- 28 août 2012, 12:38
#1184354
Il rentre du travail, tard, et me trouve vêtue classe et sexy, maquillée, comme il n'aime pas. Parfumée comme il déteste. Croyant à un invitation, il plonge son regard dans le mien, froid, dont il interprète aujourd'hui aisément le sens. Obtempérant sans que j'aie à ouvrir la bouche, il se dévêt, sans prendre le temps de fumer une cigarette ou de se servir le verre de vin qui le détend chaque soir lorsque on se retrouve. Nu, sa grosse et grande bite bien tendue, il s'approche de moi qui n'émets pas le moindre mouvement vers lui, quand il entend la porte d'entrée grincer sur ses gonds.
Suspendu à mes yeux, il comprend, que je t'ai donné les clés. La première marche de l'escalier qui mène au living craque sous le poids de ton pas et tu t'arrêtes, pour lui laisser le temps d'intégrer l'information. Pour que, surtout, il entende ton prénom, mais ne voit pas ton visage, lorsque tu me baiseras. "Va t'asseoir", lui enjoins-je et tandis que je lui bande les yeux, tu continues de monter à moi. Nous nous sommes chauffés avant qu'il n'arrive et tes mains ont entrepris de maintenir l'excitation alors que je l'accueillais. De mes seins à ma croupe, tu m'honnores et les larmes coulent sur ses joues, gonflant son sexe de la douleur et du plaisir de me savoir prise par un autre que lui, probablement mieux car je jouïs plus lorsque je n'aime pas et il le sait.
Etant donné que tu aimes te faire sucer, tu auras hâte de lui faire goutter ta queue trempée par mon sexe de petite pute infidèle à son cocu de mec. Quand tu t'engouffres dans sa bouche, il te pompe avec l'ardeur de celui qui sait qu'il va se faire prendre par le dard qu'il stimule et qui a rempli sa femme chérie. Il te veut dur et gros dans son trou que je prépare à t'accueillir en le titillant de mon pouce ensalivé, que je lubrifie par dépais crachats étalés d'une langue attentive à son plaisir.
Suspendu à mes yeux, il comprend, que je t'ai donné les clés. La première marche de l'escalier qui mène au living craque sous le poids de ton pas et tu t'arrêtes, pour lui laisser le temps d'intégrer l'information. Pour que, surtout, il entende ton prénom, mais ne voit pas ton visage, lorsque tu me baiseras. "Va t'asseoir", lui enjoins-je et tandis que je lui bande les yeux, tu continues de monter à moi. Nous nous sommes chauffés avant qu'il n'arrive et tes mains ont entrepris de maintenir l'excitation alors que je l'accueillais. De mes seins à ma croupe, tu m'honnores et les larmes coulent sur ses joues, gonflant son sexe de la douleur et du plaisir de me savoir prise par un autre que lui, probablement mieux car je jouïs plus lorsque je n'aime pas et il le sait.
Etant donné que tu aimes te faire sucer, tu auras hâte de lui faire goutter ta queue trempée par mon sexe de petite pute infidèle à son cocu de mec. Quand tu t'engouffres dans sa bouche, il te pompe avec l'ardeur de celui qui sait qu'il va se faire prendre par le dard qu'il stimule et qui a rempli sa femme chérie. Il te veut dur et gros dans son trou que je prépare à t'accueillir en le titillant de mon pouce ensalivé, que je lubrifie par dépais crachats étalés d'une langue attentive à son plaisir.