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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Ce fut d’abord le thé à la menthe citronnée sous la grande paillote, celle dévolue aux hôtes. Des femmes à la silhouette élancée s’étaient assises en rond, certaines vêtues d’une sorte de sari aux couleurs chatoyantes, d’autres de leur pagne en matière végétale. Quelques-unes avaient des scarifications sur le visage, trois petites balafres depuis la commissure des lèvres de chaque côté des joues. De fines boucles d’or aux oreilles, des bracelets aux poignets et aux chevilles, et au cou des colliers de perles et de minuscules coquillages aux couleurs vives. La nuit tombait vite sous ces latitudes. Il y eut un repas frugal autour de la table commune, poulet-arachides, sauce piments rouges explosive. Un peu à l’écart, les hommes mangeaient entre eux, commentant inlassablement les faits et gestes de la journée.
Trois femmes étaient là, dont l’ancienne qui m’avait minutieusement toisée pendant le repas. L’une d’elles, la plus jeune, s’était approchée. Les deux autres, assises en tailleur, semblaient fossilisées. Elles étaient vêtues de leur boubou traditionnel aux manches très amples. D’un geste, on me montra de les suivre, Phil vint me dire de ne pas m’inquiéter, un rituelle, une initiation m’avait été désigné…je quittai avec eux notre lieu de nuit et rentrais dans une des deux petites cases, une grande natte circulaire au centre sur le sol et on me fit signe de venir m’y tenir au centre. Machinalement, mon regard avait fait le tour de la pièce. Il y avait là quelques récipients d’origine végétale, d’autres nattes sur le pourtour, des palettes de bois, des morceaux de fourrure d’animaux, des corbeilles, une grande avec des drôles de plantes et des racines, une plus petite contenant de l’argile et de l’ocre rouge. Il émanait une odeur suave, probablement obtenue par quelques feuilles déposées sur des braises ardentes. À côté, une pierre plus blanche, un galet de calcaire complètement poli, usé à force d’utilisation.
La femme plus âgée me fit comprendre que mon boubou porté en l’occurrence ce soir là, était superflu, me faisant signe dans le même temps de m’asseoir sur la natte, en position de tailleur. Se mettre nue dans ce contexte et dans les circonstances était en soi une gêne. Je ne m’y opposais pas, mais la suite m’intriguait bien davantage, l’impression d’un cours concernant les rites voués au Dieu de la fertilité. Les deux ou trois lampes à huile disposées à même le sol donnaient à l’espace un éclairage particulier, tout en reliefs et en tons chauds, accentuant les saillies et les proéminences de chaque détail. Sur un geste de l’aînée, l’une des femmes s’était agenouillée derrière moi. Elle avait entrepris de me masser les épaules, montait et descendait le long des bras, ne faisant qu’effleurer le coté de mes seins au passage, comme par inadvertance. Les frôlements étaient doux, je laissais faire, la tension sexuelle qui émanait de cet espace clos était palpable. Des regards avaient plongé sur mon entrecuisse et un commentaire en langue régional fit rire les trois officiantes. Rapprochaient-elles l’image de ce sexe d’adulte, dépourvu de poils, juste une naissance dans ce début de repousse, de celle des vulves qu’elles voyaient en d’autres circonstances ? Non, assurément. Une idée atroce tout à coup, me fit se redresser et regarder autour de moi. Mais non, pas de scalpel ni de lame de rasoir dans les parages ! Sans doute riaient-elles simplement de ce petit duvet immergeant, loin de refléter les nuances noires de mes cheveux. Une présentation en somme, suivie incontinent d’une requête moins anodine. Il fallait me mette à quatre pattes et me tenir sur mes coudes. Les attouchements s’étaient alors vite transformés en palpations. Les mains s’étaient mises à me malaxer la croupe tendue, allaient et venaient sur l’extérieur et à l’intérieur des cuisses. La position fesses en l’air et seins pendants vers le sol donnait aux trois femmes un avantage psychologique encore accru par le fait qu’elles étaient entièrement vêtues. La gageuse que j’était n’était plus réservée au seul toucher, elle devenait insidieusement cérébrale. J’avais l’impression de ne plus être qu’une femelle achromique que l’on évalue, offrant aux femmes la perspective d’une nette dominance. Mes cheveux me tombaient sur le visage, ne voyait pas les gestes, mais je sentais les mains de chaque côté de la taille, monter et descendre le long de mon dos, des pouces insister sur le creux des ovaires et des doigts venir s’insérer dans le sillon de la raie fessière, j’eu un soubresaut...
