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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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De mes écrits littéraires décadents, je quête vos réponses introspectives...
Bonne lecture.
Valphil.


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Mon mari et moi avions depuis quelques mois mis un bémol à nos sorties plutôt chaudes dans des lieux incongrus. Notre couple semblait s’y faire, mais nous sentions néanmoins que l’ennui commençait à faire son apparition au niveau sexuel et aussi sur le rapport entre nous, des disputes s’immisçaient de plus en plus souvent dans nos échanges.
Cette situation a eu un retentissement sur notre libido. Je n’avais pas vraiment envie, et nos rapports étaient de plus en plus brefs et sans excitation, les masturbations réciproque étaient plus présentent qu’autre chose, seul dans nos souvenirs revenait cette période de libertinage qui semblait manquer.
Et puis nous avons décidées de prendre une semaine de congé en plein hiver, histoire de nous retrouver.

Nous sommes arrives au Sénégal à Dakar, la chaleur étouffante nous changeais du terrible mois de janvier au Lux. De suite l'équipe représentée par notre guide Diop nous a accueilli à l'aéroport.
Le site de Mbodiene était sans richesses matérielles mais au combien magnifique par son site naturel protégé. Les cabanons blancs alignés les uns à côté des autres, dont plupart avaient les volets fermés pour conserver une certaine fraîcheur, mais certains laissaient le soleil couchant pénétrer dans les baies vitrées. Juste qu’à mon gout, n’était que trop peu éloignées des unes des autres mais au moins toutes étaient sur la barrière de la plage.
Diop nous apporta nos valises, je commençais à les défaire alors qu’il discutait avec mon homme, il était vraiment sympa avec nous, même si je trouvais que Diop me regardais un peu trop souvent. Quelque part je trouvais sympa de savoir qu'il en bavait pour une Blanchette, même si de mon coté, je n’avais pas d’attirance physique pour des blacks, juste, il avait un petit quelque chose dans son regard qui troublais, je ne sus pas exactement ce que c’était mais l’avait bien sentie. Je continuais de l’observer discrètement de temps à autre.
Pendant le repas local pris en commun, tout le groupe appris à ce connaitre et Diop nous expliquait les possibilités du site et des excursions à venir, Le jeune homme jetait des regards clandestins vers moi, mais toujours dans la discrétion la plus absolue.
Une fois sous notre case, nous avons fait un petit câlin, nous étions complètement nue, assise sur Phil, essayant de ne pas faire de bruit, les voisins n’étaient pas loin. Ce fut un régale de faire l'amour à mon homme alors qu’à tout moment ont pouvaient nous entendre. Nous pensions avoir été discret, les rideaux de toile baissés de nos fenêtres, n’avions juste pas pensé à nos deux lampes de chevets, nous avions fait un show d'ombre chinoise...mais ca je ne le savais pas encore...

Le matin au contraire de mon homme je me réveillai en pleine forme, curieuse de découvrir le site, j’enfilais un short court et une chemise légère délaissant soutien-gorge et string. J’empruntais le sentier d’une dizaine de mètres qui menait à l’étendue de sable blanc, la chaleur écrasante déjà bien présente me poussait à longer à l’ombre d’arbres qui jouxtaient la plage. Je contournais la végétation dance quand j’aperçue une forme au loin dans l’eau, en approchant je reconnue notre guide, en pleine baignade matinale, j’ai voulu faire demie tours mais son timbre de voix cria mon prénom, c’est un peu à contre cœur que je m’avançais vers lui, n’espérant dans mon propre intérieur la rencontre rapide, j’appréciais ce moment de solitude et puis en fin de compte, il m'appelait pour me dire certainement bonjours…
Tous en me rapprochant du bord des vagues, mon attention fût attirée sur la partie du corps encore immergé sous l’eau, lui qui venait à ma rencontre… Je n’y croyais pas… Lorsqu’il passa le rouleau d’écume, la vision de son corps nue, tout en muscle, du haut de ses 1m90, il devait bien peser 100kg. Sa peau était si noire sur ses biceps saillant, l’eau brillait sur tous son corps. Après un petit bonjour amical et profitant qu'il se replongeait dans l’eau, mon intention était bien de continuer mon chemin espérant passer cet intermède le plus rapidement. Mais sous une forme délicat, tout en restant immergé dans l'eau, il commençait a me parler de son pays, de son village, des coutumes, trouvant l'excuse de ne pas m'entendre, il se mit debout pour se rapprocher et je vis sa chose surgir de l'eau. Elle était à mes yeux énorme, descendant a mis cuisse bien plus grosse toutes celles en pleine action que j’avais rencontrées, alors que lui était au repos. Je n'avais jamais imaginer que ce puisse être possible, même si les rumeurs...
Comme une idiote mon regard restait bloqué sur cette verge brillante, il s'en rendait compte et me demanda sans gène si c'était la première queue de black que je voyais, je piquais un phare immédiatement, acquiesçant de la tête. Il s'asseyait sur un autre tronc face a moi, les cuisses légèrement écartées, le pieu d’ébène proéminant, nullement intimidé, continuant de sa discutions. Pendant une demie heure nous discutâmes de son pays, il nous proposait même, à moi et m on mari, de partir deux jours en excursion dans son village d’origine.
A trop regarder par bride et sans vraiment comprendre mes réactions, les pointes de mes seins se sont érigées pour finalement se tendre sous le tissu un peu fin de ma chemise. Fort heureusement, un gong retenti, il devait rejoindre son frère, se rhabilla devant moi, ce fut rapide, il était nu sous sa djellaba. En partant il me fit un clin d'oeil et me dit juste d'éteindre les lumière sous notre cahute la prochaine fois, mais qu'il avait apprécié le spectacle. Je piquais un nouveau phare devant lui, cela me laissait sans voix.

