- 07 oct. 2012, 17:11
#1212633
Je m’appelle Valérie, j’espère que vous apprécierez ce nouveau récit, j’attends de vous que vous y participiez cette fois-ci, par l’élégance des mots mais aussi par des photos. Bisous.
J’ai 44 ans, mariée depuis 26 ans à Phil, qui a un an de plus que moi.
Mon mari sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Je ne peux suivre la cadence qu’il aimerait m’imposer mais je fais volontiers des efforts, car je l’aime et, en retour… Il m’offre toujours beaucoup de plaisir, éveillant mes fantasmes et les développant même avec ardeur.
Les plaisir de mon mari fut de me photographier nue : il possède une quantité impressionnante de clichés me représentant à tous les âges et dans les positions les plus érotiques, voire pornographiques.
L’idée de me voir moi sa femme coucher avec un autre homme l’a toujours excité. De me voir jouir, de me sentir heureuse, le rêve de pouvoir me faire prendre devant lui par un autre. Il me l’avait souvent demandé, mais je prenais toujours cela comme une plaisanterie. Mon homme avait ce fantasme qui le tenaillait depuis longtemps, jusqu’à un moment, nous l’avons évoqué dans des conversations érotiques, au lit par jeu ce qui nous émoustillaient avant de faire l’amour. Peut-être qu’inconsciemment je sentais que si je me lâchais j’étais alors capable d’aller très loin, à ne plus avoir de limite. Etant assez timide mais pas prude dans ce domaine, cela m’avait bien arrangé jusque là. Mais maintenant que les choses devenaient plus précises, je n’osais plus trop le dire, mais l’envie de sentir une autre queue en moi, devenait aussi miens, fantasme.
Le désir s’émoussait comme dans tout couple et le besoin de passer à autre chose se fit sentir. Il y a environ 3 mois, j’ai fini par m’avouer que cette idée m’excitait aussi et je me suis même plusieurs fois masturbée en y pensant. Folle d'attente, je m’imaginais le sentir enfin remuer dans mon ventre, ses mains sur mes fesses, le guider de ses empalements profonds et délicats. Frémissante à cette idée grandissante, espérant même remplacer mes doigts par cette chose inconnue. Je me l’imaginais un peu plus large que celle de Phil, un tige proéminente légèrement hors norme, de suite ma mouille devenait abondante avouant elle même ainsi son envie, les dents crispées sur les halètements, les soupirs qui voulaient filtrer de ma bouche, rêvant de la sentir encore enfler dans mes chairs au couleur pourpres. De sentir en saccade projeter des flots de sperme tiède au fin fond de ma matrice, le soulager longuement, de le sentir engagé au fin fond de mon antre, attendant les derniers soubresauts de cette large pine avant de l'extraire de mon con inondé.
Physiquement, je suis faite de finesse, mes seins sont comme tout le reste de mon corps, c’est-à-dire fermes. J’ai un petit cul sublime, il est ferme, bien rebondi, lisse, ce qui me permet de mettre des jeans ou des pantalons en stretch, moulants, ce qui a le don d’attirer les regards lorsque je marche dans la rue, (et pas seulement des mecs. J’ai vu des filles seules le reluquer, le jalouser).
Puis un jour à trop vouloir pousser notre complicités, il me faisait dire des choses qui l’excitaient, je m’inventais un rôle de coquine, avec de faux-vrai aveux, des fantasmes enfuient de mes secrets. Il me guidait dans ce que je devais dire, j’imaginais quelques détails, quelques scénarios croustillants et cela nous excitait beaucoup. Des aveux qui nous étonnèrent, des remarques persistantes quand je lui racontais mes liaisons imaginaires en sa présence, puis des propos qu’il me tint en dehors de la fièvre de nos jeux, durant la journée, par téléphone ou par sms, allant même à des masturbations sur mon lieu de travail . Il semblait être en dehors du jeu et finit par me convaincre que c’était pour lui un désir aussi réel qu’ardent : je sus alors que mon mari s’excitait violemment à l’idée que sa femme, la mère de ses enfants, le trompe réellement, ait un amant d’un soir, ouvertement, plusieurs même, se débauche pour lui et…devant lui.
