- 25 déc. 2012, 21:53
#1262189
Un Joyeux Noël à tous...
Il y a des jours comme celui-ci, où quand on se lève le matin, on est à mille lieux de s’imaginer ce qui va se passer au cours de la journée…
Aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie d’un peu plus, j’ai envie d’exciter mon homme. Notre vie sexuelle n’est pas d’une normalité banale, notre complicité s’est renforcée, nous sommes allés de plus en plus loin dans nos envies mais si je pouvais y mettre encore un peu plus de piment… Il m’a dit récemment que la peur était un super aphrodisiaque.
J’ai toujours aimé sentir le regard des hommes se poser sur moi. Je ne porte pas très souvent des minijupes, j’aimerai parfois être sans culotte et rechercher les escaliers les plus abrupts possible pour dévoiler à ces messieurs ma croupe, j’aimerai ne pas porter de soutien gorges sous mes chemisiers, que les hommes les imagines dans la transparence du tissu, j’aimerais oser pour lui, pour mon mari, mais aussi, je crois un peu pour moi, mais j’ai peur.
Nous sommes en week-end de trois jours à Paris, nous sommes descendus à l’Hôtel Lancaster, positionné dans une rue adjacente des Champs Elysée.
Mon homme râle car comme souvent en Septembre, c’est jour de grève dans les transports, service minimum.
L’insolence et la brusquerie de son geste m’ont fait émettre un soupir d’étonnement.
Une idée vient de lui traverser l’esprit, son imagination dépasse alors le mur du son, à son changement de tempérament, à son sourire, à son regard posé sur moi, n’est-ce pas une pointe de malice que je viens de lire dans ces superbes prunelles bleus? Je le devine, et mon mètre soixante douze rentre en ébullition. Oserait-il avoir les mêmes pensées...
Les fantasmes sont excitants que si on les réalise ou si on veut les réaliser…
Une paire de bas bien positionné par son tenant à ma taille, une jupette plissée noire, juste une veste de tailleur sans rien dessous, des escarpins et un petit sac de chez Longchamp en bandoulière sera ma panoplie pour aujourd’hui. Habillée d’une façon à en montrer un peu, mais pas trop, et à donner envie d’avoir plus, ce qui rend ma séduction sans doute candide, cela me procure l’illusion de la puissance, j’aime séduire, il me l’a apprise, le défi que je croyais ultime.
La porte de la chambre vient de se refermer, telle une belle parenthèse, pour cette escapade coquine.
Nous traversons le hall d’entrée, le yeux du personnel braqué sur mes fesses, je me contente de les regarder, avec une pointe d’arrogance, une petite provocation qui agace, je possède une ligne irréprochable accompagnée de deux jolis seins toujours mis en avant par de charmants décolletés comme la cerise sur le gâteau.
Nous sortons de l’hôtel et nous dirigeons dans une sorte de long voyage initiatique, vers la bouche de métro, en descendant les escaliers le vent qui et encore chaud pour la saison tente de soulever ma jupe. Je la maintiens d’une main, mais je suis sur que des yeux ont déjà vu que je portais des bas porte-jarretelles. Mon homme avec une lueur d’excitation dans les yeux, m’embrasse langoureusement et me laisse filer devant, je sais qu’il ne serra pas loin, je sais que son regard serra posé sur moi.
Arrivée sur le quai, je me noie dans la foule, et attend mon destin, avec un petit quelque chose au ventre. Le but d’aujourd’hui, me sentir presque nue et me coller a des hommes qui me plaisent et qui ignorent tout de nos jeux.
Le quai est noir de monde, impossible d’éviter très vite le contact avec les gens qui m’entourent. Mais rien ne se passe, de Ram en Ram, juste des corps compressés en permanence, c’est pourquoi je n’est pas réalisée tous de suite qu’une personne se tenait derrière moi à un moment donné, il se pressait contre mon dos en s’appliquant, contre mes fesses, de très léger coup de reins discret, afin que personne ne le remarque. J’ai senti le rouge me monter aux joues et mon cœur battre plus fort. Et si il avait vu, si il avait remarqué, si il avait compris que je suis nue sous mes vêtements et de ce fait très vulnérable. Je l’imaginais ouvrant d’un coup ma veste en arrachant les boutons, puis soulevant ma jupe et ce mettant a hurler « regardez, c’est une salope ». Je pris une grande respiration afin de calmer la panique qui m’envahissait. Si cela se trouve, il ne fait rien et c’est moi qui fais un peu de paranoïa.
Ce métro arrive enfin au bout d’un quart d’heure. Je ne suis qu’a une station du début de la ligne, de ce fait il est presque vide. Pas pour longtemps. Les portes s’ouvrent, et une marée humaine me propulse dans le wagon. J’ai juste le temps d’attraper une barre centrale pour éviter de me faire écraser contre la porte opposée. Au bout d’une minute sans savoir si Phil est là, les portes tentent et retentent de se fermer et y parviennent enfin. La rame démarre. C’est le moment de faire le bilan de ce qui se passe autour de moi. Je suis face à face avec un homme d’une cinquantaine d’années, visiblement il souffre de ce manque d’espace et grimace un peu. A ma gauche, un type a réussi à plier son journal, et le tenant appuyé sur le dos de la personne devant lui lit les dernières nouvelles. A ma droite, un autre homme, plus jeune, plutôt pas mal, essaye de trouver un endroit ou se tenir, le pauvre, il se retrouve avec un bras en l’air et se tient avec deux doigts contre la paroi.
