©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par savoyard7473
#1257002
Vacances de printemps. Les enfants sont en colos, nous en profitons pour avancer les travaux dans la maison : peintures, ponçage du parquet.
Le téléphone sonne. C'est Annie, ma belle-soeur. Elle est en déplacement dans la région pour la semaine prochaine. Elle pourrait passer nous voir en fin de semaine et peut-être passer une partie week-end chez nous. "Ok pas de problème pour nous". Pour elle, si! Elle est avec un collègue. "Pas de problème, venez ensemble!"
Ce collègue, Al, nous le connaissons de vue et de réputation. Il lui a déjà fait des avances lorsqu'elle avait des problèmes dans son couple. Elle n'a jamais cédé et à mon avis, ne cèdera pas.

Le mercredi suivant, Annie appelle. Elle nous demande si nous sommes toujours d'accord pour les recevoir. "Bien sûr!"
Jeudi soir, ils arrivent tous les deux. Apéro classique, grillades tout aussi classiques. L'ambiance est conviviale et bon enfant. Il est déjà tard. Nous organisons les couchages : AL, au sous-sol dans la chambre d'amis, Annie sur le canapé et nous comme d'hab. Nuit calme et reposante. A 5h, Annie et Al se lèvent comme convenu pour aller travailler (ils ont 1h30 de route). Je déjeune avec eux. Rdv est pris pour ce soir pour apéro et grillades.
Vendredi soir, ils arrivent plus tôt que prévu. Nous n'avons pas eu le temps de changer nos vêtements de travail. Tant pis, tout le monde y est du sien et la table est dressée rapidement, du moins pour l'apéro. Je remarque qu'Annie est beaucoup moins rieuse qu'à son habitude. Solange, ma femme, le remarque aussi mais ne dit rien.
Al et moi restons à la table, premières bières obligent. Solange nous annonce qu'elle va prendre une douche pour être plus présentable. Plus de nouvelles d' Annie...
En voyant ma femme revenir de la douche, j'aurais pu mourir de crise cardiaque si mon coeur avait été malade!
A peine essuyée de l'eau de la douche, tee-shirt échancré comme ce n'est pas permis et un simple shorty! AL a les oeils qui vont lui sortir des orbites. Même si je dois avouer que j'ai déjà fantasmer de la voir avec un autre, que je lui ai déjà dit, que nous avons usé et abusé de scénarii dans ce sens, je dois admettre que cette tenue et cette attitude ne me conviennent guère. Entre rêve et passage à l'acte, il y a un monde...
Je suis mal à l'aise, je bous intérieurement mais ne dis rien. Al en bave mais tout le monde fait comme si c'était naturel.
L'apéro continue, Annie arrive enfin et même normalement habillée pour une femme mariée et mère de 4 enfants.
Le repas se déroule aussi normalement que possible vues les conditions. Mais je me détends, tout le monde est joyeux, Annie a repris du poil de la bête!
Mais Il est tard, maintenant. Tout le monde part se coucher dans les mêmes conditions de la veille...
par savoyard7473
#1258439
Nous nous couchons. Bien qu'énervé, je ne dis rien et espère que, d'elle même, elle m'explique son attitude.
Après des longues minutes, interminables, elle s'approche de moi, se colle à moi, se frotte sur ma jambe. Elle me dit, le souffle court, "baise-moi". Mais qu'est-ce qui t'arrive? Pourquoi tu t'es conduite comme ça tout à l'heure?
Elle hésite puis répond : " tout à l'heure, avant ma douche, j'ai parlé avec Annie pour savoir pourquoi elle faisait la tête". Oui, j'avais remarqué aussi qu'elle n'était pas joyeuse.
"Elle m'a dit que dans la voiture, tout à l'heure, en rentrant chez nous, Al lui avait parlé franchement ..." Ah! il lui encore fait des avances?
"Non, il a parlé de moi...Il lui a dit qu'il me trouvait terriblement désirable et que mes formes ne le laissait pas de marbre. Il a rajouté que si tu n'étais pas là, il me sauterait littéralement dessus...". Peut-être attend-elle une réaction de ma part mais je ne dis rien.
" Pendant tout le trajet, il n'a parlé que de moi, et en plus en des termes peu élogieux. Annie n'a pas osé répondre, car elle avait peur de se faire violer tellement Al était excité". Je ne dis toujours rien, mais mon état d'excitation doit être perceptible puisque Solange commence doucement mais efficacement à me caresser puis masturber.
'Voilà, tu sais tout maintenant. Alors baises-moi". Je commence à la caresser. Sa vulve est énorme tellement elle est excitée, ses lèvres entre-ouvertes. Sa main s'active de plus en plus. Je sens que la pression monte.
"Baises-moi, saute-moi je te dis. Dépèche-toi". Mais je me contente à continuer à la caresser.
