- 19 juin 2013, 18:12
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La Croisière s’amuse
Le week-end avant le fameux long week-end de l’ascension, où la quasi-totalité des personnes actives pouvaient se voir octroyer cinq jours de congés pour une seule journée de posée, nous avions reçu un mail de Jean Pierre qui nous invitait à une petite croisière en voilier au départ de la Trinité sur Mer et pour destination de Belle Ile. Nous n’avions pas eu de nouvelles de leur part depuis la fameuse aventure avec Emilie, qui nous avait été livrée comme çà un samedi.
Après concertation avec chacun et au vu de la météo annoncée, nous acceptions l’invitation en sachant pertinemment que notre croisière aura une tournure particulière.
Nous étions tous excités par ce départ vers l’aventure et le total inconnu. De nous quatre, aucun n’avait fait de bateau et encore moins une croisière de ce type.
Nous arrivions donc tous les quatre au ponton où nous retrouvions nos deux connaissances accompagnés de leur petite protégée. L’accueil était convivial et on sentait bien qu’ils étaient contents de nous retrouver.
La météo annonçait un week-end plus que printanier, et une fois n’était pas coutume, avec des températures supérieures à la normale. Mais par mesure de précautions nous avions tous les quatre tout de même prévu de gros pull à mettre sous notre coupe-vent.
Marc nous présenta le bateau : « Quel plaisir de vous revoir les amis, je suis heureux que vous ailliez pu répondre présent à ce petit week-end. Voici ce qui va être notre maison pendant ces trois jours. C’est un First 36.7. Il fait 10 mètres 90. Vous verrez vous vous sentirez à l’aise dedans. Il y a tout le confort nécessaire. Même si pendant ces deux journées nous seront tout de même dans une certaine promiscuité. » Ne manquait il pas de nous rappeler.
Nous embarquions à son bord et étions stupéfaits de la beauté intérieure de ce navire. Il offrait trois chambres doubles et pouvait accueillir à son bord jusqu’à 8 personnes. Bien plus que nécessaire car nous n’étions que 7 convives.
Dans la partie centrale du bateau, une grande table entourée de banquettes meublaient la pièce de vie. Le bois des meubles donnait une touche très chic.
Jean Pierre nous aida à charger nos bagages dans les soutes et nous laissa prendre nos marques.
Il était 9h20, et le ciel était immaculé de bleu. Pas un nuage ne venait occulter le soleil. Il faisait doux. Pendant qu’Emilie s’activait en cabine à nous préparer un petit café, nous aidions le capitaine dans sa manœuvre. Nous venions de quitter le ponton pour faire route dans le chenal en direction de Belle Ile. Nous avancions au moteur le temps pour nous de préparer le bateau. Audrey et Manue avaient pour mission de relever les bouées de bastingage, tandis que Mathias préparait le SPI, j’étais moi occupé à retirer la housse sur la bôme de la grande voile. Nous étions tous excités par cette aventure et écoutions les consignes de notre capitaine avec la plus grande attention.
Le chenal du port de la Trinité sur mer était maintenant derrière nous, et nous pouvions apprécier la vue magnifique de notre côte bretonne de la mer. Nous n’étions pas les seuls à profiter de ce magnifique week-end ensoleillé pour mettre les voiles. Sur l’immense grande bleue on pouvait voir sur tous les horizons un grand nombre de voiles de toutes les couleurs peupler l’océan.
Marc aidé de Jean Pierre hissèrent les voiles et nous faisons maintenant cap vers l’ile.
« C’est bon, nous avons bien mérité notre petite pause-café. Le vent n’est pas très fort, je crains qu’il nous fasse un peu plus de temps que prévu pour y arriver. Mais on ne peut pas tout avoir : le soleil et le vent. » philosopha Marc.
Emile sortie de la cabine avec un petit plateau contenant 7 tasses à café fumantes et quelques biscuits de disposés sur une assiette. Marc s’assura de bien caler le bateau « au près », ce terme de navigation consiste à remonter le vent. Du fait que le bateau avance à l’inverse du vent, le ressenti de celui-ci est donc annulé et très vite la sensation de chaleur se fait sentir sur le ponton. Il était donc très agréable de s’assoir sur le pont du navire pour boire ce café. Mathias, Audrey et moi-même ôtions nos manteaux tellement la douceur du printemps était présente. Le port de lunettes de soleil était plus que nécessaire. Lézardant tous au soleil, les discussions allèrent bon train et très vite l’ambiance devint très sympathique.
Les sujets étaient diverses et variés. Nous étions tous les sept totalement détendus et nous comptions bien en profiter au maximum.
Ce petit moment détendu était l’occasion pour nos hôtes de reparler de notre dernier entrevu avec Emilie.
« Dis dons les amis, vous n’avez pas été de main morte avec notre petite protégée. Nous l’avions retrouvée totalement apeurée devant la porte de Jean Pierre. Et qu’elle ne fût pas notre surprise de voir au combien vous l’aviez rempli. Cela va peut-être vous paraitre choquant mais nous sommes passés dessus après vous. Et vous ne pouvez pas imaginer à quel point nous avons pris notre pied. Par contre vous l’aviez vachement détendu. Il lui a fallu plusieurs jours pour retrouver la normale. Bon en tout cas j’espère que vous avez apprécié notre petit cadeau. » (…)
Après cette petite pause-café, et qu’Audrey ai pu raconter toute l’histoire de notre soirée avec Emilie, il était maintenant grand temps de reprendre la barre. Car il nous restait encore beaucoup de miles avant d’arriver. Et dans ces conditions de navigation, qui étaient pour le moins le plus confortable nous n’avancions guère. Marc proposa aux filles de se mettre sur le pont avant du bateau et de profiter de cette croisière et surtout des premiers rayons de soleil du printemps bien tardif, tandis que nous les gars nous nous occuperions de les amener à bon port. Marc était incontestablement le capitaine du bateau, Jean Pierre était son second tandis que Mathias et moi en néophytes que nous étions, nous étions les mousses.
Emilie alla chercher dans la cabine, des petits matelas en mousses pour qu’elles puissent s’allonger tranquillement à la proue du bateau. Chacune d’elles avaient prévu un bouquin et nos trois miss étaient tranquillement en train de bouquiner tandis que nous nous efforcions de tirer les bords pour remonter le vent et ainsi nous assurer d’arriver sur Belle Ile avant la nuit.
Il nous fallut un peu plus de six heures de navigation pour enfin voir apparaitre notre destination. Pendant notre traversée nous avons eu l’agréable surprise de se faire convoyer par un petit groupe de marsouins, qui jouaient avec l’étrave de notre bateau. L’occasion pour nous de prendre quelques photos pour immortaliser ce moment rare.
En face de nous, Le Palais, un des ports de l’île. Le paysage était magnifique, les couleurs bleus de l’eau reflétaient la verdure de la cote. L’immense phare de l’entrée du Port dominait sur la digue.
Nous décidions de faire escale pour faire quelques courses et nous dégourdir les jambes.
C’était la première fois pour nous que nous visitions cette île. Nous étions tous très excités de découvrir ce paysage haut en couleur. Nous flânions dans les rues et trouvions une petite superette où nous trouvons tout le nécessaire pour se faire un copieux diner. Il fallait se l’avouer naviguer toute la journée ouvrait l’appétit.
Il était temps pour nous de reprendre la mer. Marc voulait nous amener dans un endroit où nous serions tranquilles pour passer la nuit. Avant de devoir refaire route demain matin vers le continent.
Nous sortions du port pour faire maintenant cap vers une petite plage : « Herlin ». Emilie connaissait bien cette plage, et nous assurait que si notre très cher capitaine faisait route vers cette destination c’était pour nous mettre totalement à l’abri du vent. Ainsi nous étions sur que le bateau ne bougerai pas la nuit et nous sauverait du mal de mer une fois tous les sept dans la cabine.
L’endroit était paradisiaque, l’eau turquoise et le banc de sable fin donnaient des allures de plages d’Outre-mer. On avait du mal à se croire en Bretagne.
Abrités par les falaises de l’île, le petit vent frais était totalement atténué. La surface de l’eau était aussi lisse que celle d’un lac. Toutes les conditions étaient rassemblées pour convenir que cet endroit était le meilleur pour passer la nuit.
A quelques mètres de notre bateau, une autre embarcation avait mouillée aussi dans la crique. Leur bateau était nettement plus petit que le n’autre mais il n’accueillait à son bord qu’un couple de trentenaire. Ils étaient tranquillement installés sur leur ponton. Pendant que Madame lisait une revue en profitant des rayons du soleil, monsieur bricolait un bout ou quelque chose comme çà.
Nous décidions nous aussi de profiter de ces rayons du soleil. Il était presque 17h cela nous laissait encore une heure ou deux de soleil. Nous supportions très très bien d’être en tee shirt. Emilie était plus courageuse que nous et opta pour le maillot de bain deux pièces. Quitte à avoir un petit peu froid, elle préférait profiter au maximum de ce capital soleil et éviter au maximum la marque des vêtements sur son corps. C’est vrai que sur l’eau on a tendance à bronzer beaucoup plus vite du fait de la réverbération de l’eau.