Peu de femmes dans cette rame, les jours de grèves elles sont nombreuses a préférer marcher. Voilà, je peux enfin commencer à jouer avec mes sens. Je tiens la barre de la main gauche et mon épaule est collée à celle du liseur de journaux. Mon bras droit est à quarante cinq degrés, ma main tient la lanière de mon sac, et le dos de celle-ci est directement posé sur les abdos du jeune homme. Si j’osais, j’appuierais plus fort pour voir si il est très musclé, mais bon ! Le plus important, pour le moment c’est de sentir ma poitrine, écrasée contre celle du quinquagénaire, se frotter contre lui au rythme des secousses. J’ai envie de plaquer mon ventre contre le sien mais faire une chose comme ça serait insensé, pourtant, je le fais, mais instinctivement, par réflexe, car je viens de sentir une légère caresse sur mes fesses et je suis surprise. Le quinqua aussi est surprit et me regarde avec des yeux tout ronds. Le rouge remonte à mes joues. Je lui fais une petite grimace en signe d’excuse. Il a du comprendre le message et me sourit légèrement. Je pense que mon agresseur est le jeune homme, mais le pauvre a tellement de mal à arriver à s’agripper quelque part, que ce ne peut être lui. Derrière moi, la caresse se fait plus présente, plus insistante. Impossible de me retourner, mais pendant un court instant, dans le reflet de la porte, je peux voir le visage de la personne qui se tient derrière moi, et je la reconnais de suite. L’homme du quai, c’est bien lui et visiblement je ne suis pas parano, maintenant j’en suis sure.
Il passe dans le dos de sa main, doucement d’une fesse à l’autre, en appuyant de plus en plus fort. Mon sang se glace quand il prend ma fesse droite à pleine main et commence à la malaxer. J’avoue, j’ai peur, mais pourtant je laisse faire. Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine, je tremble. Devant mon manque de réactions négatives, il prend confiance en lui, et applique son autre main sur ma fesse gauche. Il caresse mon cul sans ménagement, et il va forcément sentir que mes fesses sont nues. OUI ! Bien sur qu’il l’a senti, et son sang à l’inverse du mien doit bouillir. Tout en me caressant, je le sens remonter ma jupe lentement, puis son petit doigt touche la couture de mes bas. Il remonte un peu atteins les attaches…et c’est le contact avec ma peau. Il va doucement, continu de remonter le tissu, et d’un coup applique ses mains directement sur mes fesses. Il monte ses mains très haut sur ma croupe et les redescend jusqu’à mes cuisses sur mes bas. Puis il les met de chaque cotés de mes hanches, serre et me plaque contre lui. Je sens le renflement dans son pantalon, il se frotte contre la fente de mon cul, je suis paralysée par la trouille, mais si se n’était pas la crainte d’être surprise, j’y trouverais du plaisir. Un coup de frein, plus fort que les autres, nous fait tous vaciller. En une fraction de seconde je vois les yeux bleus du jeune homme se baisser, s’écarquiller, et sa bouche s’ouvrir. Je me sens vraiment très mal. Je sais qu’il a vus se que faisait l’homme du quai derrière moi, je sais qu’il a comprit que je ne disais rien et que je laissais faire. Quel allait être sa réaction…? Mon minou épilé, doux et chaud, aux lèvres humides et légèrement écartées, la source s’éveille en moi.
Il rougit légèrement, lève les yeux au ciel comme si il n’avait rien vu, et apposa, lui aussi, une main sur le coté de ma jambe. Ces doigts glissent sur mon bas, puis remontent elle aussi au dessus de la couture en s’aventurant sur le devant de ma cuisse. La pivoine, que je suis devenue, ferme les yeux quelques instants, juste quelques secondes pour tenter de comprendre l’ouragan de mon ventre qui dévaste mes pensées, un soupçon de plaisir, ou n’est ce que de la peur, de celle qui vous paralyse sur place. Je n’ai pas le temps de trouver la réponse. Je ré-ouvre les yeux très vite. Je viens de sentir quelque chose sur mon ventre. Je regarde le quinqua, il a les yeux baissés, sa vue plonge dans mon décolleté. Je comprends qu’il a glissé deux doigts entre le bouton du bas de ma veste et le suivant et me caresse doucement le ventre. Il relève les yeux, me regarde tendrement avec un léger sourire et ma respiration se bloque. Il vient de défaire le bouton du bas. Instinctivement je recule, à la plus grande joie de l’homme du quai, qui écarte d’un coup mes fesses et écrase sa boursouflure presque sur mon anus. Le jeune profite lui aussi de mon recule, et plaque sa main sur mon sexe que je devine très humide, car il parvient à glisser un doigt sans aucune difficulté. Le quinqua, lui, profite de l’espace providentiellement fourni pour glisser sa main sous ma veste et me prendre un sein à pleine main. C’est bon, là j’ai vraiment peur, ma jupe est entièrement relevée, mon ventre est à l’air, et je ne dois mon salut qu’à la foule qui fait paravent.
