utoeuta a écrit :Il aurait mieux valu préciser le sujet et dire "qui fantasme de, ou aime se faire sodomiser...".
Pour m'a part j'aime, et il m'arrive de fantasme de me faire sodomiser par les partenaires de ma femme.
Cela m'est arrivé une trentaine de fois, presque toujours en présence de ma femme, et bien évidemment par le partenaire du moment. Son véritable amant ne m'a jamais sodomisé, et cela me frustre bien.
Je ne suis pas gay pour autant. C'est une envie que j'ai par moment, ou que ses partenaires m'imposent parfois.
Il y a ceux de ses partenaires qui sont bisexuels, et qui me sodomisent par pur plaisir, le leur étant prioritaire au niveau sexuel. Ce genre de situation m'excite beaucoup, car autant une femme peut faire semblant, autant un mec ne peut pas tricher.
J'adore faire bander un beau mec (ma femme ne se tape que des beaux mecs, bm ou tbm, ce dernier point étant ma seule limite. Il faut que cela passe !!!).
L'autre situation est lorsque ma femme et moi sommes avec un bull dominateur. Il n'est pas forcément vraiment bisexuel, mais il me baise pour me soumettre. Il est dans le trip cuckold, où ma femme devient sa femelle et moi, soumis, qui devient un simple objet sexuel. Il bande, mais c'est en réalité l'excitation de ma femme qui le fait bander. Il me voit soumis, bander pour lui (ce que le Mâle type vérifie en me demandant toujours de le sucer). L'essentiel des hommes à m'avoir enculé étaient black, ma femme étant "une femme à black", et j'ai observé qu'ils aimaient dominer les blancs, tourefois pour ceux rencontrés avec le désir de combler la femme et de donner du plaisir au mari cocu ou cuckold.
Il m’est également arrivé à plusieurs occasions de me faire sodomiser par un ou plusieurs des étalons qui venaient de saillir ma femme. Je ne crois pas être gay, peut-être bi au mieux dans les meilleures circonstances. Je reconnais que quand je regarde ma femme se faire prendre par un ou plusieurs mâles BM ou TTBM, j’atteins un niveau d’excitation où je me laisse aller totalement où je perds toutes mes inhibitions. Dans un état « normal », sucer une queue ou en prendre une dans mon anus ne me répugne pas mais ne me m’attire pas non plus.
Par contre quand je regarde ma femme en levrette se faire remplir tous les trous par de magnifiques queues qui lui arrachent des cris de plaisir, je me laisse aller totalement. Du mâle viril que j’étais quelques instants au paravent, je deviens une vraie femelle, mes tétons se raidissent et deviennent très sensibles, je bande très fort, ma bouche et mon anus ne demandent qu’à être forcés.
Je n’interprète pas cela comme un besoin de domination, bien qu’être dominé puisse également être très agréable, je crois plutôt que chaque homme a dans sa personnalité des « caractères » féminins que la société nous a appris à dissimuler et masquer. Ces « caractères » femelles ressortent et se libèrent dans le cas d’une forte excitation sexuelle.
Notre première expérience bi eu lieu a Marrakech où nous séjournions pour des vacances. Nous avions ma femme et moi été invités à un anniversaire par des Marocains. Nous avons été accueillis par un groupe d’hommes mais pas une seule femme sauf la mienne. Et est arrivé, ce que nous craignons. Après quelques bonnes rasades d’alcools forts, ma femme s’est vite retrouvée nue et entourée par plusieurs arabes qui ont commencé à la saillir par tous ses trous.
Je regardais la scène avec beaucoup d’excitation. Ils m’ont invité à me déshabiller et les rejoindre, ce que j’ai fait. Ils ont dit à Lida de s’allonger sur le dos sur un sofa et m’ont positionné en 69 sur elle. Une queue très grosse et marron a forcé la chatte de Lida et l’a pompée pendant un bon moment avant d’en ressortir très juteuse pour me forcer les lèvres. Lida avait pris ma queue entre ses lèvres et me tirait les seins ajoutant à mon excitation.
Des doigts se promenaient entre mes fesses et les écartaient. Un gland visiblement très gros était maintenant posé sur mon anus et commençait à me pénétrer. Ma douleur était intense et je le suppliais de se retirer. Tous les hommes étaient autour de nous et riaient de mes supplications en commentant en arabe que je ne comprenais pas.
Mon agresseur s’est calmé un moment, le temps de me laisser reprendre mon souffle. Les autres hommes s’excitaient autour de nous. J’ai alors senti une horrible douleur, l’énorme queue venait de s’enfoncer de toute sa longueur dans mon fondement.
Mon anus et ma bouche ont dû accueillir tous les hommes du groupe. Certains me déchargeant leurs foutre entre les lèvres d’autre entre mes fesses (bien que pas à l’intérieur). Lyda reçut le même compliment.
Une expérience que nous ne sommes pas prêt d’oublier….
Nous sommes toujours intéressés à partager nos expériences avec d’autres membres de ce forum.