"Mais tu vas me sauter oui ou non? Je te préviens, j'en connais un , qui lui va s'en charger... Et ce ne sont pas des paroles en l'air!".
Je ne sais pas pourquoi, ce qui m'a pris, mais j'en lève le drap qui nous couvrait. Ben vas-y.
Elle me regarde à la fois surprise et aussi affamée. Elle se penche vers moi et commence à me sucer. Au bout de quelques minutes, elle se lève et me dit "c'est juste pour bien pouvoir vous comparer" et elle s'en va.
Je suis seul. C'est long, top long insupportable. Est-elle vraiment descendu? Est-elle tout simplement aller au WC? Je ne tiens plus mais je n'ose sortir de la chambre pour la chercher. Je ne souhaite pas passer devant la porte du salon où Annie dort.
par savoyard7473
#1259104
Mais qu'est-ce qui se passe. Elle est partie mais, pas voir Al quand-même! Elle me fait une blague c'est sûr! Oui, c'est ça, elle n'est pas descendue. Elle est allée se coucher dans une chambre des enfants. Voilà, c'est ça. Bon, ben, lève-toi et va vérifier! Allez, courage...
25 mn qu'elle est partie. Je ne sais quoi faire. Je tourne en rond dans le lit. Et puis, comme c'est sûr que c'est une blague, je ne vais pas tomber dans le panneau. Je reste dans le lit.
De toute façon, AL ne convient pas à ses critères masculins. Il a presque 60 ans, il est petit et plus que bedonnant. En plus, il ne donne pas l'impression de prendre grand soin de lui. De toute façon, il ressemble à rien! Elle me fait donc une blague.
02h30 du matin, je me réveille. Elle n'est toujours pas là. Merde! C'est quoi ce mauvais jeu.
03h08, je ne dors toujours pas, à la fois énervé et certainement méchant. J'entends la porte de l'escalier s'ouvrir. Des pas légers dans le couloir. La porte de la chambre s'ouvre. Le drap est tiré. Elle se couche, le plus silencieusement possible.
Je ne bouge pas et surtout ne dis rien. J'essaie d'être le plus "endormi" possible mais j'ai l'impression que ma respiration fait plus de bruit qu'un avion à réaction.
Que faire? Lui dire que sa blague est con ou, plutôt, ne rien dire, vu que dans ces conditions d'énervements, je risque d'être plutôt méchant. Voilà, c'est ça. Tais-toi. Fais comme quand tu as envie de faire l'amour et qu'elle ne veut pas. T'as l'habitude. D'ailleurs de plus en plus fréquemment...Prends sur toi mon garçon.
03h52 : elle dors, je bous, je fulmine.
Vas-y, il faut que tu saches, réveille-la, demandes -lui d'où elle vient. Si c'est que tu crains, vire-là. Une femme infidèle, chez toi, en ta présence, et la belle doche présente!!!
Putain, c'est infernal. Si c'est çà, je pète un cable et je vais lui casser la gueule au petit con. En plus, il arrêtera de faire chier Annie!
Allez, vas-y, demande. Réveille-la!
Avatar de l’utilisateur
par monsieurplus
#1259109
Excellent savoyard et voisin. On attend tous la suite bien sûr!
On a même une petite idée...
par savoyard7473
#1259893
Le souffle coupé, je m'approche d'elle. Elle est couchée en position foetale sur sa droite. Je ne sais pourquoi, mais au lieu de la réveiller, je me plaque à elle, contre son dos. La force de l'habitude sans doute. Nous nous endormons toujours dans cette position. J'adore car cela me permet de lui caresser le ventre et le sein gauche, le plus gros, le plus lourd. Mystère de l'anatomie féminine! Et, voilà, au lieu de mener mon enquête, je me surprends à lui prodiguer des caresses. Merde! Eh, réveille-toi mon gars! Pose ta question! Rien. Caresser son ventre m'a calmé, anéanti. Je remonte tout doucement vers le sein. Elle me dit alors "vas-y doucement, il me fait mal. Surtout ne tire pas sur le téton, il me brûle." Coup de poignard dans le ventre. En général, elle me dit çà le lendemain de sexe débridé, quand je me suis un peu trop excité sur ses nénés. Sauf erreur ou amnésie, ça fait une bonne semaine que nous n'avons rien fait. J'ai dû louper un épisode! Pourquoi t'as mal? Pas de réponse, mais je sens qu'elle est gênée. Pourquoi tu as mal? Réponds-moi.
"A force d'y toucher, de pincer, de les tordre et les mordre, j'ai mal aux seins, il faut les laisser tranquille". Mais, je n'ai fait que te caresser, je n'ai pas été brute.
"C'est vrai, toi, non". Hein? Comment çà, moi, non. Alors qui?