Je suis tétanisée. Le jeune me masturbe le clito dès lors tendu…mon homme avait raison, la peur peut multiplier le plaisir…je vais jouir…je panique, tente de me dégager, mais rien y fait, bien au contraire. Profitant d’un mouvement de monter et de descente de passagers, ils parviennent à me coller contre la porte du fond, dans l’angle du wagon. J’ai été trop loin, je suis prisonnière de mon propre jeu et je ne peux plus rien dire, d’ailleurs, même si je le voulais, aucun son ne pourrait sortir de ma bouche tant j’ai peur. Je cherche mon mari du regard comme un SOS pendant que le jeune appuyé contre la paroi fait pénétrer son pouce droit au plus profond de mon puis d’amour qui c’est transformé en torrent de lave, ce qui me laisse échapper un gloussement bien féminin, son autre main malaxe ma fesse droite. Prêt de lui, l’homme du quai, dans un mouvement rapide et précis, soulève ma jambe gauche en plaçant sa main sous mon genou. Je crois défaillir, quand debout sur une jambe, un pouce dans le sexe, le quinqua a ma gauche, déboutonne toute ma veste, l’ouvre en grand pour faire sortir mes seins, les prendre a pleine main et triturer mes tétons durci par l’excitation. Je perds toute notion de danger. Je ne sais plus très bien où je suis. Le pouce quitte mon humidité pour venir prendre ma main et la plaquer sur la braguette fortement bombée du jeune. Devant mon inaptitude, il entreprend de l’ouvrir lui-même, et sort une queue longue gorgé et coulante de son méat a ras bord de plaisir, qu’il me met dans la main. Elle est très dure, très douce, et presque sans m’en apercevoir, dans ce tourbillon de folie et d’envie, je le masturbe tout doucement.
Sa main libérée vient rejoindre celle du quinqua, sur mes seins aux pointes dardées. Je me surprends à me cambrer imperceptiblement, à gonfler un peu la poitrine pour la faire saillir, à tirer légèrement les épaules en arrière afin de faire ressortir mes globes offerts, frémissants, palpitants d’impatience.. Mon sexe, trempé, coule bouillant, ne se rend pas tout de suite compte que ce qui vient de le toucher n’est en rien une main ou un pouce. L’homme du quai a lui aussi sorti son membre, et l’applique de son phallus sur ma fente. Apres plusieurs tentatives, il parvient à me prendre, là, au milieu de tous ces inconnus, et sans être vu. Il fait un très léger mouvement de va et vient, profitant de tout les à-coups de la rame. Mais rien ne peut plus l’arrêter et il continu à progresser en moi. Il cogne mon utérus, doucement au début puis de plus en plus fort. Je me surprends à m’adapter, juste quelques douleurs furtives qui disparaissent rapidement pour laisser place à un plaisir intense. Je me surprends même à pousser mon cul en arrière, pour venir à sa rencontre. Je me mords les lèvres à plusieurs reprises, mes yeux se révulsent par moment, comment ne pas crier…?
Mon corps secoué de soubresauts, témoin d’un orgasme particulièrement intense dans flot puissant et bouillonnant qui me semble incessant, inonde mon antre et me fais lâcher un nouveau cri de plaisir. Un éclair de lucidité bien trop tardif me fait dire que si il jouissait je serais très ennuyée pour rentrer. J’ai à peine fini ma réflexion qu’une autre giclée chaude s’écoule en jets saccadés sur ma cuisse. Le jeune vient d’éjaculer sur moi, j’en ai plein les mains, mais tout vas trop vite et je ne parviens plus à gérer mon cerveau. Une seule chose me vient à l’esprit, Je suis désormais, plus que remplie. Je suis pleine. Plus que pleine, il ne faut pas que le sperme coule sur mes bas, alors je lâche l’objet de mes ennuis, et m’applique à étaler la liqueur sur la peau de mes cuisses, allant même jusqu’à mes fesses. Je suis secouée une fois de plus, une décharge brûlante se déverse dans mon ventre, son sexe sort, il laisse retomber ma jambe. L’angoisse de la coulée me reprend et me met en panique, je reprends sa queue et la frotte sur ma vulve, comme pour faire pénétrer sa liqueur en bien trop grande quantité, mais sentant bien que cela ne suffira pas, j’entreprends de me masser la chatte avec la main. C’est chaud, gluant, et contre toute attente je jouie de cette masturbation involontaire. Je ferme les yeux, et retiens un léger cri. Je continue d’étaler le sperme, qui commence à sécher. Mes doigts sont collants, je suis contrainte de finir de les essuyer sur mon ventre. Le quinqua, lui, continu de me triturer les seins et semble s’en satisfaire. Je commence à reprendre mes esprits, du coup je recommence à rougir. Mon dieu, qu’ai je fais. Je dois être folle à lier…
Le wagon stoppe dans un tunnel, les lumières s’éteignent laissant juste les lueurs des lampes de secours, une voie off nous signale un problème technique…
Des bras puissants me tourne et me force à me baisser, me glisse à l’oreille que je suis une salope, je me sens troublée, ne sachant plus comment réagir… Cette hypothèse fait son chemin dans ma tête et je reste hypnotisé, perdu dans la profondeur, ce n’est que quand je réalise que mes lèvres se sont approchées de sa queue bandée hors du tissus que je reprends mes esprits. Il a toujours une main sur le haut de mon dos, mais l’autre est remontée derrière ma nuque pour m’inciter à prendre sa queue baveuse de filament pour soupe sur ma langue. Mes doigts, attirés contre toutes bonnes moralités par ce pieu de chair remontent petit à petit et viennent l’encercler, j’ai honte, mais je mouille comme il vient de si bien me dire, comme une salope. Je continue malgré moi de sympathiser, je remonte avec mon autre main sur un côté de ses flancs et découvre les détails de sa silhouette, j’entends vaguement les voyageurs grondés au loin de cette attente…
Je m’exécute sans broncher malgré l’espace exigu, et après avoir observé un instant, je gobe son gland sans me faire prier, m’agrippe fermement à la base de sa verge, et commence de lents aller-retour avec ma bouche, le goutte, m’arrêtant au bout pour chatouiller la base de son phallus avec ma langue remuante, ma bouche s’englue chaque seconde de ce liquide élastique. Plusieurs mains me caresses, me triture les seins, mes pointes sont étirées, entre mes cuisses, le main se glissent, s’immiscent dans mon con détrempé, se frottes à mon bourgeon…
Je m’applique à montrer l’étendue de mes compétences en la matière, comme si je voulais me prouver que j’avais fait le bon choix, je les force de constater que j’en connais un rayon.
