de la feuille et tu sais qu'il a une vue encore plus plongeante sur tes seins et tu sens bien que tes bouts sont pratiquement entièrement sortis, ils sont si durs… Tu est plus que troublée et ne sait que faire. En passant derrière toi, il t’a entouré de son bras, sa main que tu devine délicate est sur ton épaule. Les doigts posés sur le tissu, le pouce est sur sa peau...
-Heu... Oui, monsieur.
- Si vous voulez bien noter... Allergique... aux... principes...
Tu recopie à la hâte ce que lui dit l'homme, son pouce qui commence à masser délicatement ta peau t’électrise, déverrouillant de plus en plus tes barrières naturelle, sachant que tu ne devrait pas accepter qu'un autre homme que ton époux pose la main sur ta peau nue. Mais voilà, tes seins sont tendus, offerts en visuelle et bien marqués par le tissu au regard de l'homme, c’est plus qu'une invitation.
-Aux principes... dérivés... du... Daquin.
Il ne bouge pas, masse plus largement la peau de ton épaule. Que faire ?... Il faut que tu réagisses avant qu’il ne soit trop tard... Heureusement, comme une délivrance le son de l'interphone retentit.
- Excusez moi...
- Oui, docteur...
- Vous n'avez personne ?
- Si docteur, un monsieur vient d'arriver.
- Faites-le entrer.
- Oui. Tout de suite, monsieur.
Dix-huit heures cinq, tu rentre chez nous, une heure au moins avant que je rentre. C'est bien la première fois depuis longtemps, que tu m’attends avec une telle impatience, de ferveur, d’urgence, tu as terriblement envie de faire l'amour. Mais le mot n’est pas correct car un nouveau mot qui te choque pourtant, passe sans cesse se relace dans ta tête, une envie…une envie de baise, oui c’est bien ça tu te l’avoue à toi même, tu as envie de baiser.
Tout ce que tu as vécu aujourd'hui ne te peut te laisser de marbre, c'est le moins qu'on puisse dire, une fontaine bouillante à la ressource illimitée est née…
Il te faut absolument ma venue, au plus vite, te satisfaire de ce besoin, la nécessité de sentir au plus profond de toi une grosseur...
Tu cherche en vain de te calmer, et tu trouve nécessaire d’aller prendre une douche qui te fera le plus grand bien, éliminer les sécrétions abondantes qui t’on envahie allié à un besoin d’une baisse de température sont des raisons complémentaires...
Quand le Dc t’a fait signe d’ y aller, tu a eu envie de demander à rester, soit disant parce que tu avais des courriers à terminer. En fait, tu voulais attendre dix-neuf heures trente, que le dernier patient soit parti, il allait se changer, tu voulait juste encore une fois voir ce sexe tellement...Proéminant, heureusement ou malheureusement tu ne sais pas mais ne l'a pas fait... Tu es maintenant sous la douche, les mains appuyées sur le mur, les yeux fermés, cela te fait tant de bien, tes mains se mettent en action, elles frictionnent doucement ce corps sensible avec un produit moussant et relaxant. Tout va pour le mieux, tu te sens te calmer, redescendre et ton esprit s'évade vers des rêves doux, tu te détends bien. Tu redeviens ce que tu as toujours été, une fille tendre, douce, sereine et équilibrée, ton autre toi, un semblant de toi dompté. Tu profites au maximum de ce moment détaché où tu peux te laisser aller. Ton regard se porte sur ta petite blouse jonchée sur le sol, à te voir dedans quelques instants plus tôt. Tout revient à ton esprit et te trouble à nouveau, tes gestes sont moins précis et tes mains aux grands désespoirs s'attardent sur tes seins, tes petits bouts ne se lassent pas de leurs activités. Ton autre main glisse sur ton ventre, passe sur le haut de tes jambes, remonte entre tes cuisses... Ton abricot lisse est humide et chaud, tes lèvres sont gonflées, prémisse d’une trop longue envie certainement.
-Phil... Dépêche-toi ! Dépêche toi !...
Tu te rince rapidement, sort précipitamment de la douche, t'essuie au plus vite et enfile ton peignoir vert pastel, assez court et légèrement transparent. Il faut que tu sortes de cette atmosphère emplie de vapeur d'eau. Te voilà dans le salon et il fait nuit noir dehors, la neige s'est arrêtée. Il reste sur les balcons de l'immeuble d'en face un superbe manteau blanc, c'est si beau. Tu va pour fermer les rideaux comme tu le fais tous les soirs mais te ravise, un peu marre de ne pas profiter de l'extérieur sous le simple prétexte qu'on peut nous voir. Comme si les gens n'avaient que çà à faire... Et décide plutôt d'allumer la télé en t'installant dans le canapé. Les programmes ne sont pas fameux, mais tant pis ! Cela permettra de patienter avant l'arrivée de ton homme. Ton regard s'enfouit dans les images de plateaux d'où des applaudissements crépitent à rythme régulier, des cris, des embrassades pour un jeu, des actualités saignantes, des entrecôtes à point, des pubs pour des voitures, du crédit, des vacances au soleil... du parfum pour homme... Celui-là, il est beau ! Son torse est parfaitement musclé. Un sourire tendre et son regard est si bleu, si séduisant, tu ne te reconnais pas, tu sent que tu vas craquer... Tu sort ta petite langue et le fait passer sur le pourtour de tes lèvres en desserrant un peu les jambes, faisant s'ouvrir un peu le pan de soie... Tout à coup, tu te rappelle que les rideaux ne sont pas clos en relevant la tête pour vérifier si dans l'immeuble d'en face, personne ne s'est aperçu de ton émoi. Non. Il y a bien un homme. Il te semble jeune mais lui aussi assis dans son canapé en regardant la télé. Il ne ta sûrement pas vu. Il semble absorbé par les images... Peut-être fait-il, comme toi ? Il zappe. Les actus, les plateaux, les pubs. Lui aussi est peut-être ému par une image de parfum où une femme apparait, profondément séduisante, enivrante, envoûtante, excitante... C'est marrant, au moment où tu te dit çà, les lèvres du jeune homme s'entrouvre et il fait passer sa langue sur le haut de sa bouche, semble apprécier ce qu'il voit, fait glisser sa main sur le tissu couvrant son torse, son ventre, frôle son sexe... D'un coup, il enlève sa main, se redresse, regarde en direction de la baie, semble gêné et toi aussi par la même occasion, pourvu qu'il n'ait pas vu. Lui te perçoit troublée, son regard est fuyant dans tous les sens. Au bout d'un instant, il réussit à se calmer un peu et s'aperçoit que la femme allongée en face de lui sur le canapé, ne porte qu'un peignoir assez court sur ses jambes nues. Ses yeux s'ouvrent en grand car il distingue des formes sous la couleur verte d’eau, il semble apprécier et se met à te fixer, à te dévisager de haut en bas, d’un coup le tissus s’écarte, volontaire ou pas pour lui, la chose caché est un fantasme agréable. Tu fais celle qui ne le voit pas, et négligemment, te lève, va vers la fenêtre, t'apprête à fermer le rideau, mais au dernier moment ta main se ravise, ne voulant plus de çà, ce soir là, tu décideras de ne plus jamais fermer les rideaux. Hier, cela ne te gênait pas d'avoir les rideaux tirés mais aujourd'hui, tu à l'impression de se sentir mal, d'étouffer... Et puis…
Et puis tu préfères plutôt aller te changer. Quelques instant plus tard, tu revient avec un jean taille basse et un petit top sans manche et sans décolleté, te rassoies sur le canapé, se sentant maintenant très présentable, l'homme peut te regarder. Il est presque vingt heures. Qu'est-ce qu'il fait Phil, ce soir ? Juste le soir où tu n’as vraiment pas envie d'attendre, où tu as envie de te laisser aller... C'est décidé, elle va lui faire le grand jeu, il va pleuvoir des mots doux, un rien d'ingénuité, le regard aguicheur, des phrases plus osées, des positions lascives et cambrées, un air de petite fille modèle, ses petits talons haut, sa nouvelle nuisette de couleur noire et son petit string ouvert un peu coquin...
Et le téléphone sonne :
- Amour... Qu'est-ce qui se passe ?... Ah !... D'accord !... Non, je ne suis pas pressée... J'avais seulement envie de te voir. Tu m'as manqué toute la journée, mon Coeur... OK, je ne t'attends pas pour manger. C'est promis. A tout à l'heure. Dépêche-toi !... Tu est très déçue, cela c’est perçu à l’intonation du son de ta voie, le `Je rentrerais un peu plus tard que prévu`. Juste ce soir où tu a tant besoin de moi !...
Presque de façon automatique, une jambe passe sous le haut de tes cuisses, l'autre étant repliée, le genou en l'air, tu masses ton pied nu posé sur le cuir du canapé. Notre voisin d'en face a de nouveau à redressé la tête, son visage n'est plus rivé à l'écran. Qu'est-ce qu'il regarde ?... Il a l'air intéressé par tes gestes, les caresses que tu t’appliques sur tes pieds. Tu penses que décidément, il y en a, il leur en faut peu pour s'émoustiller. Après tout, si il veut regarder. Ce n'est pas si grave, les voyeurs ne te dérangent pas. Le reste est parfaitement couvert par ton jean et ton top. Et puis, ce n'est pas si désagréable de se sentir séduisante, d'avoir l'impression que l'homme a envie de vous, qu'il vous désire, qu'il aimerait peut-être vous prendre, là, sur le canapé... Et ce, juste avant que ton mari rentre...