"Devine, gros nigaud". J'ose pas. Il vaut mieux pas laisser vagabonder mon imagination. Eclaire ma lanterne.
" Al". Putain! Merde! Le scénario catastrophe par excellence. Je brûle. Je sers les dents, les poings. Je sens que je monte en pression. Le cataclysme se prépare. La fin du monde. Je sens en moi une accumulation d'énergie. Cà va méchamment cogner! Je me commence à me relever du lit, le programme de destruction du Al est enclenché, irrémédiablement lancé. Ca va saigner.
"Reste-là, remets-toi dans le lit". Quoi, je vais t'obéir, après ce que tu viens de faire? Tu peux courir ma belle.
"Je vais tout te raconter". Ca ne m'intéresse pas. Je vais le défoncer et après je déjeune.
"Tant pis! Je croyais que tu fantasmais que j'aille faire des galipettes ailleurs". Voila, je fantasmais. un fantasme. Mais quand même, que tu le fasses, sans qu'on en parle avant, que tu le fasses chez nous, avec ta soeur sous notre toit! Merde, je l'avais oublié celle-là. J'espère au moins qu'elle ne t'a pas entendu descendre.
"Ben si". Le prochain voyage dans la famille va être sympas. Je suis cocu et la belle-famille est au courant.
"En quittant la chambre, tout à l'heure, je suis allé à la salle de bains pour prendre des préservatifs". Je sens que je l'aime pas cette histoire, mais je ne dis rien.
"J'ai pris la boite et ...". La boite, douze capotes!
"J'avais très envie et je me suis dit que quitte à y aller, autant en profiter un max." Je fulmine. Je pars pour me lever.
"Si tu sors du lit, tu le fais définitivement!". Des menaces. A moi?
"En sortant de la salle de bains, je suis tombée nez à nez sur ma soeur, elle sortait des WC". "Elle m'a regardé, elle a regardé la boite. Elle m'a fait non de la tête et ses yeux se sont remplis de larmes. Elle m'a dit : ne fais pas çà, c'est terrible d'être trompé. Elle n'a rien dit de plus, elle est retournée se coucher sur le canapé".
par ricounet
#1259909
terrible l attente de la suite mais j avoue etre dans ce cas la phantasmer qu elle est des amant mais je redoute cette réaction de violence
au plaisir de te lire
par savoyard7473
#1260005
Merci pour vos messages. C'est sympas d'avoir des lecteurs et de recevoir des encouragements. C'est même motivant. En effet, écrire un épisode est relativement long : 45 mn a minima...
Désolé pour ceux qui m'envoie des messages en MP mais comme je ne suis pas VIP, je n'y ai pas accès : je ne peux donc ni savoir le contenu ni y répondre.
par SurfinJack
#1260084
Ton récit aurait pu être le mien si elle avait osé... mais son désir est resté avec mon fantasme dans l'espace de la chambre conjugale. Il en reste un sourire complice et coquin et un prénom sur un amant virtuel.
Fais nous part de la suite de cette nuit.
par savoyard7473
#1260279
Problème avec le PC. Je dois tout re-saisir. Je n'ai pas le temps de faire aussi long que d'habitude. Désolé.
"je ne savais plus quoi faire. J'hésitais longtemps puis j'ai pris la direction de notre chambre. Arrivée devant la porte, je me suis arrêtée. J"avais le feu au ventre. Je savais que tu pouvais me calmer". Tu m'étonnes, énervé comme je l'étais, tu ne serais pas venue pour rien.
"mais j'avais envie d'autre chose. Al ne m'attire pas physiquement mais ses propos, rapportés par Annie, m'ont excitée, la curiosité, l'envie m'ont poussées à aller vers l'escalier". cette histoire je ne l'aime pas depuis le début, ça ne s'arrange pas! Mais je ne dis rien, j'écoute.
"Je descends l'escalier, mon coeur tape tellement fort que j'en ai mal à la tête". Bien fait! Y a au moins un dieu pour les cocus, du moins je l'espère.
"J'ouvre doucement la porte. L'odeur de la pièce n'est pas top : sueur, chaussette... Bizarrement, ça m'excite encore plus. J'ai l'impression de renter dans la tanière d'un mâle dominant et puissant. A ce moment-là, pour la première fois, je l'espère bien pourvu, puissant et endurant". Quand nous faisons l'amour, souvent, je lui demande de me dire que j'ai une petite bite. Ce n'est pas le cas mais je trouve ça excitant. Elle n'aime pas bien ce scénario car elle me trouve long et très dur, même si, quand elle était étudiante, un de ses copains, Dominique, était plus gros. Une fois, elle m'a avoué que son sexe lui manquait parfois, mais je pensais alors que cela faisait partie du jeu.
