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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Phildulux
#1212633
Je m’appelle Valérie, j’espère que vous apprécierez ce nouveau récit, j’attends de vous que vous y participiez cette fois-ci, par l’élégance des mots mais aussi par des photos. Bisous.


J’ai 44 ans, mariée depuis 26 ans à Phil, qui a un an de plus que moi.
Mon mari sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Je ne peux suivre la cadence qu’il aimerait m’imposer mais je fais volontiers des efforts, car je l’aime et, en retour… Il m’offre toujours beaucoup de plaisir, éveillant mes fantasmes et les développant même avec ardeur.
Les plaisir de mon mari fut de me photographier nue : il possède une quantité impressionnante de clichés me représentant à tous les âges et dans les positions les plus érotiques, voire pornographiques.
L’idée de me voir moi sa femme coucher avec un autre homme l’a toujours excité. De me voir jouir, de me sentir heureuse, le rêve de pouvoir me faire prendre devant lui par un autre. Il me l’avait souvent demandé, mais je prenais toujours cela comme une plaisanterie. Mon homme avait ce fantasme qui le tenaillait depuis longtemps, jusqu’à un moment, nous l’avons évoqué dans des conversations érotiques, au lit par jeu ce qui nous émoustillaient avant de faire l’amour. Peut-être qu’inconsciemment je sentais que si je me lâchais j’étais alors capable d’aller très loin, à ne plus avoir de limite. Etant assez timide mais pas prude dans ce domaine, cela m’avait bien arrangé jusque là. Mais maintenant que les choses devenaient plus précises, je n’osais plus trop le dire, mais l’envie de sentir une autre queue en moi, devenait aussi miens, fantasme.
Le désir s’émoussait comme dans tout couple et le besoin de passer à autre chose se fit sentir. Il y a environ 3 mois, j’ai fini par m’avouer que cette idée m’excitait aussi et je me suis même plusieurs fois masturbée en y pensant. Folle d'attente, je m’imaginais le sentir enfin remuer dans mon ventre, ses mains sur mes fesses, le guider de ses empalements profonds et délicats. Frémissante à cette idée grandissante, espérant même remplacer mes doigts par cette chose inconnue. Je me l’imaginais un peu plus large que celle de Phil, un tige proéminente légèrement hors norme, de suite ma mouille devenait abondante avouant elle même ainsi son envie, les dents crispées sur les halètements, les soupirs qui voulaient filtrer de ma bouche, rêvant de la sentir encore enfler dans mes chairs au couleur pourpres. De sentir en saccade projeter des flots de sperme tiède au fin fond de ma matrice, le soulager longuement, de le sentir engagé au fin fond de mon antre, attendant les derniers soubresauts de cette large pine avant de l'extraire de mon con inondé.
Physiquement, je suis faite de finesse, mes seins sont comme tout le reste de mon corps, c’est-à-dire fermes. J’ai un petit cul sublime, il est ferme, bien rebondi, lisse, ce qui me permet de mettre des jeans ou des pantalons en stretch, moulants, ce qui a le don d’attirer les regards lorsque je marche dans la rue, (et pas seulement des mecs. J’ai vu des filles seules le reluquer, le jalouser).
Puis un jour à trop vouloir pousser notre complicités, il me faisait dire des choses qui l’excitaient, je m’inventais un rôle de coquine, avec de faux-vrai aveux, des fantasmes enfuient de mes secrets. Il me guidait dans ce que je devais dire, j’imaginais quelques détails, quelques scénarios croustillants et cela nous excitait beaucoup. Des aveux qui nous étonnèrent, des remarques persistantes quand je lui racontais mes liaisons imaginaires en sa présence, puis des propos qu’il me tint en dehors de la fièvre de nos jeux, durant la journée, par téléphone ou par sms, allant même à des masturbations sur mon lieu de travail . Il semblait être en dehors du jeu et finit par me convaincre que c’était pour lui un désir aussi réel qu’ardent : je sus alors que mon mari s’excitait violemment à l’idée que sa femme, la mère de ses enfants, le trompe réellement, ait un amant d’un soir, ouvertement, plusieurs même, se débauche pour lui et…devant lui.
Fidèle et amoureuse, je n’étais sûrement pas ce qu’il lui fallait pour combler ce désir bizarre. J’essayai de m’imaginer, mais j’avais du mal… Ne plus savoir parfois, ses envies, ses émotions, ses pensées. Mon homme, mon compagnon... Mon mystère, mon inconnu. Cette incompréhension se révèle paradoxale, et elle me faisait un peu peur.