Nous sortions du restaurant alors que la nuit était tombée depuis un petit moment, il faisait un peu plus frais, la température était encore agréable. Je portais une petite robe blanche de lin assez ajustée, genre de robe avec laquelle il est difficile de porter autre chose dessous sans que cela ne paraisse, aussi parce que mes seins supportent largement d'être libres, de ce fait sont très visibles, c’était les vacances. Elle me moule parfaitement les fesses et se termine bien au-dessus de mes genoux, et même je dirais qu’elle se termine juste au-dessous de mon intimité, mon mari me trouve joliment tournée, le symbole de l’élégance. Nous nous tenons par la taille, et descendait ses mains régulièrement vers mes fesses. Le vin avait effectivement joué son rôle, nous étions un peu désinhibé. Je m’arrêtais et t’embrassais langoureusement, peut-être une façon pour moi de retarder l’échéance… Nous n’étions qu’à quelques centaines de mètres de l’endroit où nous continuerions notre soirée, sur la plage, en music.
La musique était rythmée, l’impression de la plage d’ensemble était très agréable, les lieux avaient été décorés avec beaucoup de goût et de sensualité. Les éclairages très sophistiqués mettaient en valeur les ornementations naturelles du site.
Cela peut sembler paradoxal, mais je m’étais rendu compte que les femmes pouvaient être ici court vêtues sans risquer de susciter des regards lourds ou des gestes désobligeants. Sans raison particulière dû à mon comportement, il me semblait attirer beaucoup l’attention, surtout quand je dansais seule, à voir quelques hommes m’approcher et même à vouloir m’offrir un verre mais trouvais toujours la façon de me défaire de leur présence sans trop les offusquer. Je rejoignais régulièrement mon homme qui était assis à une table en rotin. Diop apparut pas très longtemps après une de ces pauses, et sans hésitation il s’approcha de notre table, se retourna vers mon homme en nous saluant et lui demanda la permission d’inviter son épouse, il me scotchait par son hardiesse… Mon mari lui donna son accord et, se levant, il me pris la main et lui tendis, nos regards malicieux se croisaient et, j’acceptais l’invitation.
Parfois, je sentais ma poitrine se presser un peu trop contre le torse de mon cavalier, et je ne pouvais empêcher mon corps de réagir à ces frottements répétés. Je songeais un instant à l’interprétation que mon cavalier devait en avoir, à cette idée le rouge aux joues me gagnais. De temps en temps, sa main glissait légèrement sur ma chute de reins, à la limite du galbe de mes fesses, sans n’avoir jamais le temps de chasser ces intruses tant elles étaient fugaces.
Je trouvais que le jeune homme dansait divinement bien, il corrigeait presque instantanément tous mes faux pas. Une seconde danse tout aussi rapide démarra, la transition habile ne permettait pas de savoir réellement quand l’une commençait et l’autre se terminait, je ne pouvais pas m’esquiver. Le rythme parfois plus lent, mais le pas toujours similaire, à ceci près que nos corps étaient nettement plus rapprochés. J’étais tout contre mon cavalier, sa cuisse s’insinuait contre mon antre jambe. Un coup d’œil sur les autres danseurs me rassurait, c’était apparemment normal.
Il faisait virevolter sa partenaire au rythme de la musique en me maintenant fermement contre lui, s’aidant de ses mains très activent. J’étais néanmoins de plus en plus embarrassée par la situation que je ne contrôlais pas, sentant fréquemment des effleurements s’égarer sur mes fesses, sa jambe placée entre les miennes se faisait plus pénétrante, de la taille de mon cavalier, sa cuisse frottait de ce fait de bas en haut mon clitoris, très favorable à ce traitement, à sentir son bassin onduler en cadence contre mon ventre, son sexe devenait mien, et je m’habituais à sa présence. Ses pectoraux tournoyaient mes seins et ces derniers devenaient de plus en plus sensibles, presque douloureux. Mon corps réagissait inexorablement à ces contacts, à ce destin. Il émanait chez de lui un magnétisme indéniable, Je sentais la sueur dégouliner entre ma poitrine. J’avais dansée avec de nombreux cavaliers depuis que j’étais avec mon homme, mais pour la plupart étaient des amis, il n’y avait aucune ambigüité même s’il y avait parfois des effleurements. La situation était totalement différente ce soir, car cet homme, je ne le connaissais pas, et les évènements de la journée tendaient à penser qu’il avait une attirance pour moi, mes sensations à son égard n’étaient plus les mêmes. Un coup d’œil vers Phil m’indiquais qu’il était tranquillement installé sur son siège et nous regardait danser, tel un spectateur, qui se détendait en regardant son épouse, tentant tant bien que mal de faire bonne figure. Si les débuts étaient hésitants, sa femme s’en sortait plutôt bien, elle laissait le cavalier guider ses pas. De son poste d’observation, il pouvait certainement voir les mains de l’homme sur mon corps, c’était assez « collé-serré, » danse très sensuelle. Il ne percevait pas la poitrine de sa femme contre le torse de son cavalier, mais n’était pas ignorant sur l’absence de sous-vêtements, l’échancrure de ma robe ne laissait aucun doute sur le sujet.
Lui prenait de l’assurance et le couple que nous formions tournait de plus en plus. Sur la piste, heureusement bien occupée par tous ces couples qui nous imitaient à la seul différance de leur sagesse. Sans aucun doute, maintenant la main de l’homme s’aventurait sur mes fesses. De sont regard émanait la fougue, le désir, la frustration, la situation devenait terriblement torride, je sentais mon sexe s’humidifié sans légèreté, et mon cœur s’accélérait. La chaleur devenait étouffante, Phil me dit plus tard avoir été hypnotisé par le couple que formaient sa femme et le beau Black, le mélange blanc et noir : C’est terriblement érotique !
La main se fît un peu insinuante sur un de mes lobes. Je sursautais une nouvelle fois, ce qui eut pour effet cette fois-ci de me coller encore plus a lui, à ne trop sentir le membre bandé sous les fins tissus qui nous séparaient. Tout mon corps était écrasé contre lui, l’odeur enivrante m’embrouillait les sens, j’avais beau vouloir, mais ne résistais plus à mon inconstance, la chaleur montait en moi, rien n’y faisait, Diop sentait bien que je lui cédais. Les pointes de mes seins étaient arquées à l’extrême, mon intérieur était volcanique, la douce moiteur envahissait inexorablement mon bas-ventre, mes cuisses… Ma dérobassions n’était plus d’actualité, je me serrais maintenant de lui, encore plus, en dansant les jambes légèrement plus écartées. À moins d'être nus, nous ne pouvions pas être plus collés l'un à l'autre, les frottements écartaient mes lèvres gonflées, j'aimais ça, je mouillais. L’objet de mes convoitises était déformé, ferme et épais à mon contact, je le masturbais avec mon corps. Le fait que son pantalon soit sûrement taché m'amusait même et me stimulais, des frissons remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je forçais une dernière fois ma raison à reprendre le contrôle des évènements, avant le un peu trop tard, tentait de m’écarter un peu de lui, mais le rythme de la musique ne me le permettait pas. Mon dos était parcouru sur toute la largeur, dans toute sa hauteur en un va et vient incessant par une gauche insistante qui flânait avec une prédilection particulière sur ma croupe. Des doigts glissèrent le long de mon corps pour aller prendre mon sein gauche fermement, ce geste fantasmatique déclencha en moi l’irrémédiable, ne put que peut contenir un gémissement de plaisir et laissais ma tête basculer en arrière, dans un état de total abandon. De deux de ces doigts il emprisonna au travers du lin un de mes tétons, la jouissance me submergea, me faisant lâcher un cri d’extase. Ma tête posée dans son cou, je fus terrassée par un orgasme d’une rare intensité, il n’en relâcha pas l’étreinte pour autant, et soutint le rythme de cette caresse de telle sorte que la jouissance de moi, sa partenaire dura plusieurs dizaines de secondes.
Le morceau prit fin, Je pus enfin m’écarter tandis qu’une séance de pop commençait, le remerciais d’une façon délicate, lui déposais un bisou appuyé proche des commissures de ces lèvres, je rejoignais mon mari…