Tu accentues le massage de ton pied, le talon, la voûte... Peut-être que depuis que l'homme l'observe, tes caresses sont un peu plus douces... Peut-être que tu as placé ton pied de façon plus visible par rapport à lui... Peut-être tient-tu comptes un peu plus que la normal ne le devrait de ce visiteur qui s'est invité dans ton salon... Le problème, c'est que... Tu y prendrais presque goût, toi qui n’est pas du tout porter sur çà, décidément... Là, tu ne sais pas pourquoi, l'ambiance du cabinet, la chaleur, la blouse... Tu ne comprends pas ce qui t'arrive mais un sentiment de plaisir te parcourt tout le ventre, depuis des heures. Les caresses sur ton pied se font plus sensuelles, le jeune homme a les yeux rivés sur toi, et continue pourtant de manière plus appuyée à te regarde et tu dois te l'avouer, tu j'aime çà. Il ne voit rien bien sûr, tu t’emploies à cela, mais, lorsque tu sens son regard sur ton corps, tu ne peux pas m'empêcher d'apprécier. Qu'est-ce qui m’arrive ? Penses-tu, un peu inquiète de ne plus me connaître, de ne pas être comme çà. C'est peut-être ce lieu, ce cabinet médical, trop chaud, trop confiné, où je me suis trop laissée à moi-même...
Tes caresses sur tes doigts de pieds se font chatte, l'un après l'autre sans jalousie dans un doux mouvement de va-et-vient, sachant que plus tu montes dans la grosseur des orteils, plus ce mouvement devient suggestif, et arrive enfin au gros, le tenant bien entre les doigts et le massant de haut en bas et de bas en haut, très suggestive ment. L'homme s'est levé. Il te regarde, la bouche légèrement entrouverte, tu augmentes le rythme, tu te sens toute chose... Tu as beau faire cela le plus naturellement du monde, sans vraiment donner l'impression d'avoir remarquer la présence de l'homme, mais en sachant que le geste que tu fais peut être pris dans un sens attirant, énervant, érotique... sexuel... Il te regarde et cela l'excite et t’excites sans aucun doute...
Tu sers encore plus ton orteil entre tes doigts qui forment un anneau et le fait aller et venir dans un mouvement toujours plus vif. Les bouts de tes tétons se mettent à se redresser, tu n’avais pas prévu cela, ils marquent le tissu de ton petit haut à outrance et cela crée une caresse douce sur les bouts de ses seins qui s'allongent toujours plus. L'homme va s'en apercevoir, il s'en aperçoit peut-être déjà... Tu te sent seulement émue, très émue, tu te sens toute chose. Tellement d’envies sexuelles sont dans tes songes que tu pense devoir arrêter ce travail... Non ?... Je crois que je dois continuer?... Tu penses que tu vas t'habituer, mais tu n’est pas sûr, si troublée et tellement peur de te laisser aller... Mais tellement d’envie... Oui, c'est vrai et tu le sais...Ce n'est pas un drame de se montrer un peu raisonnablement. Quand tu es sur la plage, tu ne te poses pas tant de questions puisque tu es nue de nos pratiques naturistes… Mais là, tu trouves du plaisir entre tes cuisses... Tu t’interroges, à la majorité des filles ressentent ce que tu ressens ? Qu'elles n'en parlent pas parce que cela ne fait pas bien. Tu as remarqué les femmes qui se penchent en avant plus qu'elles ne le devraient, qui ont des jupes tellement courtes qu'au moindre coup de vent elles s'envolent, qui prennent des positions inconsidérées, passives et provocantes à la fois... C'est vrai. Elles le font, mais elles ne le disent pas. Après tous si les gens ne sont pas contents, ils n'ont qu'à pas regarder. Et si tu y prenais vraiment goût ?... Si tu te laissais aller... A ouvrir par exemple quelques boutons de ta blouse. Et que tu laisses aux patients la possibilité de voir... N'oublie pas que tes deux seins sont nus en dessous... Tu passes ta main sur ta joue, lève ton bras très haut en l'air tout en redressant ton torse face à l'homme. Il a l'air si ému, tu fais celle qui ne le voit pas mais tu sais bien de ta posture, tes bouts pointant le tissu tendu au maximum, ne peut qu'avoir un effet des plus effectifs sur le jeune homme.
- Il faut qu'il se passe quelque chose, tellement ton envie de faire l'amour est fort, rien que d’y penser, ta chatte est trempé et... Ah... tu entends la clé dans la serrure et prête à tout... d’avoir si chaud à l'intérieur...
-Bonsoir mon amour, je suis crevé, Je vais me coucher.
- Pas tout de suite cœur, ce n'est pas possible.... Tu viens à peine d'arriver.
- Tu sais bien que je me lève tôt demain. Je suis vanné mon coeur.
- Tu ne veux pas savoir comment çà s'est passé ma première journée ?
- Ah si. Comment çà s'est passé ? - Heu... Bien. Bien... - Je suis content pour toi. Allez ! Bonsoir chéri.
Il t'embrasse tendrement sur la joue, enlève sa chemise, son pantalon et saute sous les draps de notre lit.
-Attends, amour !... Je viens. Ne t'endors pas tout de suite. S'il te plait. J'ai une surprise pour toi.
Tu cours à la salle de bain et enfile la pette nuisette achetée la semaine dernière sur Lola et tu es bien décidée de l’étrenner ce soir. Elle est noire, à l'aspect soyeux, avec une très fine bride sur chaque épaule. Elle est assez courte, t’arrivant à mi-cuisse, tu es très belle dedans. Assez sexy, tu as vraiment l'impression de te faire femme. Phil va adorer... Cela tombe bien car le désir de la femme devient plus pressant et il y a un temps où on ne peut plus attendre, envie de lui, tellement excitée...
Ce soir, tu serais prête à expérimenter des choses jamais essayées, je pourrais tout te demander, juste l’espérance pour toi d’être introduite par le chibre de ton amoureux. Tu sort de la salle de bain, court jusqu'au lit, s'arrête à distance idéale pour permettre le regard de ton homme, de parfaitement apprécier.
- Amour... ...
- Tu ne vas pas dormir ?... Amour...
-Regarde ! Ma surprise...
- Ma petite tenue...
- Elle te plait ?... Non !... Pas çà !... Réveille-toi ! Réveille-toi !... C'est vraiment trop injuste !
Tu te redresses, contracte ton visage, serre tes dents, te lève et sort de notre chambre. Tu es vexée, énervée, furieuse intérieurement. Lui faire çà à toi, ce soir. Alors qu'elle en a tellement envie... Elle veut tant se venger de ton comportement...
Tu va à la cuisine, avale un grand verre de jus d'orange, se dirige rapidement vers le salon, entre, et quand tu te trouve au milieu de la pièce, tu sait bien, les rideaux. Tu regardes au dehors. Une seule fenêtre est éclairée. L'homme qui te regardait tout à l'heure est toujours devant la télé. Vraisemblablement, il ne te voit pas toi qui ne porte que ta nuisette et rien dessous. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu’elle est plutôt sexy est assez courte. Les bras et tes épaules sont nus, tes seins sont plutôt découverts sur les cotés. Cette sensation d'être dans le salon, les rideaux ouverts, dans une petite tenue sexy, achetée spécialement pour séduire et penser que tout le monde pourrait te voir, profiter de la vue sur ce corps si peu couvert. Ce garçon, entre autres... On est en plein hiver. Une fille comme çà qui se promène dans son appartement avec seulement une petite nuisette, cela doit produire son effet, non ?... En tout cas, cela en produit chez toi. Tu sens monter en toi l'irrépressible besoin de montrer la beauté de ce corps délaissé, comme méprisé il y a quelques minutes par ton mari, mériterait d'être flatté par le regard d'un autre... Tu passes très sensuellement la main dans ses cheveux et l'homme relève la tête. Oui... Il t'a vu. Doucement, tu te retournes sur le coté, te laissant un instant admirer, il a l'air d'apprécier, son regard est des plus caressant, tu sais qu’il glisse doucement sur ton corps de femelle.