Pendant que Mathias moi et Marc étions tranquillement en train de discuter, Jean Pierre s’était éclipser dans la cabine pour commencer à cuisiner et nous préparer de quoi grignoter pour l’apéro. Les filles étaient tranquillement allongées sur le devant du bateau en espérant prendre quelques couleurs. Emilie demanda à Manue si elle pouvait lui passer un peu de crème solaire, elle avait peur que cela ne tourne en coups de soleil. Valait mieux donc prévenir.
Manue se redressa à coté de la jeune majeure, et posa quelques gouttes de crème dans le creux de son dos et le plus tendrement possible l’étala de manière très sensuelle. Le haut du maillot de bain la gênant, elle défit le nœud et pouvait aller maintenant sur toute la surface.
Audrey contemplait la scène et regrettait de ne pas avoir prévu elle aussi son maillot.
« Oh je regrette de ne pas avoir prévu mon maillot moi aussi. Je n’aurai jamais imaginé qu’il puisse faire aussi beau ce week-end. T’avais prévu le tiens Manue ? »
« Ben non, moi non plus. A part des pulls je n’ai pas prévu grand-chose. »
« Bon c’est sûr que pour se baigner c’est encore beaucoup trop tôt vu la température de l’eau. Mais pour un bain de soleil çà l’aurait fait. »
« Pourquoi ne vous mettez vous pas en sous-vêtements les filles. A part nous, il n’y a personne et tant bien que même. » Leur proposa Emilie.
« Oh mais oui tiens qu’elle bonne idée. » A peine l’idée énoncée qu’Audrey était déjà en train de retirer ses vêtements. Elle ne portait qu’un petit gilet qui recouvrait un débardeur, et un jean. Derrière ces habits se cachaient un petit ensemble de lingerie uni de couleur un peu mauve. Un string et un soutien-gorge assorti ne laissaient place à aucune dentelle. Elle avait pour le coup optée plus pour le confort que pour la sensualité. Mais elle restait néanmoins très désirable. A la différence de sa jeune camarade, elle dégrafa son haut pour ne se contenter que d’un monokini. Sa poitrine imposante nous fit relever la tête pour apprécier ce spectacle.
Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls. Notre voisin avait abandonné un instant ses cordages pour apprécier lui aussi des formes généreuses de la belle brune. Il essayait de rester discret pour ne pas se faire remarquer de sa femme qui était toujours occupée à lire.
Quand Manue eu finit avec sa petite rousse, à son tour elle se débarrassa de son accoutrement de marin pour ne s’habiller que d’un petit boxer blanc en dentelle. Les meilleures amies étaient maintenant en topless prêtes à bronzer.
Emilie se redressa de son matelas et ne prit pas la peine de relacer son haut, et ainsi nous offrir la vision de sa toute petite poitrine. Marc nous disait que depuis qu’elle avait rencontré les filles, elle complexait beaucoup moins sur corps et assumait maintenant ses formes.
Je répondais que pour Manue c’était la même chose. Elle complexait beaucoup sur son corps et sa timidité en était étouffante. Mais depuis que nous avons rencontré Mathias et Audrey, elle assumait plus sa féminité et acceptait qu’elle puisse avoir des désirs.
Pendant que nous étions en train de parler de nos femmes respectives, nos trois jolies demoiselles passaient du bon temps. Audrey et Manue étaient tranquillement allongées pendant qu’Emilie leur passait à son tour de la crème pour leur éviter les coups de soleils.
Cette scène en devenait très sensuelle, de temps en temps une petite brise arrivait à passer par-dessus la falaise ce qui provoquait une petite chair de poule sur la peau des jeunes filles. Ceci ne faisant qu’accentuer leur coté désirable.
Se laissant aller aux caresses promulguées par celle qui était il y a quelques semaines son jouet sexuel, Manue se rassit et embrassa langoureusement Emilie, ce geste était, je pense, pour lui montrer que malgré la fermeté qu’elle ait pu avoir avec elle, elle avait de l’affection pour cette fille. Et qu’au fond elle la respectait.
Elles s’enlacèrent l’une contre elle, leur petite poitrine venait se coller l’une contre l’autre. Après ce joli baiser partagé, Emilie alla vers Audrey pour lui offrir la douceur de ses lèvres.
Elles venaient, devant nous, nous montrer à quel point elles se trouvaient bien entre elles.
Jean Pierre avait abandonné un instant son coin cuisine pour assister à cette scène magnifique. Notre voisin de bateau ne s’en privait, jusqu’au moment où sa femme se rendit compte de la situation et lui fît remonter l’ancre pour changer de crique.
Pendant sa manœuvre, il prît soin de bien barrer au plus près de notre bateau pour une dernière fois apprécier de plus près la plastique des jeunes étudiantes. Sa femme nous adressa un regard fusillant, nous faisant bien comprendre qu’elle ne cautionnait pas ce genre de pratique. Un regard auquel nous répondant d’un grand sourire.
Nous étions maintenant totalement seuls, sur ce qui aurait pu nous paraitre être notre ile déserte.
Nous laissions le temps au temps et profitions de cette magnifique journée.
Le soleil commençait doucement à descendre et le corps des filles n’était plus suffisamment chauffé par ses rayons printaniers. Il était donc temps de penser remettre un petit quelque chose sur soit au risque de tomber malade.
L’activité sur le bateau commençait à reprendre, Jean Pierre avait terminé de préparer notre festin et au vu de l’heure qu’il était nous proposa de prendre l’apéro sur le ponton pendant qu’il faisait encore assez doux et nous rentrerons dans la cabine pour le diner.
Non installions donc une table à l’arrière du bateau, et tous les sept s’assirent autour. Les plus âgés de nous avaient pris leur position et s’étaient assis chacun à leur tour à coté de leur petite préférée. Jean Pierre déboucha une grosse bouteille de champagne. Tandis que Marc s’adressa à nous.
« Bon les amis, dites-moi quand terminez-vous vos cours ? Vous avez prévu quoi à la rentrée »
« Je termine mes cours le 30 mai. J’ai mes résultats de partiels le 5 juin. Et si tout se passe bien je continue en Master. » Lui répondis-je.
« Moi je termine mon BTS, fin juin. Et si je l’ai, et bien, à partir de septembre je cherche du boulot en tant que Technico-commercial. Je croise les doigts. »
« Et toi Manue ? »
« Je finis la semaine prochaine et j’enchaine sur une licence professionnelle Banque et assurance. C’est une formation en alternance donc faut que je trouver une agence qui accepte de me prendre. Et avec la crise c’est pas gagnée »
« A qui le dis tu, je suis bien placé pour te le confirmer. Même si mon entreprise de courtage en assurances tourne bien, c’est vrai que j’ai connu de meilleures années. Bon je ne vais pas tourner autour du pot, en fait si je vous pose cette question c’est que nous avons quelque chose à vous proposer. Mathias nous avait parler de vos suites, Jean Pierre et moi avons discuté. »
« Oui, voilà. Audrey, tu sais qu’avant d’être jeune retraité j’étais patron d’une petite boite de mécanique de précision. J’ai contacté mon remplaçant et par le pur des hasards il recherche un technico-commercial junior. J’ai bien entendu parlé de toi et donc si tu le souhaites tu peux commencer dès le 02 septembre. Bon le salaire n’est pas très élevé mais pour commencer c’est tout à fait acceptable. Et suivant tes objectifs fixés tu pourras aisément le faire évoluer. »
« C’est vrai ??? C’est trop cool ! » Audrey se leva pour se jeter dans les bras de Jean Pierre pour le remercier de ce petit coup de pouce.
« Quant à toi Manue, voilà … Je voudrais étendre mon cabinet de consulting sur d’autres marchés et cibler un nouveau portefeuille client. Mais ma charge de travail ne me permet pas de m’y atteler comme je le voudrais. Ma comptabilité ne me permet pas d’embaucher un plein temps, mais si tu acceptes je veux bien te prendre en alternance pour ta licence. Et ainsi tu m’assisteras dans ce projet. Je suis sûr que cela sera très formateur pour toi et je suis convaincu que tu me seras d’une très grande aide. »
Manue ne s’avait que répondre à cette avance. Elle ne cessait de me regarder comme pour me demander ma bénédiction. Ma seule réaction était de la jalousie, la savoir passer 8 heures par jour aux cotés de Marc me tiraillait le cœur. Même si je savais que sa préférence était clairement pour Audrey, il n’en restait de même qu’il aimait bien Manue et qu’il était tout de même le plus viril de nous tous dans sa manière d’être. J’étais donc partagé, cette opportunité était du pain béni pour Manue et je ne pouvais m’y opposer. C’est donc avec une petite tristesse que ma tête ocha timidement en direction de ma copine pour la motiver à accepter cette proposition, qui je le savais n’était pas si anodine que cela. Un petit sourire me remercia de ma compréhension. Et elle accepta cette faveur qui lui assura de pouvoir continuer ses études en toute tranquilité. Et l’alternance allait lui permettre de pouvoir toucher son premier salaire.
