- 21 nov. 2011, 22:52
#858545
Nous sommes mariés depuis presque vingt ans ,la quarantaine, mon épouse Val est superbe, mince, cheveux noir au carré avec des seins menus et arrogants au pointes sensibles. Une tenue chic et des dessous affriolant lorsque nous sortons ,il n'est pas rare que Val se couvre de dessous ouverts très sexe pour mon plus grand bonheurs...
Elle apporte un soins à son corps et tous spécialement à son sexe au douce lèvres roses ,épilée entièrement, c'est une femme liane qui s'enroule autour d'un homme comme la plante autour d'un arbre ,la sève oui mais sans végétation.
Gémeaux de signe ,tantôt timide tantôt bravant les interdits, pleine de fantasmes mais un peu honte et inavoués
Un jour nous sommes sortie au cinéma voir un film d'action, elle ne portait qu'une petite robe de coton légère,mini string et soutien-gorge de chez Lola Luna. Nous nous sommes installés en haut ,la salle n'était occupée que de quelques personnes ou couples mais vraiment parsemés ,le film n'était pas commencé et les lumières étaient allumées. Nous discutions de chose et d'autres en nous tenant la main. Puis un homme seul rentra dans la salle ,seul ,auscultant le choix de sa place, un homme très classe pensais-je ,la trentaine ,grand et mince , brun à la barbe de trois jour, il était habillé très élégamment ,le genre de gars qui à du savoir vivre...Son regard porta sur nous et c'est à cette instant que la lumière s'atténua et que l'écran s'illumina, nous nous rapprochâmes de l'un et de l’autre Val ayant remonté ses jambes sur le siège.
Quelques minutes passèrent et j' aperçue une ombre venant de la droite du coté de mon épouse ,cette ombre s'assoyant à la droite même de ma douce,soufflé par cette certaine audace imprévu alors qu' un très grand nombres de sièges étaient libres,je m'interrogeais comme mon épouse d'ailleurs à l'échange du regard que nous avons eu à cette instant et puis dans un éclair de lumière je reconnue l'homme très classe rentré à la levée de rideau...
Je retournais doucement mais surement à la fiction qui se déroulait devant nos yeux abandonnant l’évènement qui nous avaient un peu surpris. Un bon quart d'heure passa et tous d'un coups Val eu un sursaut , je penchais la tête dans sa direction et lui demanda si cela allait ...elle me regardait droit dans les yeux sans me répondre ,à sa respiration légèrement saccadée, la bouche légèrement ouverte ,essayant de me marmonner quelque chose mais sans grandes réussites ,des sons me parvenais d'elle mais rien de compréhensible, ces yeux grands ouverts exprimaient d'une grande activité puis tous d'un coup ses paupières papillonnait légèrement et s'ouvrir de nouveau accompagné d'un petit râle étouffé,poussant un léger ha à la fin ,puis sa tête pencha vers mon oreille et me dit péniblement :pardon...je t'aimmmmeeeeuuu.....