Histoire d'avoir quelque chose dans les mains, te donner une contenance, tu prend un livre dans la bibliothèque, le serre fort entre tes mains, finit par le poser sur la table du salon et s'en va. Elle est à nouveau dans le couloir. Elle meurt d'envie de rentrer. Qu'il l'apprécie encore ce corps qui désire tant se laisser voir. Pas tout de suite. Elle se met à compter, doucement... Un, deux, trois... jusqu'à soixante-huit. Voulant le faire attendre, patienter. Qu'il soit à croc d'elle...de toi. Tu rentres enfin dans la pièce. C'est gagné. Le regard de l'homme s'illumine comme des braises sous l'action d'un souffle de femme, tu te sens toute excitée à cette idée, t'approche de la table du salon, attrape le livre et t'assied sur le canapé. Tu t’es mise de trois quarts, les genoux repliés sur le cuir à trop faire semblant de lire... C'est si bon d'être là, les rideaux ouverts, face à cet homme, beau, qui n'a d'yeux que pour toi, ta silhouette. Ta main se promène de ton genou à ton mollet, par le contact de tes doigts sur ta cuisse te procure multiples frissons, une tache et désormais visible sur le cuir, provenant de l’extrémité de tes équerres, elles s’éloignent inexorablement de l’une de l’autre comme deux pôles opposés, ton autre main glisse à la naissance d’un seins puis ose le titiller de deux doigts, faisant rouler un téton développé tantôt dans un sens, tantôt de l’autre… Tu glisses discrètement ton regard sur lui en face de toi, sa main est posé sur une bosse imposante te semble t-il, il se masse… Tu changes de seins pour éviter toute concurrence et de ton autre main, tu découvres le bourgeon englué de sécrétion, ta bouche s’ouvre et se referme, c’est si bon… Tu ne quittes plus des yeux ton admirateur, tu le découvres nu, la tige très arquée vers le ciel, une main coulissant dessus… Comme pour lui rendre l’appareil tu t’ouvres à son regard, tu offres la vue de tes lèvres gonflées, elles s’ouvrent guidées de leur grande sœurs dans un flop sous l’effet musculaire de la traction exercée par tes jambes, tes doigts s’immisçant sans pudeur au plus profond de ta chair dans un naturel qui rendrait perplexe, tu regarde toute haletante la belle érigée, si désirable de l’autre coté, les rictus de l’homme sont marqué par le plaisir. Son gland gonflé est brillant, tu à une envie de le cajoler, de le rendre propre, mais aussi de le gouter, de l’avoir sur ton palais.
Ta deuxièmes mains rejoint la première prenant possession de ton bourgeon dès lors décalotté, et rapidement un premier orgasme violent te traverse, inondant jusqu’au creux de ta paume la liqueur expulsé en petits jets, sans cessé cette masturbation, tu perçois la sève giclé de l’homme, la semence s’écrase avec violence et saccade sur la vitre du salon coulant sur tous le long. Un nouvelle orgasme de haute magnitude aura raison de toi, te laissant toute pantelante , ayant pour seul courage de ton annulaire laissant une empreinte mouillée sur l’interrupteur.
Tu te retrouves seule dans ton lit, il est cinq heures trente, la lumière s'éveille. Tu pense à tout ce que tu as vécu hier, espérant sans succès un rêve, toi d'habitude si sérieuse... La décision est prise de retourner au cabinet ce matin, par contre de faire ton job et rien de plus, pas question de te laisser aller à regarder le docteur en train de se changer. Plus question non plus de se laisser mater par les patients ou par ton voisin. Redevenir la femme adulte et sérieuse que tu a toujours été. Et ce sera beaucoup mieux !
Tu te rendors un moment...Sept heures, le réveil sonne, tu t'étire, te lève, prend ton petit déjeuner, te douche, te sèche, enfiles string, décides d’abandonner le soutien gorge, à quoi bon, un pantalon noir, et un chemise blanche cintrée. Tu pars au cabinet, l'air très froid de l'extérieur te saisit. Dans l'ascenseur, tu t’aperçois ton bout du nez tout rosi. Cela te fait sourire. Tu enfile la clé dans la serrure et ouvre. Tu est seule, te change rapidement te met au travail. Tu as décidé de mettre en place un classement plus approprié avec des porte-dossiers plus nets, plus faciles à retrouver.
C'est très à l'aise que tu vois Vincent arriver sur sa Goldwing 1800 modèle 2012, fini les émotions de la veille. Il entre et tu le salue poliment et continue ce qui est entamé. Le docteur va dans son bureau.
Midi arrive, tu ne t'en est pas aperçue, tu rentre chez nous, te prépare un repas équilibré, mange avec appétit, puis lit un ou deux magazines. Il est l'heure de retourner au travail.
Tu es contente d’avoir retrouvé un rythme habituel, une vie normale et social, sans excès, tu sais maintenant que tu peux m’attendre tranquillement jusqu'à samedi. Tu n’es plus du tout tentée par le petit démon qui la titillait hier. Tu te dit que finalement, la normalité de la chose, le stress de la première journée, cela a dû dérégler tes hormones. Le corps est le fruit de multiples rapprochements chimiques qui quelquefois ont des résultats étonnants. Ma femme sait que tout cela peut arriver. Tu sais aussi que cela ne dure pas, l'esprit d'un être équilibré est plus fort que la chimie qui le compose. Elle adore son travail, tout ce que tu fais ici, tu le fais avec grand plaisir, vraiment faite pour être secrétaire médicale. Elle se relance dans le téléphone, l'accueil des patients, les courriers, la facturation. Le temps passe à toute allure...
Au milieu de l'après-midi, elle est encore prise à ses classements. Il n'y a plus personne dans la salle d'attente. Il règne un silence bienfaiteur pour un travail rondement mené.
L'interphone retentit.
- Oui, monsieur.
- Valérie, vous êtes-vous épilée ?
- Heu... Pardon, monsieur...
Prise au dépourvu et un peu stupéfaite de la question…
- Comme je vous l'ai demandé lors de notre entretien, vous êtes-vous bien épilée sous les bras et l'entrejambe ?
- Mais, monsieur... Vous ne l'avez pas fait ?... Vous ne m'avez jamais parlé de cela.
- Ah, excusez-moi ! J'ai dû oublier.... J'ai beaucoup de travail en ce moment et je n'arrive pas toujours à penser à tout. Je vous explique... Vous n'êtes pas sans savoir que le système pileux est un véritable nid à microbes. C'est pourquoi d'ailleurs, je vous ai demandé d'attacher vos cheveux. Le reste de la pilosité est beaucoup plus rétentif en ce qui concerne les germes. Par souci d'hygiène, je souhaiterais que vous vous sépariez de tout poil sur votre corps. Cela ne vous dérange pas ?
- Heu... Non, mais... De toute façon je n’en ai pas habituellement…Juste que je dois le faire prochainement…Cela vous convient ?
Relevant le bouton de l'interphone et semblant abasourdie…
Tu avais imaginé que l'interphone sonnait...
- Valérie, pouvez-vous passer tout de suite dans mon bureau ?
Tu entrait en se pinçant les lèvres, sachant pertinemment ce que le docteur allait lui demander.
- Otez votre blouse, s'il vous plait.
Tu avais prévu de le faire de la façon la plus anodine possible, en sachant bien que la situation allait te troubler, tes gestes seraient moins précis et aurait du mal à dégrafer chacun de tes boutons. Arrivée en bas de la boutonnière, le stress ou Dieu sait quoi, tu ouvrirais d'un coup les pans de ta blouse, montrant en même temps ta paire de petits seins et ton petit minou. Tu te dirait comme possédée "Pourquoi j'ai fait çà ?...".
A peine aurait-elle le temps d'y penser que ta blouse serait tombée à tes pieds sur le sol du cabinet, tu resterais comme çà debout devant le regard du docteur un grand moment. Le silence augmenterait le désir de vous deux.
Doucement, tu te retournerais pour qu'il voie que tu ne caches rien, que tes fesses aussi sont nues, tu lui les montrerais bien, un peu cambrée, ta rosace brune toute lisse. Tu sais qu'il en aurait envie. Tu te retournes encore pour lui faire à nouveau apprécier le devant, tout en ramassant ta blouse au sol, la main tendue, les genoux pliés vers la gauche, tu garderait les yeux dans sa direction. Ton regard quitterait le visage de l'homme pour descendre sur le haut du pantalon en tissu vert, tu sais qu’il est nu en dessous mais tu veux vérifier si elle te fait un minimum d'effet. Tout en enfilant ta blouse, tu distingueras la bosse, ou plutôt une grosse, quand tu penses à la taille étonnante de la verge du médecin. Ouvertement, tu fixeras l’objet du désir avec provocation, le sexe de l'homme sera forcément très redressé.
De ta blouse tu ne refermeras pas les boutons, attrapera de tes deux mains tes cheveux à l'arrière, pour refaire la petite queue de cheval imposée par le docteur, tu sait que cela gonflera ton torse, ta poitrine déjà ferme, ses petits bouts seront tendus, là, il ne verra plus qu'elle. Tu en rajouteras en prenant ta queue de cheval dans une main et en enserrant le chouchou autour d'elle, tu sais que ce geste le fera grossir encore plus. Tu te trémousseras sans excès, la blouse ouverte, les lèvres entrouvertes, le regard fixé sur le membre prêt à déchirer le tissu. Ta petite langue jouera avec tes lèvres. Tu te mettras alors à genou, ta peau nue sur le carrelage du cabinet, javellisé à l'excès, il estimera certainement devoir de faire jaillir ce sexe devant tes yeux ou alors tu feras sauter le noeud qui retient le pantalon de l'homme et entrera ta main et prendra ce beau membre lisse de partout jusqu'à la base et de ses bourses. Tu lèchera, les gobera tout en les suçotant, remontera sur sa hampe, fera passer ta langue sur l’orée du gland…Là, tu en aura envie. Vraiment.
Peut-être parce que l'homme est épilé, peut-être parce qu'il en a une tellement grande, tellement belle, tellement bien proportionnée. Tu en aurait tellement envie. Tu le sais. …
Hollola !... Il faut que tu te calmes... Heureusement que tout cela ne s'est pas passé. Que le docteur ne lui a pas demandé d'ôter sa blouse. Qu'il n'a pas eu envie de vérifier....