J’aimais de temps en temps lui faire plaisir en m’habillant court (pas trop quand même du moins au début), mais cela me plaisait de lui raconter des tromperies imaginaires, mais de là, à le faire réellement !
Il cherchait des exhibitions de ma part dans les lieux public, espérant un abandon de sous vêtement, ou l’utilisation de string et soutien gorge ouverts. Je me surpris à m’exciter de plus en plus de ses propos où il commentait mes frasques. Son excitation devint communicative et, au bout de quelques semaines, j’avais une attitude toute autre, vis-à-vis de ses fantasmes, complètement perturbée, cette situation nous donnait des frissons délicieux. J’y pensais, je m’imaginais libre de goûter au fruit défendu, être entre de bonnes mains, et revenir non pas penaude et coupable, mais accueillie avec reconnaissance et…excitation. Il rêvait de me faire posséder par un homme et mon imagination se libéra… Ivresse de la liberté de pouvoir fauter !
Je me surprise à regarder les hommes différemment, dans la rue, les magasins. Je vis qu’ont me regardaient, mais de regards différents, ce que je ne voyais pas ou refusais peut être de voir auparavant. Déclic, retour à une sensation primitive, je sentais mon sexe devenir humide de jour en jour. A se rendre compte que j’aimais me voir comme ça. Je pris confiance en moi, je me sentie désirable et désirée, et cela m’excitait un peu plus, chaque jours. Je commençai à me branler dès que l’endroit me le permettait, pour me libérer de trop d’envie, la première fois j’étais tellement excitée que je me suis caressée au travail, dans les toilettes des filles, en me mordant les lèvres pour ne pas hurler… Mon homme était surexcité quand je lui racontais mes troubles nouveaux. Il avait étrangement introduit en moi un désir que je n’avais pas jusque-là. Alors que j’étais sexuellement comblée au-delà même de mes besoins, une envie grandissait, me trottait un certain temps dans la tête, puis descendait dans mon bas-ventre. Ma transformation fut lente, je ne m’y attendais pas, mais elle se fit. Ma chatte était liquéfiée en permanence, mon clitoris demandait plus d’attention, encore et toujours plus.
Puis Phil me montra sur un site coquin une fiche d’un homme avec qui il dialoguait, l’homme était élégant, assez beau et musclé, puis il m’ouvrit l’album privé, la première photo me scotcha net, le membre était imposant de sa circonférence, et pourtant sans arriver à déterminer son avancé d’érection, la chose me semblait incongrue et pourtant, et pourtant… Incapable de me raisonner, je sentais monter une excitation bizarre tant due au sexe qu’à l’adrénaline du danger. Une sensation insidieuse se frayait un chemin en moi, faite de langueur trouble et de culpabilité anticipée et délicieuse, contre laquelle je ne savais lutter. L’ange gardien poussait des cris d’orfraie, le démon de la tentation s’étirait langoureusement, le regard brillant, la voie me disait : remettez votre main là où elle était, madame. Elle y était très bien. Caressez-vous, maintenant, mais doucement, juste deux doigts en fourche autour de votre clitoris, pour le faire durcir.
Dans cette nuit là, la photo de cette queue proéminente de mes neurones, je me réveillais, haletante, essoufflée, humide de sueur perlant sur mon visage, mes petits globes ronds et veloutés étaient tendus. Mon entrecuisses bouillonnant et fiévreux, de la cyprine avais coulée hors du fourreau tant la quantité était grande. Trop de pensées se télescopaient dans ma tête, je ne les maîtrisais plus. Les choses allaient trop vite, trop loin. Mon homme dormait trop à point fermé pour remarquer ma mésaventure. Je n'en nourris aucun soulagement, au contraire, j'aurais aimé qu'il constate les dégâts. Mon rêve éveillé repris le dessus, je me voyais engloutir cette bite taillée dans la roche, avec alternance et gourmandise, je faisais aller ma tête d’avant en arrière, les doigts crispés à demi autour de la hampe, ma langue entourant le mat agressif et luisant. Mes doigts fouillaient allégrement mon con, remontant de tant à autre sur mon bouton tendu le réclamait, j’essayais de me raviser, de me contrôler…mais une seconde me suffit à prendre la décision inverse. D'abord parce que j'avais trop envie de me branler et parce que j’étais trop proche de l'orgasme pour arrêter. La bouche pleine, je me voyais le pomper de plus en plus vite, les lèvres serrées sur la bite glorieuse, les dents agaçants le pourtour du cylindre, guettant son visage, me le vit même se crisper. M’imaginant m’acharner, comme folle, sur cette queue divine. La chatte en feu et les lèvres en fête, je redoublerais certainement d’effort. Cette chose si grosse dans ma bouche serait certainement un mets de choix, l’imaginée en moi à en apprécier le velouté, l’élasticité et la fermeté, écarter mes chairs avec délice.
