- 04 nov. 2010, 18:53
#123200
je me permet de mettre aussi ce post ici, car je pense qu'il relève pleinement de la psychologie du candaulisme et des dicussions que nous pouvons avoir à ce sujet
amicalement
Bonjour à vous tous amis cocus et candaulistes
Voilà le chapitre consacré à Damien
Je ne vais pas être modeste excusez m'en, mais je suis sincère.
Je pense en relisant ces pages qu'elles relatent au plus profond tous ces sentiments
obscurs et antagonistes qui nous habitent dans notre quête.
Elles sont empreintes à la fois de la sincérité et de la naïveté qui nous dominent lorsque nous désirons mettre en jeu et risquer ce que nous avons de plus précieux.
Elles décrivent, toujours de façon véridique, les pulsions et les tourments qui sont les nôtres lorsque le jeu que nous croyons assumer, nous échappe.
Ce sont aussi les faiblesses que nous devons avouer et reconnaitre lorsque le trouble va au delà de ces que nous avions imaginé et que nous nous croyions capable d'accepter.
Pour la première fois ma femme avait comme je le désirais, comme elle en avait envie, un amant. Pas un simple partenaire sexuel comme elle en avait eu de très nombreux.
Un amant qui était devenu mon complice mais surtout qui la désirait, qu'elle désirait, qui lui faisait superbement l'amour, et dont elle était follement amoureuse sans pour autant moins m'aimer.
C'était ce dont j'avais rêvé...
Mais cette réalité est moins facile à vivre que dans les rêves.
J'insère ici quelques lignes de ce chapitre, mais sans prosélytisme et pour tous ceux qui sont animés par cette pulsions de cocufiage ou de candaulisme, peu importe le mot je vous invite à lire cette part intense de notre parcours amoureux, que vous ayez franchi le pas ou que vous désiriez le franchir, je pense que vous découvrirez ou partagerez les émois qui se produisent au delà du simple plaisir sexuel.
Une dernière chose. C'est un jeu qui se joue a deux. Si vous désirez franchir le pas, faites lire ces lignes à votre compagne ou votre épouse. Cela vous facilitera les choses à tous les deux. Pour ouvrir ou non la boite de Pandore
Amicalement à tous et j'aurais plaisir à vos réactions sur ce chapitre qui fut aussi un chapitre de notre vie.
En voilà presque le début.
Il ne cessa de tenir sa taille lorsque leurs bouches se désunirent. Damien semblait à l’aise. Peut-être parce qu’il avait longuement parlé au préalable avec Nicolas et qu’il savait que sa présence répondait au désir commun du couple qui le recevait. Un désir profond et partagé. Leur accueil le lui avait confirmé. Lettré et anglo-saxon, il évoqua alors la proximité de leur quête avec l’ambiguïté de la relation entre Scott Fizgerald et Zelda.
Caroline l’écoutait, blottie contre lui, souriant à Nicolas, comme un remerciement d’avoir entrouvert cette nouvelle porte. Ce fut elle qui prit l’initiative de rompre la virtualité qui s’était installée. Se levant, elle prit Damien par la main.
- On va aller faire connaissance avec Damien, mon chéri !
- On ?...
- Je veux dire lui et moi … c’est ce qui est convenu , non ?
- Oui, oui, bien sûr.
Il revenait d’un coup à la réalité. Elle s’approcha de lui , posa un baiser et lui murmura, mutine.
- On t’appelle dès qu’on a besoin de toi, mon chéri…
Ils se dirigèrent aussitôt vers la chambre et il entendit la porte claquer.
Il était détendu et pourtant troublé comme rarement il l’avait été. Même si c’était lui qui avait seul préparé cette rencontre, l’attrait que provoquait Damien sur elle était indéniable et, à cet instant, elle n’était plus comme auparavant l’objet complice de ses fantasmes, de leurs fantasmes. C’était un plaisir qu’elle voulait déguster seule, cette porte fermée le lui confirmait.
Il ressentit cet étrange et délicieux sentiment de jalousie qu’il n’avait plus éprouvé à ce point depuis la conquête de Caroline, puis ses premiers abandons sexuels à d’autres que lui. Il savait qu’à cet instant c’était plus que son corps qu’elle était en train de lui offrir.
Il se retint d’aller s’approcher de la porte, et cela ne fit qu’alimenter un peu plus sa machine à fantasme et cette émotion oubliée. Il lui était cependant difficile de fixer son attention sur autre chose que ce qui se déroulait à quelques mètres de lui. Il mit Chet Baker sur la platine. « My Funny Valentine »
Plus d’une heure passa avant que son portable ne se mette à vibrer.
- Tu viens nous rejoindre mon chéri ?...
Sa voix était douce, presque révélatrice d’une plénitude des sens et de l’esprit. Il se contint pour ne pas les rejoindre trop vite et adopter la décontraction qui se devait être la sienne.
Dans une semi pénombre, ils étaient allongés sur le lit. Les draps froissés trahissaient la fougue des ébats qu’ils avaient accueillis. Côte à côte, Damien nu, fumant une cigarette en fixant le plafond, Caroline, encore vêtue de son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses escarpins, ses seins lourds et gonflés, caressant lentement le membre au repos.
