- 26 févr. 2013, 09:20
#1302934
Je m’appelle Patrick. Nous sommes en 1990 et j’ai alors 35 ans. Je travaille
comme ingénieur dans une grande entreprise nationale que je ne souhaite pas
citer. Les collaborateurs de la société sont répartis sur deux sites dans cette
ville moyenne de province.
Dans un service voisin œuvre une jeune salariée âgée de 25 ans, cadre moyen qui
se prénomme Brigitte. C’est une fort jolie femme brune mesurant 1 m70 pour 65 kg
environ avec un soutien gorge de taille 95d. Elle porte les cheveux mi-longs et
a des yeux bleu-verts. Elle est donc bien en chair mais pas « ronde » au sens
péjoratif du terme. Pour compléter le tableau elle est l’épouse d’un ingénieur
dont nous verrons que la pratique de l’amour n’est pas la principale des
compétences; elle est également la maman d’un enfant de deux ans. Nous nous
croisons peu dans le travail mais souvent au restaurant d’entreprise. Brigitte
me plait mais je n’ai jamais su « draguer » je veux dire faire le premier pas,
je suis gauche et suffisamment anxieux pour que cela se remarque … enfin pour
que les femmes le remarquent. Je suis cependant marié et plutôt heureux en
ménage … enfin, ceci est une autre histoire.
Un jour que nous nous croisons à la sortie du restaurant justement, je lui
propose de venir prendre le café en ma compagnie au bar du coin ; elle rougit et
accepte timidement … est-ce un signe ? Comme je lui propose de nouer d’autres
liens qu’amicaux, elle m’adresse un refus cependant peu convaincu et argue que,
si son mari l’apprend, il ne lui pardonnera pas. Je lui réponds qu’il n’est pas
obligé d’être mis au courant mais elle ne change pas d’avis ; je m’engage alors
à ne plus l’importuner et que, donc, nous pouvons continuer à prendre des cafés
ensemble.
Le lendemain était un vendredi. A 11 heures le téléphone sonne :
- Allo ?
- C’est Brigitte
- Comment vas-tu ? dis-je joyeusement loin de présager de ce qui va se passer
- C’est que... je voudrais manger avec toi ce midi
- Au resto administratif ?
- Non dans la pizzeria … je t’invite
- Certainement pas
- Bon alors à une prochaine fois
- Non attends, dis-je, j’accepte avec joie de déjeuner avec toi mais ce n’est
sûrement pas toi qui invites. Donc rendez-vous à midi au lieu des festivités.
Notons que nous sommes à la fin octobre juste avant le week-end de la Toussaint.
Je me rends au restaurant où j'ai réservé une table et je m’installe. Il y a du
monde et c’est un peu bruyant. Elle arrive quelques minutes après (c’est une
femme n’est ce pas mais soyons de bonne foi elle était rarement en retard). Je
suis interloqué : Brigitte est de coutume une femme élégante et raisonnablement
sensuelle dans ses choix vestimentaires mais là j’ai peur de ne pas reconnaître
cette même jolie femme affublée d’une tenue qui ressemble à un antidote contre
le désir : un pantalon de jogging marron (couleur que je déteste) et un pull à
col roulé d’une couleur plus claire mais informe ; pour couronner le tout elle
porte des bottines noires qui ne sont que des chaussures et surtout pas une
parure. Aujourd’hui encore je ne sais pas pourquoi elle avait fait ce choix et,
à vrai dire, elle non plus comme elle me le certifia plusieurs fois par la
suite. Pour moi la chose est claire : elle vient me confirmer son refus de
manière plus convaincue afin que je ne me méprenne pas pour le cas où …enfin.
Le serveur arrive et nous commandons chacun des pâtes différentes auxquelles
nous ne toucherons finalement que fort peu. Une fois seuls elle me dit
timidement :
- Tu sais au sujet d’hier
- Que s’est-il passé hier ? tu m’as conseillé d’oublier et je l’ai fait
- Eh bien justement … je ne suis plus sûre
- Tu veux dire que nous pourrions que tu pourrais … enfin tu vois
- Peut être finalement
- Et ton mari ?
- Moi il n’y a pas de risque que je lui en parle et toi je pense que tu sais
être discret
- C’est le moindre respect que l’on doit à une femme dans ces conditions ;
dans les deux cas en vérité qu’il y ait acceptation ou refus.
