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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par luke38
#1073397
Comment je suis devenue coquine...
Mon mari et moi sommes ensemble depuis 15 ans et les années n'ont pas altéré notre désir.
Bien sûr, deux enfants ont eu parfois raison de notre intimité, mais n'ont pas émoussé notre complicité ni notre envie l'un de l'autre.

Pour éviter de tomber dans la routine qu'une vie quotidienne et professionnelle peut engendrer, pour garder le souvenir des nuits torrides de nos premiers ébats, et grâce à la curiosité de mon compagnon, nous avons commencé il y a peu à utiliser le net pour découvrir de nouvelles pratiques que je ne me serais pourtant jamais cru capable d'envisager !

Complice pourtant, Il a tout d'abord été seul visiter des fiches coquines, puis tchater avec des inconnus à qui il envoyait des photos de moi prises au bord de la piscine. Il le faisait sans se cacher mais se gardait bien de s'en venter et c'est ainsi que je l'ai découvert :
Un matin,alors qu'il me croyait partie au travail, je l'ai surpris, le nez planté devant son écran, une main tapotant sur le clavier pendant que quelques mouvements explicites faisaient bouger la couette le long de ses jambes. Je l'ai observé plusieurs minutes avant de me rendre compte que je mouillais sérieusement alors que ma colère de le voir se faire du bien sans moi montait au même rythme que mon désir de remplacer sa main cachée par ma bouche excitée. Il ne me voyait pas l'observer, transporté par son nouveau plaisir et concentré sur des images que je ne pouvais pas voir de mon point d'observation...
(à suivre)
par luke38
#1073406
Je me suis écartée de mon guet, sans bruit et suis partie sans qu'il ne sache rien de mon espionnage, les lèvres gonflées et l'envie folle d'être prise sur le champ.
Aux aurores rentrant à la maison, et alors que j'avais toute la journée été ballottée entre l'envie de le gifler et celle de lui faire passer l'appétit d'aller mater ailleurs, je me suis surprise à le désirer plus que jamais. Ces sentiments contradictoires, qui sont l'apanage des femmes, me laissaient perplexes. Je n'abordais pas le sujet tout de suite, cherchant l'occasion de le faire parler mine de rien.
Rien ne vint ce soir là, les mots furent remplacés par une nuit où je découvris enfin ce qu'était le fantasme, et plus particulièrement le mien : je me le représentais en train de se masturber devant des images de femmes nues, belles et excitantes, les jambes écartées, la croupe offerte. Cette nuit , j'eus comme d'habitude plusieurs orgasmes et le plaisir démultiplié encouragé par les images qui me trottaient dans la tête.
Les jours passèrent ; en bonne curieuse que je suis j'avais réussi à découvrir les sites sur lesquelles il se rendait et fut rassurée de voir que non seulement il ne cherchait pas à me tromper mais qu'il dressait de moi un tableau plus que flatteur aux hommes et couples à qui il ouvrait sa galerie de photos.
N'empêche que nous n'avions toujours pas abordé le sujet, et que j'étais toujours le cul entre deux chaises.
Mais cela avait le mérite d'avoir fait naître en moi de nouvelles sensations et une envie grandissante d'assouvir de nouveaux plaisirs. ...
(à suivre)
par luke38
#1073408
Un matin enfin, j'eus l'occasion de jouer à nouveau les espionnes et cette fois ne battis pas en retraite.
Prise de se désir de le surprendre en pleine excitation solitaire, de le mettre devant le fait encore non accompli, j'entrais discrètement dans la maison, écoutant attentivement son souffle s’accélérer sous ses caresses en même temps que le bruissement frénétique de sa masturbation.