« Bon que de bonnes nouvelles dites-moi ! Trinquons à l’entrée des filles dans le monde professionnelle et encore merci pour ce week-end. » S’adressa Mathias à toute la communauté en levant sa coupe. Dans un bruit de verre, tout le monde se leva pour fêter l’occasion.
L’air dehors commençait à se rafraîchir, le soleil était maintenant passé derrière les dunes et ne nous réchauffait plus. Il était temps pour nous de rentrer dans le bateau pour diner à l’abri du vent pour apprécier à sa juste valeur le diner préparé par Jean Pierre.
Ce moment était détendu et festif. Par un petit jeu de passe-passe notre cher ami Jean Pierre réussit à créer l’occasion de s’installer à côté de Manue, qui était en bout de banquette et se retrouvait ainsi bloquée entre la coque du bateau et le retraité. Marc usa de cette même ruse pour de l’autre côté de la table se rapprocher de sa petite préférée. Il ne restait plus qu’à Mathias, moi et Emilie à nous serrer tous les trois sur le reste de bout de table.
Pendant tout la durée du repas, Jean Pierre ne cessait de s’adresser à Manue, sans même se soucier de nous. Cette attitude avait le don de créer en moi une petite jalousie. Ce que je redoutais le plus arriva. Nous étions sept personnes entassées dans un carré de quelques mètres carrés. Très vite la température monta et Manue ressentie le besoin de se mettre à l’aise. Et comme elle connaissait bien ses hôtes et qu’elle se sentait tout à fait à l’aise en leur présence. Elle retira son pull pour se mettre en débardeur. Ce qui ne fît qu’attiser le désir de Jean Pierre, qui s’empressa de venir déposer un petit baiser dans le creux de son cou.
Nous avions tous très chaud dans cet habitacle, et chacun à notre tour nous nous effeuillons un peu plus.
Le repas terminé la nuit était maintenant bien tombée. Le vin nous avait chauffé encore un peu plus. Marc nous proposa une petite partie de carte pour terminer cette soirée.
« On va tout de même pas aller se coucher maintenant. Que diriez-vous d’une petite partie de Belote ? »
« Oh oui c’est une bonne idée, çà fait longtemps que nous n’en avions pas fait eu » répondis-je spontanément sans en savoir les conséquences sur la tournure qu’allait prendre la soirée.
« Il faut un nombre pair pour jouer ? Je vous laisse ma place, je ne connais pas les règles. » s’excusa Emilie.
« Entendu. Bon faisons les équipes. Fred tu viens avec moi ? On laisse Manue et Audrey ensemble. Marc et Jean Pierre vous jouez ensemble ? Ca va à tout le monde ? »
« J’aurai pas fait mieux comme découpage Mathias. Je propose même de pimenter le jeu. Que diriez-vous d’une belote avec gages. Les vainqueurs de la partie ont autorité sur les perdants pour disons deux souhaits. Comme les équipes sont faites de binômes. » proposa le nouveau patron de ma copine.
Mathias me regarda et semblait trouver le deal plutôt intéressant. Cela nous ramenait dans nos pensées à notre soirée du jeu de l’oie.
Les filles étaient moins enthousiastes que nous, mais se laissèrent convaincre tout de même.
Les cartes étaient distribuées et la partie pouvait débuter. Chaque équipe était concentrée pour déjà ne pas perdre et éventuellement gagner. L’enjeu en valait la chandelle.
La partie dura une bonne partie de cette fin de soirée. Il fallut constater que Marc et Jean Pierre étaient des adeptes de ce jeu et avaient surtout l’habitude de jouer ensemble. C’était difficile de rivaliser avec eux. Mathias et moi arrivions tout de même à tenir le niveau tandis que nos deux amies étaient bien dernières.
La sentence est donc tombée à l’issue du jeu après avoir comptabilisé les points, les grands vainqueurs étaient Jean Pierre et Marc et les dernières Manue et Audrey. Mathias et moi étions soulagés de ne pas soumis aux désirs de ces hommes mais inquiets pour ce qui allait être demandé à nos conjointes.
« Bon nous allons Jean Pierre et moi nous retirer un instant pour délibérer de votre sentence les filles. En tout cas vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point nous sommes contents. On ne pouvait espérer mieux comme finalité. »
Ils entrèrent dans une des cabines et refermèrent derrière eux la porte, tel un juré qui s’apprêtait à délibérer pour la peine à encourir suite au jugement.
Emilie, pour nous faire passer le temps, nous proposa une boisson chaude. Les minutes nous semblaient interminables. Enfin le juré sorti de l’isoloir.
« Bon, les amis nous avons trouvé vos gages. Ils se passeront en deux temps. Jean Pierre je te laisse annoncer ton souhait »
« Oui, voilà je veux que Manue me rejoigne dans la cabine. Je voudrai profiter d’elle comme je le souhaite. Mais par contre Frédéric pour le coup je souhaiterai que tu sois présent aussi pour simplement regarder. Je veux être le seul décisionnaire, est-ce OK ? »
La règle était la règle et nous ne comptions pas y déroger.
« Quant à moi, mon gage se fera plus tard et bien entendu se portera sur Audrey. Je veux disposer de toi toute une journée mais d’une manière particulière. D’ailleurs je pense que Manue devra être présente aussi pour le côté technique. Mais nous en reparlerons en temps et en heure. Là j’ai plutôt envie d’un petit câlin. Emilie approche toi ! »
La jeune rousse se dirigea vers lui, au passage elle saisit la main d’Audrey comme pour l’inviter à l’accompagner. La brune se leva à son tour et guidée par son amie alla rejoindre le capitaine du bateau. Cette situation semblait amuser Mathias, à en lire sur ses lèvres.
Arrivées au niveau de Marc, les filles s’embrassèrent langoureusement ceci provoqua une excitation non dissimulable sur leur aïeul. Voyant qu’il commençait à être trop étroit dans son pantalon, Emilie le saisit par la ceinture pour l’amener à elle afin de procéder ou déboutonnage de son jean. Audrey tout en s’agenouillant devant lui elle accompagna le pantalon aux chevilles. Et sans plus attendre, engouffra le sexe déjà bien dressé au fond de sa gorge. Prit par surprise, il ne put que faire jaillir un énorme râle de plaisir. Très vite Audrey, fût rejointe par Emilie qui à son tour prit son maitre en bouche. Leurs salives se mêlaient sur l’organe du chef d’entreprise. C’était à son tour de les prendre en main pour les guider dans une des cabines de couchages. Il ouvrit la porte, et les attira dans le petit carré étroit. Il prît soin de retirer tous ses vêtements et s’allongea sur la couchette. Les filles s’accroupirent de chaque côté et reprirent leur caresse buccale, en alternant le sexe dans chacune de leur bouche. Marc se redressa sur ses avant-bras pour lever la tête tout en laissant les filles s’activer à leur tâche, et s’adressa à Mathias.
« Et ben mon salaud, je crois bien que ta petite copine est la meilleure suceuse de tous les temps. Regarde un peu comment elle m’avale entièrement. On y est bien dans sa bouche. »
Mathias ne se laissa pas intimidé par les paroles que l’on savait cru de notre ami, et tout en contemplant la scène auquel nous étions en train d’assister. A son tour il se dévêtit, et empoigna la jeune rousse par les cheveux pour coller son visage à son sexe, en partie en érection. Il força sa petite bouche et enfonça son sexe gonflé au maximum qu’il pouvait. La jeune cru s’étouffer devant face à cette intrusion. Et à chaque fois qu’il essayait de s’y enfoncer un peu plus, elle sentait que l’organe prenait du volume. Il lui fallut pas plus de quelques minutes pour être totalement en érection. Les deux hommes étaient maintenant occupés à se livrer une bataille de virilité avec la copine de l’autre.
« Bon laissons ce combat de coq se dérouler tranquillement, nous avons-nous aussi à faire. Je voudrais pouvoir bénéficier de ma récompense » tout en s’adressant à nous, Jean Pierre était en train de déboutonner sa chemise. Il invita de la tête Manue à passer dans l’autre cabine.
« Ne reste donc pas là tout seul Frédéric, vient avec nous. J’ai aussi à faire pour toi »
Nous étions maintenant tous dispersé dans nos cabines respectives. Des petits gémissements féminins se faisaient entendre chez les voisins, signe qu’ils étaient passés à l’étape supérieure.
Jean Pierre se déshabilla intégralement et s’allongea sur la couchette. Nous restions debout attendant les directives.