Je la sentais presque vibrer contre ma langue dans un bal de caresses circulaires. J’imprimais un mouvement de piston de plus en plus rapide entre mes lèvres ouvertes, recueillir le fruit de mes efforts, mon plaisir monta par vagues, me fit me cabrer, me débattre en silence. Je m’imaginais qu’il se vide les couilles dans ma gorge, le flot crémeux, à la douce saveur tiède envahissait ma bouche, son sperme fusant entre ma langue et mon palais, à le gouter, à le boire. Le délire à imaginer quelques filets qui coulèrent à la commissure de mes lèvres, d'un souple mouvement du col, je me voyais avaler le doux breuvage avant de nettoyer mes lèvres du revers de la langue puis lécher le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du prépuce, aspirant les dernières gouttes perlant au méat.
Moi qui n’aime pas vraiment cela, trop désireuse de le découvrir, je m’irradiais d’un tressautement orgasmique, l’extase dans un sentiment d’immortalité totale dans une étreinte d’une force rare. Mouillant comme une fontaine, provoqué par l’explosion soudaine de l’orgasme. Mon corps fut pris de tremblements et se tétanisa. Mon vagin saisis de courtes contractions, se refermait comme des étaux sur mes doigts. Je me raidissais, je m’arquais même, me boutant à l’extrême. Vaincue par l’explosion du plaisir, je m’endormais, de mes doigts englués dans tant de plaisir, laissant preuve du drap à l’empreinte auréolé sous mes fesses.

Le changement....jpg
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#1212752
Non mon fantasme est bien réalisé, c'est bien moi en effet et pour les photos mon mari s'en occupe, comme cité dans le texte ci-dessus...


Valphil.jpg
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maxernst a liké
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par nacra29
#1212861
Un beau récit écrit par Madame qui donne un point de vue féminin intéressant. Les désirs de l'homme au travers de sa femme sont ici très bien raconté. D'un jeux cela se transforme petit à petit d'un désir diffus vers une envie de sentir cette queue autrement qu'en image dans la tête. le cheminement fera rêver plusieurs d'entre nous ...
On attend la suite avec impatience !!! ;)
#1212944
alors là, je reste sans voix devant une telle lecture trés agréable, avec des mots justes, placés là ou il le faut, bravo a vous et chapeau bas Mme
on en redemande ;)
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par nizo
#1213207
Je m'inscris à la liste.
C'est un superbe récit, et en plus, des illustrations très sympa, surtout la première qui est un vrai régal et qui conclu très bien la lecture.

Vivement les prochains épisodes.
#1213557
Je vivais ainsi en équilibre entre une vie réelle très conformiste et une vie imaginaire perverse mais bien enfouie. J’étais protégée de mes désirs par une muraille aux solides pierres fondatrices, les valeurs morales, les contraintes matérielles, et mes faiblesses de caractère. Les valeurs morales étaient celles, strictes, de mon milieu et de mon éducation, la fidélité, l’honnêteté. Côté contraintes, mon emploi du temps était calculé, chaque heure était allouée à une tâche bien précise entre mon travail et ma famille. Enfin, ma discrétion naturelle, tant physique que de caractère, était protectrice, car d’une part j’attirais peu l’attention des hommes, d’autre part pour moi, l’abord de l’inconnu a toujours été très difficile, de par un mélange de timidité et de crainte pure. Le ciment de cette muraille était la nature même de mes fantaisies, dont la réalisation était inconcevable.
