- 20 janv. 2013, 16:22
#1280631
Voilà qui va faire le bonheur des représentants ...
Je planifiais un déplacement professionnel, pour me rendre à la capitale d'un pays limitrophe, quand je me vis demandé de faire un crochet, pour aller prendre des mesures aux fins d'une installation conséquente, chez un particulier.
Le rendez vous fût fixé relativement tôt dans la journée, pour nous laisser toute latitude dans nos métrés.
Bref, il s'agissait pour moi de prendre la route très tôt (dommage, car pas beaucoup de chance de ramasser de "stoppeuse" à ces heures là).
Faire le plein, un café, un bidon de boisson énergisante et un casse croûte pour plus tard, me voici en route ...
5 heures plus tard, 09:15, j'avais 15min. de retard, mais j'avais signalé la veille que "en fonction de l'état des routes, etc ... "
Je ne pris pas la peine d'appeler pour m'excuser. Jusque là, j'avais suivi les indication du GPS, et maintenant, j'ai repris l'E-mail de mon client, qui portait un soin tout particulier à la description du trajet.
Celui-là, ne veut pas que je me trompe !
, un peu las du trajet, tout de même.
... un dernier virage, et me voilà arrivé.
Petit check : Carte de visite, le mètre enrouleur.
... la maison est sympa.
Quelques marches me mènent au perron, la porte d'entrée est munie d'une vitre sur le bord, à l'américaine.
Il y a toujours un petit coup d'émotions, juste avant de sonner.
Maison "proprette", on s'imagine aisément les habitants, "madame et monsieur tout-le-monde", classique ... un petit coup en missionnaire le jour de la paye...
Allons, sonnons ...
à partir de là, les choses se bousculent dans ma tête :
c'est comme au cours d'un accident : le temps connaît des fluctuations il se déroulent des actions en quelques fractions de secondes, mais le cerveau en à gardé un film entier .
J'ai entre-aperçu une créature à cheveux longs, et col roulé, passer à hauteur de la vitre ...
Mais la porte s'est ouverte sur, (pour moi, vue ainsi) le prototype de l'institutrice érectile, vous savez bien, celle qui est l'objet de nos masturbations coupables, dont l'image nous poursuit pendant toutes les années de notre puberté ...
Je me reprends
... je tente, du moins, car mes yeux connaissent déjà tous ce corps, ils sont tombés, du visage de la personne en face de moi, à ses chevilles bottées, ont relevés la présence d'un collant clair qui habille genoux et cuisses aux formes envoûtantes ...
je voudrais que mon regards soit "correcte" mais la tentative de correction fixe mes prunelles sur la courbure des hanches de celle qui se tient devant moi.
Mes mains, dans ma tête, y sont déjà posées ... agrippées devrais-je dire.
Je m'en remet à mes réflexes de représentant ...
(les yeux dans ses seins ... je crois)
"Bonjour madame X " ... je me présente "représentant l'entreprise bla bla...", ce qui devrait m'aider à replacer mes yeux en une position décente.
... et là, je reçois un "uppercut" de je ne sais pas où ... ses yeux ont brûlés un instant de ce feu féminin, ce regard de la femme qui vient de découvrir qu'elle avait raison de savoir qu'elle plaît, et son battement de cils m'a demandé " c'est vrai, je te plais ?"... (le trouble grandit, et je suis convaincu que j'ai arrêté de respirer)
Cette accélération du temps m'a donné l'impression qu'elle était pétrifiée, et je n'avais pas l'intention de rester sur le pas de la porte.
"Je suis attendu par monsieur..." et là dessus, elle se retourne et me précède... (Ô ce cul !)
Sa jupe ne permettait pas trop le déhanché en montant les quelques marches qui menaient au séjour...
Par contre, d'un petit regard en coin, il me semble qu'elle vérifiait bien si mon regard était plus haut ou plus bas, que sa ceinture... il y avait une lueur carnassière. Et moi, j'étais en train d'oublier l'objet de ma visite...
Ses hanches roulaient à chaque marche ... je devinais des fesses rondes,pleines, sous cette jupe, courte, mais encore trop longue car je ne saurais toujours pas dire si "collant "ou "bas "...
Entre mecs, j'aurais sifflé, et lancé un "putain de chassis, la poulette..." mais là, j'étais un professionnel. Une réclamation sur un écart de ma part, et je peux me faire licencier.
Devant moi, sur l'escalier,... cette garce, habillée en madame tout le monde, une sage queue de cheval, un pull à col roulé ;
Je n'en menais pas large,
Là devant moi, une femme montait simplement quelques marches ...
... et je crois que mon trouble devenait sensible.
Mais tout cela était "trop" ... la queue de cheval trop sage, devenait un moyen de la saisir dans un accouplement en levrette ...
Son pull, col roulé, trop ajusté, était un prétexte pour mettre sa poitrine et sa taille au paroxysme de la mise en valeur ...
Le trajet, et son ronron, m'ont heureusement sauvé la mise : je suis devenu une bête en rut dans mon crâne, mais tout mon bas-ventre était encore anesthésié par la position de conducteur ... ça m'a épargné l'érection "mal à propos".
Tempête de sexe en boite crânienne !
.. .tout celà en ... 20 secondes.
Se rapeler la réalité de la vie :
Mon travail, et corriger ma tenue par rapport aux rêgles sociales ... non, on ne renifle pas le dessous des jupes !!
