- 26 oct. 2010, 18:57
#115448
Les semaines passèrent comme cela sans que ma princesse ne se décide à m'avouer quoique ce soit. Je n'en pouvais pu, d'autant que volontairement elle se cachait de moins en moins, laissant derrière elle des indices comme le Petit Poucet laissait des cailloux. «Ce soir puisque tu recois tes potes je vais au ciné avec Camille, et je dormirai certainement chez elle...Ca m'arrangerait que tu ne vérifies pas! » me fit-elle dans un sourire...Peu de temps après elle décida enfin de tout me raconter, du moins me raconta-t-elle tout ce dont elle eut envie, il y avait des zones d’ombres mais j’étais bien trop heureux qu’elle se dévoile pour la ramener. On arrivait aux beaux jours et je trouvais qu'il était temps!
Elle me dit leur rencontre et tout ce qui l’excitait dans cette relation adultère, c’était lors d’un de mes rares week end libre et nous fîmes l’amour encore et encore, elle me racontait et on refaisait l’amour, elle se rappelait de détails et on replongeait.
« Ecoutes, c’était vraiment tres bon comme çà, de te tromper, vivre une aventure secrète, brulante, sans contrainte. Comme je te l’avais dit …
J’ai envie que tu saches maintenant, partager enfin avec toi tout le plaisir que je prend à t’être infidèle, tout le plaisir que me donne mon amant et je suis sure que tu meurs d’envie de savoir »
Elle ajouta, perverse «Mais ne te fais pas d’illusion, ça ne signifie pas que désormais tu sauras tout, je crois que çà décuple notre excitation quand ça se passe ainsi. Sauf si cela devait devenir pénible pour toi, si ta frustration devenait trop importante, tu me diras ».
« Tu l’as rencontré comment » dis je en déglutissant avec difficulté, sans pouvoir lui dissimuler mon trouble.
« Il m’a abordée dans la rue avec un sacré toupet, je marchais en ville, sur le trottoir, m’apprètant à traverser quand un inconnu dans un coupé noir s’est arrêté à ma hauteur. Il a descendu la vitre en se penchant vers moi, j’ai cru qu’il allait me demander un renseignement quelconque mais non, il s’est fendu directement d’un :
-pardonnez moi, je n’ai pas pour habitude d’importuner les jeunes femmes comme cela, mais je tenais à vous dire toute mon admiration, vous êtes absolument magnifique !
Comme c’était joliment tourné, qu’il avait de grands yeux verts pétillants d’intelligence et un air canaille je lui ai sourit en haussant les épaules, j’allais reprendre mon chemin quant il me tendit une carte de visite :-permettez moi, je m’en voudrais trop de ne pas insister et de laisser passer la chance de vous revoir éventuellement. Prenez ma carte ou bien acceptez que je vous invite à prendre un verre.
-Désolé, je suis mariée et fidèle lui répondis je en m’éloignant.
« Tu ne t’es pas étranglée là ? »
« Tu es bête ! Du coin de l’œil je l’ai vu ranger sa voiture et en descendre, il me rattrapa quelques mètres plus loin et se planta devant moi, Il me dépassait d’une bonne tête malgré mes talons, je ne le trouvai pas immédiatement beau mais très attirant, tres grand et très attirant et surtout sa voix chaude, presque gutturale, conjuguée à sa carrure, lui conférait une virilité qui me troublait. »
Sur de lui, il me regarda droit dans les yeux en me disant :- Vous êtes la plus jolie fille que j’ai jamais vue dans cette ville, et je ne dis pas çà uniquement pour vous plaire, je suis sincère.
-Seulement de la ville ? Je lui réponds.
Il éclata de rire en me tendant de nouveau sa carte – Dites moi qu’il y a une chance pour que vous m’appeliez, soyez chic.
Je pris sa carte finalement, il était trop craquant – Vous ne lachez pas facilement vous lui dis je en lui souriant franchement cette fois.
-Ce n’est pas dans mes habitudes effectivement me glissa-t-il, et on ne croise pas tous les jours une créature comme vous, dit-il en me montrant du regard une terrasse d’un café à quelques pas de nous, - Venez, cela ne vous engage à rien.
« Tu es allé prendre un verre avec lui ? »
« Ben oui, finalement, il s’y prenait plutôt bien, j’avais envie de voir un peu mais je ne me sentais pas de lui téléphoner ensuite.
