- 03 nov. 2012, 23:49
#1229163
De mes écrits littéraires décadents, je quête vos réponses introspectives...
Bonne lecture.
Valphil.
Mon mari et moi avions depuis quelques mois mis un bémol à nos sorties plutôt chaudes dans des lieux incongrus. Notre couple semblait s’y faire, mais nous sentions néanmoins que l’ennui commençait à faire son apparition au niveau sexuel et aussi sur le rapport entre nous, des disputes s’immisçaient de plus en plus souvent dans nos échanges.
Cette situation a eu un retentissement sur notre libido. Je n’avais pas vraiment envie, et nos rapports étaient de plus en plus brefs et sans excitation, les masturbations réciproque étaient plus présentent qu’autre chose, seul dans nos souvenirs revenait cette période de libertinage qui semblait manquer.
Et puis nous avons décidées de prendre une semaine de congé en plein hiver, histoire de nous retrouver.
Nous sommes arrives au Sénégal à Dakar, la chaleur étouffante nous changeais du terrible mois de janvier au Lux. De suite l'équipe représentée par notre guide Diop nous a accueilli à l'aéroport.
Le site de Mbodiene était sans richesses matérielles mais au combien magnifique par son site naturel protégé. Les cabanons blancs alignés les uns à côté des autres, dont plupart avaient les volets fermés pour conserver une certaine fraîcheur, mais certains laissaient le soleil couchant pénétrer dans les baies vitrées. Juste qu’à mon gout, n’était que trop peu éloignées des unes des autres mais au moins toutes étaient sur la barrière de la plage.
Diop nous apporta nos valises, je commençais à les défaire alors qu’il discutait avec mon homme, il était vraiment sympa avec nous, même si je trouvais que Diop me regardais un peu trop souvent. Quelque part je trouvais sympa de savoir qu'il en bavait pour une Blanchette, même si de mon coté, je n’avais pas d’attirance physique pour des blacks, juste, il avait un petit quelque chose dans son regard qui troublais, je ne sus pas exactement ce que c’était mais l’avait bien sentie. Je continuais de l’observer discrètement de temps à autre.
Pendant le repas local pris en commun, tout le groupe appris à ce connaitre et Diop nous expliquait les possibilités du site et des excursions à venir, Le jeune homme jetait des regards clandestins vers moi, mais toujours dans la discrétion la plus absolue.
Une fois sous notre case, nous avons fait un petit câlin, nous étions complètement nue, assise sur Phil, essayant de ne pas faire de bruit, les voisins n’étaient pas loin. Ce fut un régale de faire l'amour à mon homme alors qu’à tout moment ont pouvaient nous entendre. Nous pensions avoir été discret, les rideaux de toile baissés de nos fenêtres, n’avions juste pas pensé à nos deux lampes de chevets, nous avions fait un show d'ombre chinoise...mais ca je ne le savais pas encore...
Le matin au contraire de mon homme je me réveillai en pleine forme, curieuse de découvrir le site, j’enfilais un short court et une chemise légère délaissant soutien-gorge et string. J’empruntais le sentier d’une dizaine de mètres qui menait à l’étendue de sable blanc, la chaleur écrasante déjà bien présente me poussait à longer à l’ombre d’arbres qui jouxtaient la plage. Je contournais la végétation dance quand j’aperçue une forme au loin dans l’eau, en approchant je reconnue notre guide, en pleine baignade matinale, j’ai voulu faire demie tours mais son timbre de voix cria mon prénom, c’est un peu à contre cœur que je m’avançais vers lui, n’espérant dans mon propre intérieur la rencontre rapide, j’appréciais ce moment de solitude et puis en fin de compte, il m'appelait pour me dire certainement bonjours…
Tous en me rapprochant du bord des vagues, mon attention fût attirée sur la partie du corps encore immergé sous l’eau, lui qui venait à ma rencontre… Je n’y croyais pas… Lorsqu’il passa le rouleau d’écume, la vision de son corps nue, tout en muscle, du haut de ses 1m90, il devait bien peser 100kg. Sa peau était si noire sur ses biceps saillant, l’eau brillait sur tous son corps. Après un petit bonjour amical et profitant qu'il se replongeait dans l’eau, mon intention était bien de continuer mon chemin espérant passer cet intermède le plus rapidement. Mais sous une forme délicat, tout en restant immergé dans l'eau, il commençait a me parler de son pays, de son village, des coutumes, trouvant l'excuse de ne pas m'entendre, il se mit debout pour se rapprocher et je vis sa chose surgir de l'eau. Elle était à mes yeux énorme, descendant a mis cuisse bien plus grosse toutes celles en pleine action que j’avais rencontrées, alors que lui était au repos. Je n'avais jamais imaginer que ce puisse être possible, même si les rumeurs... Comme une idiote mon regard restait bloqué sur cette verge brillante, il s'en rendait compte et me demanda sans gène si c'était la première queue de black que je voyais, je piquais un phare immédiatement, acquiesçant de la tête. Il s'asseyait sur un autre tronc face a moi, les cuisses légèrement écartées, le pieu d’ébène proéminant, nullement intimidé, continuant de sa discutions. Pendant une demie heure nous discutâmes de son pays, il nous proposait même, à moi et m on mari, de partir deux jours en excursion dans son village d’origine.