Et voilà que par la faute de que j’avais entrevu, la muraille s’était fissurée, le ciment ne la tenait plus, parce que l’inconcevable ne l’était plus. Dans les semaines qui suivirent, mon mari allait me faire découvrir que ma muraille protectrice n’était rien de plus qu’une rangée de murets de sable face à la marée montante de mes pulsions. Les contraintes, j’avais bien sûr le savoir-faire pour les gérer. Quant aux valeurs…un raisonnement pervers allait me convaincre que l’avilissement apporterait l’expiation et m’apporterait une intégrité que je n’avais jamais atteinte. Un seul rempart allait vraiment tenir : la peur, le manque de courage à faire le pas ultime.
Je veux ce partenaire, cet amant, je veux qu’il me trouve belle, sexy, et qui me le dise. Qu’il aime mon corps, ma peau, mes efforts pour lui plaire, aussi pour le séduire et qu’il me séduise, qu’ils nous séduisent, encore et toujours, pour sortir de cette routine assassine. Inviter l'innocence et se laisser aller à être des étrangers un moment, pour mieux faire connaissance, se rapprocher, se retrouver.
Je veux cet homme qu’il me désire fort. Ses bras, son ventre, sa queue pour moi, une nuit ou plus, dans l'ombre ou la lumière. Un homme que la fatigue n'arrête pas, que les excuses ne freinent pas. Je veux baiser, être chatte, je veux aussi faire l'amour et être sensuelle, je veux ses mains sur moi, ses caresses, je veux qu'il bande dans ma bouche, qu'il jouisse dans mon ventre. Je veux tout de sa tendresse. Je le veux calé au plus profond de mon corps ; je veux le retenir encore. Je veux qu'il me bouscule un peu, me maltraite de sa fougue. Je veux nos instincts les plus primaires. Je veux sa bouche, ses lèvres, nos salives mêlées, je veux mouiller pour lui, je veux le goûter, le lécher, je veux le manger et le boire.
Et je veux un amant doux, câlin, attentionné. Un amant qui sente bon. Je ne veux pas de ces odeurs qui sont arrivées à m'écœurer. Je veux le parfum de sa peau, le vrai... et le vrai goût de son sperme. Doux, légèrement sucré, crémeux...
Dans un même lit, je ne veux pas que son esprit s'échappe dès qu'il le peut, je le veux avec moi, quand il coule encore sur ma langue. Il sera ailleurs, oui, mais plus tard...

valphil343.jpg
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maxernst a liké
#1213637
Oh oui que dire ... un talent d'écriture incroyable, une force d'érotisme incroyable et une femme que j'aimerais débusquer ... et pas dans ma 2e ou 3e vie ... non dans celle-ci, car je ne prendrai pas le risque de perdre cela.
Bravo! C'est fort, c'est beau, c'est émouvant à tous points de vue.
Quand l'amour est une oeuvre d'art ... on en reste muet d'admiration et de plaisir.
La claque.... et dire qu'il faudra aller travailler demain hahhaha.... c'est une torture!
par fabio69
#1213718
encore merci, tout d abord pour votre petit message et puis pour la suite de vos récits, qui nous rendent tous impatient et qui ,certainement ,nous aident a construire nos lendemain.
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par nizo
#1213782
Tellement bien écrit et tellement vrai.
La routine, l'envie de plaire, les fausses vérités sur la fidélité infaillible, le désir de l'autre, la rudesse enrobée de tendresse... et puis toujours cette photo de fin, délicieusement perverse à souhait.

Qui que tu sois, femme (ou homme), n'arrête pas ta plume et laisse la glisser encore et encore pour notre plus grand plaisir.
#1214245
Les choses se sont précisées avec cet homme aux yeux hypnotiques que je savais plus ou moins pervers. Nous avons discutée plusieurs jours d’affilés sur le net et une rencontre s’imposa, naturellement, j’étais très intriguée, mes pensées m'obsédaient tout de même.
A la première croisée visuelle de nos chemin de vie, je ne pus m'empêcher de trouver sa façon de me regarder, troublante. J'avais l'impression d'être littéralement déshabillée et cela me mettait quelque peu mal à l'aise mais je ne laissais rien transparaitre, un peu come si je réalisais sa présence réelle.
La conversation avait commencé comme ça. "Je peux vous offrir à boire", "Avec plaisir".