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Pendant ce temps, un homme entra dans la case. Il alla s’asseoir sur une autre natte, un peu à l’écart. Apparemment le sorcier, il portait un pagne de cuir souple et arborait une griffe de lion autour du cou. Jusque là, pas de quoi faire une grossesse nerveuse ! Le visage accolé à la natte, j’évitais de le regarder, préférant laisser divaguer mes yeux sur l’activité des femmes qui m’entouraient. On m’invita par un signe à m’allonger sur le dos.
Sous l’œil de l’ancienne, l’ingérence des deux officiantes dans le rôle de masseuse c’est faite redoutable. Aussi futées dans leurs gestes que sur leurs manières, ces femmes étaient des expertes dans l’art d’inspirer l’amour et maîtrisaient à merveille la technique du stimulus sensoriel. Un savoir-faire qui s’était d’abord manifesté sur la poitrine, passant leurs index en mouvements circulaires autour de mes aréoles, les enfonçait parfois profondément dans mes mamelons, puis les laissait resurgir avant de se mettre à en étirer les bouts et à les triturer entre leurs doigts. Elles s’étaient ensuite amusées à ballotter mes petits seins par de petites tapes depuis le dessous et sur les côtés, avant de s’attarder du bout de la langue cette fois, sur les extrémités tendues in extenso. Après un long câlin de la bouche sur les poils renaissants de ma conque de velours, l’une des femmes, accroupie entre mes cuisses, s’appliquait à redessiner les extérieurs de la féminité. Elle promenait un, puis deux doigts le long de ma fente dés lors, détrempée. Entrouvrait la vulve et s’amusait à étirer longuement le fil visqueux dont elle était imbibée. Des compressions du clitoris qu’on m’emprisonnait entre mes grandes lèvres et qu’on roulait, genre entre le pouce et l’index, jusqu’au vocable qu’on devine fleuri, les ingrédients de la séduction s’entremêlaient au plaisir dans ce genre d’aménités. Il fallait rester imperturbable, c’était la gageure, mais aussi l’engagement. Enfin…celui qui était convenu.
On m’a de nouveau fait un signe de relever le buste et de prendre appui sur mes coudes. À l’évidence pour qu’elles s’imprègnent de mon image. Il fallait aussi faire bonne figure à une prestation qui se révélait plus perfide que je l’imaginais. La jeune femme de la nuit dernière, ma masseuse du bain, était venue m’enlacer, mimant l’approche amoureuse, cherchant l’embrassade à pleine bouche, titillant le pourtour de l’oreille, revenant mordiller mes lèvres et essayant de s’insérer entre moi, non sans un certain succès. Une étreinte en douceur, dévorante et corrosive, que j’aurais bien prolongée si les conditions avaient été différentes.
Car l’autre réalité se dessinait en filigrane. J’avais ressenti une petite attirance particulière pour cette femme belle et troublante. Une attirance difficile à occulter quand les démons lesbiens resurgissent comme un nuage de grêle avant la vendange. Un désir qui transpire et projette les phéromones comme des milliers de seringues hypodermiques. Cette femme était charnelle, musquée, un homme l’aurait interprété comme bandante.