A trop regarder par bride et sans vraiment comprendre mes réactions, les pointes de mes seins se sont érigées pour finalement se tendre sous le tissu un peu fin de ma chemise. Fort heureusement, un gong retenti, il devait rejoindre son frère, se rhabilla devant moi, ce fut rapide, il était nu sous sa djellaba. En partant il me fit un clin d'oeil et me dit juste d'éteindre les lumière sous notre cahute la prochaine fois, mais qu'il avait apprécié le spectacle. Je piquais un nouveau phare devant lui, cela me laissait sans voix.
Nous sortions du restaurant alors que la nuit était tombée depuis un petit moment, il faisait un peu plus frais, la température était encore agréable. Je portais une petite robe blanche de lin assez ajustée, genre de robe avec laquelle il est difficile de porter autre chose dessous sans que cela ne paraisse, aussi parce que mes seins supportent largement d'être libres, de ce fait sont très visibles, c’était les vacances. Elle me moule parfaitement les fesses et se termine bien au-dessus de mes genoux, et même je dirais qu’elle se termine juste au-dessous de mon intimité, mon mari me trouve joliment tournée, le symbole de l’élégance. Nous nous tenons par la taille, et descendait ses mains régulièrement vers mes fesses. Le vin avait effectivement joué son rôle, nous étions un peu désinhibé. Je m’arrêtais et t’embrassais langoureusement, peut-être une façon pour moi de retarder l’échéance… Nous n’étions qu’à quelques centaines de mètres de l’endroit où nous continuerions notre soirée, sur la plage, en music.
La musique était rythmée, l’impression de la plage d’ensemble était très agréable, les lieux avaient été décorés avec beaucoup de goût et de sensualité. Les éclairages très sophistiqués mettaient en valeur les ornementations naturelles du site.
Cela peut sembler paradoxal, mais je m’étais rendu compte que les femmes pouvaient être ici court vêtues sans risquer de susciter des regards lourds ou des gestes désobligeants. Sans raison particulière dû à mon comportement, il me semblait attirer beaucoup l’attention, surtout quand je dansais seule, à voir quelques hommes m’approcher et même à vouloir m’offrir un verre mais trouvais toujours la façon de me défaire de leur présence sans trop les offusquer. Je rejoignais régulièrement mon homme qui était assis à une table en rotin. Diop apparut pas très longtemps après une de ces pauses, et sans hésitation il s’approcha de notre table, se retourna vers mon homme en nous saluant et lui demanda la permission d’inviter son épouse, il me scotchait par son hardiesse… Mon mari lui donna son accord et, se levant, il me pris la main et lui tendis, nos regards malicieux se croisaient et, j’acceptais l’invitation.
Parfois, je sentais ma poitrine se presser un peu trop contre le torse de mon cavalier, et je ne pouvais empêcher mon corps de réagir à ces frottements répétés. Je songeais un instant à l’interprétation que mon cavalier devait en avoir, à cette idée le rouge aux joues me gagnais. De temps en temps, sa main glissait légèrement sur ma chute de reins, à la limite du galbe de mes fesses, sans n’avoir jamais le temps de chasser ces intruses tant elles étaient fugaces.
