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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Calimero77
#1302934
Je m’appelle Patrick. Nous sommes en 1990 et j’ai alors 35 ans. Je travaille
comme ingénieur dans une grande entreprise nationale que je ne souhaite pas
citer. Les collaborateurs de la société sont répartis sur deux sites dans cette
ville moyenne de province.
Dans un service voisin œuvre une jeune salariée âgée de 25 ans, cadre moyen qui
se prénomme Brigitte. C’est une fort jolie femme brune mesurant 1 m70 pour 65 kg
environ avec un soutien gorge de taille 95d. Elle porte les cheveux mi-longs et
a des yeux bleu-verts. Elle est donc bien en chair mais pas « ronde » au sens
péjoratif du terme. Pour compléter le tableau elle est l’épouse d’un ingénieur
dont nous verrons que la pratique de l’amour n’est pas la principale des
compétences; elle est également la maman d’un enfant de deux ans. Nous nous
croisons peu dans le travail mais souvent au restaurant d’entreprise. Brigitte
me plait mais je n’ai jamais su « draguer » je veux dire faire le premier pas,
je suis gauche et suffisamment anxieux pour que cela se remarque … enfin pour
que les femmes le remarquent. Je suis cependant marié et plutôt heureux en
ménage … enfin, ceci est une autre histoire.
Un jour que nous nous croisons à la sortie du restaurant justement, je lui
propose de venir prendre le café en ma compagnie au bar du coin ; elle rougit et
accepte timidement … est-ce un signe ? Comme je lui propose de nouer d’autres
liens qu’amicaux, elle m’adresse un refus cependant peu convaincu et argue que,
si son mari l’apprend, il ne lui pardonnera pas. Je lui réponds qu’il n’est pas
obligé d’être mis au courant mais elle ne change pas d’avis ; je m’engage alors
à ne plus l’importuner et que, donc, nous pouvons continuer à prendre des cafés
ensemble.
Le lendemain était un vendredi. A 11 heures le téléphone sonne :
- Allo ?
- C’est Brigitte
- Comment vas-tu ? dis-je joyeusement loin de présager de ce qui va se passer
- C’est que... je voudrais manger avec toi ce midi
- Au resto administratif ?
- Non dans la pizzeria … je t’invite
- Certainement pas
- Bon alors à une prochaine fois
- Non attends, dis-je, j’accepte avec joie de déjeuner avec toi mais ce n’est
sûrement pas toi qui invites. Donc rendez-vous à midi au lieu des festivités.
Notons que nous sommes à la fin octobre juste avant le week-end de la Toussaint.
Je me rends au restaurant où j'ai réservé une table et je m’installe. Il y a du
monde et c’est un peu bruyant. Elle arrive quelques minutes après (c’est une
femme n’est ce pas mais soyons de bonne foi elle était rarement en retard). Je
suis interloqué : Brigitte est de coutume une femme élégante et raisonnablement
sensuelle dans ses choix vestimentaires mais là j’ai peur de ne pas reconnaître
cette même jolie femme affublée d’une tenue qui ressemble à un antidote contre
le désir : un pantalon de jogging marron (couleur que je déteste) et un pull à
col roulé d’une couleur plus claire mais informe ; pour couronner le tout elle
porte des bottines noires qui ne sont que des chaussures et surtout pas une
parure. Aujourd’hui encore je ne sais pas pourquoi elle avait fait ce choix et,
à vrai dire, elle non plus comme elle me le certifia plusieurs fois par la
suite. Pour moi la chose est claire : elle vient me confirmer son refus de
manière plus convaincue afin que je ne me méprenne pas pour le cas où …enfin.
Le serveur arrive et nous commandons chacun des pâtes différentes auxquelles
nous ne toucherons finalement que fort peu. Une fois seuls elle me dit
timidement :
- Tu sais au sujet d’hier
- Que s’est-il passé hier ? tu m’as conseillé d’oublier et je l’ai fait
- Eh bien justement … je ne suis plus sûre
- Tu veux dire que nous pourrions que tu pourrais … enfin tu vois
- Peut être finalement
- Et ton mari ?
- Moi il n’y a pas de risque que je lui en parle et toi je pense que tu sais
être discret
- C’est le moindre respect que l’on doit à une femme dans ces conditions ;
dans les deux cas en vérité qu’il y ait acceptation ou refus.
- Alors voilà … j’ai envie de toi
Dit ainsi, tout de go, cette invitation me frappe et je reste un instant sans
voix surtout que Brigitte a et entretient une image de réserve. Silence de
quelques secondes…
Brigitte :
- Mais peut être que je ne te plais pas
- Bien sûr que si je te l’ai dit hier, encore que …
- ???
- Dans cette tenue ce n’est pas le Pérou
- Il fait froid
- C’est vrai
Nouveau silence pesant. Les plats de pâtes sont devant nous et nous grignotons
du bout des dents l’un comme l’autre. Nous savons qu’à ce moment tout peut
basculer.
Moi :
- J’ai 10 ans de plus que toi et sûrement plus d’expérience qui pourrait te
choquer
- Une femme doit apprendre non ??
Ouuufff cette femme est incroyable. Je reprends et ose prononcer ces mots qui
pourraient tout faire éclater :
- Je suis très … disons pervers en amour
- C’est à dire ?
- J’aime des choses crues… salaces ; des pratiques... des positions
- Oui, dit-elle en baissant les yeux, moi je suis un peu trop sage à mon goût.
Nouvelle douche; ainsi Brigitte me fait des avances et se met à ma disposition
- Finissons notre repas puis…, dis-je
- Tu as faim toi ?
- Non pas vraiment… Ok, je paye et nous partons
Ce qui fut fait. Nous sortîmes du restaurant et nous fûmes immédiatement
confrontés à un double problème dont l’un trouvait facilement solution : Quand
et où ? Maintenant, tout de suite, solde la première interrogation. Pour ce qui
est du lieu, nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de nous faire remarquer à
l’entrée (en encore plus) à la sortie d’un hôtel dans une ville où nous
habitions et ce en plein milieu de l’après midi un vendredi. Il a donc été
décidé que nous prendrions ma voiture : une Passat qui avait la qualité d’être
très spacieuse. Nous sommes allés dans la campagne alentour et avons trouvé un
chemin forestier dans lequel je me suis rangé un peu en retrait ; la probabilité
de rencontrer des promeneurs vu la période était inexistante.
La voiture avait eu le temps de chauffer et nous accordait un délai pour nos
jeux. Je me suis donc penché sur Brigitte assise à côté de moi et je l’ai
embrassée à pleine bouche … sa réponse fougueuse à mon baiser témoignait de son
désir et de son excitation. Je lui ai remonté le pull et j’ai sorti ses seins du
soutien gorge afin de pourvoir les malaxer. J‘adorais traiter les seins d’une
femme à la limite entre le plaisir et la douleur. Loin de me demander d’être
plus doux elle me murmura « oui vas-y plus fort » ce que je fis avec entrain
mais sans pour autant aller trop loin; ses seins étaient fermes et ses tétons
dressés. Elle commençait à gémir doucement et se cambrait envoyant son bassin
vers l’avant à la rencontre de quelque chose qui la touche; ce fut ma main après
avoir descendu le pantalon et la culotte assez bas pour que je puisse profiter
également du spectacle. Ohhhh magnifique image : j’avais devant les yeux le sexe
le plus beau que j’aie jamais vu même aujourd’hui. Ses petites lèvres
proéminentes faisaient comme deux feuilles entre ses grandes lèvres gonflées de
désir et surtout son clitoris décapuchonné rouge carmin gonflé de sang et tendu.
Je me suis mis à caresser le long des grandes lèvres en évitant soigneusement le
clitoris ; elle gémissait, feulait de plus en plus longuement et ondulait du
bassin à la recherche du contact qui la ferait partir. Elle commençait à
s’impatienter :
- Mon chéri, touche le … vite … s’il te plait... finis-moi
Mon chéri, mon amour, elle m’appellera toujours ainsi sauf plus tard ou ce sera
« seigneur »
- Non pas maintenant attends. Et je continuai la ronde infernale de mes doigts
- Ohhhh ouiiiii noonn … vas-y
Je répondis à son désir et, après avoir humecté mon doigt je le plaçai sur son
clitoris à vif ce qui la fit partir d’un premier orgasme fort et libérateur mais
elle ne renonça pas pour autant …merveilleuse sensation de la femme qui se donne
à fond.. Sans prévenir je lui enfonçai deux doigts de la main gauche dans la
chatte infiniment trempée tout en conservant la paume sur le clitoris et je
sentis qu’elle redémarrait ; c’est au moment où elle allait partir que
j’enfonçai lentement mais inexorablement le medium de mon autre main dans le
petit cul serré. La réponse fut un long hurlement pendant que son corps se
tendait à l’extrême si bien que j’ai eu peur de lui avoir fait mal. La tension
retombée elle m’embrassa et me dit :
- Tu sais que c’est la première fois …
- Que ?
- Que je jouis deux fois de suite et que … enfin tu sais bien … ton doigt...
- Je suis touché mais je voudrais que tu apprennes à parler plus crûment
- Dis-moi mon chéri
- Tu sais bien n’est ce pas mon doigt
- Oui tu me l’as mis dans mon anus … dans mon petit cul
- Et tu as aimé cela ?
- Oh ouii ... enfin oui
- Pourquoi rectifies-tu ?
- Je ne suis pas une salope …
- Si et c’est merveilleux
- Ohhhh !!!!
- Maintenant c’est à moi de jouir n’est ce pas ; montre-moi ce que tu sais
faire
- Dis-moi ce que tu veux… tout ce que tu veux… je veux te faire plaisir
- Innove, invente sois imaginative… allez ce n’est pas bien compliqué
Elle ouvrit mon pantalon et contournant le slip, sortit ma queue déjà fort dure
et pour cause puis lentement elle entreprit de me branler. Je lui pris doucement
la tête et appuyai ; elle ne parla pas mais docilement emboucha mon sexe et
commença à le sucer maladroitement.
- Va plus loin … utilise tes lèvres autour de mon gland
Elle comprit de suite ce que je souhaitais et me suça doucement ; quant à moi,
je me retenais pour ne pas partir trop vite. Pendant qu’elle œuvrait, la
position étant propice, je lui pénétrai doucement la chatte de deux doigts en
passant par derrière (elle est assise à mes cotés souvenez-vous) ce qui la fit
lentement tendre le bassin… elle en redemandait. Profitant de l’humidité de son
vagin, je sortis mes doigts et les lui pénétrai précautionneusement dans le cul.
Elle se tendit un peu mais ne protesta pas et, surtout, loin de résister,
s’offrit et recula son petit cul sur mes doigts. Son mouvement de va et vient
continuait et j’avais de plus en plus de mal à tenir… c’était divin. Je lui
demandai
- Tu as déjà été enculée (j’avais déjà la réponse mais l’excitation du
dialogue !)
- Oh mais ça doit faire mal, fut sa seule réponse avant de me reprendre dans
sa bouche
Ce petit bout de dialogue eut pour vertu de me faire passer le point de
non-retour et je la prévins par un « je vais jouir » de manière qu’elle puisse
retirer sa bouche ce que je ne doutais pas qu’elle ferait. A ma grande surprise,
loin de me donner raison, elle s’enfonça ma queue à fond de gorge et je jouis
immédiatement… c’était la première fois que l’on me faisait une « gorge profonde
» . Après, elle se retira et m’embrassa à pleine bouche non sans m'avoir dit que
c’était également la première fois. Et le mari ? Il n’aimait pas « trop »
paraît-il.
Nous sommes restés ainsi : elle pantalon et culotte baissés moi braguette
ouverte et queue sortie. Puis je lui ai demandé de se caresser le clitoris ce
qu’elle fit en tentant de se cacher en vain… J’apprendrai pourquoi quelques
jours après. Quoiqu’il en soit elle jouit encore une fois mais plus doucement
avec moins de violence qu’avant.
Cette opération avait redressé ma queue qu’elle regarda amoureusement après
avoir joui :
- J’ai envie de te sucer encore, demanda-t-elle … je peux ?
la question ainsi formulée témoignait de sont aptitude et de ses prédispositions
pour la soumission
- Je ne sais pas si tu le mérites
- Quoi ? je ne comprends pas
- Je ne sais pas si tu suces assez bien
- Mais tu avais dit que …
- Oui mais je te propose encore mieux
- Apprends-moi mon chéri
- Tu sais ce que tu as fait à la fin quand j’ai giclé, j’aimerais que tu me
suces depuis le début avec la même profondeur … doucement mais en serrant bien
avec le fond de ta gorge
- Oui je veux essayer.
Elle me caressait de sa main et le résultat provoqué par l’attitude et la
caresse était impressionnant de raideur
- Alors demande … ose
- Mon chéri je veux te sucer le sexe
- Sois plus crue ; utilise des mots salaces
- Ohhh je n’ose pas je n’ai pas l’habitude
- Vas-y ou je me finis seul en t’interdisant de toucher
- … (elle me branlait toujours)
- J’attends. Tu es trop longue cesse de me caresser
- … mon chéri j’ai envie de te sucer la queue à fond et de vider tes belles
couilles dans ma bouche (elle rougissait d’avoir osé prononcer ces mots)
- C’est magnifique ma petite salope … autorisation accordée …vas-y et
applique-toi
Elle se pencha et emboucha profondément ma queue tout en caressant mes couilles
de sa main. Puis elle ressortit complètement et recommença ainsi en serrant bien
le fond de sa gorge. Visiblement elle aimait cela…
- Il est 15h30 sur l’horloge de bord, si tu me fais jouir avant 15h45 je te
punirai…
Elle continua son manège en s’appliquant de plus en plus et en cherchant
visiblement à me vider vite ; est-ce que cette salope serait prête à subir ?
hummmm. Je me retins pour ne pas l’effaroucher (difficilement vu la qualité de
la fellation) et je me vidai un peu après l’heure fatidique. Elle s’emboucha à
fond comme la première fois et m’avala derechef.
Après un moment de calme elle osa demander
- C’était quoi la punition ?
- Des gifles pour commencer
- Pour commencer … ? ensuite
- Nous verrons plus tard
J’avais ma réponse cette femelle avait vraiment envie d’appartenir sexuellement
à un maître.
Puis je me risquai à dire :
- La prochaine fois nous aurons un local
- Oh oui, dit-elle, tu pourras me pénétrer… enfin, m’enfoncer ta queue (elle
avait compris pour le langage cru et c’était parfaitement excitant.)
- Je t’enculerai
- Nonnnn j’ai peur
- Je t’enculerai ou nous arrêtons là
- Oui dit-elle timidement mais tu feras doucement
- Nous verrons
- ...
Ce jour là, nous sommes rentrés chacun chez soi pour une longue semaine de
séparation ; en effet, elle partait pour une semaine de vacances chez ses
parents en Bourgogne avec son mari et son fils.
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par Calimero77
#1302978
la suite sera disponible après réception de 2 dédicaces bien juteuse sur la photo de la salope
par smartloox
#1303051
Très beau récit qui ne peut faire autre chose que de monter l'excitation du lecteur. Nous serons, je pense nombreux à lire la suite des aventures de Brigitte.
par synamoma
#1303054
merci calimero, ce récit met l'eau à la bouche, ne t'arrete surtout pas
Avatar de l’utilisateur
par Calimero77
#1303714
Après une première séance pur sexe et sans trop de fioritures SM, Brigitte est
partie en vacances chez ses parents en Bourgogne pour une durée d’une semaine
avec son mari et son fils.
Ses parents tiennent un café, elle est donc parfaitement libre dans
l’appartement au cours de la journée.



Le lundi matin je retourne donc à mon bureau persuadé que je n’aurai pas de
nouvelles de Brigitte avant la semaine suivante. Pourtant vers 11 heures le
téléphone sonne …
- Bonjour mon chéri, tu me manques…
- Tu n’as pas peur d’appeler …Et ton mari ?
- Il est rentré à la maison seul, il a du travail …
- Il t’a fait l’amour ce week-end
- Il était fatigué, j’ai essayé avec ma bouche mais il a refusé…
- Etrange personnage ; alors tu es en manque ?
- Oui enfin pas tout à fait : je me suis caressée en pensant à toi cette nuit,
plusieurs fois …
- Et ton mari
- Il est rentré hier soir.
- Et toi tu t’es salopée plusieurs fois ?
- Oui enfin trois fois …
- C’était bon ? Tu avais l’habitude de faire cela ?
- Oui mais pas comme cela, pas avec autant de plaisir… tu es en train de me
révéler
- Ah oui ? Tu n’avais connu que ton époux jusqu’à présent ?
- Oui c’est lui le premier … et le seul … jusqu’à vendredi
- Redis-moi cela avec des mots plus crus … excite-moi
- Je me suis masturbée … je me suis branlé la chatte
- Comment as-tu procédé ?
- Comprends pas la question
- Dedans ou juste dessus
- Ohhh la première fois juste dessus et les deux autres dessus et dedans
- Combien de doigts ?
- Deux et puis trois la dernière fois … c’est un peu gros et ça rentre
difficilement mais c’est très bon ; j’ai vraiment joui très fort
- Tu as touché ton petit cul ?
- Oh non je ne peux pas ; je crois que je n’y arriverai jamais
- Mais si je t’y amènerai Que portes-tu ?
- La nuisette et un peignoir rien d’autre
- Ouvre le peignoir et caresse toi les seins … pince les bouts
- Hummm c’est bon ; j ‘ai envie de descendre …mon sexe
- Dis-moi que tu as envie de branler ta chatte de salope pour moi
- Ohhh nonnnn
- Allez caresse-toi avec un doigt tout autour de la chatte mais tu ne touches
pas le clito, tu n’ouvres pas et tu ne pénètres pas. En même temps tu continues
à triturer alternativement tes deux nichons.
Pendant plusieurs minutes je l’entends gémir en pensant qu’elle ne tiendra pas
et qu’elle ira directement se finir en touchant son clitoris. Mais non elle ne
va pas craquer. Je suis excité au plus haut point ; cette femme est géniale
- Mon chéri, je suis au bout, je veux finir s’il te plait ?
- Sois plus précise salope, plus crue
- J’ai envie de me dérouiller la chatte … s’il te plaiiit ??
- Pince le clito et tire dessus mais retiens toi
Elle s’exécute tout en gémissant que c’est très dur de ne pas succomber ; je
l’entends haleter et se crisper. Je lui demande de lâcher le clito et d’essayer
de rentrer quatre doigts.
- Nonnn je n’y arriverai jamais
- Essaye au moins
- Oui je commence par trois… voilà j’essaye … oh oui ça rentre doucement ; non,
je n’y arrive pas
- Va et vient avec ta main, continue
Elle se tait et pendant quelques secondes je n’entends plus que les gémissements
du plaisir qui monte et soudain ;.. une explosion … un cri étouffé pour ne pas
alerter le café en dessous. Enfin elle reprend son souffle.
- Lèche tes doigts ma petite salope, on passera à quatre la prochaine fois.
Après quelques timides réminiscences de principe, elle s’exécute et trouve cela
plutôt bon …enfin excitant. Je lui demande si elle est rassasiée ou si elle a
encore envie.
- J’ai encore envie, tu me rends folle mais ça ne serait pas prudent
- Touche ton petit cul salope
- Non s’il te plait pas ici et pas seule… pas tout de suite… j’ai peur
- Ok j’accepte exceptionnellement ton refus mais sache que je t’enculerai la
semaine prochaine quand on se verra
- ….
- Je t’écoute
- Oui (timide) mais tu feras doucement
- Bien sur ; tu sais je te veux obéissante et soumise
- Oh ce mot obéir, comme il m’excite…je crois que la femme doit être l’esclave
sexuelle de l’homme et je voudrais l’être pour toi
- Continue sur cette voie salope ; je voudrais que tu lises un livre
- Lequel ?
- Histoire d’O tu connais ?
- De nom ?
- Achète-le, lis le et ne me rappelle que lorsque tu auras fini
- Oui mon chéri
- A bientôt et pense à moi, je te l’ordonne
- Je t’embrasse dit-elle et j’aimerais te sucer.. je rêve de ta queue
- Attends la semaine prochaine
- Je t’appartiens dit-elle … tu me manques
Clic
Le jeudi suivant, elle appelle à peu près à la même heure ; sa voix est chaude
je sens qu’elle est pleine de désir et de plaisir.
- Bonjour mon chéri, tu vas bien ?
- Tout dépend de ce que tu vas me dire… tu as lu ?
- Oui mais il a fallu que j’aille jusqu’à Lyon pour le trouver et j’ai du
attendre que mes parents soient endormis pour l’ouvrir… donc tard vu leur
métier. Alors je me suis préparée pour recevoir le texte dans ma tête et dans
mon corps…
- Dis-moi
- Je me suis couchée nue sur le lit genoux pliés et bien ouverte ; J’ai pensé à
toi, à ton sexe … enfin ta queue. Je me suis contrôlée j’étais trempée mais j’ai
résisté et j’ai commencé à lire ; tu sais je n’ai pas tenu longtemps, à la
dixième page je me suis offerte à ma main et je suis partie d’un coup.
- C’est bien ma petite chienne tu as de bonnes dispositions… ensuite
- J’ai lu tout d’une traite en me masturbant à intervalles réguliers et je me
suis dit que je devais compter
- Oui ??
- Je me suis faite jouir 9 fois et sur les neufs, 5 où j’ai mis quatre doigts ;
ça rentre bien finalement et ça serre durement quand je jouis
- Tu m’excite salope vivement lundi
- Tu sais mon chéri je suis en train de m’habituer à ce mot, j’en tire même
fierté…je suis ta salope mais attends le plus excitant : en plus, sur les neuf,
je me suis mis deux fois un doigt puis 2
- Où cela ? - Oh tu sais bien
- J’écoute
- Dans mon petit cul …c’est bon ; vivement lundi mais j’ai un peu peur quand
même
- Et le livre t’a excitée donc ?
- Oui mais c’est exagéré, je ne pourrai jamais
- Exagéré ? Quoi par exemple ?
- Les coups, les anneaux et la relation avec Anne Marie ou Jacqueline – tu sais
je n’aime pas les femmes
- Pour le moment
- Non ! si tu me présentes une femme je te quitte
- Ok, dommage notre histoire avait bien commencé…
- Non ne raccroche pas
- Tu es prête à tout envisager
- Je ne sais pas … pas trop vite
- Oui ou non ?
- J’ai le choix si je veux continuer ?
- Je ne crois pas, tu es trop bien disposée pour que je te laisse échapper
- Alors c’est oui mais ce sera dur parfois
- Bien sur et plus ce sera dur pour toi et plus je serai dur avec toi
- Ohhh nooon … enfin … comme tu veux
Je ne lui laisse pas le temps de se ressaisir et j’enchaîne :
- Et pour le reste de l’histoire : la semi-nudité permanente, l’amour en groupe,
l’exhibition, l’offrande du corps, l’appartenance à des inconnus …
- C’est dur mais ça m’a plu
- Tu es prête à essayer à plusieurs ou simplement avec des voyeurs
- Oh ça! ça m’excite terriblement
- Bien. Maintenant fais-moi plaisir
- Oui mon chéri oui tout ce que tu veux
- Que portes-tu ?
- Comme lundi une nuisette troussée et un robe de chambre ouverte
- Tu as envie salope ?
- Oui mais je ne suis pas tranquille à cause de mes parents bien que…
- Oui ?
- J’entends quand la porte s’ouvre en bas et que quelqu’un monte l’escalier, ça
me laisse du temps
- Alors jouons : trouve un objet à te mettre dans la chatte
- Nonnn pitié mon chéri non … tu as peut être une idée ? dit-elle timidement
mais d’une vois rauque entre anxiété et plaisir ; c’est cette voix qui sera
toujours la signature de son absolue envie d’obéir et j’en abuserai mois après
mois.
- Prends une cuiller à potage
Elle ne répond pas mais un bruit de tiroir m’informe de son acceptation et de
l’exécution de ma demande
- Voilà dit-elle, je suis prête … c’est comme une grasse queue bien dure avec
une seule couille (elle a osé – je suis très excité)
- Mais tu vas la rentrer par le gros côté assieds-toi dans un fauteuil et ouvre
toi à fond les jambes sur les accoudoirs
Je l’entends se déplacer puis gémir doucement
- … ça y est…ça rentre …oh regarde comme je suis chienne… je me baise comme une
salope… oh ta queue me manque… voilà je tourne doucement ; le bout est
entièrement dedans. Je VEUX JOUIR PITIE.
- Non pas maintenant
J’entends comme un sanglot de dépit
- … pitié mon chéri…je serai reconnaissante lundi.. tu feras ce que tu veux
- Ça c’est déjà entendu ; allez laisse l’objet dans ton trou, pose le téléphone
(pas encore de vrais mains libres) et fais le tour de la pièce.
Les bruits qui me parviennent sont significatifs, pas lents, gémissements
étouffés. Après une ou deux minutes, elle reprend le téléphone.
- Voilà mon chéri je t’ai obéi
- Heureusement pour toi. Cette expérience te choque ?
- Oh oui ça me choque mais c’est ce qui m’excite le plus en fait
- Tu as eu mal ?
- Oui un peu mais c’est aussi une source de plaisir … je n’en peux plus
- Finis-toi chienne
- Comment veux-tu que je fasse ? (incroyable ce que cette femelle peut être
docile)
- Tourne deux fois la cuiller pour qu’elle s’imprègne bien de ton jus puis sors
la et lèche là
- Huum c’est bon mon jus…
- Finis-toi avec juste le clito qui est dressé et gorgé de désir je suppose
- Ouiiii je commence hummmm
Soupirs et gémissements de plus en plus courts
- Lâche-toi chienne
- Ouiiii je viens …ta femelle va jouir pour toi…. Oh comme je suis salope et que
j’aime cela
J’entends un long cri rauque étouffé. Je bande à mort, il faudra que je me
soulage. Je la laisse reprendre ses esprits et lui ordonne de ranger la cuiller
sans la laver…ce qu’elle fait sans discuter. Je lui demande si elle est prête
pour lundi.
- Oh oui je suis impatiente de te voir ; je veux que tu me mettes ta queue
partout
- Sois plus précise
- Dans ma bouche, je te sucerai encore mieux que vendredi tu ne pourras pas
résister ; dans ma chatte nous n’avons pas encore fait , hummmm ; et puis tu
prendras mon cul pour la première fois, tu me dépucelleras par là… si tu savais
comme j’ai envie de connaître ça, j’espère que ça rentrera facilement…
- De gré ou de force je te perforerai ce trou pour la première fois
- J’ai un peu peur quand même
- Parfait ça m’excite encore plus … maintenant mes ordres : interdit de te
toucher (sauf les mamelles) ou de te faire jouir à partir de demain soir
vendredi à minuit. Si tu as trop envie tu tordras ton clito avec les ongles ;
doucement ne te blesse pas et si tu jouis quand même tu me le diras que je
puisse te corriger. Enfin je veux que tu t’habilles très sexy pour notre
rendez-vous.
- Pas trop quand même
- J’ai dit sexy pas pute … pas encore
- Ohhh
- A lundi midi au bar habituel salope et n’oublie pas mes ordres
- Au revoir mon chéri


LA suite dès reception de 2 grosses giclées dédicaces sur photo de la salope
par bourguignon
#1303730
tres excitant ton recit continu et j ais hate que tu nous raconte quand tu va lui prendre le cul !!!!
sinon c etais ou le bar de ses parents comme c est dans ma region !!!!!!!!!!!!!!!!!
Avatar de l’utilisateur
par Calimero77
#1304722
Le vendredi, je parle discrètement de ma conquête à Alain, un collègue de
travail et ami célibataire ; il me dit avoir de la chance et m’envie car pour
lui (et pas seulement) Brigitte est vraiment très jolie. Puis il s’enquiert des
problèmes techniques du genre où allons nous pratiquer puisque que elle comme
moi sommes mariés. J’avoue ne pas m’être posé la question pensant que l’on
trouverait facilement un hôtel style ** avec entrée et parking discrets. Il me
propose alors de nous prêter son appartement avec pour seule contrainte de
l’informer afin qu’il ne rentre pas à l’improviste et que nous évitions ses
périodes de congés. Tope là, voilà une offre qui ne se refuse pas.
Il me conduit donc en voiture pour faire une visite, découvrir les trajets et le
logement. Je découvre un quatre pièces confortable et meublé assez classiquement
mais sans recherche particulière au niveau de la décoration ; L'absence de «
main » féminine sans doute ! La chambre d’amis est équipée d’un grand lit, c’est
donc là que nous pratiquerons ainsi que dans le salon où les fauteuils semblent
tendre les bras au visiteur. Il me donne une clé et ponctue notre séparation
d’un « amusez-vous bien » ni arrogant ni humoristique mais simplement sincère.
Il est vrai qu’Alain a un faible lorsqu’il regarde Brigitte mais il est
terriblement timide.
Le lundi à treize heures, j’arrive le premier au café et j’attends Brigitte qui
arrive peu après (de toute notre liaison, elle ne sera jamais en retard…
j’apprécie mais cela me privera de prétextes à punitions. Qu’importe, j’en
trouverai d’autres).
Elle entre, radieuse, ravie d’être là. Elle porte des escarpins et un manteau
qu’elle retire, laissant apparaître une longue jupe noire fendue et un chemisier
blanc un rien transparent ; le tout est superbement érotique bien qu’un peu trop
classique. Nous prenons un café ensemble et j’en profite pour lui faire dire, me
regardant dans les yeux, qu’elle a envie de ma queue partout en elle, de me
sucer de se faire baiser et de se faire enculer. SA réserve timide face à ces
mots semble avoir disparu et elle s’acquitte de ces dialogues de manière très
excitante.
Nous prenons la voiture afin que je la conduise pour cette première fois au lieu
de rendez-vous ; par la suite, elle viendra seule et nous nous retrouverons là
bas. Je lui demande de retrousser sa jupe assez haut et je découvre l’horreur :
un collant noir. Je cache ma colère et je lui demande si elle a su se retenir…
réponse affirmative ; si elle a envie … réponse plus qu’affirmative !!
Nous entrons dans l’appartement et je referme la porte soigneusement ; elle
retire son manteau et se précipite dans mes bras mais je la repousse puis je la
gifle quatre fois sur le visage. Là, je sais que je prends un risque car,
affolée ou trop troublée, elle peut décider de partir et de mettre fin à
l’aventure… Elle n’en fait rien, reste debout face à moi, bras ballants, me
regarde dans les yeux et m’interroge :
- Pourquoi mon chéri ? Qu'est ce que j’ai fait pour te mettre en colère ?
- Le collant. Je t’interdis de porter cette saloperie en ma présence
- …
- Compris ?
- Oui mon chéri, dit-elle timidement, excuse-moi. Je vais le retirer
- Laisse salope je m’en charge
Je prends une paire de ciseaux sur un pot à crayons posé sur un petit bureau et
lui ordonne de trousser sa jupe. Craintive elle s’exécute et se place jambes
légèrement écartées devant moi. Je m’accroupis et commence lentement à massacrer
le collant ne lui laissant que la partie chaussettes. Elle apparaît en slip de
dentelle blanc, accessoire que je retire également avec les ciseaux en le
découpant. Elle s’inquiète ; comment va-t-elle rentrer chez elle ? Avec une jupe
et sans culotte ; c’est ainsi qu’elle me rejoindra désormais et elle remplacera
les collants par des bas et des porte jarretelles. Elle accepte « pour mon
plaisir » dit-elle bien que n’ayant jamais porté ni bas ni porte jarretelles.
Je me relève et lui ordonne de ne pas bouger sauf de s’écarter encore plus les
cuisses tout en tenant sa jupe troussée ; l’image est absolument obscène et
Brigitte est terriblement désirable. Je lui touche le clitoris déjà hors de son
capuchon mais sans lui laisser le temps de trouver un orgasme… elle gémit de
frustration puis je lui ordonne de retirer sa jupe et son chemisier. Elle
s’acquitte de cette tâche de façon un peu mécanique ; il faudra que je l’éduque.
Elle apparaît donc en soutien gorge coordonné à la culotte détruite et je lui
sors les seins pas le haut, je les caresse puis je prends les gros bouts et les
tords tout en les pinçant. Elle gémit et vibre de tout son corps mais ne bouge
pas. Elle reste ainsi debout cuisses bien ouvertes et cambrée juste ce qu’il
faut. Brigitte a de magnifiques dispositions…
Nous sommes toujours dans le salon, je me déshabille et apparais en slip avec
une queue dressée bien visible sous le tissu. Je lui ordonne de s’accroupir
ouverte au maximum afin que je la voie et qu’elle retire mon slip ; elle s’y
applique en prenant bien soin de me caresser par « mégarde ». Une fois nu elle
regarde amoureusement et ne bouge pas, attendant mes instructions. Je vais donc
me lancer :
- Ici commence ton dressage salope
- Dis moi, ce sera dur ?
- Tu ne peux plus rien refuser, j’userai de toi selon mes bons plaisirs
- Jusqu’où irons nous ? elle est anxieuse, sa voix est blanche mais dans sa tête
elle a déjà accepté
- Jusqu’au bout, tant que j’aurai envie ; mais nous n’atteindrons jamais les
extrêmes tels que scato, zoo, sang ou mutilations qui n’appartiennent pas au
monde de l’amour et des plaisirs mais sont pour moi la signature d’esprits
dérangés. En dehors de mon univers. Donc, il n’y aura rien que tu n’acceptes et
tu pourras toujours refuser avec les mots de sécurité.
- Quels mots de sécurité ?
- Deux mots que tu pourras utiliser à ta guise. Le premier : « stop soft » te
permettra de me demander de suspendre la torture en cours car elle te paraîtra
trop dure sur l’instant ; on pourra reprendre plus tard ou une autre fois. Le
second « stop fin » te permettra de mettre fin définitivement à notre relation.
En dehors de ces mots, je continuerai mes sévices quelles que soient tes
réactions ; ah oui, j’oubliais, tu n’as droit qu’à un seul « stop soft » chaque
trois séances faute de quoi nous arrêterons tout.
- Oui mon chéri, je comprends mais, dis moi, dans le livre … les marques de
flagellation… tu me feras cela ? Tu me fouetteras ?
- Oui bien sur, un peu plus tard, il faudra commencer soft
- Et mon mari ? dit-elle apeurée
- Je ferai en sorte de ne pas laisser de marques ce qui veut dire également
frapper où c’est sensible, la chatte par exemple.
- …
- Tu as envie de jouir salope ?
- Oh oui mon chéri s’il te plait !
- Il va te falloir attendre un peu car tel est mon désir – reste ainsi accroupie
et bien ouverte que je te voie bien et suce moi la queue profond comme tu sais
si bien le faire.
Elle prend ma queue dans sa main et commence un lent mouvement de léchage des
couilles, sa langue bien sortie. Elle agit ainsi quelque deux minutes puis
embouche ma queue à fond de gorge. Je ne peux tenir longtemps, je lui prends la
tête et la plaque contre mon ventre pour lui éjaculer dans la gorge. Elle avale
consciencieusement et attend que je ramollisse puis, spontanément, elle entame
une succion dont le but est de me redonner forme ce qui est très vite efficace ;
je rebande fièrement.
Je la fais allonger sur le canapé cuisses bien écartées, l’une pendante et lui
ordonne de s’ouvrir les petites lèvres avec ses doigts ; pas besoin d’insister
pour qu’elle tire bien fort exhibant une chatte rose béante et magnifique
surplombée d’un gros clitoris décapuchonné et dressé .. ; en outre, je vérifie
sa mouille de mon doigt et elle se tend comme un arc … elle est au bout du désir
et son trou est saturé de mouille.