J’essaye d’engloutir son sexe dans ma bouche, et je suis surpris d’en voir disparaître les deux-tiers avant de toucher le fond de ma gorge. Je ne tiendrais pas longtemps cette position contraignante, et me libère pour respirer un bon coup avant de le reprendre en bouche. Je recommence quelques allers retours en resserrant fermement ses lèvres autour de sa hampe pour qu’il ressente au mieux mes caresses buccales, accélérant soudainement le rythme puis ralentissant. Je viens ensuite encercler son dard de ma petite main et le branler, l’autre lui encarte les bourses pendant que ma bouche reste sur son gland que je suçote, aspire goulûment. Sa main est toujours dans mes cheveux derrière ma tête pour m’inciter à continuer, chose que je m’applique à faire méticuleusement. Les doigts des autres toujours sur ma peau, dans ma chatte béante me font jouir en permanence, les orgasmes se succèdent en cascade… Malheureusement la secousse de la ram qui se remet en route assez forte me fait vaciller au moment ou des jets de sperme me frappent le visage, s’immiscent dans ma bouche entrouverte de surprise en surprise, je panique des dégâts qui vont être causés, me ressaisie et l’avale alors même que la lumière du quai inonde le wagon. J’avale même sans réfléchir cette semence abondante, le libère rapidement de mon étau à la vue d’un mouchoir en papier au combien petit pour la nécessitée. A l’ouverture des portes, je m’essuie rapidement dans l’affolement et me relève faisant face à mon éjaculateur… Je reste sans voie, de la découverte…
La voie du haut parleur fini par me sortir complètement de ma torpeur. Les gens sortent rapidement du wagon, ainsi que les trois compères, me laissant en plan, jupe relevée et seins à l’air, devant mon mari.
Il me retourne promptement face à la porte, je rabaisse ma jupe et reboutonne ma veste en prenant garde de ne pas la tacher, car mes doigts sont encore couverts de semence gluante. Je lève la tète et je vois sur le quai d’en face, deux clochards qui n’ont pas perdus une miette du spectacle que je viens de leur offrir. J’ai chaud et je crois que je resterais rouge toute ma vie. Nous sortons de la rame et nous dirigeons vers la sortie. Nous sommes les derniers et bien contente que ce soit le cas. Je n’ai pas vu défiler les stations, et je ne sais même pas où nous nous trouvons, mais un panneau me fait comprendre que j’ai presque fait toute la ligne, je dois être à « Etoile ». Ma veste colle a mon ventre, ma jupe a mes cuisses. Un clin d’oeil rapide de mon homme qui comprend mon angoisse me permet de voir qu’il n’y a pas de dégât apparent. Nous montons les escaliers, tout en me frottant les mains pour faire totalement disparaître les traces de cette folie. Personne dans les couloirs, j’en profite pour repasser ma main sur ma vulve afin d’enlever une coulée que je sentait proche, et bien sur, je recommence à frotter mes mains.
J’arrive dehors, il fait beau et chaud. Lui fait comprendre que je voudrais marcher un peu pour « sécher ». J’ai l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait. Nous nous assoyons sur un banc face à l’avenue, et me refais tout le film de mon aventure incroyable.
Je respire, me détend, le rouge quitte peu à peu mes joues, mais mon cœur bat encore la chamade mais je suis soulagée. La réalité revient progressivement, et il commence à me demander de rentrer, il à envie de moi, il veut mon puits d’amour souillé pour lui seul. Je tourne la tête vers mon mari, lui sourie, nos têtes se penche, nous nous embrassons de nos langues, amoureusement, il me glisse un « je t’aime » plein de sens… Sans me soucier si les passants voient mes fesses, où matte sans gène apparente mes seins, ma jupe est remontée jusqu’à la couture de mes bas. Phil sort un autre mouchoir de papier et le passe délicatement à la commissure de mes lèvres enlevant les traces de son imposture dont j’ai le gout fixé entre mes dents. Il pose sa main gauche sur ma cuisse, l’écarte un peu de sa jumelle, je sens bailler mes lèvres intimes, libérant de ce fait les jus mêlés qui coulent inexorablement encore entre mes lobes de mes fesses et sur le banc de bois vert…
Mon homme avait raison de dire que la peur était aphrodisiaque, je suis chaude bouillante.