Phil avait sur son visage, tout le trouble qu’il avait ressentit pour moi, cela décupla encore plus ma satisfaction, c’est un cérébral, sa libido se nourris de nombreux fantasmes qu’il pouvait réaliser avec moi, sa femme et, à un moment précis, son imagination entrait en action. Dans son esprit, je l’imaginais bien, cet succession d’images plus torrides les unes que les autres, voir d’autres mains que les siennes sur le corps de sa belle, des bouches se mêler, des corps se fondre l’un en l’autre… De son propre aveux, au début, je ne faisait que simuler le fait de penser qu’un autre homme que lui, puisse me toucher, me caresser, et me faire l’amour, mais forcée est de constater que son travail psychologique, de longue haleine sur mon psychique, m’avaient, petit à petit amenée à apprécier cette situation, et j’avais réellement s’imaginer tout d’abord, puis à jouir de l’idée de penser qu’un autre homme me possédait et me prenait bel et bien la chatte. J’avais encore du mal à me dire d’avoir envie de baiser, avoir envie de jouir avec un autre mais avec lui.
Nos sourires en disait long, nos mains se serrais, il se repositionnait sur son siège tant son érection devait était importante, je savais qu’il ne pourrait pas se lever tout de suite.
Ce deuxième soir, je laissais en toute conscience, les lumières allumer pour lentement me dévêtir, mon homme se colla à moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches. Ses mains prirent possession de mon corps, vinrent me soulever de terre, pour me poser sur la table. Je sentais contre mon sexe bafoué de liqueur, le contact de sa virilité. Je soufflais, mes deux mains plaquées contre son dos, m’agrippais à lui. Tendre nos lèvres pour accueillir nos langues avides de gourmandise. Je tremblais de tout mon corps tant le désir me tenaillait. L’idée d’avoir un spectateur me tenaillait. Du plus profond de mon ventre semblaient s’écouler des flots bouillonnants. Il se planta en moi avec force, brutalité, je sentais mon sexe accueillir avec joie la violence cette pénétration. Il resta figé en moi quelques secondes, rentré de tout son long. Puis commença des va-et-vient de plus en plus forts, les ondes de plaisir me transpercèrent de partout. Il me posséda avec une bestialité qui ne lui était pas coutumière, cela décupla encore mon plaisir, je sentais la puissance de ses coups de reins me pourfendre au plus profond de mon vagin.
Je n’étais plus que plaisir, ne pensait plus, subissait les assauts de mon homme en criant comme ne l’avoir jamais fait. L’orgasme me balaya seulement au bout de quelques secondes, mon corps se contracta dans son intégralité tandis qu’il continuait de me besogner comme un fou. J’ouvrais la bouche pour crier, mais il m’était impossible d’émettre le moindre son tant l’air me manquait, je n’étais que poupée désarticulée en proie au plaisir le plus dévastateur. Sa queue se contracta, son sperme jaillit frappant ma matrice avec force. Il cria son plaisir tandis que ses coups de boutoir devenaient de moins en moins puissants. Il me transporta sur le lit, délicatement, amoureusement, il était toujours en moi, l’orgasme avait été puissant. Ses lèvres me touchèrent le front, le cou, puis l’entendit murmurer un de ces je t’aime profonds…
Le sommeil balaya toutes pensées conscientes.
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Les rayons du soleil filtraient encore très bas entre les rideaux entrouverts, je m’étirais ébouriffée et encore toute endormie, Phil lui, était déjà partit très tôt, à quatre heures du matin pour sa journée plongées sous marines.
Je n’avais pas besoin de regarder le réveil pour connaitre l’heure, depuis plusieurs années à se réveiller toujours à cette heure précise. Parfois, je me rendormais, parfois non, j’aimais ce moment de sérénité du levé ou la somnolence est présente, le temps que les brumes s’effacent, prendre la réflexion de se remémorer la journée, plus précisément, la soirée d’hier…
L’intensité du souvenir était bien là, de mes étreintes, de mes envies cela s’imposait naturellement. Ma mangue était engluée de trop de sécrétion pour ne pas avoir oubliée, je n’avais que rarement jouie de cette telle intensité, la situation avait été pour moi chargée d’une forte énergie érotique, d’une telle électricité. L’attitude de Diop avait été pour beaucoup, en tous bon male, il avait aussi senti en moi l’excitation incroyable. Le moment avait été pour nous trois, plutôt terriblement érotique. Dans les yeux de mon homme, les questions fusaient, son épouse le surprenait, de quoi serais-je capable, de plus…? Parfois je me posais moi même la question, à ne trop savoir mes propres limites…
Quelques bribes d’images de cette folle soirée sensuelle me revenaient, l’état extasiée dans lequel je m’étais trouvée m’avait transportée dans ce véritables déluge successif et puissant qu’il m’avait laissée sans force. La vision de ce black, de nos actes, de cette verge nullement ordinaire, à l’imaginer certainement rougie au feu pour faire hurler la gente que je représentais, style de femelle dévorée par le désir. Et moi ça me faisait planer à en être tombée éperdue, l’érotisme cérébral en fonction, il m’avait laissée pantelante et bien seule avec au coeur de mon triangle de Vénus, ma vallée ruisselante était le début de fournaise incommensurable.
La mise hors service de mes défenses naturel avait malgré tous laissée la culpabilité s’insinuer lentement dans mon esprit, j’étais tout à fait consciente que la réaction était normale, mais j’avais l’impression d’avoir fait quand bien même, quelque chose de mal. Le fait de savoir mon mari complice, instigateur même, dans les évènements déroulés et futurs me soulageait la conscience…
Ne pouvant empêcher mon esprit de revivre la danse, sa façon de se mouvoir, sa légèreté, son regard, son torse, sa virilité, sa grosse queue… Attirance et rejet planait, la peur ou l’envie, mon esprit vagabondais m’opposant à l’affirmation…
Mes doigts compensaient cette curieuse défaillance de la nature par des caresses manuelles de plus en plus intenses sur mon ventre, ils aidaient au déclenchement de longues ondes de plaisirs dans tout mon corps. Pour leur faciliter la tache j’écartais les cuisses, repoussais les drap à mes pied, la caresse était lascive, partait du creux du genou et remontait, le gardiennage de mes nymphes étaient leurs seuls but, elles faisaient comme si elles attendaient patiemment que les prémices du soleil aident à les faire épanouir, les défripes pour les déployer chuintant comme les ailes d'un papillon ; avant de se fixer sur mon clito que je savait titiller mieux que personne. Au dessus, une peu coincé entre les deux flanques rondes de mes attouchements, le manchon de peau plus sombre, qui enveloppe et cache celui qu'on appelle bouton, bourgeon, et même clitoris, devenue tigelle à force de désir. Je le tournoyais, le frottais sur toute sa petite longueur, pour le tendre, le durcir, le faire émerger des plis trempés. Lorsqu’il eu pris assez d’ampleur à la rectitude désirée, je le coinçait entre le pouce et l’index et le masturbait délicatement comme un pénis. J’attendais la première jouissance, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte… Mes doigts libres venaient à la rescousse, d’abord l’index, puis le majeur, puis l’annulaire. Les trois étaient serrés les uns contre les autres, se faisant colonisateur. J’imaginais ainsi le sexe développé et tendu de mon hypothétique partenaire. D’un mouvement adroit du poignet, je passais de longues et délicieuses minutes de plaisirs solitaires, sans débandades ni amollissements. Quand je le désirais, je pouvais les plonger directement dans ma cramouille, pour aller fouiller, aussi loin que le souhait le désirait, aussi longtemps que je le pouvais, donner un mouvements lents et rapides, profonds ou superficiels, tournants ou non et déclencher une, puis deux, puis trois, puis … Je me l’avouait, au-delà de trois, je ne pouvait plus compter les orgasmes, tant j’aimais ainsi ce plaisir, j’allais bien au-delà des limites du raisonnable. Il fallait se rendre à l’évidence, cet homme provoquait chez moi des sensations physiques très puissantes. Les draps étaient rabattus, mes cuisses étaient écartées à outrance, mes doigts et ma moule, engluées de temps de mélange de sève marécageux dont les gargouillis augmentaient encore la volonté de me faire jouir, mes bourgeons étaient tétanisés vers le plafond… Et cet ombre devant la baie sur la terrasse… Cette forme irréelle qui souriait pleine dent, un panier à la main… Ma réaction fut fossilisée et se fît réactive à la fois, en quelque poussière de seconde, la panique me gagna, rabattre, me couvrir, comprendre… L’homme entra sans me laisser le temps de bouger, l’image était irréelle, il s’excusa dans un sourire peu commun, ouvrit les rideaux en grand, pour me faire découvrir le petit déjeuné qu’il avait dressé pour moi en terrasse, commande de votre mari, me dit-il. Je crois ne pas lui avoir dit autre mot qu’un merci à peine audible, tant la honte m’avait submergée… Qu’avait-il vu…? Depuis combien de temps sa présence…?
La vision à son détour de la déformation sous la ceinture ne me fît guère d’illusion. Il me laissa dans cette situation désespérée de paradis perdu…

