- 22 mars 2012, 08:29
#1038065
"Ce vendredi, elle m'attendait à l'appartement. J'étais parti faire quelques courses avant qu'elle ne rentre. Elle avait passé du temps avec un monsieur avec qui elle a des échanges disons assez approfondis. J'ai su plus tard que c'est avec lui qu'elle avait choisi la tenue dans laquelle elle rentrerait à la maison. Le collant sans culotte lui avait été d'ailleurs suggéré par un fan de Jacquie et Michel. Ayant entendu le bruit de l'ascenseur qui s'arrêtait à l'étage, elle s'était mise à croupetons sur la chaise, se branlant main dans le collant, le rosebud qu'on lui avait enfilé à travers le collant ménageant un trou juste en face de son anus instrumenté. La surprise passée, j'ai saisi l'appareil photo. Très vite, elle est allée au lit en prenant ses airs de star. Allongée sur le lit, elle a remonté ses jambes sous ses bras et m'a demandé de lui découper l'entrejambe. La commande commençait. Elle avait envie que je remplisse son contrat. J'y ai mis du soin, découpant le collant le long de la couture, lui exhibant l'anus et le vagin. Ses lèvres étaient bien roses, moites, et le clito tendu sous son capuchon. Elle m'a laissé lui mettre la queue mais sans que j'ai la permission de me laisser aller en elle, juste pour sentir le frottement de ma grosse bite dans ses muqueuses. Au bord de jouir, j'ai dû me retirer la laissant se branler avant qu'elle ne me demande son gode et qu'elle commence à se le faire vibrer dedans. Elle me disait que c'était quand même moins bon qu'une bonne queue mais elle s'est masturbée pendant qu'elle me branlait le manche de la main gauche. Elle m'a demandé à ce que j'entre à nouveau et m'a confirmé que c'était bien meilleur de se mettre une queue qu'un gode. Elle a même joui alors que je n'avais pas le droit d'aller moi-même à l'orgasme.”
"Au moment où j'écris ce texte, madame est en main. Cela fait maintenant plusieurs semaines que cette idylle dure et rien ne laisse penser qu'elle va s'interrompre rapidement. Toujours est-il que je devais la conduire hier soir à ce monsieur qu'elle devait rejoindre vers les 21heures à environ deux heures de route de chez nous. Comme nous n'avons qu'une seule voiture, je devais assurer le transport et la déposer avec son bagage à proximité de chez lui, attendre qu'elle me fasse signe pour que je puisse repartir en étant sûr qu'elle serait prise en charge. Mais l'attente, dans l'après-midi, lui avait été lourde et, alors qu'elle préparait ses affaires, une valise remplie de ses atours les plus adaptés, elle a eu envie de se laisser aller à une branlette qui relâcherait sa tension sexuelle. Le faire seule à quoi bon si elle pouvait le faire avec quelqu'un qui contribuerait à l'exciter davantage en attendant de retrouver celui qui saurait, dans la nuit, tirer le meilleur parti de ses envies ? Quand elle m'a appelé, elle était nue sur notre lit et il ne lui restait que ce chemisier de satin crème, seul rescapé de ses essayages. Sexe à l'air, bien fourni comme de juste, cuisses impudiquement ouvertes laissant découvrir sa toison et sa saillie sexuelle entre les poils. Elle attendait que je la regarde, que je photographie et que je mette tout cela chez Jacquie et Michel : c'était une demande de celui qui la monterait ce soir. Comment résister à la demande lorsqu'elle est aussi expressément formulée ? Puis elle a enfilé son string, celui que je préfère pour la voir se branler, la main enfilée dessous. Je n'ai rien demandé. D'ailleurs je n'étais pas là pour demander mais pour favoriser son excitation. Pour cela elle m'a pris en main. Elle adore branler et sucer pendant qu'elle s'active les doigts pour sa branlette. Elle a joué des pieds aussi, ce qu'elle sait très bien faire également. Ma pine ne pouvait pas se refuser à ce traitement et répondait présente à toutes ses sollicitations. Le dernier bouton du chemisier a sauté, Elle a voulu se mettre les pinces aux seins que nous venons juste de recevoir, concession faite à son nouveau conquérant. Elle a frôlé dix fois l'orgasme libérateur avant de s'enfiler son gode noir vibrant dans l'anus et là encore elle a résisté à la montée du plaisir. Elle m'a demandé de venir prendre la place élargie par l'engin. J'ai dû poser l'appareil photo car enculer une femme dans la position du missionnaire ne laisse guère les mains libres. Je lui ai labouré comme il se doit l'anus et le rectum jusqu'à ce qu'elle déverse sa jouissance retenue. Suivant sa consigne, je n'ai pas éjaculé en elle, ce qui est réservé à l'amant, mais sur sa touffe”
