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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par xanxangori
#1038524
Ça fait maintenant 2 mois que nous parlons avec Sébastien. On parle de la pluie et du beau temps, mais aussi de nos femmes, de nos expériences, de nos fantasmes... Une centaine de kilomètres nous séparent mais Sébastien et sa femme Aurélie viennent régulièrement sur la côte surtout quand les beaux jours pointent le bout de leur nez.
Je raconte à Sébastien que j’ai un fantasme irréalisable, celui de faire l’amour dans mon cabinet avec une patiente. Irréalisable pour moi car j’habite une petite ville, les gens parlent et je me grillerai dans la région... mais Seb me dit qu’avec sa femme ils ont aussi le même fantasme mais qu’ils n’ont jamais eu l’occasion de le réaliser.

Le mois dernier, je reçois un mail qui me dit qu’Aurélie a le dos bloqué et qu’elle aurait besoin de mes services. Je l’appelle sur le numéro de portable qu’il m’a laissé sur le mail et je tombe sur une femme avec une belle voix douce et posée. Elle me remercie pour ma disponibilité et nous prenons rendez-vous pour 20h car je n’ai pas de place avant... Elle me passe son mari afin que je lui explique où se trouve le cabinet. Il m’averti qu’elle ne sait pas que nous conversons sur msn ensemble et de rester discret, chose que j’accepte naturellement. Je le rassure en lui disant que j’allais traiter sa femme comme une patiente normale!

Les patients s’enchaînent, je suis sur les rotules et il me tarde qu’une chose s’est de rentrer chez moi ! J’en fini avec l’avant dernier patient, le raccompagne et je vais chercher Aurélie dans la salle d’attente. Assise dans un coin, un magasine à la main, cette grande et fine brune a des jambes interminables dans son slim et une belle poitrine serré par son débardeur. Je l’invite à entrer dans le cabinet, et bien qu’elle soit magnifique je ne peux que constater à sa démarche qu’elle a effectivement mal au dos...

On s’assoit à mon bureau, elle me complimente sur la décoration de mon cabinet et je commence à lui poser quelques questions. La première question que je me pose c’est «mais où votre mari?». Il est parti faire des courses le temps de la consultation. Ensuite j’apprends entre autre qu’elle a 37 ans, qu’elle est esthéticienne, qu’elle n’a pas d’enfant, qu’elle a eu une mammoplastie il y a 3 ans et qu’elle est très sportive (Yoga, Pilate, et jogging). Elle vient car depuis la veille elle souffre du bas du dos après avoir mis sa valise dans le coffre de leur voiture. Elle me dit aussi ne pas connaître l’ostéopathie et donc elle est un peu inquiète. Je la rassure en lui expliquant cette médecine et l’invite à se mettre en sous-vêtement afin que je puisse l’examiner et la traiter... Je la sens gêner mais elle s’exécute. Je comprends pourquoi en voyant sa culotte en dentelle très fine totalement transparente. Je peux voir son petit coquillage avec des lèvres charnues, ses seins arrogants avec de petits tétons foncés. Je place mes mains sur ses épaules, je les descend le long de sa colonne vertébrale à la recherche de tensions musculaires et de rotations vertébrales... Au passage de mes doigts apparaît sur sa peau douce une chaire de poule. Je reste quand même professionnel et m’aperçois que le rachis lombaire est dure comme de la pierre. Aurélie s’allonge sur la table électrique à présent et je commence mes manipulations en douceur. Je suis obligé de lui faire écarter les jambes en «papillon» afin de travailler son pubis, ce qui me donne une vue plongeante sur son intimité. Ses lèvres totalement épilées ont l’air si douces...
C’est une patiente avant tout et je fini le travail certes avec un oeil coquin mais de manière sérieuse.
Je m’attaque maintenant à son sacrum, alors que la patiente est sur le dos, je place ma main sous ses fesses, ma tête est à 20 cm de son intimité et je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’oeil discret, intérieurement je boue! Quand je lève mon regard, je vois ses seins refaits dressés au ciel.
Je m’attaque à ses vertèbres thoraciques. Je lui demande de croiser les bras, ce qui rapproche ses beaux petits melons, et je la prend dans mes bras pour la faire craquer. Nous sommes très proches et je sens son parfum m'enivrer. Je continu en m’attaquant à son souci principal, ses lombaires. Pour terminer et pour qu’elle passe un bon WE, je sors de l’huile et je fini par un massage de son dos et de ses jambes. Alors que mes mains s’enfonce légèrement dans ses tissus, je sens la tension se relâcher petit à petit. J’aurais pu ne pas masser ses longues jambes mais je n’ai pas pu résister à la tentation. Je lui demande si elle peut échancrer sa culotte pour masser ses fessiers et éviter de tâcher sa belle lingerie. Elle s'exécute dans la foulée. J’écarte ses jambes légèrement afin que mes mains puissent accéder partout. Je commence par ses pieds french-manucurés, je remonte progressivement vers ses mollets bien dessinés, j’insiste sur ses ischio-jambiers et m’attarde sur les fessiers, une fesse puis l’autre.