Je me mets à genoux entre ses cuisses et je suce, aspire le clito ; pendant ce
temps, je lui pénètre deux doigts dans son petit cul ; elle se tend, se
contorsionne et gémit mais ne proteste pas. J’ai même l’impression qu’elle œuvre
pour faciliter ce petit enculage ; je lui murmure que je la prépare pour ma
queue. Enfin, je prends le clitoris entre mes dents, le mords assez fortement ;
elle se cambre, se cabre, vibre et jouit dans un long cri.
Je m’assieds dans un fauteuil et la laisse se reposer un instant ; je caresse
doucement ma queue puis je lui demande de se mettre dans l’autre fauteuil les
cuisses ouvertes sur les accoudoirs… elle hésite puis obéit docilement. Elle est
magnifique ainsi offerte avec sa chatte ouverte et luisante, ses gros seins
légèrement pendants et un sourire à me damner. Je lui ordonne d’aller plus loin
- Branle toi devant moi
Sa mais atteint le clitoris, caresse doucement puis elle s’arrête et referme ses
cuisses
- Non je ne peux pas
- Tu veux utiliser les mots de sécurité ? Déjà !
- Non c’est autre chose…
- Tu as deux minutes pour m’expliquer
- Eh bien voilà, il y a deux ans, avant la naissance de Rémi (son fils) et même
avant que je sois enceinte, nous étions mon mari et moi assis dans le salon
après le dîner ; j’ai eu envie de faire l’amour et j’ai donc eu l’idée
d’émoustiller mon mari. Je me suis ouverte, j’ai retroussé ma jupe, écarté ma
culotte et me suis mis deux doigts en surveillant son pantalon et en espérant
vois se former la bosse caractéristique sous la barguette ; je ne m’étais jamais
offerte autant …
- Et alors ?
- Il a soupiré et il a quitté la pièce ; je n’avais jamais été autant humiliée ;
je me suis sentie salie
- Je comprends et pourtant il n’y a pas plus beau et plus excitant qu’une
magnifique femelle qui se branle devant son mâle bandé…quel con !
- Non s’il te plait, c’est mon mari
- Excuse moi … il te faut passer au-delà et le faire pour moi ; allez je suis
devant toi et ma queue te montre que j’aime alors branle toi ou décline… mais je
serais déçu tu sais !
Elle se remet en position et commence à s’ouvrir les lèvres avec les doigts
comme je lui ai appris au début de cette séance. Elle est magnifique et je lui
dis puis je lui ordonne de branler autour de ses lèvres sans toucher la chatte
ni le clitoris déjà tendu à l’extrême. Elle s’exécute. Elle a dépassé le stade
précédent et s’exhibe sans retenue regardant alternativement mes yeux et ma
queue.
- Je vois à quel point ça te plait, ta bite est superbe !
Elle glisse doucement son doigt sur le clitoris et se cambre, prête à partir
- Interdit de toucher à ton bouton salope
- Oh, je t’en prie, j’ai trop envie !
- Alors enfonce trois doigts
Elle se pénètre de deux doigts ; elle y va profond, elle aime cela puis elle en
rajoute un troisième. Seuls son pouce et son petit doigt restent à l’extérieur.
Elle ondule et gémit. Je lui ordonne de se retenir. Elle n’en peut plus je la
sens prête à craquer je l’interromps et je lui ordonne de se mettre un quatrième
doigt. Elle proteste sans conviction prétextant qu’elle n’y arrivera pas ;
j’insiste et me lève pour l’aider. Je me mets accroupi devant elle et l’aide à
pénétrer… rapidement, le plaisir la submerge et elle se pilonne de ses quatre
doigts en ondulant et en criant son plaisir. Puis elle retire ses doigts et les
lèche sans que je lui demande… elle a vraiment des prédispositions, j’en
découvre chaque jour.
- Tu as encore envie salope ?
- Oui mon chéri mais avec ta queue … si j’osais…
- Ose
- Mets la moi profond dans ma chatte, je ne peux plus attendre (elle s’exprime
sensuellement, presque vicieusement… j’aime)
Je la conduis dans la chambre d’amis et je m’installe allongé sur à plat dos,
queue dressée sur le lit dont la tête et le pied sont faits de barreaux
verticaux.
- Empale toi salope
Elle descend lentement et sa chatte gobe ma queue dans un fourreau irrésistible
; elle est empalée au maximum ; je me calme un peu et lui ordonne de ne plus
bouger. Elle obéit mais je sens sa chatte se serrer et se relâcher à intervalles
réguliers pendant quelques secondes ; la salope jouit en silence et je fais
comme si je n’avais rien remarqué puis je lui ordonne de me chevauche à son
rythme… elle est magnifique et jouit quasiment de manière permanente ; c’est
super mais je me retiens car j’ai d’autres vues. Au moment où elle ralentît le
rythme, je me décide :
- Tu te souviens chienne ?
- Je crois oui, dit-elle timidement en me regardant droit dan les yeux
- Dis le moi, demande le moi
- Tu veux me pendre derrière mon chéri… tu veux m’enculer
- C’est toi qui vas me le demander
- Attends … tu prépares un peu ? tu lubrifies avec mon jus ?
- Non je veux que tu souffres un peu pour que ton plaisir soit complet
- Ohhh nonnnn
- J’attends
- Encule-moi mon chéri … défonce-moi à sec mais fais attention, vas-y doucement
- C’est toi qui va le faire chienne : relève-toi, sors ma queue de ta chatte et
empale-toi par le cul, comme une chienne …de face bien sur.
Elle s’exécute et se place mon gland à l’entrée de l’œillet puis descend
lentement en me regardant droit dans les yeux ; elle grimace mais en deux ou
trois temps elle se pénètre le cul à fond ; sa grimace s’atténue un peu …
- Tu as mal salope ?
- Oui mon chéri mais ça va passer et toi, tu aimes ?
- Oui chienne ; allez fais le travail
Elle va et vient de haut en bas d’abord doucement puis plus amplement ; son
regard est atrocement vicieux, elle s’encule comme une habituée en gémissant. Sa
main cherche son clitoris mais la mienne est plus rapide et je saisis le bouton
avec mes ongles et tire tout en poussant ma queue bien à fond. Elle crie de
douleur et, à bout de contrôle, je lui jouis dans le cul.
- Oh je sens ton amour de mâle
- Sois plus crue
- Je sens ton foutre dans mon cul … c’est bon, je crois que je pourrai jouir
comme cela
Je décule et constate que ma queue est légèrement souillée. Nous nous levons
avec précautions et allons nous nettoyer dans la salle de bains. J’avais prévu
cette situation et je vais lui apprendre à se préparer. Je lui fais face, je la
gifle et lui ordonne :
- A genoux salope tu dois te préparer avant de me rejoindre ; j’adore enculer
les femelles mais j’ai horreur des traces ; je vais t’apprendre.
- Oui mon chéri
- Entre dans la baignoire et accroupis-toi que ton cul soit bien accessible
Elle s’exécute de bonne grâce et je lui tends une poire à lavement que j’ai pris
le soin de préparer avant que nous n’arrivions à l’appartement.
_ Vide-toi cela dans le cul et remplis le avec ceci (une bouteille remplie d’un
mélange d’eau tiède et de savon doux liquide spécial intime) puis revide dans
ton cul et tu feras cela trois fois
Elle obéit et je suis satisfait : elle se sent humiliée de faire cela devant
moi.
- Je me sens pleine j’ai mal au ventre, dit-elle
- Je te laisse terminer et je vais t’attendre dans la chambre où nous avons
baisé ; tu vas te vider dans la baignoire et recommencer deux fois puis tu
nettoies et tu viens me rejoindre mais surtout n’oublies pas : je vais t’enculer
en levrette mais je ne te giclerai pas dans le cul, tu finiras avec ta bouche ma
queue sortant de ton cul. Tu as donc intérêt à être propre. Ah, autre chose,
prends le matériel avec toi afin que tu puisses te préparer chez toi avant de me
rejoindre.
- Et si mon mari la trouve !!!
- Tu as donc une seule solution : lui inventer que tu as lu des histories
érotiques et que tu as envie qu’il t’encule.
- Il ne voudra jamais
- Pas grave, tu auras justifié l’existence de l’objet
Je la laisse et vais m’installer sur le lit ; je suis de nouveau excité et e je
bande. Elle sort quelques minutes après le visage clair ; l’humiliation est
passée ; elle a dépassé ce nouveau stade. Elle reste debout à côté du lit, à
disposition.
- Comment vas-tu salope ?
- Chaude mon chéri
- Tu as envie de quoi ?
- Ce que tu m’as promis
Je regarde son clitoris dressé et sa chatte délicieusement entrouverte. Elle
voit mon regard, ouvre ses jambes et avance son ventre afin que je voie mieux …
elle regarde ma queue avec envie semble t il.
- Qu’est ce que je t’ai promis ?
- Que tu m’enculerais en levrette
- En position salope, tête bien à plat sur le lit, cul dressé, fesses ouvertes
avec tes mains
- Oui mon chéri voilà
Elle s’installe comme demandé et je me place derrière à genoux queue en avant.
J’ai une vue magnifique sur ses deux trous ; je caresse doucement autour des
orifices sans toucher les points très sensibles. Elle ronronne, elle vibre et
s’impatiente :
- Prends moi je ne peux plus attendre
- Je ne comprends pas ce langage de midinette
- Baise-moi le boyau, mon chéri, encule-moi à fond, défonce-moi …
- Eh bien tu es chaude salope, rassure toi j’adore
Je me positionne queue en avant et m’enfonce lentement mais inexorablement dans
ce cul offert et moins serré que la première fois. Elle vient à ma rencontre et
nous entamons un lent mais profond va et vient. Après quelques minutes d’intense
plaisir, le rythme augmente et Brigitte se lâche me demandant de lui « faire mal
» de « lui éclater le cul » de la « dérouiller » ...je lui caresse le clito en
même temps et elle part dans un orgasme sauvage. Puis je
Quelques minutes de repos puis elle me dit :
- Je crois que j’ai joui aussi du cul
- C’est mieux pour toi car je ne cesserai pus de t’enculer
C’est l’heure, nous nous séparons et je lui ordonne de venir sans culotte ni sg
la semaine prochaine mais préparée comme elle a appris à le faire.


la suite comme d’habitude contre 2 dédicaces
Avatar de l’utilisateur
par Calimero77
#1304886
La semaine suivante puisque nous avions décidé de nous retrouver une fois par
semaine le jeudi après midi de 14 heures à 18 heures après le déjeuner et avant
que le propriétaire de l’appartement ne rentre. La semaine suivante, donc, je
décidai d’arriver avec un peu d’avance et de me préparer… enfin me mettre
quasiment nu ne gardant que mon slip et maintenant une érection déjà fort
honorable du simple fait de penser à ma Brigitte.
Sonnette … je regarde, c’est bien elle, j’ouvre et je la vois apparaître avec un
manteau long. Elle entre et le retire et je constate avec stupeur et colère
qu’elle porte un chemisier délicatement ouvert et laissant apercevoir une
poitrine nue mais surtout … un pantalon blanc moulant. Je lui fais sèchement la
remarque ; elle me répond que, dessous, elle est sexe nu, sans culotte. Je lui
fais part de ma déception et j’en rajoute un peu en disant que nous nous sommes
trompés l’un sur l’autre et que peut être vaut-il mieux cesser cette relation.
Je suis tendu tout entier en espérant que sa réaction ne sera pas celle que je
redoute le plus, à savoir se montrer d’accord. Elle répond
- Pardonne-moi mon chéri je ne pensais pas te blesser
- Je ne suis pas blessé, je suis déçu, terriblement déçu
- Que faire pour que tu me pardonnes ? (je suis son regard, elle constate que je
ne bande plus beaucoup ; ma déception est donc éclatante)
- Comprends bien, ta vie d’esclave si tu l’acceptes consiste à rechercher en
permanence mon plaisir même et surtout s’il doit t’en coûter ; c’est à ce prix
que tu deviendras celle que je veux
- J’ai une idée, dit-elle
- …
- Je vais aller me changer pour toi
- Tu ferais cela ?
- Oui, laisse-moi une demi-heure
- Je suis d’accord à une condition. Tu m’obéis sans discuter à partir de cet
instant… ; à tout ce que je te demanderai
- … oui, dit-elle timide
- TOUT ! ma voix est devenue sèche
-.
- Alors ?
- Oui mon chéri mais …
Schlak schlak, deux gifles
- Aïe, pourquoi ?
- Le mais est de trop. Au moindre problème réel, il te reste les mots de
sécurité
- Bien mon chéri, je suis à toi
Elle approche et me caresse la queue à travers le slip sûrement pour que
j’oublie sa désobéissance. Je ne lui permets pas d’aller au-delà et lui demande
de descendre le pantalon. Elle obéit avec une lueur de désir dans les yeux. Elle
est effectivement nue dessous et ostensiblement excitée ! Je vérifie que son cul
a été lavé et je constate qu’en plus il a été lubrifié (oh la coquine !). Elle a
également mis des bas dim up noirs … joli !
J’ouvre une petite valise que j’ai amenée et que j’ai posée sur l’un des
fauteuils. Elle contient des bracelets, des colliers, un martinet, une cravache,
plusieurs godes, plusieurs séries de boules et deux Plugs voire trois si on
compte l’énorme cône. On peut y voir également des pinces terminées de
chaînettes, des poids et des aiguilles courtes et longues et bien d’autres
choses encore. Elle regarde ébahie, inquiète, apeurée …
- Oh tu vas utiliser tout cela ?
- Tu connais ?
- Non pas tout mais j’imagine...
-Ce sera pire que ce que tu imagines
Je me munis d’un collier de cuir noir de quatre cm de large et équipé de quatre
anneaux placés à quatre vingt dix degrés les uns des autres ; je lui passe
autour du cou serré mais modérément… bien visible
Je la conduis devant un miroir en pied à l’intérieur d’une porte d’armoire. Elle
est obscène et magnifiquement désirable avec son pantalon sur les chevilles, sa
chatte libre de tout tissu et son collier qui orne maintenant son cou en
rehaussant le chemisier. Obscène et magnifiquement désirable ; je rebande ; elle
le voit et son regard trahit sa satisfaction. Je lui ordonne de se pencher en
avant face au miroir et de s’ouvrir le cul. Elle n’hésite pas un instant ; vu de
derrière le spectacle est saisissant et je dois me contrôler pour ne pas
l’enculer sur-le-champ. J’ai d’autres projets : je lui tends un plug rigide en
plastique transparent dont la base mesure 2 cm de diamètre et le renflement
atteint plus de 4.
- Encule toi salope
Je me positionne derrière elle et je lui demande de me regarder dans les yeux à
travers le miroir ; elle le fait et je suis terriblement excité. Je me demande
qui est le maître du jeu. Elle me regarde bien dans les yeux et s’encule d’un
mouvement lent mais constant jusqu’à la base du plug. De ma position, je vois le
visage dans le miroir et le plug enculeur devant moi ; elle a grimacé au moment
du passage le plus large mais ne s’est pas arrêtée.
- Recommence salope sors le et rentre-le
Cet ordre sera répété et exécuté quatre fois avec des gémissements de plus en
plus caractéristiques… la chienne s’encule avec un certain plaisir et finit par
le dire avec ces mots crus qui l’excitent tant « ouii je me défonce le cul oh
oui j’adire maintenant… »
- Arrêtes salope, si tu jouis je te bousille et je te mets dehors dans cet état
- Oh non s’il te plait … voilà, je me calme … je suis frustrée, je vais devenir
dingue
- Redresse toi et remets ton pantalon
- Oui Chéri, comme tu voudras
- Assieds toi sur cette chaise, bien droite
- Oh c’est dur j’ai un peu mal … mais j’aime puisque tu me le demandes
- Appuie plus fort
- Oui … aïïïe…hummm c’est bon
- Maintenant vas te changer je t’attends
- Avec mon petit cul garni ? Je vais pouvoir conduire ? Et ce collier ? Oh que
je ne rencontre personne de connu !
- C’est toi qui as mérité cette punition
- …oui (inaudible)
- Bien, à tout à l’heure, ne t’éternise pas, je pourrais être parti…pour de bon
- Je reviens vite
Elle cherche à m’embrasser, je la repousse et je la gifle. Elle enfile son
manteau et part rapidement visiblement déçue. Encore un pallier …va-t-elle
revenir ? J'attends mais je suis impatient. Environ trente minutes plus tard, la
sonnette retentit ; je regarde à travers l’œilleton et je la vois manteau ouvert
jupe ultra courte blanche qu’elle relève légèrement ; elle sait que je regarde
et ses yeux me supplient d’ouvrir… ce que je fais après une minute qui doit lui
paraître une éternité.
- Entre salope et retire la manteau
Elle le fait rapidement avec un soupçon de provocation sexuelle ; je lui
enseigne alors la position de contrôle : debout, cuisses écartées au maximum, à
la limite de l’équilibre, mains derrière la nuque… comme elle est belle ainsi ;
elle appelle la douleur et le plaisir.
- Si tu veux que je te garde, tu vas devoir payer ton insubordination
- Pas trop mal Monsieur s’il vous plait (ce qualificatif lui est venu
spontanément… magnifique !)
- C’est moi qui décide ; une question : as tu joui en conduisant ?
- Oui Monsieur, deux fois, je n’ai pas pu me retenir ; je me traitais de salope
dans la voiture
- Tu aurais pu me le cacher
- Oh non, vous l’auriez su
- J’aime ta sincérité, cependant je vais te punir durement ; allez cambre toi et
présente tes mamelles sans quitter la position
Elle est toujours cuisses écartées et mains derrière la nuque, elle penche la
tête en arrière et fait saillir ses gros seins sous le tissu du chemisier que
j’ouvre délicatement pour les exhiber. Je prends ses gros bouts dressés entre
mes ongles et je les pince puis les tord. Elle crie un peu et se tend mais ne
bouge pas. J'insiste…elle gémit…elle commence à aimer. Puis je lâche ses
mamelles et prends le martinet ; ses yeux me supplient, elle a peur.
- Es tu prête à être fouettée pour la première fois
- Doucement, Monsieur sur mes mamelles
Elle se cambre du mieux qu’elle peut et me lance un regard de défi « oui je peux
supporter » dit ce regard. Un premier coup claque en travers, soutenu ; elle
crie et protège ses seins de ses mains dans un réflexe que je dois réfréner. Ma
réaction est rapide : le martinet lui claque au visage en évitant soigneusement
les yeux. Elle crie de nouveau mais ne bouge pas ses mains. Je pose le martinet
et prends deux bracelets de cuir, munis de mousquetons, que je lui passe aux
poignets. Elle se laisse manipuler ; je lui relie les poignets derrière la nuque
et j’attache les mousquetons à l’anneau postérieur du collier. Ainsi elle ne
peut plus bouger pour protéger ses pis. Je lui indique que, pour les cris, tant
qu’elle criera fort, je frapperai mais que je refuse de la bâillonner, sa bouche
devant toujours être disponible. Je me repositionne et recommence à la fouetter
en espaçant bien les coups. Au dixième de ces coups, plus de cris mais de
simples gémissements ; je cesse donc la correction et je décide de me faire
plaisir. Je lui détache les poignets et lui ordonne de se mettre toute nue sauf
les bas. Ensuite de quoi, je lui mets deux bracelets aux chevilles (identiques à
ceux des poignets). Je la fais allonger à plat dos sur le lit cuisses relevées
de part et d’autre de la tête ; j’attache son collier ainsi que les bracelets
des chevilles à des barreaux de la tête de lit afin qu’elle apparaisse bien
écartée, trous ouverts. Le spectacle est magnifique ; je lui ordonne de se
déculer…elle cherche le plug avec une main
- Non sans les mains
- Comment ???
- Pousse comme pour aller à la selle
- Ohhhh noooonnn
- Rien à craindre, tu es lavée ; allez vas y
Un très léger coup de martinet ponctue mon ordre et, encore une fois, elle
m’obéit ; elle pousse, elle a du mal ; elle insiste puis je vois le plug sortir
lentement et tomber sur le lit. Son cul apparaît béant et se referme doucement
- Te voilà vide salope ; ça te manque
- Oh oui Monsieur, enculez moi, fourrez moi le cul dit elle en me regardant
alternativement les yeux et la queue
Je positionne ma queue hyper raide et la défonce d’un coup sans ménagement ;
elle crie de plaisir, un cri rauque ; elle attend, elle espère l’orgasme mais je
ne lui donne pas cette satisfaction, je jouis très rapidement et je décule …
elle se tortille tant que faire se peut et gémit de frustration. Cela m’excite
de nouveau ;.. Elle comprend de plus en plus qui est le maître. Elle supplie :
- Fais moi jouir mon chéri … dans le cul
- Non salope, enfin pas avec ma queue, cela fait partie de ta punition
aujourd’hui
- Oh Monsieur, je ne vous désobéirai plus, je vous le promets
- Il vaudrait mieux car la punition serait pire – allez branle toi le cul …avec
tes deux mains
Dans sa position obscène, elle ouvre ses fesses et glisse doucement le majeur de
chaque main dans son trou ; elle m’interroge du regard ; je lui ordonne de se
mettre index et majeur de chaque main ; elle souffle, force et y parvient en me
regardant amoureusement…elle a quatre doigts dans son cul et les fait aller et
venir en écartant pour bien s’ouvrir l’anus.
- Oh comme vous bandez Monsieur, ça vous plait que je m’encule devant vous
- Continue salope
- Je peux me faire jouir Monsieur ?
- Tu peux essayer
Elle active ses quatre doigts et je vois couler sa chatte béante … elle va
partir ; c’est le moment que je choisis pour approcher, lui saisir les mains et
les tirer pour qu’elle se décule ; Elle était au bord du plaisir ; elle crie
gémit, elle pleure presque, se tord autant qu’elle le peut dans sa position
offerte et me lance un regard suppliant.
- C’est dur hein salope ?
- Oh oui … je n’en peux plus
- Outre la punition, sache que plus tu attendras et plus tes orgasmes seront
dévastateurs
- Bien Monsieur, je me calme
- Je vais te dilater salope… devant et derrière
- Oh nooonn, j’ai peur d’être déformée définitivement
- N’aie pas d’inquiétude, les muscles de tes trous sont infiniment souples ; ils
se refermeront et tu pourras de nouveau t’en servir normalement. De toute façon
tu ne peux pas résister sauf à interrompre avec les mots de sécurité…
- Non, j’aurais honte de n’avoir pas su te faire plaisir
- Tu as deux orifices offerts ; par lequel veux tu commencer ?
- Selon votre bon plaisir Monsieur mais si j’osais … le cul
Je vais exceptionnellement accéder à sa demande. Je prends le gros plug et lui
montre : Noir et rigide avec une base et un étranglement, conique dans sa partie
« avant » (celle qui rentre la première) ; 25 cm de long ; large au plus étroit
de 4 cm de diamètre et au plus gros de plus de 8 cm de diamètre. Elle s’affole
et argue que cela ne pourra pas rentrer. Je la rassure et lui ordonne de me
regarder dans les yeux. Elle est superbe et me lance dans un gémissement :
- Bien Monsieur, éclatez moi le trou du cul, je suis prête
Je m’agenouille sur le lit à côté d’elle dans une position où je peux la
défoncer et où elle peut me branler ce que je lui ordonne ; elle s’empresse et,
de sa main, enserre ma queue tout en commençant les va et vient ; je la félicite
… je suis bien. Je pointe alors le plug et enfonce doucement ; à un moment la
taille provoque la résistance du sphincter son visage se crispe, ses yeux
grimacent ; sa main me serre plus fort la queue… cette salope va finir par me
faire partir !
- Tu veux que j’arrête
- Non Monsieur, continuez, défoncez moi
- Bonne réponse !
- Pourquoi ? demande t elle dans un souffle
- Si tu avais demandé que j’arrête, j’aurais continué quand même et plus
brutalement encore…
A présent je force durement et la pénètre d’un coup… elle émet un long cri
rauque et me serre tant que je gicle. Je la gifle de mes deux mains, quatre fois

- Qui t’a autorisé à me faire jouir ?
- …
- Tu le paieras salope
Je sors le plug lentement et le rentre brutalement ; nouveau cri rauque mais
plus expressif. Si je continue, cette salope va jouir ; je décule le plug et
rentre de nouveau ; je le ressors puis je la laisse une fois encore au bord de
l’orgasme… vide …cette fois elle me supplie
- Monsieur, pitié ; faites moi jouir du cul
- Attends je n’ai pas terminé
Je récupère mon sperme sur ses fesses offertes et lui donne à lécher … elle aime
cela mais ce n’est pas nouveau.
- As tu déjà été fistée ?
- Qu’est ce que c’est ?
- Une main entière dans ta chatte
- … mais ce n’est pas possible
- si regarde
Je présente d’abord trois doigts et les lui enfonce dans la chatte ; ils
rentrent sans difficulté car elle est en eau. Je la regarde dans les yeux et,
lentement, j’ajoute le petit doigt ; je tourne ; elle s’ouvre, elle accepte,
elle gémit. Une fois mes quatre doigts bien en place et son sexe déjà bien
ouvert, je ramène le pouce à l’intérieur de ma main et je force lentement … son
trou résiste ; je l’embrasse et lui suce la langue… elle se lâche et ma main
pénètre ; elle accepte cette caresse et essaye de se faire planter encore plus
profond mais elle est trop entravée. Elle vibre de partout.
- Pitié Monsieur faites moi jouir supplie t elle tremblante
- Attends salope … bientôt
Je retire ma main et elle hurle de frustration. Je reprends le gros plug et je
l’encule sans ménagement, d’un coup ; elle se donne mentalement à fond ; je
renfonce lentement ma main et je sens le plug volumineux à travers les parois.
Elle se lâche complètement :
- Oui Monsieur, votre salope est pleine comme jamais, ne me videz pas ; laissez
moi jouir … ouiiiii, je viens ; oh salaud, tu me bousille les trous
Je travaille ma main et le plug ; elle démarre et pousse de longs cris de
jouissance pendant plus de deux minutes. Elle est en nage. Je retire ma main
doucement à cause de l’orgasme. Je lui laisse reprendre ses esprits ; je la
caresse doucement ; je l’embrasse. Lorsqu’elle est calmée je lui montre un jeu
de 3 boules de geishas de 5 cm de diamètre reliés par une chaînette et équipées
de picots arrondis pour ne pas blesser. Je les lui enfonce dans la chatte une à
une ; elle ne proteste pas. Je la libère et lui ordonne de se lever ce qu’elle
fait avec difficulté compte tenu de son remplissage ; enfin, sans que j’aie
besoin de lui dire, elle se met à marcher en essayant d’apparaître le plus
naturel possible ;.. Et elle y parvient : au bout de quelques pas dans
l’appartement, on ne remarque plus de défaut d’allure ou de sorte de
claudication.
Je lui propose d’aller, à pied, prendre un verre dans le café du quartier
distant de 300 mètres. Elle ne récrimine pas et se rhabille de son chemisier et
de sa jupe ultra courte puis remets ses escarpins.
Nous marchons d’un pas que j’impose rapide ; elle grimace légèrement. Nous
atteignons le bar et nous nous installons dans un coin. C’est un PMU et, à cette
heure de l’après midi beaucoup d’hommes sont présents. Le taulier nous
interroge, nous commandions deux cafés qu’il nous sert rapidement.
J’interroge Brigitte
- Tu te sens bien
- Oui, c’est incroyable, je n’aurais pas cru pouvoir être pleine à ce point … je
suis une vraie jument
- Eh dis salope, tu m’excites … enfin c’est le but. Il faudrait que tu achètes
des porte jarretelles et des corsets afin de paraître encore plus chienne.
- Où puis je en trouver
- Il y a en ville ce magasin de lingerie que tu connais, tenu par une femme de
40 ans très belle. Il te suffira de préciser ce que tu veux, elle te conseillera
- Je n’oserai jamais ! Pas avec une femme !
- Alors je t’accompagnerai mais nous verrons plus tard. Pour l’instant branle
toi
- Ici ? Mais ils vont savoir !
- Bien sur c’est ce que je veux
- …
- Allez salope et tire bien sur ton clito
Ma belle Brigitte se résigne et passe sa main sous sa jupe ; elle me regarde
dans les yeux et commence en me commentant son action :
- Je pince, je tire, je tords… il est tout décapuchonné… je n’en peux plus… je
suis trop femelle …
- Lâche toi chienne
Elle part et ne peut retenir un petit cri. Les consommateurs tournent la tête
mais n’interviennent pas. Le taulier en profite pour venir rendre la monnaie ;
la cinquantaine bien conservée, ventre plat avec une légère calvitie ; il ne
manque pas de charme. Il me regarde :
- Quelle magnifique salope ! vous la partagez
- Non pas encore, dis je en regardant Brigitte qui se crispe et rougit, inquiète
de ma réponse. Dis lui ce que tu es chienne
- Je suis la pire des salopes en cours de dressage et je suis garnie : plug anal
et boules de geisha pour parfaire ma dilatation ; je suis avec mon éducateur
- Je ne peux vraiment pas en profiter ? demande t il
- Non pas aujourd’hui c’est encore trop tôt mais nous reviendrons
Il s’éloigne et je demande à Brigitte :
- Tu as vu ?
- Oui son pantalon a fait une bosse rapide, il est tout excité ; c’est très fun
de faire bander un mâle ; quand je pense à mon mari qui n’aime pas vraiment cela
!
- La prochaine fois tu le suceras
- Mon mari ? mais il ne voudra pas…
- Non, le taulier
- Oh noonn
- Qui t’a demandé ton avis ?
Nous sortons du bar et je lui dis de rentrer chez elle. C’est tout pour
aujourd’hui. Nous nous retrouverons la semaine prochaine
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par Calimero77
#1310194
La semaine suivante Brigitte arrive avec une longue robe fendue très haut sur le
côté et qui est très impudique lorsqu’elle marche.
Je la fais entrer dans l’appartement et je l’accueille en costume de ville. Je
l’embrasse fougueusement tout en lui pétrissant les mamelles ; en réalité je
prends possession de mon jouet.
Après quelques secondes, ma main utilise la fente de la robe et vérifie sa
préparation ;pas de culotte et une chainette qui pend légèrement de sa chatte.
Elle a enfoncé les boules… je lui dis ma satisfaction à la suite de quoi, ma
main passe derrière et trouve la base d’un plug que je tire lentement pour
dilater l’anus sans le retirer mais pour parvenir au diamètre le plus grand ;
elle gémit et reste cuisses ouvertes. Je constate qu’elle a utilisé le plus gros
des deux plugs et la félicite :
- Tu apprends vite salope
- Oui mon chéri, je t’aime et j’ai envie de te faire plaisir
- Tu as eu du mal à mettre le plug ?
- Oui c’est dur
- Et tu as conduit ainsi
- Oui mon chéri
- Tu as joui dans la voiture ?
- Oh non !
- Menteuse (je la gifle deux fois, plein visage et avec force)
- Pardon, oui Monsieur j’ai joui
- Combien de fois ?
- Une seule … non enfin trois
- Et tu as encore envie
- Oh oui Monsieur, comme jamais…
- Tu seras punie ; tu seras torturée et tu ne jouiras pas
- Ohhh pitié
- Tais toi salope et mets toi nue ; je te réserve une séance dont tu te
souviendras mais surtout excite moi !
- Oui Monsieur
Elle passe la robe par dessus sa tête tout en restant cuisses très ouvertes afin
que je la voie bien puis elle se cambre et m’offre ses mamelles et sa chatte
d’où pend la superbe petite chainette ; enfin elle se retourne, se penche en
avant et écarte ses fesses afin que je voie le plug enfoncé dans son cul. Elle
est magnifique et je bande très fort. Je lui ordonne de conserver la position et
je prends un martinet dans la petite valise habituelle que je laisse maintenant
dans l’appartement. Le premier coup lui arrive en travers des fesses et elle
lâche un cri de surprise et de douleur.
- Interdiction de crier salope ; combien veux tu de coups
- Seulement cinq Monsieur mais très forts
- Ce sera vingt très forts
- J’ai peur mon chéri
- Tu peux… ce sera encore pire que ce que tu imagines
Ainsi, pendant plusieurs minutes, sans prévenir et sans aucune régularité pour
maintenir la tension puisqu’elle est de dos et ne peut voir, je lui asséné
quinze coups alternant les fesses par le travers et les coups de bas en haut qui
cinglent toute la fourche. A chaque coup elle se crispe en gémit mais ne bouge
ni ne crie. Je constate que j’ai frappé fort et que les marques rouges ne seront
probablement pas effacées ce soir …Je la redresse, lui fais face et lui demande
si elle a compté les vingt coups promis :
- Je n’ai pas compté Monsieur
Elle est devant moi nue et jambes écartées, son pubis attend la punition. Je
cingle de haut en bas elle se crispe et crie longuement.
- Tu mens salope
- Quinze seulement Monsieur
- Où veux tu les cinq autres ?
- Où cela vous fait plaisir Monsieur mais si j’osais …
- Oui ?
- Sur mes seins Monsieur
- Sois plus sexe, lui dis je en la giflant par deux fois
- Sur mes …mamelles … mes pis de salope Monsieur
- Bien ! très bien ! Au fait pourquoi ce hurlement à l’instant quand je t’ai
frappé la fourche ?
- Oh mon chéri tu sais bien
- Non dis je en assénant deux autres gifles
- Je suis très excitée Monsieur … j’ai envie … mon bouton est décapuchonné et il
a pris le martinet
- Montre ma salope, montre ton trou
Elle se penche en arrière pour que je la voie bien ; elle prend ses lèvres, les
ouvres vers le haut et sur le côté afin que je voie bien ; son clito magnifique
(il m’a toujours fait le même effet) apparaît gonflé, tendu et violacé. Je lui
ordonne d’ouvrir plus, au maximum et de bien se cambrer. Une fois en position je
lui caresse un peu ce qui la fait gémir et lui conseille de se préparer à
souffrir mais que je ne veux ni qu’elle bouge ni qu’elle crie faute de quoi je
la mettrais dehors. Elle est prête mais je caresse un peu vicieusement pour
qu’elle « bande » encore plus. Son ventre vient à ma rencontre ; elle attend ;
elle espère. Je me décide enfin, lui prends le clitoris entre les ongles du
pouce et du médium de la main droite ; je pince et je tords en même temps. Elle
se tend ; elle souffre mais obéit, ne bouge ni ne crie si ce n’est un léger râle
qui suinte entre ses dents serrées. Je la gifle assez doucement plusieurs fois
de l’autre main tout en gardant son clito en torture ; l’action dure plus de 30
secondes et des larmes légères coulent de ses yeux. Je lâche le bouton sensible
et le caresse un petit peu ; elle se calme et se détend.
- C’est bon salope ?
- …
- Je ne supporte pas de répéter mes questions
- Non Monsieur c’est dur … oh non, non, oui c’est bon Monsieur
- Tu as envie de jouir à présent
- Je n’ai pas d’autres envies que les vôtres Monsieur
- C’est bien … déshabille moi et vide mes couilles
- Avec plaisir mon chéri
Elle entreprend de me dévêtir ; veste puis chemise puis chaussures et pantalon ;
elle me laisse en slip et pendant toute l’opération elle s’ingénie à caresser
mon corps de ses seins tendus. Je m’installe dans le fauteuil et la fais mettre
accroupie afin de bien voir sa fente ouverte ; elle entreprend de me sucer tout
en caressant mes couilles de ses mains… hmmmm. Je prends sa tête et l’embouche à
fond avec une certaine cruauté ; elle ne peut pus se retirer da ma queue et je
lui ordonne de me faire partir en bougeant sa langue ; elle s’exécute et je
jouis lentement vidant mon jus qu’elle avale avec avidité ; elle est très douée.
