- 19 juin 2012, 16:38
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Depuis quelques temps Malibu et moi discutons avec un membre de ce forum qui nous l esperons ne tardera pas a venir ici se faire connaitre.
Hier soir Malibu et lui ont convenus qu'il redigerait le scenario de leur rencontre.
Cette apres midi nous avons recu un mail de lui.
Un scenario d'autant plus convaincant qu'il est base sur un reel echange de mails entre eux. Mails qu'il a integralement repris dans le recit.
voici donc retranscrit dans son integralite le recit d'une rencontre a venir...
Chapitre 1
C’était un soir comme les autres... Je surfais sur le net, voyageais de pages en pages sur divers sites pornographique amateur et arriva sur le forum.
Là, je survole plusieurs postes, me délecte de quelques images sympathiques puis tombe sur le profil de Mesrine qui semble aimer nous présenter sa femme, Malibu. Tout d’abord intéressé par son corps, je cherche plusieurs de ses photos. Au fil des vues, mon entre jambes se réveille. Je lis les commentaires, je vois qu’elle vient de Belgique, je parcours encore des photos... Je n’y crois pas, une femme si belle, si proche, qui s’affiche, qui aime qu’on commente ses photos, qui joue de son corps...
Sans m’en apercevoir, ma main gauche caresse doucement mon sexe à travers mon pantalon. Je décide de prendre le temps de regarder ses photos une à une. Je m'arrête sur une photo d’elle, en robe noire, avec son amant du moment, la jupe remontée laissant apparaître son magnifique string en dentelles noires. Là, non seulement mon excitation progresse mais des envies commence à envahir mon esprit. Je continue la série, et voici qu’une autre photo me présente ses fesses rondes, puis une autre me donne l’impression de voir une amante parfaite sachant utiliser ses mains pour guider le visage du partenaire vers les parties de son corps qu’elle veut électriser. Ensuite, c’est sa poitrine qu’elle révèle et là, l’image suivante s’affiche, un choc parcourt mon corps, une envie forte pousse la paroi de mon jeans à la vue de sa main enserrant un sexe tendu pour elle, sa bouche ouverte avide de donner du plaisir. Dans mon imagination, je vois son regard défier celui de son partenaire, joueuse, conquérante, sachant qu’elle a, à ce moment là, les pleins pouvoirs. Je retourne sur la photo sachant que dorénavant mon esprit est aussi de la partie, mes caresses se font plus précises et me voilà repartie sur ses messages, se succèdent des photos de plus en plus intenses où son sexe humide s’affiche, où je la vois s’occuper du sexe tendu de son amant et puis son corps entièrement nu... Son image obsède mon regard, je n’arrive pas à arrêter de les faire défiler... Voilà, je la vois, offrir son corps, attendre la pénétration, tenant son partenaire pour que celui-ci suive son rythme, elle mène la danse, leur danse... je les imagine devant le regard de son mari excité. Au fond de moi, j’entends presque les cliquetis du diaphragme de l’appareil et le son de sa respiration qui s’accélère. Enfin, il la pénètre... Là, c’est mon souffle qui s’accélère et trahi mon désir.
Je m’arrête. Il est tard.
Le lendemain, une envie est toujours présente... J’essaie de ne pas y penser... La journée défile à un rythme monotone. Je vais à des réunions, parle à des collègues mais parfois j’ai les images de Malibu qui débarquent dans le réel. Je l’imagine assise à la table de réunion en face de moi, habillée dans un tailleur ajusté et d’une jupe courte et fendue. Je me vois laisser tomber mon bic pour découvrir ses longues jambes lisses, la courbe de ses mollets, et la naissance de sa cuisse emportant mon regard dans l’abysse noire de son entrejambes serré.
Mon collègue de gauche me rappelle à l’ordre d’un coup de coude et l’image disparait laissant apercevoir la secrétaire du service, Mme Pipelette, coincée dans ses vêtements bariolés et horriblement trop larges. Cette vision me rappelle tout de suite à l’ordre, je ne suis pas ici pour rire et encore moins pour fantasmer.