Tu as attendu, espérant ce moment avec impatience, maintenant, tu sais qu'il ne se produira pas, il l'aurait déjà ordonné. Non, le docteur est quelqu'un de respectueux. Il lui a demandé d'être nue en dessous, te fait confiance et il n'est pas homme à vouloir contrôler, tester, vérifier.
En tout cas, ce que lui a demandé le docteur, n'a pas contribuer à la mettre dans un état tout ce qu'il y a de plus normal. Comme hier, tu dois bien s'avouer que tu te sens toute excitée. Pourtant, tu avais réussi à avoir une journée de travail ressemblant à celle de madame tout le monde. Là, c'est retour à la case départ, tu est dans le même état qu'hier. Tu sens ton petit minou mouiller un peu le long du haut de tes cuisses. Pas de quoi fouetter un chat. Mais tout de même, de quoi sévèrement te troubler...
Surtout que vient d'entrer dans le cabinet un couple assez jeune. Le mec est très mignon, grand, châtain, un joli sourire. Après que la femme les ait présenté, ils s'asseyent. Lui, vient se placer sur la chaise permettant de voir sous ton bureau.
Ce n'est pas pour arranger la situation... Heureusement, l'homme ne te regarde pas vraiment, il est tourné vers sa femme et semble très à l'écoute, très attentionné. Cela doit être un jeune couple. Il n'a d'yeux que pour elle.
Il faut dire que la jeune femme est vraiment très jolie, grande, assez mince, brune, cheveux longs, des petits yeux noisettes et souriante. Elle est vêtue d'un grand manteau en cachemire, anthracite, d'un pull beige de la même matière, d'une jupe noire en laine lui arrivant au-dessus genou sur des collants de qualité, la couvrant jusqu'à une paire de talon noirs, haut de gamme. L'homme est très prévenant, il s'enquiert de savoir si sa femme n’à pas trop chaud, lui propose un peu d'eau.
Tu craques sur la gentillesse du type et en plus il est mignon. Si tu n’étais pas déjà en couple... Il a l'air musclé, viril et tendre, tout ce que tu aimes. Tu te met à penser qu'hier, quand nous nous sommes couchés, ton apparussions en petite tenue, l'homme lui, avec son regard plein d'amour, ne t'aurait pas laissé tomber. Tu en est sûr, ce doit être un bon amant.
Se blottir contre ce torse viril, te laisser aller, s'offrir entièrement à lui, se laisser câliner et prendre en douceur. Sentir ce sexe qui t'écarte et te pénètre de manière attentionnée, se...
Et voilà !... tu sens que tu commences à nouveau à déraper. Qu'est-ce qui te fait cet effet là, l’ambiance de cabinet ?... les patients ?... Cette petite blouse blanche sur son corps nu ?
Tu ne sais pas mais tu es sûre d'une seule chose. L'homme ne t'aurait pas laissé tomber, hier, il n’aurait pas rejoint Morphée. Enervée comme tu étais, en aucun cas, tu ne lui aurais permis, même s'il avait fallu, tout admettre de lui... Il est si beau, certainement attachant. Il faut le voir pour le croire, si dévoué avec sa femme. C'est bizarre ! Celle-ci ne semble pas s'apercevoir de la chance qu'elle a, ne le regarde pas vraiment. Elle lit son magazine sans porter la moindre attention aux gestes de tendresse de l'homme. Elle semble même un peu le rejeter… C'est incompréhensible pour toi. Quelle petite prétentieuse ! Etre avec un aussi beau garçon et ne pas même le regarder, l'admirer, le serrer fort dans ses bras.
Au contraire, elle donne l'impression de presque ne pas le supporter, presque étouffer. Décidément, la vie est mal faite...
- Ma chérie ! Tu n'enlèves pas ton manteau ?
Il dit cela avec une voix grave craquante qui te met tout en émoi.
- Non, je l'enlèverai tout à l'heure dans le cabinet.
- Comme tu voudras. Tu veux que je vienne avec toi ?
- Ah non, Bastien. J'y vais seule !
- Bon, Bon. C'était simplement pour t'accompagner.
- Je te remercie mais, là, non !
- D'accord ! D'accord !...
Le médecin me demande de faire entrer la jeune femme.
- Très bien, docteur. Tout de suite…
Tu demande à la femme de te suivre et balance ton petit derrière sous ta blouse, voulant créer à la fois un certain émoi chez l'homme et une certaine jalousie chez cette Pimbèche.
Quand tu te retournes pour faire entrer la femme, tu s'aperçois que ton petit effet est raté, tu as eu beau avancé en te trémoussant sensuellement. Ni l'un, ni l'autre ne semble l'avoir regardée. La femme disparait derrière la porte sans remarquer le petit signe amoureux que son mari lui envoie. Tu te sent un peu méprisée, insignifiante à leurs yeux, presque humiliée. Quand tu reviens à ton bureau, l'homme est plongé dans un magazine et ne décroche pas de celui-ci. Même tu n’es pas quelqu'un de spécialement orgueilleux, là, tu te sens touchée dans ton amour-propre. Il n'est pas question qu'elle reste sur ce qu'elle considère comme un échec.
Tu t'assied nonchalamment de telle manière que ta blouse se raccourcie lorsque tu t'enfonces dans la chaise dactylo et vas même jusqu'à écarter un petit peu les jambes.
Tu veut que l'homme te considère pour ce que tu est, une très belle fille en petite blouse, les jambes nus, dont les formes mettrait en appétit le plus fervent des moines, le plus fidèle des maris. Rien n’y fait, l'homme ne lève même pas les yeux de sa revue de sport. Un peu vexée, tu es quand même bien faite, ton corps ne demande qu'à être regardé. L'homme pourrait ne serait-ce qu'un instant lever un peu le nez. L’agacement te gagne... Bon, tout ceci n'est pas un drame, il est amoureux, voilà tout. Tu ne vas pas le blâmer. Toi aussi es amoureuse de ton homme, même si hier, tu lui en voulais un peu, tu sais que ce soir, quand tu seras dans ce lit trop grand pour toi, il ne sera pas là pour la réchauffer, l'envelopper dans ses bras musclés, il va te manquer. Il ne faut pas se fier aux apparences...
La femme, elle aussi, est peut-être très amoureuse de son mari, tu lui en veux peut-être pour quelque chose qu'il a fait ou qu'il n'a pas fait. Comme pour toi hier soir.
Tu regrettes presque de t'être dit que c'est une petite prétentieuse, une Pimbèche, une mijaurée. Dans le fond, la jeune femme a un visage gentil, presque un peu timide. Tu te dis que finalement, c'est bête de juger les gens aussi vite... Tu vas plutôt te remettre au travail, avec des courriers à taper.
Tu reprend le dictaphone, enfile le casque micro-oreillette, met en route et commence la frappe sur le clavier. Machinalement, s'engouffre dans tes phrases, des mots, du langage, frôle de tes doigts des rachis lombaires, des radios de l’ oesophage, des Témesta, des mononucléoses, des troubles hormonaux, des Gaviscon, des appendicectomies... Tout un langage barbare qui virevolte dans ta tête avec pour seule autocensure la faute d'orthographe. Au bout d'un moment, tu redresses la tête et vient de penser que ton casque avec son micro lui permettrait peut-être de répondre au téléphone sans utiliser le combiné. Ce serait bien...
Tu change la connexion, çà marche, essayes la même chose avec l'interphone, et entend dans ton oreillette la conversation à l'intérieur du cabinet entre la jeune femme et le docteur.
Tu a réussi. Très contente d'avoir eu cette idée. Le fait d'avoir insérer la prise du casque, le son du haut-parleur a été coupé. Quand tu voudras avertir le docteur de l'arrivée d'un de ses rendez-vous, tu ne gêneras personne dans la salle d'attente. Tu écoutes un peu ce qui se dit dans la pièce voisine, des échanges pas très originaux qu'ont sans doute à longueur de journée les médecins avec leurs patients, t'apprête à rebrancher la fiche sur le dictaphone, et ta main se fige lorsque tu entends les derniers mots du docteur...
- Bien. Déshabillez-vous, madame !
Tu te rappelles du petit fantasme avoir eu tout à l'heure, quand tu t'imaginais devoir te dévêtir devant lui. Juste avoir envie de voir l'effet que cela aurait pu te faire, tout du moins, tu voudrais envisager celui que cela va produire chez la jeune femme, alors tu appuies sur une touche de l'interphone. L'écran s'allume...
- J'enlève juste le haut, docteur ?...
- Oui, oui.
Tu vois sur l'écran la jeune femme en train de se défaire de son pull beige clair. Elle à un joli soutien-gorge en dentelle couleur blanche sur une paire de seins importante. "Un bon 90 C, tu te dis.
- Je dois l'enlever aussi, docteur ?
- Oui, oui.
La jeune femme dégrafe son soutien-gorge et fait apparaître des seins bien plantés aux formes plantureuses, tu es presque troublée par leur beauté.