Sur mon ordre elle range ma queue dans mon slip et se recule légèrement tout en
conservant la position obscène accroupie et ouverte au maximum. Je me lève et me
saisis d’une fine cravache.
- Le moment est venu de te vider belle chienne. Allez que veux tu sortir
d’abord, le plug ou les boules
- Je ne sais pas Monsieur ; c’est bon dedans
- Allez choisis
- Je voudrais bien commencer par le plug Monsieur
- Accordé mais tu sais comment , sans les mains, en poussant avec ton cul
- Celui là est gros, je ne vais pas y arriver…
- Allez chienne aux ordres dis je en donnant un léger coup de cravache sur son
dos
Elle se met à pousser longuement et avec des larmes aux yeux ; l’objet commence
à sortir puis reprend sa place car le plus gros diamètre n’est pas encore passé.
Après quatre tentatives, elle parvient enfin à expulser l’objet qui tombe au
sol. Sur mon ordre, elle le ramasse et le suce en me regardant droit dans les
yeux.
- Comment te sens tu salope ?
- Vide et frustrée mon chéri… envie de ta queue
- Parfait, tu m’excite ainsi. A présent je vais te vider la chatte
- Oh non Monsieur, laissez moi garnie ; j’ai trop envie de jouir
Je la cravache pour tant d’audace et lui ordonne de se relever et de m’offrir sa
chatte cambrée comme elle sait si bien le faire maintenant. Elle approche et je
me saisis de la chainette que je tire lentement mais inexorablement, sans aucune
précaution. Elle souffre à cause des picots ; elle gémit mais ne se dérobe ni ne
crie ; enfin la voilà vidée complètement. Elle est folle d’envie et cela se voit
; cette situation m’excite au plus haut point et ma queue le montre
ostensiblement. Je lui ordonne de se mettre devant moi, debout, cuisses écartées
au maximum, à la limite de l’équilibre, mains croisées derrière la nuque ; je me
mets à pétrir ses grosses mamelles avec une certaine violence ; elle gémi mais
ne bouge pas. je vérifie sa chatte que je trouve saturée de jus ; je lui gifle
la fourche de bas en haut ; elle supporte et se cambre. La salope aime être
maltraitée. Je profite de mon érection pour me frotter à elle ; ma queue la
caresse à travers mon slip et je la sens se diriger vers l’orgasme. J’attends le
plus longtemps possible et je m’éloigne juste au moment où elle va jouir. Elle
se cambre comme une folle, son corps tremble ; elle réclame grâce et je lui
refuse. On devine que sa frustration est extrême ?
- Pitié Monsieur
- Pas encore ma chienne. Je t’avais promis que tu ne jouirais pas mais si tu es
vraiment obéissante j’accepterai peut être, plus tard … après
- Après ?
- Oui je vais continuer ton apprentissage et je vais commencer par te parer
- Comme la dernière fois ? avec le collier et les quatre bracelets
- Oui et d’autres choses encore
Je lui tends les quatre bracelets de cuir sortis de la valise et je lui ordonne
de commencer par les poignets ; elle peine à les mettre mais y parvient
finalement. Enfin, sur mon ordre, elle s’assied dans un fauteuil bien ouverte et
pare ses chevilles. A ma demande elle a bien serré les quatre bracelets de cuir.
Je lui pose le plus large des colliers également inconfortablement serré mais
bien entendu sans danger.
Je la fais lever et lui montre trois accessoires que je suis allé acheter dans
la boutique. Elle découvre un corset de dentelle noire qui est très ajouré et
s’attache dans le dos avec des petits crochets comme on en trouve sur nombre de
vêtements ; ce vêtement est orné de deux jarretelles de chaque côté ; devant et
derrière chaque cuisse ainsi que de quatre petits anneaux en haut (sous les
seins) et quatre en bas sur le devant et sur le derrière ; on devine que ces
anneaux ont pour objectif d’attacher des objets destinés à la chatte et au cul ;
enfin, le bas du corset est équipé d’un anneau de chaque côté. Le second
accessoire est constitué d’une paire de bas résille noirs assortis au corset.
Enfin une paire d’escarpins vernis également noirs avec talons de 8 cm couronne
le tout. Elle regarde, touche les divers objets avec crainte et envie.
- Debout salope et tourne toi de dos ; je vais commencer à te préparer
Elle se positionne conformément à mon exigence. Je lui passe le corset autour du
corps et je commence à attache les petits crochets dans le dos. Il a été chois
tr-s serré et elle se tend pour que je puisse le fermer entièrement. Une fois
fait je soupèse ses mamelles surélevées par l’objet et j’ajuste le tout. Je lui
ordonne de mettre ses bas et je l’aide à attacher ceux xi aux jarretelles du
corset ; elle n’a pas l’habitude mis elle devra apprendre et se parer seule
dorénavant. Pour le corset, il suffira de l’attacher par devant et de le
tourner. Je rêve qu’elle fera cela devant moi. Puis sur mon ordre, elle chausse
les escarpins ce qui cambre son corps superbe. Je la conduis devant le miroir en
pieds, me tenant derrière elle et lui pétrissant les siens. Son regard prouve
qu’elle se trouve belle et qu’elle se sent prête à tout donner…
Je lâche ses mamelles et sors ma queue que je frotte dans la raie de ses fesses.
Elle se penche en avant et murmure un « encule moi » presque inaudible mais
plein d’exigence et d’espoir.
- Tu as raison, comme tu le sens j’ai envie de t’enculer mais je ne sais pas si
tu pourras te retenir de jouir
- Si mon chéri je te le promets
- Tu mens mal salope tu sais que c’est faux… tu ne tiendras pas
Pendant ce temps, je me frotte dans sa raie sans pour autant la pénétrer et je
jouis. Nouvelle frustration ; elle gémit mais accepte… j’aime ; je récupère mon
jus dans sa raie et lui fais sucer mes doigts. Elle le fait avidement.
Je vais maintenant continuer de la préparer et pour ce faire je sors une paire
de pinces reliées par une chainette équipé en son milieu d’un anneau et d’un
mousqueton. Le serrage de chaque pince est réglable avec une petite vis et les
mâchoires supérieurs des pinces sont équipées d’un picot afin qu’elles le
glissent pas ; la longueur de la chainette est également réglable. Je lui montre
le tout ; elle prend en mains et observe. Une vérification de sa chatte me
montre qu’elle est excitée au maximum.
Je pose une pince sur chacun de ses gros tétons et serre juste ce qu’il faut
pour qu’elles tiennent. Puis je crochète le mousqueton à l’anneau situé à
l’avant du collier je tends très légèrement la chainette pour que, tête droite,
ses seins soient bien redressés. Elle est superbe et je crois qu’elle le sait.
Pour la finir, je lui montre deux objets identiques et étranges. Imaginez un
élastique réglable en longueur terminé, à chaque extrémité, par un petit
mousqueton. Au centre de l’élastique est attachée une pince identique à celles
qui ornent maintenant les mamelles, c’est à dire avec vis de serrage et picot.
Brigitte prend regarde et :
- A quoi cela va t il servir ?
- A maintenir ta chatte ouverte allez mets toi dans le fauteuil et écarte bien
tes cuisses sur les accoudoirs
- …
- Ouvre tes grandes lèves que j’aie accès aux petites
Elle les prend et les écarte ; ses petites nymphes apparaissent offertes. J’en
choisis une sur laquelle je serre une pince assez doucement comme pour les
seins. Une fois posée la pince, je passe les deux côtés de l’élastique de part
et d’autre de la cuisse et j’attache les deux mousquetons à l’anneau latéral du
corset ; je règle pour que l’élastique soit un peu tendu et que la petite lèvre
ouvre bien la chatte. Je fais de même de l’autre côté ; je la laisse en position
et apporte un petit miroir portable
- Regarde toi salope
- Oh je suis belle, ma chatte attend d’être remplie
- Tu as envie de jouir chienne ?
- Oh oui Monsieur
- Tu vas devoir souffrir d’abord. Je vais régler le serrage et les tensions.
Debout, je commence par les mamelles. Tu pourras crier un peu mais pas longtemps
Je prends alternativement chacune des pinces pour serrer d’un demi tour puis je
recommence et ainsi de suite ; lorsque les picots meurtrissent la chair des
mamelons elle crie sourdement. La douleur doit être terrible. Je fais un dernier
demi tour puis je tends le chainette et la douleur l’oblige à baisser la tête
pour soulager la tension. Je relie alors dans son dos les crochets arrière du
collier et du corset l’obligeant à conserver la tête non seulement droite mais
haute. Elle continue à gémir mais le niveau sonore diminue ; elle s’habitue.
Je la replace dans le fauteuil et je pratique de la même manière pour les lèvres
: serrage maximum et tension des élastiques. Elle souffre indubitablement mais
son clito est gorgé de sang et tendu à l’extrême. j’y pose une pince accrochée à
un élastique mais peu serrée… Brigitte devient folle…je serre un peu ; elle se
tortille.
J’attache l’élastique à l’anneau du devant sur le corset et je tends un peu ;
son clitoris se tire. Elle est superbe . j’ai sous les yeux deux trous qui
attendent la pénétration, elle n’est plus que ces deux trous
- Tu es magnifique ainsi ouverte et béante ; écarte encore plus : mets les
coudes sous tes genoux et tire, je vais t’enculer pour mon plaisir
- Oui mon chéri, encule moi fort pendant que tu me tortures
Elle se plie à mes exigences avec un plaisir visible car elle pense que je vais
la faire jouir. Je me plonge à fond dans le cul qui n’offre aucune résistance et
je manipule le clito en tirant sur l’élastique. Elle se tend et me dit qu’elle
me veut à fond de ses tripes. Je sens qu’elle va partir mais il est trop tôt à
mon goût. Je me retire et me finit sur elle à la main. Mon jus s’étale sur ses
deux trous ouverts. Elle se tend, elle se tord victime de cette nouvelle
frustration extrême.
- Pitié Monsieur, finissez moi
Je lui donne un petit coup de cravache su sa chatte béante et obscène
- Remercie ton maître
- De quoi Monsieur ?
Nouveau coup
- De te faire attendre
- Merci mon chéri
- Debout, cuisses ouvertes et mains derrière la tête je te veux exhibée ; excite
moi
Elle se redresse et se montre ainsi de face ses tétons sont bien tirés vers le
haut par la chainette ; son trou de femelle, maintenu béant pas les pinces et
les élastiques est un appel à la pénétration sauvage, impression amplifiée par
le clito maintenu étiré vers le haut. Sur mon ordre elle se tourne, se penche et
écarte ses fesses pour me montrer son trou du cul sensiblement dilaté.
Je lui demande de prendre le gros plug et de s’enculer avec en me regardant
droit dans les yeux ; elle s’exécute et manifestement elle aime cette soumission
particulière elle se lâche :
- Je me défonce le cul pour vous Monsieur
- Mets ta robe, nous allons boire notre café au bar du coin
- Dans cette tenue ?
- Bien sur
- Pitié nooonnn
- Alors rentre chez toi et ne reviens pas
- Non pardon mon chéri …
Elle s’accroupit et m’embouche ; je lui prends les cheveux brutalement je lui
éloigne le visage de ma queue ; je la redresse par les cheveux et je la gifle ;
elle me fait face et me regarde dans les yeux avec un air de soumission totale.
- Ce n’est pas moi que tu vas sucer mais le patron du bar
- Je n’oserai jamais … et puis j’ai peur
- Je serai là et je te promets qu’il ne pourra se servir que de ta bouche …enfin
pour cette fois
- …
- Seulement je veux que tu sois ma chienne, ma salope, mon jouet, ma putain.
Répètes
- Oui mon chéri, ta salope, ta chienne, ton jouet
- Et ?
- … ta pu…tain
- Il va devoir payer pour se faire sucer et c’est toi qui lui proposeras
- Je vais essayer… Monsieur
Elle s’habille de sa robe, restant parée des objets qu’elle porte sur sa chatte
et ses mamelles, enculée par le gros plug. Nous nous rendons au bar PMU. Comme
la dernière fois, un petit nombre de parieurs sont présents et nous regardent
discrètement. Le taulier nous repère immédiatement et vient prendre la commande.
Brigitte recule un peu sa chaise et écarte ostensiblement la fente de sa jupe
montrant ainsi sa chatte bien ouverte. Lorsqu’il amène les deux cafés, on voit
une bosse qui prouve que sa queue est dressée dans son pantalon ; Brigitte,
rouge de honte et aussi d’envie, murmure :
- Je vous plais ?
- ….
- Mon maître a envie que je vous suce mais pour cette fois vous n’aurez pas
droit à plus
- Suivez moi, dit il d’une voix rauque, j’ai un bureau
- Mon maître assiste mais ne participe pas
- ….
- Alors ?
- Oui d’accord, venez tous les deux
- Il vous faudra le payer
- Putain ! … combien ?
- 200 F
- Bien suivez moi, j’espère que cela vaut le coup
Brigitte me regarde et attend que je m’exprime ; elle sait d’instinct qu’elle
n’a pas le droit de répondre à cette question
- Plus encore que vous ne le pensez, dis- je, elle commence un dressage ; elle
est déjà bien avancée
Son bureau est une petite pièce discrète. Brigitte retire sa robe et se montre
de la manière la plus obscène qui soit. Par devant d’abord, elle montre bien ses
mamelles torturées et sa chatte maintenue ouverte puis elle se retourne, se
penche, écarte ses fesses et montre et son cul bien plugé. Il s’assied dans son
fauteuil de bureau et prend une position confortable puis il ouvre le tiroir et
sort l’argent qu’il pose sur le bureau.
Je regarde Brigitte avec des yeux encourageants. Elle comprend, s’agenouille
ouvre la braguette et sort une queue de bonne taille bandée à l’extrême ; elle
le branle doucement à pleine mains en le fixant droit dans les yeux et lui dit :
- Je vais vous sucer comme je sais le faire, retenez vous bien, profitez en au
maximum et, quand vous ne pourrez plus attendre, jouissez moi dedans
Elle se penche et embouche la queue, d’abord juste le gland avec les lèvres et
la langue puis de plus en plus profond à chaque va et vient jusqu’à ce qu’elle
fait le mieux… fond de gorge. Le taulier se crispe et avance son ventre à la
rencontre de la bouche de Brigitte mais il se retient. Je m’accroupis derrière
Brigitte et tout en lui maintenant la tête à fond embouchée je glisse ma main
par devant et tire sur l’élastique qui tend la pince du clito. Je sens une
crispation du ventre mais elle continue à branler la queue avec le fond de sa
gorge. Elle serre de plus en plus, le taulier est à bout de souffle. Je lui
éloigne la tête ; elle regarde la queue dressée à exploser el luisante de
salive. Je tire un rien trop fort sur l’élastique. Un petit cri. Je l’interroge
:
- Tu souffres salope
- Oui Monsieur
- Autorisation de jouir…allez suce, finis le
Elle réembouche la queue et, comme avant, je lui maintiens la tête et je
manipule l’élastique ; elle jouit en se tendant comme un arc ; son orgasme est
long et n’échappe pas au « client » qui sous l’effet conjugué du spectacle du
serrage de sa queue à travers le plaisir de Brigitte lui jouit à fond de gorge.
Elle avale tout comme à son habitude et quand elle se retire elle a un sourire
comblé. Elle a bien joui. Le taulier se remet doucement. Je lui dis :
- Voulez vous que nous revenions
- Avec joie
- Avez vous déjà enculé une femme
- Non mais j’en rêve
- Brigitte, montre je te prie
Elle prend la bonne position, ouvre ses fesses et sort péniblement le plug
qu’elle renfonce immédiatement. Le « client » est cramoisi :
- Oh mon Dieu, une grosseur pareille dans le cul
Il rebande et j’ordonne à Brigitte de se déculer. Je me place derrière elle la
maintenant bien penchée, je sors ma queue et je l’encule avec force devant lui.
Cette fois je lui laisse le temps de jouir très longuement. Ses cris de plaisir
sont de véritables hurlements qui doivent s’entendre dans la salle. Le taulier
se lève en se branlant et lui remet dans la bouche ; elle accepte et je ne
proteste pas. en jouissant, elle le vide une seconde fois puis je me termine en
lui giclant dans le cul.
Nous quittons le bar par une porte dérobée afin de ne pas traverser la salle en
assurant que nous reviendrons.
Nous retournons à l’appartement, Brigitte est radieuse mais s’interroge comme il
se doit
- Oh c’était bon avec deux, j’adore sucer des queues, j’aime les boire mais
qu’est ce que je suis devenue
- Ma putain et je t’aime
- Merci mon chéri…je n’ose pas
- Dis moi
- Il y en aura d’autres ?
- Bien sur…Alain la prochaine fois
- Pourquoi Alain ?
- Il ne te plait pas ?
- Si beaucoup mais pourquoi ?
- C’est toi ma putain qui vas payer le loyer mais sois discrète, il ne le sait
pas encore
Je lui retire tous ses attributs de sexe (corset, bas colliers, bracelets et
diverses pinces) mais lui laisse le plug. Nous nous séparons en attendant la
prochaine séance.
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par Calimero77
#1310404
Dans la semaine je rencontre Alain et nous allons boire un café. Il me demande
des nouvelles de Brigitte et de notre relation ; je le remercie une fois de plus
pour le prêt de son appartement et je lui demande si une relation avec elle
l’intéresse. Il est fort surpris et me demande à quelle sorte de relation je
fais allusion :
- Je pense qu’elle pourrait te donner du plaisir
- Tu es amusant toi ; elle ne voudra jamais
- Si bien sur, il suffit que je lui en donne l’ordre
- … el elle va t’obéir, comme ça ? pourquoi donc ?
- parce qu’elle y trouvera son plaisir. C’est une esclave sexuelle dans
l’âme. Tu as lu histoire d’O ?
- Oh bien sur mais ça n’existe que dans les livres
- Eh non, par exemple Brigitte adore ce que nous appelons à présent « son
dressage ». et elle ne demande qu’à progresser. Tu verras.
- Et pourquoi avec moi demande Alain
- Je lui ai dit qu’il fallait payer le loyer
- Oh comme si … comme une
- Comme une putain oui ; elle est en train d’apprendre…le mot et la
chose. Par exemple jeudi elle a sucé un patron de bar en échange de 200 F.
- Tu y as assisté ?
- Oui assisté et participé … hyper bandant
- Et ce sera pareil jeudi chez moi avec moi ?
- Oui bien sur
- Je ne suis pas bi
- Rassure toi, nous ne nous toucherons pas.
- ok
je lui donne donc rendez vous à son appartement le jeudi suivant à 13 heures, un
peu avant l’arrivée de Brigitte. L’après midi j’appelle mon esclave qui est en
repos chez elle et lui annonce qu’elle aura les honneurs de la queue d’Alain
jeudi. Elle s‘y attendait bien sur et me semble plutôt émoustillée. Elle demande
ce qu’elle devra faire ; ma réponse est simple :
- Tout ce que nous déciderons
- j’ai peur mon chéri …
- Tu peux dis je pour augmenter son trouble. Au fait que portes tu ?
- Juste un long tee shirt
- Culotte et sg ?
- Non mon chéri
- Bien salope – vas te nettoyer le cul et rappelle moi
- ….
- Alors
- Je viens de le faire il y a 10 minutes
- Ah bon et pourquoi ?
- Pour me toucher au petit ?
- Précise putain de chienne
- Oui mon chéri, je me suis lavementée puis je me suis enculée avec
quatre doigts sans toucher devant.
- Et tu as joui du cul ?
- Oui mon chéri… je m’excuse d’avoir joui sans ton autorisation
- Supplie moi de te punir
- Oui mon chéri
- Aucun intérêt je raccroche au revoir
- Non non Monsieur, je vous en supplie , ordonnez moi de me dérouiller,
je ferai tout ce que vous voudrez…
- Tu es sure ?
- Oui Monsieur
- Pouce dans la chatte et index dans le cul ; en pince ; au plus profond
- Voilà Monsieur, c’est bon …
- Pince la paroi avec les ongles salope
A partir de cet instant elle gémit de plus en plus fort et obéit, serrant de
plus en plus en écoutant ma voix qui scandait « encore – encore… ». puis elle
poussa un hurlement et me dit :
- Monsieur, je ne peux pas plus moi même … il faudra que ce soit vous
pour aller plus loin
- A jeudi putain : jupe courte et chemisier sans sg ni culotte ; le plug
à fond au cul ; la chatte vide. Tu entreras dans le salon et tu sortiras tes
mamelles – tu iras spontanément vérifier qu’il bande. Tu sortiras sa queue et tu
le suceras doucement puis à fond… tu le feras jouir d’entrée et tu avaleras son
jus.
- Bien Monsieur….je suis impatiente finalement…une nouvelle queue … la
quatrième
- Comment la quatrième,
- Oui : mon mari fut le premier puis toi puis le patron du café et enfin
Alain
- Ah ok
Le jeudi, Alain et moi attendons en chemise et pantalons, assis chacun dans un
fauteuil…sonnette… je vais ouvrir. Elle est devant moi manteau ouvert et jupe
ultra courte comme exigé. Je passe la main sans aucun ménagement et vérifie
qu’elle n’a pas de culotte et qu’elle est plugée…elle est prête et, de plus son
clito est dur et elle mouille. Je la conduis dans le salon et lui retire le
manteau faisant signe à Alain de rester assis. Elle se plante devant lui, se
roule la jupe à la ceinture, s’écarte bien les cuisses…Alain admire sa chatte
bien ouverte au clito dressé. Sa main caresse son pantalon. Brigitte s’ouvre le
chemisier et présente ses mamelles ; elle les triture les malaxe ; elle ondule
et s’approche d’Alain jusqu’à le toucher puis elle le regarde droit dans les
yeux et dit, s’adressant d’abord à moi :
- Voilà mon chéri, ta putain est livrée au client ; Monsieur Alain puis
je vous sucer la queue ?
- Oh que oui
Elle s’accroupit comme je lui ai appris afin de laisser au mâle sucé le
spectacle obscène de ses jambes béantes. Elle ouvre la braguette d’Alain, sort
la queue et la caresse du bout de ses pis. Alain les prend à pleines mains et se
branle avec, plaçant sa queue entre les seins. Brigitte se recule un peu, se
penche et embouche sa queue à fond de gorge ; Alain est subjugué …on ne lui a
jamais fait cela… Brigitte y met tout son savoir. Pendant ce temps, il lui
malaxe les mamelles doucement d’abord puis de plus en plus durement les tirant
vers le bas pour augmenter, si c’était possible, la profondeur. Il se lâche et
la traite de salope. Elle gémit de plus en plus fort et suce d’autant mieux
qu’il la maltraite. Elle le lâche un instant et lui dit :
- Gicle moi dedans la gorge Alain, prends tout ton plaisir ; je suis ton
jouet
A ce jeu, il ne peut tenir longtemps. Il jouit…elle avale et se retire.
- Merveilleux dit il en se relaxant
Brigitte se redresse et se plante devant lui qui, spontanément, lui frappe assez
durement les seins… il aime cela et sur mon conseil de ne pas se censurer il lui
prend les tétons entre les ongles pince et tord. La belle salope crie et non
seulement elle ne se recule pas mais approche pour souffrir encore plus. Il la
tire vers le bas et je me trouve hyper excité par cette image : Brigitte jambes
ouvertes penchée en avant, jupe roulée à la ceinture, chemisier ouvert, mamelles
étirées et torturée par Alain. Je me place derrière elle ; j’ai une vue
imprenable sur le plug planté et la chatte béante. Je dis à Alain qui rebande
déjà
- Continue à la torturer et ne te retiens pas, elle aime cela ; je vais
la finir à la cravache
- Oh c’est une première pour moi dit il en tordant un peu plus ce qui
arrache un cri à l’esclave
- Tu y es prêt ?
- Oui c’est un de mes grands fantasmes
J’ouvre la valise et y prend une fine cravache
- Tiens la bien Alain
- Oui dit il en tirant et bandant de plus en plus
- Brigitte salope : mains derrière la tête cuises ouverte un max, tu es
prête ? (elle se met immédiatement en place)
- Oui Monsieur tapez bien ma chatte et vous Alain continuez … faites moi
mal jouir, faites moi jouir
Après quelques coups dans le dos qui la marquent provisoirement de rouge et lui
arrachent des cris je me mets à frapper de bas en haut entre ses cuisses ; mes
coups précis atteignent le clitoris. Elle ondule et se tend vers l’arrière afin
d’augmenter la tension sur ses seins. Puis elle se met à vibrer et jouit
longuement. Je ponctue son orgasme de trois coups très durs. Elle s’effondre et
par reflexe caresse la queue d’Alain avec sa main. Je l’interromps et lui
ordonne
- Viens avec moi dans la chambre Brigitte et toi Alain attends nous là,
je vais te la préparer pour une surprise
Dans la chambre, je lui mets le corset et les bas, j’attache les porte
jarretelles. Je lui pose le collier et les pinces à seins que je serre assez
durement. J’attache la chainette au collier et je tends jusqu’à ce que les pis
pointent vers le haut. Le spectacle est saisissant. Je lui intime l’ordre de se
taire et je la gifle moi même juste pour mon plaisir. Ensuite je lui pose les
pinces des petites lèvres ; je les serre également et je relie les élastiques
autour des cuisses en les attachant aux anneaux du corset. Je tends pour bien
ouvrir la chatte. Je décapuchone son clitoris très dur et pose la pince sur la
partie sensible. J’attache l’élastique à l’anneau du devant et je tends ce qui
lui arrache un gémissement mais elle ne tente pas de se protéger ; au contraire,
elle avance le ventre pour que je poursuive ; je tire encore un peu l’élastique
et je le lâche ; nouveau gémissement d’espoir. Il me reste à lui mettre les
bracelets aux poignets et aux chevilles. Je lui demande de se reculer et de m
faire face debout cuisses écartées et bras le long du corps. Elle est splendide
et atrocement bandante. Je lui demande si elle veut que je la décule ou si elle
préfère exécuter ce geste devant Alain ; elle opte pour la seconde solution et
me demande si je la trouve assez salope ; pas encore sera ma réponse. Je lui
attache enfin les poignets derrière la nuque à l’aide des anneaux des bracelets
et du collier puis je la conduis devant Alain.
Une exclamation de surprise et de désir accueille notre entrée. Brigitte se
plante devant lui comme elle sait maintenant le faire cuisses écartées au
maximum de l’équilibre, ventre en avant au niveau du visage d’Alain qui est
toujours assis ; mamelles cambrées… le tout étiré par les pinces.
- Quel magnifique spectacle dit il ; je peux toucher ?
- Réponds salope dis je
- Continuez messieurs, apprenez moi, faites de moi ce que vous voulez
Alain prend les élastiques de la chatte et surtout du clito et tire cruellement
par manque d’expérience…elle hurle et se tend mais ne se dérobe pas.
- Doucement lui dis je … tu es prête à recommencer salope ?
- Oui Monsieur tout votre plaisir
- Tu as droit au mot « stop soft » pour dire que tu as trop mal
- Stop soft demande Alain
Je lui explique l’usage des safe words et lui indique que si elle prononce «
stop soft » il devra cesser et relâcher doucement.
- OK vu dit il
- Alors vas y recommence jusqu’à ce qu’elle crie grâce
Il ouvre d’abord ses lèvres et tire à fond ; elle gémit mais en redemande. Il
lâche puis prend l’élastique du clito et tire en augmentant lentement la
tension. Brigitte hurle et se cambre… il relâche. Elle réagit en criant
- « encore » tant que je ne demande pas l’arrêt, je veux connaître mes
limites
Il reprend l’élastique et tire ; long feulement rauque ; il tire encore et le
clitoris décapuchonné apparaît atrocement torturé. Je suis dans un état
d’excitation extrême. Alain relâche et ordonne à Brigitte de se planter la
chatte sur sa queue. Elle me regarde et je lui indique mon consentement. Elle se
place au dessus et descend ; je la retiens par les cheveux à cause de son
équilibre instable du à la position de ses bras. Elle descend lentement et
engloutit la queue avec la chatte en veillant à donner un maximum de plaisir à
Alain. Une fois assise à fond elle serre et desserre.
- Humm dit Alain, la salope me branle avec ses muscles ; continue
Brigitte, c’est super bon … mais qu’est ce que tu as dans le cul ?
- Un plug dit elle sur mon ordre de répondre… tu connais ?
- Non pas encore… enfin oui mais jamais vu en réel
- Sors le… vas y même si ça résiste dit notre esclave en se plantant
encore plus à fond sue la queue d’Alain et en se penchant doucement vers
l’avant… Ah si j’étais libre de mes mains, je m’écarterais le cul pour t’aider
et pour que mon chéri puisse bien regarder le déculage. C’est fou ce que j’aime
me montrer maintenant…allez vas y salaud décule moi.
Alain tire lentement mais sans s’interrompre. La réaction de la chatte de
Brigitte le fait éjaculer. Elle montre sa satisfaction et insiste sur le plaisir
qu’elle prend à nous faire jouir et à se faire attendre. Il regarde le plug et
s’étonne de sa taille… incrédule à tel point qu’il le replace et le ressort
comme pour se prouver qu’il n’a pas rêvé. Je la tiens toujours par les cheveux
et je la relève. Alain bande toujours.
- Tu as déjà enculé une femelle demande Brigitte
- Non pas encore
- Tu en as envie ?
- Oh oui
- Moi aussi dit elle ; une queue c’est mieux que le plug
J’ajoute :
- Comment veux tu l’enculer ? debout et penchée en avant ou sur le lit de
face ou en levrette ou encore qu’elle se plante le cul sur ta queue dans ce
fauteuil
- Que préfète t elle ?
- Je ne peux pas avoir d’avis dit elle… je suis un objet … utilisez moi à
votre guise
- Assieds toi salope, fais moi face et plante toi sur ma queue ; je
t’enculerai différemment plus tard.
Elle change doucement de position et, tandis qu’Alain tien sa queue verticale,
elle se défonce d’une seule descente avec un feulement de louve
- Oh oui c’est génial, j’adore me faire enculer…vas y gicle moi dedans
j’en ai envie… je suis un vide couilles ne m’attends pas
Elle monte et descend lentement mais régulièrement attentive au plaisir de son
pourfendeur.
Alain prend la double chainette qui tend les mamelles et qui est passée dans
l’anneau du collier ; il tire ; Brigitte résiste à la douleur mais finit par se
pencher. Il lui ordonne d’ouvrir la « gueule » et de sortir sa lange qu’il prend
entre ses dents et tire. Il lâche la chainette et tire sur l’élastique du clito
tout en l’enculant puissamment. Elle ne peut plus parler. Elle gémit et j’en
profite pour lui fouetter le dos en lui ordonnant de ne pas jouir . Alain crie
et lui gicle longuement dedans puis lui lâche la langue et le clito. Je continue
à la fouetter et lui donne mes ordres qu’elle exécute ; elle décule et se lève
puis me fait face, les mains toujours liées dans la nuque. Alain se repose. Je
la fouette longuement en insistant sur les mamelles et la fente ouverte…je lui
reproche d’avoir joui sans mon autorisation.
- Non monsieur dit elle j’ai réussi à me retenir mais si vous continuez à
frapper sur mon con de haut en bas je vais partir…pitié
- Tu vas te faire jouir toute seule devant nous allongée sur le lit
cuisses écartées quatre doigts de chaque main dans chaque trou
Je libère ses mains afin qu’elle puisse œuvrer. Elle s’installe sur le lit et
se place cuisses bien ouvertes et genoux relevés pieds posés sur le lit. Sur mes
injonctions elle se plante quatre doigts dans le cul et contournant l’une des
cuisses… d’un coup … à fond. Je lui libère le clitoris trop sensible sous la
pince pour qu’elle puisse jouir. Elle se force alors quatre doigts dans la
chatte… elle tente même les cinq mais n’y parvient pas sauf à déculer. Je
préfère quatre dans chaque trou et je le lui dis. Elle se branle alors de la
manière la plus obscène qui soit en alternant chacun des deux trous. Elle se
tortille el supplie :
- Monsieur s’il vous plait …Je veux jouir… Alain dis lui …
J’approche de la tête de lit et la gifle plusieurs fois puis je la prend par les
cheveux et lui donne ma queue à sucer… elle le fait et je lui interdis de jouir
tant qu’elle ne m’a pas avalé le jus. Je ne tiens pas longtemps et je lui gicle
dans la bouche ; elle avale, je la libère et elle démarre une série orgasmes qui
vont durer plus de trois minutes où, à la fin, elle rentre et ressort
complètement et d’alternativement les autre doigts de chacun des trous.
Repos : nous prenons un peu de calme tout en dialoguant. Brigitte nous dit
qu’elle apprend et jouit de plus en plus et qu’elle veut aller encore plus loin.
Et surtout que la crainte, le don de soi et la frustration lui procurent des
orgasmes explosifs.
Après un moment de repos pendant lequel nous sommes tous trois allongés sur le
lit et où Brigitte nous caresse jusqu’à nous faire rebander, nous constatons
qu’il est déjà 16 heures et nous devisons : nous quitter pour ce jour ou un
dernier jeu. Je propose à Brigitte un choix simple : un dernier jeu si elle
l’accepte mis cruel … nouveau et cruel. Elle accepte et me déclare
délicieusement obéissante :
- Mon chéri, si je n’acceptais pas je ne serais plus ta chienne et je
craindrais que tu ne me laisse … alors oui ce que tu veux, ce que tu désires ;..
TOUT ce que tu désires.
Nous la plaçons sur le lit allongée bras écartés bracelets attachés à deux
barreaux suffisamment éloignés de la tète du lit ; nous lui intimons l’ordre de
tenir ses cuisses écartées pieds posés sur le lit, genoux levés. Elle doit bien
se montrer ouverte et nous demander des sévices … après une légère hésitation :
- Soyez durs, torturez moi les mamelles
- Tu vas souffrir pour notre joie et si tu bouges nous t’abandonnons pour
chercher une autre femelle.
Je retire les pinces de se tétons et je m’assied à califourchon sur son ventre.