1h de manipulations plus tard, Aurélie est comme neuve, je lui conseille de ne pas trop en faire pendant le WE et d’aller au moins tous les 3 mois chez un de mes confrères de sa région afin de ne plus avoir de crises comme celle là. Elle me dit alors qu’ils venaient régulièrement avec son mari dans la région. Elle me confie aussi qu’elle était sujette aux migraines et elle voulait savoir si je pouvais y faire quelques choses. J'acquiesça en lui expliquant que l’on pouvait diminuer la fréquence mais qu’une seule séance ne suffisait pas. RDV pris 15 jours plus tard.
On se quitte avec une bonne poignée de main, le sourire aux lèvres et un feeling bien présent.

Une heure plus tard je reçois un SMS de Seb : «Merci pour ton aide, tu nous as sauvé le week-end... Lors de notre retour de ton cabinet en voiture, je l’ai questionnée sur la consultation et elle est sous ton charme. Je vais la chauffer au maximum pour la prochaine consultation! Bon week-end!
par xanxangori
#1039278
J-10

Mardi j’ouvre mon Msn et Seb vient tout de suite me parler. Aurélie n’a pas arrêté de lui parler de moi et lui n’a pas arrêté de la chauffer sur moi pendant tout le week-end. Il lui a dit que j’avais dû profiter comme un cochon de la situation, que j’avais salivé sur ses fesses comme le loup de Tex Avry... Chose que je ne nie pas :) Mais je suis resté quand même très professionnel et Aurélie ne lui a pas dit le contraire.

Je lui demande pourquoi il n’a pas assisté à la consultation? Il voulait me laisser tranquille avec sa femme, pour qu’on puisse faire connaissance pour voir si le feeling passé sans qu’il ne l’influence.

Il me demande comment j’ai trouvé sa femme... Si j’ai pu en profiter pendant la séance. Je lui ai dit que j’avais vu ses tétons dressés et son petit coquillage à travers la dentelle. Qu’elle avait un grain de peau sublime et que depuis qu’elle est venu mon fantasme est devenu encore plus fort.
Il me dit alors qu’il travaillera sa femme pour qu’elle m’allume à la prochaine. Mais il n’a pas envie de lui dire qu’on parle ensemble, il veut voir jusqu’où peut aller sa femme. Je trouve ça dangereux et pas très sain de notre part mais bon ça m’excite quand même bien de le savoir.
par xanxangori
#1049918
J-1 :

Je reçois un appel d’Aurélie me demandant si on peut repousser l’heure du rendez-vous au soir comme la dernière fois. Je lui dis que ma dernière place dispo est 18h qu’après j’ai plus personne et que ça ne m’arrange pas trop de poireauté 2 h au cabinet... Elle me dit que c’est parfait.
Je pense que dans sa tête elle voulait être la dernière patiente pour être tranquille dans le cas où son petit jeu de séduction marche...