- Alors voilà … j’ai envie de toi
Dit ainsi, tout de go, cette invitation me frappe et je reste un instant sans
voix surtout que Brigitte a et entretient une image de réserve. Silence de
quelques secondes…
Brigitte :
- Mais peut être que je ne te plais pas
- Bien sûr que si je te l’ai dit hier, encore que …
- ???
- Dans cette tenue ce n’est pas le Pérou
- Il fait froid
- C’est vrai
Nouveau silence pesant. Les plats de pâtes sont devant nous et nous grignotons
du bout des dents l’un comme l’autre. Nous savons qu’à ce moment tout peut
basculer.
Moi :
- J’ai 10 ans de plus que toi et sûrement plus d’expérience qui pourrait te
choquer
- Une femme doit apprendre non ??
Ouuufff cette femme est incroyable. Je reprends et ose prononcer ces mots qui
pourraient tout faire éclater :
- Je suis très … disons pervers en amour
- C’est à dire ?
- J’aime des choses crues… salaces ; des pratiques... des positions
- Oui, dit-elle en baissant les yeux, moi je suis un peu trop sage à mon goût.
Nouvelle douche; ainsi Brigitte me fait des avances et se met à ma disposition
- Finissons notre repas puis…, dis-je
- Tu as faim toi ?
- Non pas vraiment… Ok, je paye et nous partons
Ce qui fut fait. Nous sortîmes du restaurant et nous fûmes immédiatement
confrontés à un double problème dont l’un trouvait facilement solution : Quand
et où ? Maintenant, tout de suite, solde la première interrogation. Pour ce qui
est du lieu, nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de nous faire remarquer à
l’entrée (en encore plus) à la sortie d’un hôtel dans une ville où nous
habitions et ce en plein milieu de l’après midi un vendredi. Il a donc été
décidé que nous prendrions ma voiture : une Passat qui avait la qualité d’être
très spacieuse. Nous sommes allés dans la campagne alentour et avons trouvé un
chemin forestier dans lequel je me suis rangé un peu en retrait ; la probabilité
de rencontrer des promeneurs vu la période était inexistante.
La voiture avait eu le temps de chauffer et nous accordait un délai pour nos
jeux. Je me suis donc penché sur Brigitte assise à côté de moi et je l’ai
embrassée à pleine bouche … sa réponse fougueuse à mon baiser témoignait de son
désir et de son excitation. Je lui ai remonté le pull et j’ai sorti ses seins du
soutien gorge afin de pourvoir les malaxer. J‘adorais traiter les seins d’une
femme à la limite entre le plaisir et la douleur. Loin de me demander d’être
plus doux elle me murmura « oui vas-y plus fort » ce que je fis avec entrain
mais sans pour autant aller trop loin; ses seins étaient fermes et ses tétons
dressés. Elle commençait à gémir doucement et se cambrait envoyant son bassin
vers l’avant à la rencontre de quelque chose qui la touche; ce fut ma main après
avoir descendu le pantalon et la culotte assez bas pour que je puisse profiter
également du spectacle. Ohhhh magnifique image : j’avais devant les yeux le sexe
le plus beau que j’aie jamais vu même aujourd’hui. Ses petites lèvres
proéminentes faisaient comme deux feuilles entre ses grandes lèvres gonflées de
désir et surtout son clitoris décapuchonné rouge carmin gonflé de sang et tendu.
Je me suis mis à caresser le long des grandes lèvres en évitant soigneusement le
clitoris ; elle gémissait, feulait de plus en plus longuement et ondulait du
bassin à la recherche du contact qui la ferait partir. Elle commençait à
s’impatienter :
- Mon chéri, touche le … vite … s’il te plait... finis-moi
Mon chéri, mon amour, elle m’appellera toujours ainsi sauf plus tard ou ce sera
« seigneur »
- Non pas maintenant attends. Et je continuai la ronde infernale de mes doigts
- Ohhhh ouiiiii noonn … vas-y
Je répondis à son désir et, après avoir humecté mon doigt je le plaçai sur son
clitoris à vif ce qui la fit partir d’un premier orgasme fort et libérateur mais
elle ne renonça pas pour autant …merveilleuse sensation de la femme qui se donne
à fond.. Sans prévenir je lui enfonçai deux doigts de la main gauche dans la
chatte infiniment trempée tout en conservant la paume sur le clitoris et je
sentis qu’elle redémarrait ; c’est au moment où elle allait partir que
j’enfonçai lentement mais inexorablement le medium de mon autre main dans le
petit cul serré. La réponse fut un long hurlement pendant que son corps se
tendait à l’extrême si bien que j’ai eu peur de lui avoir fait mal. La tension
retombée elle m’embrassa et me dit :
- Tu sais que c’est la première fois …
- Que ?