Nous étions seuls dans l’arrière café du centre de cette ville Lorraine, quelque peu à l’écart, au fond, ce qui nous donnaient une vue d’ensemble du site. Lui était entré quelques temps après nous, un grand brun, sportif, vêtu de manière sobre et classe d’un pantalon noir et d’une chemise blanche. Phil lui avais disposé une chaise, nous deux sur la banquette et lui à ma droite, sans arrière-pensée aucune, juste par politesse, il me semble... Je lui ai alloué un sourire en me levant pour lui faire la bise, les commissures de nos lèvres se sont touchées, délicatement dans une caresse lente et fébrile, puis sera la main et remercia mon homme de notre présence, aussi pour la chaise. Sans trop le vouloir il regarda mes jambes, ma jupe, un peu courte laissait voir le galbe de mes cuisses.
Il lâcha : "vous êtes vraiment belle, trop, trop pour que je ne vous regarde pas, trop pour que vous ne sachiez pas que je vous regarde, trop pour que vous ne puissiez pas imaginer que je vous regarde, que je vous désire, c’est aussi simple que ça…"
Et nous avons commencé à discuter en rigolant. De rien, de tout, de tout ce qu’on peut se dire, souriant de nos visages.
Il nous considérait comme un couple que nous sommes. Je le regardais, c’est vraie, avec beaucoup d’attention, mais pas la moindre allusion, pas le moindre geste déplacé de sa part, il avait de l’éducation, était attentionné. Il sentait bon, un petit peu plus jeune que nous, je le trouvais mieux que les photos montrées sur le site par mon mari, séduite rapidement par mes convictions, c’est moi qui commença, c’est moi qui eu le droit de commencer, ouvertement. C’est moi qui étais de plus en plus proche de lui, c’est moi qui parfois le frôlais, d’un peu trop près, le regardais un peu trop longuement. Je pouvais deviner dans ses yeux l'expression de son regard, il ne mentait pas : envie et désir.
Ma main se posa sur la cuisse de mon homme, la remontant peu à peu, découvrant ce que je pressentais, la chaleur et la raideur bien présente du sexe sous le tissu, je le massais en le fixant, l’un à l’autre, échanges d’un sourire complice.
De l’autre main, mes doigts tremblants ce dirigèrent dans les airs à ma droite, sous la table, le cœur battant je tentais par instinct un effleurement du bout des ongles, le toucher, tenter un premier contact contigu, qui n’engendra d’ailleurs aucune réaction. Puis un deuxième, pour réponse à la faveur de mes mouvements, il avança sa chaise dans ma direction. Je glissais définitivement la paume de ma main, restant statique un instant, le temps de me reprendre, puis la caresse délicate, faire en sorte de reprendre doucement l’ascension tel un funambule sur son filin. Le fin tissu de son pantalon ne le protégeais en rien, je rencontrais très vite, trop vite même, de mes ongles ce que je recherchais, j’aimerai me mentir parfois... Mon cœur c’est emballé une nouvelle fois, entre la peur et la découverte, la surenchère de hardiesse sensuelle, je devinais un gros gland très en relief, puis la tige d'un format hors du commun, j’étais impressionnée est inquiète à la fois mais mon trouble était accentué par sa bandaison. La braise n’était plus, les flammes les avaient remplacée, bien malgré moi mon corps avait adopté la traitrise, l’envie forte me tenaillait, j’avais le souffle court. Ma main l’avait effleurée à plusieurs reprises, cette grosse déformation, cette situation un peu ambiguë m’excitait comme jamais, comment décrire et communiquer l'émoi qui m’étreignait ce jour là…
Je me demandais quand il me toucherait, mais il frisait presque l'indifférence, il ne me gratifiait de rien d'autre que de regards, me conduisant au désespoir.
Mon homme crus avoir une crise cardiaque quand je répondis trouver bien quelque chose à boire au goulot ! Même dans un film porno, je n’avais jamais entendu une proposition si audacieuse et si…élégante. Sa crise cardiaque n’aurait duré que le temps de deux ou trois battements de cœur si je n’y avait pas ajouté un sourire qui en disait long sur…mon envie de fellation.
À tout avouer, mon cerveau changeait d’idée toute les deux secondes et balançait entre me faire prendre comme une princesse ou me prendre pour une salope.
Je sursautais d’un coup, une main effleurant le velours de ma peau, était rentrée à mon contact, enfin, entamant une lente caresse sur ma peau satinée au niveau de ma cuisse à la limite du bas, et tous en parlant, il progressait délicatement avec soins passant sous le tissus et atteignant l’orée de mon string, un Lola ouvert, muni d’un cristal pendue tombant sur le clitoris, un cadeau de Phil.