... non, c'est la femme d'un autre ; et là, resurgissent d'un passé enfoui depuis 15 ans de mariage, toute une rafale d'images. Les souvenirs d'une vie décousue, oû les tabous étaient autant d'objectifs à abolir ... des soirées passées entre "adultes consentants"
Sauve ton boulot, mon gars ... ne fais pas l'idiot.
Nous arrivons au séjour (entre 3 et 10 marches plus haut)
Moi - "Bonjour monsieur X, enchanté de faire votre connaissance" ... (ta femme, mon vieux, c'est une femelle de compétition, ou bien je n'y connais vraiment plus rien)
et je lui parlais, mais mes yeux avaient du mal à ne pas la suivre ... peur qu'elle quitte mon champ de vision
Lui - "vous avez fait bonne route ? ... bla bla..." (ah merde, ça tourne, là bas, elle est passée où ?)
Moi - "Oh, vous avec un piano ?"
Lui - "Oui, ma femme prend des cours" ( ... imagines son cul, rond, posé juste là, le dos redressé, les seins tendus en avant ...)
Moi - "vous nous en ferez écouter un peu ?" ( curieux de voir ses doigts bouger ... )
Elle - (devenue toute rouge ... c'est là que j'ai réalisé que je devais avoir un regard d'une lubricité extrême ) - "ha non, sûrement pas..."
Moi -" Euh, je pense que vous vous doutez que je vais devoir prendre des mesures" (dommage que ce ne soit qu'avec un mètre enrouleur)
Lui - "oui bien sur, je vais vous emmener" (... ça va me refroidir un peu les esprits ... ouf)
Décidé à revenir à une vie plus "socialement correcte" je jette néanmoins un dernier coup d’œil à la miss, un peu à regrets, mais ...
MAIS !
... j'y crois pas ! ... est-ce qu'elle sait ce que ça fait à un homme, quand il voit une femme ainsi adossée à une cheminée ?, les mains dans le dos, une jambe repliée ... je n'ai vu que ses seins !, ses hanches ... le galbe d'une cuisse ... et des images de copulations !
Boulot - BOULOT mon gars ... je saisis mon mètre, en bredouillant une phrase débile ... je sais que j'ai dit n'importe quoi, car le mari m'a regardé d'un air "point d'interrogation" ... je n'ai pas insisté.
Je le suis, dans l'escalier qui monte aux chambres ... ( la garce, l'air innocente ... elle me cherche ou quoi ? elle veut que je la coince dans un coin ?, son mec, il va nous coller tout le temps ? ...)
La visite de l'étage me laisse rétablir un équilibre hormonal fragilisé.
vestibule, chambre enfant, salle de bain, trappe d'accès au toit, suite parentale ... suite parentale
.
(
Oh Bordel ! ... il n'a pas vu ? ... là sous l'oreiller, un gland de gode rouge !)
Lui - "... et on fera passer le conduit, par ..." (t'as raison, causes)
Moi - "auriez vous un escabeau pour que je jette un œil par ici " (un passage de lampe ... n'importe quoi, mais j'avais besoin de rester seul un instant pour avoir le cœur net)
Lui - "Oui, je vous ramène ça ..."
Fais vite, mon gars,
... sous l'oreiller, je trouve un magnifique Gode, annelé, rouge, la qualité du système de vibration trahit un matériel de qualité : ces gens mettent les moyens dans leur plaisir.
Juste à côté de l'oreiller, sous un petit livre de poche, un ouvrage plus large ... "l'art de la fessée..." ou un truc comme ça. J'ai eu un vertige.
Plus bas sur le lit, des vêtements ... mais surtout un ensemble en dentelles noires. (mais là, je n’étais déjà plus étonné ...)
Tempête de SEXE hormonale ! ... il ne manque plus que de trouver quelques photos de la miss dans des positions chaudes ... je cherche avec le désespoir du bout en train ... le mâle qui sert à vérifier les chaleurs des juments, et qui régulièrement bande quand c'est le cas, on le remplace alors par l'étalon ... et se mange une ruade si non.
La culotte à la main, je l'entend qui remonte avec son escabeau ... vite, je l’escamote dans une poche.
"bla bla bla..." (oh la vache ... j'ai la culotte de sa femme dans la poche)
Heureusement, je ne bande toujours pas ...
J'ai soif, j'ai chaud ... tout ça c'est passé d'une traite, je n'ai pas quité mon manteau ... je me souviens à peine avoir retiré les chaussures, avant de monter à l'étage ... le fait d'être en nage en rajoute à mon mal-aise ... imposer ma transpiration...
J'avais atteint un "palier" ... un "seuil"....
<=== Pause ===>
il y a une suite ...
Je planifiais un déplacement professionnel, pour me rendre à la capitale d'un pays limitrophe, quand je me vis demandé de faire un crochet, pour aller prendre des mesures aux fins d'une installation conséquente, chez un particulier.
Le rendez vous fût fixé relativement tôt dans la journée, pour nous laisser toute latitude dans nos métrés.
Bref, il s'agissait pour moi de prendre la route très tôt (dommage, car pas beaucoup de chance de ramasser de "stoppeuse" à ces heures là).
Faire le plein, un café, un bidon de boisson énergisante et un casse croûte pour plus tard, me voici en route ...
5 heures plus tard, 09:15, j'avais 15min. de retard, mais j'avais signalé la veille que "en fonction de l'état des routes, etc ... "
Je ne pris pas la peine d'appeler pour m'excuser. Jusque là, j'avais suivi les indication du GPS, et maintenant, j'ai repris l'E-mail de mon client, qui portait un soin tout particulier à la description du trajet.
Celui-là, ne veut pas que je me trompe !