- Que je jouis deux fois de suite et que … enfin tu sais bien … ton doigt...
- Je suis touché mais je voudrais que tu apprennes à parler plus crûment
- Dis-moi mon chéri
- Tu sais bien n’est ce pas mon doigt
- Oui tu me l’as mis dans mon anus … dans mon petit cul
- Et tu as aimé cela ?
- Oh ouii ... enfin oui
- Pourquoi rectifies-tu ?
- Je ne suis pas une salope …
- Si et c’est merveilleux
- Ohhhh !!!!
- Maintenant c’est à moi de jouir n’est ce pas ; montre-moi ce que tu sais
faire
- Dis-moi ce que tu veux… tout ce que tu veux… je veux te faire plaisir
- Innove, invente sois imaginative… allez ce n’est pas bien compliqué
Elle ouvrit mon pantalon et contournant le slip, sortit ma queue déjà fort dure
et pour cause puis lentement elle entreprit de me branler. Je lui pris doucement
la tête et appuyai ; elle ne parla pas mais docilement emboucha mon sexe et
commença à le sucer maladroitement.
- Va plus loin … utilise tes lèvres autour de mon gland
Elle comprit de suite ce que je souhaitais et me suça doucement ; quant à moi,
je me retenais pour ne pas partir trop vite. Pendant qu’elle œuvrait, la
position étant propice, je lui pénétrai doucement la chatte de deux doigts en
passant par derrière (elle est assise à mes cotés souvenez-vous) ce qui la fit
lentement tendre le bassin… elle en redemandait. Profitant de l’humidité de son
vagin, je sortis mes doigts et les lui pénétrai précautionneusement dans le cul.
Elle se tendit un peu mais ne protesta pas et, surtout, loin de résister,
s’offrit et recula son petit cul sur mes doigts. Son mouvement de va et vient
continuait et j’avais de plus en plus de mal à tenir… c’était divin. Je lui
demandai
- Tu as déjà été enculée (j’avais déjà la réponse mais l’excitation du
dialogue !)
- Oh mais ça doit faire mal, fut sa seule réponse avant de me reprendre dans
sa bouche
Ce petit bout de dialogue eut pour vertu de me faire passer le point de
non-retour et je la prévins par un « je vais jouir » de manière qu’elle puisse
retirer sa bouche ce que je ne doutais pas qu’elle ferait. A ma grande surprise,
loin de me donner raison, elle s’enfonça ma queue à fond de gorge et je jouis
immédiatement… c’était la première fois que l’on me faisait une « gorge profonde
» . Après, elle se retira et m’embrassa à pleine bouche non sans m'avoir dit que
c’était également la première fois. Et le mari ? Il n’aimait pas « trop »
paraît-il.
Nous sommes restés ainsi : elle pantalon et culotte baissés moi braguette
ouverte et queue sortie. Puis je lui ai demandé de se caresser le clitoris ce
qu’elle fit en tentant de se cacher en vain… J’apprendrai pourquoi quelques
jours après. Quoiqu’il en soit elle jouit encore une fois mais plus doucement
avec moins de violence qu’avant.
Cette opération avait redressé ma queue qu’elle regarda amoureusement après
avoir joui :
- J’ai envie de te sucer encore, demanda-t-elle … je peux ?
la question ainsi formulée témoignait de sont aptitude et de ses prédispositions
pour la soumission
- Je ne sais pas si tu le mérites
- Quoi ? je ne comprends pas
- Je ne sais pas si tu suces assez bien
- Mais tu avais dit que …
- Oui mais je te propose encore mieux
- Apprends-moi mon chéri
- Tu sais ce que tu as fait à la fin quand j’ai giclé, j’aimerais que tu me
suces depuis le début avec la même profondeur … doucement mais en serrant bien
avec le fond de ta gorge
- Oui je veux essayer.
