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Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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par nacra29
#1215529
Même s'il n'y a pas beaucoup de message de réaction au récit. Continuer !!! Moi j'adore.
Et je ne suis pas le seul ici ...
Bise
#1215941
Je pense au spectacle que la multitude des miroirs de cette salle peut offrir…
Je défais les boutons de sa chemise, de son pantalon, tous tombais sur le coté, laissant apparaître un buste sculpté, le laissant vêtu de son boxer au forme distendu. Mes doigts se sentaient obligés de poursuivre leur exploration, uniquement partagée sur la route à suivre, sur les priorités. Devais-je plonger sous le tissu ennemi suivre et le galbe de son sexe, le long de la ligne de démarcation qui était loin d’être imaginaire, ou lutter contre l’attraction de ce buste, de ce corps en général qu’on ne pense qu’à découvrir, les deux… Mes ongles parcouraient son torse, ses hanches, ses fesses avant de m’aventurer finalement sur le devant, vers l’objet de toute ma curiosité, ma convoitise à cet instant. Dessinant le contour de mes doigts, j’avais bien devinée, je n’avais pas réellement vue sur les photos du site. Je la caressais de mes ongles, sa tête pointait vers le haut, à la limite du tissu, je ne pouvais plus résisté à la tentation de la serrer fermement entre mes doigts, tester sa véritable grosseur.
Je surprends son regard à la découverte d’images insolites dans les reflets des miroirs, le corps dévoilé me paraissait encore plus beau ainsi dupliqué… Je goûtais à la peau frémissante lisse et ferme, si harmonieusement dessinée par les muscles masculins. J’étais fascinée par ces fesses. Je les pétrissais, mes doigts s’affolaient, devenaient presque brutaux, s’acharnaient sur les deux lobes tandis que je me régalais de ce spectacle visuel aux multiples facettes, ce qui me permettais de ne pas perdre une miette de la vue encore plus torride du membre que je découvrais, outrageusement tendu au bas de son abdomen. Un gland proéminant, taillé comme un champignon, la colonne veineuse, plus fine, mais aussi très longue, il m’avait vraiment pas semblée sur les photos, mais là j'en étais troublée. Je ne pouvais plus détacher mon regard, me demandant ce que j’allais ressentir quand il voudrait s’incruster dans mes chairs.
J’examinais ma prise avec beaucoup d’intérêt, le caressant, l’empoignant, aucun plis n’étaient visible sur ces bourses tendu à bloc, je les manipulais avec soins de mes longs doigts.
Je ne sais pas si mon homme et notre invité étaient surpris par tant d’audace de ma part, ils ne bougeaient pas ni l’un ni l’autre…
Son sexe était dressé, obscène et beau à la fois, il avait encore grossis (la faute à qui !), du gland décalotté, un filet de liquide séminal glissait sur son phallus… Par provocation…Besoin, peut être, je ne sais pas, je glissais mon index sur le méat pour une récolte furtive et le portais à la bouche, le gouter…
Je me mettais en tête de lui faire rendre raison et utilisait tous mes talents pour lui donner encore plus de consistance, ce que je parvins à lui faire faire sans le moindre mal. Mes mains se faisaient expertes, caressantes, coulissentes sur sa tige, ma bouche s’approchait, lui déposait des baisés, de manière d’abord fugace puis plus appuyée. Je dardais ma langue, dessinais ces contours, descendais le long de la hampe, passais ma langue sur ces bourses, les aspirais, les humidifiais, puis je remontait, titillant le frein au passage. J’aspirait enfin son gland trempé tous entier entre mon palais et ma langue, je le suçais, avec une agilité de la langue et des lèvres quasi professionnelle, le plus naturellement du monde, j’embouchais cette chose hors du commun qui s’était présenté à moi, je le buvais avec délectation. Ce sexe chaud, dur et gorgé d’envies inavouables était à mon entière disposition, alors je comptais bien en profiter et même en abuser.
Pourtant cet homme dont je sentais la queue sous mes lèvres, que je suçais, que je buvais n’était pas mon mari mais j’en avais tellement rêvé de ce moment, alors que nous étions ainsi à nous divertir si agréablement, je repensais à tous ces fantasmes cachés que je voyais se réaliser et qui me donnaient tant de plaisir.