Le docteur fait s'approcher la femme de la table d'auscultation, tout de suite, il met en place ses mains et opère de petites pressions sur sa poitrine. Des pressions qui deviennent de plus en plus fournies. On ne serait pas dans le cabinet d'un médecin, on pourrait croire que la jeune femme laisse à l'homme le soin de malaxer ses seins, les pétrir, les tripoter.
Tu ne sais pas si tu te trompes mais l’impression que les bout des tétons de la jeune femme se raidissent légèrement. Dc Vincent ne semble pas s'en offusquer, continuant de la palper. Cela doit être habituel lors de ce genre d'examen. Il semble trouver cela tout à fait normal. Les bouts des seins de la femme se sont effectivement bien raidis outrageusement, ils sont même très développés, le pétrissage du docteur fait son effet. Tu serais vraiment très embarrassée si cette situation t’arrivait, à toi. La femme a l'air tendue. Le médecin augmente le rythme de sa palpation. Tu est presque gênée pour le mari et regardes dans sa direction. D'où il est placé, il ne peut rien voir. Il a toujours son regard plongé dans son magazine. S'il savait qu'à quelques pas de lui, un homme malaxe fermement les seins tendus de son épouse...Tu est toute chose, et presque excitée par ce que tu vois, voilà cela te reprend…
Sentir les mains douces du docteur, bien formées, bien manucurées, avec de grands doigts élégants, racés... Et Phil qui serait juste de l'autre coté de la cloison... Tu comprends maintenant parfaitement que les bouts des tétons de la jeune femme soient sortis. Le médecin les a d'ailleurs attrapé et les roule entre ses doigts. Il les serre délicatement, les pinces. Ils ont encore grossi et t’impressionnent de leurs longueurs. Très professionnellement, il passe derrière la femme, lui fait redresser ses mains et croiser ses doigts derrière la nuque. Elle est là, debout, docile, les coudes levés à hauteur de ses oreilles. Placé contre le dos de la jeune femme, le Dc est en parfaite position pour recouvrir ses seins. Il les attrape dans chacune de ses paumes et commence à les pétrir. Il les fait se soulever et redescendre comme s'il s'agissait de yoyos. Il reprend les bouts dans ses doigts et les pinces délicatement.
La jeune femme se laisse faire. La position de Vincent est plus que suggestive, tu commences à te demander si tout ceci est parfaitement normal.
Tu n’as jamais vu de palpation identique, difficile pour toi d'imaginer que cela puisse être aussi approfondi. Il n'empêche que la réalité te semble très instructive, l'esprit en éveil, la passion d'en savoir plus, le désir de tout appréhender. Là, tu et confrontée à un univers inconnu…Tu as la respiration qui s’accélère, tu ne t’en rend pas compte…
Au départ, la médecine n'était pas vraiment ta tasse de thé. Maintenant, depuis que tu travailles ici, tu adores... Te surprendre à penser à bénéficier du même traitement, se voir si bien à la place de la jeune femme... Voilà qu'il la fait se pencher en avant avec ses mains toujours derrière la nuque. Il continue à malaxer ses seins et elle, se laisse toujours faire, mais tu découvres le pincement juste un peu de ces lèvres. L'homme, pour pétrir sa poitrine, a dû un peu s'affaler sur elle. Il est du coup serré à la jupe en laine de la jeune femme, contre ses fesses. Elle doit bien sentir quelque chose, vu qu'il est nu sous son pantalon léger de chirurgien. Tu te demandes s'il se peut que le docteur ait une érection...
Ce n'est pas possible. La femme s'en serait aperçue, se serait plainte, aurait crier. Elle ne l'aurait pas laissé faire... Quelle idée !... Pourquoi se poser de telles questions ? Où vas-tu chercher tout çà ? Un si gros pénis en érection... Entre les fesses de cette jeune femme... Qu'as-tu tout à coup à voir de la sensualité partout ?...
Tu ne te connaissais pas sous ce jour et ne pensait pas pouvoir être à ce point émue, n'imaginait même pas pouvoir avoir des fantasmes... Aussi troublants... Ton autre toi as pris possession de ton corps… Tu as un peu peur et en même temps tout çà, en prise avec la réalité et s'apercevoir que tes rêves, que tes désirs font basculer le réel. Tu aimes ces sensations nouvelles... Pourtant, tu te dis qu'il faut que tu réagisses, doit reprendre corps avec la réalité.
Le médecin effectue sur sa patiente une simple palpation et rien de plus... Il faut arrêter de penser comme cela... L'examen vient de se terminer et la femme se redresse en descendant les bras le long de son corps. Tu te sens rassurée et sait à cet instant avoir eu tort de te mettre des idées en tête. A l'avenir, tu essaieras de prendre du recul, ne pas imaginer des choses, garder la tête froide, rester les pieds sur Terre... Il n'est plus question de laisse divaguer ton esprit d'une telle manière, et te rappelle des propos de ton homme. A partir de maintenant, elle en fera sa devise : "La raison, toujours la raison"...
La femme reste là, attendant que le docteur lui dise de se rhabiller, lui la détaille du regard, tout en frottant son menton entre ses doigts. Il l'observe, perdu dans ses pensées...
La jeune femme est debout, droite, les bras ballants, le regard en attente, à l'écoute de ce que lui ordonnera le médecin... Il se retourne, avance lentement vers son bureau. On sent que la consultation est terminée. Il va certainement lui dire à la femme de se vêtir... mais se ravise et revient se placer devant elle, la regarde fixement.
- Je voudrais juste vérifier un ou deux points, madame. Pouvez-vous enlever votre jupe ?
- Oui docteur... Bien sûr... Tout de suite, docteur...
En déplaise à la sacrosainte raison de ton homme, le cœur battant tu ne peut s'empêcher d'imaginer qu'il va se passer des choses...La femme libère le bouton sur le coté de la jupe. Elle fait glisser la Fermeture Eclair et ôte le morceau de laine en le faisant courir sur ses jambes et passer sur ses talons hauts.
Tu viens de t'apercevoir que ce ne sont pas en fait des collants qui enserrent ses cuisses, mais du bas noir avec de petits papillons imprimés sur la dentelle surmonté d’une porte-jarretelle. Son string blanc en dentelle est coordonné avec le soutien-gorge, de jolies petites fesses, bien rembourrées sans trop. Tu les trouves très appétissantes.
- Je dois enlever le string aussi ?
- Oui, oui.
Elle s'en sépare faisant apparaître un magnifique petit minou qui doit adorer les transports en commun à la vue du joli ticket de métro, celui-ci est assez peu poilu. Tu te dis :"Cela doit plutôt plaire au médecin...".
Il passe ses doigts sur la petite fente de la femme, directement sans hésitation, ton cœur s’est accéléré d’un coup. Visiblement, elle est mouillée, il porte sa main à son nez, on dirait qu'il analyse l'odeur. Il la fait mettre la contre la table d'auscultation, ses fesses touchent le bord et lui demande d'écarter un peu les cuisses. Elle obtempère.
Il replace ses doigts sur la fente et les fait tournoyer sur le petit clitoris qu’il malaxe de son pouce agile. La femme pousse un petit cri. Il accélère le rythme. Elle lance un gémissement, puis deux, puis trois. De plus en plus fort... D'un coup, il enlève sa main, baisse son pantalon.
Au ton tour de te mordre les lèvres...
Vincent est de dos par rapport à elle, tu ne peut voir que la jolie paire de fesses musclées du docteur et aurait tant aimé avoir devant tes yeux le sexe fièrement dressé, en liberté, debout, en l'air, lancé dans l'espace, défiant les lois de l'apesanteur, il doit être si gros...
Il attrape dans sa poche un préservatif. Il l'ouvre avec les dents, la patiente le regarde avec un mélange de peur et de gourmandise, le fait sortir de son emballage et l'installe.
Elle semble contempler de ses yeux rivés le membre auquel ton regard n'a pas droit, avec un doux plaisir elle a l'air d'apprécier...
Il attrape ses hanches, elle pousse un grand cri, suivi de beaucoup d'autres. Il doit être déjà en elle. Il avance encore. Elle a l'air ravie. Il pousse toujours plus loin son exploration. Elle lance un grand gémissement. Il est sans doute au fond d'elle car il recule et commence un doux va-et-vient. Les râles de la femme rythment l’aller-retour de l'homme, de plus en plus puissant. Elle crie. Heureusement, la porte est capitonnée... Le médecin continue de lancer son assaut, elle est aux anges et crie et crie en oubliant son mari de l'autre coté de la porte. Tout à coup le docteur ressort et elle pousse un cri plus fort que les autres, elle le regarde implorante, il se met à distance en la regardant, contre cette table, les cuisses écartées, la chatte béante, un liquide opaque de ses sécrétions à l’orée de son trou. Elle est vraiment très belle dans cette position, elle se passe la langue gourmande en fixant l'objet sans doute encore redressé, elle semble le provoquer, en avoir tellement envie...
Tu es presque dans un état second, tes pensées sont sur la beauté de Vincent, sa grosseur. Tu trouves la situation trop injuste ! Si tu ne te retenait pas, tu entrerait en trombe dans ce cabinet et se ruerait, bousculant la femme, pour voir ce qu'elle imagine comme absolument gigantesque.
La langue de la femme est maintenant entièrement sortie, elle est très longue et très appétissante, la fait passer tout autour de sa bouche, geste de salope mais qui t’excite aussi.