Quand il me vit enfin, il s'arrêta tout net, ne sachant ce que j'avais pu découvrir, précipitant à la fois son doigt sur son pad et sa main hors de la couette. Je fis à mon tour comme si de rien n'était, entrait dans la chambre à la recherche d'un objet oublié et avec toute l'ingénuité dont je pouvais me doter, lui fit un grand sourire, l'embrassais sur les lèvres encore chaudes de plaisir, jetant un œil discret à l'écran en veille (le malin!) demandant quelles étaient les nouvelles du front qu'il avait lui même luisant!
-Pas grand chose, je zappe...
Et moi de glisser en même temps que ma main sous les couvertures à la recherche de sa queue sans doute encore raide, la réponse à ce mensonge effronté :
-Et bien de ce « pas grand choses »te donne bien chaud en tout cas ! Et de bien drôles de formes ! Que regardais-tu donc de si émoustillant autre que les infos ?
-Tu veux voir ?
Oui, je suis de nature curieuse, et ne voulais surtout pas laisser passer une belle occasion d'assouvir cette intérêt. Mais jalouse par essence aussi, je ne savais pas trop si tout cela allait me plaire. Pendant que je caressais doucement ses ardeurs retombées, il alla en un clic sur un de ses sites favoris où l'on voyait tout un tas de belles femmes en dessous affriolants, en vint à m'ouvrir une fiche d'invitation qu'il avait crée dans le but avoué de me faire découvrir les plaisirs de rencontres coquines, et finit par me faire lire le dernier tchat ouvert.
Je continuais doucement à le caresser mais une sensation de malaise me minait tout de même. Je ne savais que penser, que ressentir...je laissais à plus tard mes doutes et mes préjugés, et m'occupais avec plus d'attention de son membre à nouveau raidi sans doute par la joie de m'avoir dévoilé un peu de ses fantasmes sans que j'en vienne à claquer une porte de rage !
Le tchat resta en suspend pendant que la chambre se remplissait de mes petits cris de plaisir, de ma jouissance intermittente, de ses râles de vertige, de l'odeur de nos sueurs mêlées et de l'extase de notre orgasme final et commun.

Les soirs suivants, nous ouvrions l'ordinateur, à la recherche de quelques complices, tchatant avec les uns, matant quelques photos d'autres, jusqu'à tomber sur un homme drôle et fin, qui non content de ne pas se prendre au sérieux prenait en malin plaisir à exciter notre curiosité et notre libido. C'est sur lui que tomba notre premier dévolu.
Chaque nuit qui suivait notre saine curiosité, nous alimentions un peu plus nos ébats, agrémentions nos échanges de quelques objets achetés pour l'occasion, cadeaux surprise fait l'un à l'autre, l'un pour l'autre. Et notre comparse nourrissait nos fantasmes et sustentait notre premier scénario libertin.

Le jour J vint enfin,
(à suivre)
par luke38
#1073447
Le jour J vint enfin, notre première rencontre coquine allait avoir lieu : l'homme n'avait pas sa femme à qui il avait offert une soirée libertine entre amis . Qu'à cela ne tienne, nous étions lancés et rien ne pouvait plus nous arrêter. Mon homme voulait que je rencontra notre complice seule, dans un bar de centre ville, vêtue d'une jupe légère, et d'un top qui énonçait mes formes sportives. J'avais pris soin de mettre un string qui se devinait dès lors que je me penchais légèrement vers l'avant et un soutien gorge assorti, très échancré qui mettait en valeur la gorge de mon buste. Mes talons révélaient le galbe de mes cuisses, et la courbe de mes mollets.
Mon homme donc se tenait posté à quelques tables de là, visage anonyme au milieu du reste des consommateurs, et matait avec allégresse sa femme allumeuse qui souriait à l'inconnu. Car les tchat ne sont révélateurs que d'une infime part de l'être, le visu rend la chose à la fois plus troublante et plus excitante. Il savait mes goûts, mes envies, je connaissais les leur mais nous n'avions pas laisser apparaître nos visages avant ce fameux soir. Je n'étais pas déçue, il ne le semblait pas non plus. Après quelques échanges anodins, quelques déplacements équivoques pour ne pas laisser place au hasard, nos mains finir par se toucher, électrisés à l'idée que nous faisions quelque chose de coquin dans un lieu qui ne l'était pas, émoustillés par la suite que nous avions scénarisée.