Elle me caressait de sa main et le résultat provoqué par l’attitude et la
caresse était impressionnant de raideur
- Alors demande … ose
- Mon chéri je veux te sucer le sexe
- Sois plus crue ; utilise des mots salaces
- Ohhh je n’ose pas je n’ai pas l’habitude
- Vas-y ou je me finis seul en t’interdisant de toucher
- … (elle me branlait toujours)
- J’attends. Tu es trop longue cesse de me caresser
- … mon chéri j’ai envie de te sucer la queue à fond et de vider tes belles
couilles dans ma bouche (elle rougissait d’avoir osé prononcer ces mots)
- C’est magnifique ma petite salope … autorisation accordée …vas-y et
applique-toi
Elle se pencha et emboucha profondément ma queue tout en caressant mes couilles
de sa main. Puis elle ressortit complètement et recommença ainsi en serrant bien
le fond de sa gorge. Visiblement elle aimait cela…
- Il est 15h30 sur l’horloge de bord, si tu me fais jouir avant 15h45 je te
punirai…
Elle continua son manège en s’appliquant de plus en plus et en cherchant
visiblement à me vider vite ; est-ce que cette salope serait prête à subir ?
hummmm. Je me retins pour ne pas l’effaroucher (difficilement vu la qualité de
la fellation) et je me vidai un peu après l’heure fatidique. Elle s’emboucha à
fond comme la première fois et m’avala derechef.
Après un moment de calme elle osa demander
- C’était quoi la punition ?
- Des gifles pour commencer
- Pour commencer … ? ensuite
- Nous verrons plus tard
J’avais ma réponse cette femelle avait vraiment envie d’appartenir sexuellement
à un maître.
Puis je me risquai à dire :
- La prochaine fois nous aurons un local
- Oh oui, dit-elle, tu pourras me pénétrer… enfin, m’enfoncer ta queue (elle
avait compris pour le langage cru et c’était parfaitement excitant.)
- Je t’enculerai
- Nonnnn j’ai peur
- Je t’enculerai ou nous arrêtons là
- Oui dit-elle timidement mais tu feras doucement
- Nous verrons
- ...
Ce jour là, nous sommes rentrés chacun chez soi pour une longue semaine de
séparation ; en effet, elle partait pour une semaine de vacances chez ses
parents en Bourgogne avec son mari et son fils.
comme ingénieur dans une grande entreprise nationale que je ne souhaite pas
citer. Les collaborateurs de la société sont répartis sur deux sites dans cette
ville moyenne de province.
Dans un service voisin œuvre une jeune salariée âgée de 25 ans, cadre moyen qui
se prénomme Brigitte. C’est une fort jolie femme brune mesurant 1 m70 pour 65 kg
environ avec un soutien gorge de taille 95d. Elle porte les cheveux mi-longs et
a des yeux bleu-verts. Elle est donc bien en chair mais pas « ronde » au sens
péjoratif du terme. Pour compléter le tableau elle est l’épouse d’un ingénieur
dont nous verrons que la pratique de l’amour n’est pas la principale des
compétences; elle est également la maman d’un enfant de deux ans. Nous nous
croisons peu dans le travail mais souvent au restaurant d’entreprise. Brigitte
me plait mais je n’ai jamais su « draguer » je veux dire faire le premier pas,
je suis gauche et suffisamment anxieux pour que cela se remarque … enfin pour
que les femmes le remarquent. Je suis cependant marié et plutôt heureux en
ménage … enfin, ceci est une autre histoire.
Un jour que nous nous croisons à la sortie du restaurant justement, je lui
propose de venir prendre le café en ma compagnie au bar du coin ; elle rougit et
accepte timidement … est-ce un signe ? Comme je lui propose de nouer d’autres
liens qu’amicaux, elle m’adresse un refus cependant peu convaincu et argue que,
si son mari l’apprend, il ne lui pardonnera pas. Je lui réponds qu’il n’est pas
obligé d’être mis au courant mais elle ne change pas d’avis ; je m’engage alors
à ne plus l’importuner et que, donc, nous pouvons continuer à prendre des cafés
ensemble.
Le lendemain était un vendredi. A 11 heures le téléphone sonne :
- Allo ?
- C’est Brigitte
- Comment vas-tu ? dis-je joyeusement loin de présager de ce qui va se passer
- C’est que... je voudrais manger avec toi ce midi
- Au resto administratif ?