"Nous avons dîné tôt ce soir-là car elle devait se préparer. Sa tenue était toute simple pourtant, juste un body noir et une très courte jupette, rien d'autre, et ses chaussures noires à talons hauts. Il était à peine 21h30, l'heure de son rendez-vous, quand elle a pris son téléphone. Impatiente, même quelques minutes en avance, elle qui ne se laisse pas presser normalement par le temps. Debout devant la petite bibliothèque, elle a composé le numéro. Elle a porté l'appareil à son oreille et je voyais sur son visage un peu de tension : si des fois il n'allait pas répondre, s'il avait un contretemps. L'attente a été un peu longue. Puis j'ai vu le déclic du téléphone sur le visage de ma femme. Puis un grand sourire, puis un : « Oui, bonjour mon chéri, je vais très bien et toi depuis hier ? ». Je n'entendais rien de ce qu'il disait mais je devinais qu'il la questionnait « Non, j'ai été très sage mon chéri ». « Oui comme tu me l'as dit, juste une jupe et mon body. Oui oui très très courte la jupe… Oui oui mon mari fait les photos rassure-toi ». Elle m'avait donné des instructions précises. Peu d'images, juste quand elle me ferait signe, juste pour montrer qu'elle remplissait son contrat avec lui et surtout je devais laisser ma queue dans mon slip, ne rien faire qui puisse la déconcentrer. Puis elle s'est retournée et m'a montré le dos, a soulevé la jupe, il fallait qu'elle montre qu'elle était bien en body… Ensuite, elle l'a dégrafé (c'était celui avec trois boutons pression) et elle avait la fente à l'air. Puis elle a dit « Oui mon chéri, je le suis » et elle a dit « d'accord ». Elle est allée au canapé où elle s'est assise, ouverte en grand. Elle semblait aux anges et la discussion semblait des plus sensuelles. « Oui mon chéri, je crois bien » et elle a porté la main à son sexe qu'elle avait évité jusque là « Oui mon chéri, je te confirme… je bande ! » et elle a éclaté de rire une nouvelle fois. Moi qui étais occupé à faire mes photos, je ne m'étais encore aperçu de rien ! L'érection énorme du clito de ma femme, l'ouverture de son coquillage rose, gonflé, ouvert en grand entre ses cuisses. Elle bandait ! Et pas de n'importe qu'elle bandaison ! Son clito pointait lui qui est tout petit et si difficile à dénicher durant la baise ! Je ne l'avais guère vu dans cet état plus d'une dizaine de fois durant nos rapports de couple en plus de 20ans. Et là, en à peine quinze minutes de conversation téléphonique, elle bandait comme une chienne en chaleur ! Elle suintait de la vulve, bonne à mettre, son visage exprimait la plus totale volupté, ses yeux se fermaient puis se rouvraient et elle ne faisait plus attention à moi. Puis elle s'est levée, est allée à la chambre, m'a fait signe de ne pas la suivre, elle s'est isolée avec lui sans penser à fermer la porte de la chambre et je n'ai pu que l'entendre jouir avec lui qui lui parlait au tél. Puis elle a dit des choses indécentes après l'orgasme, avec des mots qui signifiaient clairement son appartenance « Oui je suis ta petite p…., mon chéri ». « Oui à bientôt, vite c'est urgent ». Et, bien sûr, je n'ai eu droit à rien de plus…
"Elle m'avait quitté la veille dans l'après-midi et c'est dans la même tenue qu'elle me revenait ce matin-là dans un bar où je l'attendais, à peu de distance de la demeure de son Don Juan. C'est dans cette tenue sobre qu'il l'avait présentée la veille à des amis, hommes seuls et couples, en tout bien tout honneur à ce qu'elle me dit. Elle lui avait par contre demandé de pouvoir quitter son alliance car cela la gênait de la porter en de telles circonstances. Il avait bien compris la gêne d'apparaître comme une femme mariée qui venait cherchait sa dose de bite et c'est ainsi qu'il le lui avait dit crûment. Mais il lui avait précisé aussi qu'elle devait assumer, que le côté humiliant de la chose faisait partie du jeu, qu'elle pouvait rentrer chez elle si elle n'assumait pas ce qu'elle venait faire avec lui. Bien sûr, elle était restée tout en lui disant sans le convaincre qu'elle ne venait pas que pour la bite. Quand elle entra dans le bar, avec près d'une demi-heure de retard, elle avait une frimousse de papier mâché avec juste quelques traits de maquillage pour donner le change. La nuit avait été longue et le sommeil court mais elle ne m'en dit rien comme à son habitude. J'allais la ramener à la maison lorsqu'elle demanda que je la conduise en un lieu convenu que certains d'entre vous reconnaîtront peut-être, en bordure d'étangs, sur un chemin que fréquentent, surtout les dimanches d'hiver, des promeneurs de chiens d'un certain âge. Je compris à son ton que quelque chose était convenu et je la laissais faire. Elle semblait crispée, tendue. Comme à l'accoutumée, j'avais mon appareil photo et je compris très vite que j'aurais à m'en servir. Elle se dérida petit à petit et, quand son sexe fut à l'air ainsi que ses seins, quand elle vit que je savais gérer le passage des messieurs dans son dos sans qu'elle ait à montrer sa nudité et le caractère carrément obscène de sa tenue, elle se laissa faire. J'étais épaté de la voir ainsi complètement débraillée, sans sa culotte qu'elle lui avait livrée en tribut, le corsage grand ouvert dans cet endroit de passage. Je m'apprêtais à repartir lorsqu'elle me dit que nous n'avions pas fini, qu'il la voulait entièrement nue en plein air. Elle finit nue et hilare sur le chemin, suivant la commande. Nous pouvions rentrer à la maison, ses devoirs accomplis, sans que nous en parlions plus que ça.”