J’étais assez fatiguée, je m’autorisais un complément de nuit sur le hamac, abritée par les palmiers.

Valphil.

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#1231270
Un vrai délice, et ces expressions très féminines :
"Ma mangue engluée..." on en mangerait ...
"...bien seule avec au coeur de mon triangle de Vénus, ma vallée ruisselante était le début de fournaise incommensurable." :oops: :oops: Chaud bouillant devant ! :oops: :oops:
"clitoris, devenue tigelle à force de désir" :oops: :oops: :oops:

Et cette chute!
J'adore ça, lorsque la situation dérape au détour d'un virage et que madame se retrouve en situation embarrassante, comme un voyeur inattendu, un coup de vent, une porte mal fermée, une caméra laissée allumée, un téléphone mal raccroché, etc...

Bon et bien tout ça n'incite pas à laisser tomber la lecture et ...
"Tous les détecteurs sont au vert Capitaine! Nous attendons la parution de la suite pour faire feu !"
#1233238
En fin d’après midi, mon homme voulu s’occupé de vider son numérique, de sa journée sur notre ordinateur portable, j'en profitais pour aller, un paréo autour de la taille, me rafraichir dans le local à cette usage. Nous n’avions pas de sanitaire dans notre case, ils étaient communs, cela me dérangeait pas outre mesure, car depuis notre arrivée, je n’y avais jamais rencontrée quelqu’un, et puis la propreté de ceux-ci était telle que cela tombais de bon sens, la seule chose un peu dérangeante était le manque de porte intérieure, style douche commune et la musique des Djembés un peu répétitives…
J’ouvrais la porte du local, mon regard se portât tous de suite sur l’ombre noir déjà présente, je me figeais sans pouvoir dire quoi que ce soit. Un grand black, magnifique se tenait devant moi, à ma venue, Diop me décrocha un large sourire de satisfaction auquel je répondais dont le replis au coin des lèvres était celui de la séductrice, mes yeux devaient sortir presque de mes orbites à le voir une nouvelle fois nu… Je le détaillait le plus discrètement possible, des pieds à la tête avec des arrêts, fréquents et longs comme des clichés, sur son torse, son sexe couvert de mousse de savon. Le sentir exhibée de la sorte devant moi, me procurait quelque chose... Mon cœur battait la chamade, le destin en avait décidé ainsi.
J’aurais pariée que, s’il n’avait pas été black, il aurait rougi à ce moment-là.
Sur l’entrefaite, je ne me démontais pas, laissais glisser au sol mon paréo d’un geste de séduction innocente, la sensation de l'eau douce qui ruisselait sur mon corps me liquéfiait de douceur, je me savonnais les cheveux, appliquais avec soins le shampoing et masque réparateur, tirais sur la chaine une nouvelle fois pour libérer l’eau pour de me rincer.
Je pivotais légèrement, le spectacle de ma nudité me gênait, un peu, même de nos pratiques naturistes, le protagoniste le comprit et me fit remarquer dans un grand sourire qu'il en savait assez de mon corps après les shows offerts les soirs précédents, et me parla d’égalité… Il n’avait pas tort. La boîte de Pandore était ouverte, je me sentais submergée bien malgré moi, cette fascination physique me tiraillait depuis cette dance avec ce mâle à la peau d'ébène, il dégageait une virilité hors normes, la sphère brulante commençait à me turlupiner le ventre de manière régulière…
Devant moi, entre ses jambes, cette grosse mandibule, je devais me l’avouer à moi même, son sexe ne me déplaisais pas, et même s’il n’était que moyennement excité, les veines élargies et le tous surmontée du gros gland circoncis gonflé à bloc me faisaient apprécier ce joli cadeau de la nature. Il pointait entre le sol et moi, mon souffle c’était accéléré dans un merveilleux trouble, de leur saillance mes tétons abandonnaient leur pudeurs, de mon bas ventre, la machine s’emballait, je n’avais plus aucune morale, juste une terrible envie qu’il me fasse l’amour, même mieux, dans ma tête le mot … baise ... tournait en boucle. Il s’aperçu de mon trouble, ressentait mes perceptions les plus intimes. Sans prononcer un mot, il s’approcha de moi, m’attira doucement contre lui. Mon corps fut happé par le sien, il en épousa toutes les formes tant je me collais à lui, à sentir l’exquise et langoureuse sensation, le délice qui se mêlait d’une excitation plus concrète quand le sexe entre ses jambes fût sous pression de la caresse de nos corps. Je m’abandonnais totalement et je sentais ses mains se promener partout sur moi, cela me remplissais d’extase. Sa bouche chercha la mienne et nous échangeâmes un baiser langoureux. Je frissonnais de partout et un ronronnement sourd sortit de ma gorge, à trop sentir sa langue douce et dure à la fois chercher la mienne, nous buvions nos salive. Ses mains parcouraient délicatement ma poitrine décrivant mes troublantes collines et leur parfaite adéquation avec la forme de ses grosses mains. La perfection anatomique sur laquelle j’hésitais en temps normal à poser les mains mais je succombais à la violence de mes envies. J’aurais pus me damner, j’aurais pus me faire putain, soumise ou insoumise, angélique ou diabolique, juste à sa convenance. Je ne m’étais jamais autant intéressée à cette partie d’une anatomie, de la sentir si chaudes, si fortes, si … volubiles, je savais d’emblée que tout ce qu’elle allait m’offrir allait me plaire, me faire chavirer, m’ensorceler.
Mon ventre se rétractait sous l’effet caressantes de ses doigts, ils frôlèrent mon clitoris très réactif, me laissais griser par ses touchés infimes, me sentant écarter puissamment les cuisses pour atteindre mon intimité déjà inondée, bafouée comme jamais de ses tentacules qu’il introduisait en moi une à une. Il me soulevait avec force en me doigtant profondément et me regardait me cambrer tout en me plaquant contre lui. Ma main ce faisait couple avec la sienne entre mes cuisses ouvertes, et tout en relevant une jambe, je l’invitais en appuyant la sienne à me fouiller plus encore. Mon regard plongé dans le sien, je me déhanchais, m’appliquant à faire aller et venir ses doigts au nombre de trois dans ma chatte dégoulinante de cyprin… J’ai senti, alors, venir un spasme qui me secouait entièrement, je ne pouvais plus contrôler mes tremblements. Sa langue redevenait active m’invitant à ce doux dialogue sensuel, un feulement sauvage sortit de ma gorge, je m’enfuyais de ma tête dans le creux de son épaule. Un éclair m’aveugla, et je fus foudroyée par un terrible orgasme.
Il me prit la main et la posa sur ce sexe brulant, mon cœur battait le rappel, la situation était irréelle, je ne peux m’empêcher de rigoler. Mais je ne sais toujours pas si je rigolais parce que j’étais contente ou si c’était la peur. La colonne de chair avait prit une autre dimension et c’était faite frémissante, son bassin entamait un vas et viens lent au creux de ma paume, je serrais un peu plus la prise... Il coulissait de son oblique, sa peau était soyeuse. Sous l’impulsion d’un démon intérieur qui rivalisait avec l’ange, je me suis agenouillée, sans jamais perdre le contact avec l’intéressé, jusqu’à ce que ma tête soit à hauteur de celle-ci, tendue, tous s’accéléraient dans mon esprit, l’excitation devenait trop intense, les désirs devenaient incontrôlables. Je me lançai, je voulais oser… J’approchais ma bouche, soufflais le chaud et le froid à l’orée de son gland, mes lèvres prenaient contact avec le vît turgescent, ma langue sortait de son fourreau, se posait sur la masculinité couleur sombre, remontait à son contact doucement, le liquide gluant et acre se mettait à couler dans ma bouche. Je déposaient des baisé furtif, l’inclinais à la verticale, lui ponctionnais le frein, m’enroulais sur le pourtour du phallus. Le goût, l’odeur épicée, m’enivraient, le truc phénoménal qui vous tourne la tête... Mes coups de langue se firent plus appuyé, l’engloutissais dans ma bouche, les lèvres resserrées autour par obligation, le suçotais, l’entrait un peu plus, gagnais encore quelques millimètre profilant la déformation de mes joues, sans parvenir ou d’avoir l’espérance de la prendre tout entier, il buttait déjà contre mes Amygdales palatines, alors que les deux tiers restaient à la porte. Je l’aspirais doucement, créais des sous vides profond en faisant des bruits de succion, titillais son méat de la pointe de ma langue. Je n’avais pas beaucoup d’expérience dans cette taille mais j’aimais ça et je trouvais peu à peu comment le rendre dingue. Je me mettais à frotter sa queue humide sur mon visage, j’avais envie de la sentir partout sur moi. Des gouttes filandreuses de son liquide séminal transparent émanaient de son méat, mes lèvres enduites créaient l’union de nos deux corps par des fils suspendus entre ma bouche et sa queue. Il me parcourait de ses doigts sans relâche, titillait mes bouts devenus ultra-sensibles, ma cavité était submergée par les flots, je sentais des émissions de cyprine discontinues, mes doigts s’entretenaient dès lors avec ma fente, jouaient avec mes lèvres devenues charnues et gonflées d’excitation, je me titillais le bourgeon en ondulant mes fesses, sans pudeur, j’avais perdu toute forme de préjuger, l’envie était trop forte… Je nous branlais … ma langue s’agitait psychiquement sur son dar. Je me lâchais complètement, me laissais aller au plaisir total sans plus me poser de questions. J’aimais vraiment ça, ces yeux étaient expressifs, brillaient même. Le rythme commençait à augmenter, nos respirations se sont faites plus courts et nos gémissements plus intenses… Je commençais à frétiller quand il me relevait, j’émettais une exclamation de déception, mais restais focalisée sur sa verge, j’avais l’inconscience d’associer ces dimensions affolantes de cet objet à mon sexe, j’allais sans demi-mesure être comblée...
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L’évocation de nos existences devaient avoir quelque chose de rassurant. Le fait d’exorciser nos insuffisances, nos pléthores ou la banalité de nos existences respectives nous mettaient en confiance et représentaient finalement de très agréables préliminaires. Après être entrés tambour battant dans une joute érotique sans suites, nous partageons l’apaisement d’une lente découverte, à un rythme qui me correspondaient mieux.