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#1216174
Superbe n héistez pas à ns agrémentez c est fantasmatique
et des photos coquine toujours bien choisi plein de charme et de plus en plus coquine
A te voir A te lire j ai une envie farouche de te croquer
#1216877
Merci de vos commentaires, de ces jolie messages...

J’ouvrais grand mes cuisses, ma matrice génitale avait toujours su provoquer l'étonnement par la beauté du trou qu'elle offrait. Il crût comprendre que c’était sa bouche que je désirais et s’approchais sans regarder la cible ainsi désignée. S’agenouillait entre mes jambes, se penchait lentement, contemplait l’arrondi de mon ventre nu et plus loin, les petites rondeurs de mes seins, les tétons saillants, je me laissais admirer sans vices mes courbes prometteuses. Je lâchais sa bite puis virevolta sur moi-même pour me montrer dans toute ma splendeur. Quelle coquette ! J’était vraiment très à l’aise, à ce jeu… J’aurais voulue qu’il me prenne sur-le-champ. Je me suis retenue péniblement.
Il me regardait, je me redressais pointant fièrement la poitrine, cambrais mes reins. Puis il s’approchais de moi, s’agenouillait, ses mains couraient sur l’ensemble de mon corps et rapidement, mon petit string rejoignait le sol. Poursuivant son but, son visage plongeait entre mes cuisses honteusement ouvertes, déposant de petits baisés sur l’intérieure, puis se faisant incrustant, jouant de sa langue sur mes cuisses et les alentours de ma fentine, sur le contour, les abords de mon clitoris alerte, alors que ses doigts écartaient doucement les prémices de mon intimité. Les caresses devenaient tellement précises que leurs bienfaits m’arrachaient des soupirs, aveu malgré moi du plaisir que je ressentais.
La langue parcourait toujours la frontière de mes grandes lèvres, tournoyait autour de mon bouton, s’immisçait un peu plus de ma tirelire ornée de richesse liquide, il me buvait… Il avançait mon bassin, ployait mes jambes pour l’équilibre, ce qui a eu pour effet d’ouvrir ma fente dilatée, rougie. Il passait son autre main dans le bas de mes reins. J’haletais de plus en plus, mais l’orgasme que je contrôlais encore n’était pas encore là. Je perdais un peu de ma dignité en implorant, en quelque sorte, le contact avec lui… De voir ma position indécente cela l’excitait, un doigt titillait mon bouton gorgé de sang, il jouait avec mon clito d’une main et introduisait sans peine un puis deux doigts à l’intérieur de ma chatte, il me baisait, selon les opportunités imposées par mes mouvements. Sur mon sexe, il soufflait le froid puis chaud, sa langue me léchait sans retenue, plus qu’une chose, je voulais, me vider, enfin, et qu’importe le reste ! Il me suçotait. Cette zone était sans doute la plus érogène. Ma respiration changeait de rythme, quelques petits commentaires murmurés. Il me dévorait le sexe, le lapait, tendrement puis avidement, passant sa langue sur le contour de mon vagin, pour finir par l’enfoncer au plus loin de ses possibilités. L’orgasme me frappa sans prévenir, je me délectais de l’émotion sexuelle qui venait d’éclore dans le nid douillet de mon ventre et qui se répandais dans tout mon système nerveux. Je m’abandonnais totalement à ces préliminaires, dégustant chaque once de volupté que m’apportaient ces mains, cette bouche, ce corps qui se plaquait contre moi, se frottait langoureusement et ne me dissimulait rien de la vigoureuse envie de m’honorer qui le tourmentait.
À un moment, il s’est arrêté, m’a regardé au fond des yeux. J’ai su que le moment allait bientôt arriver, me donner, me faire prendre, me faire sauter par cet homme que je connaissais à peine, de surcroîts devant le regard de mon homme…

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#1217604
Il se redressait, visage et menton gluant de mouille, enchâssé du jus de ma vulve, ma cyprine s’était écoulée jusque dans son cou, les pétales de mon sexe étaient dès lors, écartelés et allaient le rester un bon moment.
Je ne pouvais qu’endurer cette douce torture tout en l’accompagnant dans ses montées successives. J’étais incapable de dire combien de temps cela durais, combien de fois je montais très haut, m’abandonnais quelques toutes petites secondes puis regrimpais aux barreaux de l’échelle de plaisir. Chaque fois, j’ai eu l’impression que ce sera la dernière. Mais non ! Ma poitrine était en sueur. Mon souffle était complètement arythmique, respirant comme je le pouvais, entre deux feulements.