"Au moment où j'écris ce texte, madame est en main. Cela fait maintenant plusieurs semaines que cette idylle dure et rien ne laisse penser qu'elle va s'interrompre rapidement. Toujours est-il que je devais la conduire hier soir à ce monsieur qu'elle devait rejoindre vers les 21heures à environ deux heures de route de chez nous. Comme nous n'avons qu'une seule voiture, je devais assurer le transport et la déposer avec son bagage à proximité de chez lui, attendre qu'elle me fasse signe pour que je puisse repartir en étant sûr qu'elle serait prise en charge. Mais l'attente, dans l'après-midi, lui avait été lourde et, alors qu'elle préparait ses affaires, une valise remplie de ses atours les plus adaptés, elle a eu envie de se laisser aller à une branlette qui relâcherait sa tension sexuelle. Le faire seule à quoi bon si elle pouvait le faire avec quelqu'un qui contribuerait à l'exciter davantage en attendant de retrouver celui qui saurait, dans la nuit, tirer le meilleur parti de ses envies ? Quand elle m'a appelé, elle était nue sur notre lit et il ne lui restait que ce chemisier de satin crème, seul rescapé de ses essayages. Sexe à l'air, bien fourni comme de juste, cuisses impudiquement ouvertes laissant découvrir sa toison et sa saillie sexuelle entre les poils. Elle attendait que je la regarde, que je photographie et que je mette tout cela chez Jacquie et Michel : c'était une demande de celui qui la monterait ce soir. Comment résister à la demande lorsqu'elle est aussi expressément formulée ? Puis elle a enfilé son string, celui que je préfère pour la voir se branler, la main enfilée dessous. Je n'ai rien demandé. D'ailleurs je n'étais pas là pour demander mais pour favoriser son excitation. Pour cela elle m'a pris en main. Elle adore branler et sucer pendant qu'elle s'active les doigts pour sa branlette. Elle a joué des pieds aussi, ce qu'elle sait très bien faire également. Ma pine ne pouvait pas se refuser à ce traitement et répondait présente à toutes ses sollicitations. Le dernier bouton du chemisier a sauté, Elle a voulu se mettre les pinces aux seins que nous venons juste de recevoir, concession faite à son nouveau conquérant. Elle a frôlé dix fois l'orgasme libérateur avant de s'enfiler son gode noir vibrant dans l'anus et là encore elle a résisté à la montée du plaisir. Elle m'a demandé de venir prendre la place élargie par l'engin. J'ai dû poser l'appareil photo car enculer une femme dans la position du missionnaire ne laisse guère les mains libres. Je lui ai labouré comme il se doit l'anus et le rectum jusqu'à ce qu'elle déverse sa jouissance retenue. Suivant sa consigne, je n'ai pas éjaculé en elle, ce qui est réservé à l'amant, mais sur sa touffe”
"Nous avons dîné tôt ce soir-là car elle devait se préparer. Sa tenue était toute simple pourtant, juste un body noir et une très courte jupette, rien d'autre, et ses chaussures noires à talons hauts. Il était à peine 21h30, l'heure de son rendez-vous, quand elle a pris son téléphone. Impatiente, même quelques minutes en avance, elle qui ne se laisse pas presser normalement par le temps. Debout devant la petite bibliothèque, elle a composé le numéro. Elle a porté l'appareil à son oreille et je voyais sur son visage un peu de tension : si des fois il n'allait pas répondre, s'il avait un contretemps. L'attente a été un peu longue. Puis j'ai vu le déclic du téléphone sur le visage de ma femme. Puis un grand sourire, puis un : « Oui, bonjour mon chéri, je vais très bien et toi depuis hier ? ». Je n'entendais rien de ce qu'il disait mais je devinais qu'il la questionnait « Non, j'ai été très sage mon chéri ». « Oui comme tu me l'as dit, juste une jupe et mon body. Oui oui très très courte la jupe… Oui oui mon mari fait les photos rassure-toi ». Elle m'avait donné des instructions précises. Peu d'images, juste quand elle me ferait signe, juste pour montrer qu'elle remplissait son contrat avec lui et surtout je devais laisser ma queue dans mon slip, ne rien faire qui puisse la déconcentrer. Puis elle s'est retournée et m'a montré le dos, a soulevé la jupe, il fallait