Mon homme regardait cela de son œil fripon, le compagnon de fortune ne sachant toujours pas où il se trouvait et moi encline à montrer que j'étais prête. L'idée de cette première soirée à trois me donnait des ailes, j'osais laisser mes cuisses s'entrouvrir sous la table dès qu'il se penchait vers l'arrière, au risque d'être vue par d'autres. Je savais qu'il savait, je voyais que mon homme avait une vue sur mon culot, et je mouillais rien que d'imaginer leur ardeur non révélée.
Les seuls échanges que nous avions couples à couples étaient relayés par nos portables respectifs qui n'avaient de cesse de vibrer autant que nos désirs naissants.
Une fois les premières lignes tracées, nous sortîmes du bar, mon compagnon à quelques pas de nous accéléra l'allure pour se poster à mon côté et révéler enfin son identité. Pas besoin de présentations, les mots n'avaient plus leur place, seule l'aura de nos corps laissait présager de la suite.
Nous serions trois pour cette première expérience et je n'en voulais pas à ma congénère d'avoir préféré ses hôtes à notre présence...
(à suivre)
par luke38
#1073462
Le contact sur mes lèvres gonflées était doux et respectueux. Une langue coquine les écartaient, fouillant avec délicatesse, explorant chaque recoin de mon entre-jambe détrempé pendant qu'une autre langue toute aussi sensuelle partageait la mienne, goulûment, empreinte de désir, chaude et humide. Les doigts accompagnaient la langue sur mon sexe, le pénétrant, se retirant quelques instants, revenant à la charge, couplés, triplés, quadruplés tant j'étais ouverte. À chaque seconde je repoussais l'arrivée du premier orgasme tant je voulais que ce temps s'éternise. Mon corps tressaillait sous la puissance de l'attente, jusqu'à ce qu'enfin il se libère du premier assaut de plaisir, éclaboussant tout sur son passage, du menton jusqu'au col de cet amant nouveau.
Je ne savais pas s'il avait déjà eu l'expérience d'un femme-fontaine, j'en étais légèrement gênée. Mon ami avait quitté ma bouche, je devinais qu'ils se compulsaient sans mots, préparant peut-être la suite des événements pendant que je me remettais de ce premier et puissant orgasme.
Je voulais maintenant toucher les corps de mes cavaliers, cherchant de mes bras tendus une part de leur virilité ; ils me donnèrent chacun la leur, je pouvais comparer, tester, jouer de leur fausse gémellité. Je me délectais de ce jeu nouveau, laissant les hommes me caresser de leur côté, sonder chaque parcelle de ma peau, chaque cavité de mon corps, au rythme de mes caresses. Je pus prendre un phallus tendu dans ma bouche pendant que ma main s'occupait de l'autre et mon sexe mouillait sous les explorations de mes compagnons de voyage.
J'engloutissais ce pénis inconnu avec délectation. Allant et venant, léchant et aspirant, à l'écoute de la moindre tension, du moindre sursaut, du plus petit frémissement. Avant que le plaisir ne fut trop dur à contenir pour l'assailli, je le remplaçais par son comparse, que je léchais avec la même ardeur, le même délice.
Pendant ces instants d'échange, mon corps était sujet aux mêmes recherches. Je ne savais pas de qui étaient les mains dans mon sexe, sur mes seins, à l'assaut de mes fesses
tout occupée que j'étais à donner de ma bouche et de mes paumes à mes explorateurs.
J'eus soudain envie de les avoir en moi, ces mâles tendres et viriles, ces membres tendus jusqu'à la corde. Je les dirigeais donc vers mon entre-jambes, ensemble, écartant les cuisses et donnant à mon vagin une amplitude maximum ; j'étais mouillée autant qu'il était possible de l'être, mes amants avaient barbouillé mon corps de ce jus au goût de noisette, ils s'en étaient délectés et je profitais de ce délicieux nectar à chaque baiser qu'ils me donnaient tour à tour.