Je prends ses bouts et les tords durement en les pinçant … je parviens à faire
plus d’un tour. Brigitte hurle mais ne bouge pas. je la relâche et, comme il se
doit, elle me remercie. Puis c’est le tour d’Alain qui la dérouille de la même
manière. Elle le remercie également ce qui lui vaut une gifle de ma part :
- C’est moi le maître salope alors c’est à moi que tu dois dire merci
- Oui oui Monsieur merci à vous de me donner ainsi à un autre mâle
Laissant libre ses seins, nous observons sa chatte maintenue béante par les
pinces et les élastiques et nous constatons qu’elle est trempée
- Tu as encore envie salope
- Oh oui Monsieur chéri
- De quoi as tu envie
- De jouir de vos mains et de vos queues, de souffrir et de jouir
J’invite Alain à faire comme moi : je lui prends un pied et le relève jusqu’à ce
qu’il atteigne le poignet du même côté puis j’attache le bracelet de la
cheville. Elle est souple mais elle grimace un peu ainsi offerte et sans aucune
défense cette fois. Nous décidons de lui laisser les pinces des lèvres et les
élastiques mais de les resserrer et de tendre encore plus… elle gémit mais se
tient plutôt bien. Je prends la cravache et je cingle un coup relativement léger
sur la fente béante dans le sens d’ouverture de la chatte : les nymphes et le
clito sont touchés… un petit cri.je tends la cravache à Alain qui, ayant compris
le geste, le répète et l’amplifie tant et si bien que je suis obligé de lui
retenir le poignet pour qu’il ne se lâche pas trop et ne la blesse pas. elle
serer les dents pour ne pas hurler mais laisse sourdre des sons rauques de
douleur et d’acceptation. Alain ne se retient plus de désir, il lâche la
cravache puis plante sa queue dans cette chatte béante et martyrisée. Brigitte
réagit instantanément et Alain, ayant joui déjà deux fois a les moyens de tenir
; j’assiste donc à des orgasmes en série de Brigitte provoqués par une
pénétration normale. Alain se sentant encore en mesure de tenir se retire et
l’encule d’un coup ; sa queue rentre facilement … quand je pense qu’il y a un
mois encore, elle était vierge du cul. Il lui torture les mamelles et lui prend
la langue qu’il tient ente ses dents et tire hors de sa bouche … spectacle
sauvage. Brigitte se déchaine :
- Oui salaud encule moi, bourre moi par derrière … oh j’aime cela … oui
mon Maître regarde comme il me plante ; j’aime me montrer Ahhhhhhhh
Ils jouissent puissamment ensemble et Alain se retire me laissant la place ; je
me place au dessus de la chienne et lui demande :
- Où la veux tu ?
- Dans le cul mon chéri … viens défoncer ta salope … à toi de regarder
Alain
Je lui plante ma queue et je prends immédiatement mon plaisir sans lui permettre
le sien ; elle gémit de frustration. Je me retire et dis à Alain que nous allons
la finir. Il m’interroge du regard et attend. Je lui tends le plug et lui
suggère de garnir le cul de Brigitte ; il s’exécute et en rajoute en rentrant et
ressortant le divin objet …puis je lui dis :
- Fiste la, mets lui la main et ferme le poing
- Ohh elle va avoir très mal ; je ne vais pas la déchirer ?
- Penses tu, ouverte comme elle est
Ainsi, pour la première fois de sa vie, Alain rentre sa min dans la chatte d’une
femelle qui, aux petits cris qu’elle pousse, exprime qu’elle ne demande pas
mieux. Sur mes conseils, il met trois doigts puis quatre en les faisant entrer
et sortir ; enfin il place le pouce entre le majeur et l’annulaire tendus
formant ainsi un triangle et il force… la main pénètre lentement la chatte
trempée et déjà écartelée par les pinces. Puis il ferme le poing comme je lui
indique et tire pour sortir. « je sens bien le Plug dans son cul dit il ». La
conjonction des mots crus et du poing qui tente de sortir font partir Brigitte
dont le vagin se serre terriblement. Alain, inquiet, demande s’il pourra
ressortir. Après le dernier orgasme de Brigitte, je lui dis d’attendre avant de
tenter de sortir… quelques temps après il extrait facilement sa main et la
chatte de notre salope se referme lentement.
Enfin la séance est finie, se rhabiller, s’embrasser et se dire « à la prochaine
fois »
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par Calimero77
#1310451
Entre deux séances, avec Brigitte, il nous arrive de déjeuner au restaurant.
C’est le cas aujourd’hui. Elle arrive vêtue d’une jupe longue fendue et d’un
chemisier blanc laissant entrevoir les seins libres. Elle m’avoue ne pas avoir
mis de culotte mais s’être préparée comme pour une séance : cul lavé, pluggée et
portant les boules… juste pour le plaisir. Pour pouvoir sortir et marcher sans
soucis elle a mis le plus petit des deux plugs.
Elle est radieuse et ses yeux expriment l’espoir de jouir. Avec le dressage, son
regard est devenu provocateur, presque lubrique ; il semble me dire : « continue
avec ton jouet mon chéri… de plus en plus loin ».
Je lui indique que, si elle se permet de jouir sans mon autorisation, je la
laisserai seule dans cet établissement ; elle se montre apeurée et me dit :
- Avec toi je ne pourrai jamais me retenir
- Eh bien tu vas devoir essayer salope
- …
Une magnifique serveuse arrive pour prendre notre commande ;elle est blonde,
grande, jeune avec visiblement de beaux seins comme Brigitte … j’adore les gros
seins à tétons développés et, à ce que je vois, le spectacle est prometteur ;
notre serveuse porte une jupe très courte et un chemisier moulant. Je dicte mon
choix et demande à Brigitte :
- Et toi ma petite putain que prends-tu ?
Brigitte exprime son choix avec juste un peu de rouge aux joues en ponctuant
d’un « si vous le voulez Monsieur ». La blonde, avant de tourner les talons, la
regarde avec un air étrange … envie peut être ? J’en fais part à Brigitte et lui
propose, sans précautions oratoires, d’aller plus loin :
- Tu aimerais la sucer salope ?
- Ecoute non s’il te plait, pas avec une femme … ça ne me tente pas loin
de là… pire encore
- Il faudra bien cependant le moment venu
- Non, non, s’il te plait …. Tout le reste mais pas cela
- Nous verrons. Tout le reste dis-tu ?
- Oui, enfin de ce que je connais ou que j’imagine ; mais connaissant ton
imagination à toi, je dois être loin du compte
Notre serveuse blonde revient ; la voyant de loin j’ordonne à Brigitte qu’elle
ose me tenir un langage obscène en sa présence lorsqu’elle déposera les
commandes à notre table. Ma Brigitte ne souffle mot ; je m’attends donc à ce
qu’elle garde le silence mais … surprise ; la serveuse posant mon assiette, ma
chienne me déclare sans retenue :
- Mangeons vite mon chéri, j’ai très envie de me faire enculer
- Mais tu es enculée par le plug
- Oui mais il est petit … et puis une queue c’est mieux
Nouveau regard ambigu de la serveuse qui prend son temps pour nous servir…
espoir que notre discussion obscène se poursuive ? Que nous la fassions
participer ?Peut être ; Brigitte ne perçoit pas le regard ou fait comme si. La
blonde s’éloigne. J’en profite pour reprendre notre discussion :
- Voyons voir ce que « tout ce que je veux » signifie dans ton esprit.
Avec Alain, nous avons décidé de mettre deux anneaux au plafond chez lui ; assez
éloignés pour pouvoir t’y attacher les poignets ; anneaux amovibles bien sur.
Imagines-tu la position ?
- Oui je crois mais est-ce que je serai debout sur mes pieds ou suspendue
- Les deux, suivant notre inspiration du moment. Les chaînes qui te
relient au plafond par les poignets seront trop courtes et nous te poseront les
pieds sur deux petits socles de 20 cm de haut que nous pourrons retirer pour que
tu sois pendue ou remettre pour que tu retrouves ton confort. Ainsi nous
pourrons jouer avec ton corps offert et comble de l’excitation, nous essayerons
de te faire perdre l’équilibre.
- Je serai nue ? Garnie ? Vide ?
- Selon notre inspiration et notre désir mais toujours le collier et les
quatre bracelets nécessaires à ton écartèlement
- Je serrerai les cuisses pour te mettre en colère
- Non car tu auras une barre d’écartement aux chevilles…au plus large
- Je serai fouettée ?
- Oui des deux côtés en même temps…tu gueuleras ta douleur et ton
plaisir… à intervalles régulier nous te baiserons puis nous te laisserons ainsi
en attente pour mieux te torturer, te dilater, te déformer les pis et la chatte.
Alain comme moi sommes très excités par tes belles mamelles qui ballottent sous
les coups.
- Ohh ; mais est ce que je pourrai tenir ?
- Il le faut . J'ai rêvé pour toi d’une figure terrible : tu es debout sur
les petits socles, tu portes corset, bas, collier et bracelets ; tu es pendue et
écartelée garnie du gros plug au cul et des boules à picots dans ta chatte ; tu
es magnifique ; nous te cravachons ensemble Alain devant en travers sur les
mamelles, moi derrière de haut en bas atteignant chaque fois violemment la
chatte et le clito. Tu ne bouges pas trop en essayant de garder les pieds sur
les supports mais nous sommes trop cruels et tu n’y parviens pas. Tu te
retrouves pendue et nous continuons de te cravacher un moment. Ensuite, je te
décule en sortant le plug d’un coup (tu hurles et c’était bien ma volonté) ; je
prends un petit tabouret, je me place derrière toi debout dessus pour être à
bonne hauteur. Je t’encule d’un coup puis je te ravage le boyau en te tordant
les mamelles rendues hyper sensibles par la cravache. J’éprouve un plaisir
immense et je conseille à Alain de te dilater ; il te sort les boule sans
précautions ce qui t’arrache un cri puis t’enfonce lentement la main. Je te
gicle dans le cul puis nous intervertissons les rôles. Cette fois c’est Alain
qui prend son plaisir. Enfin, nous te prenons à deux queues pour la première
fois et changeons de côté à intervalles réguliers jusqu’à ce que nous
jouissions.
- Oh salaud, tu m’excites, je mouille…laisse moi me toucher que je parte
s’il te plait
- Tu seras punie pour cette outrecuidance, pour avoir osé demander cela
- Oh ouiii sois dur, flagelle-moi, frappe-moi, marque-moi…
Ce disant, Brigitte se tortille le plus discrètement possible cherchant à
obtenir l’orgasme à l’aide du plug ou des boules. Je remarque ce manège :
- Arrête immédiatement et réfléchis, la punition sera une vraie torture
pas un moyen détourné de te faire jouir
- …Dis-moi ??? S'il te plait mon chéri ?
- Aucune nouvelle de moi pendant un mois
- Noooon
- Alors dédouane-toi
- Comment
- Décule toi et pose le plug sur la table… surtout n’en profite pas pour
jouir ou simplement te branler par devant.
Elle se trousse et se soulève discrètement ; il faut un peu de souplesse car
l’engin est assez long ; pour éviter de se faire remarquer elle agit vite ce qui
lui arrache un soupir entre aise et douleur. Elle pose l’instrument sur la table
sans se préoccuper des voisins ou plutôt si, émoustillée qu’elle est par son
attitude exhibitionniste qu’elle est entrain de découvrir.
- Voilà mon chéri dit-elle en posant l’objet
- Comment te sens-tu ?
- Vide, mon chéri, trop vide
- Mais devant tu as toujours les boules
- Oui heureusement
- Sors les et pose les de la même manière
Cette fois elle n’a pas besoin de se lever et il suffit qu’elle s’écarte bien ;
elle tire lentement et sort une à une les trois boules métalliques de cinq
centimètres de diamètre, munies de picots pointus mais non acérés. Elle fait un
geste vers son sac mais un ordre sec de ma part lui ordonne de poser ces boules
à côté du plug. Elle rougit abondamment mais obéit. Elle est assise à côté de
moi face à la salle ; notre table est ronde. Je lui passe la main sur la chatte
discrètement sous la nappe. Elle s’ouvre pleine d’espoir mais je prends la
partie sensible du clitoris entre mes ongles et je pince en tirant cruellement.
Le dressage commence à payer : elle ne gémit pas, elle ne bouge pas, elle ne
serre pas les cuisses (j’ai même l’impression qu’elle s’ouvre encore davantage)…
juste une crispation du visage en une larme au coin de l’œil.
- Appelle la serveuse et obtiens que je l’encule devant toi
- Non non non… je serai trop jalouse
Je serre un peu plus et je tords ; elle laisse échapper un petit cri assez
discret. Je lâche et :
- Dans ce cas, je paie et je te laisse… mademoiselle je vous prie !
- Monsieur ? dit-elle en arrivant à notre table
- Je vais payer et me retirer, Madame terminera seule
- Non pitié dit Brigitte… et s’adressant à la blonde : Comment vous
appelez-vous ?
- Nadia, j’ai vingt cinq ans
- A votre lenteur à notre table au moment du service, je crois que ce que
nous disions vous a intéressée. Excitée peut être ?
- Oui …peut être … et j’ai des yeux aussi dit-elle en fixant le plug et
les boules. … j’aime le sexe … et vous êtes séduisants tous les deux
- Vous connaissez ces objets
- Les boules oui… j’ai une expérience …avec des plus petites …l’autre non
…. Enfin pas sous cette forme conique avec la base l’étranglement et le
renflement
J’encourage Brigitte du regard et je sens qu’elle va se lancer
- C’est un plug… je l’avais dedans
- Dedans ???
- Dans l’anus … maintenant je suis vide, ça me manque… vous aimez ?
- Je ne sais pas, je n’ai jamais été sodomisée
- Enculée dit Brigitte vicieusement
- Pardon ?
- Dites enculée pas sodomisée
- Je n’ai jamais été … enculée… hummm le mot m’excite
- Vivez-vous seule ?
- Maintenant oui , avant non
- Depuis ?
- Nous nous sommes quittées il y a 6 mois
- Que faisait-il dans la vie ?
- Il ? non c’était une femme de 35 ans … enseignante
- Vous êtes lesbienne ?
- e suis bi… elle est purement homo mais elle me laissait vivre des plans
« cul » avec des hommes… elle y participait parfois en spectatrice
- Etes vous disposée à nous accompagner …dans nos jeux ?
- …jeux ?
- jeux sexuels
- On peut essayer dit-elle après un instant de réflexion
- Je suis chargée par Monsieur de vous recruter afin qu’il vous encule
devant moi
- …
- Vous en avez envie ?
- Oui peut être, je veux bien essayer, mais avec deux conditions
- J’écoute dit Brigitte …interloquée qu’une femme pose des conditions
devant moi
- Dans l’action dit Nadia, c’est moi qui déciderai si je passe le pas ou
non
- Bien sur dis-je rassurant …deux conditions dites-vous ?
- Il faudra que Madame m’aide
- A savoir
- Qu’elle me lèche et qu’elle me doigte pour que je sois certaine de
jouir
- Hors de question dit Brigitte je ne touche pas aux femmes
Je réagis
- Alors disparais et laisse moi finir mon repas… allez du vent petite
idiote
Dérangée par la scène, Nadia s’éloigne discrètement et va continuer son service.
Brigitte se lève d’un air furieux et me dit :
- Amuse-toi bien … à jeudi
- Il n’y aura plus de jeudi ; c’était ta dernière chance
- Oh pitié mon chéri….
- Alors ???
- Non c’est trop dur, trop sale…; ou ou … oui j’accepte…mais c’est
uniquement pour ton plaisir
- Bien sur puisque tu es mon esclave ; allez, dis-le-lui toi-même… et
excite la, sois très putain sinon …
Brigitte appelle la serveuse qui arrive le regard interrogatif. J’en ai profité
pour reprendre le clito entre mes ongles et le tordre avec cruauté. Ma chienne
se tend mais ne dit mot
- Je vous ferai tout ce que vous voudrez dit ma salope, je serai votre
putain pendant que mon maître vous la mettra au cul…je suis son jouet
Nadia qui remarque la crispation de Brigitte et sa voix étranglée lui demande si
elle se sent bien. Ma chienne explique qu’elle est soumise et décrit ce que je
suis en train de lui faire subir. Un léger mouvement du bassin de Nadia
accompagné d’un « salope » prononcé d’une voix basse et rauque nous en dit long
sur ses désirs.
- Je pourrai regarder et participer sans souffrir à son « traitement » ?
demande t elle
- Dressage dis-je
- Pardon ? demande Nadia
- Pas traitement ; elle est en dressage
- Ah oui … pourrai-je donc participer à son dressage ?
- Après avoir été enculée et seulement si je suis satisfait ; alors oui
dis-je, vous pourrez même donner des idées
- Hummm j’ai envie …mais j’ai peur de me faire enculer … je termine mon
service à seize heures
Je lui indique l’adresse de l’appartement d’Alain et lui tend les boules en lui
demandant de les mettre pour nous rejoindre… elle dit qu’elle essayera et,
devant mon « il vaudrait mieux », se montre un peu craintive… ; elle précise
cependant qu’elles sont un peu grosses pour elle ; je confirme et lui demande
d’essayer cependant ; elle acquiesce, s’éloigne et nous quittons l’établissement
pour nous rendre au lieu habituel de nos turpitudes. Il nous reste plus d’une
heure et demie.
Arrivés dans l’appartement, je fais face à Brigitte et lui demande de tout
retirer en me regardant droit dans les yeux. Je ponctue son effeuillage rapide
(elle ne porte pas de dessous) par des gifles bien senties et bien appuyées tout
en la traitant de salope. Une fois nue, je lui fais écarter les cuisses à la
limite de l’équilibre et je continue à la gifler de part et d’autre à un rythme
lent qui laisse de trois à quatre secondes entre chaque coup. Spontanément, elle
se teint debout la plus écartée possible et mains dans le dos.
- Tu n’as rien à me dire ?
- Venge-toi mon chéri, corrige-moi, continue à taper, j’ai été en dessous
de tout…oui comme ça, en pleine figure, c’est comme ça que je suis le plus
chienne la plus humiliée…c’est comme cela que j’aime t’appartenir pour ton plus
grand plaisir…humm tu bandes dit-elle en regardant la bosse de mon pantalon
Je change de technique et lui donne une grande tape violente du plat de la main
sur chaque nichon ; elle crie et se tend de douleur mais elle ne se dérobe pas ;
elle se cambre au contraire pour présenter au maximum ses seins tout en
continuant à me fixer, les yeux pleins d’espoir.
- Ouii Monsieur bousillez-moi les mamelles crie-t-elle en se cambrant au
maximum
Je lui prends les bouts entre les ongles, je les pince et les tords sans aucune
retenue. Je lui ordonne de me sortir la queue et de me branler ; elle ouvre ma
braguette, contourne le slip et sort ma queue bandée puis mes couilles qu’elle
caresse d’une main en me branlant de l’autre. Je tords encore plus … elle crie …
elle jouit cette salope …elle est vraiment douée. Elle continue savamment son
branle et s’applique à m’exciter pendant que je continue de lui travailler les
mamelles cette fois à pleines mains.
- C’est bon mon chéri ? Retiens-toi que ton plaisir soit maximum quand tu
gicleras
Je me déshabille entièrement et je m’installe bien confortablement dans un
fauteuil ; Je lui demande de s’accroupir et de continuer avec ma queue face à
son visage. Elle se lâche :
- Regarde mon chéri comme je te branle bien…oh Monsieur, je vais me
saloper pour vous… je vais gouiner pour vous … j’en ai envie … je n’aurais
jamais cru… vous allez enculer une autre femelle devant moi…un dépucelage…comme
pour moi…vous me laisserez-la préparer …je lui nettoierai bien le cul mais je la
laisserai sèche, sans lubrifiant et vous essayerez de l’enculer ainsi…j’espère
qu’elle est serrée, que vous aurez du mal à rentrer, que vous devrez la
forcer…j’espère que vous tiendrez longtemps, quelle ait mal, qu’elle se sente
chienne … comme votre putain que je suis…je lui lécherai la chatte…vous la
déculerez pour me jouir dans la bouche.
- Salope mets toi bouche ouverte face à ma queue
- Oh oui Monsieur, donnez-moi votre jus
Elle reste bouche grande ouverte pendant ma jouissance et, à la fin, avale-le
tout avec délice
- Comme c’est bon dit elle.
Je la fais asseoir dans le fauteuil en face de moi, jambes repliées sur les
accoudoirs et de s’ouvrir. Je contemple son clito dressé, violet, toujours aussi
accueillant … une véritable invite. J’ai envie qu’elle se défonce le cul à
quatre doigts ; je lui dis ; elle le fait d’un seul coup puis entame une
masturbation anale superbe ; elle ondule ; je vois les doigts rentrer et sortir,
puis re-rentrer à fond avec un petit gémissement. Elle me fixe droit dans les
yeux… je me caresse la queue et l’invite à regarder. Elle me dit que, si je
jouis encore une fois, je pourrai tenir plus longtemps dans Nadia ….Oui mais je
banderai peut être moins dur. Je lui donne mes conditions
- Continue de te défoncer le cul mais ne te touche pas devant ; tu peux
jouir tant que tu veux mais tu ne pourras arrêter de te branler que lorsque je
le déciderai… je veux dire que tu as intérêt à te retenir un peu car si tu jouis
trop souvent ça va devenir insupportable. Je vais continuer de te détailler les
expériences à venir.
- … ?
- avec les anneaux du plafond, nous te pendrons aussi la tête en bas, par
les chevilles…
- Ça va être dur ?
- oui, surtout que nous te dilaterons les trous ainsi et que tu devras
nous sucer la tête en bas
Son branle anal devient de plus en plus langoureux et obscène ; elle rentre et
ressort ses doigts laissant le trou ouvert entre deux pénétrations…elle va
partir…j’ai envie de l’enculer et je lui dis ce qui la fait jouir une première
fois. Elle se relâche un peu et laisse sortir ses doigts. Je la rappelle à
l’ordre et elle recommence son branle anal encore plus obscène et sauvage si
c’est possible.
- Mon chéri, tu dis que vous allez me dilater les trous… comment ?
- Devant une main, peut être deux, derrière un plug gonflable puis une
main
- Une main dans mon cul ? ohhh c’est possible ?…attends mon chéri
…regarde je vais essayer … dans mon cul
Elle se décule, tend ses doigts en pyramide et y joint le pouce formant un
cône…elle s’ouvre au maximum et replie ses jambes à fond sur sa poitrine….Elle
contourne sa fesse gauche, positionne sa main et commence à pousser …au début le
tout rentre facilement puis, parvenue aux dernières articulations avant la main
proprement dite, son vissage se crispe mais elle continue à pousser… elle hurle
de douleur et de plaisir au moment où sa main entre jusqu’au poignet. Elle se
détend un instant puis fait aller et venir un morceau de poignet qui rentre et
sort… elle jouit de nouveau. Je lui ordonne de continuer son branle extrême …
elle ne rechigne pas ; elle est de plus en plus belle. Je me plante devant elle
prend une position idoine et lui enfonce ma queue dans la chatte. Je sens son
poing qui se ferme et s’ouvre dans son cul et je ne peux me retenir… je gicle
une seconde fois ce qui l’explose tant l’image qu’elle forme dans sa tête est
forte. Je me retire et lui ordonne de conserver sa main au cul et de ne pas
arrêter son mouvement. Elle gémit mais s’exécute. Je continue mes projets
d’avenir :
- Ensuite, nous te confectionnerons un carcan à mamelles
- Qu’est ce que c’est ?
- Deux barres de métal parallèles placées en haut et en bas, à la base
des pis et reliées par trois longues vis ; une de chaque côté et une passant
entre les deux seins ; des papillons permettent de serrer le tout et de pincer
durement la base des seins. Aux extrémités de la barre supérieure son placés des
anneaux qui nous permettront de te pendre par le mamelles au plafond ; attachée
aux crochets dont je t’ai déjà parlé … mains libres et à nos ordres.
- Ça doit être insupportable mon chéri
- C’est le but ma chérie… non, ne retire pas ta main, continue de te
saloper le cul
- Oh, j’ai mal
- Je t’avais donné les règles non
- Oui mais c’est dur
- Continue
- Oui mon chéri … ohhh ça revient, la douleur passe … tu es terrible …
hummm ; dis-moi, si je ne supporte pas la pendaison par mes seins, tu m’aideras
ou tu trouveras autre chose ?
- Non ma pute, je te ferai accepter à coups de cravache sur tes mamelles
tuméfiées et sur le clitoris rendu accessible par la barre d’écartelement de tes
chevilles
- Nonnnn… pitié
- Tais toi salope, continue de te branler le cul… mais ne jouis plus
- … bien Monsieur mais c’est dur
- autre chose, nous te prostituerons
- ???? comment
- Nous donnerons rendez-vous à 8 males à une demi heure d’intervalle dans
un hôtel. Pendant l’acte, Alain ou moi serons présents et veillerons sur toi
pour deux raisons : te protéger et veiller à ce que tu en prennes plein le cul ;
ils n’auront droit qu’à ton cul et à ta bouche
- hummm …. Je ne me reconnais plus … ça m’excite
- Je te planterai des aiguilles là où ça fait vraiment mal ; tétons et
clitoris, puis je te ferai anneler. Tu imagines ??
Brigitte m’écoute avec crainte, ferme les yeux et plonge dans un orgasme feu
d’artifice…. Pour cette fois je ne vais pas lui reprocher d’avoir désobéi. Au
total elle a joui quatre fois du cul. Je lui ordonne de déculer ; elle retire
lentement sa main. Son trou reste ouvert puis se referme très lentement.
Nadia va arriver, je lui demande de se préparer
- Oh mon chéri, je voudrais que ce soit toi qui me prépares
- Accordé mais avec sanction pour ta désobéissance…. Va me chercher la
mallette dans l’armoire d’Alain
Elle me tourne le dos et s’éloigne ; je lui demande de me montrer son cul. Elle
se penche en avant et ouvre les fesses pour me montrer son adorable trou du cul.
Il est presque refermé à présent. Je la libère d’une parole et elle se rend dans
la chambre puis revient avec la petite valise qui contient le matériel. Je vais
la parer avec joie car j’aime la voir ainsi. Je lui accroche le corset au plus
serré ; je lui demande de me faire face et de me branler doucement pendant que
je continue à procéder ; d’instinct, elle me prodigue la caresse dont j’ai envie
….lentement queue d’une mains et couilles de l’autre. Au risque de me répéter,
elle est très douée. Je lui mets le collier, un rien trop serré. Elle ouvre la
bouche et me tend sa langue ; je la gifle ce qui a pour effet de rendre la
caresse qu’elle me donne encore plus efficace. Je l’interromps quelques instant
pour lui poser les bracelets aux poignets et aux chevilles. Elle reprend ma
queue et mes couilles. Je lui dis que si elle me fait jouir elle sera punie…
trop tard, c’est trop bon, je ne peux me retenir ; après lui avoir ordonné de me
nettoyer avec sa langue …
- Tu seras fouettée à la cravache devant Nadia
- Bien mon chéri, …merci Monsieur
- Souhaites-tu être pluggée ou non?
- Tes désirs mon chéri, rien que ton plaisir
- Réponds, dis-je durement en giflant ses mamelles de deux coups brutaux
- Ça m’excite que cette nouvelle putain voie ce qu’est une femelle enculée
avant de le subir elle-même. J’ai envie qu’elle ait peur et qu’elle se serre
encore plus ; j’ai envie qu’elle ait mal. Alors oui mon chéri met-moi le gros
plug, j’ai été bien dilatée par ma main.
par bzh44
#1310901
Très belle histoire, très excitante.
Envie de connaitre les evolutions du dressage de ta salope.
Avatar de l’utilisateur
par Calimero77
#1311329
Nous attendons Nadia
On sonne,
- Ce doit être elle, dis-je. Tu t’enculeras toi-même devant elle ; allez mets
toi à genoux au milieu du salon, face à la table basse, mains derrière la nuque
et cuisses bien écartées…. Voilà penche toi légèrement en avant à présent ; que
ton cul soit offert ; que tes mamelles pendent bien.
Je vais ouvrir nu et à demi bandé (j’ai déjà joui trois fois). Nadia est devant
moi avec son chemisier blanc et sa très courte jupe rouge chaussée d’escarpins
assez hauts…Elle regarde ma queue et relève imperceptiblement le côté de la jupe
me montrant qu’elle porte des bas…c’est bien, elle a fait ce qu’il fallait pour
m’exciter. Je la fais entrer, sa démarche est étrangement hésitante ; elle a du
mettre les boules et elle manque d’habitude ; je verrai plus tard. Je lui
présente Brigitte ; elle ne se recule pas mais regarde avec envie :
- Comme elle est belle … je peux toucher ?
- Plus tard dis-je, elle doit d’abord être punie et tu dois être dévêtue. Par
quoi veux tu commencer ?
- J’ai envie d’être nue pour profiter pleinement du spectacle
- Tu as déjà participé à des séances ?
- Non mais j’ai lu histoire d’O et ça m’a excitée
- Sur quel rôle fantasme tu le plus ?
- Les deux avec un léger penchant pour Anne Marie
- Un peu domi avec les femelles donc ?
- Oui mais bien obéissante aussi
J’ordonne à Brigitte de nous regarder ; elle redresse la tête et je nous place,
Nadia et moi, de manière à ce qu’elle nous voie bien. Nadia habillée me fait
face debout la situation m’a rendu ma rigidité ; elle prend ma queue et je me
laisse faire ; elle branle bien mais je pourrai me retenir puisque j’ai joui
trois fois déjà. Dans le regard de Brigitte passe un soupçon de jalousie.
J’ouvre le corsage de Nadia et rencontre son soutien gorge ; elle a mis des
sous-vêtements… c’est vrai que je ne lui ai pas donné d’instructions à ce sujet.
Je lui demande de l’enlever ce qu’elle fait avec sensualité de sa main libre….
elle m’excite pas mal … elle va aimer nos jeux je crois.
A l’instar de Brigitte, ses bouts sont gros et le désir les a dressés. Je lui
malaxe les seins à pleines mains et sans retenue ce qui la fait onduler … elle
se frotte à ma queue tout en continuant à me branler ; je sens un objet dur à
travers sa jupe.
- Qu’est ce que c’est, dis-je en serrant un peu plus les seins ?
- J’ai mis les boules comme tu avais dit mais je n’ai pu en rentrer que 2
- Retire ta jupe et ta culotte
- Les boules aussi ?
- Non je veux te voir à demi garni dis je en la giflant faiblement … sans
réaction de rejet de sa part … bien !
Elle se dévêt et apparaît debout portant seulement bas et escarpins. Sa toison
blonde est fournie autant que la fourrure brune de Brigitte ; elle est
légèrement écartée et la boule N° 3 pend entre ses cuisses ainsi que la
chainette qui permet de ressortir le tout. Le spectacle est délicieusement
obscène.
- Ça t’excite les boules ?
- Oui j’ai joui en les mettant mais elles sont grosses et puis les picots, il
faut que je m’habitue
J’ai repris le traitement de ses seins et elle a repris ma queue ; c’est
délicieux avec Brigitte qui regarde et qui retient sa main de se manipuler le
clitoris ou l’un des trous.
- Pourquoi es tu là Nadia ?
- Pour faire l’amour avec vous deux
- Plus précisément ?
- Pour me faire mettre
- Allez dis le dit Brigitte ; dis nous ce que tu as accepté d’essayer
- Je suis venue pour me faire enculer …
- Il faudra que Brigitte te prépare dis je mais avant je vais lui administrer sa
punition…tu es prête Brigitte ?
- Oui mon chéri vas y dérouille moi devant Nadia
J’ouvre la petite mallette sous les yeux de Nadia et je prends une fine et
longue cravache très souple mais autour de laquelle est attaché en spirale un
très fin fil de métal. C’est un nouvel achat de ma part que je montre à
Brigitte. Son regard se voile d’angoisse :
- Oh non Monsieur pas cela… j’ai trop peur
- Tais toi chienne tu auras deux coups sur les fesses et deux coups en travers
des mamelles
- Doucement mon chéri … je t’en prie
- Non, tu seras marquée pour plusieurs jours
- Mais mon mari…
- Tu devras te cacher ou avouer, à toi de voir
- Ah après tout, il faudra bien que cela se sache
- Tu es prête ma putain ?
- Oui mon chéri …
- Par où veux tu que je commence Nadia ?
- J’aimerais que tu commences par les fesses et qu’elle se redresse puis se
place à genoux complètement pliée en arrière pour te présenter ses pis vers le
haut
Elle est douée également et elle a de l’imagination
- Je t’autorise à te branler le clitoris pendant que je la fouette mais tu ne
dois pas jouir
Elle se place ouverte debout devant Brigitte et en commence à se triturer avec
sa main. Son bassin ondule et elle gémit doucement ; elle utilise son autre main
pour tirer un peu sur la boule restée à l’extérieur de sa chatte…Elle a vraiment
envie de se montrer et de se faire partir mais elle se retient. J’insiste :
- Ne jouis pas n’est ce pas Nadia ; allez Brigitte pose tes mains au sol et mets
toi à quatre pattes…encore, la tête au sol que tes fesses soient à ma merci
Ainsi je vois Brigitte se placer dans la plus belle des levrettes et, sans y
prêter vraiment attention, Nadia avance et ses pieds se placent de part et
d’autre la tête de l’esclave ; preuve que la situation de ma chienne l’excite au
plus haut point. Son branle est de plus en plus rythmé et son souffle de plus en
plus court ; je la soupçonne de chercher un orgasme discret ; je la mets en
garde et je décide de passer à l’acte. Je passe la cravache de bas en haut et
d’avant en arrière entre les cuisses de Brigitte ; la cravache la masturbe
doucement ; elle se détend et gémit sous la caresse. J’insiste longuement puis
je retire la cravache et lui laisse reprendre le court de sa pensée ; une
crispation légère de ses fesses m’indique qu’elle attend et sait que,
maintenant, il n’y aura plus de délai.
Je lève mon bras et le premier coup s’abat violemment en travers de la fesse
gauche ; elle se redresse sur ses bras tendus ; elle hurle longuement puis
reprend la position. Nadia s’ouvre les lèvres et se branle le clito avec les
index des deux mains ; elle est à la limite de jouir. Mon second coup est asséné
de la même manière sur la fesse droite ; Brigitte hurle de nouveau longuement
mais reste immobile. Deux superbes stries rouges vif ornent ses deux fesses. Il
est temps de passer aux mamelles et je demande à Nadia de la mettre en position
; elle la prend par les cheveux, lui relève la tête puis la penche en arrière la
laissant à genoux, fesses sur les talons ; Brigitte place ses bras en arrière et
pose ses mains au sol pour être en équilibre. Elle est prête, tête renversée en
arrière, mamelles vers le haut. Nadia se place debout au-dessus de son visage et
continue sa masturbation obscène ; Brigitte a une vue imprenable sur ses jambes
écartées, sa chatte violée par les deux premières boules, la dernière boule et
la chainette qui pendent et le branle de la jeune femelle blonde.
Cette fois c’est le clito que je caresse avec ma cravache ; elle est béante
bouton bien sorti ; je la conduis à la limite jusqu’à ce que son ventre se tende
imperceptiblement et je la frappe à la première crispation de
l’orgasme…hurlement sauvage, d’autant que mon coup a été aussi précis que
violent et que la marque rouge traverse les mamelles droite de part en part
ayant cinglé le téton en son centre. Elle se calme mais ne bouge toujours pas ;
elle attend le second coup et je ne pourrai la faire attendre car elle
risquerait de sortir de la spirale du plaisir. Je frappe avec autant de violence
et de précision le sein droit ; nouveau hurlement ; même immobilité.
Je pose ma cravache la redresse doucement mais la laisse à genoux puis je lui
caresse le clitoris en lui murmurant des mots de plaisir : « jouis pour moi
salope ; lâche toi entièrement ; je t’aime » ce qui lui provoque un très long
orgasme dévastateur. Je lui laisse reprendre ses esprits et je l’aide à se
relever. Nadia, debout, se caresse toujours et le haut de ses cuisses est
luisant de mouille.
- Nadia cesse de te branler et vide toi la chatte, Brigitte va te préparer
- Me préparer comment ?
- J’adore enculer mais j’aime encore plus la propreté ; elle va te faire un
lavement puis elle te séchera le cul ; enfin elle te ramènera à moi pour que je
te sodomise enfin
- Elle me lubrifiera ?
