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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#934164
QUAND UN LIBERTIN DEVIENT COCU, ET VRAIMENT RIEN DE PLUS
Mon époux râle et moi de même. Cez moi c’est joyeux. Sonore. Jubilatoire et visuel. A son habitude, mon amant s’y entend pour écarter mes jambes et imposer la vue de l’union parfaite. Si le regard de mon époux quitte nos deux sexes. Il le rappelle à l’ordre. Il lui ordonne de se rapprocher. J’aimerais qu’il nous lèche, ca ne va pas tarder. La situation est criante de vérité. Pas moyen de mentir. Cette femme. Sa femme, celle qui devrait lui appartenir à son amant dans la peau. Nous sommes sur le fil rouge. Il est tout rouge. Il fulmine. Il râle, mais hez lui, tout est contenu, jusqu’à son sexe. Il en a marre de se faire traiter de Cocu. Marre d’entendre ce type lui dire « Ta femme, c’est ma gonzesse. C’est ma maîtresse. Je la baise autant qe je veux." » Il ne peut rien y faire, sinon maudire cet homme et contempler mon plaisir.

Je me sens monter et mon amant frissonne. C’est le moment, c’est l’instant, il va lui dire et je me joins à lui « Oui t’as raison mon chou. Je suis ta gonzesse. Je suis ta maîtresse. Je me sens bien avec toi, tu sais.». J’aimerais hurler cocu. Mais je n‘ose pas. Pas encore. Alors, il le fait à ma place. Et puis, tout se déclenche. Chez moi. Chez lui. L’infernale jouissance. Joli combat. Une fois de plus, il a gagné. Il m’a gagné. Il toise mon époux, le nargue. « Regarde ». « Ecoute ». « Tais-toi ». Le préservatif se tache, mais il ne débande pas. Les vagues me reviennent, incessantes. Je me fous de la houle si elle donne du plaisir. Et là je viens d’en prendre. Beaucoup. Beaucoup et plus encore.
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Modifié en dernier par HappyCocu le 06 janv. 2012, 17:44, modifié 3 fois.
#934196
RIEN N'EST PLUS BEAU QUE DE TROMPER VRAIMENT
Titubante, je rejoins la salle de bain. J’ai failli défaillir. Je manque d’air. Je me sens mal, mais je vais si bien. Avant de m’y enfermer, je l’ai dis à mon époux, mon amant dormira ici. Tu pourras regarder. Ou dormir au salon. Ou partir. A travers la cloison, je capte la conversation. Mon amant lui explique. J’ai envie de lui. Toute la nuit. Et même demain matin, sans mon mari. Et là, quand il éjaculera, il ne bandera plus. Et on rigolera en parlant du Cocu et du bien qu’il nous donne. Le ton monte. Il lui explique. Libertin, c’est quand on veut bien. Quand on choisit. Quand on participe. Quand on contrôle. Mais t'as perdu la main. . Alors, tu ne veux plus. T’as plus envie. Tu me détestes. Tu ne choisis pas. Tu ne participe pas. T’es un Cocu. Un gros Cocu. Il lui martelle le terme que mon époux déteste. et puis il continue. Je baise ta femme et toi tu ne dis rien. Tu te branle. T’as raté ton coup. Moi pas, ta femme, c’est ma gonzesse mainteant, je la baise quand je veux. Ou je veux. D’ailleurs, tu nous à déjà surpris au lit. Nous on s’en fiche. Si tu fais chier, je la baise ailleurs. Je l’ai déjà baisé ailleurs. Elle te l’a dis... Je craignais des cris et des lamentions. Mais rien. Sinon un grand silence. Puis ce murmure. « Oui, t’as raison. Je suis cocu».

Je me marre en douce. J’ai envie de mater. De rigoler un coup. J’arrive et j’ouvre sa braguette. Le tableau est superbe. J’embrasse mon amant et contemple mon époux. Je lui montre mes fesses. Mon sexe. Je lui offre un biscuit. Il a voulu de ce mariage et je le voulais aussi. Il a tenu à l’avant goût et j’y tenais aussi. Là ou d’autres auraient été romantiques, il voulait prendre, donner, offrir. Me dresser. Me former. Faire de moi ce que je suis, une salope au salon et salope au lit. Une salope avec lui. Nous nous l’étions promis. Les annexes du contrat n’étaient que passagère. C’est quoi son cirque. Baiser avec plein d’hommes et jeter les meilleurs. A chaque fois tout reprendre à zéro. Ne pas oser l’intime. L’ultime. Pourtant, rien n’est plus beau que de tromper vraiment.
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Modifié en dernier par HappyCocu le 05 janv. 2012, 04:14, modifié 3 fois.
#934203
COCU AU SALON. COCU AU LIT, COCUFIE PAR TOUT LE MONDE
Il peut être fier de lui, fier de nous et nous dire merci. Ses autres compagnes se cachaient. Craignaient de le blesser, moi, ce spectacle, je lui offre. C’est cadeau. S’il peine à l’accepter. Alors, il m’a menti. Mais peu importe, je le tiens par la main. Par le cœur. Par les couilles. Je vais l’aider à traverser à atteindre l’autre rive. Et si pas, je vais le projeter, et tant pi s’il se noie. Mais divorcer jamais. Encore, je pourrais en brandir la menace. Dégage, c’est à la mode. Les indignés aussi.