Je n’avais tenté d’approches, même à peines voilées, mais par allusions interposées, Diop l’avait largement emporté. Alors tenter la séduction par procuration ? Avec une logique incertaine, je pensais que ce serait peut-être ça, le sésame. Un concept qui avait d’ailleurs largement contribué à me faire acquiescer à l’idée de ce voyage…
Mon regard perdu dans la réflexion se porta malencontreusement sur la limite du pagne de cuir souple, voyant dépasser un quelque chose qui ne pouvais qu’être que l’impensable, un quelque chose de dimensionnel hors norme, XXXL, ce quelque chose pleurait par intermittence d’un filament glissant presque au ralentit vers le sol…

On avait placé une sorte de polochon sous mes reins, de façon à donner au bassin une certaine élévation souhaitée. La matrone vint s’agenouiller entre mes cuisses, face au pubis, et ouvrit ma vulve avec d’infinies précautions, le genre de minauderie qui avait été vraiment de mise jusqu’ici. En même temps, elle avait guidé ma main de femme blanche et l’avait posée sur mon clitoris, me faisant le signe de la masturbation, estimant certainement le plus naturellement, que je n’aurais aucune gène de m’octroyée à cet acte si personnel, et en plus devant un public… J’acquiesçais non sans mal, sans applications, moi qui rechignait habituellement à ne pas être très volontaire à cette luxure, sentant mon sexe s’ouvrir davantage, mais la honte me gagnait plus cette fois-ci lorsque elle voulue que de mon autre main tienne mes lèvres écartées en grand…
Ces deux doigts se sont enduites d’une pâte huileuse, probablement de l’argile couleur brun-rouge, qu’elle avait mélangée à une poussière blanche ressemblant à du kaolin. Dans le contexte, ce pouvait aussi bien être de la poudre de cantharide dont ils sont friands pour ses vertus immorales aphrodisiaques. Elle étala un peu du mélange sur mes muqueuses qui se mirent à chauffer dans l’instant, puis enfonça les doigts recouverts dans mon vagin en un mouvement linéaire vers l’utérus. Le périnée se rétracta aussitôt. Je poussai un petit cri caractéristique, suivi de l’inéluctable cambrure de l’échine lorsque le bassin se tend. De ces yeux écarquillés de vieille femme, elle se mit à lancer des incantations, comme des chants, mêlés aux roucoulements sourds de mon fond de gorge, le truc qui trahissait mes organes de leurs sens exaltés, mon état s’affecta péniblement par les impressions extérieures ; de mon cerveau, des illusions, des hallucinations, des spasmes, des mouvements convulsifs me taraudait le ventre…
De leurs comportements de femme, je constatais qu’au moins, j’étais acceptée. Il me restait à me faire accepter par le sorcier, et pour cela, il fallait que j’accepte de me livrer, même ci l’envie d’inter-changer avec autre chose que des doigts m’avait gagnée, je n’étais pas encore totalement prête, je luttais, pire je combattais, voilà que la situation de ces représentations m'anéantissait totalement, je ne pouvait en aucun cas laisser diffuser mon images lubriques sur lesquelles je paraissais plus que consentante, active, participante de mon plein gré ! Mais mes pensées ne m’obéissaient plus, le disque était raillé, mon esprit avait une empreinte permanente d’un estoc de grosse taille à la porté de mon regard, je me l’imaginait coulissant dans ma cicatrice féminine, espérant que ce quelque chose, d'un geste impérieux, me distende mon étroit conduit expulsant mes propres fluides intimes …

Elle s’arrêta à mi profondeur, observant le mouvement de mes lèvres, et très vite les doigts s’engagèrent plus avant, gagnant à chaque aller-retour quelques millimètres de pénétration. Suivirent des rotations du poignet, aussitôt ponctuées par le savoir-faire des deux autres, tantôt du plat de la main sur le haut de la vulve, tantôt vers les mamelons durcis qu’on étire sans trop de ménagement ou qu’on roule entre deux doigts. J’avais fermé les yeux, ma façon de jouer l’autruche. Des spasmes révélaient pourtant mon désarroi, rester stoïque malgré la modulation des pressions, malgré les picotements astringents qui avaient mis le feu à mon bas-ventre. Dans d’autres circonstances, il y a longtemps que j’aurais modifié le rythme de ma respiration, lâché des miaulements et me serait caressée jusqu’à un premier orgasme. Sous toutes les latitudes, lorsque le dialogue est minimal, le geste se substitue à la parole. L’ancienne avait une fois encore saisi ma main, l’avait guidée vers mon sexe et fait en sorte qu’elle se marie à la sienne dans une attitude qu’elle voulait complice et intransigeante. La méthode olfactive a ses vertus « essentielles » en Afrique, où tout n’est qu’odeurs brutes ! Accompagner de ces doigts vers sa bouche découlait alors d’une chronologie acidulée que l’ancienne observait dans un sourire à peine retenu. En même temps, elle poursuivait inexorablement l’atroce va-et-vient, savait qu’elle était sur la bonne voie et voulait s’en délecter. Je sentais devenir animale, prise au piège, verrouillée contre les doigts dans une jouissance que je voulais retenir. Dans ces moments d’intensité, on ne peut que se cabrer, on veut fouetter l’air de ses bras, on raidit les cuisses, on se plante les ongles dans la peau…il fallait se contenir, ne pas me laisser piéger, lutter sous l’impulsion quand des soubresauts orgasmiques agitaient mes seins, quand des vagues de frissons exacerbait le désir. Mon sexe n’était plus qu’un volcan sans répit, enfin le lent retrait de sa main me soulagea.