Je l’accompagnais sur le grand matelas, il était l’heure, il me tenait par la taille.
Je m’agenouillais en première, je me faisais violence, retardant encore quelque minute le dénouement.
Me retrouvant une nouvelle fois devant la forme turgescente désormais connue, devant ce sexe magnifique qui s’offrait à ma coupable convoitise, de l’effluve de sa verge qui venait fouetter mes narines confirma l’évidence de son grand désir, avant même que mes doigts ne soient parvenus à le toucher, sa queue soubresautait, fendait l’air, ses bourses de l’organe étaient nettement plus rattachées, les grosseurs de celle-ci tendaient leurs peaux imberbes telle que des tambours. Le gland qui coulait abondamment était découvert comme naturellement, je posais la main sur la verge tendue et la flattais délicatement. J’alternais caresses sur la hampe, le gland, et descendais même flatter les bourses gonflées, je les soupesaient, les tâtaient, les malaxaient. L’objet masculin au mille facettes s’approchait de ma bouche, mes lèvres sans même me demander, s’ouvraient et entraient en contacte avec la chose, ma langue pour émissaire vint au contacte s’enrouler de cette mandibule. Il semblait mettre beaucoup de douceur à ces mouvements, ou peut-être était-ce de la retenue, tant lui était aussi excité. Ma salive et ses sécrétions s’unissaient, de cette liqueur d’amour que j’extrayais, étrange et délicieuse sensation. Je sentais notre jouissance arriver…tellement d’excitations que s’il aurait voulu gicler dans ma bouche, moi qui ne l’avais acceptée à mon mari, je ne lui aurais pas refusée, je crois que bien au contraire !
Mais il s’échappait, une nouvelle fois, terriblement frustrées, mes nymphes se contractaient en permanence à me faire mal, l’intérieure de mes cuisses étaient trempée. Tout mon corps voulait ressentir la puissance d’une jouissance, la moindre fibre de mon être réclamait un sexe en moi.
Je tournais les yeux vers mon homme et, lui souriant, je lui faisais signe de nous rejoindre, ce qu’il fît en ne quittant pas du regard le couple en face de lui. Il était nu, le visage radieux, la main était sur sa queue luisante, j’empoignais la verge de mon amant et le dirigeais vers mon sexe. Je m’amusais à caresser mon sexe avec le gland de mon amant, je le pointais à l’entrée du vagin, de l’autre celle de mon époux, je l’approchais de mon visage. Je n’en pouvais plus de ces supplices, entre mes jambes outrageusement écartées, à l’entrée de ma caverne, frottant de son bout mes lèvres. Mon autre main lui appuyait alors directement sur les fesses pour qu’il s’enfonce en moi, je lui ai juste dit une phrase qui m’a parut vulgaire après coup :
—" Fours-moi mon abricot, maintenant… Baise-moi, je veux te sentir en moi…"
Mon mari me dit plus tard avoir pensé : "Ma femme a le don de me surprendre ! "
Sans compromis, sans question, juste à l’instinct. Il relevai alors mes jambes contre son torse, en appui sur le sien pour me pénétrer me servant de mes jambes pour mieux rebondir en moi. J’observais avec curiosité, dans les miroirs, le gland qui se positionnait au devant de ma féminité. J’étais impatiente de le recevoir en moi. Il s’attardais, me faisait languir. Ses mains à la hauteur de mes seins, le souffle court, il me prit sans ménagement, une bouffée de chaleur déferlant directement du fond de mes entrailles plongeait tout mon bas ventre dans une bien perverse volupté. J’ai bénis leur élasticité car, contre toute attente, elles acceptaient l’inacceptable. Le mouvement conjoint de nos deux corps fût si intense que tout mon ventre en était ébranlé, Mon souffle était court et rapide, je criais sous les assauts combinés. Je n’en voulait ni plus ni moins, j’ouvrais parfois les yeux, mais je ne le voyais que de peu, les va-et-vient du phallus qui m’écartelait trop délicieusement. Le gland frottait bien contre la partie la plus sensible de l’intérieur de mon vagin et terminait sa course contre le fond de ma matrice, tandis que la hampe, au gré des mouvements, glissait sur la zone de mon clitoris et me procurait des petites décharges de bonheur. Tous ces plaisirs, presque irréels, se joignaient pour m’amener sur les chemins tourmentés des délices de la perversité.