Valphil.
Il y a des jours comme celui-ci, où quand on se lève le matin, on est à mille lieux de s’imaginer ce qui va se passer au cours de la journée…
Aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie d’un peu plus, j’ai envie d’exciter mon homme. Notre vie sexuelle n’est pas d’une normalité banale, notre complicité s’est renforcée, nous sommes allés de plus en plus loin dans nos envies mais si je pouvais y mettre encore un peu plus de piment… Il m’a dit récemment que la peur était un super aphrodisiaque.
J’ai toujours aimé sentir le regard des hommes se poser sur moi. Je ne porte pas très souvent des minijupes, j’aimerai parfois être sans culotte et rechercher les escaliers les plus abrupts possible pour dévoiler à ces messieurs ma croupe, j’aimerai ne pas porter de soutien gorges sous mes chemisiers, que les hommes les imagines dans la transparence du tissu, j’aimerais oser pour lui, pour mon mari, mais aussi, je crois un peu pour moi, mais j’ai peur.
Nous sommes en week-end de trois jours à Paris, nous sommes descendus à l’Hôtel Lancaster, positionné dans une rue adjacente des Champs Elysée.
Mon homme râle car comme souvent en Septembre, c’est jour de grève dans les transports, service minimum.
L’insolence et la brusquerie de son geste m’ont fait émettre un soupir d’étonnement.
Une idée vient de lui traverser l’esprit, son imagination dépasse alors le mur du son, à son changement de tempérament, à son sourire, à son regard posé sur moi, n’est-ce pas une pointe de malice que je viens de lire dans ces superbes prunelles bleus? Je le devine, et mon mètre soixante douze rentre en ébullition. Oserait-il avoir les mêmes pensées...
Les fantasmes sont excitants que si on les réalise ou si on veut les réaliser…
Une paire de bas bien positionné par son tenant à ma taille, une jupette plissée noire, juste une veste de tailleur sans rien dessous, des escarpins et un petit sac de chez Longchamp en bandoulière sera ma panoplie pour aujourd’hui. Habillée d’une façon à en montrer un peu, mais pas trop, et à donner envie d’avoir plus, ce qui rend ma séduction sans doute candide, cela me procure l’illusion de la puissance, j’aime séduire, il me l’a apprise, le défi que je croyais ultime.
La porte de la chambre vient de se refermer, telle une belle parenthèse, pour cette escapade coquine.
Nous traversons le hall d’entrée, le yeux du personnel braqué sur mes fesses, je me contente de les regarder, avec une pointe d’arrogance, une petite provocation qui agace, je possède une ligne irréprochable accompagnée de deux jolis seins toujours mis en avant par de charmants décolletés comme la cerise sur le gâteau.
Nous sortons de l’hôtel et nous dirigeons dans une sorte de long voyage initiatique, vers la bouche de métro, en descendant les escaliers le vent qui et encore chaud pour la saison tente de soulever ma jupe. Je la maintiens d’une main, mais je suis sur que des yeux ont déjà vu que je portais des bas porte-jarretelles. Mon homme avec une lueur d’excitation dans les yeux, m’embrasse langoureusement et me laisse filer devant, je sais qu’il ne serra pas loin, je sais que son regard serra posé sur moi.
Arrivée sur le quai, je me noie dans la foule, et attend mon destin, avec un petit quelque chose au ventre. Le but d’aujourd’hui, me sentir presque nue et me coller a des hommes qui me plaisent et qui ignorent tout de nos jeux.
Le quai est noir de monde, impossible d’éviter très vite le contact avec les gens qui m’entourent. Mais rien ne se passe, de Ram en Ram, juste des corps compressés en permanence, c’est pourquoi je n’est pas réalisée tous de suite qu’une personne se tenait derrière moi à un moment donné, il se pressait contre mon dos en s’appliquant, contre mes fesses, de très léger coup de reins discret, afin que personne ne le remarque. J’ai senti le rouge me monter aux joues et mon cœur battre plus fort. Et si il avait vu, si il avait remarqué, si il avait compris que je suis nue sous mes vêtements et de ce fait très vulnérable. Je l’imaginais ouvrant d’un coup ma veste en arrachant les boutons, puis soulevant ma jupe et ce mettant a hurler « regardez, c’est une salope ». Je pris une grande respiration afin de calmer la panique qui m’envahissait. Si cela se trouve, il ne fait rien et c’est moi qui fais un peu de paranoïa.
Ce métro arrive enfin au bout d’un quart d’heure. Je ne suis qu’a une station du début de la ligne, de ce fait il est presque vide. Pas pour longtemps. Les portes s’ouvrent, et une marée humaine me propulse dans le wagon. J’ai juste le temps d’attraper une barre centrale pour éviter de me faire écraser contre la porte opposée. Au bout d’une minute sans savoir si Phil est là, les portes tentent et retentent de se fermer et y parviennent enfin. La rame démarre. C’est le moment de faire le bilan de ce qui se passe autour de moi. Je suis face à face avec un homme d’une cinquantaine d’années, visiblement il souffre de ce manque d’espace et grimace un peu. A ma gauche, un type a réussi à plier son journal, et le tenant appuyé sur le dos de la personne devant lui lit les dernières nouvelles. A ma droite, un autre homme, plus jeune, plutôt pas mal, essaye de trouver un endroit ou se tenir, le pauvre, il se retrouve avec un bras en l’air et se tient avec deux doigts contre la paroi.