Ne comprenant pas la situation de suite mais un doute survint dans ma tête et me pencha légèrement vers l'homme assit au coté de Val et d' un coups d’œil furtif je distingua dans la lueurs de la projection qu'une main du type était glissé sous la robe de mon épouse entre les jambes de celle-ci ,s'activant doucement au mouvement de la robe à lui pétrir les cuisses et je compris au sons qu'émettait la bouche de ma femme qu'il venait de lui pénétrer sa chatte avec ses doigts. Val me posa la main sur ma joue m’amenant à elle ,m'embrassa tendrement au début puis sa langue vint franchir la barrière de mes dents se mélangeant avec de plus en plus de force à la mienne,mélangeant nos salives ,puis dans un nouveau gémissement Val roula sa tête sur mon épaule et je pût apercevoir l'homme qui du coups avait pensé libre accès et avait retroussé sa robe jusqu'au nombril pour mieux l'explorer et apprécia de la trouver avec ce string ouvert laissant la voie libre à ce con gonflé ,à ce bouton sortit de son capuchon, à cette fente trempée de désir,ma Val râlait et se trémoussait doucement mais avait abandonnée toutes résistances à cette assaut ,ces jambes étaient désormais complétements ouvertes,poussant même son bassin vers l'intrus se tordant au prémisse du plaisir. Je bandais de façon incroyable. J 'aperçu la main libre du type libérant son sexe bandé d'une taille pas très longue mais assez grosse de circonférence avec un gland circoncis ,plus gros que la base presque impressionnant,est il me semblât humide à sa brillance,. L'homme attrapa avec douceur la main de mon épouse et guida celle-ci jusqu’à son membre ,les doigts de mon épouse s’enroulèrent tout d' abord avec hésitation puis s'enhardit doucement comme à la conquête d'une terre nouvelle,en premier lieu la base était imberbe avec de grosses testicules qu'elle serra dans ces mains les malaxant de l'une à l'autre puis sa main remonta suivant la légère courbe découvrant chaque millimètre de ce sexe ,Val commença à le masturber m'embrassant une nouvelle fois avec fougue, tendrement je l’interrompis pour lui faire changer de position ,elle se mit parfaitement assise les jambes écartées et posées sur les accoudoirs après avoir ôtée son string ,Val me regardait dans les yeux comme pour me dire merci avec amour ,elle repris ensuite le membre du type dans le main ,le regardant de sa splendeur, je sentis vraiment à cette instant le désir pour cette queue ,elle la voulait!
Lui avait repris possession de la vulve de ma femme que je perçu trempée de nectar ,et confirmation fût quand des bruits mouillés s'en échappa sous le mouvement des doigts de l' étranger,son vagin s'écartant inexorablement de plus en plus.... La main libre de mon épouse libéra ma queue qui me faisait mal tellement elle était bandé ,je coulait littéralement ,excitation trop forte ,mon amour me libérant quelque peu de cette pression par ces va et vient ...Tous à coup l'homme se penche et murmure quelque chose à Val, du coup elle nous repousse tendrement,se rajustant ,me regardant avec ce jolie regard malicieux que je connais ci bien en me disant assez fort pour qu'il l'entende aussi ,nous sommes invités à aller chez Marc prendre un verre...J'ai envie amour...tellement envie...Je vous veux tous les deux.
C’est alors que je la sens. Je la sens comme jamais je n’ai senti et n’en sentirai aucune autre. Elle s’est décidée à prendre les choses en main.Nos yeux s’accrochent dans la pénombre de la salle, s’interrogent. Nous y lisons le même désir, la même attente et sans trop réfléchir malgré le risque de rupture du charme des lieux, je me leva entrainant ma femme et suivit de cette homme qui ce nommait Marc. Une fois sortis du cinéma nous le suivîmes main dans la main ,sans paroles mais des regards appuyés de malice de complicités ,Marc appela un taxi apparue au loin et nous montâmes à bord de cette grosse berline Allemande,les trois à l'arrière Val au centre entre nous deux ,je aperçu à ce moment là que Val ne pouvait dissimuler grand chose de ces cuisses avec cette robe et sans culotte,elle était presque exposé. Pendant le trajet Marc posa sa main sur le haut de la cuisse de mon épouse, elle se pencha immédiatement vers moi pour m'embrasser langoureusement, sans plus attendre je m' empara de ma main droite d'un de ces seins en forme de poire lui titillant au travers de sa fine robe avec douceur ce bout particulièrement saillant ;J'observais avec intermittence tantôt le chauffeur de la limousine qui avait des regards furtif sur nous à l'aide des rétroviseurs, tantôt Marc qui ne ce freinait plus pour titiller de nouveau son clitoris ...Nous nous sommes même pas aperçu que le véhicule était à l’arrêt, arrivé à destination je supposa car le chauffeur était retourné ,sourire au lèvres,les yeux braqués entre les cuisses de ma femme qui sans s'en rendre compte les avait écarté au maximum pour aider Marc à son inquisition ... Sa chatte ainsi exposée ,totalement ouverte ,laissant apparaître au creux du sillon cette trainée laiteuse qui en disait long. Nous quittâmes le taxi laissant le chauffeur à ses rêves ,Marc nous fîmes rentrer dans une allée d'allure bourgeoise mais ancien ,il appela l’ascenseur qui était du style encore plus ancien me sembla t-il, aussi bien par la taille que par la ferronnerie ,une fois à l’intérieure le protocole long de l'ascenseur engagé ,je me retrouva contre la croupe de mon épouse qui elle même se retrouva appuyée poitrine contre poitrine contre celle de Marc, je me remis à exprimer mon désir par la dureté ,sans équivoque ma femme le sentie contre ses fesse et les remua de haut en bas frottant au passage sa poitrine contre celle de Marc, celui-ci commença à caresser ses épaule et délicatement de ses lèvre embrassa son cou ,en remontant ,délicatement à l'orée de la commissure de ses lèvres il pris possession des lèvres ,puis de la langue de ma douce qui succombais sans relâche au charme qu'opérait sur elle ,l’individu,il me sembla qu’elle perdit pied. Son trouble étant devenue si palpable qu’il décuplais le miens et le pire pour moi était de comprendre pourquoi j'aimais, j’appréciais au plus haut point toute cette situation...