- Non… allez les filles, au travail
Nadia retire ses boules avec précautions et les pose sur la table basse et les
deux femmes se dirigent, sous la conduite de Brigitte, dans la salle de bains ;
je décide de ne pas participer afin de laisser s’installer le maximum de
complicité. Pendant plusieurs minutes j’entends des rires étouffés voire des
bruits de plaisir… hummm génial. Enfin les deux beautés reviennent dans le
salon. Brigitte est parée et Nadia est en bas autofixants et escarpins ; elle
est devant ; Brigitte est collée à son dos et lui passe les mains devant pour
lui ouvrir les lèvres et bien me montrer trou et clitoris. Nadia est visiblement
hyper excitée
- Voilà mon chéri dit Brigitte, et je lui ai nettoyé le cul avec un lavement
comme tu l’avais exigé
- Et ???
- Rien …
- Tu mens salope, je vous ai entendues
C’est Nadia qui répond
- On s’est léchées en 69
- C’était bon ?
- Ouiii disent-elles ensemble
- Vous avez joué avec les culs
- Non dit Brigitte ; je ne voulais pas qu’elle soit prête
- Ainsi Brigitte, tu acceptes les femmes ?
- …
- Réponds
- Oui mon chéri mais maintenant je voudrais te voir … l’enculer
- Je vais t’enculer de face Nadia ; assieds toi dans le fauteuil et écarte bien
les cuisses puis relève les sur ta poitrine…voilà, je vois ton cul et je vais
pouvoir te mettre… écarte tes fesses avec tes mains. Tu as peur salope ?
- Oui Monsieur… vous allez m’élargir un peu avant ? me lubrifier ?
- Non je vais te mettre ma queue directement
- C’est trop gros, ça ne rentrera pas
- Bien sur que si ma queue est normale
J’appelle Brigitte qui vient me sucer profondément et, lorsqu'elle pense que je
suis prêt, se retire, se place au-dessus du Nadia et lui lèche le visage comme
une chienne. Nadia garde la position, s’écarte encore plus et sort sa langue que
Brigitte aspire pour la sucer puis me regardant dans les yeux et pinçant
doucement le clitoris de Nadia me dit d’une voix rauque :
- Vas y mon chéri encule là à sec… fais toi plaisir dans son trou serré…
dépucelle là
Nadia en rajoute, elle est prête et elle surmonte sa peur :
- Oui Monsieur, apprenez moi l’amour par le cul … défoncez moi avec votre queue
- Ouvre là Brigitte
Celle ci se place de façon à ne pas me gêner et lui ouvre complètement les
fesses. Je me place à genoux face à Nadia, à la bonne hauteur, je pose ma queue
sur l’œillet et je pousse … le cul résiste ; je demande à Nadia de « pousser
comme pour chier » ; elle le fait ; ma queue rentre lentement, en deux ou trois
fois ; elle crie ; je la plante à fond inexorablement ; je suis bien, elle est
serrée ; son cri se prolonge, une plainte …
- Tu as mal salope ?
- Oui …mais tu m’encules …enfin j’y suis arrivée… je suis une salope enculée …
aïe…oui, comme cela doucement… oh c’est bon… la douleur s’estompe … oui vas y
encule profond…oh le mot m’excite encore plus … enculée, enculée, enculée…
Je prends le bon rythme et je la sodomise lentement mais profondément en
ressortant à chaque fois pour bien la roder ; Brigitte se place la tête sur son
ventre la bouche dans la direction de ma queue ; elle attend que je sorte ; elle
branle Nadia de trois doigts que je sens admirablement à travers les parois.
Nadia démarre sous l’action conjointe de ma queue et de la main de Brigitte :
- Oui Patrick, encule moi plus fort, plus profond … ouiiiiiiiiiiiiiiiii
Je continue à l’enculer après son orgasme et Brigitte me demande en sortant sa
langue :
- Ne lui gicles pas dedans …laisse là sur sa faim ….qu’elle soit en manque.
Décules là et jouis moi dans la bouche
Je continue un moment jusqu’à ce que je sente Nadia au bord d’un nouvel orgasme
; je décule et je m’enfonce dans la bouche de Brigitte où je me vide. Nadia crie
sa frustration et Brigitte va lui faire partager mon jus dans un baiser
enflammé. Elle continue à la branler de ses trois doigts et Nadia jouit mais pas
autant qu’elle ne l’espérait … sa demande est visible …elle a encore envie.
Je m’installe dans un fauteuil cuisses sur les accoudoirs afin de bien me faire
voir …ma queue est molle (quatre orgasmes) mais je pense que cela ne durera pas.
Nadia s’assied en face de moi dans le canapé et laisse, elle aussi, ses cuisses
bien écartées ; sa belle chatte m’apparaît gonflée, lèvres très ouvertes,
clitoris dressé ; femelle offerte et en attente de nouveaux plaisirs. Brigitte,
spontanément et sans instruction de ma part, s’agenouille devant elle, lui ouvre
les petites lèvres au maximum et lui aspire le clitoris. Nadia réagit
instantanément d’un petit cri de plaisir et en avançant son bassin à la
rencontre de la langue qui lui fait tant de bien. J’interromps :
- Pas maintenant Brigitte ; prépare là d’abord et prépare toi aussi
- Dis moi mon chéri dit elle en se levant
Je lui tends le petit plug (plastique transparent, 15 cm de long, 5 de diamètre
au plus gros et 3 au plus petit) ; elle le prend et se replace à genoux devant
Nadia qui s’ouvre encore un peu plus et relève ses jambes pour présenter son
anus.
- Je vais t’enculer salope dit Brigitte
- Oh … il n’est pas trop gros ?
- Je te montrerai le mien tout à l’heure… retiens toi … ne jouis pas
Elle lui enfonce lentement l’objet dans la chatte afin de le lubrifier…long
feulement de plaisir puis elle le retire et le place devant l’anus ; elle
l’enfonce à fond mais lentement, tendrement comme une femme aime une femme.
L’objet est en place. La respiration de Nadia devient saccadée ; Brigitte la
lèche un instant puis se relève et prend le gros plug que je lui tends
(plastique transparent, 25 cm de long, 10 de diamètre au plus gros et 5 au plus
petit)
- Regarde ma chérie en voilà un gros et encore, il y a pire
Nadia ne bouge pas ; elle se branle doucement et contemple l’objet
- Oh salope, tu ne vas pas rentrer cela dans ton cul, c’est trop gros
- Siii regarde
Elle se tourne en présentant ses fesses à Nadia ; elle se penche en avant pour
que l’autre femelle voie bien …elle se plante lentement le plug dans le cul en
gémissant puis se relève et la regarde :
- Tu vois je suis plus enculée que toi
- Oh oui, moi je ne pourrai jamais… pas cette taille
- Mais si, plus tard ; c’est une question d’expérience
- Et le cul peut resservir pour une queue
- Oui, il se referme tout seul ; tu verras tout à l’heure quand je me déculerai
- Lèche moi salope, travaille moi dit Nadia en se touchant doucement
- Attendez dis je
Je demande à Brigitte de se mettre à genoux devant les trous de Nadia et de
rassembler ses deux poignets dans son dos ; j’accroche les deux bracelets avec
le mousqueton. Elle est torse cambré devant Nadia qui lui prend les tétons et
dit :
- Tu es magnifique salope avec les balafres sur tes mamelles de belle femelle
J’interviens :
- Utilise la Nadia ; joue avec elle ; fais toi plaisir ; fais lui mal aussi
Nadia prend les tétons de Brigitte et les tord cruellement la faisant crier de
douleur provoquée par cette torsion sur les seins marqués à la cravache ;
l’esclave souffre mais loin de se dérober cambre encore plus ses mamelles ;
Nadia insiste quelques instants puis prend Brigitte par les cheveux, à deux
mains, et lui colle la tête sur sa chatte. Brigitte commence à lécher mais Nadia
ordonne sèchement :
- Dedans la langue salope, au fond … voilà, comme ça… il est bon mon jus ?
Nadia sait y faire et Brigitte apprend vite ; elle lui langue profondément la
chatte puis se retire et prend la base du plug anal entre ses dents ; elle le
sort partiellement puis le repousse tout au fond.
- Ouiii encule moi en même temps gémit Nadia
Je me lève et vais détacher les mains de Brigitte ; celle ci prend alors le gode
anal avec ses mains et le fait aller et venir, sortant et rentrant
alternativement ; en même temps, la tête toujours tenue, elle replace sa langue
profond dans la chatte de Nadia ; je retourne m’asseoir et me branle
délicatement…je me fais du bien mais je ne veux pas jouir ailleurs que dans une
de ces femelles
Je les admire plusieurs minutes jusqu’à ce que Nadia soit terrassée par un
orgasme long et multiple ; elle se calme, redresse Brigitte, l’embrasse sur la
bouche, longuement, la prend dans ses bras et lui murmure à l’oreille mais assez
fort pour que j’entende :
- Petite catin enculée…belle gouine … tu es à moi …je t’aime… je vais te gouiner
aussi…installe toi à ma place sur le fauteuil
- Je peux mon chéri, demande Brigitte ?
- Oui mets toi dans le fauteuil bien ouverte et cuisses relevées …voilà, ouvre
ta chatte avec tes mains…allez Nadia mets toi devant …voilà décule là … plus
vite …. Bien remets lui le plug à présent … d’un coup… comme cela
- Ohhh comme ça rentre bien dit Nadia
- Salope dit Brigitte …défonce moi encore le cul
Nadia me regarde…elle a compris que je suis seul metteur en scène de ces
plaisirs ; je lui fais un signe de tête ; elle ressort le plug puis le remet et
recommence ainsi plusieurs fois. Brigitte vibre, se cambre, crie, vient au
contact de l’objet quand il ne revient pas assez vite ; elle interpelle Nadia :
- Oui tu es douée, oh belle salope, je n’ai jamais été enculée de cette
manière…finis moi…lèches moi
- Non dis je, ne la lèche pas, décule la puis mets lui une main dans chaque trou
- Elle va avoir très mal dit Nadia… et je ne suis pas habituée ; je n’ai jamais
fait
- Ne t’inquiètes pas dit Brigitte … défonce moi ….dilate moi…aaagrrr je suis
déculée, je suis vide ; vas y avec tes mains salope …. Remplis moi mes deux
trous … fais moi jouir comme une jument que je suis ; ouvre moi au maximum ; oh
mon chéri regarde comme je suis belle…oh ta belle queue …oui branle pour moi…oh
oui tu te videras dans un de mes trous…pas dans l’autre femelle … dans moi …
dans ma bouche … dans ma gueule de belle putain ouverte
Brigitte a complètement lâché les vannes tandis que je me branle et que Nadia a
commencé à enfoncer trois doigts dans son cul déjà dilaté par le plug qu’elle
vient de quitter. J’imagine alors un autre tableau. Je stoppe mes deux beaux
jouets et je les conduis dans la chambre à coucher. Je fais allonger Brigitte
sur le dos et je lui fais relever les deux jambes pour que les pieds parviennent
de part et d’autre de sa tête ; je prend ses bras et j’attache avec les
mousquetons chaque poignet à la cheville du même côté ; elle est ainsi à plat
dos, offerte, béante, prête. Je vérifie le Plug de Nadia par un « sortir rentrer
» rapide qui lui arrache un gémissement ; je lui demande de se placer à genoux
entre les cuisses de Brigitte et de commencer la pénétration par le cul. Pendant
ce temps je me mets à genoux au-dessus de la tête de Brigitte qui à une vue
directe sur mes couilles pendantes et la base de ma queue dressée. Je lui prends
la tête et la redresse pour qu’elle atteigne mes couilles qu’elle lèche avec
application ; on sent qu’elle veut montrer à Nadia que c’est par elle que passe
mon plaisir et que je l’aime alors que cette dernière n’est qu’un jouet de plus
pour agrémenter nos amours. Placé comme je suis, je profite du léchage appliqué
de ma salope et j’ai une vue panoramique sur ses trous relevés. Nadia a tendu
ses doigts de la main gauche et les a placés en pyramide ; elle commence à forer
le cul de Brigitte et son regard en dit long sur le plaisir qu’elle y prend et
la cruauté qu’elle y met ; elle pousse ; elle force en tournant juste ce qu’il
faut pour que le cul ne s’ouvre pas trop vite … elle veut faire un peu mal mais
pas trop. Hummm ; elle œuvre ainsi quelques minutes pendant lesquelles Brigitte
réclame l’enculage de plus en plus fort ; puis, enfin, elle force d’un coup et
sa main disparaît dans l’anus de sa victime qui pousse un cri rauque tout en
continuant à me lécher de manière de plus en plus habile et jouissive. Nadia ne
bouge pas sa main mais ferme et ouvre alternativement le poing…Brigitte gueule :
- Oh ouii bourre moi le cul … la chatte aussi, mets l’autre main … viiite
Nadia obéit et prend beaucoup moins de précaution, le trou avant étant lubrifié
de plaisir et, au demeurant, plus large. Brigitte est bientôt fistée des deux
côtés et Nadia ouvre et ferme les poings et les fait légèrement tourner dans la
petite putain qui hurle
- Ouiii salope, bourre moi bien, comme cela… je suis bien pleine sauf ma bouche
de chienne ; mon chéri s’il te plait mets la moi dans la gorge…viens me gicler
dedans
Je parfais le tableau : je me fléchis un peu sur les jambes et je dirige ma
queue vers le bas ; je prends la tête de Brigitte pour la remonter et lui plante
jusqu’aux couilles… comme elle aime et comme j’aime qu’elle me fasse. Je la
maintiens ainsi mais je suis en déséquilibre et puis la bouche de Nadia est
libre. Je libère une main de Brigitte afin qu’elle puisse s’accrocher elle-même
à moi et m’emboucher à fond. Je sens ma queue à fond de gorge et je vais devoir
me retenir. J’exige que Nadia branle au maximum les deux trous de Brigitte avec
ses mains ; j’ai maintenant les mains libres ; je prends la tête de Nadia à deux
mains et l’approche de la mienne ; je lui demande de sortir sa langue et je la
prends entre mes dents ; je serre et je tire le plus loin possible ; j’exige le
silence et profite au maximum de ce tableau pendant plusieurs minutes. Brigitte
me suce merveilleusement avec le fond de sa gorge. Nadia s’est bien soumise à
notre volonté. La situation est hyper jouissive.
Au bout de quelques minutes, Brigitte émet un râle rauque et sa gorge et sa
langue se crispent sur ma queue ; je sens également Nadia se tendre et je devine
que ses mains se serrent plus vite au fond des trous de Brigitte ; je lâche sa
langue et l’embrasse à pleine langue pendant que je jouis longuement dans la
bouche de Brigitte qui avale avec le plaisir habituel. Je romps le tableau et je
me relève ; Nadia sort lentement les mains des trous de Brigitte en commençant
par la chatte et les lui donne à lécher…je laisse faire … Nadia libère Brigitte
et l’embrasse à pleine bouche, amoureusement ; elles se partagent les jus puis
Nadia dit :
- Je t’aime salope, ta bouche sent bon les jus de mâle et de femelle
Je les libère de ma domination et les autorise à prendre du repos sur le lit
pendant que je chercherai l’endroit où placer les anneaux ; ainsi je retourne
dans le salon et je m’assieds dans un fauteuil, il est 18 heures, de combien de
temps disposons nous encore. J’en suis là de mes réflexions lorsque des bruits
étouffés me parviennent de la chambre à coucher ; j’approche discrètement et je
vois les deux superbes femmes se faire l’amour, couchées sur le côté, face à
face, s’embrassant à pleine bouche, amoureusement ; elles ondulent et gémissent
; chacune utilise ses deux mains pour chacun des trous de l’autre ; trois doigts
de chaque main de Nadia fouillent la chatte et le cul de Brigitte qui doigte la
chatte de Nadia d’une main et manipule le plug anal de l’autre….elles ne m’on
pas vu…le spectacle et superbe, je ne les dérange pas et je mate vicieusement ;
au bout de quelques minutes, elles se tendent et jouissent ensemble pour
terminer par se prendre dans les bras l’une de l’autre et s’embrasser
amoureusement.
Brigitte me voit
- Ah tu étais là ? tu as vu ? ça t’a plu ?
- Oui, oui et oui , superbe tableau ; mais il va falloir payer votre
désobéissance
- Quelle désobéissance demande timidement Nadia ?
- Pas le droit de baiser et de jouir sans sa permission dit Brigitte
- Ohhh je vois répond Nadia, je vois, mais moi je ne suis pas ta soumise
- Non pas encore dis-je
- Comment pas encore ?
- C’est à toi de choisir dis je
- Entre quoi et quoi dit elle ?
- La séance avec Brigitte et moi t’a plu ?
- Oui dit elle, tout, quand tu l’immobilises, quand tu la frappes, comme elle
est marquée…quand tu m’encules, quand on se gouine …les plugs, les mains dans
les trous à plaisir… et le vocabulaire cru aussi …. J’ai beaucoup joui … tu l’as
bien vu d’ailleurs.
- Oui, précisément ; tu as envie que cette aventure continue ?
- Je ne sais pas, ça dépend des conditions
- Vous êtes toutes deux mes esclaves et, suivant mon inspiration, je peux
demander à l’une de torturer l’autre et réciproquement. Ce sera un dressage
collectif
- Je veux garder ma liberté
- Bien sur, tu seras toujours libre de refuser.
Sur ma demande, Brigitte lui explique les deux mots de sûreté tout en lui
caressant doucement les mamelles (elles sont debout devant moi dans le salon ;
je me suis rhabillé).
- Tu as déjà utilisé « stop soft » demande Nadia
- J’ai failli mais j’ai réussi à tenir
- Et alors ?
- Ma jouissance a été exceptionnelle
- J’hésite, j’ai peur de donner un chèque en blanc
- C’est toi qui vois, dis-je ; mais si tu refuses j’interdirai à Brigitte d te
revoir
- …
- Alors intervient Brigitte ? essaye … pour moi … ta salope …
- Je veux bien …une fois pour commencer…mais si je prononce un des deux mots …
- Il aura le résultat promis ; « stop fin » surtout est sans retour ; souviens
t’en
- Oui Monsieur le dresseur ose t elle dire
- Tu as aimé, au début de la séance, le quatre coups sur Brigitte et tu as
admiré les marques ? je me trompe ? tu en as même rajouté en tordant ses
mamelles
- Non, ça m’a beaucoup chauffée et ça m’a bien préparée
- Tu aurais le courage de la cravacher
- Oui je crois…
- La condition étant que tu acceptes la réciproque
- …
- Alors ?
- Là maintenant ?
- Non, il est tard, Brigitte doit rentrer et moi également ; quand seras tu
libre ?
- Demain je ne travaille pas à midi, je peux être là vers 13h30 ou 14 h
- Et toi Brigitte ?
- Je peux prendre ma demi-journée
- Superbe ; donc tout le monde ici à 13 h 30 ; Brigitte change toi et rentre
chez toi
- Et moi demande Nadia ?
- A quelle heure dois tu partir ?
- Ce soir à 19 heures…
- Alors reste nue, j’ai une mission à te confier …pour l’instant, aide Brigitte
à retirer son corset et ses bracelets ainsi que son collier.
Brigitte se place de dos et demande à Nadia de lui décrocher les agrafes du
corset…celle ci en profite pour lui caresser les mamelles par derrière puis lui
mettre deux doigts dans le cul. Brigitte gémit afin que je sache.
- Tu seras punie dis je à Nadia…demain
- Pourquoi Monsieur ?
- Tu n’avais pas d’autorisation de l’enculer…poursuis ton ouvrage
Nadia libère Brigitte des quatre bracelets et du collier puis me demande si elle
doit lui mettre le plug au cul ; je réponds que oui mais, comme Brigitte devra
se présenter à son mari ce soir, elle mettra le petit afin de ne pas l’effrayer
davantage.
- Je dois le retirer de mon cul demande Nadia ?
- Oui décule bien et mets lui avec rage ; tu en prendras un plus gros par la
suite
- Non pas le gros…je ne pourrai pas
- Non il y en a un intermédiaire : 1 cm de plus au plus large, sinon identique
Nadia se décule très lentement ; elle cherche à me duper et à se faire jouir un
petit coup discret. J’ai la cravache à la main et lui donne un coup appuyé mais
peu violent en travers des fesses. Réaction de surprise, elle se tend et par un
réflexe d’autorité :
- Ça ne va pas non ? Pourquoi me frappes tu ?
- Tu es autorisée à jouir en douce ?
- Non Monsieur, pardon Monsieur …mais la salope va partir et j’ai encore
tellement envie
- Tu seras encore enculée ce soir mais pas par moi
- Brigitte ?
- Non, le propriétaire des lieux…pour « payer » le loyer, comme une putain…
- Ohhh nonnn, je ne le connais pas
- Tu vas aimer salope dit Brigitte ; j’ai déjà payé avec mes trous…je suis la
première femelle qu’il a enculée… il apprend vite…et puis il a une belle queue.
Allez petite putain mets moi le plug que tu t’es retiré…voilà doucement, comme
cela…ça y est, il est au fond ; oh ça m’excite ; je ne veux plus jouir
maintenant…je veux paraître devant mon mari assez frustrée et en manque pour lui
donner l’idée de me la mettre…sinon …déjà que ce sera dur
- Tu crois qu’il va te virer ?
- C’est possible, dans ce cas nous divorcerons…mais peut être a-t-il seulement
besoin d’apprendre, d’oser et de se faire confiance
- Tu verras mais tiens moi au courant au plus vite
- Comment crois tu que je doive l’aborder ?
- Si il a des dispositions réelles, il ne résistera pas à la vue de tes mamelles
cravachées… montre les lui… offre les lui…tu verras bien.
Brigitte est prête, tenue sage de ville avec sous vêtements ; juste ce Plug anal
que je remarque à sa démarche qui recherche le plaisir à chaque pas ; elle
embrasse goulûment Nadia puis se prosterne devant moi et me dit « bonne soirée
Monsieur, à demain quoiqu’il arrive… » ; puis elle sort.
par smartloox
#1312563
J'en suis au troisième épisode et l'écriture est très agréable. Sur le fond, l'excitation ne peut que gagné le lecteur, même si le caractère candauliste n'est pas marqué.

Bravo à l'auteur
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par Calimero77
#1316417
Brigitte est sortie
Je referme la porte et reviens vers Nadia que je fais mettre à genoux afin
qu’elle me suce du mieux qu’elle peut. Elle sort ma queue et la fait rebander
puis me conduit dans le fauteuil afin que je sois au plus confortable ; Elle
s’installe accroupie ouverte au maximum pour que je la voie bien…délicieusement
exhibée puis m’embouche à fond…ça y est, elle y arrive et de plus, elle sait
jouer avec mon désir. Je suis dans un nuage ; elle se retire et me branle
doucement à deux mains, couilles et queue… très habilement ; elle a envie de
parler :
- Quelle journée dit-elle aujourd’hui j’ai appris à baiser avec un couple, je me
suis faite enculer pour la première fois… et j’adore ça ; J'ai utilisé des plugs
dans moi et dans une autre femme, j’ai forcé une autre femme avec mes deux
mains…et maintenant, je vais me faire mettre par un inconnu…au fait, il va me la
mettre où ?
- Dans le cul probablement ; comme cela tu te seras faite enculer par deux mâles
aujourd’hui…au fait, inconnu, tu ne crois pas si bien dire
- Tu ne le connais pas ?
- Si, c’est un ami
- Alors je ne comprends pas
- Je vais te mettre un bandeau sur les yeux et quand il sonnera en bas, tu
t’installeras à genoux sur les accoudoirs du fauteuil, bien offerte, trous
présentés face à la porte d’entrée ; il se soulagera autant de fois qu’il le
voudra et où il le voudra. Quand il te le dira tu pourras changer de position ou
même t’asseoir mais tu ne retireras pas ton bandeau et nous pourrons continuer à
jouer avec toi.
- Comme une vraie putain des trottoirs
- Oui petite chienne
- …Ça m’excite tu sais
Elle me donne son propre foulard afin que je l’aveugle et, une fois fait je lui
fais redescendre la tête et m’emboucher à nouveau ; je lui tiens la tête à deux
mains et lui imprime le bon rythme…à fond puis au plus loin où seul le gland
reste en bouche puis à fond et ainsi de suite, prenant cependant mon temps de
bien la tenir à fond et de gouter sa gorge qui palpite ; après quelques va et
vient, elle me fait signe qu’elle voudrait parler ; je la lâche, elle se retire
mais trouve ma queue à tâtons et me branle lentement…
- C’est très excitant en aveugle, je pense que ce sera génial tout à l’heure
avec la queue d’Alain que je ne connais pas…elle est grosse ??
- Normale, tu as peur ?
- Un peu, mais je voudrais te demander …
- Oui ?
- Je ne te plais pas ?
- Pourquoi ?
- Tu m’as fait jouir mais tu ne t’es pas vidé dans moi
- Mais , ma parole, c’est une pointe de jalousie
- … oui peut être mais je voudrais que tu me gicles dans la bouche ou dans un
des trous
- Pas ce soir … et tu seras châtiée pour ton outrecuidance et ta jalousie…
demain, par Brigitte qui se fera un plaisir de te faire souffrir
Elle n’a pas le temps de protester que la sonnette retentit ; je l’interpelle :
- Tu es prête à baiser avec un inconnu ?
- Oui Monsieur
Je la conduis au fauteuil que je tourne de manière qu’il soit face à la porte et
j’aide Nadia à s’installer à l’envers, à genoux sur les accoudoirs, cul bien
relevé ; je lui ordonne de poser la tête sur le dossier et ‘ouvrir ses fesses
avec ses mains ; elle se les écarte au maximum prenant soin de bien ouvrir son
petit cul…elle n’y a goûté que depuis quelques heures et déjà elle en redemande

J’accueille Alain dans l’entrée et je lui dis :
- J’ai une surprise pour toi … ferme les yeux et rentre dans le salon… voilà,
ouvre les yeux, je te présente Nadia… elle t’attend
- Oui je vois me semble t il ; où est Brigitte ?
- Il est tard, elle a du rentrer chez elle … ne t’inquiète pas, je la revois
demain… j’ai eu beaucoup de plaisir avec ces deux femelles… Brigitte a fini par
accepter avec Nadia qui est bi et qui lui a appris les femmes…elles ont bien
joui et moi j’ai eu quatre orgasmes.
- Elle a accepté facilement ?
- Bien obligée, sinon je la quittais
- Bonne idée ; dis moi, je suis hyper excité devant cette femelle offerte et
j’ai envie de la fouetter
En regardant les fesses de Nadia, je perçois un léger tremblement…attente de
plaisir ou de douleur ? Espoir ou crainte ? Ou les deux ?
- C’est un peu trop tôt pour cela ; elle doit commencer demain
- Pourquoi demain ?
- C’est avec Brigitte qu’elle subira pour la première fois
- Ah bien, et que vais-je en faire maintenant dit il avec vice ?
- Réponds Nadia dis-je…supplie le….excite le
- Baisez moi la chatte ou forcez moi le cul avec votre bite ; comme vous
voudrez… je suis enculée seulement depuis 17 heures ce jour, alors si vous
voulez être le second…ne me faites pas attendre…viiitte.
Alain sort sa queue terriblement dressée et se place derrière la belle salope ;
il pose le gland à l’entrée de la chatte puis sur l’œillet mais il ne pénètre
pas ; il se recule et recommence. Nadia s’affole, ondule, gémit et se tend vers
l’arrière à la rencontre de la queue enculeuse espérée.
- Elle palpite bien du trou dit Alain ; le spectacle est insoutenable
d’excitation…je vais la défoncer
- Ouii n’attendez plus…plantez moi au cul … faites vous plaisir … ouiii salaud,
comme ça à fond…oh, je sens bien la queue…elle est dure … oui sortez
complètement puis rentrez …voilà comme ça…je suis rodée, je suis une enculée.
Alain se crispe, la plante à fond et se vide dans son cul ; elle est atrocement
frustrée
- Pitié, vous avez giclé trop tôt dans votre putain ; finissez moi…oui super,
votre queue reste dure dans mon cul. Continuez, videz vous une nouvelle fois… oh
s’il vous plait, ayez pitié…
Je me place devant elle, lui prend les cheveux d’une main pour lui redresser la
tête puis, de l’autre, je la gifle trois fois en lui indiquant que seul notre
plaisir compte ; la salope se soumet et me dit « oui Monsieur, mais c’est dur »
- Ton plaisir n’en sera que plus fort quand nous le déciderons
Alain bande toujours très dur ; il se recule juste pour que la base de son gland
soit au niveau du sphincter et ordonne :
- Branle moi avec ton muscle du cul salope… sans bouger
- Comment ? je ne comprends pas
- Serre et desserre ma queue avec ton trou
- Oh oui je vois … comme ça ?
- Serre plus fort … oui … je viens
- Nonnn attends ;.. salaud
Alain s’enfonce, gicle et se retire ; le trou du cul reste ouvert ; Brigitte
gémit doucement, sa frustration est extrême…elle ne proteste pas mais son dos
est parcouru de tremblements
- Pitié, faites moi jouir, vous allez me rendre folle
- J’ai une idée dis-je
- Laquelle demande Alain avant Nadia
- Tu vas te mettre le plug puis tu iras marcher dans la rue en tortillant du cul
afin de te faire jouir…tu devras rester la plus discrète possible…
- Et si quelqu’un remarque ?
- Tu te vendras comme la putain que tu es
- Ohhh nooonn…ce sera cher ?
- 200 F (nous sommes au début des années 90) pour la bouche, 300 F pour la
chatte et 600 F pour le cul…préservatif obligatoire pour la chatte et le cul ;
pour la bouche sexe nu afin que tu puisses avaler…même tarifs avec une femme
pour les doigts et la langue.
- Je deviens folle, je ne me reconnais plus ; qu’avez vous fait de moi ?
- Pourquoi ? (Nadia est toujours dans la même position et le foutre d’Alain
s’écoule lentement le long de sa cuisse gauche)
- Parce que tout cela m’excite salauds…
- Nous t’imposerons ceci mais pas aujourd’hui…tu seras avec Brigitte pour
tapiner ; pour l’instant, nous allons te soulager ; pour commencer récupère le
jus d’Alain dans ton cul et lèche le bien…n’en profite pas pour te faire jouir
du cul et ne touche pas ta chatte.
Nadia s’exécute et en rajoute un maximum dans l’exhibitionnisme ; elle nous
allume en s’enfonçant profondément trois doigts, en les tournant pour récupérer
le jus de mâle et en les suçant avec application comme une queue ; elle est
magnifique et Alain bande de nouveau. Au bout d’un moment, elle nous dit :
- Je crois que mon cul est vide…finissez moi…s’il vous plait
Je la fais relever puis mettre en position à genoux sur le sol tronc bien droit,
bouche ouverte et langue sortie. Alain et moi nous approchons debout et queues
bien raide à portée de sa bouche…je lui ordonne de retirer le bandeau ; ses yeux
clignotent un peu, puis elle s’habitue et voit les deux queues bandées à sa
portée ; elle est très chaude, au-delà du point de non retour ; elle nous
caresse fortement les couilles en les prenant à pleines mains et en tirant
légèrement.
- Oui dit Alain, continue c’est extra…fais moi juter que je te laisse sur ta
faim
- Nonn dit elle je veux que vous me finissiez sinon je vais craquer
- Je te présente Alain dis je. Nous allons te dérouiller l’un en plein cul et
l’autre dans ta gueule de pute, à fond de gorge. Lequel choisis tu pour quel
trou ?
- Choisissez … ou plutôt non ; Alain m’a joui deux fois au cul et je ne l’ai
jamais sucé…toi Patrick j’aimerais te branler avec mon trou et que tu te
vides…comme Alain tout à l’heure…dans moi
Ainsi fut fait. Alain se plaça devant elle et lui prit la tête des deux mains
pour l’emboucher à fond ; il lui imprima le bon rythme et la bonne profondeur
puis lui lâcha la tête et agrippa ses mamelles par en dessous pour les malaxer à
pleines mains. Nadia lui caressa les couilles des deux mains, les pétrit
marmonna un « retiens toi au maximum » et continua la succion rythmée de la
queue de mon ami à qui, visiblement, ce traitement faisait de l’effet. Pour ma
part, je me plaçai derrière, relevai ses fesses et l’enculai à demi ; lorsque
mon gland fut au niveau u sphincter, je n’eus pas besoin de lui demander de me
branler avec son cul ; elle le fit spontanément ce qui me procura des plaisirs
difficile à réfréner (j’avais pourtant déjà joui quatre fois). Nous continuâmes
ainsi quelques minutes ; Alain se faisait sucer et caresser les couilles tandis
qu’il lui branlait les mamelles ; quant à moi, je me faisait branler la queue
par son muscle anal ; je sentais que Nadia essayait de différer sa jouissance,
qu’elle se retenait ; alors, je passai une main entre ses cuisses et lui plantai
trois doigts dans la chatte ; elle était trempée ; je retirai les doigts et
saisis son clitoris dressé avec mes ongles, ente le pouce et l’index , je pinçai
durement la partie sensible et je tirai longuement tout en demandant à Alain de
lui pincer les tétons et de les tordre également avec ses ongles ; je
synchronisai en comptant jusqu’à trois et nous torturâmes cruellement, moi le
clitoris et lui les mamelles ; en même je lui disais des mots obscènes : « tu
t’encule bien sur ma queue, je te sens …boyau ouvert… tu embouches Alain et tu
lui branles les couilles ; tu es une salope, notre putain, tu baises comme une
jument… ». D’un coup tout changea : Nadia feula longuement du fond de la gorge
et je sentis que ses contractions anales n’étaient plus contrôlées ; l’orgasme
se déclenchait. Je me poussai violemment au fond de son cul et je lui éjaculai
dedans tandis qu’Alain lui giclait dans la bouche ; nous restâmes ainsi plantés
à fond jusqu’à ce que son orgasme se calme. Au bas mot entre une et deux
minutes.
Nous nous sommes séparés, reposés et rhabillés ; Nadia s’est placé le plug « un
peu plus gros » en nous montrant bien l’acte de pénétration de son anus…elle fut
surprise qu’il rentre facilement bien que un peu douloureusement ; il est vrai
qu’elle avait été beaucoup utilisée analement pour une première journée ; elle
nous répéta que ça avait été une journée de magnifique découverte ; enfin, elle
est partie en nous embrassant … demain serait une nouvelle journée de découverte
pour elle.
Restés seuls dans l’appartement nous avons décidé de poser les anneaux au
plafond du salon ; nous avons choisi un endroit assez éloigné de la fenêtre et,
après avoir vérifié la solidité en nous suspendant nous même à ces anneaux nous
nous sommes mis en quête d’un support pour les pieds que nous pourrions enlever
facilement. Un carton d’emballage rendu rigide par les blocs de polystyrène
qu’il contenait fut choisi ; il était stable et permettait une rehausse de 30
cm. Il fut ensuite convenu que je me rendrais le lendemain matin dans un magasin
de bricolage afin de trouver se qui pourrait servir de barre d’écartement et, à
défaut de cuir, tout ce qui pouvait servir de sangle de suspension ainsi que
tous les anneaux et mousquetons nécessaires.
J’expliquai à Alain ce qui allait se passer le lendemain avec les deux femelles
- Hummm dit il ; je ne pourrai être là qu’à 16 heures
- Tu veux que je les fasse attendre ?
- Non, c’est mieux comme cela ; je préfère ne pas être là pour les débuts des
filles dans un nouveau tourment ; je pense que je n’aurais pas le sang froid de
gérer si ça ne se passait pas bien
- Pas bien ?