Pendant un instant glacé d’effroi, on craint de ne plus pouvoir s’extraire de cette démence digitale. Puis on réalise qu’on n’est pas tout à fait seule. Il fallait reprendre une respiration normale, changer de position, se recroqueviller sur les coudes, serrer les bras et se persuader d’être ailleurs tant la surréalité était présente…
Derrière moi, l’une des femmes s’offrait aux reins l’appui de mes cuisses. Les autres, accroupies de chaque côté, caressaient mes bras avec des lenteurs calculées, parlaient entre elles et lançaient des regards alentours comme si elles attendaient quelque chose, ou quelqu’un. Elles avaient avancé le polochon, l’avaient calé contre la naissance de mes fesses pour redonner au bassin la forme convexe qui semblait leur convenir. L’attention soudain, se porta sur une égérie en boubou jaune tenu par la jeune, elle s’approcha de mon visage et me porta le bambou aux lèvres, le gout était fruité et très agréable.
Celui-là même qui était resté dans l’ombre jusqu’ici, s’approcha et lança dans son dialecte des incantations ! Des chants… La pièce se mit à tanguer sous mes yeux, je fus chahutée langoureusement de tous mes sens, libération de mes phéromones, je ressentais le signal biochimique qui agissait directement sur mon système hormonal sexuel. La sensation me troublait profondément et je sentais de mes parois les plus secrètes la surproduction du liquide chaud et brulant. Mes nymphes engorgées s'ouvraient comme des ailes de papillon pour donner libre accès à l'intimité profonde de ma figue luisante qui n’avait que de splendeur, mon clitoris en forme de tigelle donnait envie de le butiner et de l'emprisonner, il émergeait vulgairement de son abri.
Le sorcier s’était accroupie et me dardait du regard l’entrecuisse trempé de jus féminin, à en faire damner les esprits les plus tordus de la forêt.
Le silence, étourdissant, aurait pu faire le sujet d’une antilogie, c’est sur…
Dépassé, l’effet surpris s’insérait entre mes cuisses… Et les effets de bouche à fleur de pubis. Complicité furtive devenue énergie comme par enchantement. Soudaine, intense et en même temps empreinte d’une douceur infinie. Des instants trop courts, vite réprimés par l’ancienne, qui n’entendait pas être dépossédée de ses prérogatives. L’une des femmes s’appliquait à délacer le pagne de cuir du mâle. La lueur des lampes à huile donnait au corps et aux jambes en particulier, des allures d’infini laissant apparaître le sexe érigé. Celui-ci palpitait sous mes yeux, étrange, d’une longueur inimaginable inhumaine, pourvu d’une tête cyclope turgescent et baveuse en continue, le tout plus large que le manche. Et loin, très loin dessous, deux grosses boules ovales se balançaient complètement dénudée, elles étaient à elles seules une sorte d’incantation. Notre vis-à-vis se prêtait avec placidité à nos examens visuels, l’agréable prémices d’un plaisir certain mêlé à la crainte de souffrances, je remontais le regard sur le buste de l’homme. Il était mince, maigre même, et les détails de ses longs muscles se dessinaient de manière surprenante sous sa peau brulée. Tout contribuait à donner à cet homme particulier inespéré, imprévu, un attrait formidable.
Deux des femmes m’avait fait relever les jambes, cuisses à hauteur de poitrine. Les ouvrir et tenait mes genoux de façon à ce que le mont de Vénus et ma vulve soient en saillie synchrone. Le polochon sous mes fesses accentuait encore l’élévation du bassin. L’ancienne ne s’y trompait pas. L’aptitude, dans ces circonstances, c’est aussi l’étalage des attitudes comme mes cuisses qui tremblaient… Dans leurs yeux, je pouvais lire « Prête, la petite blanche », librement formulé de part leurs longs sourires. Consciemment même l’esprit légèrement embrumé, je savais que j’allais exulter mes besoins physiques, à grands coups de reins, il allais me pénétrer, me prendre au plus profond, sa pioche allait me creuser avec enthousiasme, j’allais sentir les frissons de mon vagin renaissant à la vie, les contractions violentes autour de l’exploreur de mes profondeurs désertées.