Je trouvais que le jeune homme dansait divinement bien, il corrigeait presque instantanément tous mes faux pas. Une seconde danse tout aussi rapide démarra, la transition habile ne permettait pas de savoir réellement quand l’une commençait et l’autre se terminait, je ne pouvais pas m’esquiver. Le rythme parfois plus lent, mais le pas toujours similaire, à ceci près que nos corps étaient nettement plus rapprochés. J’étais tout contre mon cavalier, sa cuisse s’insinuait contre mon antre jambe. Un coup d’œil sur les autres danseurs me rassurait, c’était apparemment normal.
Il faisait virevolter sa partenaire au rythme de la musique en me maintenant fermement contre lui, s’aidant de ses mains très activent. J’étais néanmoins de plus en plus embarrassée par la situation que je ne contrôlais pas, sentant fréquemment des effleurements s’égarer sur mes fesses, sa jambe placée entre les miennes se faisait plus pénétrante, de la taille de mon cavalier, sa cuisse frottait de ce fait de bas en haut mon clitoris, très favorable à ce traitement, à sentir son bassin onduler en cadence contre mon ventre, son sexe devenait mien, et je m’habituais à sa présence. Ses pectoraux tournoyaient mes seins et ces derniers devenaient de plus en plus sensibles, presque douloureux. Mon corps réagissait inexorablement à ces contacts, à ce destin. Il émanait chez de lui un magnétisme indéniable, Je sentais la sueur dégouliner entre ma poitrine. J’avais dansée avec de nombreux cavaliers depuis que j’étais avec mon homme, mais pour la plupart étaient des amis, il n’y avait aucune ambigüité même s’il y avait parfois des effleurements. La situation était totalement différente ce soir, car cet homme, je ne le connaissais pas, et les évènements de la journée tendaient à penser qu’il avait une attirance pour moi, mes sensations à son égard n’étaient plus les mêmes. Un coup d’œil vers Phil m’indiquais qu’il était tranquillement installé sur son siège et nous regardait danser, tel un spectateur, qui se détendait en regardant son épouse, tentant tant bien que mal de faire bonne figure. Si les débuts étaient hésitants, sa femme s’en sortait plutôt bien, elle laissait le cavalier guider ses pas. De son poste d’observation, il pouvait certainement voir les mains de l’homme sur mon corps, c’était assez « collé-serré, » danse très sensuelle. Il ne percevait pas la poitrine de sa femme contre le torse de son cavalier, mais n’était pas ignorant sur l’absence de sous-vêtements, l’échancrure de ma robe ne laissait aucun doute sur le sujet.
Lui prenait de l’assurance et le couple que nous formions tournait de plus en plus. Sur la piste, heureusement bien occupée par tous ces couples qui nous imitaient à la seul différance de leur sagesse. Sans aucun doute, maintenant la main de l’homme s’aventurait sur mes fesses. De sont regard émanait la fougue, le désir, la frustration, la situation devenait terriblement torride, je sentais mon sexe s’humidifié sans légèreté, et mon cœur s’accélérait. La chaleur devenait étouffante, Phil me dit plus tard avoir été hypnotisé par le couple que formaient sa femme et le beau Black, le mélange blanc et noir : C’est terriblement érotique !
La main se fît un peu insinuante sur un de mes lobes. Je sursautais une nouvelle fois, ce qui eut pour effet cette fois-ci de me coller encore plus a lui, à ne trop sentir le membre bandé sous les fins tissus qui nous séparaient. Tout mon corps était écrasé contre lui, l’odeur enivrante m’embrouillait les sens, j’avais beau vouloir, mais ne résistais plus à mon inconstance, la chaleur montait en moi, rien n’y faisait, Diop sentait bien que je lui cédais. Les pointes de mes seins étaient arquées à l’extrême, mon intérieur était volcanique, la douce moiteur envahissait inexorablement mon bas-ventre, mes cuisses… Ma dérobassions n’était plus d’actualité, je me serrais maintenant de lui, encore plus, en dansant les jambes légèrement plus écartées. À moins d'être nus, nous ne pouvions pas être plus collés l'un à l'autre, les frottements écartaient mes lèvres gonflées, j'aimais ça, je mouillais. L’objet de mes convoitises était déformé, ferme et épais à mon contact, je le masturbais avec mon corps. Le fait que son pantalon soit sûrement taché m'amusait même et me stimulais, des frissons remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je forçais une dernière fois ma raison à reprendre le contrôle des évènements, avant le un peu trop tard, tentait de m’écarter un peu de lui, mais le rythme de la musique ne me le permettait pas. Mon dos était parcouru sur toute la largeur, dans toute sa hauteur en un va et vient incessant par une gauche insistante qui flânait avec une prédilection particulière sur ma croupe. Des doigts glissèrent le long de mon corps pour aller prendre mon sein gauche fermement, ce geste fantasmatique déclencha en moi l’irrémédiable, ne put que peut contenir un gémissement de plaisir et laissais ma tête basculer en arrière, dans un état de total abandon. De deux de ces doigts il emprisonna au travers du lin un de mes tétons, la jouissance me submergea, me faisant lâcher un cri d’extase. Ma tête posée dans son cou, je fus terrassée par un orgasme d’une rare intensité, il n’en relâcha pas l’étreinte pour autant, et soutint le rythme de cette caresse de telle sorte que la jouissance de moi, sa partenaire dura plusieurs dizaines de secondes.