Mon homme était subjugué, c’était la première fois qu’il voyait vraiment en gros plan une autre queue que la sienne prendre sa femme. Les testicules de mon amant se balançaient au même rythme que mes seins. Dans un petit râle, je sentais mes chairs s’ouvrir de plus en plus devant ce pieu qui me transperçait, enficher au plus profond de moi, il ne bougeait plus, il me laissait reprendre difficilement mon souffle.
Mes pensées ont réalisé : "Et voilà, ç’est arrivé ! Une autre bite de celle de mon mari me saute…" Bien consciente d’avoir goûté pour la première fois aux délices de l’adultère.
Son sexe entrait et sortait de mon antre en de longs et langoureux mouvements, j’accueillais chaque mouvement de mon partenaire avec délectation. Nous nous donnions l’un à l’autre sans restriction, nous baisions avec tellement d’envie … Le contact du champignon qui me frottait les muqueuses me révulsait, il me limait bien à fond. Le rythme s’accélérait, mes chairs fondaient. C’était trop intense… Il était trop gros…trop bon…j’y prenais trop de plaisir … j’allais en mourir…
À l’extrémité de me auréoles sombres et des tétons pointus accentuaient l’impression de ces fruits succulents qui semblaient à point pour se loger entre les lèvres gourmandes d’un homme, ce qu’il faisait en douceur, à merveille..
Les palpitations de sa queue montraient qu’il appréciait. Chaque fois qu’il sortait, son gland venait se presser sur mon clito avant de ré aventurer jusque dans la profondeur de mon ventre. Ces extractions produisaient un flop outrageant, sa bite et ses testicules étaient peinturlurés de ma cyprine. J’ondulais la croupe pour aller à la rencontre du bassin et j’essayais de le retenir en serrant les muscles de mon vagin comme dans un étau, je croisais mes jambes autour de sa taille pour mieux m’empaler. Je sentais monter en moi un plaisir intense. Je branlais et suçais la queue de mon amoureux, blottissant ma tête sur le ventre de celui-ci et laissais éclater en moi une jouissance fulgurante. Mon ventre tout entier brûlait comme l’enfer autour de cette colonne sacrée qui allait et venait dans mon puits, cette queue au plus profond de mes entrailles me procurait un plaisir intense. Comme dans mon rêve, comme dans un fantasme, j’avais l’impression, une seconde durant, que le temps était suspendu son vol, et dans un silence presque surnaturel, n’entendant plus que cela : - « oh oui ! », mon corps se vidait de tout son liquide. Ma jouissance durait si longtemps que j’avais l’impression d’être littéralement vidé de l’intérieur, je serrais la tige de mon homme à lui faire mal. Je jouissais, et jouissais encore, comme rarement auparavant, la violence d’un coït violent et total. Puis comme ma jouissance commençait à descendre un peu, il s’enfonçait en moi et là, il restait bien enfoui au fond de moi. Je sentais alors un premier jet m’emplir, tout chaud, suivi de plusieurs autres dans mon boyau, inondant mon utérus d’une grande quantité de sperme… Je le serrais très fort de mon bras, mon sexe serrait le sien comme pour être sûre de tout recueillir. La sensation était merveilleuse, j’en avais oublié tout ce qui se passe autour de moi pour bien profiter de ce moment et cette queue dans ma chatte distendue, j’avais l’impression d’un ballon énorme qui plaquait contre ma vulve et qu’on n’arrêtait pas de vouloir gonfler encore. Le sperme était chaud, c’était bon, j’avais l’impression que jamais je ne pourrais tout accueillir… Je remarquais alors que je n’avais entendu aucun son venant de lui pendant sa jouissance. Quand il eut terminé de se vider dans ma chatte, il sortit sa bite encore droite, sa liqueur s’extrayant de mon con sans retenue et glissait coulissant entre le lobe mes fesses.
Il y eut un petit moment de tendresse, des caresses échangées et un baiser où nos langues se mêlèrent.
Mon homme me raconta plus tard : "Voir le sexe de sa femme trempé de la semence d'un autre est d'une puissance évocatrice à nulle autre pareille.
 "
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La belle et la bête...
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La puissance...