(à suivre)
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par sergio
#1073783
Merci pour ce superbe partage. On s'y croirait. :P
Je n'ai qu'un regret à vous lire, n'être pas ce premier homme à pénétrer vos jeux en couple. ;)

Vivement la suite. :twisted:
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par denis69
#1073790
luke38 a écrit :Le contact sur mes lèvres gonflées était doux et respectueux. Une langue coquine les écartaient, fouillant avec délicatesse, explorant chaque recoin de mon entre-jambe détrempé pendant qu'une autre langue toute aussi sensuelle partageait la mienne, goulûment, empreinte de désir, chaude et humide. Les doigts accompagnaient la langue sur mon sexe, le pénétrant, se retirant quelques instants, revenant à la charge, couplés, triplés, quadruplés tant j'étais ouverte. À chaque seconde je repoussais l'arrivée du premier orgasme tant je voulais que ce temps s'éternise. Mon corps tressaillait sous la puissance de l'attente, jusqu'à ce qu'enfin il se libère du premier assaut de plaisir, éclaboussant tout sur son passage, du menton jusqu'au col de cet amant nouveau.
Je ne savais pas s'il avait déjà eu l'expérience d'un femme-fontaine, j'en étais légèrement gênée. Mon ami avait quitté ma bouche, je devinais qu'ils se compulsaient sans mots, préparant peut-être la suite des événements pendant que je me remettais de ce premier et puissant orgasme.
Je voulais maintenant toucher les corps de mes cavaliers, cherchant de mes bras tendus une part de leur virilité ; ils me donnèrent chacun la leur, je pouvais comparer, tester, jouer de leur fausse gémellité. Je me délectais de ce jeu nouveau, laissant les hommes me caresser de leur côté, sonder chaque parcelle de ma peau, chaque cavité de mon corps, au rythme de mes caresses. Je pus prendre un phallus tendu dans ma bouche pendant que ma main s'occupait de l'autre et mon sexe mouillait sous les explorations de mes compagnons de voyage.
J'engloutissais ce pénis inconnu avec délectation. Allant et venant, léchant et aspirant, à l'écoute de la moindre tension, du moindre sursaut, du plus petit frémissement. Avant que le plaisir ne fut trop dur à contenir pour l'assailli, je le remplaçais par son comparse, que je léchais avec la même ardeur, le même délice.
Pendant ces instants d'échange, mon corps était sujet aux mêmes recherches. Je ne savais pas de qui étaient les mains dans mon sexe, sur mes seins, à l'assaut de mes fesses
tout occupée que j'étais à donner de ma bouche et de mes paumes à mes explorateurs.
J'eus soudain envie de les avoir en moi, ces mâles tendres et viriles, ces membres tendus jusqu'à la corde. Je les dirigeais donc vers mon entre-jambes, ensemble, écartant les cuisses et donnant à mon vagin une amplitude maximum ; j'étais mouillée autant qu'il était possible de l'être, mes amants avaient barbouillé mon corps de ce jus au goût de noisette, ils s'en étaient délectés et je profitais de ce délicieux nectar à chaque baiser qu'ils me donnaient tour à tour.