Fidèle et amoureuse, je n’étais sûrement pas ce qu’il lui fallait pour combler ce désir bizarre. J’essayai de m’imaginer, mais j’avais du mal… Ne plus savoir parfois, ses envies, ses émotions, ses pensées. Mon homme, mon compagnon... Mon mystère, mon inconnu. Cette incompréhension se révèle paradoxale, et elle me faisait un peu peur.
J’aimais de temps en temps lui faire plaisir en m’habillant court (pas trop quand même du moins au début), mais cela me plaisait de lui raconter des tromperies imaginaires, mais de là, à le faire réellement !
Il cherchait des exhibitions de ma part dans les lieux public, espérant un abandon de sous vêtement, ou l’utilisation de string et soutien gorge ouverts. Je me surpris à m’exciter de plus en plus de ses propos où il commentait mes frasques. Son excitation devint communicative et, au bout de quelques semaines, j’avais une attitude toute autre, vis-à-vis de ses fantasmes, complètement perturbée, cette situation nous donnait des frissons délicieux. J’y pensais, je m’imaginais libre de goûter au fruit défendu, être entre de bonnes mains, et revenir non pas penaude et coupable, mais accueillie avec reconnaissance et…excitation. Il rêvait de me faire posséder par un homme et mon imagination se libéra… Ivresse de la liberté de pouvoir fauter !
Je me surprise à regarder les hommes différemment, dans la rue, les magasins. Je vis qu’ont me regardaient, mais de regards différents, ce que je ne voyais pas ou refusais peut être de voir auparavant. Déclic, retour à une sensation primitive, je sentais mon sexe devenir humide de jour en jour. A se rendre compte que j’aimais me voir comme ça. Je pris confiance en moi, je me sentie désirable et désirée, et cela m’excitait un peu plus, chaque jours. Je commençai à me branler dès que l’endroit me le permettait, pour me libérer de trop d’envie, la première fois j’étais tellement excitée que je me suis caressée au travail, dans les toilettes des filles, en me mordant les lèvres pour ne pas hurler… Mon homme était surexcité quand je lui racontais mes troubles nouveaux. Il avait étrangement introduit en moi un désir que je n’avais pas jusque-là. Alors que j’étais sexuellement comblée au-delà même de mes besoins, une envie grandissait, me trottait un certain temps dans la tête, puis descendait dans mon bas-ventre. Ma transformation fut lente, je ne m’y attendais pas, mais elle se fit. Ma chatte était liquéfiée en permanence, mon clitoris demandait plus d’attention, encore et toujours plus.
Puis Phil me montra sur un site coquin une fiche d’un homme avec qui il dialoguait, l’homme était élégant, assez beau et musclé, puis il m’ouvrit l’album privé, la première photo me scotcha net, le membre était imposant de sa circonférence, et pourtant sans arriver à déterminer son avancé d’érection, la chose me semblait incongrue et pourtant, et pourtant… Incapable de me raisonner, je sentais monter une excitation bizarre tant due au sexe qu’à l’adrénaline du danger. Une sensation insidieuse se frayait un chemin en moi, faite de langueur trouble et de culpabilité anticipée et délicieuse, contre laquelle je ne savais lutter. L’ange gardien poussait des cris d’orfraie, le démon de la tentation s’étirait langoureusement, le regard brillant, la voie me disait : remettez votre main là où elle était, madame. Elle y était très bien. Caressez-vous, maintenant, mais doucement, juste deux doigts en fourche autour de votre clitoris, pour le faire durcir.
Dans cette nuit là, la photo de cette queue proéminente de mes neurones, je me réveillais, haletante, essoufflée, humide de sueur perlant sur mon visage, mes petits globes ronds et veloutés étaient tendus. Mon entrecuisses bouillonnant et fiévreux, de la cyprine avais coulée hors du fourreau tant la quantité était grande. Trop de pensées se télescopaient dans ma tête, je ne les maîtrisais plus. Les choses allaient trop vite, trop loin. Mon homme dormait trop à point fermé pour remarquer ma mésaventure. Je n'en nourris aucun soulagement, au contraire, j'aurais aimé qu'il constate les dégâts. Mon rêve éveillé repris le dessus, je me voyais engloutir cette bite taillée dans la roche, avec alternance et gourmandise, je faisais aller ma tête d’avant en arrière, les doigts crispés à demi autour de la hampe, ma langue entourant le mat agressif et luisant. Mes doigts fouillaient allégrement mon con, remontant de tant à autre sur mon bouton tendu le réclamait, j’essayais de me raviser, de me contrôler…mais une seconde me suffit à prendre la décision inverse. D'abord parce que j'avais trop envie de me branler et parce que j’étais trop proche de l'orgasme pour arrêter. La bouche pleine, je me voyais le pomper de plus en plus vite, les lèvres serrées sur la bite glorieuse, les dents agaçants le pourtour du cylindre, guettant son visage, me le vit même se crisper. M’imaginant m’acharner, comme folle, sur cette queue divine. La chatte en feu et les lèvres en fête, je redoublerais certainement d’effort. Cette chose si grosse dans ma bouche serait certainement un mets de choix, l’imaginée en moi à en apprécier le velouté, l’élasticité et la fermeté, écarter mes chairs avec délice.