Le morceau prit fin, Je pus enfin m’écarter tandis qu’une séance de pop commençait, le remerciais d’une façon délicate, lui déposais un bisou appuyé proche des commissures de ces lèvres, je rejoignais mon mari…
Phil avait sur son visage, tout le trouble qu’il avait ressentit pour moi, cela décupla encore plus ma satisfaction, c’est un cérébral, sa libido se nourris de nombreux fantasmes qu’il pouvait réaliser avec moi, sa femme et, à un moment précis, son imagination entrait en action. Dans son esprit, je l’imaginais bien, cet succession d’images plus torrides les unes que les autres, voir d’autres mains que les siennes sur le corps de sa belle, des bouches se mêler, des corps se fondre l’un en l’autre… De son propre aveux, au début, je ne faisait que simuler le fait de penser qu’un autre homme que lui, puisse me toucher, me caresser, et me faire l’amour, mais forcée est de constater que son travail psychologique, de longue haleine sur mon psychique, m’avaient, petit à petit amenée à apprécier cette situation, et j’avais réellement s’imaginer tout d’abord, puis à jouir de l’idée de penser qu’un autre homme me possédait et me prenait bel et bien la chatte. J’avais encore du mal à me dire d’avoir envie de baiser, avoir envie de jouir avec un autre mais avec lui.
Nos sourires en disait long, nos mains se serrais, il se repositionnait sur son siège tant son érection devait était importante, je savais qu’il ne pourrait pas se lever tout de suite.
Ce deuxième soir, je laissais en toute conscience, les lumières allumer pour lentement me dévêtir, mon homme se colla à moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches. Ses mains prirent possession de mon corps, vinrent me soulever de terre, pour me poser sur la table. Je sentais contre mon sexe bafoué de liqueur, le contact de sa virilité. Je soufflais, mes deux mains plaquées contre son dos, m’agrippais à lui. Tendre nos lèvres pour accueillir nos langues avides de gourmandise. Je tremblais de tout mon corps tant le désir me tenaillait. L’idée d’avoir un spectateur me tenaillait. Du plus profond de mon ventre semblaient s’écouler des flots bouillonnants. Il se planta en moi avec force, brutalité, je sentais mon sexe accueillir avec joie la violence cette pénétration. Il resta figé en moi quelques secondes, rentré de tout son long. Puis commença des va-et-vient de plus en plus forts, les ondes de plaisir me transpercèrent de partout. Il me posséda avec une bestialité qui ne lui était pas coutumière, cela décupla encore mon plaisir, je sentais la puissance de ses coups de reins me pourfendre au plus profond de mon vagin.
Je n’étais plus que plaisir, ne pensait plus, subissait les assauts de mon homme en criant comme ne l’avoir jamais fait. L’orgasme me balaya seulement au bout de quelques secondes, mon corps se contracta dans son intégralité tandis qu’il continuait de me besogner comme un fou. J’ouvrais la bouche pour crier, mais il m’était impossible d’émettre le moindre son tant l’air me manquait, je n’étais que poupée désarticulée en proie au plaisir le plus dévastateur. Sa queue se contracta, son sperme jaillit frappant ma matrice avec force. Il cria son plaisir tandis que ses coups de boutoir devenaient de moins en moins puissants. Il me transporta sur le lit, délicatement, amoureusement, il était toujours en moi, l’orgasme avait été puissant. Ses lèvres me touchèrent le front, le cou, puis l’entendit murmurer un de ces je t’aime profonds…
Le sommeil balaya toutes pensées conscientes.