Elle se redresse, vient se placer nue, à genou, par terre. Elle attend. Lui il la contemple. Il enlève délicatement son préservatif. Il s'avance...
- Nom de Dieu !...
Toi qui d'habitude ne jures jamais, viens de se parjurer en lançant très fort ce juron fendant le silence de la salle d'attente.
Le mari se redresse. Il te regarde très étonné.
- Heu... Excusez-moi, monsieur... Une faute d'orthographe...
Il a un petit sourire et se replonge tranquillement dans la lecture de son magazine sans s'apercevoir que tu te mords les lèvres
En te retournant vers l'écran, tu respires très fort, tes cils clignent à toute allure, ton petit coeur bat la chamade contre sa cage thoracique, les bouffée d'adrénaline te chauffe le visage, tes pointes se tendent à te faire mal, tes sens sont plus qu'en éveil et ta peau est à chair de poule, une inondation en cours. Ton corps est tout tendu vers le désir.
Et puis tu n’en crois pas tes yeux... Le docteur s'est retourné. Tu as devant toi la chose tant désirée, le membre dressé... Tu attendait cela depuis ce qui te parais si longtemps, depuis la première fois que tu a vu le docteur nu dans son cabinet… Il est si beau, si gros, si imposant... Il est grand et large, dur et lisse de toute part, décalotté, le gland est proéminant. Tu le trouve magnifique !... Même si çà te fait rosir du haut jusqu'en bas de ton visage, tu ne peux t'empêcher de penser adorer le sexe de ton employeur… Tu as tout loisir de l'apprécier, peu pressé qu'il est pour l'instant de s'approcher de sa proie.
La patiente contemple, elle aussi, la tige, du docteur avec des yeux gourmands. Elle se dirige vers lui, l'attrape de sa main. Tranquillement, se penche et dépose ses lèvres sur le gland. Elle ouvre un peu la bouche, fait sortir sa petite langue rose pour goûter. Elle a l'air d'aimer... Elle le lèche comme elle lécherait une glace. Elle entre le gland en entier dans sa bouche tout en tenant la hampe. C'est pas vrai !... Il a encore grandi... Le coquin, il est énorme !...tu t'imagine prendre la place de la patiente, le sucerait si bien, si sincèrement, si goulument, même plus encore, mettrait tout son cœur pour lui donner plus envie, persuader que tu pourrais y arriver...
Une fois que tu l'aurait placé dans ta bouche, tu ordonnerais à ta langue de s'activer, s'occupant de chaque millimètre carré de ce Dieu de beauté, le titillant pour mieux l'électriser, le massant fermement de tes lèvres pour mieux qu'il se raidisse, englobant le bout pour mieux le flatter, l'engouffrant pas soudaineté par instinct de propriété, cassant les retenues, lui donnant envie de s'offrir tout entier... Tu en es sûre. C'est toi qui serais si bien le sucer... Vincent stopperait net son envolée, te prendrais dans ses bras musclés pour te déposer sur le bureau en chêne massif, entièrement nu, offerte. Il placerait ce membre immense entre tes cuisses, le ferait entrer délicatement, le gland turgescent tout d'abord, puis la hampe, à un quart, à un tiers, (tu penserais déjà l'avoir tout entier), à la moitié, au trois quart, au quatre cinquième, tout... Tout. Tout. Entièrement... A fond... Jusqu'au bout !...
Tu as laissé s'échapper un long gémissement, le mari lance à nouveau un regard très étonné dans ta direction.
- Heu... Excusez moi
L'homme hausse légèrement les épaules et se replonge dans sa revue avec un immense sourire amusé, le regard continuant de sourire.
Le pauvre !... Il ne sait même pas qu'il est en train d'être cocu. A quelques mètres de lui, sa femme a le sexe du docteur dans sa bouche et elle l'astique avec sa langue...
Il faut que tu fasses quelque chose, lui dire ? N’y arrive pas... Et puis le mari va faire un esclandre. Adieu ton poste... Si ton homme était là, dans les bras d'une doctoresse, il faudrait qu'on lui dise, qu'on fasse quelque chose pour toi. ... Il a l'air si gentil, si mignon, tellement craquant...
C'est décidé. Elle va l'aider... L'homme a été déshonoré, sali. Elle doit laver cette offense. Elle va lui permettre de se venger. Elle va s'offrir à lui...
Contre tout attente, elle s'entend dire :
- Qu'est-ce qu'il fait chaud dans cette petite salle d'attente ! Vous ne trouvez pas ?...
- Oh oui. Vous avez raison.
- Quelle chaleur ! Je n'ai jamais vu çà. J'ai chaud à un point. Je suis toute en sueur...
Négligemment, tu défais un, puis deux, puis trois boutons du haut de ta blouse, tu te retournes vers l'homme et lui sourit.
- C'est mieux comme çà, n'est-ce pas ?...
L'homme se met à rougir comme un collégien. Il doit voir son sein. C'est sûr !... Tu t'étonnes du culot que tu a eu. Il y a une semaine encore, n'aurait jamais pensé être capable de faire quelque chose comme çà. Comme si de rien était, tu te retourne vers l'écran. L'homme est de biais par rapport à toi, assise de cette manière, le tissu se tasse à hauteur des cuisses. Ce qui fait s'ouvrir en grand le pan déboutonné...
Comment fait la femme ?... Comment fait-elle pour en avaler autant ?... tu aimerait tant être à sa place. Elle entre tout dans sa bouche. Puis, elle ressort tout, d'un coup. La langue se promène sur le gland, sur la hampe, sur les bourses entièrement lisses... Il y a tant à lécher... Tant de surface… Elles ne seraient pas trop de deux pour bien s'en occuper !...Tu t'évente avec le pan de ta blouse faisant apparaître à chaque battement ton sein. Tu sens bien maintenant que tu n'es plus du tout dénuée d'intérêt pour l'homme, son regard de mari est complètement plongé dans ce décolleté qui passe son temps à s'ouvrir et se fermer. Cela te rend le sourire, tu aimes te montrer à lui, ton plaisir commence à monter dans l’inconnue...
Dans la pièce à coté, la femme, agenouillée, lèche le gros sexe du médecin. Elle y met tellement de passion que tu te dis qu'elle serait capable de communiquer son enthousiasme à tout un groupe de jeunes filles, toutes prêtes à se disputer la propriété entre leurs lèvres d'un aussi joli morceau. Le monde est curieusement fait... Elle finit par le sortir de sa bouche et lance au docteur un petit regard coquin, éveillant le plus pur des désirs, ingénument allumeur... se relève, tout en continuant de masturber le membre d'une main, l'autre main plonge dans la poche du Dc et attrape un nouveau préservatif, le porte à sa bouche, arrache l'emballage et l'installe avec un grand sourire sur la verge bandée et allonge son torse sur le papier d'auscultation à usage unique. Son corps forme une équerre à la verticale, ses jambes son bien ancrées au sol, les pieds sur terre, sa tête, sa poitrine, son ventre, s'enfouisse dans le moelleux de la table d'auscultation, se détendent, se laissent aller, le coeur dans le rêve. A la charnière entre ses deux droites rectilignes, son petit cul se montre sans ombrage, semblant presque fier de lui et titillant le désir du docteur.
Pour ton plus grand plaisir qui te concentre sur ce sexe dressé, comme pour mieux l'imprimer dans ton esprit et le ressortir à chacune de tes séances solitaires de caresses intimes que tu pratiqueras désormais plusieurs fois par jour.
A ce stade de la consultation, la patiente donne des signes d'impatience et écarte ses cuisses et tourne le visage pour regarder le docteur fixement dans les yeux, fait tout pour qu'il est envie d'elle, qu'il ne s'arrête pas en si bon chemin... Il passe derrière elle, s'agenouille. En un instant, il lui arrache mille gémissements en allant fourrer sa langue sur son sexe et en pinçant de ses lèvres son petit clito bandé, elle jouit profondément dans un hurlement de bonheur qu'elle n'avait sans doute jamais connu jusqu'à présent. Le médecin ne ralentit pas pour autant son exploration, sa langue visite le petit labyrinthe de douceur rosée, elle le sent, exciter toujours plus le petit monticule rose, dressé fièrement au garde à vous devant ce génie du cunnilingus.
Tu pose ton casque sur le bureau, te redresse, te lève. Il faut tu fasses quelque chose... Tu n’en peux plus. Tu te dirige vers la petite table du salon d'attente et te penche pour mettre de l'ordre dans les magazines, tu sais que l'homme voit le haut de tes cuisses, qu'il te désire, qu'il aimerait te prendre, là… Savoir que cet amoureux transi commence à être ému lorsqu'il voit le haut de tes jambes, cela a une tendance à t'exciter. Et ce, de plus en plus...
Tu sais que tu n’as qu'à te pencher encore un rien, pour porter à la vue de l'homme ses deux belles fesses et ton petit abricot…Tu n’as pas de honte à avoir, quand on voit ce que sa femme est en train de faire dans le cabinet. Ton désire et d’aider l'homme à se venger, tu est maintenant prête à tout...
