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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Joe
#116725
Bonjour le forum.

J'ai trouvé sur un site un recit long et détaillé comme je les aime sur le candaulisme. J'avoue que c'est à ce jour le récit (dit véridique) le plus bandant qu'il m'est été donné de lire a ce jour !...
Son auteur est un certain Chodubulb. je vous livre le récit par tranches ... histoire de faire monter la pression :D
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par Joe
#116729
1ere recit :

J'ai toujours eu le fantasme de voir ma femme coucher avec un autre homme devant moi. Je n'ai jamais su pourquoi.. ou enfin si. Elle est tellement belle!! 30 ans, typée méditerranéenne, brune au cheveux longs, la peau hâlée, 1m70, de longues jambes bien galbées, un 90C à damner un saint, une bouche gourmande, des traits fins, et très féminine avec çà. Une bombe quoi!

Lorsque je suis sorti avec elle il y a 12 ans, je lui parlais déjà de ce fantasme lors de nos parties de baise. Oui, je dis bien de baise car je différencie le fait de baiser et de faire l'amour. Et il m'arrive plus souvent de la baiser que de lui faire l'amour. Il faut dire qu'elle préfère çà (même si comme toute les femmes elle a besoin de sexe plus "doux" de temps en temps). Bref! Toujours est-il qu'elle ne voulait pas en entendre parler au début, me menaçant presque de me quitter si je continuais à la saouler avec cette histoire. Mais quelques années après, cette idée ne m'ayant pas quittée, je réintroduisis ce voeux pendant nos ébats, et je remarquais qu'elle mouillait vraiment quand je lui parlais de çà. Et petit à petit c'est elle qui introduisait le fantasme de "l'inconnu" en baisant mais sans jamais vouloir franchir le pas séparant le fantasme de la réalité.

Puis un jour j'ai vraiment eu l'envie de franchir le cap du fantasme. J'avais déjà, pendant nos parties de baise, évoqué l'envie de la voir se faire prendre devant moi par un routier bien vicieux dans sa couchette, mais cette idée ne l'enchantait guère, au vu du stéréotype du routier barbu et bedonnant. Mais nous savions par des amis, qu'on mangeait très bien dans certains relais routiers. J'eus donc l'idée de rechercher un relais faisant une formule avec vin à volonté. J'en trouvais un pas mal, mais un peu loin de chez nous. J'allais donc voir mon épouse, lui proposant un week-end en amoureux sans lui parler bien sûr de mes projets. Elle accepta évidemment sans se faire prier.

Et nous voilà partis pour le week-end. Je lui parle du programme et donc du dîner dans le relais routier en lui disant qu'il m'a été conseillé par un couple d'amis. Elle ne percute pas et me donne son accord. La journée du samedi se passe, nous flânons dans les boutiques de la ville, elle trouve un petit haut "top-jupette" blanc sans bretelle à mettre avec un jean ou un leggings car un peu court seul. Nous rentrons pour nous préparer pour le dîner. Elle essaye son haut devant moi juste en string, et je tente de la convaincre de sortir comme çà juste avec des talons.

"Mais bien sûr! Comme çà tout le monde verra mon cul quand je me pencherai en avant" me dit elle. Et elle enfile un leggings noir qu'elle associe avec des talons à lanières blancs. Elle se rend compte alors qu'elle a oublié son soutien gorge sans bretelle.
"On voit mes seins sans rien? " me demande t'elle.
"Non!" lui réponds-je.
"T'es sûr?" pas convaincu.
"Un petit peu, mais c'est sexy!".
Après une hésitation de 10 minutes elle se décide quand même à partir ainsi pour mon plus grand bonheur.
Maquillée, coiffée et habillée comme çà elle me fait déjà bander.
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par Joe
#116746
Deuxieme partie ... ça commence a devenir super chaud ! la tension monte ... :| :?

Lorsque nous arrivons au relais, il est 22H00 et il commence à faire nuit. Il faut dire que nous nous sommes arrêté dans un bar sympa pour prendre l'apéro en terrasse. Ma femme a eu droit à des regards appuyés par les hommes nous entourant durant tout le temps que nous avons passé dans ce café.

Je décide de garer ma voiture sur le parking réservé aux poids lourds, ce qui entraîne la désapprobation de ma douce:
-"Tu n'as rien à faire là, c'est réservé aux camions!".

Je ne l'écoute pas et nous descendons de voiture. Des rideaux sont déjà tirés sur certains pare-brise de camions, ce qui signifie que leurs propriétaires dorment. Le restaurant est à 100 m, et encore une fois j'essuie des reproches de mon épouse.
-"Tu aurais pu te garer devant, au lieu de te mettre sur le parking POIDS LOURDS, çà m'aurait évité de marcher".
-"On est arrivé ma chérie" lui réponds-je.

Nous entrons, l'intérieur est propre, mais quasi désert.
-"Bonsoir jeunes gens! Installez vous j'arrive!", nous lance le patron avant de disparaître dans la cuisine. Nous nous asseyons à une table de 3 contre le mur, l'un en face de l'autre.
-"Sympa ton resto." me lance mon épouse en voyant celui ci presque vide. Je regarde autour de moi, nous ne sommes que 5. Deux hommes à une table, la cinquantaine, moches, surtout l'un d'entre eux, qui m'a l'air bedonnant. Ils regardent dans notre direction, enfin dans celle de ma femme, et le plus gros me fait un signe de la tête. Je lui réponds timidement. Un autre est seul, dos à nous et dîne tranquillement. Il s'en va d'ailleurs peu de temps après notre arrivée en saluant les deux autres, ce qui me laisse penser qu'ils sont tous les trois camionneurs.
Vu la tronche des mecs, mon plan s'annonce très mal.
-"On va bien manger!" dis-je à mon épouse. Pour seul réponse j'ai droit à un haussement d'épaules. Le patron revient avec les cartes, très souriant et sympa. Nous choisissons la formule avec vin rosé à volonté. Je me fais déjà à l'idée de dîner et rentrer. Nous vidons 2 pichets de rosé et demi, mangeons très bien, rigolons beaucoup. C'est juste un peu long car le patron est souvent dans sa cuisine. Ma femme est déjà un peu pompette avec tous ces verres que nous avons bu en l'attendant, et balbutie déjà sur des phrases. Nous nous apprêtons à régler la note et partir, lorsqu'on voit le patron ressortir de sa cuisine avec deux verres.
-"Tenez jeunes gens! Prune maison!" avec la même voix enjouée. Nous nous regardons avec ma chérie.
-"Merci!" lui dis-je.
-"Oh mais c'est pas moi! C'est le monsieur là bas" en me montrant du doigt le gars qui m'avait saluer. Nous le remercions avec ma femme, ce à quoi il lève son verre en la regardant dans les yeux. Celle ci me glisse tout bas ou du moins essaie de me glisser:
"Je ne peux pas le boire je suis bourrée". Je lui réponds:
"Bois le sinon il va mal le prendre!". Et pan! D'une traite elle le boit en grimaçant. Je fais de même et regarde la tête de ma femme. Elle n'est vraiment pas en forme. Nous payons le patron qui file à nouveau dans sa cuisine, et sommes prêts à partir.
-"Je vais aux toilettes" me dit elle. Elle se lève, et la voyant tituber un peu , je me lève à mon tour et l'accompagne dans le couloir. Elle rentre dans les toilettes dames. Je regarde en direction de la salle, le gros n'en a pas perdu une miette visiblement. Je vais pisser aussi, je ressors, pas de trace de mon épouse. Je pousse la porte des toilettes, entre, avance un peu, ma femme est assise sur la cuvette des toilettes, la porte grande ouverte, le leggings et le string en bas des chevilles, la tête contre le mur du fond, les yeux fermés.