Nous découvrîmes un petit appartement chaleureux et Marc nous invitât à nous installer dans un canapé confortable ,le style de canapé ou nous avons du mal à nous relever tant le il était molletonné et il nous servit à Val un Martini blanc avec une tranche de citron et à moi un Whisky sans glace ,il prit un verre de vin et s’installât dans le gros fauteuil qui nous faisait face,nous parlâmes de choses et d'autre et l'alcool aidant surtout pour Val ,la discutions se dirigeât assez vite sur le sexe ,les attentes de chacun, les tabous de l'autre, Val je suppose sans se rendre compte ,s'ouvrant à la vue de Marc qui développa une bosse sur son jean ,elle le remarqua et eu du mal à quitter la chose des yeux revenant sans cesse à cette endroit ,à ce moment là elle me pris la main et me la guida entre ces cuisses ,ce que je découvris ,je ne l'avais jamais sentis avant ce jour ,sa moule était gonflé de désir ,son bourgeon tendu comme une mini bite, ses lèvres totalement ouverte à vouloir aspirer tous ce qui pouvais passer à proximités, et une quantité incroyable de cyprine ,son jus coulait au dehors débordant avec rafale ,inondant jusqu’au ces fesses,même sa robe n'y échappa pas...
Je la fit se lever et d'un regard vers Marc pour lui faire comprendre de nous rejoindre ,ensemble nous finissons délicatement de la déshabiller entrecoupé de caresses ,je retrouve la vision de ses seins tendus que j'avais aperçu au cinéma, entourée de ces quatre mains qui n'ont plus de barrières et qui partent et reviennent dans toutes les parties du corps de mon épouse ,allant dans tous les recoins possible accompagné de savants doigtages à la rencontre de sa liqueur ,des spasmes traversent son corps ,je le sent...
A ce moment là Val entreprend de nous déshabiller et mutuellement nous l'aidons ,je suis le premier nu et Marc ne met pas longtemps à me rejoindre ,ma douce s'agenouilla à cette instant regardant de part et d'autre nos deux sexes tendus vers elle, observant un peu plus celui de Marc qui est une nouveauté ,puis nous prend par les testicules ,nous massant ,nous caressant, je suis le premier qui est droit à un coup de langue sur le gland ce qui à pour but de m'essuyer du nectar qui coule de moi ,tournant la tête vers la queue de Marc elle n'agit pas de la même ,mais part de la base et remontant jusqu'à la naissance du gland qui n'a pas d'autre effet de faire sursauter celui-ci et de grossir le gland encore plus ,elle s'amuse à ce jeu tous en me caressant,me masturbant de son autre main ,Marc à les yeux fermés ,à voir les gouttelettes sortir et couler le long de sa queue ,il apprécie à sa juste valeur la montée du désir que lui prodigue ma douce, et d'un coup sans prévenir elle le happe frénétiquement sous le cris de surprise ou de sa sensibilité accru, elle le pompe ,le suçote ,le tète ,le ressortant de ça bouche pour descendre sur ses testicules qui seront léchées ,mordillées, puis remontant la langue sortie dardée contre le pieu tendu de cet l'homme, elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré ,je reste un peu spectateur mais par sur ma faim tant le plaisir de Val est fort et il l'est c'est sur, de plus le spectacle est terriblement excitant ,je me retiens ne de pas abandonner le feu qui est en moi...