(à suivre)

Bravo et merci pour ces très beaux récits, c'est joliment écrit et vous nous emmener avec vous dans votre excitation ! continuer à nous émouvoir de la sorte !
par luke38
#1074450
L'amant sentant mon envie, se dégagea de ma main enveloppante, se protégea et revint vers l'antre mouillée. Mon compagnon m'avait déjà pénétrée, allant et venant en moi, libérant mes orgasmes les uns à la suite de autres. Laissant sa place à l'impatient, il se masturba sur moi pendant que j'accueillais le nouvel arrivant. Son sexe était chaud sous la fine protection, ses coups étaient réguliers, tendres et puissants ; il sortait de temps à autres, libérant systématiquement une giclée de ma fontaine intarissable, rentrait à nouveau pour me marteler chaque fois un peu plus loin. Je pris en bouche mon compagnon pendant que l'amant me retournait. Il se saisit de mes hanches, entra en moi, me prit plus sauvagement, allant et venant de plus en plus fort, saisissant mes fesses à pleines mains, son bas ventre tapant contre mon anus ouvert et offert. Je sentais que leur orgasme était proche de la délivrance ; je suçais avidement mon homme que j'entendais gémir d'aise pendant que les muscles du comparse se bandaient dans un ultime effort de concentration. Enfin chacun de nous joignîmes nos râles, délestant tour à tour et communément de nos corps le cri de nos jouissances respectives accompagné de l'orgasme tant retenu des hommes et de la finale et sublime explosion de mon plaisir...
#1074452
Nous nous affalâmes sur la mousse trempée, j'avais toujours le foulard sur les yeux. Je ne le retirais pas pendant que l'amant remettait de l'ordre dans ses vêtements. Je ne sais pas si j'aurais pu le regarder dans les yeux, ni même si j'aurais pu croiser le regard de mon homme en sa présence. Il nous quitta sans un mot, posant juste un baiser sur ma joue encore chaude.

Je m'abandonnais là encore un moment, mon compagnon à mes côtés ; j'avais passé des instants merveilleux, allais-je pouvoir maintenant les revivre en mémoire sans remord ? J'attendais craintivement que les premiers mots sortent de nos lèvres. Je me rhabillais, ôtais le masque qui m'avait permis d'assumer plus facilement le partage de mon corps et au sourire de mon homme, je sus que nous n'allions pas en rester là !
#1075025
luke38 a écrit :Nous nous affalâmes sur la mousse trempée, j'avais toujours le foulard sur les yeux. Je ne le retirais pas pendant que l'amant remettait de l'ordre dans ses vêtements. Je ne sais pas si j'aurais pu le regarder dans les yeux, ni même si j'aurais pu croiser le regard de mon homme en sa présence. Il nous quitta sans un mot, posant juste un baiser sur ma joue encore chaude.

Je m'abandonnais là encore un moment, mon compagnon à mes côtés ; j'avais passé des instants merveilleux, allais-je pouvoir maintenant les revivre en mémoire sans remord ? J'attendais craintivement que les premiers mots sortent de nos lèvres. Je me rhabillais, ôtais le masque qui m'avait permis d'assumer plus facilement le partage de mon corps et au sourire de mon homme, je sus que nous n'allions pas en rester là !

hummmm!!! j'ai lu avec gourmandise je salive encore
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par sergio
#1075322
Quel plaisir à lire. :P

Merci! Merci! Merci! ;)
par luke38
#1075777
Il manque (merci nous13000) un passage au récit...je vous le joint bientôt...
(passage manquant: la sortie du bar...)
par luke38
#1075781
Le jour J vint enfin[...]
Il faisait chaud ce soir là, nous décidâmes ensemble de nous promener sous l'air rafraîchissant d'une forêt avoisinante. Nous n'avions pas encore abordé le sujet de notre rencontre, nous discutions de tout de rien, comme le feraient des anonymes croisés à l'occasion d'une fête quelconque.
Tout en marchant sous les arbres, je sentais le frôlement des bras de mon compagnon d'un côté, de mon futur amant de l'autre, contre ma peau moite de désir, de timidité et de peur. Car oui, je craignais tout de même un peu la suite, et l'après surtout !