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#1256140
Un homme entrait, puis deux, l’un était blanc, l’autre noir… A un certain moment, je reconnue Phil et par la suite Diop, ils s’agenouillèrent non loin de moi. Mon homme apporta de sa présence l’assurance qui par moment me faisait défaut… Mais en contre partie, de leurs voyeurismes, je me sentais rougir, et de grosses bouffées de chaleur montaient en moi. Je ne sais pas ce que je ressentais le plus fortement à ce moment la, j’avais une part de moi qui avait honte de cette exhibition, et à la fois tellement excitée que ce désir qui me tordait le ventre trempée. En relevant mes yeux, je croisai les leurs, le sourire que formait leurs visages me faisais comprendre qu’ils avaient compris mon trouble.
J’aurais voulue dissimuler à quel point l’excitation m’avait gagnée, mais je savais aussi que Phil, au contraire, voulait que les autres le sache, il se jouait de moi, lors de nos relations privé, il me disait des obscénités pour me rendre folle, il me proposait une bite imaginaire, plus grosse, pour remplacer la sienne, que j’adorais être l’objet sexuel dont chacun pourraient disposer à leurs guises.
De la façon dont le sorcier s'est avancé vers moi, il avait compris que j’étais prête, il pouvait me faire ce qu’il voulait, je ne demandais pas mieux en fait, je scrutais son sexe magnifique, sculptural, avec une envie non dissimulée. Ses yeux avaient l’assurance du maître de l’endroit, sur un geste de la matrone, ses doigts partaient en exploration, ses mains savaient caresser mes abords, me câlinèrent l’épiderme, délicatement et s’en allèrent ensuite visiter mon puits fécond empli de cyprine, j’allais être sa propriété, j’allais lui appartenir, il le savait. Son index et son majeur flattèrent mes parois internes de mon fruitier chaleureux. Les bruits licencieux créent par les allers et retours résonnaient érotiquement à qui voulaient bien les entendre. Ravi de constater sur lui-même l’efficacité de la potion ingérée, bien décidé d’en profiter. La guide de cérémonie se saisie de son membre d’étalon et le guida aux portes de mon éden d’un mouvement enthousiaste, il vint se placer, à genoux face à l’entrée de la grotte aux souris presque chauves. Même à genoux, c’était sous-estimer la stature de l’homme et la longueur de ses cuisses. Je relevais encore mon bassin et maintenais ma cambrure en ceinturant mes reins, j’avais anticipée. L’ancienne n’en souhaitait pas tant, elle agrippa la monstrueuse tendue à l’extrême, et se mit à en promener la « tête » de bas en haut comme pour l’essuyer d’elle même ou de l’imprégner de moi, ce geste écarta ma muqueuse baveuse et rendait encore plus saillant la lisère de ma fente.
Je regardais mon mari dans les yeux, ses yeux bleu me parlait, je le savais séduit, je le savais heureux et fière de me découvrir dans cette posture, déjà je ressentais le désir, le sien, le mien, le nôtre, nous dévoiler les codes du jouissance à venir, tisser la toile de nos envies charnels, de nos sexes s’exacerbés, portés par les souvenirs, les gestes, les rêves à vivre. Amour, complicité, sensualité se conjuguaient.
Dans un geste inconscient, j’avançais mon bassin cherchant l’intromission avec l’impudique qui me faisait face, en finir de cette attente, mais la main de la sage me fit comprendre qu’elle seule avait pouvoir de cette introduction, ces longs doigts toujours posés sur la lippe charnue, elle le posa sur ma féminité luisante de son inconduite précédente. Quelques poussées impétueuses m’ont fait haleter, sans savoir comment faire pour ne pas sombrer à l'instant, la bouche ouverte aspirait l’air par saccades et l’expulsais feulant au rythme de l’intromission que subissait mon con. Je paniquais même à trop penser sur ça taille, la trouvais trop grosse, à imaginer qu’elle ne rentrerait jamais…
La norme indéniablement sûre de ce qui me allait me posséder était à la hauteur de la réputation des hommes du pays et je ne pouvais plus que me soumettre entièrement à leur loi.