Deux amants après l’amour. Beaux et repus de plaisir. C’était l’évidence qui s’offrait à ses yeux. Pas deux partenaires qui avaient baisé. Ce qui se dégageait était tout autre. Sans interrompre sa caresse, elle se tourna vers lui en souriant.
- Tu nous apportes à boire, chéri et puis tu viens nous rejoindre ?
Un peu hypnotisé, il ne réagit pas immédiatement, mais quelques minutes plus tard il était de retour avec les verres.
- Viens vite !
Le sexe de Damien avait maintenant repris toute sa vigueur, et il s’aperçut qu’il ne s était nullement vanté lorsqu’il lui avait évoqué une virilité que ses partenaires remarquaient. Ce n’était pas les blacks, mais il était cependant bien plus long et volumineux que le sien.
Paradoxalement cela ne fit qu’amplifier son excitation. Il n’y avait pas de satisfaction à se mesurer à plus faible que soi. Là tout était réuni. Jeune, beau, intelligent, tendre, et maintenant viril, c’était une concurrence redoutable qu’il devait affronter.
Nu, il se glissa à la gauche de Caroline, et ses mains furent aussitôt partout sur son corps. Cette fois, elle branlait les deux sexes ensemble. Nicolas commença par mordiller ses tétons puis remonta lentement jusqu'à sa bouche. Le baiser qu’elle lui offrit fut long, profond, sensuel comme il ne l’avait été depuis longtemps. Son sexe lui faisait presque mal tant il durcissait encore et encore.
- Je t’aime, dit elle en reprenant haleine
Sans lâcher sa virilité, presque brandie comme un trophée, ce fut pourtant vers Damien qu’elle se tourna et dont elle engloutit le sexe.
Etait-elle consciente de la jalousie qu’elle provoquait en lui préférant spontanément son amant alors qu’il venait de les rejoindre ? Ce couple qui faisait l’amour depuis plus d’un heure. Qui affichait son épanouissement et auprès duquel il apparaissait comme une pièce rapportée.
Il savait que non. Qu’elle se laissait seulement aller à la pulsion de l’instant, à son désir, à ce qu’il avait lui-même voulu lui offrir. Elle qui semblait si mesurée aux yeux des autres, recelait une personnalité dont la peur, la mesure, la culpabilité étaient exemptes. Jamais ou presque elle ne provoquait les situations que Nicolas construisait ou facilitait. Mais, le pas franchi, si elle y trouvait une satisfaction, parfois ignorée, la simple idée de limite n’existait plus.
amicalement
Bonjour à vous tous amis cocus et candaulistes
Voilà le chapitre consacré à Damien
Je ne vais pas être modeste excusez m'en, mais je suis sincère.
Je pense en relisant ces pages qu'elles relatent au plus profond tous ces sentiments
obscurs et antagonistes qui nous habitent dans notre quête.
Elles sont empreintes à la fois de la sincérité et de la naïveté qui nous dominent lorsque nous désirons mettre en jeu et risquer ce que nous avons de plus précieux.
Elles décrivent, toujours de façon véridique, les pulsions et les tourments qui sont les nôtres lorsque le jeu que nous croyons assumer, nous échappe.
Ce sont aussi les faiblesses que nous devons avouer et reconnaitre lorsque le trouble va au delà de ces que nous avions imaginé et que nous nous croyions capable d'accepter.
Pour la première fois ma femme avait comme je le désirais, comme elle en avait envie, un amant. Pas un simple partenaire sexuel comme elle en avait eu de très nombreux.
Un amant qui était devenu mon complice mais surtout qui la désirait, qu'elle désirait, qui lui faisait superbement l'amour, et dont elle était follement amoureuse sans pour autant moins m'aimer.
C'était ce dont j'avais rêvé...
Mais cette réalité est moins facile à vivre que dans les rêves.
J'insère ici quelques lignes de ce chapitre, mais sans prosélytisme et pour tous ceux qui sont animés par cette pulsions de cocufiage ou de candaulisme, peu importe le mot je vous invite à lire cette part intense de notre parcours amoureux, que vous ayez franchi le pas ou que vous désiriez le franchir, je pense que vous découvrirez ou partagerez les émois qui se produisent au delà du simple plaisir sexuel.
Une dernière chose. C'est un jeu qui se joue a deux. Si vous désirez franchir le pas, faites lire ces lignes à votre compagne ou votre épouse. Cela vous facilitera les choses à tous les deux. Pour ouvrir ou non la boite de Pandore
Amicalement à tous et j'aurais plaisir à vos réactions sur ce chapitre qui fut aussi un chapitre de notre vie.
En voilà presque le début.
Il ne cessa de tenir sa taille lorsque leurs bouches se désunirent. Damien semblait à l’aise. Peut-être parce qu’il avait longuement parlé au préalable avec Nicolas et qu’il savait que sa présence répondait au désir commun du couple qui le recevait. Un désir profond et partagé. Leur accueil le lui avait confirmé. Lettré et anglo-saxon, il évoqua alors la proximité de leur quête avec l’ambiguïté de la relation entre Scott Fizgerald et Zelda.