Peu de femmes dans cette rame, les jours de grèves elles sont nombreuses a préférer marcher. Voilà, je peux enfin commencer à jouer avec mes sens. Je tiens la barre de la main gauche et mon épaule est collée à celle du liseur de journaux. Mon bras droit est à quarante cinq degrés, ma main tient la lanière de mon sac, et le dos de celle-ci est directement posé sur les abdos du jeune homme. Si j’osais, j’appuierais plus fort pour voir si il est très musclé, mais bon ! Le plus important, pour le moment c’est de sentir ma poitrine, écrasée contre celle du quinquagénaire, se frotter contre lui au rythme des secousses. J’ai envie de plaquer mon ventre contre le sien mais faire une chose comme ça serait insensé, pourtant, je le fais, mais instinctivement, par réflexe, car je viens de sentir une légère caresse sur mes fesses et je suis surprise. Le quinqua aussi est surprit et me regarde avec des yeux tout ronds. Le rouge remonte à mes joues. Je lui fais une petite grimace en signe d’excuse. Il a du comprendre le message et me sourit légèrement. Je pense que mon agresseur est le jeune homme, mais le pauvre a tellement de mal à arriver à s’agripper quelque part, que ce ne peut être lui. Derrière moi, la caresse se fait plus présente, plus insistante. Impossible de me retourner, mais pendant un court instant, dans le reflet de la porte, je peux voir le visage de la personne qui se tient derrière moi, et je la reconnais de suite. L’homme du quai, c’est bien lui et visiblement je ne suis pas parano, maintenant j’en suis sure.
Il passe dans le dos de sa main, doucement d’une fesse à l’autre, en appuyant de plus en plus fort. Mon sang se glace quand il prend ma fesse droite à pleine main et commence à la malaxer. J’avoue, j’ai peur, mais pourtant je laisse faire. Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine, je tremble. Devant mon manque de réactions négatives, il prend confiance en lui, et applique son autre main sur ma fesse gauche. Il caresse mon cul sans ménagement, et il va forcément sentir que mes fesses sont nues. OUI ! Bien sur qu’il l’a senti, et son sang à l’inverse du mien doit bouillir. Tout en me caressant, je le sens remonter ma jupe lentement, puis son petit doigt touche la couture de mes bas. Il remonte un peu atteins les attaches…et c’est le contact avec ma peau. Il va doucement, continu de remonter le tissu, et d’un coup applique ses mains directement sur mes fesses. Il monte ses mains très haut sur ma croupe et les redescend jusqu’à mes cuisses sur mes bas. Puis il les met de chaque cotés de mes hanches, serre et me plaque contre lui. Je sens le renflement dans son pantalon, il se frotte contre la fente de mon cul, je suis paralysée par la trouille, mais si se n’était pas la crainte d’être surprise, j’y trouverais du plaisir. Un coup de frein, plus fort que les autres, nous fait tous vaciller. En une fraction de seconde je vois les yeux bleus du jeune homme se baisser, s’écarquiller, et sa bouche s’ouvrir. Je me sens vraiment très mal. Je sais qu’il a vus se que faisait l’homme du quai derrière moi, je sais qu’il a comprit que je ne disais rien et que je laissais faire. Quel allait être sa réaction…? Mon minou épilé, doux et chaud, aux lèvres humides et légèrement écartées, la source s’éveille en moi.
Il rougit légèrement, lève les yeux au ciel comme si il n’avait rien vu, et apposa, lui aussi, une main sur le coté de ma jambe. Ces doigts glissent sur mon bas, puis remontent elle aussi au dessus de la couture en s’aventurant sur le devant de ma cuisse. La pivoine, que je suis devenue, ferme les yeux quelques instants, juste quelques secondes pour tenter de comprendre l’ouragan de mon ventre qui dévaste mes pensées, un soupçon de plaisir, ou n’est ce que de la peur, de celle qui vous paralyse sur place. Je n’ai pas le temps de trouver la réponse. Je ré-ouvre les yeux très vite. Je viens de sentir quelque chose sur mon ventre. Je regarde le quinqua, il a les yeux baissés, sa vue plonge dans mon décolleté. Je comprends qu’il a glissé deux doigts entre le bouton du bas de ma veste et le suivant et me caresse doucement le ventre. Il relève les yeux, me regarde tendrement avec un léger sourire et ma respiration se bloque. Il vient de défaire le bouton du bas. Instinctivement je recule, à la plus grande joie de l’homme du quai, qui écarte d’un coup mes fesses et écrase sa boursouflure presque sur mon anus. Le jeune profite lui aussi de mon recule, et plaque sa main sur mon sexe que je devine très humide, car il parvient à glisser un doigt sans aucune difficulté. Le quinqua, lui, profite de l’espace providentiellement fourni pour glisser sa main sous ma veste et me prendre un sein à pleine main. C’est bon, là j’ai vraiment peur, ma jupe est entièrement relevée, mon ventre est à l’air, et je ne dois mon salut qu’à la foule qui fait paravent.