Il déposa sa longue et épaisse serviette de bain au sol, m’invita à m’y déposer, commença à écarter doucement mes globes fessiers, puis se pencha pour me lécher doucement l’intérieur des cuisses, insistant bien sur le pourtour de ma fente, sa longue langue me titilla longuement. Ses doigts, au fur et à mesure, préparaient l’ouverture fragile de mon intimité, s’avançaient en faisant des ronds, de plus en plus loin. Je me tenais sur les coudes, les poings ramenés sous mes hanches, j’attendais mon sort. Mon bassin était offert aux manipulations douces et légères de mon amant, son habileté à me frôler, à palper, à caresser les zones les plus sensibles de mon anatomie démontrait une parfaite maîtrise des préliminaires amoureux, il plongeait en apnée et me démenait comme une belle diablesse, stimulée par cette longue et fine langue intimes.
J’avais de la peine de mes Mille questions qui m’envahissaient l’esprit en quelques secondes. Je pensais alors "fonce, Val, fonce, obéis à tes pulsions et ne te pose pas de questions !", je tremblais, beaucoup d’impatience, et aussi, beaucoup d’inquiétude, de craintes doublements fondées... Si je n’avais pas été plus que pur désir, je n’aurais pas pu concevoir cette suite…à trop bien jauger ce membre dont j’avait rêvé dans mes fantasmes.
Au-delà de la baise, au-delà de l’amour, au-delà de tout ce qui n’étais pas mélange des corps et des âmes, il glissait sur moi, brulante, frémissante, tout se passa alors très vite, instinctivement nous allions nous emboîter, je le savais, nos ventres se serraient l’un contre l’autre, nos cœurs battaient le rassemblement. Les plus infimes crispations de l’un faisaient déferler de voluptueuses vagues en l’autre. La moindres envies correspondaient à de langoureuses caresses qui décollaient nos pulsions à des vitesses vertigineuses.
Je le sentais se poser sur mes lèvres intimes, le bout massif du pénis coulissait de tous son long, se frottait contre mes lèvres ouvertes une nouvelle fois par ce contact, il se couvrait de mon fluides intimes. Effectuait des petites rotations pour agrandir l’entrée. Collait son prépuce à l’entrée de ma grotte et par petits coups de reins, s’inséra en moi avec de plus en plus de véhémence. Passant le renflement, il savait détecter quand le coup de rein était trop brutal et me faisait mal, je jappais à chaque fois. Son sexe écartait mes chairs génitales, exposait ma vulve dans l’indécence, millimètre par millimètre, finissait par conquérir mes entrailles entières. Aucun mouvement n’était plus possible sans bouger sa centaine de kilos, j’étais embrochée, j’étais pleine. Il me laissait patiemment m’adapter à sa présence, m’habituer à cette pénétration hors norme, mon corps n’en finissait pas de se détendre. Il me gratifia de petit coups de reins de plus en plus amples, ressortait lentement, presque totalement, dévoilait sa queue couverte d’écume avant de pousser à nouveau pour me remplir. Il serrait mes hanches dans l’étau de ses mains en me faisant subir ses coups de reins comme une frêle génisse sous les assauts d’un taureau. De temps en temps, me malaxait les seins et me déformait les pointes, se mettait à jouer avec mes anneaux mammaires… Je ne pouvais que subir, toute haletante, la vulve à la forme du phallus profondément enfoncé en moi, j’étais arrimée autour de laquelle j’avais bâtit de nombreux scenarios, harponnés comme je ne l’avais encore jamais vécu avec aucun autre, recherchant régulièrement mon air lorsque les houles du plaisir étaient plus violente. Je lui ai dit à un quelque chose comme " Baise-moi "… Des mots forts et évoquant, il me traversait de toute sa longueur, se retirait une fois de plus, avant que l’orifice ait le temps de se refermer, s’engouffra une nouvelle fois dans mes entrailles, puis ses hanches claquaient contre le bas de mes fesses tant mes jambes étaient remontées, mes seins qui ballottaient au rythme de ses coups de boutoir, j’hurlais à qui voulait entendre des obscénités, la respiration en cascade, je fermais les yeux, transportée par la violence des coïts. Une brulure plus qu’une chaleur se propageait dans mon ventre, au fond de mon vagin. Je luttais pour ouvrir mes yeux pour voir le visage de cet homme qui me sautait maintenant sans ménagement. Je poussais des cris involontaires tellement l’effet était violent, les gens dehors devaient m’entendre mais je ne pouvais plus retenir mes expressions, je défaillais, le raz de marée cérébrale m’emmenait une nouvelle fois vers ces plaisirs inconnus…
Lorsque je repris conscience, mon visage décomposé par le désir, je croisais le regard de Diop, ses grands yeux noirs reflétaient à la fois la satisfaction du mâle et le désir d’en faire plus. Jamais je n’aurais cru que le simple contact immobile de nos muqueuses intimes me procurèrent une jouissance bien supérieure à des doigts ou un membre viril, de longs élancements de plaisir irradiaient mon corps en permanence.
Il ne me semblait pas avoir joui, son sexe opérait juste des contractions. J’avais ce fruit interdit dans le ventre et pas la moindre envie de la laisser filer même si j’imposai un instant de répit, histoire de récupérer. Il se remettait en branle presqu’aussitôt. Je n’ai pas le souvenir que son sexe ait moindrement faibli. Au contraire… J’étais médusée, époustouflée. Je renonçai à contrôler quoi que ce soit et m’abandonnai dans ses bras. C’était beaucoup plus agréable de se laisser porter, j’étais plus disponible, plus à l’écoute de mon plaisir. Mon sexe n’était plus qu’un amas de chairs tuméfiées et ultrasensibles d’avoir été pilonnés par ce colosse multicolore et pourtant, j’en voulais encore… Je ne saurais dire pendant combien de temps il m’a limée et le nombre de spasmes qui m’ont ébranlée, la cyprin débordait de ma fente crémeuse, coulait à l’intérieur de mes fesse pour finir sur le carrelage blanc du sol. Une fois de plus, j’étais tétanisée par l’orgasme qui me foudroyait alors que je le sentais s’extraire de mon con dans un bruit outrageant, le gland turgescent, violet de m’avoir pilonnée ainsi, et commença à se masturber face à moi. Je voyais sa bite de plus en plus grosse, il se branlait de ces deux mains, le chibre pointé vers moi, moi qui tressautais toujours comme une carpe hors de l’eau, bouche ouverte, complètement déboussolée. Le gros membre secoué de spasmes expulsa plusieurs jets de sperme qui se succédèrent, l’éjaculation était plus que copieuse, le premier geyser avait traversé mon visage s’octroyant un droit de passage entre mes dents, une certaine petite quantité sur la langue, je goutais cette liqueur salée bien malgré moi, surprise même de cette réactivité à me voir me lécher le contour de mes lèvres. Il en avait nappé mes seins, dessinant un sophistiqué collier de perles, je m’en servais pour me les masser, avec un certain plaisir de réussite, l’accompagnant de visu de sa déchéance victorieuse.