Je la sentais presque vibrer contre ma langue dans un bal de caresses circulaires. J’imprimais un mouvement de piston de plus en plus rapide entre mes lèvres ouvertes, recueillir le fruit de mes efforts, mon plaisir monta par vagues, me fit me cabrer, me débattre en silence. Je m’imaginais qu’il se vide les couilles dans ma gorge, le flot crémeux, à la douce saveur tiède envahissait ma bouche, son sperme fusant entre ma langue et mon palais, à le gouter, à le boire. Le délire à imaginer quelques filets qui coulèrent à la commissure de mes lèvres, d'un souple mouvement du col, je me voyais avaler le doux breuvage avant de nettoyer mes lèvres du revers de la langue puis lécher le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du prépuce, aspirant les dernières gouttes perlant au méat.
Moi qui n’aime pas vraiment cela, trop désireuse de le découvrir, je m’irradiais d’un tressautement orgasmique, l’extase dans un sentiment d’immortalité totale dans une étreinte d’une force rare. Mouillant comme une fontaine, provoqué par l’explosion soudaine de l’orgasme. Mon corps fut pris de tremblements et se tétanisa. Mon vagin saisis de courtes contractions, se refermait comme des étaux sur mes doigts. Je me raidissais, je m’arquais même, me boutant à l’extrême. Vaincue par l’explosion du plaisir, je m’endormais, de mes doigts englués dans tant de plaisir, laissant preuve du drap à l’empreinte auréolé sous mes fesses.
J’ai 44 ans, mariée depuis 26 ans à Phil, qui a un an de plus que moi.
Mon mari sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Je ne peux suivre la cadence qu’il aimerait m’imposer mais je fais volontiers des efforts, car je l’aime et, en retour… Il m’offre toujours beaucoup de plaisir, éveillant mes fantasmes et les développant même avec ardeur.
Les plaisir de mon mari fut de me photographier nue : il possède une quantité impressionnante de clichés me représentant à tous les âges et dans les positions les plus érotiques, voire pornographiques.
L’idée de me voir moi sa femme coucher avec un autre homme l’a toujours excité. De me voir jouir, de me sentir heureuse, le rêve de pouvoir me faire prendre devant lui par un autre. Il me l’avait souvent demandé, mais je prenais toujours cela comme une plaisanterie. Mon homme avait ce fantasme qui le tenaillait depuis longtemps, jusqu’à un moment, nous l’avons évoqué dans des conversations érotiques, au lit par jeu ce qui nous émoustillaient avant de faire l’amour. Peut-être qu’inconsciemment je sentais que si je me lâchais j’étais alors capable d’aller très loin, à ne plus avoir de limite. Etant assez timide mais pas prude dans ce domaine, cela m’avait bien arrangé jusque là. Mais maintenant que les choses devenaient plus précises, je n’osais plus trop le dire, mais l’envie de sentir une autre queue en moi, devenait aussi miens, fantasme.
Le désir s’émoussait comme dans tout couple et le besoin de passer à autre chose se fit sentir. Il y a environ 3 mois, j’ai fini par m’avouer que cette idée m’excitait aussi et je me suis même plusieurs fois masturbée en y pensant. Folle d'attente, je m’imaginais le sentir enfin remuer dans mon ventre, ses mains sur mes fesses, le guider de ses empalements profonds et délicats. Frémissante à cette idée grandissante, espérant même remplacer mes doigts par cette chose inconnue. Je me l’imaginais un peu plus large que celle de Phil, un tige proéminente légèrement hors norme, de suite ma mouille devenait abondante avouant elle même ainsi son envie, les dents crispées sur les halètements, les soupirs qui voulaient filtrer de ma bouche, rêvant de la sentir encore enfler dans mes chairs au couleur pourpres. De sentir en saccade projeter des flots de sperme tiède au fin fond de ma matrice, le soulager longuement, de le sentir engagé au fin fond de mon antre, attendant les derniers soubresauts de cette large pine avant de l'extraire de mon con inondé.