- Oui si l’une ou l’autre devait arrêter
- Mais c’est la règle du jeu ; il y a les safe words et je dois les respecter
- Je pense quand même que cela me stresserait
- Comme tu veux
- Prépare les bien
- Quand tu arriveras, elles seront toutes deux marquées comme Brigitte ; ah
c’est vrai, tu n’as pas vu ; elle était déjà partie…au fait, elle va montrer à
son mari…et lui dire, pour son dressage…elle veut aller plus loin.
- Espérons qu’il acceptera
- Je n’ai pas grand espoir ; tu te souviens qu’il avait quitté la pièce quand
elle avait voulu se branler devant lui ; enfin, elle doit appeler chez toi si ça
se passe mal et je lui ai dit que dans une situation extrême, tu saurais
l’héberger.
- Ok, ça me va dit il avec un brin d’espoir
***
Le lendemain matin ,je vais faire les achats puis je me rends au bureau vers 10
heures.
Pour la barre d’écartement, j’ai acheté une barre de bois dur, de section carrée
et j’ai vissé un anneau à chaque extrémité ; ainsi, nous pourrons y attacher les
bracelets des chevilles avec des mousquetons clipsables. Pour les cordes j’ai
chois des cordes de nylon de 5 mm de section, rouges pour le fun ; le reste sera
assemblages, anneaux et mousquetons.
Vers 10h30, le téléphone de mon bureau sonne ; dans ma position de cadre j’ai un
bureau seul et ma porte est fermée lorsque je ne veux pas être dérangé ; une
voix rauque et étrangement sanglotante me dit :
- Allo Patrick, c’est moi … pu…putain Brigitte
- Alors, raconte
Après le repas, je lui ai montré mes mamelles et mes fesses martyrisés ; je lui
ai expliqué que j’étais en cours de dressage avec toi et que j’aimais cela ; il
est resté tranquillement assis dans son fauteuil ; ça m’a rassurée qu’il ne
parte pas…puis j’ai voulu l’exciter et je lui ai montré le plug. Il a murmuré :
« enculée » ; je voyais sous son pantalon qu’il bandait mais j’étais debout
devant lui et je n’ai pas osé aller le branler. Puis il a dit :
- Je dois décider ce que je vais faire de toi ; vas te coucher
- J’ai entamé le geste de me déculer, il m’en a empêchée
- Tu as voulu cela, tu le gardes…et tu dors nue salope
J’étais excité ; pour l’instant rien de grave au contraire ; je l’encourage à
poursuivre :
- Et ensuite ?
- Je me suis endormie et j’ai été réveillée par le plug qu’il sortait de mon
cul…il m’a fait mettre en levrette et il m’a enculée à fond ; c’était la
première fois pour lui et pour moi la première fois avec lui ; il à giclé
immédiatement…j’ai gémis de frustration mais il n’a pas débandé ; il a commencé
à me défoncer lentement et profondément en me malaxant les nichons par en
dessous vicieusement pour que j’aie mal ; il m’a interdit de jouir et m’a
demandé de tout lui raconter.
- Et alors ?
- Je lui ai tout dit : notre première fois, mon premier enculage, le taulier,
Alain, la putain qui paye le loyer, les dilatations, les plugs, mon premier
gouinage et le magnifique spectacle du premier enculage de Nadia. Il veut mettre
Nadia … il m’a interrogée sur les dilatations…je lui ai dit que je pouvais me
mettre les mains devant et derrière ; il a été estomaqué. Il m’a fait descendre
au salon et m’installer dans un fauteuil, cuisses sur les accoudoirs, comme chez
Alain ; il s’est assis en face de moi et, en branlant doucement sa belle queue,
il m’a demandé de me faire le cul avec la main…je l’ai fait, comme avec toi …
plus vicieusement encore, en tenant bien ma chatte ouverte avec les doigts de
l’autre main
- Je n’avais jamais remarqué que tu avais un si beau clitoris dit –il
- Je n’avais jamais remarqué que tu avais de si belles couilles…j’ai envie de te
voir gicler…tu ne m’as jamais montré…
Il m’a interdit de me toucher le clitoris et m’a demandé si je pouvais jouir
seulement avec mon cul dilaté…pour toute réponse, je me suis laissé partir ; il
a admiré ; son gland est devenu violacé mais il s’est retenu et m’a demandé de
l’attendre ; il est allé dans la cuisine et en est revenu avec une soucoupe de
service à café ; il s’est installé dans le fauteuil, cuisses sur les accoudoirs
et m’a demandé de le branler pour le faire jouir dans la soucoupe…
- Après tu lécheras tout me dit il…et n’en perds pas, sois habile avec ma queue
Je l’ai branlé à deux mains du mieux que je savais en essayant de le faire
attendre ; je l’excitais avec des mots que j’ai appris de toi : « retiens toi
salaud, profite bien de ta putain…je suis gratuite pour toi, d’autres te
paieront pour me garnir les trous….C'est toi qui me vendras …n’attends plus,
viens maintenant, jouis…pisse ton bon jus de couilles que je le boive ». Il a
giclé de longs jets de sperme que j’ai bien orientés sur la soucoupe…j’ai tout
léché vicieusement ; c’était bon ; il n’a pas débandé ; je l’ai embrassé à
pleine bouche et je l’ai supplié : « encule moi encore » ; nous sommes remontés
dans la chambre et il m’a défoncée encore longuement ; il s’est vidé trois fois
dans mon cul et une fois dans ma bouche. Il m’a beaucoup fait jouir le salaud,
je n’aurais jamais cru ça de lui.
- Et maintenant, il est au boulot ?
- Non, il a réservé sa matinée
- Il est à côté de toi ???
- Non plus ;..
- Je ne comprends pas
- Comme je lui avais tout raconté, ce matin au réveil il m’a fait laver le cul
puis il s’est fait sucer en m’imposant de me branler dans la chatte de ma main
entière sans jouir. Il a joui plusieurs fois dans ma bouche et s’est reposé ; la
maintenant, il m’a fait mettre penchée une main à plat sur la table de la
cuisine ; de l’autre main je tiens le téléphone ; il a sa queue profondément
enfoncée dans mon cul et me tient le clitoris entre ses ongles ; il ne bouge pas
et m’interdit de me manifester ; c’est pour cela que tu me trouves une drôle de
voix ; j’ai envie qu’il bouge dans mon cul et qu’il me branle le clito mais au
lieu de cela il me force à t’appeler en sachant que ça va encore augmenter mon
désir … je deviens folle ; il est aussi cruel que toi … j’ai envie bande de
salauds ; ne me laissez pas ; encule moi Germain…
- Mais tu es enculée dis-je ; c’est à toi ; fais le mettre au bon endroit, bas
du gland au niveau du sphincter et branle le en serrant ton cul comme je vous ai
appris à Nadia et toi…
- Oui mon chéri, vas y Germain, mon amour, mets toi où c’est le plus sensible
…voilàà bieenn ; tu sens ; je serre bien ; oh oui, ta queue est dure, tu vas la
vider … tire moi bien le bouton de putain que je serre encore plus fort…
ahhhhhhh ouiiiiii salauuuddd
J’entends des râles de part et d’autre puis le silence ; ils ont joui tous les
deux ; Brigitte :
- Oh oui tu es encore raide, ne décules pas mon amour, profites bien de ta
salope
- Passe le moi dis je
- … bonjour, ici Germain
- Patrick, on se tutoie peut être
- Oui je crois que l’on peut
- Tu ne la reconnais pas n’est ce pas
- Non, merci pour ce que tu en as fait
- Elle m’avait dit que tu n’aimais pas le sexe
- Non …disons que je voulais une soumise sans avoir le cran de la dresser ;
alors je te demande de continuer son éducation
- Tu veux participer cet après midi avec Nadia et, en fin d’après midi, Alain ?
- Non je préfères pas, elle me racontera tout et je lui demanderai des choses
qu’elle aura faites sans risque de refus
- Comme tu voudras ; quelles sont tes exigences ?
- Qu’elle me décrive avant ce qui est prévu
- Ok je la brieferai avant chaque séance ce qui augmentera son angoisse et son
plaisir
- Qu’elle me raconte tout après
- Ouiiii gémit Brigitte… s’il te plait, encule moi encore
- Fais la attendre dis je
- Bien sur rétorque Germain… si tu la prostitues, c’est safe sexe
- Evidemment
- Et on partage
- Super pour moi
- Je voudrais que tu ailles jusqu’au bout
- C’est à dire ?
- Offerte en public, en pâture, écartelée debout, pendue par les mamelles,
pendue la tête en bas cuisses bien béantes, travaillée aux aiguilles mamelles et
clito, pince avec laisse au clito, poids et déformation des lèvres, percée,
annelée, ;.. tout sauf scato zoo
- Oui dis je si elle ne renonce pas
- Je refuse dit elle ….non mon amour attends moi ….oh le salaud s’est vidé….
- Tu refuses demande t il ?
- Non mes mâles, j’essayerai d’être digne de vous ….
- Allez je vais vous laisser dis je ; j’attends Brigitte à 13 heures, ne la
fatigue pas trop, elle va déguster cet après midi
- Ok bye dit il et sois sans faiblesse avec cette belle pute
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par Calimero77
#1317390
Même jour à 13 h 30
Je suis dans l’appartement d’Alain où j’ai installé les cordes aux crochets du
plafond ; les mousquetons n’attendent plus que les anneaux des divers bracelets,
colliers ou ceintures ; un dispositif prévu pour les laisses des chevaux
permettra d’en régler la hauteur. Je me suis vêtu d’un slip de cuir noir fendu
devant et qui laisse sortir ma queue, pour l’instant pendante. Sonnerie de porte
; j’ouvre ; elles sont toutes deux devant moi…les coquines se sont donné le mot
: jupe longue noire fendue sue le côté ; chemisier blanc transparent avec
soutien gorge blanc ; bas noirs dont on aperçoit le haut quand la jupe
s’entrouvre ; escarpins hauts rouges.
Je leur avais demandé une tenue sage de ville ; c’est superbe ; je devine
qu’elles portent chacune une culotte sage blanche qui va avec le soutien gorge ;
je leur demande et pour toute réponse, elles se troussent ensemble dans un
mouvement d’un érotisme torride…j’avais raison.
- Tu veux qu’on les retire demandent-elles ensemble
- Pas encore…vous êtes arrivées ensemble ?
(Je les conduis dans la chambre ; elles ne voient pas les cordes …pas encore)
- Non dit Brigitte, on s’était concertées par téléphone après le départ de
Germain…c’est une idée à moi
- Une superbe idée … vous vous êtes branlées au téléphone ?
- Un peu, par les culs et avec les clitos dit Nadia…on est très excitée par ce
que tu nous a promis et on a envie de commencer…
- C’est moi qui décide ; taisez vous quand je ne vous interroge pas ; vos culs
sont lavés ?
- Je me suis fait un lavement et je suis prête à y recevoir ce que tu voudras y
mettre dit Nadia
- J’ai gardé un maximum du foutre de Germain dit Brigitte
Je les place face à face …ma queue s’est dressée et elles la regardent en
coin…envieuses. J’ordonne à Nadia d’ouvrir un bouton du chemiser de Brigitte et
de sortir ses seins du Soutien gorge ; elle en profite pour lui pincer
amoureusement les bouts ; Brigitte gémit un peu et s’offre ; Nadia est toujours
très attirée par la magnifique poitrine de sa partenaire.
- On voit encore bien les marques de cravache dit elle… c’est beau
- Oh oui, Germain aussi était subjugué mais tu vas en rajouter n’est ce pas ; tu
vas frapper fort ?
- J’y veillerai dis je
Je tends à Brigitte un gode de 5 cm de diamètre et de 25 cm de long et je lui
ordonne de se pencher en avant et de s’enculer en regardant Nadia bien dans les
yeux et sans retirer sa culotte, en passant de côté ; elle n’a pas de mal à le
faire malgré la taille du gode ; elle est encore lubrifiée par le foutre de son
mari. Nadia assiste au spectacle torride de cette femelle penchée en avant
exhibant ses superbes mamelles pendantes et s’enculant lentement, profondément
pour trouver son plaisir ; Nadia, avec mon autorisation lui pelote les seins à
pleines mains et l’embrasse amoureusement ; je sens à ses réactions que la
petite putain va jouir ; j’interviens :
- Brigitte je t’ordonne de déculer, maintenant, obéis
- Oh nonnn salaud crie-t-elle dans un état de frustration totale…mais elle obéit
et garde l’objet dans sa main
- Continue à lui triturer les pis dis-je à Nadia
Ce qu’elle fait avec délice et un rien de cruauté…
Je les conduis dans le salon où elles voient le dispositif…. Elles se montrent
l’une et l’autre apeurées mais aussi impatientes et excitées ; je demande à
Nadia de s’installer sur un fauteuil, jupe roulée à la taille, cuisses sur les
accoudoirs, bien ouverte et je propose à Brigitte de s’agenouiller et de la
lécher partout en écartant la culotte. Elle s’exécute résignée à sa frustration
mais avec un immense espoir ; elle lui aspire le clitoris, lui mordille les
lèvres, lui enfonce la langue dans les deux trous…Nadia avance son ventre à la
rencontre des caresses puis elle plaque à deux mains la tête de sa «
tortionnaire » sur sa fourche et déguste son plaisir en gémissant « ouii salope,
continue, …encore » ; elle se fait attendre et vibre jusqu’au moment où elle
explose dans la bouche de Brigitte qui récolte amoureusement son jus et supplie
:
- Et moi mon chéri, je veux jouir
- Pas encore…allez Nadia mets la toute nue, tu vas la préparer…vas doucement …
Elle est vicieuse, elle en profite pour toucher aux endroits sensibles juste ce
qu’il faut pour relancer le désir ; ma Brigitte va devenir folle ; Elle est
désormais nue ; je lui ordonne de se mettre en levrette et à Nadia de la faire
jouir avec deux doits dans le cul et le clito torturé entre le pouce et l’index
de l’autre main. Mon esclave préférée démarre dans un orgasme fulgurant mais si
je la laisse jouir, je ne la laisse pas aller au bout et se calmer vraiment ;
j’exige de Nadia qu’elle la lâche afin de maintenir un minimum de frustration.
Elle lui caresse le visage, l’embrasse et lui dit :
- Tu es toute pleine ; Germain t’en a vraiment mis plein le cul… tu me le
présenteras pour qu’il m’encule aussi
- Oui si Patrick et lui sont d’accord
Elles sont debout Nadia toujours vêtue et Brigitte nue ; celle ci s’exhibe de la
manière la plus impudique qui soit : cuisses écartées elle se branle doucement
et s’offre à Nadia ; je laisse faire, ça augmente leur désir ; j’ouvre la
mallette ; Nadia écarquille les yeux
- Brigitte branle moi à deux mains, couilles et queue, mais ne me fais pas jouir
sinon tu seras châtiée : il te sera interdit de jouir pendant une semaine
- Oh noooonnn pitié
Elle obéit, ses mains sont douces et je peine à me retenir. Je tends le corset à
Nadia qui m’indique que, à son avis, il vaudrait mieux ne pas le mettre pour
bien voir les marques des coups qu’elle va porter sur le ventre et le dos …elle
a raison, j’accepte ; Brigitte frémit et je sens ses mains se crisper légèrement
sur ma queue… petite angoisse. Je tends à Nadia les divers autres objets : le
collier de cuir noir large de 3 cm équipé de deux anneaux métalliques larges,
devant et derrière ; les deux bracelets assortis, larges de 10 cm pour les
poignets équipés chacun de deux anneaux ; les deux bracelets identiques pour les
chevilles ; une ceinture assortie équipée de quatre anneaux et que Nadia serre à
fond ce qui a pour résultat de cambrer un peu plus les mamelles d Brigitte. Je
lui tends les bas autofixants rouges ornés de superbes motifs en dentelle et les
escarpins vernis ; elle s’accroupit en prenant soin de bien ouvrir sa jupe afin
que l’esclave puisse admirer sa culotte, puis elle monte un à un les bas dans
une longue caresse. Brigitte frémit ; Nadia lui met les escarpins ; enfin je
sors deux colliers de cuir noir également équipés d’anneaux ; je réponds au
regard intrigué de Nadia :
- Tu vas les serrer en haut des cuisses sur les bas…
Elle les place bien au bon endroit et les serre un rien trop fort marquant bien
le haut des cuisses ; Brigitte est magnifiquement attirante ; Nadia le fait
remarquer et ajoute :
- On ne verra pas les coups sur les cuisses
- Tu ne frapperas pas les cuisses mais seulement les endroits où la chair est
accessible ; tu es prête à la faire dérouiller
- Oui monsieur…le haut des cuisses …au dessus des bas
- Tu connais la règle ?
- Oui monsieur, après c’est elle qui me dérouillera pour son plaisir et le vôtre
- …et le tien
- J’ai peur !
- Tu es excitée ?
- Oh oui Monsieur
- Tu te sens cruelle ?
- … oui …monsieur
- Retire ta jupe et ta culotte
- Voilà Monsieur
- Je veux que tu sois bien pleine du cul pour officier
- A vos ordres Monsieur
- Ouii bourre cette salope mon chéri qu’elle me dérouille bien, ajoute Brigitte
- C’est toi qui va lui défoncer le cul…
- Oh oui
je lui tends le plus gros des deux plugs qu’elle prend avec gourmandise ; elle
cesse de me branler et demande à Nadia qui n’a jamais pris aussi gros de se
mettre en position…celle ci demande à être lubrifiée … « refusé salope, dis je,
je veux que tu sentes bien quand tu la maltraiteras ; surtout que tu as encore
sa salive et ton jus ». Nadia est obscène, nue du bas, hormis ses bas noirs, et
vêtue « bourgeoise » du haut ; elle se penche en avant et écarte ses fesses de
ses mains pour offrir son trou encore serré à Brigitte ; celle ci présente le
bout du plug sec sur l’anus et l’enfonce lentement, vicieusement, pour lui faire
mal, pour lui donner une raison de se venger.
- Pousse dit Brigitte, ouvre bien ton cul que je te mette…que je t’encule
- Ouiii salope, encule moi à fond … oui ça y est ? … c’est énorme…c’est dur…ça
fait mal …c’est bon…
- Allez Nadia dis-je en m’installant dans un fauteuil, accroupis toi et suce moi
la queue à fond de gorge comme je t’ai appris ; aide là Brigitte !
Nadia s’installe, Brigitte la prend par les cheveux et l’oblige à m’emboucher à
fond…je sens son gosier se contracter ; elle me branle bien …elle me caresse
doucement les couilles
- Je vais partir, je vais te juter dedans…recule toi bouche ouverte que je me
voie gicler et que tu en prennes plein la langue..tu partageras avec Brigitte
Brigitte la maintient embouchée et propose
- Fais toi sucer par cette salope mon chéri mais viens te vider dans ta seule
vraie putain
Je l’attrape par l’anneau du collier, je la gifle deux fois durement mais sans
violence inutile
- Tais toi salope et obéis
- Bien Monsieur, giclez où vous en avez envie…dans la femelle que vous voulez,
dans le trou que vous voulez ; regardez, elle à la bouche ouverte, je la tiens
juste devant votre gland tout violet…voilà, je vous branle…s’il vous plait,
pissez lui votre jus
Je n’en peux plus j’éjacule plusieurs jets longs et puissants ; Brigitte veille
à ce que la bouche de Nadia soit bien en face de ma queue ; Nadia a compris,
elle recueille le jus mais n’avale pas ; elle se tourne vers Brigitte et les
deux femelles s’embrassent en partageant mon foutre …long baiser…impossible de
débander dans ces conditions ; je demande :
- Tu es prête Brigitte ?
- Oui mon chéri …mais j’ai peur
- Tu peux renoncer, tu as les mots de sureté
- Sûrement pas Monsieur
- Et toi Nadia ?
- Je suis bien enculée, ça me fait mal, ça m’excite ; je suis prête à la
maltraiter…elle est encore vide…pas pour longtemps…
Cette dernière phrase a été murmurée mais je l’ai entendue et cela m’excite
terriblement ; que va-t-elle lui faire ? je demande à Nadia
- Tu as accepté la réciproque n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur
Nadia et moi, conduisons Brigitte sur le petit support de fortune et nous
attachons ses poignets avec des mousquetons aux cordes qui pendent du plafond ;
nous réglons la tension ; le tout se déroule dans un jeu de caresses de
pincements et de pénétrations qui rendent Brigitte encore plus chaude… puis nous
enlevons le support ; elle est pendue bras écartés ; nous plaçons la barre
d’écartèlement aux chevilles…son corps magnifique nous est offert ; elle nous
demande d’en « user » à notre guise…au maximum ; Nadia me demande la permission
d’enlever le haut, j’accepte. Elle le fait lascivement puis vient frotter ses
belles mamelles sur la chatte de Brigitte … soupirs, doux gémissements ;
lentement Nadia se redresse et se frotte les seins sur le ventre de l’esclave ;
elle s’écarte pour sue je voie bien, lui décapuchonne le clito à fond (il est
rouge et gonflé, superbe comme d’habitude) ; ensuite, elle le pince cruellement
entre les ongles du pouce et de l’index et tire puis tord…Brigitte souffre,
d’autant que les ongles de Nadia, comme les siens, sont longs et acérés, elle
grimace, elle a les larmes aux yeux ; elle gémit mais ne crie ni ne tente de se
soustraire ; Nadia continue à tirer…c’est un défi entre les deux femelles ; je
donne un coup de cravache sur les fesses de la tortionnaire qui se cabre et
m’interroge du regard
- Arrête Nadia, commence à la dresser à présent ; que choisis tu comme
instrument de flagellation ? Cravache, fouet ou martinet ?
- Martinet pour commencer, puis cravache si vous permettez
Je lui tends le martinet ; elle caresse doucement les mamelles puis
l’entrecuisse avec les lanières souples ; Brigitte réagit pleine d’espoir et
reçoit un coup de ce martinet en pleine face
- Salope, tu me le paieras dit l’esclave
- Je ne t’avais pas permis de prendre du plaisir ou de te laisser aller…et puis
j’espère bien que je le paierai.
Nadia se place alors devant Brigitte et la flagelle avec le martinet depuis le
visage, qui reçoit un coup léger de temps à autre, jusqu’aux genoux en
s’attardant bien sur les nichons qu’elle frappe en travers et la chatte qu’elle
cingle de bas en haut. Brigitte se tortille et feule ; elle apprécie … Nadia
aussi … magnifique ! Nadia s’interrompt et me regarde
- Monsieur veut il me passer la cravache ?
Je la fais mettre en levrette, cul bien en l’air face à Brigitte, et je lui
décule le Plug que je replante aussi tôt ; elle crie ; je regarde Brigitte … sa
jalousie est visible. Je me fais sucer par Nadia sans éjaculer puis je me retire
et je lui tends la cravache ; elle se relève, la prend, se place devant Brigitte
et se manipule ostensiblement une ou deux fois le plug ce qui la fait gémir ;
ensuite elle regarde son esclave dans les yeux et frappe un premier coup en
travers de l’abdomen au niveau du nombril … Brigitte se tend et pousse un cri
puis se ressaisit ; Nadia constate que la marque est peu visible : « pas assez
fort dit elle » ; elle réitère avec une plus grande violence…nouveau cri … strie
rouge bien visible. Je demande à la suppliciée de retenir ses cris à cause des
voisins « bien Monsieur dit elle » puis « tape encore salope » ; deux nouveaux
coups au même endroit mais plus en diagonale laissent des traces superbes et
provoquent deux cris rauques, étouffés mais inaudibles de l’extérieur de
l’appartement. Après quelques coups ainsi assénés elle passe derrière puis se
ravise : « non dit elle il faut que tu voies les marques » ; elle revient devant
, regarde Brigitte et lui murmure d’une voix rauque :
- Je vais te travailler les mamelles puis ce sera le tour de tes trous
- Attends dis-je prépare là
Je lui tends deux pinces au serrage réglable, chacune reliés à une chainette à
longueur variable terminée par un mousqueton, et dont l’une des mâchoires porte
un picot pointu pour éviter le glissement ; Nadia comprend instinctivement et
serre cruellement chacune des pinces sur chacun des tétons puis elle accroche
chacun des mousquetons à chacun des deux anneaux du collier ; enfin elle règle
la tension des chainettes pour que les pis soient bien tirés vers le haut. Le
spectacle est terriblement excitant ; Brigitte souffre et grimace en silence ;
Nadia l’embrasse, lui manipule vicieusement les nichons ; elle lui prend la
langue entre ses dents, la tire vers l’arrière en même temps qu’elle tord les
mamelons avec les pinces. Râle rauque de Brigitte. je me place derrière et je
l’encule…d’un coup …sans prévenir ; son trou me serre …elle aime ; Nadia mord
encore la langue et serre encore plus les pis ; je sens le cul se contracter …la
salope jouit ; Nadia place son genou entre les cuisses et dit :
- Elle dégouline et je sens son clito bandé
Je décule sans jouir …j’ai tout mon temps ; Nadia la lâche et elle supplie :
- Mon chéri, encule moi encore…fort…gicle
- Tu n’as pas assez souffert …allez Nadia, travaille lui les mamelles et les
trous
La blonde lui cingle les seins à la cravache laissant une belle marque à chaque
fois et visant soigneusement les pinces ; Brigitte se tord et à chaque coup elle
gémit des « merci salope » comme je lui ai ordonné ; après quatre coups par
mamelle, bien orientés pour que l’on voie toutes les marques, Nadia approche lui
caresse la toison puis lui enfonce quatre doigts dans la chatte en branlant le
clito avec le pouce. La chienne suspendue ondule d’autant qu’elle le peut puis
réclame qu’on la soulage. Nadia sort immédiatement ses doigts et la laisse dans
un état de frustration terrible puis elle lui donne les doigts à sucer :
- Tu aimes ton jus ?
- Oui ma salope …c’est fort … j’ai envie … je coule
Nadia se place à présent devant et s’apprête à lui travailler la chatte ; elle
donne un coup de cravache de bas en haut qui fait se tordre Brigitte tant
qu’elle peut et me dit :
- Ce n’est pas pratique, relevons le bas du corps que son tronc soit horizontal
; attachons lui les chevilles avec les poignets…
L’idée est excellent et j’accepte.
Nous allons prendre des chaises et nous nous plaçons de part et d’autre ; nous
détachons la barre d’écartement et nous lui relevons les jambes afin de pouvoir
relier les bracelets des chevilles aux anneaux qui tiennent les poignets ; son
corps est à l’horizontale ; les chevilles et poignets d’un même côté sont
attachés au même anneau ; les anneaux étant suffisamment écartés (nous y avons
veillé en les installant) pour qu’elle soit bien ouverte ; ainsi elle est
offerte, Nadia va pouvoir la travailler en confort et moi, je vais pouvoir en
jouir. Nadia se place devant elle, cravache à la main ; cravache qu’elle utilise
dans un premier temps pour lui écarter les nymphes et masturber doucement le
clitoris qui apparaît gros et rouge, tendu ; puis elle assène le premier coup…en
plein sur le bouton de plaisir ; la réaction est terrible : tension tremblement
et cri rauque. Nadia se branle le clitoris ; elle est heureuse ; elle a oublié
qu’elle subirait la réciproque…plus tard. Ou peut être n’a-t-elle pas oublié.
Elle donne ainsi dix coups avec précision, avec une infinie cruauté amoureuse,
sans violence excessive mais pour bien faire souffrir Brigitte en la laissant
dans le supportable et l’espoir de l’orgasme. Il ne faut pas que l’esclave soit
à bout et « passe au delà de la possibilité de jouir pour ne connaître plus que
la douleur »…Nadia comprend vite.
Brigitte, suspendue écartelée offerte vibre, tremble, gémit ; elle supplie qu’on
ne la laisse pas attendre ainsi. Nadia lui décapuchonne le clitoris, se penche
un peu et le mordille en tirant dessus faisant gémir l’esclave ; elle se
redresse et frappe encore trois fois sur la chatte ; le dernier coup est très
dur et Brigitte ne peut retenir un hurlement. Décidément, il faudrait que je la
bâillonne mais nous nous priverions de sa bouche…
J’ordonne à Nadia de se reculer, de poser la cravache et de se tenir debout
mains derrière la nuque, cuisses écartées, torse penché en avant, mamelles
pendantes ; elle obéit. Je lui pince les tétons, les tire et les tords ; elle
aime la salope. Je la fais retourner et pencher au maximum son torse mais visage
levé, tourné vers Brigitte pour que celle ci, tournant la tête sur le côté, voie
bien les ravages de ce que je vais infliger à sa tortionnaire et future esclave.
Je passe derrière elle et je la décule du gode sans précautions…gémissement de
douleur, espoir du plaisir ; elle attend de se faire enculer ; je lui caresse la
croupe et demande :
- Que veux tu Nadia ?
- Enculez moi Monsieur, j’ai été bien ouverte par le gode
- Ouiii renchérit Brigitte, enculez la bien…regarde moi dans les yeux Nadia
pendant que tu subis la queue de mon amant…
Je lui mets ma bite d’un coup ; en effet, elle est béante…trop large ; je lui
prends les nichons et les tords sauvagement tout en la défonçant jusqu’aux
couilles ; elle souffre mais se retient de crier ; j’ordonne :
- Ferme ton cul et serre moi la queue ou je te bousille les mamelles putain de
chienne
- Oui Maître, je vais essayer…voilà, vous aimez
- Oui esclave c’est bon, je vais te gicler dedans
- Nonn dans moi supplie Brigitte
- Tais toi Brigitte, je vais me délecter de son cul mais je vais me faire
attendre pour prendre un maximum de plaisir…quant à toi, Nadia, je t’interdis de
jouir
La queue toujours plantée à fond dans son cul, je la fais avancer à portée de
l’autre femelle et lui demande de l’embrasser ; Nadia prend Brigitte par les
cheveux et elles se font des langues bien visibles ; elles se les mordillent, se
les sucent, se prennent à pleines bouches. Je continue à pilonner Nadia et
puisque la position me le permet, je torture un sein de Nadia et un sein, rendu
sensible par la pinces et les coups de cravache, de Brigitte … celle ci souffre
mais donne tout son corps et son esprit…j’aime !! j’ordonne à Nadia de passer sa
main libre par dessous et de me tordre les couilles doucement…elle le fait et je
me vide longuement dans son cul…je décule…fin du tableau. Nadia se relève et se
malaxe les seins devant moi :
- Oh Monsieur, je n’en peux plus ; je me suis retenue à fond mais je n’en peux
plus…libérez moi, faites moi jouir…
- C’est Brigitte qui va s’en charger, elle va te sucer le cul avec sa langue et
boire mon sperme…la langue bien profond dedans… n’est ce pas Brigitte ?
- Oh je n’ai jamais fait … c’est dégueulasse …à tes ordres mon chéri, pour ton
plaisir
- Nadia, garde bien mon jus dans ton cul que cette salope puisse le boire
- Oui Monsieur, je serre fort
Je prends dans la mallette quatre « jarretelles à lèvres » : il s’agit
d’élastiques forts de type bracelets à documents terminés de part et d’autre par
un dispositif d’accroche ; d’un côté, une pince à picot du type de celles qui
sont serrées aux mamelles de Brigitte ; de l’autre un mousqueton pour attacher
aux anneaux des bracelets serrés en haut des cuisses et une pince à bas comme
celles qui équipent les porte-jarretelles ; on peut donc les relier soit aux
bracelets soit à la partie supérieure des bas ; les élastiques sont dotés d’un
dispositif d’ajustage de longueur permettant de régler la tension.
Je tends les instruments à Nadia et lui demande de les poser à raison de deux
par petite lèvres, un en haut et un en bas, les pinces à picots bien serrées sur
les chairs ; chacun attaché à un anneau du bracelet de cuisse (devant et
derrière la jambe). Je lui indique qu’à la fin, les élastiques devront être très
tendus, Brigitte sera béante, sa chatte utilisée comme un porte jarretelles.
Je reprends un martinet et je cingle les seins de Nadia en lui disant « au
travail salope et garde bien le jus »
- Oui Monsieur merci pour le martinet … si j’osais …vous pouvez continuer, ça
m’aidera
- C’est une bonne idée mais plus fort et puis je prendrai peut être la cravache
- Oui Monsieur, merci Monsieur, j’ai peur Monsieur mais j’ai envie de la faire
souffrir … je peux Monsieur ?
- Tu le dois ; allez vas y
- Oui vas y …. Dérouille moi souffle Brigitte
Nadia prend les quatre objets et les clipse avec les mousquetons aux anneaux des
bracelets, en haut des cuisses ; les quatre pinces pendent au bout des
élastiques. Nadia en saisit une à gauche et ouvre la chatte de Brigitte ; elle
prend la petite lèvre entre ses ongles et y pose la pince qu’elle serre
doucement d’abord puis plus fort après une supplique de Brigitte : « vas y
salope, fais moi mal, fais toi plaisir » ; elle serre ; Brigitte pleure mais en
redemande ; à vue sa petite lèvre est presque transpercée par le picot ; le
spectacle est merveilleux, je rebande durement et je continue à fouetter, par
instants mais solidement, les fesses de la tourmenteuse. Elle va placer ainsi
successivement les quatre pinces. Pendant qu’elle officie, elle effleure «
involontairement » et « maladroitement » le clitoris de Brigitte que je
soupçonne d’avoir joui « un petit coup » silencieusement … Cette chienne ne perd
rien pour attendre.
J’ordonne à présent à Nadia de bien tendre les élastiques afin de l’ouvrir au
maximum ; elle le fait avec ce qu’il faut de cruauté sous les suppliques de
l’esclave qui se tend dans ses entraves :
- Allez salope tend plus fort … ouii … encore !! ouiiiii …. Oh mon chéri, je
suis une putain ouverte, obscène … je vous plais, vous bandez bien…vous me la
donnerez votre belle queue ?
Brigitte est absolument magnifique : suspendue à mi hauteur, poignets et
chevilles reliés par des cordes aux anneaux du plafond suffisamment éloignés
pour qu’elle soit terriblement écartelée ; des pinces serrant les mamelles et
reliées au collier. Et, pour couronner le tout, les « jarretelles » que vient de
lui poser Nadia, tellement tendues qu’elle est ouverte au maximum et que le trou
central du vagin est bien visible ; on pourrait y mettre trois doigts sans
toucher les muscles…elle suinte du trou vaginal ; l’anus est plissé, palpitant
mais vide et le clitoris est isolé, privé de ses lèvres de protection,
décapuchonné par l’écartement, rouge, tendu, appelant la torture et le plaisir.
Je sollicite l’aide de Nadia et, par le réglage de la longueur des cordes du
plafond (anneau, corde, anneau) nous descendons Brigitte à une hauteur
convenable : la blonde étant à genoux, face vers les pieds de Brigitte, la tête
de cette dernière doit être à bonne hauteur pour qu’elle puisse « languer » le
trou du cul de Nadia et y récupérer mon jus ainsi que cela fut exigé par mes
soins. Nous la plaçons donc comme il se doit et Nadia s’installe. Je suis
d’humeur à les laisser jouer vu qu’aucune n’a « officiellement » joui pour le
moment …pas complètement de toute façon :
- Regarde ce clitoris Nadia, tu as envie de le lécher ?