Je suis tétanisée. Le jeune me masturbe le clito dès lors tendu…mon homme avait raison, la peur peut multiplier le plaisir…je vais jouir…je panique, tente de me dégager, mais rien y fait, bien au contraire. Profitant d’un mouvement de monter et de descente de passagers, ils parviennent à me coller contre la porte du fond, dans l’angle du wagon. J’ai été trop loin, je suis prisonnière de mon propre jeu et je ne peux plus rien dire, d’ailleurs, même si je le voulais, aucun son ne pourrait sortir de ma bouche tant j’ai peur. Je cherche mon mari du regard comme un SOS pendant que le jeune appuyé contre la paroi fait pénétrer son pouce droit au plus profond de mon puis d’amour qui c’est transformé en torrent de lave, ce qui me laisse échapper un gloussement bien féminin, son autre main malaxe ma fesse droite. Prêt de lui, l’homme du quai, dans un mouvement rapide et précis, soulève ma jambe gauche en plaçant sa main sous mon genou. Je crois défaillir, quand debout sur une jambe, un pouce dans le sexe, le quinqua a ma gauche, déboutonne toute ma veste, l’ouvre en grand pour faire sortir mes seins, les prendre a pleine main et triturer mes tétons durci par l’excitation. Je perds toute notion de danger. Je ne sais plus très bien où je suis. Le pouce quitte mon humidité pour venir prendre ma main et la plaquer sur la braguette fortement bombée du jeune. Devant mon inaptitude, il entreprend de l’ouvrir lui-même, et sort une queue longue gorgé et coulante de son méat a ras bord de plaisir, qu’il me met dans la main. Elle est très dure, très douce, et presque sans m’en apercevoir, dans ce tourbillon de folie et d’envie, je le masturbe tout doucement.
Sa main libérée vient rejoindre celle du quinqua, sur mes seins aux pointes dardées. Je me surprends à me cambrer imperceptiblement, à gonfler un peu la poitrine pour la faire saillir, à tirer légèrement les épaules en arrière afin de faire ressortir mes globes offerts, frémissants, palpitants d’impatience.. Mon sexe, trempé, coule bouillant, ne se rend pas tout de suite compte que ce qui vient de le toucher n’est en rien une main ou un pouce. L’homme du quai a lui aussi sorti son membre, et l’applique de son phallus sur ma fente. Apres plusieurs tentatives, il parvient à me prendre, là, au milieu de tous ces inconnus, et sans être vu. Il fait un très léger mouvement de va et vient, profitant de tout les à-coups de la rame. Mais rien ne peut plus l’arrêter et il continu à progresser en moi. Il cogne mon utérus, doucement au début puis de plus en plus fort. Je me surprends à m’adapter, juste quelques douleurs furtives qui disparaissent rapidement pour laisser place à un plaisir intense. Je me surprends même à pousser mon cul en arrière, pour venir à sa rencontre. Je me mords les lèvres à plusieurs reprises, mes yeux se révulsent par moment, comment ne pas crier…?
Mon corps secoué de soubresauts, témoin d’un orgasme particulièrement intense dans flot puissant et bouillonnant qui me semble incessant, inonde mon antre et me fais lâcher un nouveau cri de plaisir. Un éclair de lucidité bien trop tardif me fait dire que si il jouissait je serais très ennuyée pour rentrer. J’ai à peine fini ma réflexion qu’une autre giclée chaude s’écoule en jets saccadés sur ma cuisse. Le jeune vient d’éjaculer sur moi, j’en ai plein les mains, mais tout vas trop vite et je ne parviens plus à gérer mon cerveau. Une seule chose me vient à l’esprit, Je suis désormais, plus que remplie. Je suis pleine. Plus que pleine, il ne faut pas que le sperme coule sur mes bas, alors je lâche l’objet de mes ennuis, et m’applique à étaler la liqueur sur la peau de mes cuisses, allant même jusqu’à mes fesses. Je suis secouée une fois de plus, une décharge brûlante se déverse dans mon ventre, son sexe sort, il laisse retomber ma jambe. L’angoisse de la coulée me reprend et me met en panique, je reprends sa queue et la frotte sur ma vulve, comme pour faire pénétrer sa liqueur en bien trop grande quantité, mais sentant bien que cela ne suffira pas, j’entreprends de me masser la chatte avec la main. C’est chaud, gluant, et contre toute attente je jouie de cette masturbation involontaire. Je ferme les yeux, et retiens un léger cri. Je continue d’étaler le sperme, qui commence à sécher. Mes doigts sont collants, je suis contrainte de finir de les essuyer sur mon ventre. Le quinqua, lui, continu de me triturer les seins et semble s’en satisfaire. Je commence à reprendre mes esprits, du coup je recommence à rougir. Mon dieu, qu’ai je fais. Je dois être folle à lier…
Le wagon stoppe dans un tunnel, les lumières s’éteignent laissant juste les lueurs des lampes de secours, une voie off nous signale un problème technique…
Des bras puissants me tourne et me force à me baisser, me glisse à l’oreille que je suis une salope, je me sens troublée, ne sachant plus comment réagir… Cette hypothèse fait son chemin dans ma tête et je reste hypnotisé, perdu dans la profondeur, ce n’est que quand je réalise que mes lèvres se sont approchées de sa queue bandée hors du tissus que je reprends mes esprits. Il a toujours une main sur le haut de mon dos, mais l’autre est remontée derrière ma nuque pour m’inciter à prendre sa queue baveuse de filament pour soupe sur ma langue. Mes doigts, attirés contre toutes bonnes moralités par ce pieu de chair remontent petit à petit et viennent l’encercler, j’ai honte, mais je mouille comme il vient de si bien me dire, comme une salope. Je continue malgré moi de sympathiser, je remonte avec mon autre main sur un côté de ses flancs et découvre les détails de sa silhouette, j’entends vaguement les voyageurs grondés au loin de cette attente…
Je m’exécute sans broncher malgré l’espace exigu, et après avoir observé un instant, je gobe son gland sans me faire prier, m’agrippe fermement à la base de sa verge, et commence de lents aller-retour avec ma bouche, le goutte, m’arrêtant au bout pour chatouiller la base de son phallus avec ma langue remuante, ma bouche s’englue chaque seconde de ce liquide élastique. Plusieurs mains me caresses, me triture les seins, mes pointes sont étirées, entre mes cuisses, le main se glissent, s’immiscent dans mon con détrempé, se frottes à mon bourgeon…
Je m’applique à montrer l’étendue de mes compétences en la matière, comme si je voulais me prouver que j’avais fait le bon choix, je les force de constater que j’en connais un rayon.