Le dosage et savoir-faire en ordre de marche, les crispations de mon visage ce sont éloignées, mes mains se sont même harnachés à ses hanches pour me cramponner à son sexe, ce coït bestial allait me faire jouir avant même un quelconque coulissement, le vagin dilaté et obstrué de jouissance, mes parois se distendaient, je m’habituais à sa présence, m’envoyait les prémices de la jouissance dans tout le corps, il s’insinuait en gestes millimétrés. Son organe grossissait encore dans mon boyau moulé, il me transperçait complètement, il semblait buter sur mes ovaires, à trop sentir son épais méat brulant me titiller l’utérus.
Mon homme m’avait dit un jour avoir vu le démon du désir s’emparer de sa femme et qu’il avait trouvé cela d’un érotisme phénoménal, il était servi, cette fois-ci.
Mon esprit vagabondait au gré des sensations, au fond de moi la tempête faisait place à l’ouragan, régulièrement je sentais mes sens chavirer. Ma vulve n’était plus qu’une bouche goulue aux lèvres sur-gonflées qui malaxait une queue pleine de contractions, je me préparais à vouloir extirper tous les sucs de celle-ci.
Sans aucune crispation, sans tensions supplémentaires annonciatrices, le plaisir vint instantanément, j’étais submergée par un orgasme d’une forte amplitude, la jouissance s’emparait de tout mon être et incendiait mon sexe et mon ventre dans de délicieuses sensations qui me mettaient en transe… J’étouffais de ces variations enivrantes qui irradiaient ma chatte embrasée. J’étais incapable de réagir tellement tous mes sens étaient bouleversés, chavirés. C’est difficile à expliquer, mais l’intenses me vidaient aussi bien qu’elles me remplissaient de plaisirs. Le sentiment fut plus grand encore quand il commença à aller et venir, cela décupla la violence des orgasmes.
Le plaisir physique et cérébral de la situation me bouleversait comme jamais. Je ne pouvais plus m’empêcher de feuler de plaisir à chaque mouvement, je subissais un ramonage méticuleux ou la règle était la douceur. Mes seins avaient doublées de volume, Diop que je n’avait pas vu s’approcher, les effleurait de la paume de ses mains, agaçait doucement les extrémités ultras sensibles, je le découvrais nue, les bites noires ne relevaient pas du mythe, mon visage était à quelques centimètres de sa bite tendue et brillante. Alors, je m’en emparais avec une convoitise évidente j’avançais la tête et commençais à le sucer utilisant soit les lèvres soit la langue soit toute sa bouche. Lorsque je m’interrompais pour reprendre mon souffle, pour exprimer la pénétration, ce sont mes mains qui prenaient le relais, agiles, chaudes, fermes et douces. Puis, le reprenais en bouche, dès que le répit me le permettait, passionnément. Si bien que je la sentie se raidir, de mes doigts d’expertes le masturbais en tirant la peau vers l’arrière, le méat posé sur ma langue, la bouche entrouverte, sa queue généra de longs jets blancs qui, rapidement, couvraient ma langue, mes dents, de trainée sur mon visage en tous sens. Moi qui voulais montrer à mon homme que tous les spermes n’étaient pas rebutants, je n’aurais jamais imaginé à quel point. J’avalais, le nettoyais, le buvais avec délectation…
La boule incandescente remontait de mon ventre jusqu’à ma gorge, mes épaules. Mon corps se tendait, dans ces instants de désirs fulgurants. Sous le repli de mes cuisses, entre mes lèvres de fin pétale qui semblaient trembler, il était là suivant le ruisseau en bon travailleur et couvert d’anneau d’écume, les bourses couvertes de cette même blancheur. Mon cerveau ne me transmettait plus que le désir, les pulsions animales, brutales, la pure frénésie, jouissance tirée de mes râles et couinements dans ces cadences qui tendance à s’accélérer. Mes gémissements, de plus en plus forts, faisaient réagir mon partenaire. Il reprenait les rênes, s’agrippait à mes hanches, à mes fesses, je sentais mes seins ballotter, il y mettait une force qui me transcendait. La douleur de sa poigne était futile, comparée au plaisir que me procurait son sexe. Mon souffle saccadé lui faisait part du plaisir qu’il me donnait. Il accélérait encore et encore. Ma vue se brouillait. La puissance de ce qu’il me faisait est telle que j’étais proche de l’apothéose. Un nouvel orgasme arrivait, encore, il était long, intense. Mon partenaire m’accompagnait alors que j’étais au summum du plaisir. Il mobilisait ses dernières forces et défonçait à grands coups de reins ce vagin enchâssé sur son vit. Tous les signes d’une éjaculation se trouvèrent soudain réunis, version extra-utérine… Corps parfait dont toute l’énergie est dédiée à la satisfaction du plus ancien, du plus primitif mais aussi du plus urgent des désirs aux yeux de la belle épouse. Cataclysme des corps, contractions, détentes dans une extase fulgurante illuminait mes neurones, les éblouissaient, les carbonisaient. Son plaisir comme une lave se répandait en moi, en grande quantité, tordant mes muscles et nerfs. Mes gémissements se répondaient, mon bassin se mouvait. Les spasmes orgasmiques de sa tige retentissaient dans ma chatte, son sperme s’y écoulait en soubresautant, longuement. Nous partagions nos jouissances en cherchant à les prolonger. Des soupirs appuyés accompagnaient l’émission de sa semence qui fusait en jets drus me tapissant les parois vaginales provoquant d’ultimes sursauts et plaintes, lui, continuait à marteler dans un même rythme mon corps soumis. La liqueur abondante avait coulée hors de mon fourreau, c’était immiscé dans mes replis de chair et avait englué mes lèvres, l’intérieure de mes fesses.