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#1217952
beau récit, vrai ou imaginaire, bien écrit..peut être un peu emphatique par instants, mais excitant dans l'ensemble et accompagné de très belles photos très suggestives et démonstratrices, j'adore ces filets de sperme qui relient les deux amants et ces coulées que l'on a envie de laper et déguster et ces sexes notamment feminin à lècher, à penetrer,hummmmmmm

j'adore ceuillir du bout de la langue ces longs filaments que je vois parfois unir le sexe de mafemme et celui de son amant.. ;)
#1217968
Merci a tous de vos commentaires, une grande partie de cette histoire est notre, les photos sont vraie, juste que vous ne verrez jamais mon minois ...
la suite est encore à venir....
Valphil.
#1217974
valphil a écrit :Merci a tous de vos commentaires, une grande partie de cette histoire est notre, les photos sont vraie, juste que vous ne verrez jamais mon minois ...
la suite est encore à venir....
Valphil.

Magnifique ... dommage pour ce minois qu'on ne verra jamais ... car pour le peu qu'on en devine, il doit être superbe, comme la femme toute entière !
#1217990
valphil a écrit :Merci a tous de vos commentaires, une grande partie de cette histoire est notre, les photos sont vraie, juste que vous ne verrez jamais mon minois ...
la suite est encore à venir....
Valphil.


Continuez à nous faire rêver par votre récit si érotico-sensuel belle à croquer et délicieuse coquine... ;)
#1218270
Je reprenais mes esprits, mon homme prenait place entre mes cuisses et présentait son sexe au mien, mélange des liqueurs libertines, j’étais tellement encore excitée, il m’investissait le vagin, sans encombre, la cavité brulante de mon sexe l’avalait tous entier, je soupirais de plaisir.
La virilité palpitante de notre ami d’un soir se retrouvait à ma portée, je l’assaillais immédiatement par mes doigts frivoles clairement déterminés dans leurs caresses. Ma bouche prenait leur relais assez rapidement, pendant que je me tortillais comme un ver au bout d’une ligne. J’étais complètement possédée par l’envie sexuelle qui venait d’exploser, de naître en moi. J’éprouvais un besoin vital de me satisfaire aux rites du sexe, et ma pudeur était déjà sacrifiée à l’autel du désir. Espérant que de nouvelles jouissances pourraient m’exorciser et me faire retrouver ma raison. Ivresse de plaisir et sans plus aucune retenue, le feu au corps, les lèvres gonflées et rougies, les parois presque trop sensibles, mon intimité pleurait malgré tous de nouveau de plaisir.
Elle avait toujours fière allure, des traces blanchâtres de nos jus, je la léchais avec application, excellais à la rendais neuve, pointe filandreuse, hampe et bourses engluées, sa queue se retrouvait luisante comme si de l’huile l’avait couverte. Puis je glissais une main sous son scrotum, de mon autre main, je faisais lentement glisser son prépuce sur son gland, m’amusant à lui redonner toute sa virilité, sa vraie, sans trouble-fête… Ma langue venait à la rescousse, s’immisçait dans la fente de son phallus. Mutine, il me semblait prendre un réel plaisir à être exciter de la sorte, tout en restant à l’écoute en coin, les réactions de ses sons et les frissons qui parcouraient son ventre.
Mon homme coulissait tendrement en moi provoquant une multitude de petits orgasmes, je sentais ces couilles qui buttaient sur mes fesses. Son rêve de voir sa femme se faire prendre par un autre avait été réalisé, son regard en disait long sur l’expression de bonheurs, il ne me quittait pas des yeux, les sourires étaient entendus, nous étions en communion parfaite.
Ma main s’agitait de plus en plus rapidement sur la queue maintenant bien bandée, ma bouche tétait, la suçotait… L’enroulait… Malaxant ses progénitures plus profondément encore.
Mon homme adoptait un rythme plus endiablé, comme si il avait besoin d’un plaisir salvateur, sans fioritures, allant droit au but et qui soit suffisamment puissant pour le calmer. Ma croupe dansait frénétiquement sur son sexe par toute la virilité de celle que je considérais dorénavant comme ma victime. Je poussais des gémissements à peines humaines en réponse à ces feulements qui semblaient lutter pour ne pas s’abandonner trop tôt. Moi aussi, j’avais l’impression d’arriver déjà au sommet du plaisir pourtant je continuais à me démener sur le phallus congestionné, sans lâcher de toute ma mâchoire, notre amant, je voulais franchir encore d’autres étapes sur le chemin secret de l’orgasme suprême, des images obscènes me parvenaient comme un boumerang. Conférait à mes indécentes pensées une nouvelle dimension ; je me sentais bouillir, j’avais envie de savourer cette passion jusqu’à l’ivresse.