- Oh oui, il est trop beau … et comme il est gros
- Attends je vais le préparer
Je joue avec la cravache pour le caresser et, du bout, je cingle l’organe à vif
ce qui provoque un hurlement sauvage ; Nadia comprend immédiatement et la
bâillonne en lui prenant la tête par derrière elle à deux mains et en la
plaquant sur son cul ; le cri est étouffé…je donne quatre coups de plus…le corps
d Brigitte vibre et un son rauque sort de sa gorge. Nadia se lâche :
- Allez sale petite pute … dedans la langue ouiii tu aimes ?
- Oui dit Brigitte c’est bon tords moi les mamelles …mets moi hors de moi…fais
moi jouir !!!
Comme je cesse de frapper, Nadia continue de se faire lécher le cul et embouche
le clitoris de Brigitte qu’elle suce amoureusement ; je m’assieds dans un
fauteuil et je les autorise à se lâcher ; je me branle doucement ; Brigitte
langue à fond Nadia qui la suce … gémissements, vibrations des corps…Nadia relie
ses doigts et pyramide et vise le trou de chatte de Brigitte qu’elle investit
d’un coup tout en reprenant le clito entre ses dents et en tirant avec amour ;
aux contractions de son poignet, on voit qu’elle serre et tourne son poing dans
Brigitte qui coule à fond et entame un orgasme très long sous les diverses
caresses. Quand Brigitte est calmée, Nadia lui prend bien la tête, lui remet au
niveau de son cul et hurle :
- Allez salope, dis moi merci, fais moi jouir avec ta langue … ouiii …
encuuuule… finis moi
Nadia jouit alors une première fois puis retire sa main de la chatte de
Brigitte, lentement mais en laissant le poing fermé ce qui arrache un long
feulement à l’esclave dont on ne sait pas bien s’il s’agit de douleur ou d’un
orgasme de plus. Puis la blonde se retourne et se positionne de telle sorte que
l’esclave puisse lui travailler le con ; elle lui prend la tête à deux mains et
se plaque la chatte sur sa bouche. Je ne vois pas, j’ordonne donc à Nadia de
commenter … ce qu’elle fait ; ainsi j’apprends que Brigitte profite de la
situation, lui décalotte le clito avec sa langue, le prend entre les dents de
devant, le mord et le tire. Nadia souffre et explose :
- Non salope arrête tu me fais mal ….non, non … oui, oui saaalooope
Nadia jouit sur le visage de Brigitte ; elle se relève et s’accroupit à son côté
tout en la reprenant par les cheveux ; elle lui lèche le visage et dit entre
deux coups de langue :
- Oh ma salope tu es couverte de mon jus et du sperme du mâle que tu as pris
dans mon cul … c’est bon…je t’aime, j’ai peur mais je suis impatiente … ça va
être ton tour.
- Ouiii ma belle chienne…embrasse moi avant que je te bousille dit Brigitte
Les deux femelles s’embrassent amoureusement et vicieusement. Je fais relever
Nadia et nous dépendons Brigitte qui, bien qu’un peu ankylosée, se relève ;
elles se jettent dans les bras l’une de l’autre et se font des langues tandis
que leurs mains s’égarent ; je cravache les fesses de Nadia puis celles de
Brigitte ; je n’ai pas autorisé cela ; elles se séparent et me font face …
debout mains derrière la nuque.
Je me lève et approche de Nadia, je lui prends le bout des seins entre mes
ongles et les torture durement , pinçant et tordant :
- Surtout ne bouge pas chienne … tu es prête à subir ?
- Oui Monsieur pour votre plaisir et celui de Brigitte
- Et le tien
- … et ma douleur et ma jouissance … j’espère
- Mon chéri, puis je te supplier ? demande Brigitte
- Oui mais attends un peu …reste bien mains dans la nuque, cuises écartées ;
Nadia relie les bracelets de ses poignets avec le mousqueton… voilà, bien…
maintenant, à genoux devant elle ; regarde bien : elle a toujours ses
jarretelles spéciales , elle est ouverte, clito dégagé et accessible… sors ta
langue et lèche lui le bout du clito, amoureusement, lentement…frustre la à fond
; Brigitte interdiction de bouger et de te manifester … je te veux calme en
apparence…maintenant je t’écoute salope :
- Je voudrais être pleine pour la torturer…derrière … bien dilatée
- Accordé … ensuite
- Je voudrais me voir comme je suis…salope à disposition
- Je ne comprends pas
- Allongez moi sur le lit, à plat dos, cuisses béantes sans retirer mes «
jarretelles » de chatte… vide aussi, chatte et cul et présentez un miroir devant
ma chatte que je puisse me voir telle que vous me voyez…
- …
- Je vous en prie …
La sonnette de la porte retentit
- Nadia, continue de la lécher et toi Brigitte, ne jouis pas, je reviens
Je regarde par l’œilleton … voilà Alain, nous allons être deux à jouer des deux
filles. J’ouvre, slip ouvert queue bandée … il porte un complet veston et une
cravate.
- Pourquoi sonnes tu chez toi ?
- Pour ne pas tomber au mauvais moment, pour que vous puissiez faire une pause
- Entre, elles sont dans le salon, prépare toi à profiter du spectacle…
Il me précède et tombe sur le tableau de Nadia à genoux en train de lécher
Brigitte debout, mains attachées dans la nuque, écartelée avec les « jarretelles
»…pinces aux seins avec chainettes reliées au collier, tous les bracelets de
cuir noir serrés, idem pour la ceinture, le corps marqué de coups. Sa main
touche imperceptiblement sa braguette ; il se ravise…mieux vaudra se faire
toucher par les filles. Il regarde le spectacle
- Magnifique dit-il ; comment Brigitte fait-elle pour ne pas réagir ?
- Je lui ai interdit
- Et elle obéit
- Oui faute de quoi je la mets dehors et je la quitte
- Hummm dit-il, je peux ?
- Ecoute, Brigitte a été torturée et les rôles vont s’inverser ; elle a fait une
demande que je vais accepter ; mais profites en un peu… fais toi calmer…ordonne
; tu as la main, nous avons encore deux heures
- Oui dit il , superbe …Brigitte, tu restes en position ; Nadia, tu viens me
déshabiller… lentement.
Elle s’exécute et effeuille lentement Alain : la veste puis la cravate puis la
chemise ; il apparaît torse nu ; elle essaye de l’embrasser, il la gifle « non
salope, c’est moi qui décide »…elle s’agenouille, défait la ceinture et ouvre la
braguette, baisse le pantalon et le slip ; Alain bande durement ; elle finit de
le mettre nu en retirant le tout jambe par jambe ; elle demeure à genoux et lève
la tête :
- Puis je vous sucer Monsieur Alain ?
- Oui salope prépare toi à me prendre à fond de gorge
Elle lui prend les couilles, les caresse et embouche sa queue, lentement,
profondément, vicieusement ; elle se retire puis se réembouche avec gourmandise.
Je me lève et rythme la fellation à coups de cravache dans le dos de la
suceuse…elle ne crie pas mais s’enfonce à chaque coup puis se retire lentement ;
la cravache marque le dos de Nadia ; ça m’excite terriblement … je bande ;
Brigitte intervient :
- Vous la fouettez pour me la préparer Monsieur ? allez y … je l’aime ; j’aime
la regarder se faire dérouiller ; je veux en faire une pute à mâles.
- Tais toi Brigitte … Alain ça va ?
- Ouiii elle est super douée, j’essaye de me retenir ; c’est insoutenable…
debout chienne tourne moi le dos penche toi le buste en avant et écarte tes
fesses… mets toi en position pour te faire enculer
- Oh oui Monsieur dit elle en s’ouvrant les fesses avec les mains, enculez moi à
fond
Il la plante d’un coup et lui jouit immédiatement au cul ; la frustration de
Nadia est extrême, elle gémit et supplie
- Oh Monsieur, vous m’avez remplie, je n’en peux plus, finissez moi…pitié
Alain s’est un peu calmé et se déclare prêt à assister à la suite. Je décide de
poursuivre :
- Alain, as tu un miroir que l’on peut prendre à la main ?
- Oui une petite glace rectangulaire simple de 20 cm sur 25 ; elle est dans la
salle de bains, je te la cherche.
- Ok dis je en attendant, Brigitte j’accède à ta supplique mais pas dans le lit,
plutôt assise dans l’un des fauteuils jambes repliées sur les accoudoirs…allez
salope installe toi et vérifie que les chainettes qui tiennent les pinces de tes
pis sont bien tendues ainsi que les quatre jarretelles à chatte. Allez, viens ,
je vais te libérer les mains
- Oui mon chéri dit elle se laissant désentraver, se calant la plus allongée
possible dans le fauteuil, ouvrant bien ses cuisses, les posant comme exigé sur
les accoudoirs et réglant les tensions des diverses attaches sans aucune
complaisance pour elle même : en tirant fort jusqu’à grimacer et en s’offrant au
maximum.
Alain revient avec le miroir queue dressée et se délecte du spectacle superbe de
la femelle ouverte…j’interpelle :
- Nadia prend le miroir, installe toi à côté d’elle et place bien la glace entre
ses cuisses ; montre lui comme elle est belle ; c’est ainsi qu’elle veut se
voir…
Nadia obéit et un jeu se dessine entre les deux femelles : la chienne blonde
place le miroir de telle sorte que Brigitte soit obligée de se cambrer pour bien
voir puis elle le déplace légèrement de bas en haut et de haut en bas obligeant
l’esclave à onduler. Alain et moi nous installons dans le canapé face à une
Brigitte exhibant impudiquement et avec un grand plaisir ses deux trous.
- Oh ouiii ma chatte béante et les jarretelles ; je suis superbement bandante le
con ainsi ouvert ; et mon trou du cul … c’est la première fois que je le vois ;
oh que c’est beau : il palpite, il est entrouvert ; il attend vos bites, il les
espère…voilà ce que je veux devenir : un objet auquel vous ne pourrez résister,
vos queues seront les esclaves de mes trous, vos couilles à la merci de mes
caresses….oui vos belles couilles, vous les viderez vous giclerez…ouiiii votre
jouet, votre drogue, une véritable addiction…je suis prête à endurer pour
cela…je vous appartiendrai d’autant plus que je jouirai de vous , que je
souffrirai de vous. Vous me marquerez, vous me percerez, vous me vendrez …ce
soir je trairai les couilles de Germain jusqu’à ce qu’il devienne fou, jusqu’à
lui faire mal…il aimera ce que vous m’apprenez…je ne jouirai pas, ce sera son
plaisir à lui …oh Mon chéri, je voudrais me branler aux deux trous en me
regardant dans cette glace et en admirant vos magnifiques bites bandées…s’il
vous plait ?
- J’accepte à une condition
- Laquelle mon chéri ?
- La main entière devant et quatre doigts au cul… sans préparation … d’un coup
- Ouiiii mon chéri regarde…
Elle se défonce des deux mains et regarde le spectacle dans la glace…elle entame
une série de violents orgasmes qui durent un long moment puis se relâche d’un
coup ; elle reste pantelante mais ne sort ni sa main ni ses doigts. Alain,
excité, lui ordonne :
- Décule toi, sors ta main salope et regarde tes trous ouverts
Excellent me dis je, il apprend vite et il a des dispositions ; Brigitte se vide
les deux trous et apparaît béante : devant, elle reste ouverte à cause des
jarretelles élastiques ; derrière, son cul se resserre lentement ; elle parle et
gémit :
- Oh je suis un trou….j’aime ….videz vous dedans, pissez moi dedans ; je suis
prête à dresser Nadia mais je ne veux pas avoir le cul vide…Monsieur je vous en
prie
- Que veux tu y mettre
- Quelque chose de gros
- Le gros plug ?
- …pas …assez…gros…je peux mon chéri ?
- Exprime toi dis-je en me levant et en m’approchant…touche moi
Elle me caresse d’une main la queue et de l’autre les couilles … c’est bon…et
dit :
- J’aimerais avec une bouteille de coca à cause du renfoncement…elle tiendra
toute seule malgré le poids…
Je suis tellement surpris que je dois me retenir de gicler surtout qu’elle en
profite pour me serrer les couilles et tirer sur la peau de ma queue et la
décalotter au maximum ; elle approche la bouche, je la gifle et lui dis : «
accordé si Alain a en stock » ; celui ci se rend à la cuisine et revient avec
une 33cl en verre … mais pleine. Je dis à Brigitte :
- Tu vas devoir la rentrer par le gros bout sinon la capsule sera dangereuse
pour ressortir
- Ouiiiii dit elle ; mettez la moi ou donnez la moi que je m’encule moi même
- Vas y dis je à Alain , ne la ménage pas mais ne la blesse pas
- Avec plaisir…
Il s’approche et pose le cul de la bouteille sur l’anus de l’esclave toujours
ouverte sur le fauteuil…il force ; elle s’écarte les fesses pour aider et pousse
; après quelques essais, la bouteille rentre conduite par la main ferme d’Alain
et se stabilise au niveau du renfoncement ; vicieusement mon complice la fait
aller et venir dans les deux sens et dit : « je crois qu’elle est correctement
en place »
- Ohh ouiii c’est énorme ; je ne pourrai jamais marcher ; j’ai mal ; je suis
enculée comme jamais
- Tu veux renoncer dis-je ?
- Oh non mon chéri dit elle sachant que je n’accepterais pas et qu’elle risque
juste une punition supplémentaire que je me ferai un plaisir de rendre très
difficile.
- Dire que voilà seulement un mois, je n’avais jamais été sodomisée et que
maintenant je supporte une bouteille de coca pleine dans mon cul … Hummmmm
Sur mon ordre, elle se lève … elle peine à marcher … elle écarte les cuisses au
maximum montrant ainsi ses « jarretelles vaginales ». Je prends dans la mallette
un objet de torture : une chainette terminée à une extrémité par une pince à
picot et à l’autre un petit poids conique de 100 grammes ; le tout mesure
environ trente centimètres. Je suis assis dans un fauteuil et je place Brigitte
debout devant moi écartelée ; j’admire son clitoris rouge tendu et décapuchonné
; je le caresse …elle gémit ….avance son bassin, s’offre :
- Oui mon chéri, branle moi bien que je jouisse pour toi, enculée à fond et
chatte béante….oh comme tu bandes…
Non salope, tu attendras et pendant que tu travailleras Nadia, tu porteras ce
poids attaché à ton clito.
Nonnn pas ça, je ne pourrai pas supporter, ça fait surement très mal…pitié
Monsieur…
Alain se lève pendant que je continue de la branler, il prend la cravache et lui
cingle le dos de plus en plus fort…un coup…deux….trois….quatre ; elle crie mais
ne fuit pas et continue par ailleurs à savourer le branle de son clitoris ; au
huitième coup, elle cède :
Ouii Monsieur je veux bien essayer mais vous me promettez d’arrêter si je ne
supporte pas.
Non je ne promets pas ; par contre si tu ne fais pas l’effort de supporter le
supplice, je t’abandonne, je te mets à la porte et nous restons, Alain et moi, à
jouer avec Nadia…
Nonnn, allez y Monsieur dit elle en avançant le ventre
Je replace le capuchon sur le clitoris car la pince à vif ne serait pas
tolérable ; enfin pas encore ; je place la pince à picot et je la serre
doucement à l’aide de la vis de réglage ; je regarde le visage de mon esclave et
j’arrête de serrer lorsque la grimace témoigne d’une grande souffrance ; je
laisse alors pendre le poids et lui demande de marcher. Magnifique spectacle !
elle marche très écartée pour tolérer l’énorme enculage ; sa chatte est béante
et son clitoris est tendu vers le bas par le poids qui balance à chaque pas,
augmentant ainsi la souffrance de l’esclave. Elle souffre, elle supporte mais
elle aime visiblement ce traitement.
A présent, elle va pouvoir « travailler » Nadia pour nous…
- Allez Brigitte dis-je Nadia est à toi, venge toi, sois cruelle mais ne la
blesse pas
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par Calimero77
#1396671
Petit résumé du chapitre 10 : nous avons, Nadia et moi, passé l’après midi à
torturer Brigitte et à lui ordonner des pratiques. Puis Alain est arrivé et
s’est calmé en enculant Nadia qui va, maintenant compte tenu de ce qui a été
convenu et qu’elle a accepté, être torturée par Brigitte.

11
Brigitte porte des escarpins, des bas et des « jarretelles spéciales » (voir
chapitre 10) ainsi que des bracelets, un collier, une ceinture en cuir et des
pinces à pis. De plus, à sa demande, une bouteille de coca est enfoncée dans son
anus, plantée par le gros côté et stabilisée sur l’étranglement. Enfin, elle
porte un poids attaché à son clito par une pince à picot et une chaînette qui
lui rappelle qui elle est par la douleur infligée. Elle marche devant nous le
plus doucement possible pour que le poids ne balance pas trop.
Nadia est nue sauf des bas noirs et des escarpins ; elle a été enculée par moi
puis, après son arrivée, par Alain ; elle a été léchée et languée par Brigitte…
elle se tient debout devant moi… elle sait, redoute mais espère … elle attend,
offerte ; ses trous sont vides.
Alain et moi, sommes nus et bandés, assis chacun dans un fauteuil. Contrairement
à ce que nous aurions pu penser, il n’y a pas de gêne ; nous nous regardons sans
désir particulier mais sans répulsion ; .. plutôt une pointe d’excitation…les
filles ans doute...
- Tu as la main Brigitte dis-je
- Qu’est ce qui te ferait plaisir mon chéri ?
- Sois inventive … sois très salope … cruelle aussi ; excite-nous, donne nous
envie de jouir de vous deux.
- Approche femelle dit Brigitte en faisant face à Nadia ; viens à moi cambrée et
cuisses écartées.
Celle ci obéit et se place devant celle qui va être sa tortionnaire, écartant
ses cuisses et tendant son ventre ; Brigitte lui prend la tête d’une main et
l’embrasse sur la bouche en se frottant au maximum, amoureusement ; continuant
son baiser pleine langue, elle lui prend les mamelles à pleines mains les malaxe
puis elle lui pince les tétons entre les ongles et les tord. Nadia gémit sans
décoller son ventre et essaye de retirer sa bouche …Brigitte lui a pris la
langue entre les dents et la tient sortie. Nadia se soumet et se frotte de plus
belle espérant faire souffrir le clitoris torturé de Brigitte ; celle ci garde
la langue de sa partenaire entre ses dents et un sein ; de l’autre main elle
pince le clitoris de Nadia…les deux corps ondulent ; Brigitte a des mouvements
déterminés pour faire balancer le poids. Gémissements…spectacle torride
…difficile pour Alain et moi de ne pas se branler. Nous échangeons un regard,
nous sommes d’accord ; nous nous levons, nous prenons chacun une cravache et
simultanément nous frappons les fesses des deux femelles ; elles comprennent et
se séparent non sans continuer à balader leurs mains sur le corps de l’autre ;
Brigitte gémit au rythme du poids qui balance lentement à son clitoris.
- Je vais la parer pour vous dit elle…comme vous bandez bien … regardez-moi,
j’aime… ça m’excite de m’exhiber devant vous !
Ma mallette est toujours ouverte sur la table basse ; Brigitte y prend un corset
noir d’un tissu assez fin et le met à Nadia. Il se lace dans le dos et la
tortionnaire le serre au maximum à tel point que, pendant un instant, Nadia
peine à respirer …puis elle se détend ; Elle est superbe, ses mamelles bien
rehaussées ; Brigitte lui caresse les seins, les tords…Nadia gémit et reçoit une
gifle appuyée :
- Silence dit Brigitte, tu es très belle ainsi… allez cuisses ouvertes, mains
dans le dos, bouche ouverte, langue sortie montre aux mâles comme tu es pute,
comme ils pourront jouer, se faire plaisir, jouir
Nadia s’exécute et Brigitte la gifle de nouveau ; Alain, un peu interpellé par
ces gestes plus profonds de sens que le fouet, entame le geste d’intervenir mais
je le retiens.
- Compte salope dit Brigitte en frappant pour la troisième fois
- Un …deux…trois … xxx… dix ; chienne tu te branles discrètement !
- Comment dit Brigitte d’une voix rauque
- Tu bouges pour faire balancer le poids
- En plus je vois bouger la bouteille dis-je, cette salope fait jouer les
muscles de son cul STOP de suite salope !
Mon esclave se tend, immobile et laisse le poids se stabiliser ; elle mérite une
punition exemplaire ; je la fais approcher et comme à son habitude elle se
présente mains derrière la nuque et cuisses écartées au maximum. Je prends la
chaînette et tire durement vers le bas en lui interdisant de bouger ; elle ne
veut pas crier ; elle gémit bouche close et des larmes coulent de ses yeux ; je
continue à tendre … elle comprend enfin : « Merci Monsieur » dit-elle ; je
lâche, elle se calme un peu mais ne bouge pas … bien, elle apprend vite. Je
demande à Alain s’il a une idée de punition ; il garde le silence mais se lève,
passe derrière elle , la fait légèrement pencher vers l’avant ; il prend le
goulot de la bouteille et la décule du plus vite qu’il peut ; c’est à la limite
de ses forces…elle hurle mais, se souvenant des ordres, elle ferme sa bouche et
son cri se termine dans un râle nasal, exprimant avec moins de bruit, autant de
souffrance.
- Tu veux être réenculée salope ? demande-t-il
- Oui mais doucement Monsieur, ne me cassez pas …
Violent coup de cravache sur les fesses asséné par Alain
- Je n’ai pas entendu dit-il
- Oui Monsieur, enculez-moi comme vous voulez et avec ce que vous
voulez…faites-vous plaisir.
- Penche-toi bien en avant et écarte tes fesses avec tes mains
Elle obéit et, vicieusement se penche au maximum et s’ouvre pour qu’Alain voie
bien ses deux trous ouverts. Il lui met d’un coup sa queue dans le cul encore
écarté par la présence récente de la bouteille ; il va et vient puis me demande
un martinet que je lui tends ; il se plante alors au bon endroit (base du gland
au niveau du sphincter), lui cingle le dos et lui ordonne de serrer. Elle obéit
avec un plaisir immense et le branle avec son anneau. En même temps, cette
salope remue légèrement le bassin pour maintenir le balancement du poids qui la
fait souffrir. Le spectacle dure plusieurs minutes ; Alain gémit de plaisir et
lui cingle le dos à intervalle régulier mais durement. A chaque coup, comme par
habitude, Brigitte compte ; arrivé à 12, Alain ne peut plus se retenir ; il
décule, passe devant elle, la fait se pencher la bouche à hauteur de sa bite ;
spontanément, elle le branle efficacement à deux mains, queue et couilles,
bouche grande ouverte et langue sortie. Il éjacule de longs jets de sperme qui
se répartissent entre la langue, la bouche et le visage de la chienne. Celle ci
se tourne et se relève, faisant face à Nadia….Sous nos yeux les deux femelles
s’embrassent, se lèchent le visage et dégustent ensemble le jus d’Alain pendant
que, se replaçant derrière Brigitte, il lui cravache durement le dos laissant
des marques bien visibles…elle langue Nadia de plus belle en gémissant et
continue son balancier… elle aime ….Elles aiment. Je leur ordonne de continuer
pendant qu’Alain reprend la bouteille de coca et la replante par le gros bout
dans le derrière de Brigitte…sans précautions … elle crie… elle souffre et se
donne …magnifique ! je lui demande :
- Tu as joui Brigitte sous l’enculage ?
- Non Monsieur malheureusement
- Biennn tu n’en seras que plus sensible et plus cruelle
Sur notre ordre, elle se relève, je resserre la pince du clito pour qu’elle
tienne bien et nous lui disons qu’elle peut jouer de Nadia à sa guise…pour la
durée qu’elle voudra et suivant les règles qu’elle voudra bien se fixer en
rappelant que l’esclave peut interrompre à tout moment avec les safe words.
Notre magnifique Brigitte pare Nadia de colliers, ceintures et bracelets
identiques aux siens, y compris les grands bracelets du haut des cuisses. Elle
demande :
- Y-a-t-il d’autres « jarretelles » ?
- Oui salope dans la mallette ; 4 identiques aux tiennes
- Je peux Messieurs ?
- Bien sur, tends les bien
Sur sa demande, je m’installe dans le canapé et libère donc un fauteuil.
Brigitte y fait installer Nadia cuisses ouvertes sur les accoudoirs et lui pose
les « jarretelles » qu’elle tend au maximum faisant grimacer et gémir son
esclave. Elle se recule, prend la cravache qu’utilisait Alain, regarde le
spectacle de cette chatte ouverte au clito bandé. Elle caresse cette offrande
dressée avec le bout de la cravache puis donne un petit coup peu ample mais très
sec. Nadia jette un cri mais ne bouge ni ne se resserre.
- Je t’écoute dit Brigitte
- Un …merci Maîtresse Shlack … deux … merci … dix …. ahhhhhhhh
Nadia se détend et gémit doucement mais ne modifie pas sa position. Brigitte a
réussi à la faire jouir au dixième coup du bout de la cravache sur le clito puis
loin d’être satisfaite, elle continue à « travailler » la femelle au même
endroit ; Nadia pleure, gémit mais elle continue à compter :
- Onze…aïe … douze … … dix huit … salope, j’ai trop mal, tu me bousilles le
clito … tape plus bas …en plein sur le trou…vingt …s’il te plaiiiittt
saaaalooopppee
Brigitte se dandine bien enculée et lestée qu’elle est pour se positionner
derrière le dossier du fauteuil où se trouve Nadia ; elle a ainsi une vue
plongeante sur la chatte tenue grande ouverte et le clito martyrisé ; elle peut
frapper où elle veut.
- Tu as bien dit sur le trou chienne ? prépare toi
- Ouiii dit Nadia en passant sa main derrière le fauteuil, saisissant le poids
clitoridien de Brigitte et tirant dessus.
Brigitte sublimée par la douleur causée par le geste spontané de sa chienne du
moment frappe quatre coups en plein centre d’une violence telle qu’ils font
vibrer les élastiques des « jarretelles » écarteleuses. Nadia ne modifie pas la
position mais en profite pour tirer sur le poids et émet un long hurlement de
bête offerte, très jouissif pour nous les deux mâles.
- Arrêtez dit-elle je ne peux plus supporter
- Veux tu arrêter ?
- Oui Monsieur me répond-elle
- Alors dis-le avec les mots prévus
- ….
- Je t’écoute
- Non je ne peux pas
- Dans ce cas subis, souffre et jouis mais tais toi
- Bien Monsieur…regardez comme je suis béante…je veux qu’elle frappe encore
- Lâche le poids et branle toi le clito avec les ongles salope dis-je
- Ouii mon chéri voilà regarde
Elle pince, elle triture, elle tire et tord, elle cherche son plaisir … elle a
vraiment envie de jouir… je regarde et je donne un ordre :
- Vas y Brigitte cravache bien, aide là
Brigitte cingle par à-coups en évitant soigneusement la main branleuse et en se
concentrant sur le trou bien ouvert au centre ; elle ne frappe pas trop fort,
elle a envie de voir jouir Nadia qui se branle de plus en plus énergiquement
avec les ongles en alliant un peu de douleur avec la recherche de son plaisir.
Elle s’exhibe ainsi, cuisses bien écartelées et montrant sa masturbation
lorsqu’elle se tend et démarre un puissant orgasme. Brigitte titille le centre
et laisse les ondes de plaisir s’installer ; Nadia ondule, sa tortionnaire lui
retire la main du bout de l’instrument et cravache deux coups ave violence sur
son clitoris décapuchonné…hurlement sauvage ; resserrement brutal du ciseau des
cuisses…gémissements …lent balancement de Brigitte qui à envie e jouir…mon ordre
de rester immobile … apaisement de Nadia qui déclare en regardant l’autre
femelle :
- Je n’ai jamais connu cela, je n’ai jamais rien vécu d’aussi fort…douleur et
jouissance …je t’aime salope … j’ai envie de te toucher.
- Plus tard dit Alain, j’ai envie de me soulager
Il s’approche de Nadia et lui ordonne de remettre ses cuisses sur les accoudoirs
pour qu’elle soit bien béante puis se met en position et la pénètre de sa queue
; il la baise lentement en lui « caressant » vicieusement et sans précautions le
clitoris encore trop sensible.
- Soulage toi, vide toi dit elle ; j’ai trop mal …noonnn s’il te plait
- C’est super dit Alain de défoncer une femelle torturée mais je la sens à peine
à cause des « jarretelles » … serre toi le con salope….
Elle s’exécute en grimaçant
- C’est dur dit-elle ; ça tend les jarretelles…en…cule …moi je serai plus serrée
Alain la gifle durement trois fois de suite tout en la baisant lentement autant
que profondément ; son plaisir et son excitation se lisent sur son visage.
- Tu es une esclave, c’est moi qui décide dans quel trou je dois te mettre ma
queue …allez regarde moi dans les yeux
- Oh oui dit elle, votre belle queue me fend la chatte…je vais venir encore une
fois
Mais Alain ne veut pas qu’elle ait un nouvel orgasme ; il se retire ; elle est
toujours mi assise dans le fauteuil cuisses béantes sur les accoudoirs ; il est
presque à bonne hauteur ; il se positionne, la prend par les cheveux et gicle
dans sa bouche qu’elle a ouverte spontanément. Il se recule et laisse Brigitte
venir l’embrasser à pleine bouche mélangeant salive et sperme.
Alain revient s’asseoir et Brigitte me regarde d’un air interrogateur :
- Je peux continuer mon chéri ?
- Bien sur
- Je peux prendre le carcan à seins ?
- Je t’ai déjà donné mon feu vert pour tout ce qui est admis dans nos jeux
- Ouiiii, je vais vous la préparer…en faire votre jouet, pour vos belles
couilles, pour votre plus grand plaisir … pour Germain aussi…vous me la prêterez
?
Elle fait lever Nadia, la positionne devant elle et attache les bracelets de ses
poignets aux annaux latéraux du collier ; puis elle relie, avec une barre
rigide, un rien trop courte, l’anneau postérieur du collier à celui de la
ceinture. Elle caresse, elle regarde, elle n’est pas satisfaite car si Nadia ne
peut plus pencher la tête, elle peut toujours plier le dos et fuir les tortures
mammaires à venir. Brigitte cherche une solution et m’interroge du regard. J’ai
le matériel nécessaire : je sors de la mallette un plug de plastique noir,
conique, pas très long de 8 cm de diamètre au plus large et à peine 3 à son
étranglement qui est très proche, dans la longueur, de la partie maximale ; ce
dispositif permet de bien maintenir le plug en place ; en effet, une fois
enfoncé dans le cul de l’esclave, il devient difficile à sortir ; enfin, l’objet
est muni, à sa base, d’un anneau d’acier permettant, entre autres, de tirer pour
l’extraire. Brigitte retire la barre rigide, prend l’objet silencieusement et le
montre à Nadia dont les yeux se remplissent de crainte tant il semble monstrueux
ainsi sorti de son « contexte ». La tortionnaire, très excitée détache les mains
de son esclave et dicte ses ordres :
- Penche toi en avant et écarte bien tes fesses que je t’encule avec ça ma belle
petite putain.
- Oh non dit Nadia en s’exécutant et en nous montrant bien son petit trou, c’est
trop gros, ça ne rentrera jamais, tu vas me déchirer…va doucement, je veux
rester disponible pour les queues des males ; je veux qu’ils continuent à jouir
de mon petit cul.
- Ne rechigne pas dit Brigitte, ce n’est pas beaucoup plus gros que la bouteille
de coca que j’ai dans mon cul et c’est beaucoup moins lourd ; tu verras c’est
jouissif, tu peux te branler en serrant ton anneau et tu as l’impression d’avoir
une queue monstrueuse et immobile que tu voudrais faire bouger. Allez, lèche le
bien pour qu’il ne soit pas trop sec, dit elle en lui approchant de la bouche.
Nadia salive consciencieusement et lubrifie l’objet se sa langue, sachant que
plus il sera mouillé et moins elle souffrira. Quand elle est satisfaite,
Brigitte fait tourner l’esclave de sorte que nous voyions bien la pénétration
anale ; elle présente l’objet et le fait doucement rentrer en tournant d’un sens
et de l’autre pour faciliter la dilatation de l’anneau. Le début est aisé puis
devint de plus en plus difficile du fait du diamètre. Brigitte pousse et tourne
de plus en plus fort mais sans vitesse excessive pendant que Nadia gémit entre
plaisir crainte et douleur. Enfin, la partie la plus large passe, l’anus se
referme sur l’étranglement, l’esclave pousse un long râle très excitant pour
nous et soupire :
- Oh comme je suis bien enculée …nonnn ne tire pas, n’essaye pas de le sortir ça
fait mal….ouiii tourne … comme ça !! fais moi jouir du cul…
- Certainement pas dit Brigitte, je veux te torturer les mamelles …tu ne peux
pas savoir comme j’en ai envie…allez redresse toi que je te prépare.
Brigitte fait un dernier geste pour ouvrir les fesses de Nadia afin que nous
admirions bien la base noire munie de l’anneau du plug enculeur ; après cela,
elle prend les cheveux de l’esclave et la redresse d’un coup puis l’embrasse sur
la bouche, pleine langue, toujours de la façon la plus ostentatoire possible ;
cette fille aime à nous faire espérer le plaisir et à nous le donner. Je lui
tends une longue ceinture de cuir noir avec boucle de serrage. Elle comprend
vite : elle passe la lanière dans l’anneau du plug puis dans l’anneau postérieur
du collier ; elle introduit l’extrémité dans la boucle ; elle tend pour que
Nadia reste bien droite, voire un peu cambrée en arrière ; elle serre la boucle
sur la lanière pour immobiliser le tout. Ainsi l’esclave peut baisser la tête
mais ne peut se pencher sinon de se faire très mal au cul à cause de la
tentative d’extraction du plug. Elle se tient donc très droite ses belles
grosses mamelles offertes et les gros bouts érigés … elle a envie …Brigitte lui
rattache les poignets au collier et lui ordonne de se tenir cuisses bien
écartées pour que ses « jarretelles » soient tendues au maximum et que son trou
de femme soit bien ouvert. Cette femme est un cadeau offert ; Alain et moi
sommes hyper excités. Brigitte lui prend les seins et les malaxe, elle
l’embrasse, l’oblige à sortir la langue, la mordille et la tire ; de temps à
autre, une main lâche un sein et explore le clitoris avec ses ongles. Nadia
ondule, gémit et espère. Brigitte insiste et dit :
- Tu aimes enculer ?
- Oui enculée tu vas me faire jouir
- Si tu jouis je te bousille le clito
- …
- je mets une pince à picot serrée jusqu’au perçage sur la partie sensible et je
pends un poids de 500 grammes puis je te fouette avec les maîtres pour t’obliger
à danser. Tu ne pourras plus jouir pendant des semaines tant tu auras mal… alors
retiens toi ! attends, je vais te calmer…
Brigitte se penche et prend le téton gauche entre ses dents ; elle le tire et le
mord jusqu’à ce que Nadia pousse un hurlement ; elle lâche, les marques de dents
sont bien visibles ; elle fait subir le même sort au téton droit ; nouveau
hurlement. Enfin, jugeant son jouet calmé elle la laisse un instant et me
demande :
- Puis je avoir le carcan mon chéri ?
Je lui tends l’objet formé de deux barres de bois de 50 cm de longueur et de 5
cm sur 5 de section traversées par trois longues tiges filetées aux deux
extrémités et au centre de chaque barre. Sur le dessus, les tiges filetées sont
terminées par des anneaux de suspension de taille suffisante pour supporter 50
Kg chacun. Sur la partie inférieure, les tiges sont équipées de vis papillons
permettant par vissage à la main de diminuer l’écartement des deux barres ;
lorsque les vis papillons sont desserrées, les deux barres sont distantes de 20
cm et lorsqu’elles sont serrées au maximum, les deux barres sont jointes.