La journée se termine calmement, aucun nouvel incident de ce type n’est à constater.
Une fois rentré chez moi, je n’ose ouvrir mon ordinateur car je sais ce que je chercherai. Je laisse le temps passer. Je cuisine. J’écris. Je lis. Je... Je ne résiste pas, je ne fais que chercher des activités pour détourner mon esprit mais j’abandonne. Je veux en voir plus, je veux en lire plus. Mon doigt glisse pour allumer mon ordinateur, je tape l’adresse du forum, je me connecte, et me voilà branché sur son post. Je passe les photos déjà vues. Et là, je la vois en corset, ouvertes, sexe offert à ma vue ou plutôt à la vue de tous les voyeurs comme moi branché sur son post. Si elle savait combien j’aime les corset, combien la lingerie représente pour moi le comble de l’érotisme : elle cache l’essentiel mais révèle l’important.
La série en lingerie turquoise conforte l’idée que je me fais d’elle : une belle femme, gourmande, joueuse qui aime sentir et savoir qu’elle plait. Une femme qui doit se conquérir mais une fois vaincue, ne se laisse pas soumettre. Une femme qui dirige mais se laisse transporter. Une femme qui ose vivre ses fantasmes. Une femme que tout homme voudrait croiser. Une femme que j’avais envie de rencontrer...
*
Comment la rencontrer ? Etait-elle réelle ? Pourrais-je lui plaire ? Mes envies seront-elles lui parler et au moins l’émoustiller ? Tant de questions... Je ne pouvais que lui écrire... Je me décida alors de tenter ma chance et d’envoyer un premier courrier reprenant les envies qui naissaient au fond de mon ventre.
Vos photos sont très excitantes et l'envie de vous rencontrer ne fait que monter... 30 ans cadre en ville, j'aimerais avoir le plaisir de pouvoir vous draguer, vous séduire autour d'un verre dans un bar. Regarder vos pieds enfermés dans des escarpins, remonter sur vos magnifiques jambes jusqu'à votre mini jupe, imaginer le sexe qui s'y cache et ensuite votre décolleté qui révèlera la naissance de bien des plaisirs. Après quelques mots, des échanges de regards poser une main sur votre peau, en sentir la chaleur montante, accepter votre invitation à vous suivre pour ensuite aller plus haut, plus loin, plus profond....
Mais tu sauras, comme moi, pourquoi nous nous rencontrons... Tu sauras que je n'attends qu'un signe pour aller plus loin... Tu joueras avec tes jambes, avec ta bouche qui m'hypnotisera sous les regards de ton homme... Tu verras le début d'une érection à travers mon pantalon... Mon imagination prendra le dessus sur ton sexe doux et sucré mais rapidement tu me rappelleras sur terre en me soufflant quelques mots tentateurs. Tu feras ce signe tend attendu, tu reviendras des toilettes, je te regarderai marcher vers moi, ton corps magnifique, et tu déposeras dans ma main ton string humide... Un regard conquérant et moi, étonné, surpris mais disposé à honorer cette annonce...
Voilà le message parti. Il ne me restait plus qu’à attendre. Mais attendre quoi ? Une réponse, oui biensûr mais de quel type ? Allait-elle être séduite ou simplement trouver tout ce bavardage futile ?
La journée passa.
Le soir, sans grande conviction, j’ouvris la boite courrier pour découvrir à mon plus grand étonnement sa réponse.
Voila une proposition qui mérite toute mon attention.
Tu me fais vibrer rien qu'à te lire j'imagine assez bien une rencontre dans le contexte que tu décris. Toute fois, le physique ayant son importance, je suis sûre qu'une petite photo de toi pourrait m'émoustiller encore plus. du moins je l'espère car j'ai envie de me laisser emporter...