Mon vagin dévorait goulûment la verge qui commençait à répandre sa chaleur de lave, les fouets de sperme jaillissaient, fouettaient une nouvelle fois mes chairs intimes, comme pour éteindre le feu, ce qui avait réduit ma pudeur et mon éducation en cendres. Nos derniers mouvements prenaient une amplitude à peine supportable. Mes muscles se crispaient à se rompre tandis que mon système nerveux explosait.
Mon vagin baillait à en avoir honte, à outrance, engluée et débordant des spermes inquisiteurs, coulaient de toutes parts, entre mes lèvres qui baillaient vulgairement, cuisses souillées, fesses humides du badigeon.
Ma bouche était resté fermée sur l’extrémité du phallus de mon amant, remontait sur son prépuce là où convergeaient toutes les terminaisons nerveuses, j’avais envie, envie de m’y délecter, de gouter au sirop, au cocktail naturel. Je le sentais lui aussi heureux, de part ces premières contractions, vibration, le gland prenait du volume, son ventre se crispait, son dos s’arquait, il se tendait vers ma bouche, posée sur ma langue, comme pour mieux pouvoir s’enfoncer en moi. Gardant les lèvres entrouvertes, je la pressais de plus en plus fort contre mon palais, elle palpitait sans retenue. À l’instant où je sentais la première vague traverser son épaisse tige, il se laissa s’enfoncer un peu plus dans ma bouche. La chaleur et la douceur de ce vît contrastaient avec la pression que j’entretenais sur la pointe auparavant. Ce changement bienvenu lui procurait un orgasme d’une incroyable intensité. J’accélérais légèrement les va-et-vient, pompant son dard de toute mon aspiration, m’aidant de mes doigts avec plus d’insistance, en mouvements circulaires. Il atteignait rapidement le point de non-retour. Il grognait de plaisir et explosait et de longues salves, se vidaient du sperme épais dans ma gorge, les yeux fermés. J’avalais pour la première fois ce suc avec gourmandise, sans haut de cœur, goulûment et je reprenais cette bite pour extraire jusqu’à la dernière goutte, dernière contraction, le libérer et de le laisser glisser hors de ma bouche, rampant sur ma langue de salive épaisse.
Il me complimenta d’une façon magistrale, un baisé sur ma bouche d’une perle rare, et il me fit savoir que rarement dans sa vie il avait pris autant de plaisir pendant une fellation. Je rougissais, nue et obscène sur ce lit improvisé auprès des hommes qui m’avaient tant fait jouir. J’était amante, débridée, décomplexée, parlais et baisais avec un homme que je ne connaissait pas … je n’était plus une frêle jeune fille c’était évident, mais quand même allais même à boire son sperme…
Mon homme lui, était troublé, émut, et aussi fière que moi, quelque part, je le lisais dans ces yeux, tellement excité de voir sa petite épouse avoir tant de capacité.
L’échange de sourires, de mimiques entendues, aucun doute, nous étions en phase.
Les cheveux en bataille, les joues rosies par les orgasmes successifs, les yeux brillants, je m’affalais, mais mon corps, malgré les brulures, restait insatisfait, insatiable.
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par san59
#1218320
Je découvre ce récit, j'en reste sans voix. Que d'émotions magnifiquement traduites, des photos sublimes. C'est tout simplement exceptionnel, du grand art !! Merci d'avoir pris le temps de nous faire partager cette expérience!!!
#1218489
Que dire qui ne soit vain par rapport à la qualité du recit, son intensité et l'émotion erotique qu'il vehicule, si joliment agrementé d'illustrations ravissantes et très glamour bien que hot pour certaines ;)

Un regal ... Vraiment bravo ... et un grand merci !!

Biz à Val ..
#1218975
Ce mec m’avait mis la chatte en feu….
Je restais les jambes impudiquement écartées, je leur offrais une vue imprenable sur mon minou, mon intimité, je glissais un doigt à l’entrée de mon trou, remontant le sperme qui s’échappait, sur ma rose, je jouais et me caressais doucement, mes seins qui pointaient tels une armée romaine défiaient tous les plaisirs.