- Non dans la pizzeria … je t’invite
- Certainement pas
- Bon alors à une prochaine fois
- Non attends, dis-je, j’accepte avec joie de déjeuner avec toi mais ce n’est
sûrement pas toi qui invites. Donc rendez-vous à midi au lieu des festivités.
Notons que nous sommes à la fin octobre juste avant le week-end de la Toussaint.
Je me rends au restaurant où j'ai réservé une table et je m’installe. Il y a du
monde et c’est un peu bruyant. Elle arrive quelques minutes après (c’est une
femme n’est ce pas mais soyons de bonne foi elle était rarement en retard). Je
suis interloqué : Brigitte est de coutume une femme élégante et raisonnablement
sensuelle dans ses choix vestimentaires mais là j’ai peur de ne pas reconnaître
cette même jolie femme affublée d’une tenue qui ressemble à un antidote contre
le désir : un pantalon de jogging marron (couleur que je déteste) et un pull à
col roulé d’une couleur plus claire mais informe ; pour couronner le tout elle
porte des bottines noires qui ne sont que des chaussures et surtout pas une
parure. Aujourd’hui encore je ne sais pas pourquoi elle avait fait ce choix et,
à vrai dire, elle non plus comme elle me le certifia plusieurs fois par la
suite. Pour moi la chose est claire : elle vient me confirmer son refus de
manière plus convaincue afin que je ne me méprenne pas pour le cas où …enfin.
Le serveur arrive et nous commandons chacun des pâtes différentes auxquelles
nous ne toucherons finalement que fort peu. Une fois seuls elle me dit
timidement :
- Tu sais au sujet d’hier
- Que s’est-il passé hier ? tu m’as conseillé d’oublier et je l’ai fait
- Eh bien justement … je ne suis plus sûre
- Tu veux dire que nous pourrions que tu pourrais … enfin tu vois
- Peut être finalement
- Et ton mari ?
- Moi il n’y a pas de risque que je lui en parle et toi je pense que tu sais
être discret
- C’est le moindre respect que l’on doit à une femme dans ces conditions ;
dans les deux cas en vérité qu’il y ait acceptation ou refus.
- Alors voilà … j’ai envie de toi
Dit ainsi, tout de go, cette invitation me frappe et je reste un instant sans
voix surtout que Brigitte a et entretient une image de réserve. Silence de
quelques secondes…
Brigitte :
- Mais peut être que je ne te plais pas
- Bien sûr que si je te l’ai dit hier, encore que …
- ???
- Dans cette tenue ce n’est pas le Pérou
- Il fait froid
- C’est vrai
Nouveau silence pesant. Les plats de pâtes sont devant nous et nous grignotons
du bout des dents l’un comme l’autre. Nous savons qu’à ce moment tout peut
basculer.
Moi :
- J’ai 10 ans de plus que toi et sûrement plus d’expérience qui pourrait te
choquer
- Une femme doit apprendre non ??
Ouuufff cette femme est incroyable. Je reprends et ose prononcer ces mots qui
pourraient tout faire éclater :
- Je suis très … disons pervers en amour
- C’est à dire ?
- J’aime des choses crues… salaces ; des pratiques... des positions
- Oui, dit-elle en baissant les yeux, moi je suis un peu trop sage à mon goût.
Nouvelle douche; ainsi Brigitte me fait des avances et se met à ma disposition
- Finissons notre repas puis…, dis-je
- Tu as faim toi ?
- Non pas vraiment… Ok, je paye et nous partons
Ce qui fut fait. Nous sortîmes du restaurant et nous fûmes immédiatement
confrontés à un double problème dont l’un trouvait facilement solution : Quand
et où ? Maintenant, tout de suite, solde la première interrogation. Pour ce qui
est du lieu, nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de nous faire remarquer à
l’entrée (en encore plus) à la sortie d’un hôtel dans une ville où nous
habitions et ce en plein milieu de l’après midi un vendredi. Il a donc été
décidé que nous prendrions ma voiture : une Passat qui avait la qualité d’être
très spacieuse. Nous sommes allés dans la campagne alentour et avons trouvé un
chemin forestier dans lequel je me suis rangé un peu en retrait ; la probabilité
de rencontrer des promeneurs vu la période était inexistante.