Val décide la fin de cette interlude ,se lève sans nous lâcher nos queues ,nous tirant presque pour nous diriger vers le sofa ,c'est elle qui nous indique les places de chacun ,elle s'allonge sur le dos ,pousse Marc vers le bas et moi vers le haut, nous comprenons de suite ses désirs ,Marc attrape au passage un préservatif et l'enfile .C’est une folie douce qui s’est emparée de nous pensais-je alors qu’il commença à l'enfourcher ;je suis déjà à porter de la bouche de mon épouse que déjà sa langue vient rejoindre mon sexe ,un autre sexe se présente déjà à l'entrée de la grotte de mon amour ,il se frotte à elle ,écartant au passage ses lèvres gonflées et étalant la mouille qui c'est accumulé avec quantité ,sa queue est alors enduite de ce nectar que j'apprécie tant, il pose la tête et rentre doucement ,je devine l'endroit bouillonnant ,la sensation doit être voluptueuse, divine, les parois de son vagin doive le serrer comme un gant...Ma Miss est à l’arrêt ,elle délecte ce moment avec ma queue ou du moins mon gland à l’intérieure de sa bouche,
elle se délecte de son épaisseur, elle jouit de sa force, de sa rigidité, de sa désir pour elle. Son sexe agit comme une bouche avide, cherchant à le boire, à le vider jusqu’à la dernière goutte. Elle se renverse avec force contre lui tandis que les contractions s’intensifient, se précisent, se multiplient,elle ouvre sa bouche et un long râle survint exprimant un orgasme dû à la pénétration profonde de la queue de Marc,il est au fond, il ne bouge plus ,regardant comme moi et avec plaisir immense la réaction extasique de mon épouse, les yeux mie clos ,elle jouit ,d'une force violente ,Marc active alors ces va et vient déclenchant de long petit cris de ma douce qui s'active en essayant de pas mordre ma queue m’empoignant avec fermeté et douceur elle me fait aller et venir, variant pression et vitesse. Mon corps se tord involontairement sous la caresse, mon plaisir a maintenant pris racine loin, très loin en moi. Le bruit montant de ventouse mouillée que Marc produit dans son vagin ruisselant témoigne sans vergogne de son plaisir , Marc ne s’arrête pas la ,il prend en bouche et virevoltant avec sa langue les tétons roses turgescents de ma douce puis remonte et prend possession de sa bouche que ma femme qui est libérée temporairement pour lui en continuant de me titiller avec volupté le gland de sa main ,au départ les baisers sont chastes et sensuelles puis très vite les langues sont passionnelles sortant de leur fourreaux ,les lèvres ne ce touchant presque plus ,les salives se mélangeant avec fougues ne nombreuses jouissances et cris de mon épouses surviennent encore ,la queue de Marc est bien emprisonnée dans ce trou gluant de douceur remplit de soubresauts par vagues incessantes et cinglantes,elle se met à nous crier de la prendre fort, de la baiser et il ne s’agit pas d’un ordre ,mais d une nécessité. Marc la tiens fermement par les hanches et désormais il la baise comme la femelle déchaînée qu’elle est, ma queue dans sa bouche je n'en peut plus,il s’enfonce sauvagement en elle ,il ne pourrais la pénétrer plus profond, il manque de la soulever à chaque coup de boutoir. Une plainte sourde monte en moi, plainte que j’ai beaucoup de peine à réprimer. Le dénouement du film approche,les cris se font stridents,les souffles sont courts, elle se noie dans ce déluge sensoriel, sentant l’orgasme arriver pour une multitude de fois mais se retient du mieux qu’elle peut car elle ne veut pas jouir toute seule. Il reste enfoncé,tous comme moi et déchargeons en elle ,vidant notre sang blanc en à-coups sauvages, elle sent l’écume envahir sa bouche ,sa gorge et son bas ventre et se tend comme un arc avant de jouir à son tour en secousses spasmodiques ...