Mon regard provocateur fixait celui de mon amant, lui faire comprendre, encore, je ne faisait qu’entretenir le feu sacré, voulais profiter de lui de ce sexe exceptionnel qui ne semblait jamais défaillir.
Je leur ai lâchée à ce moment la, je crois un :
- Baisée moi encore… Plus tard, j’ai pensée que j’étais peut-être allée trop loin et, qu’en te montrant à quel point j’étais excitée, tu devrais forcément te douter qu’il s’était passé quelque chose en moi. Le plaisir féminin est vraiment imprévisible…
Presque inconsciemment la même chose pour tous les deux, par une sorte de mimétisme. Doublement excités par le spectacle de ma petite masturbation, comme dopée par une force surnaturelle, ils prirent leurs queues entre leurs doigts et se masturbaient, le spectacle que je leurs offraient de mes doigts glissant dans la cavité de ma chatte, cette image les accompagna certainement, car très vite ils reprirent du volume.
Il se présenta derrière moi, j’avais parfaitement compris les intentions de mon amant et je lui offris une croupe rebondie. Il m’écarta le fessier et présenta sa bite à ma fente trempée, il pressait ma vulve comme un fruit mûr, elle engloutit son membre, l’énorme sexe s’enfonçait…… L’impression de me faire empaler, je poussais un râle de soumission qui ne manquait pas d’attiser mon incontrôlable excitation. La sensation est si vive que j’étais incapable de dire si c’est le plaisir ou la douleur qui était le plus fort.
Ses mains se posèrent à cheval sur mes hanches et mes fesses et il entreprit un léger va-et-vient. Je creusais le ventre et il continuait de me l’enfoncer doucement dans la chatte. La sensation devenaient autre, très agréable, je capitulais sans combattre, ensorcelée par cet homme, par son magnétisme, son savoir-faire, je remontais mes jambes, les écartais, Je commençais à onduler sous ses caresses. J’étais pénétrée très profondément, si profondément qu’il finis par buter douloureusement sur le col de mon utérus.
Prenant le temps de tressaillir sous la puissance de cet organe uniquement dédié au plaisir, dans mon intimité, les semences précédentes m’engluaient le sexe de mousse intime. Une main ne resta pas inactive puisqu’elle me prit un sein, alternant pelotages vigoureux et subtils attouchements.
La cadence de cette saillie augmenta petit à petit, et me laissait échapper des petits cris de plaisir. Ce chibre m’avait tellement dilatée, il m’infligeait une découverte de tant de chose, de son intrusion en moi, le plaisir était bien là, immense. Et puis je me suis sentie perdu, je voulais que ça s’arrête et je voulais que ça continue. Je gémissais, marmonnait des mots incompréhensibles, insultait cet amant, ce salaud quand il faisait mine de ralentir la cadence, tout en douceur, tout en finesse, lent, divinement lent, divinement efficace, pour mieux me pilonner, me baraté... Attentif à mes montées de plaisir, à mes petits gémissements, il faisait durer, ralentissait quand la vague risquait de déferler trop vite, pour mieux me reprendre ensuite. Un supplice délicieux qui augmentait a chaque fois d’un cran l’intensité de l’orgasme annoncé. Une vague de plaisir d’une incroyable violence me submergeait, je me cambrais en hurlant, furieusement dans un long geignement et une ultime crispation.