Nous sommes restés plusieurs minutes ainsi, sans rien se dire, à écouter nos cœurs en train de ralentir, nos excitations revenir dans cette zone grise qui sépare la neutralité des émotions de l’ivresse et de la folie.
Après une nouvelle douche, nous nous sommes quittés sans un mot, tous juste un bisou de la main, mais je savais mon envie pour lui … A l’apogée de ce récit à mon homme, je ne lui ai pas fais l’amour, mon état ne me le permettait pas, le l’ai sucé longuement un de mes doigts posé sur mon clitoris, à revivre de mes pensées, les instants forts passé avec le Minautore. Ce soir là, j’ai dégustée entièrement sa liqueur avec effervescence, comme pour mieux me laver d’un déshonneur vis à vis de lui… Je l’aime tellement.
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Le lendemain, nous sommes partie en excursion, qui semblait nous privilégier exclusivement, la Casamance pour deux jours, la surprise venait de l’investigation de mon homme. Néanmoins je me rappelais des propos de Diop sur la plage…
Phil avait été conseillé par un guide, Yanguélé, quand celui-ci c’est présenté à nous, j’eu l’impression étrange de le connaître, nous nous sommes installées dans le Range Rover.
Au bout de vingt minutes nous nous sommes arrêtées à Fadioud, mon mari était tous sourire, j’ai su pourquoi quand j’ai vu arriver Diop…
La destination était Bissakal proche foret de Mangarougou, le voyage fût long, les pistes difficile, rien ne se passa de spéciale, hormis la scrutation des yeux dans leurs rétroviseurs respectifs…
Pendant le trajet, Diop nous présentait notre chauffeur comme étant son frère, et à un moment propice, il me demanda si le petit déjeuner que m’avait apporté son frère deux jours plus tôt, avait été agréable pour moi… Une nouvelle fois la rougeur de mes joues me gagna.
A la tombée de la nuit nous avons débouché sur une grande clairière, contenant en tout trois grandes huttes et plusieurs petites, des enfants, nombreux, étaient groupés derrière leurs parents manifestement l’ambiance était de fêtes, les femmes étaient seins nues. Deux hommes se détachèrent, leurs corps étaient couverts de cicatrices formant plus ou moins des dessins, simplement recouvert au niveau du sexe d’une sorte de pagne. Ils nous dévisageaient des pieds à la tête. Après quelques palabres en Bassari avec Diop, des salutations d’usage nous ont été adressés, Diop nous présenta au chef et au sorcier-guérisseur, nous étions les bienvenus.
Notre hébergement était commun, une immense paillote, notre sac nous y attendais déjà, stocké à l’abri de l’humidité, sans trop d'intimité, homme et femme vivaient dans la même pièce, seuls les plus grands enfants et les anciens vivaient à part, d’autres cases était réservée aux notables de la tribu, comme le chef et le sorcier. La hutte était faiblement éclairé par l’éclat d’une lanternes à pétrole, un coin de la cabane nous avait été attribué, nous étions tous épuisées, mon mari et nos deux accompagnants se sont mis nue, me dévoilant sans aucune gène leurs longs attributs paisibles, j’ai fais de même, accompagné d’une petite toilette à la lingette et enfilée le pagne sénégalais que j’avais acheté sur un des marchés locales. Nous nous sommes tous allonger sur des nattes épaisses, mon homme et moi l’un contre l’autre.
Durant la nuit j’ai été réveillée par d’horribles démangeaisons, sans parler des nombreuses piqures sur le corps, ici les produits européens sont nuls… Une jeune femme au sourire agréable, aux yeux de chocolats, totalement nue, s’approcha de moi en silence, elle me regarda les bras, le corps comme pour constater les dégâts, et me fit signe de la suivre… Dans un recoin dissimulé de nos yeux, elle me désigna une couche sans luxe ostentatoire mais propre, me fit comprendre d’enlever mon pagne, s’absentait un instant pour revenir une écuelle en bois à la main, remplie d’un liquide translucide et gluant, elle s’agenouilla à mes coté. Ses mains agiles mon enduites de cette potion parfumée, rapidement les douleurs des piqures s’estompèrent les unes après les autres, l’odeur m'envahissait sans méandre, une sorte de mélange de gingembre et de jasmin… Le vrai bonheur d’autant plus qu’elle continuait à me masser en me parcourant la peau du dos qui frémissait à son contact, me caressait plus qu’elle ne me massait des pieds à la tête, ses doigts voltigeaient et une douce chaleur montait en moi. De temps en temps, les mains débordaient à la périphérie de mes zones érogènes, générant une vague de frissons qui perlait la peau de mille picotements érotiques. Elle glissait inlassablement sur ma peau, me touchait les épaules, le dos, descendait jusqu’à mes fesses qu’elle prenait de ses deux mains, effleurait doucement, les écartaient et les rassemblaient. Puis me fît mettre sur le dos, et recommença le même traitement, n’épargna pas mes seins qui s’érigèrent rapidement gagnés par l’action du réchauffement. Je sentais ses paumes sur mes tétons érigés, ses doigts se saisissaient de la partie charnue, emprisonnaient fermement les galbes fermes et arrondis. Ecartait mes cuisses d’une petite autorité, et s’aventurait à l’intérieur, chaque passage se faisait plus approchant, effleurait mon trésor à quelques millimètres et d'une diabolique habilitée, c'était insensé, excitant, gênant, avec une facilité déconcertante...
Bien malgré moi, l’émoi montait maintenant dans ma vallée, l’humides se faisait sentir dans mon fort intérieure, elle me regardait dans les yeux avec insistance, l’avait peut être décelée, le sourire aux lèvres de mes réactions instinctives, remontait sur mon bas ventre. Je sentais alors la potion liquide couler sur mes aines, par l’attraction terrestre mon intimité se nappa de cette gelée, glissant sur mon clitoris, la chaleur fût presque immédiate, mes souffles heurtés soulignaient l’âpreté de l’ascension sans soupçons et d’avertissement. Sans que je puisse le prévoir, un maelström de sensations, de petits orgasmes d’une frénésie inattendue me transperçaient, l’éclatement en apothéose dans des contractions violentes. Elle posa ses doigts, écarta une à une mes lèvres, glissa un doigt à l’entré de mon puits d’amour, s’insinuait maintenant un doigt à la périphérie de la vulve. Je la sentais brûlante et gonflée, à son introduction, je souffletais, le dos arque bouté, ne pouvait pas me retenir de faire onduler mon bassin à chacun de ses gestes, j’étais dans un état semi-fébrile. Je pouvais entendre distinctement l'incroyable bruit de succion de ses doigts encastré dans ma chatte, j’avais la sensation qu'une langue de feu remplissait tout mon con. C’était une chose envahissante, mon tréfonds était ondulant, les parois de ma grotte se mettaient à ruisseler de plaisir, noyant mes entrailles de leurs propres jets brûlants, enveloppaient la tige de douceur et la rendait apesanteur. Prises de sensations sublimes qui traversaient mon corps, l’agitation
dans mon fourreau intime me forçaient à m’ouvrir outrageusement, mes reins s'enflammaient. Sous l'empire de la caresse et de cette lotion, la petite tête rose et brillante de ma rose émoustillée s’était érigée comme jamais d’entre mes plis de chairs. Je poussais des soupirs, suivit de près par de léger cri, ne parvenant presque plus à respirer… Ma matrice ce contractait continuellement, les palpitations, les contractions étaient permanentes, je n’en pouvais plus, éreintée, je m’effondrais sur ma couche… Pour moi le pire c’était cette contemplation du plaisir de l’autre dans son regard comme pour fouiller le plus profond de mon âme livrée à ses yeux …

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Le jour suivant, nous passions une grande partie de celle-ci dans des pistes caillouteuses et de terre rouge, nous arrêtant régulièrement afin de prendre des photos doté d’un zoom ultra puissant afin de fixer l’émerveillement de nos yeux. Nos sahariennes prirent la couleur de la terre rouge et celle-ci envahissait peu à peu le Range, nous n’avions pas de climatisation, nous roulions toutes glaces baissées afin d’aérer au maximum l’habitacle surchauffé. Diop était assis devant à la place du passager à la place du chauffeur, son frère, moi j’étais avec mon homme à l’arrière, tantôt côté portière tantôt au milieu de la banquète arrière, celle–ci était surélevée pour une meilleure vision.
Diop occupait la conversation de façon très volubile, ponctuée de rires sonores en se tapant sur les cuisses de son chapeau de brousse, Phil n’était pas dupe de la situation et nous étions sans équivoque en phase… Il me poussait de ces encouragements à m’aventurer plus encore.
Diop de ses yeux me fixaient régulièrement, le rétroviseur intérieur passager braqué sur mon corps de saharienne, sont regard était fait de passion et de désir.
Peu à peu je me faisais complice de jeu, écartais mes jambes, lui dévoilais le dessin de mon abricots reproduit sur le tissus tendu, allant même à glisser mon index dans le sillon, je le provoquais, je nous mettais à l’épreuve de nos fantasmes. Durant toute la journée dès que la situation me le permettait je l’agaçais de ses sens, je sentais parfois les miens durcir de ses appointements. Le bas ventre proéminent de Diop m’avait envoûtée, cette dissemblance avec mon mari ou tout autre homme normalement constitué n’était en rien de jumelé. Je voulais encore m’y abandonner, mais cette fois ci, je voulais qu’il m’invagine la conque, me faire déformer la matrice, je voulais nous donner une occasion que jamais plus, peut-être, nous n’aurions dans notre vie de couple.