-"Ma chérie, çà va?". Elle ne réponds pas. Je lui repose la question, elle balbutie:
"C'est pas la forme". Et là en une seconde une idée perverse me traverse l'esprit.
Je m'approche d'elle, m'accroupis et lui enlève son leggings et son string. Elle me demande ce que je fais les yeux à moitié fermés, ce à quoi je lui réponds qu'elle aura moins chaud comme ça. Je la lève des toilettes, tire un peu sur son haut. C'est vrai qu'il est court, il cache juste le bas de son cul. Elle est magnifique comme çà, perchée sur des talons hauts, ses longues jambes bronzées, son petit haut qui ne cache presque rien de son anatomie si parfaite. Nous sortons des toilettes, j'espère juste que le patron sera encore et toujours dans sa cuisine.
C'est le cas. Ma femme titube un peu, je lui propose de s'asseoir un peu avant de partir et nous nous posons à notre table. Je l'aide à s'asseoir, elle croise les jambes, on voit presque son cul. Je m'assieds et regarde en direction des deux. Le gros est bouche bée. Il dit un mot à son pote qui regarde dans la direction de ma femme et sourit. Ce dernier lui réponds un truc à son tour et reprend la dégustation de son dessert. Le gros ne peut plus détacher son regard des jambes de ma femme. Il croise mon regard, pas gêné, se lève, vient vers nous, et sans rien demander s'assied entre ma femme et moi et engage la conversation.
-"Alors les tourtereaux, elle était bonne ma prune?" dans ma direction Et tout en matant ma chérie.
-"Oui, mais elle nous a achevé, surtout ma femme. Elle est bourrée et a très chaud!". Je le vois sourire, et de me demander si on vient souvent dans le coin, d'où on vient, un tas de banalités, alors que je vois son bras droit qui bouge, me laissant à penser qu'il est entrain de caresser les cuisses de ma femme qui ne réagit que par à-coups maladroits en le repoussant timidement. Je fais le mec bourré et je lui dis que nous allons rentrer. Le mec, pas démonté nous lance:
- "Je vous raccompagne!" et il se lève. J'aide ma femme à se relever, le gros gueule un
"salut Gilbert, bonne nuit, je raccompagne les jeunes à leur voiture!" à son pote et nos sortons.

Ma femme me glisse un
"On rentre" étouffé, et je lui glisse un
"Oui, oui ma chérie". Il me demande où nous sommes garer, je lui réponds que nous sommes sur le parking poids lourds. Et là la phrase que j'attendais et que je n'espérais plus fuse:
- "Ah bon vous êtes sur mon parking?" comme si il lui appartenait, "venez je vais vos faire visiter mon camion".
Je lui réponds que je ne suis pas sûr, que nous sommes bourrés et fatigués. Il insiste en me disant que ce sera juste un petit coup d'oeil, je lui donne mon accord. Nous arrivons à son camion qui n'est pas loin de ma voiture. Un gros camion. Le type me dit qu'il est transporteur indépendant, me parle de son bébé (son camion bien sûr), et nous montons à bord. Lui le premier, ma femme en second, qui monte avec peine, et moi. La cabine est immense. A mon regard le mec est tout fier. Et surtout de la partie couchette. Un grand lit surélevé, un frigo, une douche, la grande classe quoi.. Ou presque! Quelques posters de nanas à poils ou en petites tenues sont affichés sur un pan de cloison. Il voit que je les regarde et me lance un
"çà c'est mes petites chéries. Elles sont toutes passées dans mon lit" en rigolant. Il nous propose une boisson fraîche en nous disant qu'elle nous fera du bien. Il ferme les rideaux qui séparent la couchette du pilotage en balançant un
"voilà on est tranquille là".
Nous nous asseyons sur le lit, ma femme à encore le réflexe de tirer un peu sur son haut, mais toujours maladroitement, ce qui couvre juste le haut de ses cuisses. Bourrée elle n'a même pas percutée qu'elle n'avait plus de string. Le gros s'installe vers nous, nous buvons, discutons, pas trop ma femme, qui cuve un peu, il reluque les cuisses et les seins de ma femme, qui de ma position et de la sienne sont presque visible entièrement par transparence due à la lumière. Je fais alors semblant de ne pas être bien, et je lui dis qu'on va partir. Il me rétorque alors que je ferais bien de dormir un peu, car ce n'est pas prudent de prendre le volant dans mon état, il ajoute qu'on peut dormir dans sa couchette une heure ou deux si on le veut, et que lui dormira dans le poste de pilotage. Je lui réponds que je préfère aller somnoler dans ma voiture, mais que je veux bien que ma femme dorme un peu sur un lit plus confortable. Ma chérie ne réagit pas trop sur le coup, puis me bafouille un
-"on rentre mon amour?". Je lui réplique alors qu'elle va se reposer un peu là, et que je ne suis pas loin, que je viens la chercher dans peu de temps. Je dis au gros que je vais à ma voiture et qu'il vienne me réveiller dans une heure. D'un ton tout mielleux il m'assure que ce sera fait, et sort une couverture pour ma femme. Ma femme me demande un bisou, me redemande de venir la chercher vite. Je lui réponds de ne pas s'inquiéter. Je fais deux pas, tire le rideau, regarde le gros qui fait mine de déplier la couverture, mon épouse me regarde tristement, les yeux embués par l'alcool. J'hésite presque à tout arrêter et partir avec elle, je dis au gros que je claque la porte. Celui ci me réponds:
-"Pas de soucis je la bloquerai en me couchant", et finalement je referme le rideau, me glisse vers la porte passager, et fait mine à mon tour de partir, l'ouvrant et la claquant quelques secondes après. Je ne bouge pas pendant quelques instants tout en craignant que le gros ne surgisse de la couchette. J'ai le sang qui bouillonne au niveau de mon visage, les jambes qui flagellent un peu. J'attends. Rien. Je me rapproche de l'ouverture des rideaux, et les écartent un peu...
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par Joe
#116767
Troisième partie ... (préparez vous a bander extrême les mecs !) :oops: :oops:

Le gros n'a même pas pris le temps de vérifier si j'étais bien parti. Ma femme est toujours assise sur le bord du lit, le gros est collé à elle à sa droite. Il lui caresse le genou avec sa main gauche. La couverture qui était destinée à ma femme est en boule dans un coin du lit. Celle ci ne le regarde même pas et n'émet aucune protestation quand le gros allonge ses caresses jusqu'au milieu de sa cuisse.
-"Tu es belle!" lui dit il, tout en accélérant ses caresses.
-"Avec ta tenue, on dirait une des petites salopes de mes posters".
Ma femme ne bronche pas. Elle lui demande seulement:
"Ma couverture?".
"Je vais te donner mieux qu'une couverture ma belle!". Et il tire un grand coup sur le haut de mon épouse, laissant apparaître ses deux gros seins bronzés. Il passe son bras gauche derrière le dos de ma femme, et lui attrape ses deux nichons. Je bande comme un âne en voyant cela. Il commence à lui peloter les seins et lui pincer les tétons.
-"Qu'est ce que tu fais!" souffle ma femme en essayant de le repousser comme elle peut, mais l'autre n'en a cure. D'un coup il lui lâche les seins, la prend par le menton et lui dit:
"suce mon doigt!".
Ma femme ne bronche pas. Une petite claque s'abat sur le sein de ma chérie, qui grimace et émet un petit
"hummphh!" de douleur, mais ne fait toujours rien. Paf! Une deuxième s'abat à nouveau sur son sein, avec la même demande.
"Tu ... tu me fais ... mal!" bafouille ma femme en hochant la tête pour qu'il la lâche. Le gros lui bloque le menton et lui ordonne:
"Tu veux plus que je te fasse mal? Alors suce mon doigt!'". Je me dis que çà va peut être un peu trop loin, et m'apprête à intervenir, avant que cela ne dégénère, lorsque devant mes yeux ébahis, ma femme entrouvre la bouche laissant le gros y introduire son index. Celui ci commence à le faire coulisser entre les lèvres de ma chérie qui se sont refermées, et elle le suce les yeux fermés.
-"C'est bien!" lui dit il.
"Regarde moi dans les yeux" lui ordonne t'il tout en lui malaxant chaque sein et lui pinçant les tétons.
Ma femme ouvre les yeux et le regarde, son regard a changé, il est toujours embué par l'alcool, mais il est plus lubrique, le type lui imprime pourtant des doigts de sa main libre des torsions vicieuses de ses tétons qui bandent sérieusement.
-"Écartes les cuisses maintenant!" lui réclame t'il.
Pas de réaction de mon épouse qui suce toujours l'index. Paf! il lui gratifie le sein d'une nouvelle claque, plus sèche cette fois, qui lui arrache une petite plainte étouffée... mais, ses cuisses s'écartent.
Le gros prend la jambe la plus proche de lui, la passe par dessus son genou, et entreprend une caresse du genou jusqu'en haut de la cuisse.
-"Quelles jambes!" dit il en faisant cela à ma femme suçant toujours le doigt les yeux clos maintenant. Il arrive à sa chatte et lui lance un:
"T'as même pas de culotte petite chienne", en contemplant cette chatte épilée avec juste le petit ticket de métro au dessus de la vulve. Il y introduit alors l'index et s'écrit:
"Mais t'es toute trempée ma salope", avant d'y ajouter deux doigts supplémentaires et d'entamer une branlette en bonne et due forme.
Je n'en crois pas mes oreilles. Ma femme rouvre les yeux, et le fixe avec le même regard qu'auparavant, tout en continuant à lui sucer l'index, en poussant des petits gémissements étouffés.
Ma femme! Elle, si belle, qui détestent ce genre de mec, moche, gras, vulgaire. Elle est sous son influence, complètement à sa merci, alors qu'elle le repoussait quelques minutes avant. Il ordonne, elle obéit. Est ce l'alcool? Sûrement. Un fantasme qu'elle avait au fond d'elle? Peut être.