La peau très douce, elle semblait me brûler augmentant cette sensation de chaleur qui m’envahissait inexorablement le pubis, la vulve, grondant de sorte tous mon bas-ventre.
Tout en discutant, il laissa pour un temps seulement mon antre qui ce trouva par ce moment comme orphelin et, remonta d’un geste lent. Il jeta son dévolu sur ma poitrine, me palpant suavement les seins, prenant la liberté d’ouvrir peu à peu ma chemise, bouton après bouton de façon à ce que bientôt, je me trouvais avec le soutien-gorge qui n’avait que fonction de tenir par dessous mes seins, laissant apparaître à cet amant, à mon homme, et, à toutes inconnues qui passeraient, la visions de mes seins auréoles aux pointes dardées.
Ma jupe remontée à mi cuisses laissait transparaître la lisière des bas, les attaches de mon porte jarretelles.
Il pris l'initiative de m'embrasser à pleine bouche et je ne me suis pas refusée à ce baiser, prolongé et profond ou nos deux langues se mêlèrent. Pendant ce long baiser, ses mains suivaient le galbe de mes petits seins, de ces doigts, se saisissait d’un téton, le roulant délicatement, et moi, la respiration saccadée, je me laissais faire, acquiesçant avec une facilité déroutante.
Dans ce laisser-aller peu à peu je m’écartais, je m’abandonnais… Le fait est, que je prenais goût à me faire caresser, à me faire peloter comme une cochonne dans ce bar. Je me sentais vraiment très excitée bien plus excitée que j'avais pu la connaître ces derniers temps dans nos ébats conjugaux.
"Spectacle admirable que celui-ci…" me glissa à l’oreille, mon homme…
Puis l’amant s'insinua dans mes endroits les plus secrets... M’écartant davantage, encore, mes jolies cuisses formaient maintenant un angle presque droit. Ses doigts me frôlèrent, prolongeant sur ma peau le feu d’artifice sensuel qu’il avait allumé dans mon intérieur. Un doigt inquisiteur rentra en contact d’une de mes lèvres intime, en coulissant il poursuivait l’état des lieux, la moiteur de l’endroit ne lui laissait aucun doute sur son, sans faute.
Un soubresaut me saisissais, comme une onde électrique, c'est quelque chose de subtile, d'agréable et de furtif tout à la fois, son index avait rencontré ma crête si sensible, provoquant une ruade sauvage, il caressa le pourtour de ma petite rose, l’effleurent tendrement ma fente, mon bassin l’accompagnait imperceptiblement, ma bouche s’ouvrait et se refermait, puis il serra fort l’appendices bandé, j’haletais tout en ondulant un peu plus. Je me penchais vers le visage de mon homme, le regardais au plus profond de lui même, quêtant son assentiment, il ne disait rien, se contentait de me sourire ; me préoccupant simplement qu'il entrait bien dans notre jeu, je l’embrassais fougueusement, amoureusement, ma langue pleine de salive s’immiscent entre ses dents, puis je lui glissais un "je t’aime" de grande valeur.
Un homme, serveur de métier, debout et statique, devant notre table se délectait de cette impudeur sans doute volontaire certes, de cette offrande indécente. Le doigt insinué de mon amant entre mes lèvres gonflées trouva le moment opportun pour pénétrer de moitié mon fourreau volcanique, provoquant par la même ce gémissement incontrôlable accompagné de petits cris de plénitude. La fermeture de mes doigts sur son renflement prononcé le fit sursauté à son tour… J’étais là, chemisier ouvert et mamelles offerte, d’ou de la hauteur de sa vision, pouvait contempler l’orle de mon sexe, le double renflement symétrique de ma chatte accentuer par ma position suggestive et le doigt inquisiteur, la pénétration proposait pour signifier l’audace d’exciter cet inconnu en lui montrant d’avantage.