« Bon voilà ce que j’ai envie. Aujourd’hui Manue je ne te demanderai qu’une seule chose. Je veux tout simplement te sodomiser pendant que Frédéric sera bien sagement en train de nous regarder. Qu’il y a-t-il cela ne te convient pas ? »
« Ben … » elle était hésitante « Disons qu’à chaque fois que vous me l’avez fait y’avait toujours eu quelqu’un avant. Et là dans ces circonstances, je ne suis pas sure de pouvoir. Vous êtes beaucoup trop gros pour moi. »
« Raison de plus ma petite Manue, je vais t’éduquer à cela. Et malheureusement tu n’as pas trop le choix, les termes du contrat sont clairs. Je peux disposer de toi comme bon il me semble. Frédéric, peux-tu aller au niveau du banc à côté de la table, en dessous de ce banc il y a un coffre, où tu trouveras mon sac de voyage. Dans ce sac, il y a ma trousse de toilette, tu peux nous ramener le tube de lubrifiant. Nous en aurons besoin. Tu vois Manue, je ne suis pas si cruel que çà. Tu sais maintenant avec Emilie on arriverait presque à s’en passer. »
Elle ne répondit, et baissa la tête.
Je sorti donc de la cabine pour aller chercher ce que Jean Pierre m’avait demandé. En même pas cinq minutes que je m’étais absenté, le temps de retirer les coussins de la banquette et de trouver le sac, à peine arrivé de nouveau dans la cabine quelle ne fut pas ma surprise de voir Manue totalement nue debout à côté du lit tandis que le retraité était toujours allongé et profitait du paysage.
« Je crois que je ne me lacerai jamais de te voir nue. » Et il avait raison, cela en était de même pour moi. Son corps était harmonieux et son teint de peau appelait à y déposer des baisers. Ses fines hanches surplombaient un joli petit fessier musclé par le sport. Sa petite poitrine frôlait la perfection, du fait de son âge elle était ferme. Ses petits mamelons coloraient d’une manière sensuelle ses petits coussins. Quant à son sexe, il était comme à son habitude entièrement lisse. Aucune ombre d’un poil ne venait entraver son abricot. Il nous donnait envie d’y croquer. Elle se tenait droite, toute intimidée devant son sexagénaire et redoutait le moment.
J’arrivai dans la cabine quand Jean Pierre s’adressa à moi :
« Oui, super, tu l’as trouvé facilement ? Bon écoute : Je veux pouvoir m’introduire en elle sans grande peine. Alors pour cela c’est toi qui va me préparer. Enduit mon sexe d’autant de lubrifiant que tu jugeras nécessaire »
« Ne vaudrait mieux pas appliquer le lubrifiant directement sur Manue »
« C’est toi qui donne les ordres maintenant ? Enduit moi le sexe et ne pose plus de question »
Je m’exécutai. J’ouvris le tube et vida une petite quantité sur son sexe totalement ramolli.
« Tu crois tout de même pas que cela est suffisant ! Tu crois vraiment que je vais pouvoir comme çà ? Et puis pense à ta petite copine, tu crois vraiment c’est ce dont ce qu’elle a envie ? Moi je ne crois pas. Elle cache bien son jeu tu sais. Elle aime les gros sexes comme le mien. » Je crois qu’elle était plutôt apeurée par les gros sexes comme le sien me fis-je la réflexion. Cette fois, je déposai directement le gel dans le creux de ma main et vint saisir son sexe. Déjà à l’état repos ces dimensions n’en restaient pour le moins surprenantes. C’était à ce jour le troisième sexe d’homme que je côtoyais. Il y avait eu celui de l’ancien propriétaire de Manue et celui de Mathias, mais celui-ci était encore plus impressionnant. Je me souviens d’avoir vu sur internet des vidéos de blacks avec des sexes hors normes, j’avais toujours pensé que c’était de la fiction et que dans la vraie vie cela ne pouvait exister. Mais là je tenais la preuve en main et en plus il n’était pas black.
A mes chaque allez et venus, je sentais qu’il se gonflait toujours un peu plus. Sa taille en devenait monstrueuse. Manue suivait çà avait intérêt et redoutait la suite.
Je ne minimisais pas sur la quantité de lubrifiant, je veillais à ce qu’il soit le plus enduit possible.
« Mmmmh, tu sais Fred, c’est la première fois qu’un homme me touche. Comme tu peux le voir je n’en reste pas insensible. Mais je crois que ce qui m’excite le plus c’est de savoir que tu es en train de me préparer pour ta petite copine… » Il savait qu’en me disant cela il ne faisait qu’attiser ma jalousie. Je rajoutais une dernière fois un peu de gel, et accéléra mon mouvement. Son sexe était maintenant dur comme de l’acier et dépassait largement son nombril. Même ma main avait du mal à en faire le tour.
« Très bien, merci Fred pour ton efficacité. Je me sens fin prêt à honorer ce petit passage. Manue ce que je te propose c’est que tu viennes au-dessus de moi, comme çà ce sera toi qui jugera la descente. »
« Je suis désolée Jean Pierre, mais je crois que çà ne va pas le faire. J’ai vraiment peur. Déjà quand les autres m’avaient préparé à vous recevoir c’était douloureux mais là je n’ose pas imaginer. »
« Je ne te demande pas d’imaginer ma pauvre Manue, je te demande de t’exécuter ! Allez grimpe sur ce lit et viens honorer notre contrat. »
Je m’écartai de l’homme pour laisser la place à Manue. Elle grimpa sur le lit, chevaucha l’homme allongé dos à lui. Il tenait dans sa main son sexe glissant et le dirigeait vers le ciel. Elle s’accroupie au-dessus de lui et s’arrêta quelques centimètres avant. Son regard était vague et son corps frissonnait de peur.
« Allez ne te fais pas prier. Viens donc … » lui commandait-il.
Elle s’accroupie encore un peu plus pour venir se mettre en contact. Il fallait maintenant prendre sur soi pour commencer la descente. Le plus lentement possible elle essaya de descendre mais très vite elle due stopper voyant bien que l’organe qu’on lui proposait était trop gros. L’homme ne voulait en démordre, il avait décidé que cela se passerait ainsi et il comptait bien y arriver. Il posa ses mains sur les épaules de jeune fille s’assurant ainsi de pouvoir la retenir quand elle souhaiterait se relever.
« Allez recommence ! »
Elle prenait le maximum d’inspirations pour se donner du courage, et entama à nouveau une nouvelle descente. Cette fois ci, l’homme exerçait une pression sur ses épaules ce qui l’empêchait de remonter pour se soulager. Son visage se crispait, elle mordait sa lèvre inférieure mais rien y faisait elle avait mal. Il appuyait toujours un peu pour l’obliger à s’assoir mais elle résistait tant bien que mal. Face à cette insistance, le sexe arriva tout de même à franchir quelques millimètres dans la partie la plus intime de ma petite amie. Cette intrusion provoqua chez la fille un cri de douleur. Des larmes suivirent cet acte.
« Je vous en supplie Jean Pierre … »
Il ne l’écouta pas, et décolla légèrement son bassin pour venir forcer toujours un peu plus l’entrée encore interdite.
« S’il vous plait Jean Pierre, vous voyez bien qu’elle souffre. »
« T’inquiète pas mon petit, elle en redemandera après »
« Laissez-moi au moins remettre un peu de lubrifiant, cela la soulagera »
« Fallait y penser avant. Je t’ai laissé le temps de le faire maintenant c’est trop tard. Je sais qu’elle aime avoir mal, hein ? C’est pas vrai ? »
Voyant qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière et qu’il était impossible de raisonner le vieil homme elle essaya de se re-saisir et d’affronter l’impensable.
Sa main droite vint se poser sur son sexe lisse, et à l’aide de son index il vint jouer avec son petit bouton. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi, elle se caressait ainsi et surtout en quoi cela allait l’aider. Je savais qu’elle avait toujours été plus sensible au niveau du clitoris mais je n’arrivais pas à faire le lien. En fait, elle essayait tout simplement de faire monter son excitation et ainsi pouvoir se concentrer sur son plaisir pendant que de l’autre côté on forçait à s’y introduire. Elle essayait de détourner son attention.
« Oh mais dis donc, regarde un peu çà. On dirait que le fait de te voir souffrir attise le plaisir chez ton petit ami, ma belle ! » Le regard du sexagénaire se posait sur mon pantalon et il était vrai que je ne pouvais dissimuler une bosse naissante. Ceci l’amusait tandis que Manue moins.
« J’aimerai bien t’y voir tiens ! » me reprocha-t-elle. Son regard me fusillait. Son index s’intensifia sur son sexe, elle reprit une grande inspiration, redressa son dos le plus droit possible et entama sa descente lentement mais avec une rage. Le sexe commençait tout doucement à se frayer un passage. L’anus se dilatait toujours un peu plus. Les cris de Manue raisonnaient dans tout le bateau, les larmes coulaient le long de son visage. Elle souffrait, mais elle était décidée à y aller jusqu’au bout. Elle sentait ses chairs s’ouvrir et se dilater.