La scène à laquelle j'assiste est irréelle, je pensais qu'elle resterait à jamais de l'ordre du fantasme, surtout avec le physique du gars. Je sors mon sexe de mon jean et commence à me masturber doucement en regardant, de peur d'éjaculer trop vite.
-''Tends tes beaux nichons vers moi!'' lui ordonne t'il. Elle s'exécute. Il enlève son doigt qui était dans la bouche de ma femme, attrape un de ses seins et se met littéralement à le bouffer, tout en continuant à la branler d'une main et a lui pétrir et écraser ses seins de l'autre pour faire saillir ses mamelons.
A son visage, elle a l'air d'aimer çà. Ses yeux sont fermés, sa bouche entrouverte, et des petits soupirs se font entendre au milieu des bruits de succion. Le gros la bascule en arrière, la tête sur la couverture en boule. Par chance, celle ci est dans le coin me laissant un bon angle de vue. Il continue de lui dévorer les nichons, l'un après l'autre cette fois. Sa main est presque entièrement dans la chatte de ma femme, qui a complètement écartées les cuisses et dont la respiration et les gémissements sont de plus en plus fort. Après quelques minutes de ce traitement, le gros se redresse, contemple quelques secondes mon épouse les jambes toujours grande écartées et lui lance:
-''J'étais sûr que t'étais une petite salope! Je l'ai dis à Gilbert, quand t'es revenue des toilettes, y voulait pas me croire!''.
Ma femme le regarde la bouche entrouverte, mais ne dit rien. Il enlève son T-shirt. Il est gras et poilu sur le torse et les épaules. Il fait de même avec son pantalon. La bosse qui se dessine à travers son slip est impressionnante.
Moi qui n'ai pas à me plaindre concernant la taille ma queue, je suis interloqué. Il enlève son slip. En effet. Elle est large, et à première vue doit faire au moins 25 cm. Il la dresse fièrement devant ma femme et lui dit:
-'' J'en ai baisé des putes, sur l'autoroute! Mais des beautés comme toi, jamais! Je vais te baiser comme jamais on t'as baisé! Même pas ton petit mari!!"
Il se met à genoux entre ses cuisses, remonte le haut de ma femme qui n'est plus qu'une fine ceinture, sur son ventre, lui attrape les chevilles, lui replie un peu les jambes et enfonce sa grosse queue dans la chatte de ma femme qui pousse un râle de plaisir. Il l'enfonce complètement et la ressort doucement. Il fait ça plusieurs fois. Je regarde son mandrin énorme entrer et sortir du fourreau de ma chérie. Je me branle de plus en plus doucement car je suis prêt à exploser.
-''Elle te plaît ma grosse bite, hein? Elle glisse bien dans ta p'tite chatte trempée, hein?''. Ma femme ne réponds pas, mais je remarque que son regard est encore plus vicieux qu'avant. Pendant tout le temps ou le gros effectue ces allers-retours, elle fixe sa bite, et ouvre plus grand sa bouche à chaque fois qu'il la pénètre. Je remarque aussi qu'elle se caresse doucement le sein droit.
-''Hein tu l'aimes?''. Et il se met à accélérer le rythme provoquant un rictus de douleur sur le visage de ma femme. Il lui lâche les chevilles et s'allonge sur elle, elle laisse retomber ses jambes pliées, les talons posés sur le lit. Il lui chope les deux seins et se met à les lécher et les téter les mordillant même à tour de rôle tout en la pilonnant. Son ventre et sa queue claque contre sa chatte. Ma femme à les yeux fermés, la bouche grand ouverte, et émet de grands gémissements sonores.
-''T'aime çà petite pute! Hein t'aimes çà?" Pas de réponse.
''Dis le que t'aime çà!''.
Ma femme soupire un petit ''je, oh....je... ouiii''. Je lâche ma bite, je suis à deux doigts de venir.
-''Ah oui t'es une belle petite pute, hein? Hein?
''haaa noon... je...'' se reprend elle mais il la pilonne encore plus fort.
"Mais si t'es une p'tite pute, vu comment tu m'avale le dard salope, hein qu'elle te ramone bien ?"
"ahhh je, oh ouii ..." concede elle en râlant longuement de plaisir. Il l'a fait jouir! Ce gros sac hideux l'a fait jouir. Et rapidement avec çà.
-''Ha! Ha! Ha! C'est pas encore fini ma jolie!'' lui lance t'il alors qu'elle reprend son souffle.
Il lui bouffe encore les seins quelques secondes.
''Tourne toi sur le côté!''. Et il la retourne dans ma direction comme une marionnette, passe derrière elle, lève une de ses jambes en la tenant par le genou, et s'enfonce à nouveau dans sa chatte. Il la pénètre à une vitesse moyenne, mais constante. Je reprend ma masturbation et regarde ma femme. Elle est superbe. Les yeux mi-clos, la bouche entre-ouverte, sa petite langue en sortant légèrement, ses gros seins bronzés ballottant au rythme des pénétrations. Dans cette position, je vois parfaitement la bite énorme du gros entrer en elle et en sortir aussi vite. Je me demande comment il fait pour tenir aussi longtemps sans jouir, en baisant une femme aussi belle. Il la baise comme çà pendant plusieurs minutes. Puis il lâche à nouveau sa jambe, la replie sur l'autre et l'enfile aussi sec.
Je vois ma femme grimacer légèrement. Puis quelques secondes plus tard son visage se détend. Le gros en profite pour lui enfoncer un doigt, puis deux dans l'anus. Il accélère petit à petit en guettant sa réaction, puis en entre un troisième et entreprend un mouvement circulaire pour élargir le trou. Pourtant plus du tout habituée à ce traitement qu'elle me refuse depuis quelques années , ma femme n'émet aucune protestations. Sa bouche s'ouvre et se referme à chaque mouvement circulaire, et sa respiration se fait plus forte, mais elle ne bronche pas. Ce spectacle me rend un peu jaloux, mais l'excitation de voir ma femme dans cette situation prend le dessus.
-''Je vais t'enculer ma jolie! Tu vas aimer çà, hein petite salope?! Rugit il.
Tout à coup, j'entends un léger bruit métallique qui vient de la portière passager. Par réflexe, je remballe ma queue. La porte s'ouvre!!..
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par Joe
#116799
Quatrième partie (sur 6) ... je sais pas vous mais moi ca me met le feu au bas ventre !... :|