Bisous coquins
Malibu
Après la première lecture, je ne savais plus quoi faire... Une photo, oui mais laquelle ? Avoir l’air sérieux ? Avoir l’air festif ? Avoir l’air coquin ? Mes pensées se focalisent enfin et oui coquin, tout bon ça, vas-y trouve cette photo dans ton disque qui met en avant tes charmes, fouille, cherche, oui, voilà, tu l’as ! Bon la photo est pas mal, elle a quelque chose, je l’aime assez, allez hop vendu !
Alors voici une photo qui joue sur ces codes. Je suis tout à fait disposé de faire une webcam pour me montrer à vous, et vous faire entendre le son de ma voix.
Je dois avouer que votre message ne fait que conforter mon envie et mon désir... désir de ne pas attendre le lit pour faire glisser ma main dans l'intérieur de vos cuisses, d'entendre les déclic de l'appareil de ton mari qui s'active au rythme de l'excitation, nous trois voulant chacun en voir plus. Moi, voir ton corps s'ouvrir et s'offrir, toi voir mon sexe tendu signe de ton pouvoir de séduction, de ta conquête, et ton homme, de voir ce jeu prendre vie. Il faudrait y aller doucement, laisser monter le désir, ne pas tout offrir à la première rencontre pour garder de l'imaginaire nourrir nos fantasmes. Il faudrait que le sexe dans le confort d'un lit ne soit que la dernière pierre. Avant, nous serons chacun comme des voleurs, des amants, discrets mais fougueux, jouant avec le risque mais sincères et de plus en plus passionnés. Tu me feras languir mais, d'une main ferme, je te ferai gémir. Là dans la voiture, tu voudras découvrir mon sexe gonflé de désir et oui, il sera à toi, oui tes lèvres s'y attarderont...
Et la réponse s’enchaina.
Mmmmmm.... mais quel programme!!!! j'en suis toute excitée a l'idée.
Ta photo me donne l'envie de te découvrir encore plus, de te sentir, de te toucher, de te gouter.
Je serai comme tu l'attends, une maitresse joueuse, allumeuse, aguicheuse.
Le tout dans une ambiance de sensualité des sens pour ton plus grand plaisir et celui bien évidemment de mon homme.
Je te ferai découvrir avec tes mains et ta langue chaque cm² de ma peau. Je te laisserai plonger ta langue au plus profond de mon intimité pour en récolter tout le nectar.
La suite a toi de l'imaginer ou mieux encore de me le faire découvrir....
A très vite.
Malibu
PS : petite photo en cadeau.
Et là, je vis enfin son visage ! Toutes les autres images que j’avais récoltées au fond de mon cerveau prirent vie et j’y ajouta son visage. Mon sexe me rappela combien cette inconnue m’excitait. Je déboutonna mon jeans, ouvrir ma chemise et là, seul, je commença à me masturber. Rapidement, un premier liquide vient lubrifier mon gland. Je sentais mon sexe dur sous mes doigts. Je serra plus fort et imagina sa main glisser sur mes testicules pour remonter jusqu’au bout de mon gland, de son pouce, caresser mon frein. J’imaginais le grain de sa peau sous ma bouche et son odeur envahir la pièce. J’écarta les jambes. J’accélérai le mouvement de mon poignet au moment où je me mis à penser à ses lèvres glissant tendrement sur mon sexe. Mon corps se tendait. Je ne voulais pas jouir, je voulais faire durer ce moment, ce fantasme mais je m’abandonna. Mon sperme vient s’écraser sur mon torse en plusieurs chaudes giclées. Je soupira. Je resta là, assis, jusqu’à ce que je sente la froideur liquide poisseux. Je pris une douche. Je me sentais bien.