Bonne lecture.
Valphil.
Mon mari et moi avions depuis quelques mois mis un bémol à nos sorties plutôt chaudes dans des lieux incongrus. Notre couple semblait s’y faire, mais nous sentions néanmoins que l’ennui commençait à faire son apparition au niveau sexuel et aussi sur le rapport entre nous, des disputes s’immisçaient de plus en plus souvent dans nos échanges.
Cette situation a eu un retentissement sur notre libido. Je n’avais pas vraiment envie, et nos rapports étaient de plus en plus brefs et sans excitation, les masturbations réciproque étaient plus présentent qu’autre chose, seul dans nos souvenirs revenait cette période de libertinage qui semblait manquer.
Et puis nous avons décidées de prendre une semaine de congé en plein hiver, histoire de nous retrouver.
Nous sommes arrives au Sénégal à Dakar, la chaleur étouffante nous changeais du terrible mois de janvier au Lux. De suite l'équipe représentée par notre guide Diop nous a accueilli à l'aéroport.
Le site de Mbodiene était sans richesses matérielles mais au combien magnifique par son site naturel protégé. Les cabanons blancs alignés les uns à côté des autres, dont plupart avaient les volets fermés pour conserver une certaine fraîcheur, mais certains laissaient le soleil couchant pénétrer dans les baies vitrées. Juste qu’à mon gout, n’était que trop peu éloignées des unes des autres mais au moins toutes étaient sur la barrière de la plage.
Diop nous apporta nos valises, je commençais à les défaire alors qu’il discutait avec mon homme, il était vraiment sympa avec nous, même si je trouvais que Diop me regardais un peu trop souvent. Quelque part je trouvais sympa de savoir qu'il en bavait pour une Blanchette, même si de mon coté, je n’avais pas d’attirance physique pour des blacks, juste, il avait un petit quelque chose dans son regard qui troublais, je ne sus pas exactement ce que c’était mais l’avait bien sentie. Je continuais de l’observer discrètement de temps à autre.
Pendant le repas local pris en commun, tout le groupe appris à ce connaitre et Diop nous expliquait les possibilités du site et des excursions à venir, Le jeune homme jetait des regards clandestins vers moi, mais toujours dans la discrétion la plus absolue.
Une fois sous notre case, nous avons fait un petit câlin, nous étions complètement nue, assise sur Phil, essayant de ne pas faire de bruit, les voisins n’étaient pas loin. Ce fut un régale de faire l'amour à mon homme alors qu’à tout moment ont pouvaient nous entendre. Nous pensions avoir été discret, les rideaux de toile baissés de nos fenêtres, n’avions juste pas pensé à nos deux lampes de chevets, nous avions fait un show d'ombre chinoise...mais ca je ne le savais pas encore...
Le matin au contraire de mon homme je me réveillai en pleine forme, curieuse de découvrir le site, j’enfilais un short court et une chemise légère délaissant soutien-gorge et string. J’empruntais le sentier d’une dizaine de mètres qui menait à l’étendue de sable blanc, la chaleur écrasante déjà bien présente me poussait à longer à l’ombre d’arbres qui jouxtaient la plage. Je contournais la végétation dance quand j’aperçue une forme au loin dans l’eau, en approchant je reconnue notre guide, en pleine baignade matinale, j’ai voulu faire demie tours mais son timbre de voix cria mon prénom, c’est un peu à contre cœur que je m’avançais vers lui, n’espérant dans mon propre intérieur la rencontre rapide, j’appréciais ce moment de solitude et puis en fin de compte, il m'appelait pour me dire certainement bonjours…
Tous en me rapprochant du bord des vagues, mon attention fût attirée sur la partie du corps encore immergé sous l’eau, lui qui venait à ma rencontre… Je n’y croyais pas… Lorsqu’il passa le rouleau d’écume, la vision de son corps nue, tout en muscle, du haut de ses 1m90, il devait bien peser 100kg. Sa peau était si noire sur ses biceps saillant, l’eau brillait sur tous son corps. Après un petit bonjour amical et profitant qu'il se replongeait dans l’eau, mon intention était bien de continuer mon chemin espérant passer cet intermède le plus rapidement. Mais sous une forme délicat, tout en restant immergé dans l'eau, il commençait a me parler de son pays, de son village, des coutumes, trouvant l'excuse de ne pas m'entendre, il se mit debout pour se rapprocher et je vis sa chose surgir de l'eau. Elle était à mes yeux énorme, descendant a mis cuisse bien plus grosse toutes celles en pleine action que j’avais rencontrées, alors que lui était au repos. Je n'avais jamais imaginer que ce puisse être possible, même si les rumeurs... Comme une idiote mon regard restait bloqué sur cette verge brillante, il s'en rendait compte et me demanda sans gène si c'était la première queue de black que je voyais, je piquais un phare immédiatement, acquiesçant de la tête. Il s'asseyait sur un autre tronc face a moi, les cuisses légèrement écartées, le pieu d’ébène proéminant, nullement intimidé, continuant de sa discutions. Pendant une demie heure nous discutâmes de son pays, il nous proposait même, à moi et m on mari, de partir deux jours en excursion dans son village d’origine.