J'essaie de discerner le visage de l'homme qui vient d'ouvrir la porte dans la pénombre.
C'est Gilbert, le pote du gros! Il est aussi surpris de me voir, que moi de le voir. Nous sommes tous les deux décontenancés sur le moment.
-'' Mais qu'est ce que?..''. Je ne laisse pas poursuivre sa phrase, je lui fait signe de se taire et jette un œil entre les rideaux.
Le gros n'a rien entendu. Il est toujours entrain de limer ma femme en lui étirant les bouts de seins entre ses dents, et tout en continuant de lui doigter l'anus. Je fais à nouveau signe à son pote, mais pour lui indiquer qu'il peut monter, en l'enjoignant encore une fois de ne pas faire de bruit. Il monte, méfiant, et referme la portière doucement. Il ne lui faut pas beaucoup de temps une fois monté pour percevoir les gémissements de ma femme, et les grognements de son pote. Je l'invite à regarder entre les rideaux. Il reste bouche bée devant la scène. Son pote entrain de baiser ma bombe de femme complètement consentante.
-''Mais... c'est ta nana!! Comment il..?'' me dit il à voix très basse, complètement ahuri et subjugué.
-''Ma femme.'' lui répond-je.
''Ta femme?''. Mais tu la laisse.., enfin.. tu le laisse la sauter sans rien dire?"
-''Ton pote ne sais pas que je les mate''.
-''Ah bon il sait pas?''. Il n'arrive pas à détourner son regard de la scène qu'il a devant les yeux.
-''Elle est excitante ma femme! Hein?''.
''Ah, oui, oui, beaucoup!!.. On dirait une actrice de films pornos!'' me chuchote t'il.
-''De films pornos? Rien que çà?''.
''Ouais. Te vexes pas, mais.. comme elle est gaulée, et là entrain de se faire baiser devant mes yeux, c'est à çà qu'elle me fait penser.. Et c'est un compliment!!'' me lance t'il, de peur de m'avoir froissé.
-''Tu veux y aller?''. Il me regarde éberlué.
''Et toi t'y vas pas?'' me demande t'il.
''Non! Ton pote pense que je dors dans ma voiture.''
-''Ah! C'est ta bagnole, la noire plus loin? J'trouvais çà bizarre, justement une bagnole garée là. Je venais prévenir Michel. Il a le plus beau camion. Il a même installé une douche. Il est long, il a eu du mal à rouler avec chez nous... '' Je le coupe.
-''Ouais, ouais j'ai vu.''...et je lui lance: ''Allez,vas y et fais toi plaisir!''. Et je me pousse sur le côté. ''Vas-y!''.
Le mec n'en revient pas. Moi non plus je n'en reviens pas de m'entendre dire çà. Il hésite un peu, regarde entre les rideaux, me regarde à nouveau, puis il les écarte et se glisse dans la couchette. J'entends le gros bégayer un
''c'est qui..?'' Puis gueuler:
-'' Putain, c'est toi Gilbert! Tu m'as fait peur du con! Qu'est ce que tu fous là?''. Je me rapproche des rideaux, et les écarte à nouveau légèrement. Le gros est toujours dans la même position, sa queue enfoncée dans la chatte de ma femme, une main devant sa bouche et l'autre bras devant ses seins.
-''Ben et toi?'' lui réponds son pote.
-''Tu le vois pas, ce que je fais?''. Et il recommence à limer ma femme, qui n'a même pas levé les yeux sur son pote, en lui pétrissant les seins, tout fier de lui.
-''Moi j'ai vu une bagnole sur le parking. Alors, je venais te prévenir.''.
''T'as vu quelqu'un dedans?'' lui demande le gros.
''Ouais, ouais! Son mec! Il dort la bouche ouverte.''
-''Ha! Ha! T'entends çà ma jolie! Ton mec se contrefous que sa jolie petite femme se fasse baiser comme une petite traînée.'' Et il se met à lui balancer de grands et lents coups de queue dans la chatte.
''Tu vois Gilbert, je t'avais pas dit que c'était une petite salope?'', en lui malaxant les seins. ''Regarde comme elle est bonne, regarde ce corps.., ces nichons,.. et ces jambes lisses'', en lui caressant.
''Et cette chatte?'', en lui levant une jambe en l'air.
''Elle aime la queue cette chatte! Hein? Et regarde ce visage de poupée!'' en lui caressant.
''Une poupée salope!! Hein?!''.
Ma femme ne dit mot. Elle se laisse limer et peloter la bouche ouverte, les yeux fermés en gémissant. Le gros passe sa main derrière sa tête, lui enfonce deux de ses gros doigts dans la bouche, et elle se met à les sucer. Gilbert sort sa bite et commence à se branler. Moi c'est déjà fait depuis un moment. Sa queue est moins longue et surtout moins épaisse que le gros. Il regarde, la langue légèrement pendante, son pote défoncer ma femme.
-''Tu vois comme tu excites mon pote petite chienne!'' souffle le gros. Il ralentit le rythme, et recommence à entrer et sortir sa bite doucement de la chatte de ma femme. Il sort ses doigts de sa bouche, lui caresse les seins et lui pince les tétons. Avec l'autre main il lui met une petite claque sur le cul. Son beau petit cul bombé et bronzé.
''Regarde comme il se branle! T'aimes çà exciter les mecs, hein petite salope! Regarde le!''. Ma femme ouvre les yeux, regarde la bite de Gilbert, puis ses yeux, à tour de rôle, toujours avec son regard alcoolisé et lubrique. Puis elle redescend son regard sur la bite du gros qui la lime, et regarde à nouveau la bite et les yeux de Gilbert. Est ce que cette bite lui fait envie?
La bite de ce mec, aussi moche que son pote. La cinquantaine, blond comme l'autre est brun, trapu comme l'autre est grand, et gras comme son collègue. Tous les deux moches et juste bon à se payer des putes.
Ma femme serait elle vraiment au fond d'elle ce que l'autre n'arrête pas de lui répéter ... Une, une pute, une salope. Ou lui a t'il simplement retourné la tête, avec l'aide de l'alcool et sa force de persuasion. Toute ces questions me taraudent, alors que je la regarde se faire baiser, consentante et vicieuse. Je me surprend même à la traiter de petite salope en me branlant.
-''Regarde comme elle aime çà cette petite pute!'' mugit il en accélérant ses coups de bite.
''Hein? Dis le à Gilbert que t'aime ma grosse queue!''. Ma femme gémit mollement, honteuse :
''Oui!''.
''Oui quoi?''
''Oui!.. J'aime..çà!'' gémit elle en rouvrant les yeux pour regarder son pote se branler. Gilbert se masturbe de plus en plus vite. Il n'ose pas s'approcher.
-''Oh oui! Qu'est ce que t'es bonne! T'es la plus belle des putes! Sors ta langue!'' vocifère le gros. Comme elle n’obéis pas, une deuxième fois il ordonne:
''Sors ta langue!''
Elle fini par tourner la tête et tendre sa langue. Ils se lèchent, s'enroulent, s'aspirent mutuellement la langue, à tel point que de la bave coule le long du menton de ma femme.
''Ahh!!Oui!!.. T'es ma petite pute!! Hein?.. Dis le à Gilbert que t'es ma petite pute!''. Il la défonce littéralement, ses couilles claquent contre sa chatte.
''Dis lui!''.
''Oooohh!... Oui!!'' râle ma femme.
''Oui quoi ?''.
''Je... je suis ...Ta.. pute...aaaaahhhh!!!''.
Et elle jouit à nouveau. Mais pas seule. Le gros se bloque et lâche son foutre en elle dans un grand râle. Je vois bien que depuis tout à l'heure il la baise sans capote et ... le salaud se répands dans sa petite chatte, je ne tiens plus et j'éjacule aussi, silencieusement, sur le tapis de sol passager, tremblant sous la force de l'orgasme titanesque qui me saisi. je remballe ma queue dans mon slip, qui se macule légèrement de sperme et me tiens prêt à quitter le camion au cas où il viendrait dans ma direction.
Le gros se retire de sa chatte et je vois une importante quantité de sperme s'en écouler. Il prend un mouchoir sur une tablette au dessus de lui, et essuie le foutre qui coule, alors que ma femme reprend son souffle. Il voit alors Gilbert qui se masturbe toujours.
-'' Qu'est ce que tu branles? Viens la baiser! Je te la prêtes!'', en lui mettant une claque sur le cul, comme si elle était sa chose.
L'autre n'en attendait pas plus. Il se débarrasse rapidement de ses fringues, et s'approche du lit. Il est un peu moins gras que son pote, mais tout aussi laid. Le gros se lève du lit, en fait le tour, et s'assied au niveau du visage de ma femme, qui le regarde, exténuée.
-''Nettoie moi la bite!'', lance t'il en approchant son gros gland de la bouche de ma femme. Elle qui n'aime pas le goût du sperme, j'attends sa réaction. Elle hésite, puis sort timidement sa langue, et lèche délicatement le gros gland avec la pointe.
-''Tu peux faire mieux que çà!'', fulmine le gros en lui giflant sèchement les seins.
Il lui prend l'arrière de la tête, lui enfonce le gland entre ses lèvres et se met à lui branler la bouche . Je vois la joue de ma femme se déformer à chaque fois qu'il entre sa bite. Elle respire bruyamment par le nez, et du sperme mélangé à sa salive coule le long de son menton.
Je bande à nouveau. Je ressors ma queue et me remet à me branloter.
-''Voilàà! Comme çà c'est bien!'' beugle le gros, en faisant coulisser sa queue entre les lèvres de ma femme. Il la ressort et lui ordonne:
''Regarde moi! Et lèche là en me regardant!''. Ma femme, comme une marionnette s'exécute, et le fixe, le regard docile.
''De haut en bas!! Comme çà, c'est bien ma jolie!''.
Son pote en a profité pour grimper sur le lit, et s'allonger dans le dos de ma femme. Sans attendre, il soulève une jambe de ma femme, la faisant se retourner. Le gros, lui retourne la tête aussitôt, lui faisant reprendre sa ''sucette''. L'autre s'enfonce immédiatement dans la chatte de ma femme, et imprime un rythme soutenu, faisant reprendre les soupirs de ma femme, qui lèche tant bien que mal le sexe du gros. Cela dure quelques dizaines de secondes, puis Gilbert se met à maugréer:
-''Putain! Sa chatte est pleine de sperme! C'est dégueulasse!''.
-''T'as qu'à lui mettre dans le cul, elle aime çà!''. L'autre retire aussitôt sa queue, et la présente devant la petite rondelle.
-''Non..!..Pas.. là!..'', bafouille ma femme, en le repoussant avec son bras droit.
''Comment çà, pas là?'' rugit le gros.
''T'aimais çà tout à l'heure pourtant, petite salope!'', en la prenant par le menton, et fixant les yeux désolés de ma femme.
-''Pousse toi Gilbert!''. Et il s'assied derrière le cul de mon épouse. Il lui fourre deux doigts dans la chatte, les ressorts gluants de sperme, et les enfonce complètement dans l'anus de ma femme. Celle ci se cambre un peu, sous cette pénétration forcée, et ouvre grand sa bouche, sans sortir un son. Le gros effectue plusieurs fois ce traitement.
-''Alors? T'aime pas çà?!'' vocifère t'il. Il se met à lui branler l'anus avec ses deux doigts, et bientôt un troisième. Ma femme qui se cambrait sur chaque pénétration au début, à l'air de se détendre, et se laisse branler le cul les yeux clos et la bouche entre-ouverte.
-''Oohh, oui t'aimes çà ma salope!! souffle le gros.
''Hein petite pute?!...Regarde moi!
''. Ma femme tourne la tête dans sa direction et le fixe.
''Ahhh! Oui ma petite pute!! Regarde comme ton cul aime se faire défoncer.''. Il entre profondément ses doigts et les ressort complètement, doucement, plusieurs fois. Ma femme soupire. Elle à de nouveau ce regard lubrique si excitant, et fixe ces gros doigts qui la fourrage en se léchant le coin des lèvres avec le bout la langue.
-''Allez vas y! Fourre lui le cul! Qu'est ce que tu attends?'' lance t'il à son pote qui se branlait en regardant. L'autre ne se fait pas prier. Il se glisse jusqu'au cul de ma femme, et présente son gland à l'entrée. Il pousse doucement, et après deux tentatives infructueuses, réussit à le rentrer. L'anus de ma femme se dilate, et le gobe. Elle regarde ce gland entrer dans son cul, la bouche ouverte, en haletant. L'autre s'enfonce doucement en elle, effectue quelques va et vient lents, puis se met à accélérer la cadence en malaxant un des nichons de ma femme, et en la fixant dans les yeux. Le gros lui maintient la jambe en l'air en la tenant par la cheville. Je n'en reviens pas de voir ma femme se faire sodomiser devant moi. De la voir, une jambe relevée, une bite s'enfonçant dans son petit trou, la chatte ouverte. Le gros se branle quelques dizaines de secondes, en matant son pote qui sodomise ma femme, puis il lui lâche la jambe et se relève.
-''Attend Gilbert!'' gueule t'il. ''A..Allonge toi sur le dos, je vais la mettre sur toi! Je veux l'enfiler pendant que tu l'encules.''.
Il les fait se rapprocher du bord du lit, allongés dans la largeur. L'autre bougonne un peu, mais s'exécute. Le gros aide ma femme à s'allonger sur son pote, sur le dos. Elle se retrouve légèrement en appui sur les mains, les seins en l'air, les jambes écartées le cul posé sur le bas du ventre de Gilbert, qui cherche immédiatement à y entrer sa queue.
-''Voilà! Allonge toi complètement sur Gilbert.'' dit le gros en guidant ma femme, alors que son pote a rentré sa bite dans son anus et se remet à la sodomiser. Le gros lui écarte encore un peu plus les cuisses, et enfourne sa queue dans la chatte de ma femme, qui se retrouve avec une bite dans chaque trou. Dans cette position, je ne vois plus grand chose, à part les jambes écartées de ma femme. Le gros s'est penché sur elle et lui suce les seins. J'entends ma femme gémir de plaisir. Je me demande comment ma femme peut aimer se faire prendre en sandwich par ces deux porcs. Ils tiennent cette position pendant deux, trois minutes, puis Gilbert gueule:
-''Çà va pas comme çà, Michel! Tu m'écrases!
-''Ok, ok!'' Réponds, le gros en se relevant,
''finis de l'enculer tout seul, je m'en occuperai après''.
L'autre remet ma femme sur le côté, relève une de ces jambe, et la sodomise comme un fou.
-''Ohh! Tu m'excites trop!'' souffle t'il en la pilonnant. Ma femme le fixe, les yeux mi-clos, en gémissant. Quelques dizaine de secondes après, il râle, et éjacule dans son cul.
-''Çà y est l'éjaculateur précoce'', glousse le gros, ''T'as déjà fini?''. ''Pousse toi je vais te montrer comment on encule une petite pute''.
L'autre grogne un truc incompréhensible, et se lève du lit. Le gros passe derrière ma femme, qui le regarde béatement, et s'allonge, sa grosse queue à la main.
-''Branle là!'' lui lance t'il en prenant une de ses mains manucurés, la posant sur sa bite. Ma femme regarde ce gros mandrin et se met à le branler doucement.
-''Plus vite!'', ordonne le gros,
''et regarde moi!'', exige t'il alors qu'il lui rentre à nouveau ses gros doigts dans l'anus. ''Ouais!! C'est bien petite chienne!!.. Serre la bien!.. Ouais!''.
Sa bite commence à suinter de sperme.
''Arrête maintenant! Écarte les fesses!''. Et il présente son gros gland devant la petite rondelle de ma femme, qui à obéit à son ordre et écarte une de ses fesses. Il pousse pour le faire entrer.
-''Ah! Nonn! C'est.... trop... gros!!..'' , gémit elle.
Mais le gros continue à l'introduire, la faisant se cambrer. Il stoppe la pénétration, introduit quatre doigts dans sa chatte, et se met à la branler doucement, puis rapidement. Ma femme se met à gémir de plaisir. Puis tout en faisant cela, il commence à entamer de lents va et vient dans son anus, et enfonce petit à petit entièrement sa grosse et longue queue.
''Il sait s'y prendre, pour un gros porc !'' me dis-je intérieurement. Ma femme à maintenant l'air d'apprécier cette sodomie. Elle regarde cette grande bite, s'enfoncer et ressortir, gluante de sperme, de son rectum, en gémissant très fort, et en poussant des ''Ohh oui!!'' réguliers. Elle se met un doigt dans la bouche, le lèche, et le suce, en cadence des pénétrations. Le gros lui pilonne maintenant l'anus avec sa grande queue, aussi facilement que s'il le faisait dans sa chatte, aidé sans doute par le sperme que son pote avait déversé juste avant. Ce dernier s'est d'ailleurs remit à se branler en matant. Puis d'un coup, le gros s'arrête, et regardant ma femme lui dit:
-''Tu veux que j'arrête?''. Ma femme le regarde et n'a pas l'air de comprendre.
-''Hein??'', reprends t'il.
-''Non.'' réponds ma femme.
-''Tu aimes çà que je t'encule ?!'' lance le gros le ton enjoué.
''Hein ma petite pute?!'' en se remettant à la sodomiser tout doucement.
''Réponds!''.
-''Oh je...oui je...j'aime ça ... !'' souffle t'elle.
Et il s'arrête de nouveau, la laissant dubitative. Il la toise quelques secondes du regard.
-''Alors bouge ton cul sur ma queue!''. Ma femme n'hésite que deux ou trois secondes. Elle se met à onduler doucement du bassin, faisant rentrer et sortir de son cul la bite du gros.
-''C'est bien ma jolie!'' gémit le gros,
''et regarde moi dans les yeux petite salope.'' ajoute t'il en lui caressant la croupe. Elle le fait, et quel regard! Les actrices de films pornos ne feraient pas mieux.
''Accélère!'' mugit t'il en lui assénant une claque sèche sur le cul.
''Ouais!.. Comme çà!!'', et il la prend par les hanches et se remet à la pilonner.
Moi je suis au comble de l'excitation, et je répand à nouveau mon foutre sur le tapis de sol passager.
Je reprend mon observation. Je ne sais plus trop quoi penser de ma femme. Elle est bourrée, certes, mais elle a vraiment l'air de prendre du plaisir. Je la vois balancer ses fesses, pour aller à la rencontre de la si épaisse et longue bite du gros. Dans sa petite rondelle qu'elle me refuse depuis de nombreuses années. Ce gros routier si repoussant et vulgaire qui la traite comme une pute, lui imposant tout ce qu'il veut, l'a complètement désinhibée et obtient facilement tout ce qu'il veut d'elle.
Ses couilles claquent contre le cul de ma femme, et il la sodomise depuis plusieurs minutes déjà, lorsque je vois ma femme refermer ses yeux, qu'elle promenait entre ceux du gros et la queue la limant. Elle se crispe, serre le dessus de lit avec une de ses mains, et jouit plus fort encore que les deux précédentes fois.
-''Ahhh! Elle te fait jouir ma grosse queue, hein, ma petite chienne!'' beugle le gros en accélérant encore la cadence. Ma femme cramponne toujours le dessus de lit, mais se met à haleter et gémir encore plus vite et fort, alors qu'il lui défonce l'anus.
-''Hein?! T'aimes çà que je te défonce le cul, hein?!''.
'Ouiii, oh ouiiii 'Oui!!'', expire ma femme. Et le gros décharge sa semence dans son cul en gueulant.
Son pote s'approche du visage de ma femme la queue à la main et lui lance:
''Ouvre la bouche!''. Ma femme ne bronche pas lèvres pincées.
''Allez! Ouvre la bouche!'' lui ordonne le gros en lui mettant une nouvelle claque sur le cul.
Ma femme s'exécute alors et ouvre la bouche pour laisser l'autre lui déverse son sperme dans la bouche, le gland contre ses lèvres. Elle recrache quasiment tout le long de son menton, en hoquetant et en grimaçant.
J'en reviens pas ... elle est totalement sous la coupe de ce gors porc.