Mon homme lui paya les boissons, cherchant même de la monnaie, le doigt coulissait au même rythme à l’unisson, me laissant sans control, offerte…
Au départ du spectateur attentif, les lèvres amantes se rencontraient, nos bouches s’ouvraient à l’autre, cette langue me pénétrait, je la gouttais encore et encore, découvrant sa saveur, je fermais les yeux… Mes cuisses m’abandonnais, elles s’écartèrent, s’ouvrant totalement à lui, sa main tout entière se glissa, découvrant une nouvelle fois mes lèvres ruisselantes, ouvertes par le plaisir, engluées par tant de jus. Il glissa un doigt de tout son long et comme pour une récolte, le remonta, le présenta à ma bouche qui forma un O et se délecta sans réfléchir de mon jus intime, ses doigts brillaient de ma salive, un torrent de liquide crémeux et chaud jaillissait de mon cratère, mon con produisais cette substance à volonté.
Au milieu de tous ce plaisir, sa proposition d’un verre, chez lui, prétextant je ne sais pas quoi, et puis il n’habitait pas loin…
Et moi… Je m’en moquais, je n’en pouvais plus, tant de désirs, tant de besoins, mon trouble était d’une évidence ! L’envie de me branler, un sentiment de faim inassouvi…J’avais déjà capitulée.
Lui était enthousiaste… Vraiment, il n’habitait pas loin.

Valphil231.jpg
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par fabio69
#1214373
humm je ne m en lasse pas, comme si j avais été présent, assis sur une banquette de ce café , sans que personne ne m ai remarqué. HUMM vivement que je me retrouve dans un coin de l appartement de cet amant !!! mais chutt ;)
la suite svp , c est de la torture cette attente du lendemain pour vous lire !!!!
#1215295
Lol, je vous promet que cela arrive peut être ce dans la soirée, je suis en retard sur ma propre correction... Merci à tous ceux qui prennent le temps d'écrire un petit mot, vous êtes génial....
Valphil232.jpg
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#1215301
valphil a écrit :Lol, je vous promet que cela arrive peut être ce dans la soirée, je suis en retard sur ma propre correction... Merci à tous ceux qui prennent le temps d'écrire un petit mot, vous êtes génial....
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Superbes récit ou prose et illustrations sont d'une qualité rare... Fan d'une coquine par ses photos qui reflètent une beauté fatale mais aussi par l'évolution de ses histoires qui demandent toujours plus et que l'on ne se lasse de découvrir au fil des jours.

Je participerai bien au fantasme de la belle pour qu'elle puisse raconter à loisir les délires libertins que nous aurions partager ensemble !!

Continuez jolie Val, vous nous faites rêver... ;)
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par nizo
#1215364
valphil a écrit :Lol, je vous promet que cela arrive peut être ce dans la soirée, je suis en retard sur ma propre correction... Merci à tous ceux qui prennent le temps d'écrire un petit mot, vous êtes génial....
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Splendide cette main d'homme glissée là où on rêvent tous de s'abandonner, et cette autre main qui semble dire "non, encore!"
#1215441
Il avait une très belle maison qu’il nous fit visiter sommairement, puis nous guida au sous-sol, un bel escalier très large nous y menait. Et là petite surprise nous attendais, un petit palais destinée aux plaisirs, c’étais tout simplement une ambiance érotique, un foyer au centre, ouvert sur quatre faces vitrées ou régnait une douce chaleur, le crépitement discret des buches au centre, un canapé cuir de forme arrondi y était alloué, des miroirs un peu partout, une lumière tamisée, un écran géant, des tentures de voile…
Un épais matelas de grande taille, les coussins repoussés, difficile de ne pas imaginer l’utilité de l’endroit, prose pour des ébats libertins. Dans un recoin, une grande douche à l’Italienne, sublimité d’un bain à remous …
Pendant toute la visite, il me tenait, la main, par la taille ou les épaules, et je n’en demandais pas plus. Je flirtais avec lui d’une manière enjouée, lui passant la main sur son torse ou sur ses fesses. Son vît me frôla plusieurs fois, démontrant son désir en pleine émois.
Je gardais en moi toute cette énergie sexuelle qu’il me faisait naître, je savourais…
Mon homme était un spectateur fasciné, par le spectacle de sa femme courtisée par cet autre homme qui n'hésitait pas à la peloter devant lui, il appréciait à juste titre…
Les mains de mon amant, étaient de plus en plus caressantes, explorant tous les formes de mon corps, remontant ma jupe bien haute sur mes cuisses…
A notre retour, au centre de la pièce principale, il nous proposa de nous asseoir, remis une buche dans le foyer, et nous servit à chacun une boisson de notre choix.