Jean Pierre avait maintenant décollé son fessier du matelas pour venir pousser un peu plus et s’assurer d’ouvrir le passage. Elle ferma les yeux et abandonna ses caresses clitoridiennes. La douleur était trop grande rien ne pouvait plus la masquer. Il relâcha ses mains de ses épaules et lui attrapa les seins. Il les tenait le plus fermement possible, et les tirait vers le bas pour l’accompagner dans sa descente. Cette accroche brutale lui faisait mal, même si ce n’était pas comparable avec celle de la sodomie qu’elle était en train de vivre. Elle ne pouvait plus résister et était obligée de se livrer à son sort. Le sexe continuait sa progression en avançant de millimètre en millimètre. Elle était dans un degré de douleur qu’elle s’était totalement déconnectée du monde qui l’entourait. Ses cris se faisaient toujours plus rapprochés et les larmes ne cessèrent de couler sur son visage. La torture qui était infligée à son petit 85b n’arrangeait rien à la chose mais avait le mérite de l’encourager à poursuive sa descente pour que cela cesse.
Jean Pierre relâcha un peu la pression au niveau de ses mains et reposa son bassin sur le matelas. Ceci pour provoquer un soulagement pour la fille, mais en fait c’était tout bonnement une ruse pour lui faire relâcher surtout son attention. Aussitôt qu’il sentit que la jeune fille se détendait et reprenait son souffle. Il ferma brusquement ses mains sur les seins très fortement et les tira vers le bas tout en poussant son sexe contre sa petite entrée. Ce moment d’inattention fut fatal pour Manue. Le sexe était maintenant entré jusqu’au gland autant dire que le plus dur et large était passé. Il la saisissait bien pour ne pas qu’elle se dégage. Elle reprit son souffle et ses esprits, se re caressa le petit bouton et fini sa descente. Ca y est-elle était enfin assise ! Jean Pierre relacha ses mains et reposa tout son corps sur la couchette, il n’était plus nécessaire pour lui d’être entreprenant.
Manue commence alors un très léger va et vient sur le sexe. On pouvait voir son visage se décrispé tout doucement. Au fil des minutes les allers et venues se faisaient plus amplement. Contre toute attente, je fus surpris de voir qu’elle arrivait même à accélérer légèrement le rythme. Elle releva la tête pour reprendre contact avec la pièce, son premier regard se porta sur moi. Elle voyait bien comme j’étais mal à l’aise, mais un petit sourire venant d’elle me rassura aussitôt. Le plus dur était derrière elle, elle pouvait maintenant se concentrer sur son plaisir. Elle se tenait toujours sur ses jambes accroupie au-dessus de lui, ses mains reposaient sur le torse velu pour bien prendre appui. Le passage était fait maintenant et l’organe surdimensionné coulissait à merveille dans ses entrailles.
« Regarde Frédéric comment çà lui plait maintenant. Tu vois, elle a un gros potentiel ta copine. Allez, on va changer, mets-toi à quatre pattes sur lit. Montre à ton petit ami comment tu aimes çà. »
Sans dire quoi que ce soit, Manue se désolidarisa de Jean Pierre et se positionna comme demandé. Elle se cambrait le plus possible pour s’ouvrir ainsi un maximum et surtout pour ne pas avoir à subir ce qu’elle venait d’endurer.
Jean Pierre descendit du lit pour se placer derrière ma belle. Son arme à la main, il ne prit soin de la ménager. Dans un mouvement brusque il l’enfourna. Surprise elle ne put contenir un cri strident. Elle étouffa ses gémissements en plaquant son visage sur le matelas. Les coups de reins qu’elle était en train de subir étaient très bestiaux. Le rythme était rapide et soutenu. Elle sentait les testicules de l’homme frapper sa vulve à chaque passage. Sa poitrine ballotait sous les assauts virulents. Il arrivait à faire disparaître totalement son sexe dans l’anus de ma petite amie.
Ses mains empoignaient les hanches de Manue, il s’agrippait tellement fort qu’on voyait la trace de ses mains et de ses ongles.
« Ca y est je vais jouir !!! Je vais bien te remplir ma petite … »
Son râle était grave et long. Quand il sentit qu’il était arrivé en butée il stoppa tout, pour bien s’assurer d’y déposer toute sa semence au plus profond d’elle. Cela dura un long moment preuve que la quantité devait être importante. Il se retira enfin amenant avec lui un long filet de sperme mélangé à la cyprine.
« Ne reste donc pas planté là ! Tu devrais déjà être totalement nu prêt à prendre la relève et à apprécier le travail bien fait. »
Ni une, ni deux je me débarrassai de tous mes habits, pas besoin de m’exciter encore plus j’étais déjà dur depuis plusieurs minutes. Jean Pierre se décala pour me laisser la place, Manue gardait la tête cachée dans le matelas et ne daigna m’adresser un regard. Je ressenti un petit sentiment de honte, j’étais en train de profiter de la situation au détriment de ma chère et tendre. Mais le désir était plus fort. Donc à mon tour, je présentai mon sexe dans l’entrée interdite. Je crois bien que c’était la première fois que je la voyais aussi dilatée. Mon sexe s’introduisit sans rencontrer la moindre difficulté. L’insertion de mon membre provoqua un gros bruit de succion, sans doute causé par la présence importante de sperme. Quand je ressorti mon sexe pour la première fois il était immaculé de blanc. Je ne suis pas sûr que Manue doive sentir quelque chose. Mon sexe touchait difficilement les parois et j’étais très loin d’aller aussi profond que mon prédécesseur. J’étais plus en contact avec son liquide que la chair même de ma chérie. Cela semblait amuser mon voisin de me voir aussi peu remplir ma copine.
« J’espère tu as de la réserve pour au moins la combler de ton chaud liquide ! » se moqua-t-il de moi.
La situation m’avait tellement excité qu’il était difficile pour moi d’établir un record aujourd’hui, je sentais très vite le plaisir monter en moi. A mon tour je déchargeais dans ma copine et venant rajouter encore un peu plus de sperme. La contenance maximum était arrivée, de longs filets de liquide blanchâtres coulaient le long de ses cuisses. Le sperme ruisselait dans le pli de son entre jambe, et goutait sur les lèvres de son sexe. A chaque spasme de son corps, une coulée sortait de son anus. Jean Pierre s’amusa à jouer avec en glissant un doigt pour essayer d’en faire sortir encore un peu plus.
Après avoir fini de jouer avec son sperme et le mien, il reprit ses habits dans les bras, embrassa furtivement Manue, me salua et quitta la cabine.
En refermant la porte derrière lui, il nous souhaita une bonne nuit (…).
Le week-end avant le fameux long week-end de l’ascension, où la quasi-totalité des personnes actives pouvaient se voir octroyer cinq jours de congés pour une seule journée de posée, nous avions reçu un mail de Jean Pierre qui nous invitait à une petite croisière en voilier au départ de la Trinité sur Mer et pour destination de Belle Ile. Nous n’avions pas eu de nouvelles de leur part depuis la fameuse aventure avec Emilie, qui nous avait été livrée comme çà un samedi.
Après concertation avec chacun et au vu de la météo annoncée, nous acceptions l’invitation en sachant pertinemment que notre croisière aura une tournure particulière.
Nous étions tous excités par ce départ vers l’aventure et le total inconnu. De nous quatre, aucun n’avait fait de bateau et encore moins une croisière de ce type.
Nous arrivions donc tous les quatre au ponton où nous retrouvions nos deux connaissances accompagnés de leur petite protégée. L’accueil était convivial et on sentait bien qu’ils étaient contents de nous retrouver.
La météo annonçait un week-end plus que printanier, et une fois n’était pas coutume, avec des températures supérieures à la normale. Mais par mesure de précautions nous avions tous les quatre tout de même prévu de gros pull à mettre sous notre coupe-vent.
Marc nous présenta le bateau : « Quel plaisir de vous revoir les amis, je suis heureux que vous ailliez pu répondre présent à ce petit week-end. Voici ce qui va être notre maison pendant ces trois jours. C’est un First 36.7. Il fait 10 mètres 90. Vous verrez vous vous sentirez à l’aise dedans. Il y a tout le confort nécessaire. Même si pendant ces deux journées nous seront tout de même dans une certaine promiscuité. » Ne manquait il pas de nous rappeler.
Nous embarquions à son bord et étions stupéfaits de la beauté intérieure de ce navire. Il offrait trois chambres doubles et pouvait accueillir à son bord jusqu’à 8 personnes. Bien plus que nécessaire car nous n’étions que 7 convives.
Dans la partie centrale du bateau, une grande table entourée de banquettes meublaient la pièce de vie. Le bois des meubles donnait une touche très chic.
Jean Pierre nous aida à charger nos bagages dans les soutes et nous laissa prendre nos marques.