Physiquement, je suis faite de finesse, mes seins sont comme tout le reste de mon corps, c’est-à-dire fermes. J’ai un petit cul sublime, il est ferme, bien rebondi, lisse, ce qui me permet de mettre des jeans ou des pantalons en stretch, moulants, ce qui a le don d’attirer les regards lorsque je marche dans la rue, (et pas seulement des mecs. J’ai vu des filles seules le reluquer, le jalouser).
Puis un jour à trop vouloir pousser notre complicités, il me faisait dire des choses qui l’excitaient, je m’inventais un rôle de coquine, avec de faux-vrai aveux, des fantasmes enfuient de mes secrets. Il me guidait dans ce que je devais dire, j’imaginais quelques détails, quelques scénarios croustillants et cela nous excitait beaucoup. Des aveux qui nous étonnèrent, des remarques persistantes quand je lui racontais mes liaisons imaginaires en sa présence, puis des propos qu’il me tint en dehors de la fièvre de nos jeux, durant la journée, par téléphone ou par sms, allant même à des masturbations sur mon lieu de travail . Il semblait être en dehors du jeu et finit par me convaincre que c’était pour lui un désir aussi réel qu’ardent : je sus alors que mon mari s’excitait violemment à l’idée que sa femme, la mère de ses enfants, le trompe réellement, ait un amant d’un soir, ouvertement, plusieurs même, se débauche pour lui et…devant lui.
Fidèle et amoureuse, je n’étais sûrement pas ce qu’il lui fallait pour combler ce désir bizarre. J’essayai de m’imaginer, mais j’avais du mal… Ne plus savoir parfois, ses envies, ses émotions, ses pensées. Mon homme, mon compagnon... Mon mystère, mon inconnu. Cette incompréhension se révèle paradoxale, et elle me faisait un peu peur.
J’aimais de temps en temps lui faire plaisir en m’habillant court (pas trop quand même du moins au début), mais cela me plaisait de lui raconter des tromperies imaginaires, mais de là, à le faire réellement !
Il cherchait des exhibitions de ma part dans les lieux public, espérant un abandon de sous vêtement, ou l’utilisation de string et soutien gorge ouverts. Je me surpris à m’exciter de plus en plus de ses propos où il commentait mes frasques. Son excitation devint communicative et, au bout de quelques semaines, j’avais une attitude toute autre, vis-à-vis de ses fantasmes, complètement perturbée, cette situation nous donnait des frissons délicieux. J’y pensais, je m’imaginais libre de goûter au fruit défendu, être entre de bonnes mains, et revenir non pas penaude et coupable, mais accueillie avec reconnaissance et…excitation. Il rêvait de me faire posséder par un homme et mon imagination se libéra… Ivresse de la liberté de pouvoir fauter !
Je me surprise à regarder les hommes différemment, dans la rue, les magasins. Je vis qu’ont me regardaient, mais de regards différents, ce que je ne voyais pas ou refusais peut être de voir auparavant. Déclic, retour à une sensation primitive, je sentais mon sexe devenir humide de jour en jour. A se rendre compte que j’aimais me voir comme ça. Je pris confiance en moi, je me sentie désirable et désirée, et cela m’excitait un peu plus, chaque jours. Je commençai à me branler dès que l’endroit me le permettait, pour me libérer de trop d’envie, la première fois j’étais tellement excitée que je me suis caressée au travail, dans les toilettes des filles, en me mordant les lèvres pour ne pas hurler… Mon homme était surexcité quand je lui racontais mes troubles nouveaux. Il avait étrangement introduit en moi un désir que je n’avais pas jusque-là. Alors que j’étais sexuellement comblée au-delà même de mes besoins, une envie grandissait, me trottait un certain temps dans la tête, puis descendait dans mon bas-ventre. Ma transformation fut lente, je ne m’y attendais pas, mais elle se fit. Ma chatte était liquéfiée en permanence, mon clitoris demandait plus d’attention, encore et toujours plus.