Assise entre les deux hommes, je n’eu aucun mal, aucune hésitation à poser mes mains sur leurs pantalons déformés. L’alcool me faisait rapidement de l’effet, le feu aidant, la température montait, j’avais chaud, de moi même, mon chemisier c’est ouvert progressivement. Mon homme c’est levé, c’est penché vers moi, le baiser vint naturellement, profondément, passionnément et il me fit glisser le tissu sur les épaules, pour me le confisquer ensuite. Mon amant se rapprocha sans quitter nos discutions érotique qui nous animait, passa le bras derrière ma nuque. Son autre main se fit pourpre au contact de ma poitrine offerte, ce n’était que délice et volupté. J’étais d’une impatience à l’idée de découvrir son sexe, de le gouter, de l’avoir en moi… J’avais envie de prendre un pied d’enfer, la pression montait, repoussant les limites du temps, je savais que nous avions toute la soirée pour l’apothéose.
J’avais impression que toutes mes frustrations accumulées au fil des années s’étaient concentrées et avait entraîné cette réaction à caractère explosif. Ce qui est certain, c’est que je me souviendrais longtemps de ce petit plaisir « indécent » que je partageais avec cet homme. Je le humais, ses mains musclées me caressaient les hanches, l’intérieur des cuisses. Sa bouche s’aventurait au creux de mon cou, ce qui déclenchais un exquis frisson dans tout mon corps, s’emparais d’un de mes mamelons durcis et se mettait à le rouler délicatement. Je tressaillais lorsque son autre main de se posais sur mon mont de Vénus et descendait vers ma fente. Ma respiration s’accélérais, je me cambrais involontairement, me plaquant contre lui et, lui aspira goulûment sa langue dans sa bouche, tandis que ces doigts habiles malaxaient mes lèvres intimes, je n’en pouvais plus, j’avais envie de me laisser aider par la gravité… Mes sentiments se mélangeaient sans être capable d’y voir très clair. Une pression un peu plus soutenue de ses doigts, et voilà que s’ouvrait à lui l’antre de mon plaisir. Il y avançait fermement, mais sans brutalité, m’arrachant une expiration en forme de râle. Je décidais de m’immobiliser, pour prolonger cette montée de plaisir, et pour ne pas interrompre ce moment.
Chaque caresse me rapprochait du seuil de l’orgasme, alors que chaque instant de plus passé à fantasmer augmentait le seuil de celui-ci.
Les hormones nous libéraient de nos interdits,
Mon homme avait sortit sa queue sans que masturbation se fasse, il se caressait…
Mon prétendant retira son doigt et se glissa sur le sol à genou, à mes pieds. Je comprenais très bien ce qu’il souhaitait, je relevais un peu mes fesses, il m’aida pour l’effeuillage, jupe, string, et soutien gorge me quittaient, j’étais nue, bas et porte-jarretelle restaient mes alliés.
J’ouvrais mes jambes, pour lui laisser atteindre mon sillon humide, de sa bouche, de ses lèvres, il rencontrait les miennes, sa langue dessinait mes pourtours, me nettoyait, s’immisçait légèrement en moi.
Je n’étais pas sûr de m’avoir déjà connue aussi humide, aussi coulante, même au cours de mes premiers rapports.
Il franchissait doucement les limites du « visible » en ralentissant encore ses gestes, allégeant ses doigts jusqu’à venir les faire mourir sur ses mamelons durcis d’excitation. Il se redressais au-dessus de moi, puis se penchait vers ma bouche, pendant que mes deux mains descendaient sur mes seins, continuant à caresser mes mamelons de ses pouces. J’approchais ma bouche entrouverte de la sienne et je suçais doucement sa lèvre inférieure, goutant à ma liqueur. De mes long doigts, lui soupesais les bourses, les devinais, grosses, tendu par le flux sanguin, mimais une masturbation lente de sa tige, son sexe palpitait au travers des tissus, alors que le mien était au bord de la rupture. …
Il y avait déjà longtemps que j’avais perdu toute notion de temps, j’aurais voulue juste que ça puisse durer toujours…
Se formait dans mon esprit l’image que mon mari avait de nous… J’embrassais cet homme fougueusement, nos langues se frottaient sensuellement l’une à l’autre, les mains se fouillaient mutuellement, sa femme était allongée sur le dos, cuisses ouvertes, la chatte brillante de ce mélange de sécrétion et de salive, prête à recevoir cette queue tant attendue… Offerte comme pour une saillie.

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