J’attrapais la hampe de mon homme qui c’était approché pour gober l’une après l’autre ses bourses, puis j’avalais entièrement ça queue brûlante…
Mon amant soufflait de plus en plus rapidement dans mon dos, son odeur de transpiration était agréable, la douceur de sa peau, sa chaleur, tout m’excitais en lui. Il accélérait de nouveau, mes cris fusaient, désireuse d’être remplie, de vraies décharges de plaisir m’électrocutaient, basculant légèrement le bassin pour qu'il me pénètre plus loin encore. C’est moi qui ondulais des hanches pour faire glisser sa hampe un tout petit peu plus loin, encore plus loin, à sentir ces couilles me cinglées le clito, c’étais trop bon, je n’y tenais plus ! Et, brutalement, il s’empala sur toute sa longueur d’un coup de reins, enfoncé jusqu’à la garde, embrochée jusqu’au fond du ventre. M’arrachant une onde incontrôlables ! Rien n’importait plus que cette bite en or qui me fouillait jusqu’à mon tréfonds et me conduisait irrésistiblement à ce plaisir une nouvelle fois inconnu. Sentir mes muscles de mon vagin se contracter en permanence, jouir intensément, me laissée submerger par cette sensation. J’avait envie que ce moment ne s’arrête jamais et il resta immobile en moi un moment pour me laisser profiter. La vague me submergea, j’aurais voulu crier, mais aucun son ne franchit le seuil de mes lèvres, maintenant je tremblais comme les feuilles d’un bois, cela n’en finissait pas et je me délitais dans l’orgasme dévastateur. Le plaisir irradiait de mon ventre, vague de chaleur et de vibrations mêlées. Il me semblait que je jouissais encore et encore, puis j’ai commencée à avoir mal à mes seins qui ballottaient dans tous les sens, mal aux jambes, mal au dos, mal à ma vulve qui commençait d’être talée, mal au col de mon utérus à chaque coup de boutoir. Ses mains posées sur mon dos me stabilisaient et je devais m’appuyer sur les coudes pour ne pas basculer, je frissonnais de tous mes êtres.
Lorsque je repris mes sens, ils me regardaient tous les deux avec beaucoup de tendresse, lui bougeant délicatement son sexe toujours dur dans le mien, pour s’extraient tendrement.
Il y aurait eu mille façons de célébrer une telle expérience et je l’avais bien comprise quand ils me positionnaient sur le dos et se présentèrent tous les deux, comme beaucoup de première, je le désirais aussi, les queues bien érigés au dessus, à quelques centimètres de l’un et de l’autre, complice de mon plaisirs. J’ouvrais la bouche, mes mains empoignaient leurs testicules que je serrais par intermittences, ma langue les toucha, accompagnant leurs masturbations réciproques, les glands congestionnés se touchèrent comme dans une dance, les jets chauds se mélangèrent au vol, secoués par de violents spasmes, ils éjaculaient bruyamment cette fois ci. La force des geysers m’avait surprise. J’avais reçus la première giclée sur le nez, j’en avais plein la figure, plein les mains, cela coulait sur mes seins et mon ventre. Ce sperme était visqueux et copieux. J’accompagnais longuement leurs jouissance, jusqu’au dernier soubresaut, avalant leurs membres et les faisant ressortir luisante de ma salive et du sperme mélangés, puis je les nettoyaient avec application, les rendant propre de toutes sécrétions, attendant la baisse de leur vigueur certaine.
Devant le regard de mon homme, les yeux dans les yeux, d’un doigt je recueillais le sperme coulant de mon menton, pour le recueillir de ma langue. Ils me regardaient, hébétés, haletants, vidés, au sens propre comme au figuré. Je terminais ma prestation, me nettoyais le contour de ma bouche, leurs déposais un petit baiser puis nous nous sommes écroulées tous les trois, sur le matelas, les draps étaient poisseux, maculés de mouille et de sperme, dans ce champ de bataille, j’enlaçais mon mari d’une grande tendresse, la main de mon amant posée sur mes fesses et le minou tout endolori.

Au final, fantasmer ailleurs voire désirer, ou même à l'extrême, séduire, semblent plus faciles, mais plus lâches aussi. Renoncer à se battre, et se rassurer temporairement avec du factice. Reconquérir est difficile, mais tellement plus lumineux, intense, valorisant, à mes yeux... Faire face, au lieu de fuir dans l'imaginaire.
Le désir qui couve au fond de mon ventre et que j’ai tant de mal à contenir, c’est moi seule qui le fais vivre. Le plaisir que mon mari m’a offert a allumé ce feu. Depuis, j’ai peur qu’il ne s’éteigne et que je ne puisse plus me brûler aux flammes de cette sexualité passionnée issue de nos rencontres. Il est tellement surprenant et imprévisible que ses promesses n’ont fait qu’attiser les flammes qui brûlent mon âme.

Valphil.
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par xgreg038
#1219019
JE ne me suis pas manifesté pour l'instant sur votre post mais le suit depuis le début.
Merci pour le récit de votre cheminement dans ce magique monde des plaisir intenses et partagés que vous nous avez conté.
J'espère en tout état de cause et pour reprendre une partie de votr etrès belle écriture, que le feu qui s'entretient en vous ne s'éteindra pas..
Au plaisir de vous suivre de nouveau au travers de vos avantures.

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