Nos souffles calmés, nos corps apaisés, nous nous sommes rhabillés, réajustés, avant de filer par la sortie allez savoir pourquoi mais ce jour-là, nous ne voulions plus personne entre le soleil et nous.
Elle apporte un soins à son corps et tous spécialement à son sexe au douce lèvres roses ,épilée entièrement, c'est une femme liane qui s'enroule autour d'un homme comme la plante autour d'un arbre ,la sève oui mais sans végétation.
Gémeaux de signe ,tantôt timide tantôt bravant les interdits, pleine de fantasmes mais un peu honte et inavoués
Un jour nous sommes sortie au cinéma voir un film d'action, elle ne portait qu'une petite robe de coton légère,mini string et soutien-gorge de chez Lola Luna. Nous nous sommes installés en haut ,la salle n'était occupée que de quelques personnes ou couples mais vraiment parsemés ,le film n'était pas commencé et les lumières étaient allumées. Nous discutions de chose et d'autres en nous tenant la main. Puis un homme seul rentra dans la salle ,seul ,auscultant le choix de sa place, un homme très classe pensais-je ,la trentaine ,grand et mince , brun à la barbe de trois jour, il était habillé très élégamment ,le genre de gars qui à du savoir vivre...Son regard porta sur nous et c'est à cette instant que la lumière s'atténua et que l'écran s'illumina, nous nous rapprochâmes de l'un et de l’autre Val ayant remonté ses jambes sur le siège.
Quelques minutes passèrent et j' aperçue une ombre venant de la droite du coté de mon épouse ,cette ombre s'assoyant à la droite même de ma douce,soufflé par cette certaine audace imprévu alors qu' un très grand nombres de sièges étaient libres,je m'interrogeais comme mon épouse d'ailleurs à l'échange du regard que nous avons eu à cette instant et puis dans un éclair de lumière je reconnue l'homme très classe rentré à la levée de rideau...
Je retournais doucement mais surement à la fiction qui se déroulait devant nos yeux abandonnant l’évènement qui nous avaient un peu surpris. Un bon quart d'heure passa et tous d'un coups Val eu un sursaut , je penchais la tête dans sa direction et lui demanda si cela allait ...elle me regardait droit dans les yeux sans me répondre ,à sa respiration légèrement saccadée, la bouche légèrement ouverte ,essayant de me marmonner quelque chose mais sans grandes réussites ,des sons me parvenais d'elle mais rien de compréhensible, ces yeux grands ouverts exprimaient d'une grande activité puis tous d'un coup ses paupières papillonnait légèrement et s'ouvrir de nouveau accompagné d'un petit râle étouffé,poussant un léger ha à la fin ,puis sa tête pencha vers mon oreille et me dit péniblement :pardon...je t'aimmmmeeeeuuu.....
Ne comprenant pas la situation de suite mais un doute survint dans ma tête et me pencha légèrement vers l'homme assit au coté de Val et d' un coups d’œil furtif je distingua dans la lueurs de la projection qu'une main du type était glissé sous la robe de mon épouse entre les jambes de celle-ci ,s'activant doucement au mouvement de la robe à lui pétrir les cuisses et je compris au sons qu'émettait la bouche de ma femme qu'il venait de lui pénétrer sa chatte avec ses doigts. Val me posa la main sur ma joue m’amenant à elle ,m'embrassa tendrement au début puis sa langue vint franchir la barrière de mes dents se mélangeant avec de plus en plus de force à la mienne,mélangeant nos salives ,puis dans un nouveau gémissement Val roula sa tête sur mon épaule et je pût apercevoir l'homme qui du coups avait pensé libre accès et avait retroussé sa robe jusqu'au nombril pour mieux l'explorer et apprécia de la trouver avec ce string ouvert laissant la voie libre à ce con gonflé ,à ce bouton sortit de son capuchon, à cette fente trempée de désir,ma Val râlait et se trémoussait doucement mais avait abandonnée toutes résistances à cette assaut ,ces jambes étaient désormais complétements ouvertes,poussant même son bassin vers l'intrus se tordant au prémisse du plaisir. Je bandais de façon incroyable. J 'aperçu la main libre du type libérant son sexe bandé d'une taille pas très longue mais assez grosse de circonférence avec un gland circoncis ,plus gros que la base presque impressionnant,est il me semblât humide à sa brillance,. L'homme attrapa avec douceur la main de mon épouse et guida celle-ci jusqu’à son membre ,les doigts de mon épouse s’enroulèrent tout d' abord avec hésitation puis s'enhardit doucement comme à la conquête d'une terre nouvelle,en premier lieu la base était imberbe avec de grosses testicules qu'elle serra dans ces mains les malaxant de l'une à l'autre puis sa main remonta suivant la légère courbe découvrant chaque millimètre de ce sexe ,Val commença à le masturber m'embrassant une nouvelle fois avec fougue, tendrement je l’interrompis pour lui faire changer de position ,elle se mit parfaitement assise les jambes écartées et posées sur les accoudoirs après avoir ôtée son string ,Val me regardait dans les yeux comme pour me dire merci avec amour ,elle repris ensuite le membre du type dans le main ,le regardant de sa splendeur, je sentis vraiment à cette instant le désir pour cette queue ,elle la voulait!