A trop regarder par bride et sans vraiment comprendre mes réactions, les pointes de mes seins se sont érigées pour finalement se tendre sous le tissu un peu fin de ma chemise. Fort heureusement, un gong retenti, il devait rejoindre son frère, se rhabilla devant moi, ce fut rapide, il était nu sous sa djellaba. En partant il me fit un clin d'oeil et me dit juste d'éteindre les lumière sous notre cahute la prochaine fois, mais qu'il avait apprécié le spectacle. Je piquais un nouveau phare devant lui, cela me laissait sans voix.
Nous sortions du restaurant alors que la nuit était tombée depuis un petit moment, il faisait un peu plus frais, la température était encore agréable. Je portais une petite robe blanche de lin assez ajustée, genre de robe avec laquelle il est difficile de porter autre chose dessous sans que cela ne paraisse, aussi parce que mes seins supportent largement d'être libres, de ce fait sont très visibles, c’était les vacances. Elle me moule parfaitement les fesses et se termine bien au-dessus de mes genoux, et même je dirais qu’elle se termine juste au-dessous de mon intimité, mon mari me trouve joliment tournée, le symbole de l’élégance. Nous nous tenons par la taille, et descendait ses mains régulièrement vers mes fesses. Le vin avait effectivement joué son rôle, nous étions un peu désinhibé. Je m’arrêtais et t’embrassais langoureusement, peut-être une façon pour moi de retarder l’échéance… Nous n’étions qu’à quelques centaines de mètres de l’endroit où nous continuerions notre soirée, sur la plage, en music.
La musique était rythmée, l’impression de la plage d’ensemble était très agréable, les lieux avaient été décorés avec beaucoup de goût et de sensualité. Les éclairages très sophistiqués mettaient en valeur les ornementations naturelles du site.
Cela peut sembler paradoxal, mais je m’étais rendu compte que les femmes pouvaient être ici court vêtues sans risquer de susciter des regards lourds ou des gestes désobligeants. Sans raison particulière dû à mon comportement, il me semblait attirer beaucoup l’attention, surtout quand je dansais seule, à voir quelques hommes m’approcher et même à vouloir m’offrir un verre mais trouvais toujours la façon de me défaire de leur présence sans trop les offusquer. Je rejoignais régulièrement mon homme qui était assis à une table en rotin. Diop apparut pas très longtemps après une de ces pauses, et sans hésitation il s’approcha de notre table, se retourna vers mon homme en nous saluant et lui demanda la permission d’inviter son épouse, il me scotchait par son hardiesse… Mon mari lui donna son accord et, se levant, il me pris la main et lui tendis, nos regards malicieux se croisaient et, j’acceptais l’invitation.
Parfois, je sentais ma poitrine se presser un peu trop contre le torse de mon cavalier, et je ne pouvais empêcher mon corps de réagir à ces frottements répétés. Je songeais un instant à l’interprétation que mon cavalier devait en avoir, à cette idée le rouge aux joues me gagnais. De temps en temps, sa main glissait légèrement sur ma chute de reins, à la limite du galbe de mes fesses, sans n’avoir jamais le temps de chasser ces intruses tant elles étaient fugaces.