Il était 9h20, et le ciel était immaculé de bleu. Pas un nuage ne venait occulter le soleil. Il faisait doux. Pendant qu’Emilie s’activait en cabine à nous préparer un petit café, nous aidions le capitaine dans sa manœuvre. Nous venions de quitter le ponton pour faire route dans le chenal en direction de Belle Ile. Nous avancions au moteur le temps pour nous de préparer le bateau. Audrey et Manue avaient pour mission de relever les bouées de bastingage, tandis que Mathias préparait le SPI, j’étais moi occupé à retirer la housse sur la bôme de la grande voile. Nous étions tous excités par cette aventure et écoutions les consignes de notre capitaine avec la plus grande attention.
Le chenal du port de la Trinité sur mer était maintenant derrière nous, et nous pouvions apprécier la vue magnifique de notre côte bretonne de la mer. Nous n’étions pas les seuls à profiter de ce magnifique week-end ensoleillé pour mettre les voiles. Sur l’immense grande bleue on pouvait voir sur tous les horizons un grand nombre de voiles de toutes les couleurs peupler l’océan.
Marc aidé de Jean Pierre hissèrent les voiles et nous faisons maintenant cap vers l’ile.
« C’est bon, nous avons bien mérité notre petite pause-café. Le vent n’est pas très fort, je crains qu’il nous fasse un peu plus de temps que prévu pour y arriver. Mais on ne peut pas tout avoir : le soleil et le vent. » philosopha Marc.
Emile sortie de la cabine avec un petit plateau contenant 7 tasses à café fumantes et quelques biscuits de disposés sur une assiette. Marc s’assura de bien caler le bateau « au près », ce terme de navigation consiste à remonter le vent. Du fait que le bateau avance à l’inverse du vent, le ressenti de celui-ci est donc annulé et très vite la sensation de chaleur se fait sentir sur le ponton. Il était donc très agréable de s’assoir sur le pont du navire pour boire ce café. Mathias, Audrey et moi-même ôtions nos manteaux tellement la douceur du printemps était présente. Le port de lunettes de soleil était plus que nécessaire. Lézardant tous au soleil, les discussions allèrent bon train et très vite l’ambiance devint très sympathique.
Les sujets étaient diverses et variés. Nous étions tous les sept totalement détendus et nous comptions bien en profiter au maximum.
Ce petit moment détendu était l’occasion pour nos hôtes de reparler de notre dernier entrevu avec Emilie.
« Dis dons les amis, vous n’avez pas été de main morte avec notre petite protégée. Nous l’avions retrouvée totalement apeurée devant la porte de Jean Pierre. Et qu’elle ne fût pas notre surprise de voir au combien vous l’aviez rempli. Cela va peut-être vous paraitre choquant mais nous sommes passés dessus après vous. Et vous ne pouvez pas imaginer à quel point nous avons pris notre pied. Par contre vous l’aviez vachement détendu. Il lui a fallu plusieurs jours pour retrouver la normale. Bon en tout cas j’espère que vous avez apprécié notre petit cadeau. » (…)
Après cette petite pause-café, et qu’Audrey ai pu raconter toute l’histoire de notre soirée avec Emilie, il était maintenant grand temps de reprendre la barre. Car il nous restait encore beaucoup de miles avant d’arriver. Et dans ces conditions de navigation, qui étaient pour le moins le plus confortable nous n’avancions guère. Marc proposa aux filles de se mettre sur le pont avant du bateau et de profiter de cette croisière et surtout des premiers rayons de soleil du printemps bien tardif, tandis que nous les gars nous nous occuperions de les amener à bon port. Marc était incontestablement le capitaine du bateau, Jean Pierre était son second tandis que Mathias et moi en néophytes que nous étions, nous étions les mousses.
Emilie alla chercher dans la cabine, des petits matelas en mousses pour qu’elles puissent s’allonger tranquillement à la proue du bateau. Chacune d’elles avaient prévu un bouquin et nos trois miss étaient tranquillement en train de bouquiner tandis que nous nous efforcions de tirer les bords pour remonter le vent et ainsi nous assurer d’arriver sur Belle Ile avant la nuit.
Il nous fallut un peu plus de six heures de navigation pour enfin voir apparaitre notre destination. Pendant notre traversée nous avons eu l’agréable surprise de se faire convoyer par un petit groupe de marsouins, qui jouaient avec l’étrave de notre bateau. L’occasion pour nous de prendre quelques photos pour immortaliser ce moment rare.
En face de nous, Le Palais, un des ports de l’île. Le paysage était magnifique, les couleurs bleus de l’eau reflétaient la verdure de la cote. L’immense phare de l’entrée du Port dominait sur la digue.
Nous décidions de faire escale pour faire quelques courses et nous dégourdir les jambes.
C’était la première fois pour nous que nous visitions cette île. Nous étions tous très excités de découvrir ce paysage haut en couleur. Nous flânions dans les rues et trouvions une petite superette où nous trouvons tout le nécessaire pour se faire un copieux diner. Il fallait se l’avouer naviguer toute la journée ouvrait l’appétit.
Il était temps pour nous de reprendre la mer. Marc voulait nous amener dans un endroit où nous serions tranquilles pour passer la nuit. Avant de devoir refaire route demain matin vers le continent.
Nous sortions du port pour faire maintenant cap vers une petite plage : « Herlin ». Emilie connaissait bien cette plage, et nous assurait que si notre très cher capitaine faisait route vers cette destination c’était pour nous mettre totalement à l’abri du vent. Ainsi nous étions sur que le bateau ne bougerai pas la nuit et nous sauverait du mal de mer une fois tous les sept dans la cabine.
L’endroit était paradisiaque, l’eau turquoise et le banc de sable fin donnaient des allures de plages d’Outre-mer. On avait du mal à se croire en Bretagne.
Abrités par les falaises de l’île, le petit vent frais était totalement atténué. La surface de l’eau était aussi lisse que celle d’un lac. Toutes les conditions étaient rassemblées pour convenir que cet endroit était le meilleur pour passer la nuit.
A quelques mètres de notre bateau, une autre embarcation avait mouillée aussi dans la crique. Leur bateau était nettement plus petit que le n’autre mais il n’accueillait à son bord qu’un couple de trentenaire. Ils étaient tranquillement installés sur leur ponton. Pendant que Madame lisait une revue en profitant des rayons du soleil, monsieur bricolait un bout ou quelque chose comme çà.
Nous décidions nous aussi de profiter de ces rayons du soleil. Il était presque 17h cela nous laissait encore une heure ou deux de soleil. Nous supportions très très bien d’être en tee shirt. Emilie était plus courageuse que nous et opta pour le maillot de bain deux pièces. Quitte à avoir un petit peu froid, elle préférait profiter au maximum de ce capital soleil et éviter au maximum la marque des vêtements sur son corps. C’est vrai que sur l’eau on a tendance à bronzer beaucoup plus vite du fait de la réverbération de l’eau.
Pendant que Mathias moi et Marc étions tranquillement en train de discuter, Jean Pierre s’était éclipser dans la cabine pour commencer à cuisiner et nous préparer de quoi grignoter pour l’apéro. Les filles étaient tranquillement allongées sur le devant du bateau en espérant prendre quelques couleurs. Emilie demanda à Manue si elle pouvait lui passer un peu de crème solaire, elle avait peur que cela ne tourne en coups de soleil. Valait mieux donc prévenir.
Manue se redressa à coté de la jeune majeure, et posa quelques gouttes de crème dans le creux de son dos et le plus tendrement possible l’étala de manière très sensuelle. Le haut du maillot de bain la gênant, elle défit le nœud et pouvait aller maintenant sur toute la surface.
Audrey contemplait la scène et regrettait de ne pas avoir prévu elle aussi son maillot.
« Oh je regrette de ne pas avoir prévu mon maillot moi aussi. Je n’aurai jamais imaginé qu’il puisse faire aussi beau ce week-end. T’avais prévu le tiens Manue ? »
« Ben non, moi non plus. A part des pulls je n’ai pas prévu grand-chose. »
« Bon c’est sûr que pour se baigner c’est encore beaucoup trop tôt vu la température de l’eau. Mais pour un bain de soleil çà l’aurait fait. »
« Pourquoi ne vous mettez vous pas en sous-vêtements les filles. A part nous, il n’y a personne et tant bien que même. » Leur proposa Emilie.
« Oh mais oui tiens qu’elle bonne idée. » A peine l’idée énoncée qu’Audrey était déjà en train de retirer ses vêtements. Elle ne portait qu’un petit gilet qui recouvrait un débardeur, et un jean. Derrière ces habits se cachaient un petit ensemble de lingerie uni de couleur un peu mauve. Un string et un soutien-gorge assorti ne laissaient place à aucune dentelle. Elle avait pour le coup optée plus pour le confort que pour la sensualité. Mais elle restait néanmoins très désirable. A la différence de sa jeune camarade, elle dégrafa son haut pour ne se contenter que d’un monokini. Sa poitrine imposante nous fit relever la tête pour apprécier ce spectacle.
Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls. Notre voisin avait abandonné un instant ses cordages pour apprécier lui aussi des formes généreuses de la belle brune. Il essayait de rester discret pour ne pas se faire remarquer de sa femme qui était toujours occupée à lire.
Quand Manue eu finit avec sa petite rousse, à son tour elle se débarrassa de son accoutrement de marin pour ne s’habiller que d’un petit boxer blanc en dentelle. Les meilleures amies étaient maintenant en topless prêtes à bronzer.
Emilie se redressa de son matelas et ne prit pas la peine de relacer son haut, et ainsi nous offrir la vision de sa toute petite poitrine. Marc nous disait que depuis qu’elle avait rencontré les filles, elle complexait beaucoup moins sur corps et assumait maintenant ses formes.
Je répondais que pour Manue c’était la même chose. Elle complexait beaucoup sur son corps et sa timidité en était étouffante. Mais depuis que nous avons rencontré Mathias et Audrey, elle assumait plus sa féminité et acceptait qu’elle puisse avoir des désirs.
Pendant que nous étions en train de parler de nos femmes respectives, nos trois jolies demoiselles passaient du bon temps. Audrey et Manue étaient tranquillement allongées pendant qu’Emilie leur passait à son tour de la crème pour leur éviter les coups de soleils.
Cette scène en devenait très sensuelle, de temps en temps une petite brise arrivait à passer par-dessus la falaise ce qui provoquait une petite chair de poule sur la peau des jeunes filles. Ceci ne faisant qu’accentuer leur coté désirable.
Se laissant aller aux caresses promulguées par celle qui était il y a quelques semaines son jouet sexuel, Manue se rassit et embrassa langoureusement Emilie, ce geste était, je pense, pour lui montrer que malgré la fermeté qu’elle ait pu avoir avec elle, elle avait de l’affection pour cette fille. Et qu’au fond elle la respectait.
Elles s’enlacèrent l’une contre elle, leur petite poitrine venait se coller l’une contre l’autre. Après ce joli baiser partagé, Emilie alla vers Audrey pour lui offrir la douceur de ses lèvres.
Elles venaient, devant nous, nous montrer à quel point elles se trouvaient bien entre elles.
Jean Pierre avait abandonné un instant son coin cuisine pour assister à cette scène magnifique. Notre voisin de bateau ne s’en privait, jusqu’au moment où sa femme se rendit compte de la situation et lui fît remonter l’ancre pour changer de crique.
Pendant sa manœuvre, il prît soin de bien barrer au plus près de notre bateau pour une dernière fois apprécier de plus près la plastique des jeunes étudiantes. Sa femme nous adressa un regard fusillant, nous faisant bien comprendre qu’elle ne cautionnait pas ce genre de pratique. Un regard auquel nous répondant d’un grand sourire.
Nous étions maintenant totalement seuls, sur ce qui aurait pu nous paraitre être notre ile déserte.
Nous laissions le temps au temps et profitions de cette magnifique journée.
Le soleil commençait doucement à descendre et le corps des filles n’était plus suffisamment chauffé par ses rayons printaniers. Il était donc temps de penser remettre un petit quelque chose sur soit au risque de tomber malade.
L’activité sur le bateau commençait à reprendre, Jean Pierre avait terminé de préparer notre festin et au vu de l’heure qu’il était nous proposa de prendre l’apéro sur le ponton pendant qu’il faisait encore assez doux et nous rentrerons dans la cabine pour le diner.
Non installions donc une table à l’arrière du bateau, et tous les sept s’assirent autour. Les plus âgés de nous avaient pris leur position et s’étaient assis chacun à leur tour à coté de leur petite préférée. Jean Pierre déboucha une grosse bouteille de champagne. Tandis que Marc s’adressa à nous.
« Bon les amis, dites-moi quand terminez-vous vos cours ? Vous avez prévu quoi à la rentrée »
« Je termine mes cours le 30 mai. J’ai mes résultats de partiels le 5 juin. Et si tout se passe bien je continue en Master. » Lui répondis-je.
« Moi je termine mon BTS, fin juin. Et si je l’ai, et bien, à partir de septembre je cherche du boulot en tant que Technico-commercial. Je croise les doigts. »
« Et toi Manue ? »
« Je finis la semaine prochaine et j’enchaine sur une licence professionnelle Banque et assurance. C’est une formation en alternance donc faut que je trouver une agence qui accepte de me prendre. Et avec la crise c’est pas gagnée »
« A qui le dis tu, je suis bien placé pour te le confirmer. Même si mon entreprise de courtage en assurances tourne bien, c’est vrai que j’ai connu de meilleures années. Bon je ne vais pas tourner autour du pot, en fait si je vous pose cette question c’est que nous avons quelque chose à vous proposer. Mathias nous avait parler de vos suites, Jean Pierre et moi avons discuté. »
« Oui, voilà. Audrey, tu sais qu’avant d’être jeune retraité j’étais patron d’une petite boite de mécanique de précision. J’ai contacté mon remplaçant et par le pur des hasards il recherche un technico-commercial junior. J’ai bien entendu parlé de toi et donc si tu le souhaites tu peux commencer dès le 02 septembre. Bon le salaire n’est pas très élevé mais pour commencer c’est tout à fait acceptable. Et suivant tes objectifs fixés tu pourras aisément le faire évoluer. »
« C’est vrai ??? C’est trop cool ! » Audrey se leva pour se jeter dans les bras de Jean Pierre pour le remercier de ce petit coup de pouce.
« Quant à toi Manue, voilà … Je voudrais étendre mon cabinet de consulting sur d’autres marchés et cibler un nouveau portefeuille client. Mais ma charge de travail ne me permet pas de m’y atteler comme je le voudrais. Ma comptabilité ne me permet pas d’embaucher un plein temps, mais si tu acceptes je veux bien te prendre en alternance pour ta licence. Et ainsi tu m’assisteras dans ce projet. Je suis sûr que cela sera très formateur pour toi et je suis convaincu que tu me seras d’une très grande aide. »
Manue ne s’avait que répondre à cette avance. Elle ne cessait de me regarder comme pour me demander ma bénédiction. Ma seule réaction était de la jalousie, la savoir passer 8 heures par jour aux cotés de Marc me tiraillait le cœur. Même si je savais que sa préférence était clairement pour Audrey, il n’en restait de même qu’il aimait bien Manue et qu’il était tout de même le plus viril de nous tous dans sa manière d’être. J’étais donc partagé, cette opportunité était du pain béni pour Manue et je ne pouvais m’y opposer. C’est donc avec une petite tristesse que ma tête ocha timidement en direction de ma copine pour la motiver à accepter cette proposition, qui je le savais n’était pas si anodine que cela. Un petit sourire me remercia de ma compréhension. Et elle accepta cette faveur qui lui assura de pouvoir continuer ses études en toute tranquilité. Et l’alternance allait lui permettre de pouvoir toucher son premier salaire.
« Bon que de bonnes nouvelles dites-moi ! Trinquons à l’entrée des filles dans le monde professionnelle et encore merci pour ce week-end. » S’adressa Mathias à toute la communauté en levant sa coupe. Dans un bruit de verre, tout le monde se leva pour fêter l’occasion.
L’air dehors commençait à se rafraîchir, le soleil était maintenant passé derrière les dunes et ne nous réchauffait plus. Il était temps pour nous de rentrer dans le bateau pour diner à l’abri du vent pour apprécier à sa juste valeur le diner préparé par Jean Pierre.
Ce moment était détendu et festif. Par un petit jeu de passe-passe notre cher ami Jean Pierre réussit à créer l’occasion de s’installer à côté de Manue, qui était en bout de banquette et se retrouvait ainsi bloquée entre la coque du bateau et le retraité. Marc usa de cette même ruse pour de l’autre côté de la table se rapprocher de sa petite préférée. Il ne restait plus qu’à Mathias, moi et Emilie à nous serrer tous les trois sur le reste de bout de table.
Pendant tout la durée du repas, Jean Pierre ne cessait de s’adresser à Manue, sans même se soucier de nous. Cette attitude avait le don de créer en moi une petite jalousie. Ce que je redoutais le plus arriva. Nous étions sept personnes entassées dans un carré de quelques mètres carrés. Très vite la température monta et Manue ressentie le besoin de se mettre à l’aise. Et comme elle connaissait bien ses hôtes et qu’elle se sentait tout à fait à l’aise en leur présence. Elle retira son pull pour se mettre en débardeur. Ce qui ne fît qu’attiser le désir de Jean Pierre, qui s’empressa de venir déposer un petit baiser dans le creux de son cou.
Nous avions tous très chaud dans cet habitacle, et chacun à notre tour nous nous effeuillons un peu plus.
Le repas terminé la nuit était maintenant bien tombée. Le vin nous avait chauffé encore un peu plus. Marc nous proposa une petite partie de carte pour terminer cette soirée.