... un dernier virage, et me voilà arrivé.
Petit check : Carte de visite, le mètre enrouleur.
... la maison est sympa.
Quelques marches me mènent au perron, la porte d'entrée est munie d'une vitre sur le bord, à l'américaine.
Il y a toujours un petit coup d'émotions, juste avant de sonner.
Maison "proprette", on s'imagine aisément les habitants, "madame et monsieur tout-le-monde", classique ... un petit coup en missionnaire le jour de la paye...
Allons, sonnons ...

c'est comme au cours d'un accident : le temps connaît des fluctuations il se déroulent des actions en quelques fractions de secondes, mais le cerveau en à gardé un film entier .
J'ai entre-aperçu une créature à cheveux longs, et col roulé, passer à hauteur de la vitre ...
Mais la porte s'est ouverte sur, (pour moi, vue ainsi) le prototype de l'institutrice érectile, vous savez bien, celle qui est l'objet de nos masturbations coupables, dont l'image nous poursuit pendant toutes les années de notre puberté ...
Je me reprends

je voudrais que mon regards soit "correcte" mais la tentative de correction fixe mes prunelles sur la courbure des hanches de celle qui se tient devant moi.

Mes mains, dans ma tête, y sont déjà posées ... agrippées devrais-je dire.

Je m'en remet à mes réflexes de représentant ...
(les yeux dans ses seins ... je crois)
"Bonjour madame X " ... je me présente "représentant l'entreprise bla bla...", ce qui devrait m'aider à replacer mes yeux en une position décente.

Cette accélération du temps m'a donné l'impression qu'elle était pétrifiée, et je n'avais pas l'intention de rester sur le pas de la porte.
"Je suis attendu par monsieur..." et là dessus, elle se retourne et me précède... (Ô ce cul !)
Sa jupe ne permettait pas trop le déhanché en montant les quelques marches qui menaient au séjour...
Par contre, d'un petit regard en coin, il me semble qu'elle vérifiait bien si mon regard était plus haut ou plus bas, que sa ceinture... il y avait une lueur carnassière. Et moi, j'étais en train d'oublier l'objet de ma visite...
Ses hanches roulaient à chaque marche ... je devinais des fesses rondes,pleines, sous cette jupe, courte, mais encore trop longue car je ne saurais toujours pas dire si "collant "ou "bas "...
Entre mecs, j'aurais sifflé, et lancé un "putain de chassis, la poulette..." mais là, j'étais un professionnel. Une réclamation sur un écart de ma part, et je peux me faire licencier.
Devant moi, sur l'escalier,... cette garce, habillée en madame tout le monde, une sage queue de cheval, un pull à col roulé ;
Je n'en menais pas large,
Là devant moi, une femme montait simplement quelques marches ...
... et je crois que mon trouble devenait sensible.
Mais tout cela était "trop" ... la queue de cheval trop sage, devenait un moyen de la saisir dans un accouplement en levrette ...
Son pull, col roulé, trop ajusté, était un prétexte pour mettre sa poitrine et sa taille au paroxysme de la mise en valeur ...
Le trajet, et son ronron, m'ont heureusement sauvé la mise : je suis devenu une bête en rut dans mon crâne, mais tout mon bas-ventre était encore anesthésié par la position de conducteur ... ça m'a épargné l'érection "mal à propos".
Tempête de sexe en boite crânienne !
.. .tout celà en ... 20 secondes.