Je trouvais que le jeune homme dansait divinement bien, il corrigeait presque instantanément tous mes faux pas. Une seconde danse tout aussi rapide démarra, la transition habile ne permettait pas de savoir réellement quand l’une commençait et l’autre se terminait, je ne pouvais pas m’esquiver. Le rythme parfois plus lent, mais le pas toujours similaire, à ceci près que nos corps étaient nettement plus rapprochés. J’étais tout contre mon cavalier, sa cuisse s’insinuait contre mon antre jambe. Un coup d’œil sur les autres danseurs me rassurait, c’était apparemment normal.
Il faisait virevolter sa partenaire au rythme de la musique en me maintenant fermement contre lui, s’aidant de ses mains très activent. J’étais néanmoins de plus en plus embarrassée par la situation que je ne contrôlais pas, sentant fréquemment des effleurements s’égarer sur mes fesses, sa jambe placée entre les miennes se faisait plus pénétrante, de la taille de mon cavalier, sa cuisse frottait de ce fait de bas en haut mon clitoris, très favorable à ce traitement, à sentir son bassin onduler en cadence contre mon ventre, son sexe devenait mien, et je m’habituais à sa présence. Ses pectoraux tournoyaient mes seins et ces derniers devenaient de plus en plus sensibles, presque douloureux. Mon corps réagissait inexorablement à ces contacts, à ce destin. Il émanait chez de lui un magnétisme indéniable, Je sentais la sueur dégouliner entre ma poitrine. J’avais dansée avec de nombreux cavaliers depuis que j’étais avec mon homme, mais pour la plupart étaient des amis, il n’y avait aucune ambigüité même s’il y avait parfois des effleurements. La situation était totalement différente ce soir, car cet homme, je ne le connaissais pas, et les évènements de la journée tendaient à penser qu’il avait une attirance pour moi, mes sensations à son égard n’étaient plus les mêmes. Un coup d’œil vers Phil m’indiquais qu’il était tranquillement installé sur son siège et nous regardait danser, tel un spectateur, qui se détendait en regardant son épouse, tentant tant bien que mal de faire bonne figure. Si les débuts étaient hésitants, sa femme s’en sortait plutôt bien, elle laissait le cavalier guider ses pas. De son poste d’observation, il pouvait certainement voir les mains de l’homme sur mon corps, c’était assez « collé-serré, » danse très sensuelle. Il ne percevait pas la poitrine de sa femme contre le torse de son cavalier, mais n’était pas ignorant sur l’absence de sous-vêtements, l’échancrure de ma robe ne laissait aucun doute sur le sujet.
Lui prenait de l’assurance et le couple que nous formions tournait de plus en plus. Sur la piste, heureusement bien occupée par tous ces couples qui nous imitaient à la seul différance de leur sagesse. Sans aucun doute, maintenant la main de l’homme s’aventurait sur mes fesses. De sont regard émanait la fougue, le désir, la frustration, la situation devenait terriblement torride, je sentais mon sexe s’humidifié sans légèreté, et mon cœur s’accélérait. La chaleur devenait étouffante, Phil me dit plus tard avoir été hypnotisé par le couple que formaient sa femme et le beau Black, le mélange blanc et noir : C’est terriblement érotique !
La main se fît un peu insinuante sur un de mes lobes. Je sursautais une nouvelle fois, ce qui eut pour effet cette fois-ci de me coller encore plus a lui, à ne trop sentir le membre bandé sous les fins tissus qui nous séparaient. Tout mon corps était écrasé contre lui, l’odeur enivrante m’embrouillait les sens, j’avais beau vouloir, mais ne résistais plus à mon inconstance, la chaleur montait en moi, rien n’y faisait, Diop sentait bien que je lui cédais. Les pointes de mes seins étaient arquées à l’extrême, mon intérieur était volcanique, la douce moiteur envahissait inexorablement mon bas-ventre, mes cuisses… Ma dérobassions n’était plus d’actualité, je me serrais maintenant de lui, encore plus, en dansant les jambes légèrement plus écartées. À moins d'être nus, nous ne pouvions pas être plus collés l'un à l'autre, les frottements écartaient mes lèvres gonflées, j'aimais ça, je mouillais. L’objet de mes convoitises était déformé, ferme et épais à mon contact, je le masturbais avec mon corps. Le fait que son pantalon soit sûrement taché m'amusait même et me stimulais, des frissons remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je forçais une dernière fois ma raison à reprendre le contrôle des évènements, avant le un peu trop tard, tentait de m’écarter un peu de lui, mais le rythme de la musique ne me le permettait pas. Mon dos était parcouru sur toute la largeur, dans toute sa hauteur en un va et vient incessant par une gauche insistante qui flânait avec une prédilection particulière sur ma croupe. Des doigts glissèrent le long de mon corps pour aller prendre mon sein gauche fermement, ce geste fantasmatique déclencha en moi l’irrémédiable, ne put que peut contenir un gémissement de plaisir et laissais ma tête basculer en arrière, dans un état de total abandon. De deux de ces doigts il emprisonna au travers du lin un de mes tétons, la jouissance me submergea, me faisant lâcher un cri d’extase. Ma tête posée dans son cou, je fus terrassée par un orgasme d’une rare intensité, il n’en relâcha pas l’étreinte pour autant, et soutint le rythme de cette caresse de telle sorte que la jouissance de moi, sa partenaire dura plusieurs dizaines de secondes.