J’essaye d’engloutir son sexe dans ma bouche, et je suis surpris d’en voir disparaître les deux-tiers avant de toucher le fond de ma gorge. Je ne tiendrais pas longtemps cette position contraignante, et me libère pour respirer un bon coup avant de le reprendre en bouche. Je recommence quelques allers retours en resserrant fermement ses lèvres autour de sa hampe pour qu’il ressente au mieux mes caresses buccales, accélérant soudainement le rythme puis ralentissant. Je viens ensuite encercler son dard de ma petite main et le branler, l’autre lui encarte les bourses pendant que ma bouche reste sur son gland que je suçote, aspire goulûment. Sa main est toujours dans mes cheveux derrière ma tête pour m’inciter à continuer, chose que je m’applique à faire méticuleusement. Les doigts des autres toujours sur ma peau, dans ma chatte béante me font jouir en permanence, les orgasmes se succèdent en cascade… Malheureusement la secousse de la ram qui se remet en route assez forte me fait vaciller au moment ou des jets de sperme me frappent le visage, s’immiscent dans ma bouche entrouverte de surprise en surprise, je panique des dégâts qui vont être causés, me ressaisie et l’avale alors même que la lumière du quai inonde le wagon. J’avale même sans réfléchir cette semence abondante, le libère rapidement de mon étau à la vue d’un mouchoir en papier au combien petit pour la nécessitée. A l’ouverture des portes, je m’essuie rapidement dans l’affolement et me relève faisant face à mon éjaculateur… Je reste sans voie, de la découverte…
La voie du haut parleur fini par me sortir complètement de ma torpeur. Les gens sortent rapidement du wagon, ainsi que les trois compères, me laissant en plan, jupe relevée et seins à l’air, devant mon mari.
Il me retourne promptement face à la porte, je rabaisse ma jupe et reboutonne ma veste en prenant garde de ne pas la tacher, car mes doigts sont encore couverts de semence gluante. Je lève la tète et je vois sur le quai d’en face, deux clochards qui n’ont pas perdus une miette du spectacle que je viens de leur offrir. J’ai chaud et je crois que je resterais rouge toute ma vie. Nous sortons de la rame et nous dirigeons vers la sortie. Nous sommes les derniers et bien contente que ce soit le cas. Je n’ai pas vu défiler les stations, et je ne sais même pas où nous nous trouvons, mais un panneau me fait comprendre que j’ai presque fait toute la ligne, je dois être à « Etoile ». Ma veste colle a mon ventre, ma jupe a mes cuisses. Un clin d’oeil rapide de mon homme qui comprend mon angoisse me permet de voir qu’il n’y a pas de dégât apparent. Nous montons les escaliers, tout en me frottant les mains pour faire totalement disparaître les traces de cette folie. Personne dans les couloirs, j’en profite pour repasser ma main sur ma vulve afin d’enlever une coulée que je sentait proche, et bien sur, je recommence à frotter mes mains.
J’arrive dehors, il fait beau et chaud. Lui fait comprendre que je voudrais marcher un peu pour « sécher ». J’ai l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait. Nous nous assoyons sur un banc face à l’avenue, et me refais tout le film de mon aventure incroyable.
Je respire, me détend, le rouge quitte peu à peu mes joues, mais mon cœur bat encore la chamade mais je suis soulagée. La réalité revient progressivement, et il commence à me demander de rentrer, il à envie de moi, il veut mon puits d’amour souillé pour lui seul. Je tourne la tête vers mon mari, lui sourie, nos têtes se penche, nous nous embrassons de nos langues, amoureusement, il me glisse un « je t’aime » plein de sens… Sans me soucier si les passants voient mes fesses, où matte sans gène apparente mes seins, ma jupe est remontée jusqu’à la couture de mes bas. Phil sort un autre mouchoir de papier et le passe délicatement à la commissure de mes lèvres enlevant les traces de son imposture dont j’ai le gout fixé entre mes dents. Il pose sa main gauche sur ma cuisse, l’écarte un peu de sa jumelle, je sens bailler mes lèvres intimes, libérant de ce fait les jus mêlés qui coulent inexorablement encore entre mes lobes de mes fesses et sur le banc de bois vert…
Mon homme avait raison de dire que la peur était aphrodisiaque, je suis chaude bouillante.
Valphil.
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