*
Ce monologue devait cessé et j’avais pour cela envoyé mon adresse de messagerie. Une séance de visoconférence serait un bon indicateur de notre envie mutuelle d’aller plus loin. Nos emplois du temps ne correspondant pas, il fallu quelques jours. Il est tellement difficile pour moi de me libérer pour plusieurs raisons. Mais enfin, au détour d’un passage furtif sur le forum, je m’arrangea avec son mari pour une séance le soir même. Ce n’était pas gagné car j’étais déjà dans de multiples obligations. Mais, ne voulant sous aucun prétexte rater l’occasion de me présenter un peu plus, même 5 minutes je pris mes dispositions. Arrivé le soir, j’avais 20 minutes. Une tranche horaire serrée, impossible de laisser la discussion vraiment s’envoler.
Nous étions connectés enfin tous les trois. La visioconférence débuta. J’avais quelques appréhensions et j’imagine, elle encore plus ! Lorsque l’image apparu dans la fenêtre, je crus rêver : une belle femme, sexy avec un regard profond et une bouche attirante. On discuta, une boule de désir chauffait mon ventre, un mélange d’excitation et de nervosité. Je la voyais se pincer les lèvres, signe d’envie. Moi aussi, j’avais envie. Envie d’entendre sa voix mais surtout de connaître son odeur. La visioconférence est toujours une barrière, ce n’est qu’une image malgré la possibilité d’intéractions. Les minutes passèrent si vite. Je voulais savoir ce qu’elle pensait. Elle semblait excitée, elle avait beaucoup pensé à moi...
Je dû fermer la conversation.
Le soir, tard dans la nuit. Je coucha avec une femme mais pour la première fois, ce n’était pas celle avec qui je faisais l’amour que j’avais en tête. Lorsque la bouche de ma partenaire se jetta sur mon sexe raide, je vis le visage de Malibu. Je ferma les yeux imaginant que c’était la chaleur de sa bouche dans laquelle mon sexe allait et venait, que c’était sa langue qui parcourait la longueur pour appuyer sur le frein de mon prépuce. Lorsque je me redressa pour venir m’occuper de sa poitrine, j’eu l’impression que me mains agrippèrent celle de Malibu, comme si je pouvais la sentir se laisser aller. Je l’embrassa, sa bouche était emplie d’une douce odeur de sexe. Je glissa dans sa nuque, suça doucement son lobe d’oreille. Ma main droite glissait entre ses cuisses, elle s’allongea. Mon visage parcourra son corps nu, ma bouche arriva sur son mon de Vénus. Ma langue se mit à tourner sur son clitoris, de petits coups précis. Ses lèvres s’ouvrirent comme un coffre fort dont on possède la clé, elle gémit un peu.
Malibu gémit-elle ?
Un doigt se mit à fouiller son sexe chaud et trempé de désir, elle se tendait signe qu’elle voulait plus alors je m’exécuta, je glissa deux doigts en elle. Son sexe était serré, je bougeais doucement mais augmentait la pression à certains endroits. Je savais que c’était le rythme qui comptait, doucement mais fermement mais doigts caressait l’intérieur de son vagin pendant que ma langue frottait son clitoris gonflé. Je goutais son intimité.
Malibu est-elle aussi douce et sucrée ?
Elle tira mes cheveux pour que ma bouche rencontre la sienne. Elle prit mon sexe et le dirigea en elle. A ce moment, elle vissa son regard dans le mien et je vis ses pupilles se dilater lorsque mon gland s’engouffra dans son sexe béant. Ensuite, elle mit ses mains sur mes fesses pour me faire glisser tout au fond d’elle. On resta une seconde comme cela, elle pour profiter de se sentir remplie, moi le temps d’imaginer combler Malibu.
Après de nombreux va-et-vient, je déchargea ma semence en elle. La nuit était déjà bien avancée. Je m’endormis dans cette pièce remplie de nos corps nus, de nos odeurs mêlées.
A suivre.
M.
J aime les femmes infidèles. Surtout la mienne !
Vous commentez, on publie. Vous ne commentez pas, on oublie.