Lui avait repris possession de la vulve de ma femme que je perçu trempée de nectar ,et confirmation fût quand des bruits mouillés s'en échappa sous le mouvement des doigts de l' étranger,son vagin s'écartant inexorablement de plus en plus.... La main libre de mon épouse libéra ma queue qui me faisait mal tellement elle était bandé ,je coulait littéralement ,excitation trop forte ,mon amour me libérant quelque peu de cette pression par ces va et vient ...Tous à coup l'homme se penche et murmure quelque chose à Val, du coup elle nous repousse tendrement,se rajustant ,me regardant avec ce jolie regard malicieux que je connais ci bien en me disant assez fort pour qu'il l'entende aussi ,nous sommes invités à aller chez Marc prendre un verre...J'ai envie amour...tellement envie...Je vous veux tous les deux.
C’est alors que je la sens. Je la sens comme jamais je n’ai senti et n’en sentirai aucune autre. Elle s’est décidée à prendre les choses en main.Nos yeux s’accrochent dans la pénombre de la salle, s’interrogent. Nous y lisons le même désir, la même attente et sans trop réfléchir malgré le risque de rupture du charme des lieux, je me leva entrainant ma femme et suivit de cette homme qui ce nommait Marc. Une fois sortis du cinéma nous le suivîmes main dans la main ,sans paroles mais des regards appuyés de malice de complicités ,Marc appela un taxi apparue au loin et nous montâmes à bord de cette grosse berline Allemande,les trois à l'arrière Val au centre entre nous deux ,je aperçu à ce moment là que Val ne pouvait dissimuler grand chose de ces cuisses avec cette robe et sans culotte,elle était presque exposé. Pendant le trajet Marc posa sa main sur le haut de la cuisse de mon épouse, elle se pencha immédiatement vers moi pour m'embrasser langoureusement, sans plus attendre je m' empara de ma main droite d'un de ces seins en forme de poire lui titillant au travers de sa fine robe avec douceur ce bout particulièrement saillant ;J'observais avec intermittence tantôt le chauffeur de la limousine qui avait des regards furtif sur nous à l'aide des rétroviseurs, tantôt Marc qui ne ce freinait plus pour titiller de nouveau son clitoris ...Nous nous sommes même pas aperçu que le véhicule était à l’arrêt, arrivé à destination je supposa car le chauffeur était retourné ,sourire au lèvres,les yeux braqués entre les cuisses de ma femme qui sans s'en rendre compte les avait écarté au maximum pour aider Marc à son inquisition ... Sa chatte ainsi exposée ,totalement ouverte ,laissant apparaître au creux du sillon cette trainée laiteuse qui en disait long. Nous quittâmes le taxi laissant le chauffeur à ses rêves ,Marc nous fîmes rentrer dans une allée d'allure bourgeoise mais ancien ,il appela l’ascenseur qui était du style encore plus ancien me sembla t-il, aussi bien par la taille que par la ferronnerie ,une fois à l’intérieure le protocole long de l'ascenseur engagé ,je me retrouva contre la croupe de mon épouse qui elle même se retrouva appuyée poitrine contre poitrine contre celle de Marc, je me remis à exprimer mon désir par la dureté ,sans équivoque ma femme le sentie contre ses fesse et les remua de haut en bas frottant au passage sa poitrine contre celle de Marc, celui-ci commença à caresser ses épaule et délicatement de ses lèvre embrassa son cou ,en remontant ,délicatement à l'orée de la commissure de ses lèvres il pris possession des lèvres ,puis de la langue de ma douce qui succombais sans relâche au charme qu'opérait sur elle ,l’individu,il me sembla qu’elle perdit pied. Son trouble étant devenue si palpable qu’il décuplais le miens et le pire pour moi était de comprendre pourquoi j'aimais, j’appréciais au plus haut point toute cette situation...