De mes doigts j’enroulais à la base la friandise charnelle de mon Phil qui c’était approché pour m’embrasser, effectuais d’harmonieux va-et-vient tandis que nos langues se parcouraient posément. J’étais émerveillée par la grande fusion du liquide séminal, sa queue en était baignée, recouverte, ses bourses engluées. Sa polissonne de femme finit par le prendre en bouche, je lui devais au moins de le délivrer, j’entamais une folle dance de ma langue sur son gland, intensifiant mon œuvre, encouragée par la respiration devenue rapide du concerné, jusqu'à sentir fuser sa troublante saveur de semence tiède et gluante entre ma langue et mon palais, glissant au fond de ma gorge.
Le sorcier se retira créant un grand flop de sa queue flasque, mais aussi un grand vide… Une bouche léchait mon sein, descendait, descendait, baisait mon ventre plat, je soufflais. Ma respiration était irrégulière, j'haletais toujours. Quand elle arriva à l'endroit de ses désirs, elle lapa cette chatte pleine et débordante de cette grande goulée de crème de mâle, ce mélange de semence et de cyprine. Le corps tout entier tourné vers cette bouche africaine aux lèvres presque carnivores qui savait si bien faire jaillir d'une chatte les coulées d'un plaisir aux senteurs marines…Elle me nettoyait les nymphes laiteuses et le bourgeon sensible encore pantelant des caresses.
Les filles se mirent à embrasser chaque parcelle de ma peau bronzée, me baisaient les seins, le visage, faisant tous disparaître, c'était un délice et une torture... Ils continuaient de leurs langues, je me sentais frémir de tout mon être, les vibrations dans mon bas-ventre, ma colonne vertébrale était parcourue de véritables ondes de plaisir et de chaleur. Elles étaient toute entière excitation et plaisir. Les mains s'agrippaient dans mes cheveux, se pressaient contre mon corps. Je répondais à leurs suppliques muettes. La langue pénétra mon puits défendu, elle jouait une mélodie symphonique sur mes cordes trop bien sensibles. Je retenais ma respiration à chaque fois qu’elle touchait mon bouton, relâchais l’air emmagasiné dans mes poumons dans de petits cris d’extases. La chaleur augmenta considérablement dans mon corps, les tremblements également. Tous ces attouchements et les va-et-vient dans ma grotte brûlante me transportèrent une nouvelle fois vers des plaisirs indicibles. Je gémissais tout en maintenant sa tête plaquée sur mon sexe.
Je m’effondrais le corps souillé, dans une brèche spatio-temporelle et resurgissais de temps à autre complètement lessivée, haletante, en nage, et à bout de force.

Dehors, le son grave des Jambés relayait par intervalles le tintement des grelots de chevilles. La fête de la pleine lune était bien avancée, les danseurs aux visages grimés et à l’accoutrement bigarré fait de pailles et de plumes, d’ombres furtives se profilant dans les lueurs du grand feu de bois.
La fête se prolongea jusqu’à l’apogée de la pleine lune. Puis par petits groupes, chacun se retira. Une fin de nuit sans débauche de sommeil, pas plus pour moi que pour mon mari, nous sombrions dans l’inconscience, sur nos nattes de la grande case.

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