-''C'est bien ma jolie!! T'es une bonne petite pute!! Allez, viens!'' lui dit le gros, en la relevant du lit.
''Tu as du foutre partout! Tu vas prendre une douche!''.
''Tu vas voir, elle est pas très grande, mais j'suis sûr qu'on va tenir à deux!'' lui lance t'il en faisant glisser son petit haut en bas de ses chevilles.
Elle est debout, devant moi, sans me voir. Si belle! Complètement nue, en talons hauts blancs ressortant avec sa peau hâlée, ses longues jambes fines et galbées, sa petite chatte épilée, ses mains manucurés, son ventre plat, sa cambrure faisant ressortir son superbe petit cul rebondi, ses magnifiques seins bien ronds fièrement dressés, son visage de poupée, ses yeux de biche maquillés, sa bouche pulpeuse, ses longs cheveux bruns. Magnifique!
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par Joe
#117774
Le gros défait maintenant les lanières de ses talons, l'aide à les retirer, et l'entraîne, docile, presque plus titubante, vers la cabine de douche, au bout du lit, à gauche du frigo. Il fait glisser la porte transparente de la cabine, entre le premier, aide ma femme à y pénétrer, dos à lui, et repousse la porte. Son pote, la queue à l'air, regarde dans ma direction et me fait un signe discret du pouce, pour me faire comprendre qu'il s'est fait plaisir. Je tends mon poignet à travers le rideau, et lui désigne ma montre pour lui faire comprendre qu'il est temps d'en finir. Il me fait un signe positif de la tête, puis me montre la douche en haussant les épaules. Je tends l'oreille, car je ne les vois pas bien. L'eau coule, mais j'entends le gros.
-''Je vais bien te laver! Voilà!.... Tes beaux nichons!... Oui!....comme çà!..Ouaiiis..!.. Je les lave bien hein?...Ton ventre!........... Ton beau p'tit cul!...''.
Pour seule réponse ma femme pousse des petits soupirs. Le gros la caresse plus qu'il ne la lave. Son pote s'est remit à se branler en les regardant. Je bande aussi, mais je me focalise sur les bruits que j'entends.
-''Lave moi la queue!'' lance le gros.
''Voilà!.... Aaahhh!..... Oui!!..... Branle la bien!!...Ouéé!!''.
Je me dis que ce n'est pas possible. Qu'il n'en a jamais assez! Ma femme non plus! Qu'est ce qui lui arrive!?
Des bruits de clapotis se font entendre maintenant, mêlés au bruit de l'eau. J'entends toujours les gémissements de ma femme, mais ils sont plus ''humides''. Le gros pousse de petit râles étouffés lui aussi. La voix de son pote se fait entendre aussi :
-"Putain, tu l'as bien en main cette salope ..."
J'imagine parfaitement la scène, en me masturbant:
Ma femme dos à lui, entrain de le branler. Lui, lui malaxant sûrement les seins, l'autre main lui doigtant sa petite chatte ou son anus, car ses soupirs sont trop faibles pour qu'il y ait introduit sa queue. Les deux se léchant la langue, entrecoupé de ''Han!'' et de ''Mmmh!'' de ma femme. Cela dure plusieurs dizaines de secondes puis je perçois le gros qui souffle:
-''T'es toute chaude!.. T'en veux encore petite pute!... Hein?'', et il coupe l'eau. Plus rien pendant trois ou quatre secondes, puis j'entends ma femme pousser un petit râle et haleter. Elle se met à appuyer ses gémissements et haleter plus fort encore. Là, je me dit qu'il est de nouveau entrain de la sodomiser. Je regarde son pote. Il a les yeux exorbités, et se branle rapidement.
-"Elle se cambre bien cette p'tite vicieuse, elle en veux dans le cul celle là ..."
-''Oohhhh!.. Ouiii!... Ce qu'il est bon son cul!!'' brame le gros.
J'en ai la confirmation. Il est bel et bien entrain de la sodomiser. Je les entends souffler et gémir quelques dizaines de secondes, puis la porte de la douche s'ouvre, ma femme en sort en haletant, le gros aussi, derrière elle, les deux ruisselant d'eau. Il la pousse jusqu'à l'endroit de la couchette la plus large. Il lui lève une jambe, l'appuie dos contre lui, et debout, réintroduit sa grosse bite dans son anus.
-''T'as vu çà Gilbert?!'' glousse t'il en l'enculant, voyant ma femme qui s'est introduit deux doigts dans le vagin.
''Elle en a jamais assez cette petite salope!''.
Elle est debout, poussant des gémissements et des râles réguliers, une jambe en l'air, les seins ballottant, les yeux fermés, la bouche ouverte, la langue à moitié dehors, se doigtant la chatte pendant que le gros la sodomise. Je ne reconnais plus ma femme. Je commence à ressentir de la jalousie en la voyant, si belle, totalement offerte à ce gros pervers, plus qu'elle ne le ferait pour moi. Mon esprit est complètement troublé, partagé par cette jalousie qui se réveille, et la vue de cette jeune femme superbe, ma femme, possédée sexuellement devant moi par cet homme dépravé, et qui me pousse à me branler.
-''Qu'est ce que t'attends? Viens!'' lance t'il à son pote.
L'autre se lève du lit, la queue à la main, se colle à ma femme, et se met à lui pétrir les seins. Elle rouvre les yeux, se doigtant toujours, et observe, avec ce regard de salope qui ne la quitte plus, le copain de son amant qui malaxe les mamelons de ses nichons.
"Fais les lui remuer, mets lui des claques sur les nichons, t'aimes ça hein te les faire malmener p'tite pute !"
Gilbert regarde ma femme qui gémit sans oser répondre ... Le gros lui flanque une claque seche sur le cul :
"T'aimes ça p'tite salope ?"
"Hmmm je, oui...!"
"T'aimes quoi dis le ..."
"Je .. j'aime me faire ... malmener les seins... etre votre...votre pute, etre ... enculée !''
Gilbert ne se gêne pas pour lui infliger deux belle tapes qui la font gémir pendant que le gros se remet a lui défoncer le cul ... puis Gilbert joint ses doigts à ceux de ma femme dans sa chatte, et ils la branle tous les deux. Puis il les retire, ainsi que ceux de mon épouse, et la fixant dans les yeux, y enfile sa queue. La voilà, de nouveau prise par les deux routiers en même temps, mais dans une position qui semble plus leur convenir. Le gros l'enculant toujours, lui a tourné la tête et lui lèche la langue. L'autre, lui maintenant la jambe en l'air, lui lime la chatte en lui bouffant les seins.
Ma femme est déchaînée, elle gémit comme jamais elle ne l'a fait depuis le début de la ''soirée'', et elle suce, et gobe même la langue du gros. Les deux la prenne comme çà pendant quelques minutes, le gros faisant passer la langue surexcitée de ma femme, en lui tournant la tête comme il le ferait avec une poupée, de l'un à l'autre. Puis le gros se retire du cul de ma femme, demande à son pote d'en faire autant, et la met à quatre pattes sur le lit, en travers.
Ma femme tourne la tête, et le regarde, attendant de voir ce qu'il va faire. Il pose un pied sur le matelas, appuie sur le bas du dos de mon épouse pour qu'elle se cambre, présente son gland à l'entrée de son cul, et y replonge sa queue. Il l'enfonce complètement, et la ressort en lui écartant les fesses. Je suis fasciné par le trou béant qu'est maintenant l'anus de ma femme. Il lui a complètement dilaté avec son gros mandrin. Il fait çà plusieurs fois, provoquant les râles de ma femme, puis il se met à la limer rapidement de toute la longueur de sa bite.
Son pote a approché la sienne du visage de ma femme. Elle le regarde quelques instant en gémissant, puis elle ouvre en grand sa bouche . Il lui prend la tête et lui enfourne sa queue dedans, le salaud ne se gêne pas pour lui baiser la bouche. Il imprime un mouvement de va et vient en la tenant par les cheveux, ressortant sa bite, lui faisant lécher le manche, avant de l'enfourner à nouveau et se branler entre ses lèvres. Je perçois par moment la langue ma femme qui s'enroule autour du gland. Le gros continue de lui limer l'anus en soufflant. Au bout de quelques minutes, son pote se bloque et est prêt à venir dans la bouche de ma femme, mais elle se soustrait à sa queue, en le repoussant, le faisant gicler sur son visage et sur le lit. Je viens pour la troisième fois, à nouveau sur le sol. J'ai la queue en feu.
Le gros la sodomise encore quelques secondes, puis se retire, sa grosse bite à la main. Il prend ma femme par les cheveux, approche sa bite de sa bouche en se branlant et lui lance:
-''Tu vas me l'avaler mon foutre à moi, ma petite salope!''.
Ma femme le regarde mais ne bronche pas.
''Ouvre - la - bouche!'' lui ordonne t'il tout en se masturbant.
''Allez ouvre la bouche !''.
''..Non!.. S'il te plaît!...'' gémit ma femme.
''T'es ma petite pute!.. Ouvre grand je te dis!''.
Médusé, je la vois ouvrir timidement la bouche.
''Sort ta langue!'' soupire le gros en se branlant.
Elle s'exécute. Le gros y colle son gland, et jouit en répandant son sperme dessus. Du foutre coule de chaque côté de sa langue, mais un gros paquet blanc reste au milieu.
''Avale!!'' lui ordonne le gros avec un rictus pervers.
Elle hésite quelques secondes, le regarde dans les yeux, puis elle rentre sa langue dans sa bouche et avale en grimaçant.
-''C'est bien ma jolie! T'es la plus belle et la plus obéissante petite pute que j'ai jamais croisé!'' lance t'il.
Et il lui enfonce sa queue gluante dans la bouche, la faisant hoqueter de dégoût.
-''Bon! On va peut être la ramener à sa voiture?!'' propose son pote.