Les choses s'enchaînèrent très vite et sans que j'en pressente l'initiation. Une main c'est glissée sous ma jupe, je n'aurais su dire laquelle, mais elle était chaude et curieuse. Mon pas s'est ralenti, la main m'a dirigée vers un tapis de mousse, les deux hommes collés à chacun de mes côtés afin que je ne devine pas qui était le guide. Avant que je ne puisse m'asseoir sur notre futur lieu de cajoleries, un foulard c'est posé sur mes yeux, j'ai senti le nœud se resserrer à l'arrière de ma tête, une main me mener au sol, une autre me déposer délicatement sur le tapis doux et frais.
Les doigts continuaient à alimenter mon plaisir, je pouvais entendre le son de ma mouille et sentir contre moi l'effet de cet assaut contre mes hanches, de part et d'autre sans que je ne puisse deviner encore qui était où à moins de les toucher, ce dont je me gardais bien, désireuse de maintenir un certain suspense.
Je me laissais aller à tenter de deviner à qui appartenait cette main qui me fouillait, quelles lèvres dispensaient des baisers tendres sur mon corps délesté par mes soins du top et du soutien gorge. Des frissons me parcouraient alors qu'une immense chaleur partie de mes reins remontaient jusque mes joues que je savais rosie par le désir.
La main cessa son exploration, des lèvres vinrent se poser sur ma bouche, d'autres sur mon bas ventre, je sus enfin qui allait goûter en premier le fruit bombé et juteux.
...sur mes lèvres gonflées [...]
#1105462
Comment j'ai trompé mon mari...
Je venais de passer encore une de ces nuits merveilleuses avec mon mari, alimentée par les souvenirs de mes débuts dans le libertinage, (cf chap. « Mes débuts ») et alors que je me rendais sur mon lieu de travail, encore bercée d'émois d'un réveil coquin, je trouvais sur le trottoir du bord de route une vieille dame effondrée au milieu de ses cabas.
Je garais sans plus attendre ma voiture pour lui venir en aide et blessée je décidais de la raccompagner chez elle à quelques pas de là.
Après m'être assurée que sa plaie étais sans gravité, et après avoir appliquer les premiers soins, je pris toutefois l'initiative de joindre son médecin traitant dont le numéro était pré-enregistré dans son téléphone. Ce dernier me pria de bien vouloir l'attendre, en visite dans le coin il ne tarderait pas à arriver.
Lorsque la sonnette retendit et que je lui ouvris la porte, quelle ne fut pas ma surprise et ma gène de me trouver nez à nez avec le compagnon d'infortune de ma première expérience coquine. Il ne semblait pas vouloir me reconnaître, auscultant sa patiente avec concentration, dos tourné à mes regards. Je pouvais deviner sous sa chemise le dos musclé, la peau lisse, la nuque impeccable et un trouble nouveau réveilla les papillons de mon bas-ventre. Avant qu'il ait eu fini ses observations, je quittais les lieux, troublée de cette brève rencontre autant que de l'attitude du personnage.
Alors que je me dirigeais vers ma voiture, j'entendis derrière moi sa voix professionnelle et grave me héler :
-Madame, madame s'il vous plaît...,il était arrivé à ma hauteur, je voudrais vous inviter à boire un café pour vous remercier d'être venue en aide à cette pauvre dame.
J'acceptais la proposition, frustrée que j'avais été quelques minutes plus tôt.
Nous prîmes place dans l'unique bar du village, vide à cette heure. Le vouvoiement toujours de rigueur il me pria de m'asseoir à ses côtés sous prétexte de me faire remplir quelque document. La feuille qu'il posa sur la table était vierge, il y griffonna ces lignes :
Quel heureux hasard, tu devrais glisser ta main sous la table pour sentir l'effet que cela me fait.
Surprise mais néanmoins curieuse, je fis ce qui était écrit et constatait avec une joie dissimulée une légère protubérance là où le professionnel aurait dû garder toute neutralité.
Je retirais malgré tout ma main prestement, rouge de plaisir et de honte : mon homme était loin, ignorant de ce qui ce jouait alors que j'étais seule avec l'amant virtuel. Celui ci ne dit pas un mot de plus, bu son café et se leva pour régler la note. D'un regard je sus qu'il voulait que je le suive et nous quittâmes ensemble le lieu malodorant et surchauffé.