Seulement, tu n'as pas bien l'habitude. Comment lui dire ? Comment lui faire comprendre ?... Tu te dit que tu pourrais, tout en rangeant les revues, de dos par rapport à l'homme, défaire discrètement tous les boutons de ta blouse, te retourner vers lui, ouvrir d'un coup les deux pans et montrer à son regard médusé, tes deux petits seins bombés, ton ventre câlin et tes lèvres roses, s'éventerait des deux pans de la blouse, puis tu la ferait tomber sur ses pieds nus. Tu lui confierais que c'est beaucoup mieux comme çà, lui montrer la cambrure de ton dos sur ta belle paire de fesses que si peu d'hommes, au cours de sa vie, ont vue. Là, il pourrait se lever. Il pourrait décider de se la faire mettre, la mettre à genou, de sortir son sexe, de l'enfourner dans sa petite bouche. Tu ne pourrais rien dire. Il faut bien qu'il soit vengé... Le pauvre ! Il est tellement mignon, tellement beau, tellement craquant !...
Il pourrait ensuite te relever, t'inviter à te coucher sur le ventre sur ton bureau d'accueil, te caresser, lécher de toute part, te prendre comme une salope et te baiser sauvagement, tandis qu’à l'écran sa femme se ferait prendre juste devant tes yeux...!... Tu en a tant envie...
!... Il faut que tu te calmes... Ton esprit divague trop tourmentée. Tu es toute mouillée, et le jus coule ors de son écrin, sur le haut de tes cuisses. Qu'est-ce que c'est que toutes ses idées qui te passent par la tête ?... Tout ton corps en désire, tes seins sont tendus à t’en faire mal, comme jamais.
Nue sous ta blouse, les cuisses offertes au regard de l'homme, le décolleté grand ouvert, tu est là, penchée en avant, presque figée, la mouille coulant un peu plus à mi-cuisses, attendant que l'homme ait enfin le cran de se lever pour te fourrer délicieusement!... Mais rien ne se passe. Il faut se calmer... Tu rejoint ton bureau et te rassied.
A l'écran, le docteur Vincent continue son ouvrage, ce n'est pas vraiment ce qui va avoir tendance à calmer sa secrétaire, il lèche de plus belle le sexe de sa patiente, ses coups de langues remontent sur ces fesses délicieusement rebondies, sur ce dos délicatement musclé, sur ces épaules conçues pour être massées, sur ce cou semblant avoir été créé dans le seul but de recevoir de petits baisers... Elle tourne la tête vers lui, et traduit l'émoi de tout son corps d'un petit sourire humblement remerciant, résolument troublant, sensuellement aguicheur. Sans se faire prier, elle plonge sa langue dans la bouche du docteur et l'embrasse fougueusement, s'abandonnant totalement a lui.
Tu vois ces baisers, ces langues qui se malaxent au dehors de leur fourreaux, te retourne entièrement, lui s'approche, le sexe tendu, majestueux, impérial. Décidément, tu ne t'y feras pas...! Si tu pouvais avoir quelque chose comme çà dans sa main, dans ta bouche, dans ta chatte... Mais non ! C'est l'autre qui va l'avoir. C'est l'autre qui va la prendre, c’est l'autre qui va l'entrer en elle, c’est elle qui va être délivrer…
Non seulement, tu n’es pas, en ce moment même, à la place de l'épouse infidèle dans le bureau du docteur, tes seins collés à la table d'auscultation, les fesses en l'air... Mais en plus, le mari est assez bête pour ne pas avoir profité de la situation qui s'offrait à lui, te laissant comme çà, en plan à ton bureau, le corps dressé d'envie, le con tout trempé, les sentiments exacerbés... Qu'est-ce que tu t'en veut d'être aussi hésitante, aussi timide, avec ce carcan d'éducation et ces habitudes qui te musellent, qui te complexent, qui te coincent... Tu t'en veux tellement. A peine as-tu montré à l'homme un sein et le haut de ses jambes. Rien de plus...
Tu sait bien en toi, qu'il en faudrait bien davantage pour que celui-ci prenne le risque de se lever, de t'embrasser, te chérir, t’aimer, alors que son épouse légitime est en consultation, derrière la cloison, à quelques pas de lui. Tu est inquiète et commence même un peu à t'affoler. Le temps passe... Il faut que tu te décides. Il faut tu y aille. Il faut tu fasse face... L'homme est là, son magazine dans la main. Il ne le lit plus depuis longtemps, les yeux rivés sur ton corps de déesse, attendant un signe, un regard, quelque chose... Le temps passe à toute allure et réduit considérablement les possibilités a te laisser pleinement aller, de prendre les chose en main, d'enfin infiniment vibrer...
Le docteur va bientôt avoir terminé, le prochain patient ne devrait pas tarder à arriver... Tu n’as plus vraiment le choix, te décider, il faut y ailler, face à son destin... C'est maintenant ou jamais !...
A l'écran, la femme semble impatiente. On voit sa main glisser derrière ses hanches, se saisir de la hampe vigoureuse du Doc et l'approcher doucement jusqu'au bord de ses grosses lèvres, largement ouvertes. La voie est ouvertes il n'a plus qu'à pousser un peu pour se mettre en profondeur dans ce trou qui l'attend si amoureusement et commencer ce flot de va-et-vient qui, il le sait, va emporter tout sur son passage... Il est au fond, lime la blonde avec ardeur, la jouissance pour elle est continu, la performance dure, se retire, assoit sa partenaire et la couche sur la table d’osculation, place les pied de celle.ci dans les étrier, la regarde, offerte de son état, puis la pénètre sans plus ménagement, la pilonne tantôt délicatement tantôt furieusement… La fille est une poupée de chiffon, seul sa bouche ouverte émet un son inaudible. Puis il s’extirpe, éjecte le plastique qu’il l’entour, se saisit de la colonne de chair, le premier jet comme le deuxième, sera long et atteignant le visage de la belle, s’immisçant dans la bouche en se déposant sur ça langue, la quantité est aussi impressionnante que le reste, les seins, son ventre, les petits poils blond et la fente ouverte seront englué sous le sperme…
Un quart d'heure plus tard, la femme sort radieuse du bureau du docteur. Elle a le sourire aux lèvres, tu as replacé tes boutons. Le mari semble très gêné, il regrette certainement ce qui vient de se passer... Il n'ose plus regarder sa femme dans les yeux. Son visage est rouge. Il est tellement honteux. Il a pris du plaisir avec une autre femme que la sienne. Il est tout remué. Ces seins très différents de ceux de sa femme, ces cuisses longues et nues lui ont fait un tel effet... Il a même été jusqu'à imaginer un instant que la secrétaire ne portait pas de culotte en dessous. Cela l'a rendu fou... Il se serait presque levé pour vérifier. Cela aurait été tellement facile. La secrétaire, penchée en avant, reclassant les magazines, il avait juste à soulever un peu sa blouse, pour voir. A un moment, elle s'est penchée un peu plus. Il a bien cru qu'il allait être fixé tout de suite. Si elle n'avait pas eu de culotte, comment aurait-il réagi ?... Il aurait pris çà pour un appel. Il se serait approché d'elle. Comme un test, il aurait mis sa main sur sa hanche. Si elle n'avait eu aucune réaction, il se serait aventuré sur sa blouse, ses cuisses, ses petites fesses!... Il en avait tellement envie... Là, son sexe si fort dressé dans son pantalon, la fente de la secrétaire tellement humide, il l'aurait prise tout de go, envoyant au diable ses bonnes manière et sa femme, bravant le risque de la voir sortir à n'importe quel instant du bureau du docteur. Heureusement, il ne l'a pas fait. Il ne s'est pas levé. C'est fou, quand il y pense. Il aurait trompé sa femme sans se poser la moindre question. Et çà, c'est quelque chose qu'il ne veut en aucun cas. Il n'en a même, jusqu'à ce jour, jamais eu l'idée. Il s'est vraiment imaginé n'importe quoi. D'abord, les secrétaires médicales portent toutes une culotte sous leurs blouses...
Il n'est pas fier de lui. Il a eu de ces idées. Il a eu de ces fantasmes Il a eu de ces envies. Avec une autre femme. Pas avec sa femme a lui. Il faut dire pour sa défense que la secrétaire est vraiment super jolie et qu'elle n'y a pas été avec le dos de la cuillère. Il a pu voir ses seins très fermes et le haut de ses cuisses Quand même, en plein hiver ! Il a eu une sacrée érection. Il a réussi à la cacher, non sans mal, aux yeux très curieux de la jolie. Il se sent si gêné. Il ne sait pas comment il va pouvoir se faire pardonner par sa femme... Elle, si belle, si pure... Elle, qui n'a jamais eu un regard, un sourire, une pensée pour un autre homme. Elle, qui reste si droite avec lui.
Pourtant, Dieu, sait que les hommes regardent les femmes, nombreux sont ceux qui n'hésitent pas à se retourner sur toi la secrétaire médicale, à te dévisager, sur tes formes. Même quand nous sommes ensemble, tu te fais matée, ton mari s’en aperçoit clairement plus que toi.