-''T'as peut être raison mon Gilbert!'' réponds le gros, sa queue toujours dans la bouche de ma femme, en regardant sa montre.
"Son mec m'avait dit de le réveiller dans une heure.. çà fait plus de deux heures!'' s'esclaffe t'il. ''C'est dommage, je l'aurais bien garder avec moi cette petite. C'est pas tous les jours qu'on rencontre des petites salopes pareilles!'' dit il en fourrant deux doigts dans la chatte de ma femme, qui le regarde vicieusement. Il la doigte quelques secondes, puis il lui balance une claque sur le cul et gueule:
-''Allez ma jolie! Le moment est venu de retrouver ton petit mari.''. Il se lève, et lui lance son haut.
''Habille toi vite avant que je change d'avis!''. Ma femme enfile tant bien que mal son haut, pendant que les deux routiers se rhabillent. Puis le gros ramasse les talons de ma femme, et l'aide à les mettre.
-''Bonne nuit Michel! Et merci!'' lance Gilbert en se dirigeant vers moi. Je m'écarte du rideau. Il sort, et me pousse vers la porte. Je l'ouvre et nous sortons.
-''Putain! Elle aime la bite ta femme!'' me chuchote t'il. Je ne réponds pas, un peu groggy par tout ce que j'ai vu et entendu.
''T'es cocu maintenant! Mais il vaut mieux que ce soit de cette manière!'' insiste t'il. J'arrive vers ma voiture .
''Allez salut! Bonne nuit!'' me lance t'il. Et il s'éloigne après un dernier regard amusé de mon désarroi évident.
Je monte à l'intérieur, entrouvre légèrement la fenêtre passager pour avoir un peu d'air, et attend, anxieux, que le gros me ramène ma femme. Les secondes me paraissent des minutes, puis j'aperçois deux ombres qui s'approchent de la voiture. Je fais semblant de dormir. J'entends quelqu'un se rapprocher de ma portière, puis plus rien. Puis les pas s'éloignent en direction de ma voiture, vers l'avant. J'entrouvre les yeux. C'était le gros. Je le distingue bien, car un réverbère n'est pas très loin de ma caisse. Il voulait sûrement vérifier si je dormais. Il prend ma femme, qu'il avait laisser devant le capot, par le bras et l'entraîne côté passager. Ils arrivent au niveau de la portière. Je m'attend à ce qu'il tape au carreau d'un instant à l'autre, je referme les yeux.
-''Allez! Un dernier baiser.'' demande le gros à ma femme.
Je rouvre les yeux. Elle est dos à moi, le gros devant elle. Il ne parle plus. Je ne les vois que du haut des épaules jusqu'au haut des cuisses. Je perçois des ''Mmmh!'' de lui, comme d'elle. Il est entrain de lui rouler une grosse galoche, en lui caressant le bas du dos. Il descend sa main au niveau de ses fesses, et se met à les caresser à travers le fin tissu de son haut qui cache juste son cul, avec sa main droite. Je ne vois pas l'autre. Il remonte le tissu, lui découvrant totalement la croupe. Sa main lui malaxe chaque fesse, deux doigts s'insinuant quelquefois le long de sa raie. Ma femme essaie de lui repousser timidement.
-''Ouais! Mmmhh! Sors ta langue! Mmmhhh!'' grommelle le gros en introduisant maintenant son index et son majeur dans le sexe de ma femme.
Elle tente encore un peu de lui repousser la main maladroitement, puis je la vois céder, lui caressant cette main qui la doigte. Elle lève sa jambe droite, repliée, genou contre la hanche du gros, lui permettant un accès encore plus facile à sa petite chatte, et se tortille sous les pénétrations de ses gros doigts. Il la bascule légèrement, les épaules contre la porte. Je vois la partie supérieure du bustier de ma femme glisser jusqu'en bas de son dos.
-''Ahhnn!... Mmmhh!'', gémit elle doucement, alors que le gros s'est mit à lui sucer les seins, tout en continuant de la doigter. Elle lui caresse les cheveux avec ses deux mains.
La jambe toujours relevée, je la vois onduler et frotter son bassin contre la braguette du gros, alors que ce dernier continue de lui lécher les seins et de la branler.
-''Putain! C'est pas possible!'' me dis-je. Qu'est ce qui arrive à ma femme. Elle est entrain de se laisser tripoter, devant la voiture, au risque de se faire surprendre par moi son mari, et elle ne trouve rien à y redire. A ce moment là, je me demande si je ne vais pas tout arrêter d'une manière ou d'une autre, mais je regarde la scène qui se déroule sous mes yeux, et je bande. Je bande comme un âne.
Je vois la tête du gros remonter, au niveau du visage de mon épouse je présume, car elle hors de mon champ de vision. Avec sa main droite il lui attrape la fesse dont la jambe est relevée, et accentue le frottement de sa chatte contre sa braguette, en continuant de la doigter.
-''Ohh! Quelle petite pute tu es!!'' dit il en la frottant contre sa bite.
Je me penche sur la droite, enjambant le frein à main, au risque d'être vu. Je suis à quatre pattes, la tête quasiment à la fenêtre passager. Ils sont trop occupé, et ne me voient pas dans la pénombre de l'habitacle. Ma femme gémit, sa jambe droite toujours levée, sa langue frétillant comme un poisson autour de celle du gros, qui lui à pris les fesses avec ses deux mains et frotte sa chatte luisante de mouille contre la bosse énorme qui déforme sa braguette. Par moment elle gobe et suce cette langue comme si elle suçait une bite. Puis le gros retire sa main gauche de la fesse droite de ma femme, et effectue une caresse le long de sa cuisse relevée, en lui léchant le sein droit. Cette dernière paraît possédée. Elle continue de se frotter sur la bosse de l'entre-jambe du gros en poussant des gémissements.
-''Ouuuhh! Tu la veux ma bite!... petite chienne!!... Hein?!'' .
Pour toute réponse, ma femme pousse des soupirs la bouche ouverte, et ondule encore plus amplement du bassin, plus lentement, en le regardant dans les yeux.
-''Ah! Ah! Si ton mec te voyait!'' lance t'il.
Je me recule et revient rapidement à ma place initiale, de peur qu'il regarde par la fenêtre. Bon choix! Le gros baisse la tête légèrement. Je ferme les yeux et ne bouge plus.
-''Il dort comme un bébé!... Ou comme un bourré!! Ah! Ah! Ah!'' dit il à voix basse...
''Ohhh! S'il voyait comme sa petite femme est une salope!!.. Hein?!''.
Le son de sa voix me laisse à penser qu'il s'est relevé. Je rouvre les yeux. Mon épouse est toujours collée contre lui, la jambe droite toujours relevée au niveau de la hanche du gros.
-''Tu la veux encore ma queue hein ?'', lui redemande t'il en lui caressant la cuisse.
Je me rapproche à nouveau doucement, comme un chat, de la fenêtre passager. Il lui a fourré l'index de sa main droite dans la bouche, et elle le suce docilement en le fixant du regard.
''Hein?... Tu la veux petite chienne!?''.
-''Mmh!'', réponds elle en faisant un signe positif de la tête.
-''Demandes le moi gentiment!'', lui dit il.
Il enlève son doigt de la bouche de ma femme. Et il attend, en continuant de lui caresser la jambe avec la main gauche, et en lui malaxant un sein avec l'autre.
-''..Je...oui je...je la veux!'' souffle t'elle timidement.
-''Tu veux quoi?'', balance le gros, la mine réjouit.
-''....Ta queue.'' lui réponds t'elle à voix basse.
-''Ah oui?!''.
Avec sa main droite, il baisse sa braguette, plonge sa main dans son short, et en sort sa queue bandante énorme, qu'il lui passe entre les jambes. Il plaque vraiment le bassin de ma femme à lui, passe son autre main sous la cuisse relevée de cette dernière qu'il caressait pour la maintenir, et se met à frotter son mandrin de haut en bas contre sa chatte.
-''Oohhh!... Tu dégoulines petite pute!!'' en l'embrassant après cette phrase.
''.... Où tu veux que j'te la mette?'', en continuant ses frottements.
-''....Là!'' soupire t'elle.
-''Là où?'', glousse le gros.
Il lâche la cuisse de ma femme, qui la relève aussitôt en la frottant contre lui, prend sa queue, et commence à frotter son gros gland contre l'entrée de sa petite chatte.
''Où?'', redemande t'il.
-''..Dans..... ma chatte!'', expire t'elle dans un feulement, en gémissant.
-''J'ai encore de quoi te remplir le con petite salope !!''. Et il rentre son gland dans le sexe de ma femme, qui pousse un râle étouffée.
Il repasse sa main sous la jambe relevée de ma femme, et la lève plus haut, en la maintenant, écartant ainsi encore plus sa chatte, et la fait pivoter légèrement de côté. Je vois sa longue et grosse queue la limer, à quelques dizaines de centimètres de mes yeux. Avec l'autre main, il agrippe un de ses seins, et soulève le mamelon en direction de la bouche de cette dernière.
-''Lèche!!'' lui ordonne t'il.
Ma femme sort sa langue et essaie de lécher le téton. Mais malgré sa belle poitrine généreuse, il manque quelques centimètres. Du coup le gros sort sa langue à son tour, et lèche à tour de rôle le mamelon et la langue de ma femme, tout en la pilonnant avec sa queue. Alors qu'elle essayait d'étouffer ses gémissements depuis le début, je me rends compte que quelques uns sont de plus en plus sonores. Elle risque donc non seulement de me réveiller moi, j'étais éveillé de toute façon, mais aussi et surtout d'autres routiers dont les camions ne sont pas si loin de ma voiture. Je scrute les alentours. Rien heureusement.
#119033
EPSILON92 a écrit :Juste une question ! cette histoire est elle bien réelle ? As tu vraiment vécu ces moments la ? ou est ce juste un fantasme ?