qu'elle montre qu'elle était bien en body… Ensuite, elle l'a dégrafé (c'était celui avec trois boutons pression) et elle avait la fente à l'air. Puis elle a dit « Oui mon chéri, je le suis » et elle a dit « d'accord ». Elle est allée au canapé où elle s'est assise, ouverte en grand. Elle semblait aux anges et la discussion semblait des plus sensuelles. « Oui mon chéri, je crois bien » et elle a porté la main à son sexe qu'elle avait évité jusque là « Oui mon chéri, je te confirme… je bande ! » et elle a éclaté de rire une nouvelle fois. Moi qui étais occupé à faire mes photos, je ne m'étais encore aperçu de rien ! L'érection énorme du clito de ma femme, l'ouverture de son coquillage rose, gonflé, ouvert en grand entre ses cuisses. Elle bandait ! Et pas de n'importe qu'elle bandaison ! Son clito pointait lui qui est tout petit et si difficile à dénicher durant la baise ! Je ne l'avais guère vu dans cet état plus d'une dizaine de fois durant nos rapports de couple en plus de 20ans. Et là, en à peine quinze minutes de conversation téléphonique, elle bandait comme une chienne en chaleur ! Elle suintait de la vulve, bonne à mettre, son visage exprimait la plus totale volupté, ses yeux se fermaient puis se rouvraient et elle ne faisait plus attention à moi. Puis elle s'est levée, est allée à la chambre, m'a fait signe de ne pas la suivre, elle s'est isolée avec lui sans penser à fermer la porte de la chambre et je n'ai pu que l'entendre jouir avec lui qui lui parlait au tél. Puis elle a dit des choses indécentes après l'orgasme, avec des mots qui signifiaient clairement son appartenance « Oui je suis ta petite p…., mon chéri ». « Oui à bientôt, vite c'est urgent ». Et, bien sûr, je n'ai eu droit à rien de plus…
"Elle m'avait quitté la veille dans l'après-midi et c'est dans la même tenue qu'elle me revenait ce matin-là dans un bar où je l'attendais, à peu de distance de la demeure de son Don Juan. C'est dans cette tenue sobre qu'il l'avait présentée la veille à des amis, hommes seuls et couples, en tout bien tout honneur à ce qu'elle me dit. Elle lui avait par contre demandé de pouvoir quitter son alliance car cela la gênait de la porter en de telles circonstances. Il avait bien compris la gêne d'apparaître comme une femme mariée qui venait cherchait sa dose de bite et c'est ainsi qu'il le lui avait dit crûment. Mais il lui avait précisé aussi qu'elle devait assumer, que le côté humiliant de la chose faisait partie du jeu, qu'elle pouvait rentrer chez elle si elle n'assumait pas ce qu'elle venait faire avec lui. Bien sûr, elle était restée tout en lui disant sans le convaincre qu'elle ne venait pas que pour la bite. Quand elle entra dans le bar, avec près d'une demi-heure de retard, elle avait une frimousse de papier mâché avec juste quelques traits de maquillage pour donner le change. La nuit avait été longue et le sommeil court mais elle ne m'en dit rien comme à son habitude. J'allais la ramener à la maison lorsqu'elle demanda que je la conduise en un lieu convenu que certains d'entre vous reconnaîtront peut-être, en bordure d'étangs, sur un chemin que fréquentent, surtout les dimanches d'hiver, des promeneurs de chiens d'un certain âge. Je compris à son ton que quelque chose était convenu et je la laissais faire. Elle semblait crispée, tendue. Comme à l'accoutumée, j'avais mon appareil photo et je compris très vite que j'aurais à m'en servir. Elle se dérida petit à petit et, quand son sexe fut à l'air ainsi que ses seins, quand elle vit que je savais gérer le passage des messieurs dans son dos sans qu'elle ait à montrer sa nudité et le caractère carrément obscène de sa tenue, elle se laissa faire. J'étais épaté de la voir ainsi complètement débraillée, sans sa culotte qu'elle lui avait livrée en tribut, le corsage grand ouvert dans cet endroit de passage. Je m'apprêtais à repartir lorsqu'elle me dit que nous n'avions pas fini, qu'il la voulait entièrement nue en plein air. Elle finit nue et hilare sur le chemin, suivant la commande. Nous pouvions rentrer à la maison, ses devoirs accomplis, sans que nous en parlions plus que ça.”