Le morceau prit fin, Je pus enfin m’écarter tandis qu’une séance de pop commençait, le remerciais d’une façon délicate, lui déposais un bisou appuyé proche des commissures de ces lèvres, je rejoignais mon mari…
Phil avait sur son visage, tout le trouble qu’il avait ressentit pour moi, cela décupla encore plus ma satisfaction, c’est un cérébral, sa libido se nourris de nombreux fantasmes qu’il pouvait réaliser avec moi, sa femme et, à un moment précis, son imagination entrait en action. Dans son esprit, je l’imaginais bien, cet succession d’images plus torrides les unes que les autres, voir d’autres mains que les siennes sur le corps de sa belle, des bouches se mêler, des corps se fondre l’un en l’autre… De son propre aveux, au début, je ne faisait que simuler le fait de penser qu’un autre homme que lui, puisse me toucher, me caresser, et me faire l’amour, mais forcée est de constater que son travail psychologique, de longue haleine sur mon psychique, m’avaient, petit à petit amenée à apprécier cette situation, et j’avais réellement s’imaginer tout d’abord, puis à jouir de l’idée de penser qu’un autre homme me possédait et me prenait bel et bien la chatte. J’avais encore du mal à me dire d’avoir envie de baiser, avoir envie de jouir avec un autre mais avec lui.
Nos sourires en disait long, nos mains se serrais, il se repositionnait sur son siège tant son érection devait était importante, je savais qu’il ne pourrait pas se lever tout de suite.
Ce deuxième soir, je laissais en toute conscience, les lumières allumer pour lentement me dévêtir, mon homme se colla à moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches. Ses mains prirent possession de mon corps, vinrent me soulever de terre, pour me poser sur la table. Je sentais contre mon sexe bafoué de liqueur, le contact de sa virilité. Je soufflais, mes deux mains plaquées contre son dos, m’agrippais à lui. Tendre nos lèvres pour accueillir nos langues avides de gourmandise. Je tremblais de tout mon corps tant le désir me tenaillait. L’idée d’avoir un spectateur me tenaillait. Du plus profond de mon ventre semblaient s’écouler des flots bouillonnants. Il se planta en moi avec force, brutalité, je sentais mon sexe accueillir avec joie la violence cette pénétration. Il resta figé en moi quelques secondes, rentré de tout son long. Puis commença des va-et-vient de plus en plus forts, les ondes de plaisir me transpercèrent de partout. Il me posséda avec une bestialité qui ne lui était pas coutumière, cela décupla encore mon plaisir, je sentais la puissance de ses coups de reins me pourfendre au plus profond de mon vagin.
Je n’étais plus que plaisir, ne pensait plus, subissait les assauts de mon homme en criant comme ne l’avoir jamais fait. L’orgasme me balaya seulement au bout de quelques secondes, mon corps se contracta dans son intégralité tandis qu’il continuait de me besogner comme un fou. J’ouvrais la bouche pour crier, mais il m’était impossible d’émettre le moindre son tant l’air me manquait, je n’étais que poupée désarticulée en proie au plaisir le plus dévastateur. Sa queue se contracta, son sperme jaillit frappant ma matrice avec force. Il cria son plaisir tandis que ses coups de boutoir devenaient de moins en moins puissants. Il me transporta sur le lit, délicatement, amoureusement, il était toujours en moi, l’orgasme avait été puissant. Ses lèvres me touchèrent le front, le cou, puis l’entendit murmurer un de ces je t’aime profonds…
Le sommeil balaya toutes pensées conscientes.
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