J’aimerais un cadeau. Pas vraiment pour moi et encore moins pour lui. Mon amant est vicieux. Voyeur. J’aimerais qu’il regarde, mon époux copié ses gestes. Il ouvrira le bal. Je l’attire dans la chambre et le couche sur le lit. Il bande. Il bande fort et mon amant lui dis, "c’est cela, allume ta femme, après, je la baiserais toute la nuit". J’ai l’impression qu’il bande encore plus fort et je veux m’en convaincre. Comme tant de fois. Je ne baise pas pour moi. Je ne baise pas pour lui. Je baise pour mon amant. Pour qu’il regarde. Pour qu’il commente. Victime de commentaires idiots, il me besogne courageusement. Vigoureusement. Je le sens excité. C’en est trop, je me suis assez donnée. Je l’achève. Mon amant le constate. Ce fut un flot intense et il bande toujours. Dans le vide. Dans le vent. Plus dans mon ventre. Un coup de kleenex et le destin prend place. Nous baisserons toute la nuit. Et puis demain, nous baiserons sans lui. Le voilà prévenu. Au courant de son sort. Cocu au salon. Cocu au lit. Cocufié par tout le monde La promesse est tenue. Il franchira l’étape. Il n'a pas d'autre choix.
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Modifié en dernier par HappyCocu le 05 janv. 2012, 04:19, modifié 3 fois.
#937401
VEUX-TU ME FAIRE COCU, MON EPOUSE EST D'ACCORD !
Le lendemain, nous nous sentons le coeur léger. Plus unis. Presque amoureux. Les rôles sont établis et la situation limpide. Pas question de retour en arrière. A peine nous a-t-il salués, que nous parlons de mon époux. Du Cocu. Il est un peu sonné, mais cette fois, je pense qu’il a compris. Dans ce type de situation, dorénavant « Cocu », ce sera son nom. Sa carte de visite. Sa marque de fabrique. Sa façon d’avoir la trique. S’il veut me voir à l’œuvre, plus question d’aborder un gars en lui disant « Ma femme est libertine. Envie d’une belle soirée ? ». Ce sera « Veux-tu me faire Cocu, mon épouse est d’accord ». Je trouve ca plus excitant.

Durant la nuit et avant son départ, j’ai tenu à ce qu’il nous montre la merveille. Je l’ai sommé de justifier son érection et le comment du pourquoi de cet énorme éjaculat qui a marqué ma vie. C’est un crachat sur le libertinage. La preuve d’une conviction. Jamais il n’a joui de cette façon. J’ai cru qu’il allait défaillir. Que sa dernière vision irait à mon amant.

Il s’est trahit et se trahissait encore en nous quittant. Jolie merveille. Fabuleux résultat. Il me voulait salope et putain à la fois. Il m’a formée à cela. Il m’a vue entre les bras de plusieurs centaines d'amants et je fus bonne élève. Très bonne élève. C’est eux que je remercie d’en être arrivée là. C’est eux que je remercie d’avoir montré à mon cocu ce qu’il désirait voir. Savoir.
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Modifié en dernier par HappyCocu le 06 janv. 2012, 11:59, modifié 1 fois.
#969283
Très belle histoire, vraiment!
On sent une complicité, un partage, une avancée en commune avec tout le désir, les doutes et la souffrance qui l'accompagne - "Rien n'est plus beau que tromper!".
Si tu savais comme je suis d'accord avec toi, en tant qu'homme, pour avoir offert ma femme si souvent et l'aider ainsi à se découvrir...
#1362246
HappyCocu,

Ton style est original et sans concession, j'adore.

Tu as raison, tant d'hommes veulent faire de leur femme leur salope de peur de perdre le contrôle.
Alors qu'en fait, une fois offerte, ils jouissent de la voir prendre leur pied. Ses hommes, qui bandent et se branlent en club, au rythme des râles de leur épouse.
Ce sont des cocus en puissance qui ont peur de s'abandonner et laissant le contrôle à un autre. Car, c'est l'autre qui fait jouir leur femme. C'est à l'un d'entre eux de prendre le contrôle, et à eux, les maris de devenir cocus...

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