cela ne va pas etre facile qu'il te dise puisqu'il a marquer qu'il avait trouver ce recit sur un site d histoire
ce n est pas lui l auteur.
meme si je doute que l histoire est bien reel (peut une partie de reel et le reste remancer) elle reste bandante quand meme non?
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par Joe
#119182
En effet, je ne suis pas l'auteur de ce récit mais simplement celui qui vous le copie ici.
Presque tel qu'il a été écris, j'avoue avoir changé une phrase ou deux de ci de là, et aussi mis en forme le texte : couleur des dialogues en particulier afin d'en agrémenter la lisibilité.

Je ne suis pas sur de la véracité de ce texte, mais une chose est sure, j'ai rarement autant bandé en lisant une histoire comme ça !...
#119417
c'etait juste une question en effet ! mais ceci dit elle est vraiment bandante , et plus encore même !
Sur quel site as tu trouvé cette histoire ?
Sinon tu peux continuer de nous faire bander , tout le monde en redemande !!!!
Encoreeeeeeee .
#1455153
bravo pour ces récits terriblements bandants.....en effet la pression y monte généreusement.....ce qui me donne des idées vicieuses, ma femme est libertine, mais a encore un peu de mal avec le candaulisme, elle aime ça mais ne le met pas assez en action a mon gout....en revanche, c'est une vrai chienne, et surtout extremement bonne a baiser, coquine et un corps de rève.....du coup ces récits me donnent des idées....je vais m'ateler à trouver quelques pervers pour lui faire vivre ce genre de scénario...... ;) ....encore félicitation pour ces récits !

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