Nous sommes rentrée en fin d’après-midi dans la clairière à huttes, ma première volonté fût de me laver de cette pellicule qui me couvrait. Une rencontre bénéfique avec la jeune fille de la nuit précédente, celle que je nommais " la donneuse d’orgasme " agrémenta mon plaisir futur… Elle me demanda de la suivre, m’emmena par un petit chemin entre la végétation, le trajet dura une quinzaine de minutes. J’ai réalisée que nous étions proches lorsque le bruit d’une cascade se fit entendre, la forêt et son ambiance sonore plantaient le décor en arrière plan, mêlé du doux bruit de la rivière ricochant sur les pierres à fleur d'eau, l’apaisement de tout forme de vie y était desservie, le lieux idyllique. Une petite cabane au toit de paille était disposée sur le coté au bord de cette petite retenu d’eau, un bassin translucide était à ces pieds. A l’intérieure de celle-ci, des nattes jonchaient le sol, un pan ouvert donnait sur l’accès à l’eau, à ces pieds, un creusement de pierre polie créé par le temps, la ressemblance forte de nos lavoir du passé, en plus naturel.
Mon accompagnante me désigna un pot qui était censé être du savon, elle voulait me laver, je l’ai remerciée de son dévouement mais l’ai déclinée gentiment, elle m’a laissée d’un joli sourire…
Je me déshabillais rapidement, m’engouffrais progressivement dans l’eau afin que la température de mon corps s’adaptât à la fraîcheur de l’eau et je me suis retrouvée rapidement au pied de la cascade, m’aspergeais de cet éclaboussement délictueux, me savonnais plusieurs fois de cette pate merveilleuse qui semblait me détendre a souhait. Au bout d’un long temps je suis sortie, m’essuyais avec application de ma serviette en coton quand la jeune fille revenue, un autre petit pot de terre entre ces doigts. Elle me fit comprendre de m’allonger sur la natte, elle s’agenouilla comme la nuit dernière, et m’appliqua ce qui ressemblait à une lotion, je craignais de cette situation cette fois ci, étrangement elle ne chercha pas à me faire gagner par l’excitation. L’odeur était agréable, la sensation de bien être me gagna tous entière au point de m’assoupir sans que je puisse m’en apercevoir…
Dans mon rêve immergeait le crépitement de la cascade, mais aussi de la sensation d’une présence, je me réveillais doucement sans savoir ou le rêve c’était arrêté, sur le bord de la berge en face de moi, une forme nue s’érigeait pour se diriger vers moi. Je cherchais à déceler, je ne sais pourquoi, une imperfection dans son physique, c’était impossible. Réussir ce tour de force d’allier l’extrême délicatesse des attaches à des formes pleines et même un peu lourdes. C’était une incarnation parfaite de la masculinité. Courbes et volumes se mariaient dans une harmonie sans défaut, composant un équilibre parfait entre la finesse des membres et l’ampleur de ses pectoraux et de son derrière. Tout en lui transpirait la sensualité à l’état pur de son corps svelte d’un noir immaculé de lumière de gouttelettes reluisant au soleil.
Diop, le male, l’amant s’approchait de moi…
Sans prendre soins de se sécher, il s’allongea en me faisant face de coté, sa main parcourait mon visage, repoussait mes mèches de cheveux, sa bouche se plaquait à la mienne pour y déposer de petits baisers mutins, je soupirais docilement. Nos dents s’entrechoquèrent et sa langue chercha la mienne et la caressa langoureusement. Mon cœur sans control c’était mis à battre la chamade. La sensation de chaleur me gagnait malgré le corps frais qui se plaquait au mien, son sexe me touchait le ventre, ses bourses gonflées effleuraient mes lèvres, les bras se nouèrent, nous savourions l’instant.
Je luttais une dernière fois sur mes fragiles points d’ancrages de mes pensées pragmatiques, je ne savais pas, je ne savais plus, le partage de la peur et du désir...
Lui m’embrassait goulûment, m’écrasais contre lui, déformait mes seins de ses pectoraux. Il descendait ses mains, comme il l’avait fait sur la piste de danse et recommençait à me caresser les hanches. Je me sentais toute chose, une envie de me fondre. Il abandonnait mes lèvres pour pétrir mes petits mamelons durcis par leurs vitalités. Il allait d’une pointe à l’autre, tandis que son dar par de petits mouvements caressait mon ventre. Mes doigts par abdiquassions, se sont posés sur sa chevelure crépue. Sa bouche ponctuait mon épiderme de délicieux baisers, sa langue bandée soulignait mes formes, je me laissais guidée, laissais amplifier en moi la délicatesse d’entre mes cuisses… M’imaginais furtivement la sensation, avec une certaine angoisse, d’un tel engin dans mon vagin étroit… La chaleur qui s’était d’abord concentrée autour de mon clitoris, remontait dans mon ventre, se propageait dans toute ma plastique, je ne le contrôlais plus depuis longtemps. Le plaisir m’envahissait inexorablement et, les yeux fermés, j’appréciais cette douceur érotique qui parcourait mes nerfs.
À chaque fois que j’imaginais une nouvelle caresse, elle est immédiatement exécutée. C’était extraordinaire, je n’avais même pas besoin de parler. Une main me palpait les seins, la droite décidait d’écarter mes lèvres et de plonger dans mon vagin. J’étais aux anges, transportée dans un monde de désir brûlant. Cette main devenue serpent, elle m’étirait, me dilatait, se contorsionnait pour apporter sa douceur et sa fraîcheur sur chaque recoin de mes parois. Sa main gauche, maintenant, venait récupérer le flot qui s’écoulait de mon vagin, pour l’étaler sur mes muqueuses. Un éclair de plaisir intense traversait mon bouton d’amour, s’échappait dans mes cuisses et remontait ma colonne. Des frissons accompagnaient cette vague qui me submergeait. Je désirais être déchirée, défoncée, je n’en pouvais plus de cette attente, à trop vouloir ce totem dressé devant moi, ma chatte jouissais au rythme de cette symphonie sexuelle …
Maintenue, les jambes ouvertes, je ne pouvais plus échapper à l’inquisition de sa longue langue qui inspectait chaque repli de ma vulve. Peu à peu mes suppliques devenaient incompréhensibles, incohérentes, entrecoupées de soupirs et de râles dont les accents témoignaient de ma reddition. D’une main il maintenait écartés ma grotte sur-gonflée, de l’autre il explorait lentement la plaine qui unit les vallées qui s’enfoncent de part et d’autre de mon bassin. L’encerclement de mon renflement sensible par sa langue conquérante me faisait mordre ma lèvre. Je me rejetais en arrière, m’accoudais comme je le pouvais, le pubis propulsé en avant, livrée aux excès que sa fantaisie voudrait m’imposer. Je me tortillais, montais sur la pointe des pieds, couinais en serrant les dents. Mais la menace obscène se muait en une douce cajolée, se posait à l’entrée de ma féminité débutante et bientôt, entre ses deux doigts se concentrait toute l’énergie de ma libido en fleur. “Oui…oui…oui…" ont été les seuls mots que j’arrivais encore à articuler. Ma main se crispait dans ses cheveux, plaquait son visage sur mon sourire vertical gorgé de désir. Sa langue tendue ne tardait pas à me faire chanter sur toute l’étendue de mon répertoire. Je me frottais sur cette bouche qui semblait collée à mon bas-ventre comme une ventouse. Mes doigts peinaient à saisir celui qui m’imposait cette intrusion voulue. Le lent déplacement de sa langue entre mes sensibilités contrastait avec mes fausses ardeurs bourgeoises faussement outragée des premiers jours. Lorsque les contours de mon orifice se firent butiner une nouvelle fois, je m’arc-boutais. Des gémissements lascifs remplaçaient les couinements de belette, un appel au viol. Une nouvelle fois vaincue je ne pouvais que laisser aller la vague de plaisir qui remontait de mon intimité trempée de mon plaisir autant que de salive. Mes jambes blanches et bronzées gesticulaient comme par habitude, mes mains qui se crispaient sur sa nuque d’ébène, sa tête qui balançait nerveusement, sont pour l’homme noir, autant de signes de la disposition de la femelle, en plus de ceux, plus éloquents, de la fébrilité de ma vulve ventousée.