Ton homme, sait bien que tous ces admirateurs de la rue sont touchés par ta démarche, par ta grâce, par ta beauté, par la mise en valeur de ton corps que tu passes tellement de temps à préparer dans la salle de bain et devant le dressing de la chambre à coucher. Il sait bien que ces hommes te désirent instantanément, qu'ils n'hésiteraient pas à t'aborder, te parler, se mettre à genou devant toi, t’attraper le bras pour avoir un contact direct, lancer leurs flammes jusqu'à tes joues, ta petite bouche, te fixer du regard, toucher de leurs doigts sensuels, te montrer dans quel état ils sont en appliquant ta petite main si douce sur leur membre redressé, si gros, si dur. Bien sûr, tu ne les laisserais pas faire. Tu es au-dessus de tout soupçon est mariée de surcroit, avec lui maintenant. C'est certain, elle l'aime, mais...
Lui le mari de la blonde ne préfère pas tenter le diable et sait bien que parfois la chair est faible. Il en est aujourd'hui le cuisant exemple. Il le sait si bien. A l'occasion de chacune des sorties de la femme, le mari s'applique à l'accompagner. Il ne veut pas prendre le moindre risque de voir s'envoler cette blanche colombe, la laisser kidnapper par un de ces bellâtres qui adorent la contempler et qui à la moindre occasion en profiterait pour la frôler, la toucher, lui caresser l'épaule, porter leurs mains sur son corps, s'enfouir en elle. Non, il ne veut pas les laisser faire. Ils ont tant de talent dans l'approche physique des femmes. Leur regard est si prometteur. Son épouse pourrait se sentir troublée, émue, le corps à fleur de peau, tendu vers eux. Il sait bien que sa femme est faite de chair. Si les bouts de ses seins se tendent, elle fera avec eux ce qu'elle a fait avec lui les premiers temps de son mariage. Le corps en émoi, les tétons dressés, la bouche ouverte, la culotte trempée, elle se jettera aveuglément dans leurs bras qui la tiendront fermement tout au long de l'assaut fougueux qu'ils lui feront subir. Non, il ne doit pas la laisser faire. Si il l'avait pu, il l'aurait même bien accompagné jusque dans le bureau du médecin. Ce docteur Vincent a l'air tellement séduisant... Elle ne le connait pas. Pourquoi a-t-elle choisi un homme comme nouveau médecin ? Que lui a-t-il fait ? Lui a-t-il demandé de se déshabiller entièrement ?... Non... Ce n'est pas possible... Pourvu que de séduisant, l'homme n'en profite pas pour se métamorphoser en séducteur... Pourvu qu'il ne la désire pas. Pourvu qu'il ne la prenne pas... Tout à l'heure, lorsqu'il l'a vue entrer seule dans ce bureau, il ne l'a pas montré, il était tellement jaloux...
Que va-t-il s'imaginer ? Il doit se ressaisir. Un médecin, ce n'est pas là pour mettre en émoi les corps, çà sait rester sérieux, çà s'occupe uniquement de pathologies et de radios, çà ne met pas ses pattes partout. C'est même assermenté. Non, un médecin, on peut lui faire confiance... Et puis sa femme ne le laisserait pas faire, tout de même. Son épouse est quelqu'un de tout à fait raisonnable. Elle ne pense à mal. Elle est si gentille. Elle fera ce que lui dit le docteur, et rien de plus. Que va-t-il donc imaginer ?... Il est impardonnable.
Décidément, il n'est vraiment pas gêné de se dire tout çà. Lui... Pendant qu'elle se laissait sagement ausculté, lui, s'est laissé aller. Il s'est de son départ pour reluquer la première fille qui passait. Il était seul avec la secrétaire. Il en a profité pour regarder ses cuisses, son déhanchement, sa blouse. Il a plongé les yeux dans son décolleté.... Il a honte de tout çà. Que faire ?... Le mieux, c'est peut-être d'en parler à sa femme ?... Lui avouer toutes les pensées qu'il a eues pour la première fois depuis leur mariage... Il sait que c'est le seul moyen de les faire fuir à tout jamais. Oui, il en est sûr. Il en est certain. Il doit lui parler. Elle comprendra. Après tout, elle l'a épousé pour le meilleur et pour le pire. Elle lui pardonnera. C'est évident. C'est décidé. Il va tout lui dire...
- Heu... Dis-moi, chérie... Heu. Je veux te dire...
Il parle sur le ton de la confidence. Tu as tout à coup très peur, ne sachant pas ce qu'il s'apprête à dévoiler.
Si il se met à parler à sa femme de toi... Si il lui dit pour les boutons de ta blouse... Pour tes cuisses nues... Pour ton petit regard aguicheur...
-Je voulais te dire... Heu... Ma chérie... Heu... Dis-moi... çà s'est bien passé ?... Rien d'embêtant ?
- Non, tout va bien, il n'y a rien de grave. Il ne faut pas t'inquiéter. Le docteur a simplement demandé à ce que je sois palpée très régulièrement.
L'homme fronce les sourcils.
-Elle se retourne vers moi
- Pourriez-vous me fixer quelques rendez-vous d'avance ?
- Oui, madame. Le docteur veut vous recevoir tous les combiens ?
- Il ne m'a pas dit exactement. Comme je suis particulièrement angoissée en ce moment, je préférerai qu'il m'ausculte le plus souvent possible. Disons... toutes les semaines.
- Très bien. Je vous propose les mardis à seize heures.
- Cela me convient parfaitement. C'est une bonne heure pour moi. Je vous remercie beaucoup. Vous êtes charmante...
- Je vous en prie. C'est toujours un plaisir de satisfaire les patientes du docteur. Surtout lorsqu'elles sont aussi sympathiques que vous...
Tu ne sait pas pourquoi tu vient de dire cela à la femme, cela sent l’hypocrisie à un point, la femme n'est pas du style à laisser de marbre, elle a tout pour elle, sa voix est caressante, sa beauté culmine délicieusement à chaque déhanchement, la démarche est souple et attirante. Son corps totalement assouvi sexuellement donne l'impression d'être épanoui de toute part. Sa manière particulièrement troublante de te regarder met en valeur ses petits yeux câlins bleus atlantiques. La jeune épouse parait étonnée par tes propos ambigües. Serait-elle au courant de ce qui s'est passé dans le bureau du docteur ? A-t-elle, elle aussi, subit les délicieux assauts du médecin ? Elle est jolie cette secrétaire, en blouse blanche, les jambes nues. La femme est sûre qu'il se passe des choses entre eux. Elle pose une nouvelle petite question pour voir...
- Dites-moi mademoiselle, en cas d'urgence, y a-t-il moyen de voir Mr Vincent dans l'heure ?
- Oui bien sûr, madame. Le docteur se laisse toujours une marge pour s'occuper des personnes qui ont besoin d'être rassurées. Il vous prendra entre deux patientes.
- Il me prendra entre deux patientes... D'accord ... Décidément, il a l'air très bien ce médecin. Vous avez de la chance de travailler avec quelqu'un comme lui. Il doit être particulièrement attentionné avec vous, n'est-ce pas ?...
- Tout à fait, madame. Le docteur est un employeur particulièrement délicat. Souhaitez-vous qu'il devienne votre médecin attitré ?
- Pourquoi pas ?... Que dois-je faire pour cela ?...
- Il vous suffit de m'apporter votre attestation sécurité sociale dûment signée pour une prise en charge totale.
- C'est plus que je n'osais espérer. Et vous m'assurez qu'il me prendra entre deux patientes à la moindre demande ?
- Vous pouvez en être convaincu. Il n'hésitera pas à vous prendre deux ou trois fois dans la journée, si besoin, et même le week-end.
Vous pouvez même le faire venir à domicile. Je ne l'ai encore jamais vu refuser de se rendre jusqu'au lit de ses patientes. De jour comme de nuit...
Si votre mari dort, il vous auscultera là où vous désirerez le recevoir. Au salon, dans la salle de bain, dans la cuisine, s'il le faut, sur le palier.
Il est évident que le docteur a une préférence pour que vous l'accueilliez en journée au sein même du lit conjugal... C'est un homme très dévoué. Vous verrez. Il se donne corps et âme à ses patientes. Je suis sûr qu'il saura vous apporter la meilleure réponse à chacune de vos demandes.
Etant moi-même une femme, je sais que nous attendons beaucoup plus lorsque nous sommes entre les mains de notre médecin. Avec lui, je me laisserai faire les yeux bandés. J'ai entièrement confiance en cet homme.
-Je vois mademoiselle que nous sommes sur la même longueur d'ondes. Cela me convient parfaitement. Merci... Grâce à vous, je me sens tellement rassurée...
- Pourquoi ma chérie ? Tu n'as rien de grave, j'espère ?...
- Mais non, mais non...
Tu n'en revient pas de ce que tu viens de dire à la femme. Tu en as rajouté exprès, par jalousie, pour la décourager de venir à son prochain rendez-vous. Tu voulais en même temps, mettre le doute dans l'esprit du mari. Tu est épatée par le naturel de la réaction de la jeune femme et ne parait pas du tout gênée, le visage est illuminé est zen, totalement remplie, d'un plaisir assouvi. Elle sourit d'un air entendu à toi même, comme si vous partagiez maintenant un secret. Elle s'en va, invitant son mari à la suivre.
Lui, semble trouver tes propos tout à fait normaux. Il s'inquiète seulement pour la bonne santé de sa femme et pour les pensées coupables qu'il a eu en regardant la secrétaire.
Décidément le monde est vraiment mal fait...
A suivre...
Valphil.