Caroline l’écoutait, blottie contre lui, souriant à Nicolas, comme un remerciement d’avoir entrouvert cette nouvelle porte. Ce fut elle qui prit l’initiative de rompre la virtualité qui s’était installée. Se levant, elle prit Damien par la main.
- On va aller faire connaissance avec Damien, mon chéri !
- On ?...
- Je veux dire lui et moi … c’est ce qui est convenu , non ?
- Oui, oui, bien sûr.
Il revenait d’un coup à la réalité. Elle s’approcha de lui , posa un baiser et lui murmura, mutine.
- On t’appelle dès qu’on a besoin de toi, mon chéri…
Ils se dirigèrent aussitôt vers la chambre et il entendit la porte claquer.
Il était détendu et pourtant troublé comme rarement il l’avait été. Même si c’était lui qui avait seul préparé cette rencontre, l’attrait que provoquait Damien sur elle était indéniable et, à cet instant, elle n’était plus comme auparavant l’objet complice de ses fantasmes, de leurs fantasmes. C’était un plaisir qu’elle voulait déguster seule, cette porte fermée le lui confirmait.
Il ressentit cet étrange et délicieux sentiment de jalousie qu’il n’avait plus éprouvé à ce point depuis la conquête de Caroline, puis ses premiers abandons sexuels à d’autres que lui. Il savait qu’à cet instant c’était plus que son corps qu’elle était en train de lui offrir.
Il se retint d’aller s’approcher de la porte, et cela ne fit qu’alimenter un peu plus sa machine à fantasme et cette émotion oubliée. Il lui était cependant difficile de fixer son attention sur autre chose que ce qui se déroulait à quelques mètres de lui. Il mit Chet Baker sur la platine. « My Funny Valentine »
Plus d’une heure passa avant que son portable ne se mette à vibrer.
- Tu viens nous rejoindre mon chéri ?...
Sa voix était douce, presque révélatrice d’une plénitude des sens et de l’esprit. Il se contint pour ne pas les rejoindre trop vite et adopter la décontraction qui se devait être la sienne.
Dans une semi pénombre, ils étaient allongés sur le lit. Les draps froissés trahissaient la fougue des ébats qu’ils avaient accueillis. Côte à côte, Damien nu, fumant une cigarette en fixant le plafond, Caroline, encore vêtue de son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses escarpins, ses seins lourds et gonflés, caressant lentement le membre au repos.
Deux amants après l’amour. Beaux et repus de plaisir. C’était l’évidence qui s’offrait à ses yeux. Pas deux partenaires qui avaient baisé. Ce qui se dégageait était tout autre. Sans interrompre sa caresse, elle se tourna vers lui en souriant.
- Tu nous apportes à boire, chéri et puis tu viens nous rejoindre ?
Un peu hypnotisé, il ne réagit pas immédiatement, mais quelques minutes plus tard il était de retour avec les verres.
- Viens vite !
Le sexe de Damien avait maintenant repris toute sa vigueur, et il s’aperçut qu’il ne s était nullement vanté lorsqu’il lui avait évoqué une virilité que ses partenaires remarquaient. Ce n’était pas les blacks, mais il était cependant bien plus long et volumineux que le sien.
Paradoxalement cela ne fit qu’amplifier son excitation. Il n’y avait pas de satisfaction à se mesurer à plus faible que soi. Là tout était réuni. Jeune, beau, intelligent, tendre, et maintenant viril, c’était une concurrence redoutable qu’il devait affronter.
Nu, il se glissa à la gauche de Caroline, et ses mains furent aussitôt partout sur son corps. Cette fois, elle branlait les deux sexes ensemble. Nicolas commença par mordiller ses tétons puis remonta lentement jusqu'à sa bouche. Le baiser qu’elle lui offrit fut long, profond, sensuel comme il ne l’avait été depuis longtemps. Son sexe lui faisait presque mal tant il durcissait encore et encore.
- Je t’aime, dit elle en reprenant haleine
Sans lâcher sa virilité, presque brandie comme un trophée, ce fut pourtant vers Damien qu’elle se tourna et dont elle engloutit le sexe.
Etait-elle consciente de la jalousie qu’elle provoquait en lui préférant spontanément son amant alors qu’il venait de les rejoindre ? Ce couple qui faisait l’amour depuis plus d’un heure. Qui affichait son épanouissement et auprès duquel il apparaissait comme une pièce rapportée.
Il savait que non. Qu’elle se laissait seulement aller à la pulsion de l’instant, à son désir, à ce qu’il avait lui-même voulu lui offrir. Elle qui semblait si mesurée aux yeux des autres, recelait une personnalité dont la peur, la mesure, la culpabilité étaient exemptes. Jamais ou presque elle ne provoquait les situations que Nicolas construisait ou facilitait. Mais, le pas franchi, si elle y trouvait une satisfaction, parfois ignorée, la simple idée de limite n’existait plus.
Modifié en dernier par cestpasmoi le 28 avr. 2014, 09:44, modifié 1 fois.
Raison : photo visage
coculopeencage a liké