Délaissant ma délicieuse conque, le fruit craquant, il se redressait, présentant à moi, amante, son attributs fringants, les lèvres serrées, mes yeux hypnotisés par la tige qui s’avançait, ne pouvant plus me détacher de ce gland noir englué dans sa propre liqueur, j’avais l’espérance qu’il ne tarderait plus à presser entre mes replis intimes.
J'avais tellement envie de me faire baiser par ce type que c'était quasi-animal. Je n'étais plus qu'une chienne en chaleur, je ne contrôlais plus rien. Je savais juste qu'il me fallait cette queue, et rien ne pouvait m'empêcher de la prendre en moi et de jouir, enfin… Je n’aurais jamais imaginé que je puisse faire ça, et pourtant je le faisais, me voir en croqueuse d'homme, j’avais provoquée ce mâle, je l’avais fais tellement bander, c'était grisant. Avec la complicité de ma main j’attrapais sa virilité, la seconde développait la première sur toute sa longueur, avide de consommation. Je l'ai sucé comme dans un jeu, j’ai exhibée ma langue tournoyante devant ces yeux, je tenais la vedette dans mon rôle. Plus je me délectais de ses écoulements plus j'en avais envie, sa respiration c’est accélérée lorsque le gland insinué entre mes lèvres sirupeuses l’ont pompées avec force. Tout se passait à merveille jusqu’à ce que je perde le contrôle de mes propres sens de ses doigts dans mon antre.
Il m’a alors saisis par la taille, puis hissé sur moi, instinctivement j’ai relevée mes cuisses. Mes doigts se mêlaient à sa nuque. Nerveusement j’écartais les revers de mes lèvres, le feu augmentait encore, et je fermais les yeux en soupirant, le sablier s’était écoulé. Il fit deux gestes vers moi, et collait son prépuce à l’entrée de ma grotte, en pliant les genoux du fait de sa grande taille. J’attendais haletante, j’espérais ce coup de queue qui me pourfendrait jusqu’au plus profond de moi, mais il ne venait pas ! Nouveau soupir, mais un courant violent descendait de mes entrailles à son simple contact. Je défaillais, il me soutenait les jambes, et un raz de marée m’emmena vers le plaisir… Je poussais à sa rencontre mon trou fidèle de femme marié. L’intromission profonde tendait mon corps, j’accueillais cette possession comme un soulagement et comme un commencement tout à la fois. Je hoquetais une nouvelle fois, lèvres serrées, j’étouffais un râle alors que cette hampe se lovait en écartant mon conduit au couloir de soie. Mes cuisses gesticulaient contre ses flancs. Ma bouche s’ouvrait pour s’accoupler avec la sienne, parfois nos salives masquaient mes gémissements suggestifs aux innocentes oreilles imaginaires qui auraient pût les percevoir. Ses mains s’agrippaient tantôt sur mes hanches, les miennes, à mes seins comme des amarres d’une petite barque chahutée par la tempête. Il ouvrait mes parois lubrifiées de mon intimité comme jamais, j’étais prise d’une transe peu compatible avec cette image, j'ai complètement perdu pied. Il propulsait son pubis vers ma vulve avec une fougue animale. Mes soupirs évanescents ne faisaient que gonfler son ardeur ce qui me dilatait encore plus. Cette spirale indécente nous isolait peu à peu du contexte scabreux de notre étreinte. Il coulissait sans encombre dans ma chatte, aidé de mon abondante mouille blanchâtre qui tapissait sa longueur, coulait par cheminement sur mon anus qui le partageait à son tour au bourse qui venaient le frapper.
Ces mains passaient dans mon dos, accrochaient mes fines épaules et me tiraient vers lui comme pour mieux m’empaler sur sa virilité. Entièrement enfoncé, le mâle me possédait par son instant d’inactivité.
D’un lent va-et-vient, comme un métronome qui se répercutait dans tout mon corps, il m’arrachait des cris inarticulés. Pour mieux y croire, j’essayais de contempler cette tige d’ébène divine qui s’étirait de ma féminité, laissant à demie distance ce gros anneau, cette bague de mousse d’amour. Accélérant peu à peu le rythme de sa possession il savourait à la fois les délicieuses sensations de son pénis fortement serré par mon fourreau soyeux, et mes soupirs inconvenants, mes tortillements reflétaient si bien mon état d’excitation Cette vision associée à la pression glissante de ma fente sur sa virilité me tambourinait d’orgasme, les jambes relevées outrageusement par les bras musclés, les genoux ramenés vers ma poitrine, vision de mon entre-jambes particulièrement indécente. L’homme tendu au dessus de moi, me pistonnait la cavité livrée aux spasmes du plaisir. Son sexe encore insatisfait coulissait sans vergogne entre mes jambes de belle infidèle qui n’arrêtais pas de gémir, de jouir, sans retenue, griffant le dos de son partenaire… Son plaisir montait rapidement, cette fois le noir ce mit à gémir également, râlait des mots dans sa langue maternelle. Il se penchait et du bout de la langue agaçait un globe ferme de ma petite poitrine, les pointes déformées sous les manipulations indélicates subites, je l’accompagnais dans cet tourbillons de cris inarticulés, d’encouragements primitifs, je serrais les dents, les yeux fermés. Je feulais et noyais cette bite de bois qui allait au plus profond, contre mon utérus. Son souffle s’accélérait, ses ruades s’espaçaient tout en s’intensifiant, sa semence jaillit en impétueux torrent, de longues giclées brulaient mes parois, sa crème débordait d’opulence de mon con, bafouait mes lèvres, inondait ma raie culière au passage…
Lorsque j’ai reprise conscience, j’ai croisée tout d’abord le regard, ses grands yeux noirs reflétaient à la fois la satisfaction du mâle comblé et le désir d’en faire plus. Jamais je n’aurais cru que le simple contact immobile de nos muqueuses intimes me procure une jouissance bien supérieure à des doigts ou un membre viril. Mais son gros machin, que j’ai copieusement arrosé de mes sucs, était toujours fiché en moi. L’engin planté dans ma chatte bougeait au rythme de fines contractions. Une main sous mon épaule, l’autre au creux de mes reins, il me maintenait à flot. Je tendais mes lèvres vers lui, et nos langues se mélangèrent.
Quel amant formidable…
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#1239373
valphil a écrit :
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...je voulais qu’il m’invagine la conque, me faire déformer la matrice, ....
… Je poussais à sa rencontre mon trou fidèle de femme marié...
... L’engin planté dans ma chatte bougeait au rythme de fines contractions. ...
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Un vrai festival, la dynastie des sens !
J'adore cette position, si on peut qualifier ainsi, des dernières phrases. Rester ainsi dans sa partenaire, c'est :oops: :oops: :oops: .

Et merci Val ... ça promet une suite avec une bonne remise de couvert... on va se régaler avec ce festin !

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