Jour-J :

Je fini plus tôt avec mon patient. Je flâne sur le net pendant 10 minutes quand résonne la sonnette. J’entends des bruits de talons venir de la salle d’attente. J’enfile une blouse propre qui ne sent pas la transpiration de mes autres patients. J’ouvre la porte et là je bug pendant 2 secondes. Elle me fait un sourire mais je ne vois que c’est yeux mis en valeur par son mascara. Elle a des jambes encore plus longues avec ses chaussures à talons ultra fins. Sa jupe permet de voir ses mollets tendus et musclés et ses cuisses magnifiques. Elle a un haut assez large avec un décolleté ample qui laisse entrevoir le V que forme ses deux seins. Elle a les cheveux lâchés mais lissé à la perfection. Dans cette tenu, personne ne peut résister!.
Même si ce n’est pas très professionnel, je la complimente sur sa tenue et l’invite à entrer dans le cabinet.

On s’assoit à mon bureau. Je lui demande comment elle va depuis 15 jours. Elle me dit qu’elle allait mieux dès la sortie du cabinet et qu’il lui tardait qu’une chose, c’était de revenir ici... Après un petit questionnaire sur ses migraines, je lui propose de passer sur la table et de se mettre en sous-vêtement comme la dernière fois. Là, elle fait l’air surprise... elle me dit qu’elle ne pensait pas se remettre en culotte car c’est pour une migraine. Je lui explique que j’ai besoin de repartir voir son bassin. Elle s’excuse par avance pour ce qu’elle porte en dessous de sa tenue. Je joue le jeu et lui dis que ce n’est pas grave, que je suis professionnel avant tout.
Elle enlève le haut et qu’elle n’est pas ma surprise quand je vois ses deux seins libres de tout soutient-gorge. Ils sont magnifiques, ils font très naturels, un bonnet C ou D mais pas démesurés, des tétons tendus à l’extrême... Elle me jette un regard pour voir ma réaction et elle voit bien qu’elle me fait de l’effet. Elle me tourne ensuite le dos et sans enlevé ses chaussures à talons baisse sa jupe en m’exposant ses fesses et son string à ficelle noir surmonté d’un petit brillant. Je suis scotché! Elle le voit et en rigole... et s’excuse à nouveau. Je me lance et lui dis que c’est la femme la plus sexy et belle que ce cabinet ait vu! Je lui propose de se mettre sur la table. Elle se dirige vers la table avec la démarche d’une mannequin. Je lui demande d’enlever ses talons qu’elle avait gardé pour m’allumer encore plus... Je me dis dans ma tête que c’est une sacré coquine pour me faire ça. Je commence par vérifier le traitement d’il y a 15 jours. Le bassin est encore un peu bloqué donc je recommence la technique jambes écartées. Son string est tellement micro que je vois tous!