"Je me suis doucement approchée du lit, contre le lit. J'ai senti une main, puissante, passer sous mon tee-shirt long et m'attrapée directement par la fesse droite. Son geste m'a obligée, imposée de venir dans le lit. Je ne pouvais plus faire machine arrière. De toute façon, j'en avais pas envie!"
par savoyard7473
#1264977
"Je me suis retrouvée plaquée contre lui. Il m'a serrée contre lui, presque broyée. J'étais contre son ventre. Le changement par rapport à toi était saisissant." Je ne dis rien, j'attends. Mais je m'aperçois que je suis plus que plaqué contre elle.
"Il m'a enlevé mon tee-shirt. Il a commencé à me palper les seins et à tirer dessus, sans ménagement.". Bien fait!
"Il m'a attrapé par les cheveux et m'a obligée à descendre vers son ventre. L'odeur était pas au top, mais excitée comme je l'étais, j'étais impatience d'avoir mon cadeau. J'ai commencé à le soupeser mais il m'a dit : une salope comme toi, mère de famille modèle, tu vas me sucer sans les mains." Elle arrête son récit, je l'a sent se trémousser très doucement. Elle est encore dans l'excitation. Raconter son aventure lui fait revivre. Je ne dis toujours rien.
"J'ai frotté mon visage contre son sexe, puis commencé à passer la langue partout, à faire des bises. J'ai réussi à mettre son prépuce dans ma bouche. Il était gros. J'ai commencé à faire des va et vient. Mais j'avais mal à la mâchoire. J'ai laissé son sexe pour goutter ses testicules. Grosses et poilues. J'ai été folle. Je n'en revenais pas de la taille. Il me tardait qu'il me prenne. D'un coup, la lumière s'est allumée. Il m'a dit : lève-toi et danse devant moi. J'ai été surprise de cette demande mais me suis exécutée." En plus de vouloir se la taper, il voulait la mater, profiter d'elle au maximum.
"Au début, cela a été assez dur. Je n'ai pas l'habitude d'être nue devant quelqu'un d'autre que toi." Encore heureux, mais quelque chose me dit que çà risque ne pas être la dernière fois.
"Il m'a demandé de prendre des poses très suggestives, surtout de me pencher en avant pour bien voir ma poitrine. Mais, il m'a surtout dit des choses peu gentilles : ils pendent un peu tes nichons, t'as dû prendre du poids sur les hanches et le cul. Ta chatte est un peu trop poilue.". Moi qui fait toujours bien attention à lui faire des compliments. j'espère que cela l'a refroidie.
"Ses propos m'ont excité encore plus, cela marquait vraiment la différence par rapport à toi.". Et merde!
"Tout à coup, il a enlevé son drap. J'ai cru que ma mâchoire allait tomber. Bien que je l'avais prise en bouche, le fait de ne pas toucher m'avait fait imaginer une forme, une taille différentes.". Ah, enfin, quelque chose qui cloche. Il était moins imposant que prévu, espéré. Mon honneur est sauf.
"Sa verge était plus courte mais son prépuce énorme. Ses boules, plus grosses mais surtout plus lourdes et plus pendantes.
J'ai continué à danser mais je ne regardais plus çà". Moi qui des fois, lui demandait de fixer la bosse des pantalons de ses collègues de travail. Elle a toujours refusé!
"Il m'a fait signe de venir. J'allais me coucher sur lui quand il m'a dit que les vrais hommes sont toujours dessus. Toi tu veux toujours que je te fasses l'amour en états sur toi. Tout est différent. Il me tarde qu'il me prenne.". Elle est excitée, frotte ses fesses contre mon sexe. Je bande, très fort, je veux la prendre mais elle continue à parler comme si elle faisait encore l'amour.
"Il s'est couché sur moi, m'a tiré les cheveux et étranglé, un peu. D'un coup, je l'ai senti en moi, violemment entré. Je n'ai pas bougé. J'avais mal au vagin certainement dû à la taille de son prépuce. Il a commencé à bouger, à me pilonner. J'avais l'impression qu'il me retournait comme un gant à chaque aller-retour. Il a accéléré, je sentais ses boules me taper contre les fesses.". C'est sûr que là-dessus, je ne pouvais rivaliser. Son récit me rendait fou. Mais quelque part, paradoxalement, j'étais content pour elle voire fier que ma femme ait eu droit un jour à ce genre d'engins. Cette réflexion me fait penser que je dois perdre la tête.
" Il est très endurant. Mais j'avais pas l'impression qu'il voulait me donner du plaisir mais se donner du plaisir à lui seul. Je ne pensais n'être plus qu'un vagin. Je me suis lachée et ait tout fait pour qu'il jouisse, aussi fort que moi!.".

Notre boutique candauliste 100% sécurisée