Nous découvrîmes un petit appartement chaleureux et Marc nous invitât à nous installer dans un canapé confortable ,le style de canapé ou nous avons du mal à nous relever tant le il était molletonné et il nous servit à Val un Martini blanc avec une tranche de citron et à moi un Whisky sans glace ,il prit un verre de vin et s’installât dans le gros fauteuil qui nous faisait face,nous parlâmes de choses et d'autre et l'alcool aidant surtout pour Val ,la discutions se dirigeât assez vite sur le sexe ,les attentes de chacun, les tabous de l'autre, Val je suppose sans se rendre compte ,s'ouvrant à la vue de Marc qui développa une bosse sur son jean ,elle le remarqua et eu du mal à quitter la chose des yeux revenant sans cesse à cette endroit ,à ce moment là elle me pris la main et me la guida entre ces cuisses ,ce que je découvris ,je ne l'avais jamais sentis avant ce jour ,sa moule était gonflé de désir ,son bourgeon tendu comme une mini bite, ses lèvres totalement ouverte à vouloir aspirer tous ce qui pouvais passer à proximités, et une quantité incroyable de cyprine ,son jus coulait au dehors débordant avec rafale ,inondant jusqu’au ces fesses,même sa robe n'y échappa pas...
Je la fit se lever et d'un regard vers Marc pour lui faire comprendre de nous rejoindre ,ensemble nous finissons délicatement de la déshabiller entrecoupé de caresses ,je retrouve la vision de ses seins tendus que j'avais aperçu au cinéma, entourée de ces quatre mains qui n'ont plus de barrières et qui partent et reviennent dans toutes les parties du corps de mon épouse ,allant dans tous les recoins possible accompagné de savants doigtages à la rencontre de sa liqueur ,des spasmes traversent son corps ,je le sent...
A ce moment là Val entreprend de nous déshabiller et mutuellement nous l'aidons ,je suis le premier nu et Marc ne met pas longtemps à me rejoindre ,ma douce s'agenouilla à cette instant regardant de part et d'autre nos deux sexes tendus vers elle, observant un peu plus celui de Marc qui est une nouveauté ,puis nous prend par les testicules ,nous massant ,nous caressant, je suis le premier qui est droit à un coup de langue sur le gland ce qui à pour but de m'essuyer du nectar qui coule de moi ,tournant la tête vers la queue de Marc elle n'agit pas de la même ,mais part de la base et remontant jusqu'à la naissance du gland qui n'a pas d'autre effet de faire sursauter celui-ci et de grossir le gland encore plus ,elle s'amuse à ce jeu tous en me caressant,me masturbant de son autre main ,Marc à les yeux fermés ,à voir les gouttelettes sortir et couler le long de sa queue ,il apprécie à sa juste valeur la montée du désir que lui prodigue ma douce, et d'un coup sans prévenir elle le happe frénétiquement sous le cris de surprise ou de sa sensibilité accru, elle le pompe ,le suçote ,le tète ,le ressortant de ça bouche pour descendre sur ses testicules qui seront léchées ,mordillées, puis remontant la langue sortie dardée contre le pieu tendu de cet l'homme, elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré ,je reste un peu spectateur mais par sur ma faim tant le plaisir de Val est fort et il l'est c'est sur, de plus le spectacle est terriblement excitant ,je me retiens ne de pas abandonner le feu qui est en moi...
