sexyboy78 a écrit :Cher S
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Alors je lui tiens la tête comme il se doit (pour bien la soumettre) je prends ma bite, je la bifle et très vite, je lui donne ce qu'elle attends : un jus visqueux, bien chaud et salé comme elle aime ... déposé intégralement sur sa langue pour ne pas perdre la moindre goutte!
- Heu, Enzo, avant de commencer, une question, tu as bien voulu écrire « gifle » ? Tu l’as giflée avant de forcer sa bouche et de jouir en Elle ? C’est tout simplement inouï…. Si j’osais faire ça, Elle me chasserait illico pour plusieurs jours.
HOTWIFE ? (1)
Depuis le début de son aventure avec Enzo, Léa se livre à moi. Plus simplement. Comme si Elle pensait que le moment était venu de me dire les choses de manière plus cash. Elle refuse encore de me décrire précisément comment Elle et Enzo font l’amour, mais en revanche Elle commence à me parler du passé.
Quand je l’installe en France, en avril 200*, dans une jolie bonbonnière du Marais, ma jeune maîtresse russe me traite avec le respect qui convient. Je suis son Homme. Elle est merveilleuse avec moi, douce, aimante… Soumise non, mais attentive à mes désirs, à mes problèmes professionnels, et même à ma famille. C’est une femme merveilleuse de volupté et de discrétion. Elle meurt d’envie de voir mes enfants, qu’elle trouve beaux. Pour ce faire, Elle se rend au même office que moi et prend place à l’autre bout du transept. Elle me regarde à peine. Mais fait en sorte de s’approcher de mes enfants et les dévore des yeux. Jamais Elle ne touchera à ma famille. A cette époque je la prends pour une sainte. Elle l’est à sa manière d’ailleurs.
ALAIN OU L'AMANT RADIN
Mais chaque week end, je la laisse. Ma gentilhommière me requiert et je paie ce tribut à la vie de famille.
C’est il y a quinze jour, quand nous courrons dans le bois. Sueur, cœur battant, Elle me parle enfin Je pose mes questions. Les odeurs de printemps excitent nos narines. Sa vulve gonflée frotte contre ses cuisses à chaque foulée, lui rappelant sa baise de la veille avec Enzo (la première fois). Elle me le dit.
Chaque vendredi soir, à l’heure où Elle me savait stocké sur l’A12, Elle devenait Mélusine.
C’est un beau garçon. Alain, 29 ans, chef-adjoint des services de sécurité d’une importante ambassade. Il est toujours armé. Elle l’attend nue dans la bonbonnière que je lui ai faite. Chaque vendredi il s’offre cette jeune femme (Elle a alors 26, 27 ans) magnifique. Elle me dit que c’est son meilleur amant à ce jour (désolé Enzo, je suis au plus près du vrai, mais au train où vous allez…). Il résiste bien, son sexe est très large. Leurs corps s’accouplent harmonieusement. En courant elle me raconte : « Il me demandait de l’attendre toute nue et il voulait que je mouille quand il arrivait. Je ne le décevais pas. » Je le sais, Elle mouille énormément. « Une fois j’étais un peu sèche, avant mes règles, il a refusée de me faire l’amour j’étais folle. » Ils dormaient toujours ensemble le vendredi soir. J’apprends que quand son fils est arrivé à Paris, Elle l’envoie dormir chez une de ses amies pour être à Alain chaque vendredi. Quand il est de garde à l’ambassade il l’oblige à faire nue les rondes avec lui. Elle tremble. Un jour, il la laisse nue dans une vaste salle de réunion et lui dit de se masturber sur la grande table couverte d’un tapis vert. Il vérifiera sur les caméras du réseau de surveillance. Elle doit se branler trois fois avant qu’il ne revienne lui ouvrir. Elle se masturbe avec passion devant l’œil électronique qui clignote. Elle ignore qu’un gardien portugais de l’ambassade visionne la scène avec son amant. Leur première dispute, grave.
Alain la laisse un peu le samedi, l’emmène en boite le samedi soir et souvent la baise le dimanche dans la journée. Et moi, le dimanche soir en rentrant, quand je l’honorais de ma bouche ? « Oui, tu l’as goûté, souvent. »
Mais il est radin. Elle a horreur de cela. Payer en boîte de nuit, le resto, c’est pour ça qu’Elle le congédiera.
Nous courons, Elle me regarde en biais. Mais pourquoi me trompait-Elle, nous faisions souvent l’amour à cette époque. Elle jouissait furieusement avec moi. Je la croyais comblée ?
« Je ne sais pas chéri, j’avais envie de ce garçon. Il n’était pas trop intéressant, radin, mais il me faisait jouir si bien ! »
Mais moi alors j’étais cocu ? Déjà ?
« Oui. »
Etait-Elle gênée ? La réponse fuse, mi-mutine, mi-sévère.
« Amour, tu crois que ça suffit à une femme, trente secondes ? »
Excitée, de me tromper ainsi ?
« A l’époque, pas du tout. Juste envie de lui, c’est tout. »
Et quand a-t-elle compris ma nature de cocu ?
« Le premier soir, mon chéri, quand tu as essayé de m’attacher au lit et de jouer au chef. Je t’ai grondé, pas méchamment, et tu as tout de suite débandé. » En 199*
Alain, l’aimait-elle ?
« Je le croyais, mais je crois que non. »
Enzo, l’aime-t-Elle ?
« Je ne suis pas une pute. »
Elle gardera Alain jusqu’à son installation avec le coucou, son légitime actuel.