Brigitte admire l’objet et le montre bien à Nadia dont la peur mais aussi
l’envie se lisent dans les yeux.
- Attends dis je à Brigitte
Je veux pouvoir jouer de l’une et l’autre quand je sera à la limite du désir ;
je me lève et je décule Brigitte d’un coup ; elle crie longuement de douleur et
de frustration ; je lui enlève le poids ce qui la fait réagir en gémissant de
douleur.
- Excite nous, amuse toi bien avec cette chienne ; nous t’enculerons et nous te
branlerons jusqu’à te faire crever de jouissance.
Brigitte, excitée au maximum pose le carcan aux mamelles de Nadia puis elle
serre les vis en prenant soin d’équilibrer la pression en commençant toujours
par la vis située entre les seins ; elle en profite toujours pour lui malaxer
les bouts, l’embrasser et la masturber de temps en temps. Lorsqu’elle a fini, le
carcan est hyper serré ne laissant que quelques cm à la base des mamelles dont
les parties apparentent sont tuméfiées et violacées. Nadia souffre mais reste
ouverte à disposition ; vicieusement , Brigitte tord les bouts rendus hyper
sensibles. Nadia émet de longues plaintes et supplie qu’on la libère de cette
énorme pression mais s’abstient de prononcer le mots de sécurité. C’est alors
que Brigitte nous informe de la suite de son programme :
- J’ai envie de la pendre par les mamelles
- Nonnn pitié hurle Nadia
Alain et moi, nous nous levons et nous portons l’esclave à son sacrifice ; nous
la soulevons et nous passons les sangles de suspension dans les anneaux du
carcan ; nous réglons court ; elle est suspendue les pieds à 20 cm du sol ; nous
terminons par une barre d’écartement aux chevilles que nous plaçons large et no
sans tirer un peu vicieusement vers le bas pendant l’opération ; le tout est
ponctué des longs gémissements de Nadia qui souffre mais ne demande pas grâce au
contraire :
- Pourrai-je supporter encore ? dit elle
- A toi de voir dis-je tu connais les procédures de sécurité ?
- Oui mais si je les utilise vous me quitterez et je ne verrai plus Brigitte non
plus
- Mais le « stop soft » n’interrompt que la torture en cours
- Je pense que vous seriez déçus
- Bien vu salope
Je m’approche de ce bel objet, je monte sur un petit tabouret et j’enfonce ma
queue dans sa chatte tellement écartelée par les « jarretelles » que je la sens
à peine ; malgré ou à cause de la souffrance, elle est trempée ; je joue
vicieusement avec le gros plug, tentant de le sortir du cul où il est logé bien
serré et je la tire un peu vers le bas afin de bien faire souffrir ses mamelles
; Cris et gémissements, je ne jouis pas ; je me retire ; elle dit sa frustration
et je me fais sucer devant elle par Brigitte que j’embouche au maximum pour y
déverser mon plaisir… elle avale, se relève et prend la cravache. Doucement
d’abord puis de plus en plus fort , elle fouette les mamelles de Nadia qui se
tortille et gémit sauvagement de douleur en essayant de retenir des cris
stridents. Alain et moi, nous constatons que Brigitte se branle doucement d’une
main en faisant attention de ne pas torturer son clitoris encore tuméfié par la
pince. Alain se lève, s’installe derrière elle et la fait pencher un peu ; il
l’encule d’un coup facilement son anus n’étant pas entièrement refermé ; il va
et vient lui caressant les mamelles et le clito par devant ; Brigitte fouette de
plus en plus fort et se déchaîne encore plus quand l’enculage lui déclenche un
orgasme puissant. Nadia crie et se tord augmentant encore la torture de ses
beaux pis pendant que Brigitte jouit en hurlant.
Alain se vide au cul de Brigitte puis décule et les deux filles se calment un
instant jusqu’à ce que Brigitte dise :
- Messieurs mes maîtres, je voudrais la finir
- Comment veux tu faire ?
- Si j’osais, je dirais que c’est une surprise
- Pourquoi pas
- Pouvez vous me l’installer pendue par les seins et les chevilles ventre vers
le haut ; il ne reste que les chevilles à attacher après l’anneau ; il faudra
lui laisser la barre d’écartèlement…
Ainsi fut fait par Alain et moi émoustillés par l’imagination. Nous avons bien
resserré le carcan et nous avons également attaché l’anneau antérieur du collier
pour que la femelle ne risque pas de glisser la tête en bas.
- Descendez là un peu mes chéris s’il vous plait ; je voudrais être à genoux et
avoir sa chatte au niveau de ma bouche…
Et voilà que nous obéissons…Nadia est en position, Brigitte s’installe et lui
caresse doucement le mont de vénus ; Nadia se détend et gémit ; Brigitte
l’embrasse sur le clito ce qui la fait vibrer et lui dit :
- Tu as encore mal salope ?
- Oui mais continue c’est bon
- Où as tu mal ?
- Aux seins c’est dur … et le plug dans le cul … la position le tire … mais vas
y … continue
- Tu as déjà été pénétrée de la main dans ta chatte ?
- Nonnn salope s’il te plait ; ça ne rentrera pas … pas avec le plug dans mon
anus … pitié …tu peux mettre trois doigts mais pas plus …
- Maître ? demande Brigitte
- Elle est ton jouet répond Alain ; profites en comme tu l’entends
Brigitte enfonce doucement trois doigts et leur imprime un mouvement de va et
vient constatant et nous faisant constater que la salope est pleine de jus ;
puis elle force le quatrième doigt et place le pouce ; elle force doucement la
main entière ; sans brutalité ; elle veut donner du plaisir pas torturer ;
brusquement, le muscle vaginal cède et la main pénètre entièrement tandis que
Nadia émet un long feulement d’espoir. Brigitte la masturbe intérieurement en
tournant sa main :
- Ouii je sens bien le plug que tu as dans le cul allez salope lâche toi
Elle se penche et aspire le clitoris dressé pendant qu’elle bouge sa main ; nous
ordonnons à Nadia d’attendre les plus possible ; le spectacle dure plusieurs
minutes puis l’esclave explose et jouit.
Le calme revient dans la pièce ; Brigitte sort sa main et ne peut s’empêcher de
l lécher ; nous descendons Nadia de son attelage et nous la posons écartée sur
un fauteuil ; elle gémit encore doucement ; nous retirons les « jarretelles »
puis la barre d’écartement ; nous enlevons la sangle qui la tenait droite et
nous la déculons doucement en sollicitant son aide … pousse salope… chie nous ce
corps étranger. Enfin nous la libérons de son carcan à seins et du reste de ses
bracelets et divers appareils.
Alain est encore en forme et il reste un peu de temps ; il pose le carcan bien
serré à Brigitte lui demandant de se tenir debout et la fouette cruellement aux
seins tandis que Nadia, à genoux à ses pieds lui branle la queue. Il jouit,
Nadia boit et tous deux libèrent Brigitte de tous ses atours de dressage.
Les deux femelles apparaissant nues et en bas noirs, face à face. Sur notre
ordre, elle se font une dernière fois l’amour debout ; Pendant ce temps ; Alain
et moi enculons respectivement mais simultanément Nadia ; Brigitte et nous nous
synchronisons pour jouir en même temps … miracle nous y parvenons tous quatre.
La séance est terminée ; nous nous remettons en tenue de ville et donnons rendez
vous pour le jeudi suivant non sans avoir donné le programme : à la prochaine
séance, l’une d’elles (Brigitte) sera prostituée ; les mâles seront huit ; Alain
et moi allons les recruter…Nadia les testera … nous avons un scénario.
Avec mon autorisation, Brigitte rentre chez elle en compagnie de Nadia pour «
essorer » Germain.
par camille2
#1396907
Calimero77 a écrit :Petit résumé du chapitre 10 : nous avons, Nadia et moi, passé l’après midi à
torturer Brigitte et à lui ordonner des pratiques. Puis Alain est arrivé et
s’est calmé en enculant Nadia qui va, maintenant compte tenu de ce qui a été
convenu et qu’elle a accepté, être torturée par Brigitte.

11
Brigitte porte des escarpins, des bas et des « jarretelles spéciales » (voir
chapitre 10) ainsi que des bracelets, un collier, une ceinture en cuir et des
pinces à pis. De plus, à sa demande, une bouteille de coca est enfoncée dans son
anus, plantée par le gros côté et stabilisée sur l’étranglement. Enfin, elle
porte un poids attaché à son clito par une pince à picot et une chaînette qui
lui rappelle qui elle est par la douleur infligée. Elle marche devant nous le
plus doucement possible pour que le poids ne balance pas trop.
Nadia est nue sauf des bas noirs et des escarpins ; elle a été enculée par moi
puis, après son arrivée, par Alain ; elle a été léchée et languée par Brigitte…
elle se tient debout devant moi… elle sait, redoute mais espère … elle attend,
offerte ; ses trous sont vides.
Alain et moi, sommes nus et bandés, assis chacun dans un fauteuil. Contrairement
à ce que nous aurions pu penser, il n’y a pas de gêne ; nous nous regardons sans
désir particulier mais sans répulsion ; .. plutôt une pointe d’excitation…les
filles ans doute...
- Tu as la main Brigitte dis-je
- Qu’est ce qui te ferait plaisir mon chéri ?
- Sois inventive … sois très salope … cruelle aussi ; excite-nous, donne nous
envie de jouir de vous deux.
- Approche femelle dit Brigitte en faisant face à Nadia ; viens à moi cambrée et
cuisses écartées.
Celle ci obéit et se place devant celle qui va être sa tortionnaire, écartant
ses cuisses et tendant son ventre ; Brigitte lui prend la tête d’une main et
l’embrasse sur la bouche en se frottant au maximum, amoureusement ; continuant
son baiser pleine langue, elle lui prend les mamelles à pleines mains les malaxe
puis elle lui pince les tétons entre les ongles et les tord. Nadia gémit sans
décoller son ventre et essaye de retirer sa bouche …Brigitte lui a pris la
langue entre les dents et la tient sortie. Nadia se soumet et se frotte de plus
belle espérant faire souffrir le clitoris torturé de Brigitte ; celle ci garde
la langue de sa partenaire entre ses dents et un sein ; de l’autre main elle
pince le clitoris de Nadia…les deux corps ondulent ; Brigitte a des mouvements
déterminés pour faire balancer le poids. Gémissements…spectacle torride
…difficile pour Alain et moi de ne pas se branler. Nous échangeons un regard,
nous sommes d’accord ; nous nous levons, nous prenons chacun une cravache et
simultanément nous frappons les fesses des deux femelles ; elles comprennent et
se séparent non sans continuer à balader leurs mains sur le corps de l’autre ;
Brigitte gémit au rythme du poids qui balance lentement à son clitoris.
- Je vais la parer pour vous dit elle…comme vous bandez bien … regardez-moi,
j’aime… ça m’excite de m’exhiber devant vous !
Ma mallette est toujours ouverte sur la table basse ; Brigitte y prend un corset
noir d’un tissu assez fin et le met à Nadia. Il se lace dans le dos et la
tortionnaire le serre au maximum à tel point que, pendant un instant, Nadia
peine à respirer …puis elle se détend ; Elle est superbe, ses mamelles bien
rehaussées ; Brigitte lui caresse les seins, les tords…Nadia gémit et reçoit une
gifle appuyée :
- Silence dit Brigitte, tu es très belle ainsi… allez cuisses ouvertes, mains
dans le dos, bouche ouverte, langue sortie montre aux mâles comme tu es pute,
comme ils pourront jouer, se faire plaisir, jouir
Nadia s’exécute et Brigitte la gifle de nouveau ; Alain, un peu interpellé par
ces gestes plus profonds de sens que le fouet, entame le geste d’intervenir mais
je le retiens.
- Compte salope dit Brigitte en frappant pour la troisième fois
- Un …deux…trois … xxx… dix ; chienne tu te branles discrètement !
- Comment dit Brigitte d’une voix rauque
- Tu bouges pour faire balancer le poids
- En plus je vois bouger la bouteille dis-je, cette salope fait jouer les
muscles de son cul STOP de suite salope !
Mon esclave se tend, immobile et laisse le poids se stabiliser ; elle mérite une
punition exemplaire ; je la fais approcher et comme à son habitude elle se
présente mains derrière la nuque et cuisses écartées au maximum. Je prends la
chaînette et tire durement vers le bas en lui interdisant de bouger ; elle ne
veut pas crier ; elle gémit bouche close et des larmes coulent de ses yeux ; je
continue à tendre … elle comprend enfin : « Merci Monsieur » dit-elle ; je
lâche, elle se calme un peu mais ne bouge pas … bien, elle apprend vite. Je
demande à Alain s’il a une idée de punition ; il garde le silence mais se lève,
passe derrière elle , la fait légèrement pencher vers l’avant ; il prend le
goulot de la bouteille et la décule du plus vite qu’il peut ; c’est à la limite
de ses forces…elle hurle mais, se souvenant des ordres, elle ferme sa bouche et
son cri se termine dans un râle nasal, exprimant avec moins de bruit, autant de
souffrance.
- Tu veux être réenculée salope ? demande-t-il
- Oui mais doucement Monsieur, ne me cassez pas …
Violent coup de cravache sur les fesses asséné par Alain
- Je n’ai pas entendu dit-il
- Oui Monsieur, enculez-moi comme vous voulez et avec ce que vous
voulez…faites-vous plaisir.
- Penche-toi bien en avant et écarte tes fesses avec tes mains
Elle obéit et, vicieusement se penche au maximum et s’ouvre pour qu’Alain voie
bien ses deux trous ouverts. Il lui met d’un coup sa queue dans le cul encore
écarté par la présence récente de la bouteille ; il va et vient puis me demande
un martinet que je lui tends ; il se plante alors au bon endroit (base du gland
au niveau du sphincter), lui cingle le dos et lui ordonne de serrer. Elle obéit
avec un plaisir immense et le branle avec son anneau. En même temps, cette
salope remue légèrement le bassin pour maintenir le balancement du poids qui la
fait souffrir. Le spectacle dure plusieurs minutes ; Alain gémit de plaisir et
lui cingle le dos à intervalle régulier mais durement. A chaque coup, comme par
habitude, Brigitte compte ; arrivé à 12, Alain ne peut plus se retenir ; il
décule, passe devant elle, la fait se pencher la bouche à hauteur de sa bite ;
spontanément, elle le branle efficacement à deux mains, queue et couilles,
bouche grande ouverte et langue sortie. Il éjacule de longs jets de sperme qui
se répartissent entre la langue, la bouche et le visage de la chienne. Celle ci
se tourne et se relève, faisant face à Nadia….Sous nos yeux les deux femelles
s’embrassent, se lèchent le visage et dégustent ensemble le jus d’Alain pendant
que, se replaçant derrière Brigitte, il lui cravache durement le dos laissant
des marques bien visibles…elle langue Nadia de plus belle en gémissant et
continue son balancier… elle aime ….Elles aiment. Je leur ordonne de continuer
pendant qu’Alain reprend la bouteille de coca et la replante par le gros bout
dans le derrière de Brigitte…sans précautions … elle crie… elle souffre et se
donne …magnifique ! je lui demande :
- Tu as joui Brigitte sous l’enculage ?
- Non Monsieur malheureusement
- Biennn tu n’en seras que plus sensible et plus cruelle
Sur notre ordre, elle se relève, je resserre la pince du clito pour qu’elle
tienne bien et nous lui disons qu’elle peut jouer de Nadia à sa guise…pour la
durée qu’elle voudra et suivant les règles qu’elle voudra bien se fixer en
rappelant que l’esclave peut interrompre à tout moment avec les safe words.
Notre magnifique Brigitte pare Nadia de colliers, ceintures et bracelets
identiques aux siens, y compris les grands bracelets du haut des cuisses. Elle
demande :
- Y-a-t-il d’autres « jarretelles » ?
- Oui salope dans la mallette ; 4 identiques aux tiennes
- Je peux Messieurs ?
- Bien sur, tends les bien
Sur sa demande, je m’installe dans le canapé et libère donc un fauteuil.
Brigitte y fait installer Nadia cuisses ouvertes sur les accoudoirs et lui pose
les « jarretelles » qu’elle tend au maximum faisant grimacer et gémir son
esclave. Elle se recule, prend la cravache qu’utilisait Alain, regarde le
spectacle de cette chatte ouverte au clito bandé. Elle caresse cette offrande
dressée avec le bout de la cravache puis donne un petit coup peu ample mais très
sec. Nadia jette un cri mais ne bouge ni ne se resserre.
- Je t’écoute dit Brigitte
- Un …merci Maîtresse Shlack … deux … merci … dix …. ahhhhhhhh
Nadia se détend et gémit doucement mais ne modifie pas sa position. Brigitte a
réussi à la faire jouir au dixième coup du bout de la cravache sur le clito puis
loin d’être satisfaite, elle continue à « travailler » la femelle au même
endroit ; Nadia pleure, gémit mais elle continue à compter :
- Onze…aïe … douze … … dix huit … salope, j’ai trop mal, tu me bousilles le
clito … tape plus bas …en plein sur le trou…vingt …s’il te plaiiiittt
saaaalooopppee
Brigitte se dandine bien enculée et lestée qu’elle est pour se positionner
derrière le dossier du fauteuil où se trouve Nadia ; elle a ainsi une vue
plongeante sur la chatte tenue grande ouverte et le clito martyrisé ; elle peut
frapper où elle veut.
- Tu as bien dit sur le trou chienne ? prépare toi
- Ouiii dit Nadia en passant sa main derrière le fauteuil, saisissant le poids
clitoridien de Brigitte et tirant dessus.
Brigitte sublimée par la douleur causée par le geste spontané de sa chienne du
moment frappe quatre coups en plein centre d’une violence telle qu’ils font
vibrer les élastiques des « jarretelles » écarteleuses. Nadia ne modifie pas la
position mais en profite pour tirer sur le poids et émet un long hurlement de
bête offerte, très jouissif pour nous les deux mâles.
- Arrêtez dit-elle je ne peux plus supporter
- Veux tu arrêter ?
- Oui Monsieur me répond-elle
- Alors dis-le avec les mots prévus
- ….
- Je t’écoute
- Non je ne peux pas
- Dans ce cas subis, souffre et jouis mais tais toi
- Bien Monsieur…regardez comme je suis béante…je veux qu’elle frappe encore
- Lâche le poids et branle toi le clito avec les ongles salope dis-je
- Ouii mon chéri voilà regarde
Elle pince, elle triture, elle tire et tord, elle cherche son plaisir … elle a
vraiment envie de jouir… je regarde et je donne un ordre :
- Vas y Brigitte cravache bien, aide là
Brigitte cingle par à-coups en évitant soigneusement la main branleuse et en se
concentrant sur le trou bien ouvert au centre ; elle ne frappe pas trop fort,
elle a envie de voir jouir Nadia qui se branle de plus en plus énergiquement
avec les ongles en alliant un peu de douleur avec la recherche de son plaisir.
Elle s’exhibe ainsi, cuisses bien écartelées et montrant sa masturbation
lorsqu’elle se tend et démarre un puissant orgasme. Brigitte titille le centre
et laisse les ondes de plaisir s’installer ; Nadia ondule, sa tortionnaire lui
retire la main du bout de l’instrument et cravache deux coups ave violence sur
son clitoris décapuchonné…hurlement sauvage ; resserrement brutal du ciseau des
cuisses…gémissements …lent balancement de Brigitte qui à envie e jouir…mon ordre
de rester immobile … apaisement de Nadia qui déclare en regardant l’autre
femelle :
- Je n’ai jamais connu cela, je n’ai jamais rien vécu d’aussi fort…douleur et
jouissance …je t’aime salope … j’ai envie de te toucher.
- Plus tard dit Alain, j’ai envie de me soulager
Il s’approche de Nadia et lui ordonne de remettre ses cuisses sur les accoudoirs
pour qu’elle soit bien béante puis se met en position et la pénètre de sa queue
; il la baise lentement en lui « caressant » vicieusement et sans précautions le
clitoris encore trop sensible.
- Soulage toi, vide toi dit elle ; j’ai trop mal …noonnn s’il te plait
- C’est super dit Alain de défoncer une femelle torturée mais je la sens à peine
à cause des « jarretelles » … serre toi le con salope….
Elle s’exécute en grimaçant
- C’est dur dit-elle ; ça tend les jarretelles…en…cule …moi je serai plus serrée
Alain la gifle durement trois fois de suite tout en la baisant lentement autant
que profondément ; son plaisir et son excitation se lisent sur son visage.
- Tu es une esclave, c’est moi qui décide dans quel trou je dois te mettre ma
queue …allez regarde moi dans les yeux
- Oh oui dit elle, votre belle queue me fend la chatte…je vais venir encore une
fois
Mais Alain ne veut pas qu’elle ait un nouvel orgasme ; il se retire ; elle est
toujours mi assise dans le fauteuil cuisses béantes sur les accoudoirs ; il est
presque à bonne hauteur ; il se positionne, la prend par les cheveux et gicle
dans sa bouche qu’elle a ouverte spontanément. Il se recule et laisse Brigitte
venir l’embrasser à pleine bouche mélangeant salive et sperme.
Alain revient s’asseoir et Brigitte me regarde d’un air interrogateur :
- Je peux continuer mon chéri ?
- Bien sur
- Je peux prendre le carcan à seins ?
- Je t’ai déjà donné mon feu vert pour tout ce qui est admis dans nos jeux
- Ouiiii, je vais vous la préparer…en faire votre jouet, pour vos belles
couilles, pour votre plus grand plaisir … pour Germain aussi…vous me la prêterez
?
Elle fait lever Nadia, la positionne devant elle et attache les bracelets de ses
poignets aux annaux latéraux du collier ; puis elle relie, avec une barre
rigide, un rien trop courte, l’anneau postérieur du collier à celui de la
ceinture. Elle caresse, elle regarde, elle n’est pas satisfaite car si Nadia ne
peut plus pencher la tête, elle peut toujours plier le dos et fuir les tortures
mammaires à venir. Brigitte cherche une solution et m’interroge du regard. J’ai
le matériel nécessaire : je sors de la mallette un plug de plastique noir,
conique, pas très long de 8 cm de diamètre au plus large et à peine 3 à son
étranglement qui est très proche, dans la longueur, de la partie maximale ; ce
dispositif permet de bien maintenir le plug en place ; en effet, une fois
enfoncé dans le cul de l’esclave, il devient difficile à sortir ; enfin, l’objet
est muni, à sa base, d’un anneau d’acier permettant, entre autres, de tirer pour
l’extraire. Brigitte retire la barre rigide, prend l’objet silencieusement et le
montre à Nadia dont les yeux se remplissent de crainte tant il semble monstrueux
ainsi sorti de son « contexte ». La tortionnaire, très excitée détache les mains
de son esclave et dicte ses ordres :
- Penche toi en avant et écarte bien tes fesses que je t’encule avec ça ma belle
petite putain.
- Oh non dit Nadia en s’exécutant et en nous montrant bien son petit trou, c’est
trop gros, ça ne rentrera jamais, tu vas me déchirer…va doucement, je veux
rester disponible pour les queues des males ; je veux qu’ils continuent à jouir
de mon petit cul.
- Ne rechigne pas dit Brigitte, ce n’est pas beaucoup plus gros que la bouteille
de coca que j’ai dans mon cul et c’est beaucoup moins lourd ; tu verras c’est
jouissif, tu peux te branler en serrant ton anneau et tu as l’impression d’avoir
une queue monstrueuse et immobile que tu voudrais faire bouger. Allez, lèche le
bien pour qu’il ne soit pas trop sec, dit elle en lui approchant de la bouche.
Nadia salive consciencieusement et lubrifie l’objet se sa langue, sachant que
plus il sera mouillé et moins elle souffrira. Quand elle est satisfaite,
Brigitte fait tourner l’esclave de sorte que nous voyions bien la pénétration
anale ; elle présente l’objet et le fait doucement rentrer en tournant d’un sens
et de l’autre pour faciliter la dilatation de l’anneau. Le début est aisé puis
devint de plus en plus difficile du fait du diamètre. Brigitte pousse et tourne
de plus en plus fort mais sans vitesse excessive pendant que Nadia gémit entre
plaisir crainte et douleur. Enfin, la partie la plus large passe, l’anus se
referme sur l’étranglement, l’esclave pousse un long râle très excitant pour
nous et soupire :
- Oh comme je suis bien enculée …nonnn ne tire pas, n’essaye pas de le sortir ça
fait mal….ouiii tourne … comme ça !! fais moi jouir du cul…
- Certainement pas dit Brigitte, je veux te torturer les mamelles …tu ne peux
pas savoir comme j’en ai envie…allez redresse toi que je te prépare.
Brigitte fait un dernier geste pour ouvrir les fesses de Nadia afin que nous
admirions bien la base noire munie de l’anneau du plug enculeur ; après cela,
elle prend les cheveux de l’esclave et la redresse d’un coup puis l’embrasse sur
la bouche, pleine langue, toujours de la façon la plus ostentatoire possible ;
cette fille aime à nous faire espérer le plaisir et à nous le donner. Je lui
tends une longue ceinture de cuir noir avec boucle de serrage. Elle comprend
vite : elle passe la lanière dans l’anneau du plug puis dans l’anneau postérieur
du collier ; elle introduit l’extrémité dans la boucle ; elle tend pour que
Nadia reste bien droite, voire un peu cambrée en arrière ; elle serre la boucle
sur la lanière pour immobiliser le tout. Ainsi l’esclave peut baisser la tête
mais ne peut se pencher sinon de se faire très mal au cul à cause de la
tentative d’extraction du plug. Elle se tient donc très droite ses belles
grosses mamelles offertes et les gros bouts érigés … elle a envie …Brigitte lui
rattache les poignets au collier et lui ordonne de se tenir cuisses bien
écartées pour que ses « jarretelles » soient tendues au maximum et que son trou
de femme soit bien ouvert. Cette femme est un cadeau offert ; Alain et moi
sommes hyper excités. Brigitte lui prend les seins et les malaxe, elle
l’embrasse, l’oblige à sortir la langue, la mordille et la tire ; de temps à
autre, une main lâche un sein et explore le clitoris avec ses ongles. Nadia
ondule, gémit et espère. Brigitte insiste et dit :
- Tu aimes enculer ?
- Oui enculée tu vas me faire jouir
- Si tu jouis je te bousille le clito
- …
- je mets une pince à picot serrée jusqu’au perçage sur la partie sensible et je
pends un poids de 500 grammes puis je te fouette avec les maîtres pour t’obliger
à danser. Tu ne pourras plus jouir pendant des semaines tant tu auras mal… alors
retiens toi ! attends, je vais te calmer…
Brigitte se penche et prend le téton gauche entre ses dents ; elle le tire et le
mord jusqu’à ce que Nadia pousse un hurlement ; elle lâche, les marques de dents
sont bien visibles ; elle fait subir le même sort au téton droit ; nouveau
hurlement. Enfin, jugeant son jouet calmé elle la laisse un instant et me
demande :
- Puis je avoir le carcan mon chéri ?
Je lui tends l’objet formé de deux barres de bois de 50 cm de longueur et de 5
cm sur 5 de section traversées par trois longues tiges filetées aux deux
extrémités et au centre de chaque barre. Sur le dessus, les tiges filetées sont
terminées par des anneaux de suspension de taille suffisante pour supporter 50
Kg chacun. Sur la partie inférieure, les tiges sont équipées de vis papillons
permettant par vissage à la main de diminuer l’écartement des deux barres ;
lorsque les vis papillons sont desserrées, les deux barres sont distantes de 20
cm et lorsqu’elles sont serrées au maximum, les deux barres sont jointes.
Brigitte admire l’objet et le montre bien à Nadia dont la peur mais aussi
l’envie se lisent dans les yeux.
- Attends dis je à Brigitte
Je veux pouvoir jouer de l’une et l’autre quand je sera à la limite du désir ;
je me lève et je décule Brigitte d’un coup ; elle crie longuement de douleur et
de frustration ; je lui enlève le poids ce qui la fait réagir en gémissant de
douleur.
- Excite nous, amuse toi bien avec cette chienne ; nous t’enculerons et nous te
branlerons jusqu’à te faire crever de jouissance.
Brigitte, excitée au maximum pose le carcan aux mamelles de Nadia puis elle
serre les vis en prenant soin d’équilibrer la pression en commençant toujours
par la vis située entre les seins ; elle en profite toujours pour lui malaxer
les bouts, l’embrasser et la masturber de temps en temps. Lorsqu’elle a fini, le
carcan est hyper serré ne laissant que quelques cm à la base des mamelles dont
les parties apparentent sont tuméfiées et violacées. Nadia souffre mais reste
ouverte à disposition ; vicieusement , Brigitte tord les bouts rendus hyper
sensibles. Nadia émet de longues plaintes et supplie qu’on la libère de cette
énorme pression mais s’abstient de prononcer le mots de sécurité. C’est alors
que Brigitte nous informe de la suite de son programme :
- J’ai envie de la pendre par les mamelles
- Nonnn pitié hurle Nadia
Alain et moi, nous nous levons et nous portons l’esclave à son sacrifice ; nous
la soulevons et nous passons les sangles de suspension dans les anneaux du
carcan ; nous réglons court ; elle est suspendue les pieds à 20 cm du sol ; nous
terminons par une barre d’écartement aux chevilles que nous plaçons large et no
sans tirer un peu vicieusement vers le bas pendant l’opération ; le tout est
ponctué des longs gémissements de Nadia qui souffre mais ne demande pas grâce au
contraire :
- Pourrai-je supporter encore ? dit elle
- A toi de voir dis-je tu connais les procédures de sécurité ?
- Oui mais si je les utilise vous me quitterez et je ne verrai plus Brigitte non
plus
- Mais le « stop soft » n’interrompt que la torture en cours
- Je pense que vous seriez déçus
- Bien vu salope
Je m’approche de ce bel objet, je monte sur un petit tabouret et j’enfonce ma
queue dans sa chatte tellement écartelée par les « jarretelles » que je la sens
à peine ; malgré ou à cause de la souffrance, elle est trempée ; je joue
vicieusement avec le gros plug, tentant de le sortir du cul où il est logé bien
serré et je la tire un peu vers le bas afin de bien faire souffrir ses mamelles
; Cris et gémissements, je ne jouis pas ; je me retire ; elle dit sa frustration
et je me fais sucer devant elle par Brigitte que j’embouche au maximum pour y
déverser mon plaisir… elle avale, se relève et prend la cravache. Doucement
d’abord puis de plus en plus fort , elle fouette les mamelles de Nadia qui se
tortille et gémit sauvagement de douleur en essayant de retenir des cris
stridents. Alain et moi, nous constatons que Brigitte se branle doucement d’une
main en faisant attention de ne pas torturer son clitoris encore tuméfié par la
pince. Alain se lève, s’installe derrière elle et la fait pencher un peu ; il
l’encule d’un coup facilement son anus n’étant pas entièrement refermé ; il va
et vient lui caressant les mamelles et le clito par devant ; Brigitte fouette de
plus en plus fort et se déchaîne encore plus quand l’enculage lui déclenche un
orgasme puissant. Nadia crie et se tord augmentant encore la torture de ses
beaux pis pendant que Brigitte jouit en hurlant.
Alain se vide au cul de Brigitte puis décule et les deux filles se calment un
instant jusqu’à ce que Brigitte dise :
- Messieurs mes maîtres, je voudrais la finir
- Comment veux tu faire ?
- Si j’osais, je dirais que c’est une surprise
- Pourquoi pas
- Pouvez vous me l’installer pendue par les seins et les chevilles ventre vers
le haut ; il ne reste que les chevilles à attacher après l’anneau ; il faudra
lui laisser la barre d’écartèlement…
Ainsi fut fait par Alain et moi émoustillés par l’imagination. Nous avons bien
resserré le carcan et nous avons également attaché l’anneau antérieur du collier
pour que la femelle ne risque pas de glisser la tête en bas.
- Descendez là un peu mes chéris s’il vous plait ; je voudrais être à genoux et
avoir sa chatte au niveau de ma bouche…
Et voilà que nous obéissons…Nadia est en position, Brigitte s’installe et lui
caresse doucement le mont de vénus ; Nadia se détend et gémit ; Brigitte
l’embrasse sur le clito ce qui la fait vibrer et lui dit :
- Tu as encore mal salope ?
- Oui mais continue c’est bon
- Où as tu mal ?
- Aux seins c’est dur … et le plug dans le cul … la position le tire … mais vas
y … continue
- Tu as déjà été pénétrée de la main dans ta chatte ?
- Nonnn salope s’il te plait ; ça ne rentrera pas … pas avec le plug dans mon
anus … pitié …tu peux mettre trois doigts mais pas plus …
- Maître ? demande Brigitte
- Elle est ton jouet répond Alain ; profites en comme tu l’entends
Brigitte enfonce doucement trois doigts et leur imprime un mouvement de va et
vient constatant et nous faisant constater que la salope est pleine de jus ;
puis elle force le quatrième doigt et place le pouce ; elle force doucement la
main entière ; sans brutalité ; elle veut donner du plaisir pas torturer ;
brusquement, le muscle vaginal cède et la main pénètre entièrement tandis que
Nadia émet un long feulement d’espoir. Brigitte la masturbe intérieurement en
tournant sa main :
- Ouii je sens bien le plug que tu as dans le cul allez salope lâche toi
Elle se penche et aspire le clitoris dressé pendant qu’elle bouge sa main ; nous
ordonnons à Nadia d’attendre les plus possible ; le spectacle dure plusieurs
minutes puis l’esclave explose et jouit.
Le calme revient dans la pièce ; Brigitte sort sa main et ne peut s’empêcher de
l lécher ; nous descendons Nadia de son attelage et nous la posons écartée sur
un fauteuil ; elle gémit encore doucement ; nous retirons les « jarretelles »
puis la barre d’écartement ; nous enlevons la sangle qui la tenait droite et
nous la déculons doucement en sollicitant son aide … pousse salope… chie nous ce
corps étranger. Enfin nous la libérons de son carcan à seins et du reste de ses
bracelets et divers appareils.
Alain est encore en forme et il reste un peu de temps ; il pose le carcan bien
serré à Brigitte lui demandant de se tenir debout et la fouette cruellement aux
seins tandis que Nadia, à genoux à ses pieds lui branle la queue. Il jouit,
Nadia boit et tous deux libèrent Brigitte de tous ses atours de dressage.
Les deux femelles apparaissant nues et en bas noirs, face à face. Sur notre
ordre, elle se font une dernière fois l’amour debout ; Pendant ce temps ; Alain
et moi enculons respectivement mais simultanément Nadia ; Brigitte et nous nous
synchronisons pour jouir en même temps … miracle nous y parvenons tous quatre.
La séance est terminée ; nous nous remettons en tenue de ville et donnons rendez
vous pour le jeudi suivant non sans avoir donné le programme : à la prochaine
séance, l’une d’elles (Brigitte) sera prostituée ; les mâles seront huit ; Alain
et moi allons les recruter…Nadia les testera … nous avons un scénario.
Avec mon autorisation, Brigitte rentre chez elle en compagnie de Nadia pour «
essorer » Germain.


Le marquis de Sade est revenu parmi nous :o !!
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par sitd
#1397946
Tes récits sont torrides à souhaits.
Je me délecte de cette histoire.
Le suspense est impressionnant.
Jusqu'où cela va aller ?

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