Val décide la fin de cette interlude ,se lève sans nous lâcher nos queues ,nous tirant presque pour nous diriger vers le sofa ,c'est elle qui nous indique les places de chacun ,elle s'allonge sur le dos ,pousse Marc vers le bas et moi vers le haut, nous comprenons de suite ses désirs ,Marc attrape au passage un préservatif et l'enfile .C’est une folie douce qui s’est emparée de nous pensais-je alors qu’il commença à l'enfourcher ;je suis déjà à porter de la bouche de mon épouse que déjà sa langue vient rejoindre mon sexe ,un autre sexe se présente déjà à l'entrée de la grotte de mon amour ,il se frotte à elle ,écartant au passage ses lèvres gonflées et étalant la mouille qui c'est accumulé avec quantité ,sa queue est alors enduite de ce nectar que j'apprécie tant, il pose la tête et rentre doucement ,je devine l'endroit bouillonnant ,la sensation doit être voluptueuse, divine, les parois de son vagin doive le serrer comme un gant...Ma Miss est à l’arrêt ,elle délecte ce moment avec ma queue ou du moins mon gland à l’intérieure de sa bouche,
elle se délecte de son épaisseur, elle jouit de sa force, de sa rigidité, de sa désir pour elle. Son sexe agit comme une bouche avide, cherchant à le boire, à le vider jusqu’à la dernière goutte. Elle se renverse avec force contre lui tandis que les contractions s’intensifient, se précisent, se multiplient,elle ouvre sa bouche et un long râle survint exprimant un orgasme dû à la pénétration profonde de la queue de Marc,il est au fond, il ne bouge plus ,regardant comme moi et avec plaisir immense la réaction extasique de mon épouse, les yeux mie clos ,elle jouit ,d'une force violente ,Marc active alors ces va et vient déclenchant de long petit cris de ma douce qui s'active en essayant de pas mordre ma queue m’empoignant avec fermeté et douceur elle me fait aller et venir, variant pression et vitesse. Mon corps se tord involontairement sous la caresse, mon plaisir a maintenant pris racine loin, très loin en moi. Le bruit montant de ventouse mouillée que Marc produit dans son vagin ruisselant témoigne sans vergogne de son plaisir , Marc ne s’arrête pas la ,il prend en bouche et virevoltant avec sa langue les tétons roses turgescents de ma douce puis remonte et prend possession de sa bouche que ma femme qui est libérée temporairement pour lui en continuant de me titiller avec volupté le gland de sa main ,au départ les baisers sont chastes et sensuelles puis très vite les langues sont passionnelles sortant de leur fourreaux ,les lèvres ne ce touchant presque plus ,les salives se mélangeant avec fougues ne nombreuses jouissances et cris de mon épouses surviennent encore ,la queue de Marc est bien emprisonnée dans ce trou gluant de douceur remplit de soubresauts par vagues incessantes et cinglantes,elle se met à nous crier de la prendre fort, de la baiser et il ne s’agit pas d’un ordre ,mais d une nécessité. Marc la tiens fermement par les hanches et désormais il la baise comme la femelle déchaînée qu’elle est, ma queue dans sa bouche je n'en peut plus,il s’enfonce sauvagement en elle ,il ne pourrais la pénétrer plus profond, il manque de la soulever à chaque coup de boutoir. Une plainte sourde monte en moi, plainte que j’ai beaucoup de peine à réprimer. Le dénouement du film approche,les cris se font stridents,les souffles sont courts, elle se noie dans ce déluge sensoriel, sentant l’orgasme arriver pour une multitude de fois mais se retient du mieux qu’elle peut car elle ne veut pas jouir toute seule. Il reste enfoncé,tous comme moi et déchargeons en elle ,vidant notre sang blanc en à-coups sauvages, elle sent l’écume envahir sa bouche ,sa gorge et son bas ventre et se tend comme un arc avant de jouir à son tour en secousses spasmodiques ...
Nos souffles calmés, nos corps apaisés, nous nous sommes rhabillés, réajustés, avant de filer par la sortie allez savoir pourquoi mais ce jour-là, nous ne voulions plus personne entre le soleil et nous.