« Tu l’as revu plusieurs fois ensuite avant de de donner à lui ? »
« Heu…Pas trop en fait… »
« Combien de fois ? Dès la fois suivante ?? »
Elle sourit, mutine.
« Laisses moi poursuivre…Pendant qu’on discutait en sirotant nos cafés, j’étais de plus en plus sensible à sa voix, sa prestance me troublait, tu sais comme je suis. Il s’est rendu compte qu’il ne me laissait pas indifférente alors pour reprendre contenance je suis allé aux toilettes, j’en profitais pour me brosser les cheveux, je me disait qu’en redescendant je prendrais congé de lui. J’avais la ferme intention de ne pas en rester la mais je ne voulais pas passer pour une fille facile ».
« Ce que tu n’est pas ! » fis je ironiquement.
Jenny ignora ma reflexion que je n’avais pas voulu blessante.
« La porte des toilettes s’ouvrit. Confusément je crois que j’avais très envie de ce qui suivit, inconsciemment j’attendais qu’il le fasse, qu’il me rejoigne, je m’en voulais et en même temps mon corps le voulait. Je sentis son souffle froler ma nuque, d’une main il caressa légèrement mes cheveux, huma mon parfum et se plaqua tout contre mes reins.Ses mains s’égarèrent sur ma poitrine et une barre d’acier durcit contre mes fesses.
« Que faites vous ? Dis je, mais je n’eus pas la force de le repousser, je n’avais déjà plus cette volonté la, j’avais envie de lui.
« Tu es splendide murmura-t-il de sa belle voix grave, j’ai terriblement envie de toi, tu le sens ? »
Je voyais dans le miroir l’image réfletée d’une jeune femme bcbg en train de se faire trousser par un bel inconnu et cette jeune femme c’était moi, j’avais les joues en feu, les pointes de mes seins se dressaient sous les doigts de ce type, l’image devint carrément indécente quand il écarta les pans de ma jupe et que je vis comme dans un film sa main se glisser entre mes cuisses.
« Tu le sens comme je te veux » répéta-t-il en effeuillant mes lèvres et lentement en introduisant ses doigts dans mon vagin, il émit un petit rire de satisfaction en me découvrant déjà humide et chaude et cela me dispensa de répondre, je n’avais pas vraiment la force de parler ni la volonté de nier mon désir quand il ajouta que moi aussi j’avais l’air d’avoir envie.
Intérieurement je me traitais de salope mais je n’y pouvais rien, au contraire cela redoublait la vague brulante qui déferlait le long de ma colonne vertébrale, faisait couler mon ventre, palpitait mon sexe, j’avais besoin d’être ouverte, remplie et je n’opposai aucune résistance quand après avoir tendu le bras pour tirer le verrou, mon futur amant se dégrapha, releva ma jupe, la roula fébrilement sur mes reins, écarta le tissu de mon tanga et enfin fit coulisser son sexe dréssé dans le creux de mes cuisses.
Je sentais son ventre se coller à mes fesses nues, sa queue durcir encore au contact de la douceur et de la moiteur de mon ventre.Je pris appuie de mes mains de chaque coté du lavabo, je fléchis un peu les genoux, l’invitant ainsi à me pénétrer. Je me mordais les lèvres, tenaillée par le désir.
« Tu me rend fou dit-il, je n’avais jamais fait ce genre de trucs », son gland se fraya un passage entre mes lèvres, j’étais si mouillée qu’il glissait et d’une main je l’aidais à s’introduire en moi. Il s’enfonça lentement, j’avais l’impression de n’avoir jamais ressenti une possession pareille, sa queue me semblait énorme, elle s’enfonçait, s’enfonçait toujours plus loin, envahissait mon ventre, il me soulevait du sol, lentement, je le sentais monter loin,très loin, ça n’en finissait plus, il n’arrêtait pas de me remplir, de m’ouvrir progressivement et quand enfin il buta au fond de ma matrice, j’étais embrochée jusqu’à la garde, dilatée au possible, ouverte en deux, totalement submergée par cette queue monstrueuse. J’en avais le souffle coupé, je paniquais en imaginant ce qui allait ce passer quand il allait commencer à remuer, je voyais dans le miroir la base de cet épais baton de chair écarteler mes petites lèvres