Je continus ma séance en plaçant ma main sur son sacrum et comme la dernière fois j’ai sa petit chatte siamoise devant le nez mais là il y a très peu de tissus qui la camoufle. Je sais ce qui va se passer et j’ai mon sexe qui commence à se sentir à l’étroit dans mon boxer. Je lui demande de se mettre sur le ventre et pour en rajouter une couche au lieu de faire simple, elle descend de la table, remonte comme si elle enfourchait une moto et je vois tout. Mon érection malgré ma blouse est bien visible, mais je continu mon traitement. Elle se remet ensuite sur le dos et je pars à la tête. Je place mes mains sous sa nuque, je sens l’odeur de son chewing gum menthe extra forte. Elle ferme les yeux, j’en profite pour regarder sa poitrine magnifique. Ses tétons ont l’air si tendus, ça donne envie de téter. J’ai maintenant terminé, mais Aurélie me demande si je peux lui refaire un massage comme la dernière fois. J’accepte bien volontiers. Elle est sur le ventre donc je commence par les mains, les bras puis les épaules. Je passe très près de ses seins qui se pointent de plus en plus. L’envie est trop forte, je ne peux pas résister plus longtemps, je passe une main puis l’autre sur son sein droit, elle ouvre les yeux me regarde et me fait un sourire que j’ai interprété comme «enfin tu te lances!». Plus je les masse plus ils durcissent. Je descend maintenant vers les jambes, je commence aussi par les extrémités et remonte vers les cuisses qu’elle écarte d’elle même. Je lui frôle les grandes lèvres, elle se laisse totalement faire. Je lui demande de se mettre sur le ventre. Je verse un long filet d’huile le long de sa colonne vertébrale. Je masse le haut de ses épaules, me dirige vers ses reins et ses fessiers. A chaque passage je touche son string qui casse la fluidité du massage. En un éclair et sans que je ne demande rien, elle tombe le string et s'avachit de nouveau sur la table les jambes légèrement écartées. Je peux voir ses grandes lèvres luisantes s’ouvrir et se fermer à chaque passage.
J’accélère les choses en venant placer ma main droite sur son petit abricot. Je commence des petits mouvements circulaires qu’elle accompagne avec son bassin. Sa respiration s'accélère, elle mouille terriblement. J’attrape un gros coussin triangulaire, le place sous son ventre afin qu’elle m’offre son cul en l’air en restant parfaitement relâchée. Alors que je continu avec ma main droite à jouer avec son petit bouton, je commence sans difficulté à la pénétrer avec un doigt puis deux. Ce petit jeu dur au moins 5 minutes. J’entends ses gémissements s'accélérés puis se transformer en petits cris. D’un coup je sens mes doigts emprisonnés dans son vagin, Aurélie pousse un cris plus long que les autres, ses fesses se contractent! Elle reste quelques secondes à reprendre ses esprits, elle se redresse, attrape mes mains, me guide vers sa bouche pour un baisé fougueux digne de mes 15 ans.
Je sens ses mains me serrer, puis parcourir mon torse, mon ventre, mon dos puis la bosse sous mon jean. Déjà que j’étais en «forme» mon excitation est encore monté d’un cran. Elle se relève, on continu à s’embrasser tout en se dirigeant vers mon bureau. Elle me déboutonne mon pantalon qui tombe sur mes chaussures, plonge sa main dans mon boxer, vient me caresser avec sa main huileuse du massage ma verge turgescente et jouer avec mes testicules comme avec des boules chinoises. Elle me pousse alors sur mon fauteuil de bureau, me défait les chaussures, m’enlève mes chaussettes, me retire le pantalon et fait glisser mon caleçon. Je ne suis vêtu que de ma chemise et de ma blouse. J’ai la bite au zenith et le regard qu’Aurélie me lance ne fait rien pour diminuer les choses... Elle se pose sur moi à califourchon, je sens mon sexe se caler entre ses fesses. On s’embrasse comme des ados, alors qu’en même temps, elle monte puis descend lentement, fait des mouvements avec son bassin. Sa peau huileuse qui frotte sur mon gland le rend hypersensible. Elle se relève de nouveau et se place entre mes jambes. Tout en me regardant, elle guide ma bite vers sa bouche. Elle frotte mon gland sur ses lèvres en donnant quelques coups de langue par moment. Il ne faut pas qu’elle continu ce petit jeu car ça ne risque de ne pas durer longtemps. J’ai le bout brûlant quand elle l’introduit dans sa bouche qui me glace! Son chewing gum mentholé à l’effet d’un glaçon sur ma bite ce qui décuple les sensations, c’est une nouveauté pour moi et j’adore! Je commence des petits mouvements de bassin automatiques. Je sens dans sa bouche sa langue qui tourne autour de mon gland, c’est un régal. Je la relève car j’ai pas envie que ça finisse comme ça :)
par reverencieux
#1050411
bamvla a écrit :La suite plssss!

bien ecrit meme si bien inve,nté, la suite et fin...viiiite...
ça me rappelel ma femem avec son gyneco mais je n'ai pas eu tous ces details, j'ai donc imaginé
par xanxangori
#1051189
Oui c'est inventé... J'ai pas précisé en début de post (désolé pour le mal-entendu pour certain).


C'est un fantasme, j'ai eu quelques propositions mais je n'ai jamais franchi le pas. Si je franchi le cap un jour je vous le raconterai :)

Merci.

Si un modo passe par là, faut-il détruire le post et le recréer ailleurs?

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