La voiture avait eu le temps de chauffer et nous accordait un délai pour nos
jeux. Je me suis donc penché sur Brigitte assise à côté de moi et je l’ai
embrassée à pleine bouche … sa réponse fougueuse à mon baiser témoignait de son
désir et de son excitation. Je lui ai remonté le pull et j’ai sorti ses seins du
soutien gorge afin de pourvoir les malaxer. J‘adorais traiter les seins d’une
femme à la limite entre le plaisir et la douleur. Loin de me demander d’être
plus doux elle me murmura « oui vas-y plus fort » ce que je fis avec entrain
mais sans pour autant aller trop loin; ses seins étaient fermes et ses tétons
dressés. Elle commençait à gémir doucement et se cambrait envoyant son bassin
vers l’avant à la rencontre de quelque chose qui la touche; ce fut ma main après
avoir descendu le pantalon et la culotte assez bas pour que je puisse profiter
également du spectacle. Ohhhh magnifique image : j’avais devant les yeux le sexe
le plus beau que j’aie jamais vu même aujourd’hui. Ses petites lèvres
proéminentes faisaient comme deux feuilles entre ses grandes lèvres gonflées de
désir et surtout son clitoris décapuchonné rouge carmin gonflé de sang et tendu.
Je me suis mis à caresser le long des grandes lèvres en évitant soigneusement le
clitoris ; elle gémissait, feulait de plus en plus longuement et ondulait du
bassin à la recherche du contact qui la ferait partir. Elle commençait à
s’impatienter :
- Mon chéri, touche le … vite … s’il te plait... finis-moi
Mon chéri, mon amour, elle m’appellera toujours ainsi sauf plus tard ou ce sera
« seigneur »
- Non pas maintenant attends. Et je continuai la ronde infernale de mes doigts
- Ohhhh ouiiiii noonn … vas-y
Je répondis à son désir et, après avoir humecté mon doigt je le plaçai sur son
clitoris à vif ce qui la fit partir d’un premier orgasme fort et libérateur mais
elle ne renonça pas pour autant …merveilleuse sensation de la femme qui se donne
à fond.. Sans prévenir je lui enfonçai deux doigts de la main gauche dans la
chatte infiniment trempée tout en conservant la paume sur le clitoris et je
sentis qu’elle redémarrait ; c’est au moment où elle allait partir que
j’enfonçai lentement mais inexorablement le medium de mon autre main dans le
petit cul serré. La réponse fut un long hurlement pendant que son corps se
tendait à l’extrême si bien que j’ai eu peur de lui avoir fait mal. La tension
retombée elle m’embrassa et me dit :
- Tu sais que c’est la première fois …
- Que ?
- Que je jouis deux fois de suite et que … enfin tu sais bien … ton doigt...
- Je suis touché mais je voudrais que tu apprennes à parler plus crûment
- Dis-moi mon chéri
- Tu sais bien n’est ce pas mon doigt
- Oui tu me l’as mis dans mon anus … dans mon petit cul
- Et tu as aimé cela ?
- Oh ouii ... enfin oui
- Pourquoi rectifies-tu ?
- Je ne suis pas une salope …
- Si et c’est merveilleux
- Ohhhh !!!!
- Maintenant c’est à moi de jouir n’est ce pas ; montre-moi ce que tu sais
faire
- Dis-moi ce que tu veux… tout ce que tu veux… je veux te faire plaisir
- Innove, invente sois imaginative… allez ce n’est pas bien compliqué
Elle ouvrit mon pantalon et contournant le slip, sortit ma queue déjà fort dure
et pour cause puis lentement elle entreprit de me branler. Je lui pris doucement
la tête et appuyai ; elle ne parla pas mais docilement emboucha mon sexe et
commença à le sucer maladroitement.
- Va plus loin … utilise tes lèvres autour de mon gland
Elle comprit de suite ce que je souhaitais et me suça doucement ; quant à moi,
je me retenais pour ne pas partir trop vite. Pendant qu’elle œuvrait, la
position étant propice, je lui pénétrai doucement la chatte de deux doigts en
passant par derrière (elle est assise à mes cotés souvenez-vous) ce qui la fit
lentement tendre le bassin… elle en redemandait. Profitant de l’humidité de son
vagin, je sortis mes doigts et les lui pénétrai précautionneusement dans le cul.
Elle se tendit un peu mais ne protesta pas et, surtout, loin de résister,
s’offrit et recula son petit cul sur mes doigts. Son mouvement de va et vient
continuait et j’avais de plus en plus de mal à tenir… c’était divin. Je lui
demandai
- Tu as déjà été enculée (j’avais déjà la réponse mais l’excitation du
dialogue !)