Nous bifurquâmes dans une ruelle avoisinante et avant que je n'ai le temps de réagir, je me retrouvais plaquée contre le mur froid avec fermeté. Il souleva ensuite ma jupe, tira avec rage sur mon string détrempé, glissa son avant bras sous ma jambe pour la remonter. En équilibre précaire, je me cramponnais à ses épaules pendant que l'entreprenant fouillait de ses doigts mon entre-jambe, explorant ma grotte lubrifiée, frottant son pénis engoncé dans ses vêtements contre ma cuisse détroussée.
D'une main j'ouvris son pantalon...
(à suivre)
par luke38
#1105509
D'une main j'ouvris son pantalon, la glissait dans l'élastique de son shorti afin d'en libérer le membre gourd. Je l'empoignais vigoureusement et me lançais dans une masturbation délicate. Son sexe était doux, chaud et dur, je ne pus résister plus longtemps à l'envie de l'introduire en moi et le guidais alors à la rencontre de sa propre main qui n'avait cesser de sonder mon antre au point d'avoir trouvé l'endroit qui faisait jaillir la source intarissable de ma fontaine enfin révélée. Il me pénétra avec ardeur, moi étouffant mes cris dans son giron, lui haletant de plaisir. Avant qu'il ne vînt mêler son fluide aux miens, je le repoussais hardiment et entrepris de le sucer afin que son jus envahisse ma gorge ; j'avalais avec gourmandise tout ce qu'il libéra en moi et remontais à la surface, les cheveux en bataille, les joues rosies par les orgasmes successifs, les yeux brillants.
Nos regards se croisèrent une dernière fois et c'est sans un mot que nous nous séparâmes.
Arrivée dans le confort de mon véhicule, je laissais ce sms à mon homme:  « je l'ai revu, il m'a prise, nous nous sommes quittés, le tout en 30mn ».
Le soir en rentrant je ne sus comment me comporter. Je n'avais pas eu de réponse en retour à mon message et m'attendais à tout. J'avais pris soin de prendre une douche au bureau et de m'habiller dans la tenue légèrement provocante que je garde dans mon casier.
Mon homme était assis dans le canapé, le visage détendu, le regard fripon :
-Alors, raconte...
Je fis un récit détaillé de ma mésaventure et vis tout de suite que l'histoire lui convenait. Il avait la main posée
par luke38
#1105537
Je fis un récit détaillé de ma mésaventure et vis tout de suite que l'histoire lui convenait. Il avait la main posée sur son entrejambe et se caressait doucement pendant que je détaillais chaque action, chaque sensation, chaque réaction. Il se leva en même temps que je décrivais l'orgasme final, m'empoigna par la taille me poussant jusqu'à la table . Il me retourna et me saisissant les hanches, me pénétra de tout sa vigoureuse virilité, enfonçant son membre par à-coup, allant et venant avec la violence de la passion et la douceur de l'amour. Mes fesses tapaient contre son bas-ventre, mon clitoris gonflé réagissant à chaque heurt. Je pouvais sentir la tension de son corps prêt à jouir à chaque instant. Je résistais par jeu, puis me cambrait le plus possible afin de pouvoir m'agripper à son cou, la croupe levée prête à accueillir son sperme. Il poussa alors un râle rauque et évocateur, son sexe pris de spasmes se vida dans ma cavité offerte en même temps que mon dernier orgasme puissant se joignait au sien. Nous restâmes là, imbriqués l'un dans l'autre, laissant les derniers soubresauts de plaisir s'atténuer.
Je crois que mon histoire lui a plu.
par Jhcurieux38
#1105545
J'aime... Et malgré l'orage qui à apaisé la chaleur de la journée, je suis en train de réchauffer l'atmosphère de mon appart (je suis la solution au problème énergétique...)

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