Mon travail, et corriger ma tenue par rapport aux rêgles sociales ... non, on ne renifle pas le dessous des jupes !!
... non, c'est la femme d'un autre ; et là, resurgissent d'un passé enfoui depuis 15 ans de mariage, toute une rafale d'images. Les souvenirs d'une vie décousue, oû les tabous étaient autant d'objectifs à abolir ... des soirées passées entre "adultes consentants"

Nous arrivons au séjour (entre 3 et 10 marches plus haut)
Moi - "Bonjour monsieur X, enchanté de faire votre connaissance" ... (ta femme, mon vieux, c'est une femelle de compétition, ou bien je n'y connais vraiment plus rien)
et je lui parlais, mais mes yeux avaient du mal à ne pas la suivre ... peur qu'elle quitte mon champ de vision
Lui - "vous avez fait bonne route ? ... bla bla..." (ah merde, ça tourne, là bas, elle est passée où ?)
Moi - "Oh, vous avec un piano ?"
Lui - "Oui, ma femme prend des cours" ( ... imagines son cul, rond, posé juste là, le dos redressé, les seins tendus en avant ...)
Moi - "vous nous en ferez écouter un peu ?" ( curieux de voir ses doigts bouger ... )
Elle - (devenue toute rouge ... c'est là que j'ai réalisé que je devais avoir un regard d'une lubricité extrême ) - "ha non, sûrement pas..."
Moi -" Euh, je pense que vous vous doutez que je vais devoir prendre des mesures" (dommage que ce ne soit qu'avec un mètre enrouleur)
Lui - "oui bien sur, je vais vous emmener" (... ça va me refroidir un peu les esprits ... ouf)
Décidé à revenir à une vie plus "socialement correcte" je jette néanmoins un dernier coup d’œil à la miss, un peu à regrets, mais ...

... j'y crois pas ! ... est-ce qu'elle sait ce que ça fait à un homme, quand il voit une femme ainsi adossée à une cheminée ?, les mains dans le dos, une jambe repliée ... je n'ai vu que ses seins !, ses hanches ... le galbe d'une cuisse ... et des images de copulations !

Je le suis, dans l'escalier qui monte aux chambres ... ( la garce, l'air innocente ... elle me cherche ou quoi ? elle veut que je la coince dans un coin ?, son mec, il va nous coller tout le temps ? ...)
La visite de l'étage me laisse rétablir un équilibre hormonal fragilisé.

vestibule, chambre enfant, salle de bain, trappe d'accès au toit, suite parentale ... suite parentale

(

Lui - "... et on fera passer le conduit, par ..." (t'as raison, causes)
Moi - "auriez vous un escabeau pour que je jette un œil par ici " (un passage de lampe ... n'importe quoi, mais j'avais besoin de rester seul un instant pour avoir le cœur net)
Lui - "Oui, je vous ramène ça ..."
Fais vite, mon gars,
... sous l'oreiller, je trouve un magnifique Gode, annelé, rouge, la qualité du système de vibration trahit un matériel de qualité : ces gens mettent les moyens dans leur plaisir.
Juste à côté de l'oreiller, sous un petit livre de poche, un ouvrage plus large ... "l'art de la fessée..." ou un truc comme ça. J'ai eu un vertige.
Plus bas sur le lit, des vêtements ... mais surtout un ensemble en dentelles noires. (mais là, je n’étais déjà plus étonné ...)
Tempête de SEXE hormonale ! ... il ne manque plus que de trouver quelques photos de la miss dans des positions chaudes ... je cherche avec le désespoir du bout en train ... le mâle qui sert à vérifier les chaleurs des juments, et qui régulièrement bande quand c'est le cas, on le remplace alors par l'étalon ... et se mange une ruade si non.
La culotte à la main, je l'entend qui remonte avec son escabeau ... vite, je l’escamote dans une poche.
"bla bla bla..." (oh la vache ... j'ai la culotte de sa femme dans la poche)
Heureusement, je ne bande toujours pas ...
J'ai soif, j'ai chaud ... tout ça c'est passé d'une traite, je n'ai pas quité mon manteau ... je me souviens à peine avoir retiré les chaussures, avant de monter à l'étage ... le fait d'être en nage en rajoute à mon mal-aise ... imposer ma transpiration...
J'avais atteint un "palier" ... un "seuil"....
<=== Pause ===>

Thérapeute complice , sud 68, 90 ...
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