- Oh mais ça doit faire mal, fut sa seule réponse avant de me reprendre dans
sa bouche
Ce petit bout de dialogue eut pour vertu de me faire passer le point de
non-retour et je la prévins par un « je vais jouir » de manière qu’elle puisse
retirer sa bouche ce que je ne doutais pas qu’elle ferait. A ma grande surprise,
loin de me donner raison, elle s’enfonça ma queue à fond de gorge et je jouis
immédiatement… c’était la première fois que l’on me faisait une « gorge profonde
» . Après, elle se retira et m’embrassa à pleine bouche non sans m'avoir dit que
c’était également la première fois. Et le mari ? Il n’aimait pas « trop »
paraît-il.
Nous sommes restés ainsi : elle pantalon et culotte baissés moi braguette
ouverte et queue sortie. Puis je lui ai demandé de se caresser le clitoris ce
qu’elle fit en tentant de se cacher en vain… J’apprendrai pourquoi quelques
jours après. Quoiqu’il en soit elle jouit encore une fois mais plus doucement
avec moins de violence qu’avant.
Cette opération avait redressé ma queue qu’elle regarda amoureusement après
avoir joui :
- J’ai envie de te sucer encore, demanda-t-elle … je peux ?
la question ainsi formulée témoignait de sont aptitude et de ses prédispositions
pour la soumission
- Je ne sais pas si tu le mérites
- Quoi ? je ne comprends pas
- Je ne sais pas si tu suces assez bien
- Mais tu avais dit que …
- Oui mais je te propose encore mieux
- Apprends-moi mon chéri
- Tu sais ce que tu as fait à la fin quand j’ai giclé, j’aimerais que tu me
suces depuis le début avec la même profondeur … doucement mais en serrant bien
avec le fond de ta gorge
- Oui je veux essayer.
Elle me caressait de sa main et le résultat provoqué par l’attitude et la
caresse était impressionnant de raideur
- Alors demande … ose
- Mon chéri je veux te sucer le sexe
- Sois plus crue ; utilise des mots salaces
- Ohhh je n’ose pas je n’ai pas l’habitude
- Vas-y ou je me finis seul en t’interdisant de toucher
- … (elle me branlait toujours)
- J’attends. Tu es trop longue cesse de me caresser
- … mon chéri j’ai envie de te sucer la queue à fond et de vider tes belles
couilles dans ma bouche (elle rougissait d’avoir osé prononcer ces mots)
- C’est magnifique ma petite salope … autorisation accordée …vas-y et
applique-toi
Elle se pencha et emboucha profondément ma queue tout en caressant mes couilles
de sa main. Puis elle ressortit complètement et recommença ainsi en serrant bien
le fond de sa gorge. Visiblement elle aimait cela…
- Il est 15h30 sur l’horloge de bord, si tu me fais jouir avant 15h45 je te
punirai…
Elle continua son manège en s’appliquant de plus en plus et en cherchant
visiblement à me vider vite ; est-ce que cette salope serait prête à subir ?
hummmm. Je me retins pour ne pas l’effaroucher (difficilement vu la qualité de
la fellation) et je me vidai un peu après l’heure fatidique. Elle s’emboucha à
fond comme la première fois et m’avala derechef.
Après un moment de calme elle osa demander
- C’était quoi la punition ?
- Des gifles pour commencer
- Pour commencer … ? ensuite
- Nous verrons plus tard
J’avais ma réponse cette femelle avait vraiment envie d’appartenir sexuellement
à un maître.
Puis je me risquai à dire :
- La prochaine fois nous aurons un local
- Oh oui, dit-elle, tu pourras me pénétrer… enfin, m’enfoncer ta queue (elle
avait compris pour le langage cru et c’était parfaitement excitant.)
- Je t’enculerai
- Nonnnn j’ai peur
- Je t’enculerai ou nous arrêtons là
- Oui dit-elle timidement mais tu feras doucement
- Nous verrons
- ...
Ce jour là, nous sommes rentrés chacun chez soi pour une longue semaine de
séparation ; en effet, elle partait pour une semaine de vacances chez ses
parents en Bourgogne avec son mari et son fils.
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Merci de récompenser de quelques mots, remerciements et dédicaces... motivez nous a de nouveaux clichés
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