Puis Phil me montra sur un site coquin une fiche d’un homme avec qui il dialoguait, l’homme était élégant, assez beau et musclé, puis il m’ouvrit l’album privé, la première photo me scotcha net, le membre était imposant de sa circonférence, et pourtant sans arriver à déterminer son avancé d’érection, la chose me semblait incongrue et pourtant, et pourtant… Incapable de me raisonner, je sentais monter une excitation bizarre tant due au sexe qu’à l’adrénaline du danger. Une sensation insidieuse se frayait un chemin en moi, faite de langueur trouble et de culpabilité anticipée et délicieuse, contre laquelle je ne savais lutter. L’ange gardien poussait des cris d’orfraie, le démon de la tentation s’étirait langoureusement, le regard brillant, la voie me disait : remettez votre main là où elle était, madame. Elle y était très bien. Caressez-vous, maintenant, mais doucement, juste deux doigts en fourche autour de votre clitoris, pour le faire durcir.
Dans cette nuit là, la photo de cette queue proéminente de mes neurones, je me réveillais, haletante, essoufflée, humide de sueur perlant sur mon visage, mes petits globes ronds et veloutés étaient tendus. Mon entrecuisses bouillonnant et fiévreux, de la cyprine avais coulée hors du fourreau tant la quantité était grande. Trop de pensées se télescopaient dans ma tête, je ne les maîtrisais plus. Les choses allaient trop vite, trop loin. Mon homme dormait trop à point fermé pour remarquer ma mésaventure. Je n'en nourris aucun soulagement, au contraire, j'aurais aimé qu'il constate les dégâts. Mon rêve éveillé repris le dessus, je me voyais engloutir cette bite taillée dans la roche, avec alternance et gourmandise, je faisais aller ma tête d’avant en arrière, les doigts crispés à demi autour de la hampe, ma langue entourant le mat agressif et luisant. Mes doigts fouillaient allégrement mon con, remontant de tant à autre sur mon bouton tendu le réclamait, j’essayais de me raviser, de me contrôler…mais une seconde me suffit à prendre la décision inverse. D'abord parce que j'avais trop envie de me branler et parce que j’étais trop proche de l'orgasme pour arrêter. La bouche pleine, je me voyais le pomper de plus en plus vite, les lèvres serrées sur la bite glorieuse, les dents agaçants le pourtour du cylindre, guettant son visage, me le vit même se crisper. M’imaginant m’acharner, comme folle, sur cette queue divine. La chatte en feu et les lèvres en fête, je redoublerais certainement d’effort. Cette chose si grosse dans ma bouche serait certainement un mets de choix, l’imaginée en moi à en apprécier le velouté, l’élasticité et la fermeté, écarter mes chairs avec délice.
Je la sentais presque vibrer contre ma langue dans un bal de caresses circulaires. J’imprimais un mouvement de piston de plus en plus rapide entre mes lèvres ouvertes, recueillir le fruit de mes efforts, mon plaisir monta par vagues, me fit me cabrer, me débattre en silence. Je m’imaginais qu’il se vide les couilles dans ma gorge, le flot crémeux, à la douce saveur tiède envahissait ma bouche, son sperme fusant entre ma langue et mon palais, à le gouter, à le boire. Le délire à imaginer quelques filets qui coulèrent à la commissure de mes lèvres, d'un souple mouvement du col, je me voyais avaler le doux breuvage avant de nettoyer mes lèvres du revers de la langue puis lécher le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du prépuce, aspirant les dernières gouttes perlant au méat.
Moi qui n’aime pas vraiment cela, trop désireuse de le découvrir, je m’irradiais d’un tressautement orgasmique, l’extase dans un sentiment d’immortalité totale dans une étreinte d’une force rare. Mouillant comme une fontaine, provoqué par l’explosion soudaine de l’orgasme. Mon corps fut pris de tremblements et se tétanisa. Mon vagin saisis de courtes contractions, se refermait comme des étaux sur mes doigts. Je me raidissais, je m’arquais même, me boutant à l’extrême. Vaincue par l’explosion du plaisir, je m’endormais, de mes doigts englués dans tant de plaisir, laissant preuve du drap à l’empreinte auréolé sous mes fesses.
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