« On va tout de même pas aller se coucher maintenant. Que diriez-vous d’une petite partie de Belote ? »
« Oh oui c’est une bonne idée, çà fait longtemps que nous n’en avions pas fait eu » répondis-je spontanément sans en savoir les conséquences sur la tournure qu’allait prendre la soirée.
« Il faut un nombre pair pour jouer ? Je vous laisse ma place, je ne connais pas les règles. » s’excusa Emilie.
« Entendu. Bon faisons les équipes. Fred tu viens avec moi ? On laisse Manue et Audrey ensemble. Marc et Jean Pierre vous jouez ensemble ? Ca va à tout le monde ? »
« J’aurai pas fait mieux comme découpage Mathias. Je propose même de pimenter le jeu. Que diriez-vous d’une belote avec gages. Les vainqueurs de la partie ont autorité sur les perdants pour disons deux souhaits. Comme les équipes sont faites de binômes. » proposa le nouveau patron de ma copine.
Mathias me regarda et semblait trouver le deal plutôt intéressant. Cela nous ramenait dans nos pensées à notre soirée du jeu de l’oie.
Les filles étaient moins enthousiastes que nous, mais se laissèrent convaincre tout de même.
Les cartes étaient distribuées et la partie pouvait débuter. Chaque équipe était concentrée pour déjà ne pas perdre et éventuellement gagner. L’enjeu en valait la chandelle.
La partie dura une bonne partie de cette fin de soirée. Il fallut constater que Marc et Jean Pierre étaient des adeptes de ce jeu et avaient surtout l’habitude de jouer ensemble. C’était difficile de rivaliser avec eux. Mathias et moi arrivions tout de même à tenir le niveau tandis que nos deux amies étaient bien dernières.
La sentence est donc tombée à l’issue du jeu après avoir comptabilisé les points, les grands vainqueurs étaient Jean Pierre et Marc et les dernières Manue et Audrey. Mathias et moi étions soulagés de ne pas soumis aux désirs de ces hommes mais inquiets pour ce qui allait être demandé à nos conjointes.
« Bon nous allons Jean Pierre et moi nous retirer un instant pour délibérer de votre sentence les filles. En tout cas vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point nous sommes contents. On ne pouvait espérer mieux comme finalité. »
Ils entrèrent dans une des cabines et refermèrent derrière eux la porte, tel un juré qui s’apprêtait à délibérer pour la peine à encourir suite au jugement.
Emilie, pour nous faire passer le temps, nous proposa une boisson chaude. Les minutes nous semblaient interminables. Enfin le juré sorti de l’isoloir.
« Bon, les amis nous avons trouvé vos gages. Ils se passeront en deux temps. Jean Pierre je te laisse annoncer ton souhait »
« Oui, voilà je veux que Manue me rejoigne dans la cabine. Je voudrai profiter d’elle comme je le souhaite. Mais par contre Frédéric pour le coup je souhaiterai que tu sois présent aussi pour simplement regarder. Je veux être le seul décisionnaire, est-ce OK ? »
La règle était la règle et nous ne comptions pas y déroger.
« Quant à moi, mon gage se fera plus tard et bien entendu se portera sur Audrey. Je veux disposer de toi toute une journée mais d’une manière particulière. D’ailleurs je pense que Manue devra être présente aussi pour le côté technique. Mais nous en reparlerons en temps et en heure. Là j’ai plutôt envie d’un petit câlin. Emilie approche toi ! »
La jeune rousse se dirigea vers lui, au passage elle saisit la main d’Audrey comme pour l’inviter à l’accompagner. La brune se leva à son tour et guidée par son amie alla rejoindre le capitaine du bateau. Cette situation semblait amuser Mathias, à en lire sur ses lèvres.
Arrivées au niveau de Marc, les filles s’embrassèrent langoureusement ceci provoqua une excitation non dissimulable sur leur aïeul. Voyant qu’il commençait à être trop étroit dans son pantalon, Emilie le saisit par la ceinture pour l’amener à elle afin de procéder ou déboutonnage de son jean. Audrey tout en s’agenouillant devant lui elle accompagna le pantalon aux chevilles. Et sans plus attendre, engouffra le sexe déjà bien dressé au fond de sa gorge. Prit par surprise, il ne put que faire jaillir un énorme râle de plaisir. Très vite Audrey, fût rejointe par Emilie qui à son tour prit son maitre en bouche. Leurs salives se mêlaient sur l’organe du chef d’entreprise. C’était à son tour de les prendre en main pour les guider dans une des cabines de couchages. Il ouvrit la porte, et les attira dans le petit carré étroit. Il prît soin de retirer tous ses vêtements et s’allongea sur la couchette. Les filles s’accroupirent de chaque côté et reprirent leur caresse buccale, en alternant le sexe dans chacune de leur bouche. Marc se redressa sur ses avant-bras pour lever la tête tout en laissant les filles s’activer à leur tâche, et s’adressa à Mathias.
« Et ben mon salaud, je crois bien que ta petite copine est la meilleure suceuse de tous les temps. Regarde un peu comment elle m’avale entièrement. On y est bien dans sa bouche. »
Mathias ne se laissa pas intimidé par les paroles que l’on savait cru de notre ami, et tout en contemplant la scène auquel nous étions en train d’assister. A son tour il se dévêtit, et empoigna la jeune rousse par les cheveux pour coller son visage à son sexe, en partie en érection. Il força sa petite bouche et enfonça son sexe gonflé au maximum qu’il pouvait. La jeune cru s’étouffer devant face à cette intrusion. Et à chaque fois qu’il essayait de s’y enfoncer un peu plus, elle sentait que l’organe prenait du volume. Il lui fallut pas plus de quelques minutes pour être totalement en érection. Les deux hommes étaient maintenant occupés à se livrer une bataille de virilité avec la copine de l’autre.
« Bon laissons ce combat de coq se dérouler tranquillement, nous avons-nous aussi à faire. Je voudrais pouvoir bénéficier de ma récompense » tout en s’adressant à nous, Jean Pierre était en train de déboutonner sa chemise. Il invita de la tête Manue à passer dans l’autre cabine.
« Ne reste donc pas là tout seul Frédéric, vient avec nous. J’ai aussi à faire pour toi »
Nous étions maintenant tous dispersé dans nos cabines respectives. Des petits gémissements féminins se faisaient entendre chez les voisins, signe qu’ils étaient passés à l’étape supérieure.
Jean Pierre se déshabilla intégralement et s’allongea sur la couchette. Nous restions debout attendant les directives.
« Bon voilà ce que j’ai envie. Aujourd’hui Manue je ne te demanderai qu’une seule chose. Je veux tout simplement te sodomiser pendant que Frédéric sera bien sagement en train de nous regarder. Qu’il y a-t-il cela ne te convient pas ? »
« Ben … » elle était hésitante « Disons qu’à chaque fois que vous me l’avez fait y’avait toujours eu quelqu’un avant. Et là dans ces circonstances, je ne suis pas sure de pouvoir. Vous êtes beaucoup trop gros pour moi. »
« Raison de plus ma petite Manue, je vais t’éduquer à cela. Et malheureusement tu n’as pas trop le choix, les termes du contrat sont clairs. Je peux disposer de toi comme bon il me semble. Frédéric, peux-tu aller au niveau du banc à côté de la table, en dessous de ce banc il y a un coffre, où tu trouveras mon sac de voyage. Dans ce sac, il y a ma trousse de toilette, tu peux nous ramener le tube de lubrifiant. Nous en aurons besoin. Tu vois Manue, je ne suis pas si cruel que çà. Tu sais maintenant avec Emilie on arriverait presque à s’en passer. »
Elle ne répondit, et baissa la tête.
Je sorti donc de la cabine pour aller chercher ce que Jean Pierre m’avait demandé. En même pas cinq minutes que je m’étais absenté, le temps de retirer les coussins de la banquette et de trouver le sac, à peine arrivé de nouveau dans la cabine quelle ne fut pas ma surprise de voir Manue totalement nue debout à côté du lit tandis que le retraité était toujours allongé et profitait du paysage.
« Je crois que je ne me lacerai jamais de te voir nue. » Et il avait raison, cela en était de même pour moi. Son corps était harmonieux et son teint de peau appelait à y déposer des baisers. Ses fines hanches surplombaient un joli petit fessier musclé par le sport. Sa petite poitrine frôlait la perfection, du fait de son âge elle était ferme. Ses petits mamelons coloraient d’une manière sensuelle ses petits coussins. Quant à son sexe, il était comme à son habitude entièrement lisse. Aucune ombre d’un poil ne venait entraver son abricot. Il nous donnait envie d’y croquer. Elle se tenait droite, toute intimidée devant son sexagénaire et redoutait le moment.
J’arrivai dans la cabine quand Jean Pierre s’adressa à moi :
« Oui, super, tu l’as trouvé facilement ? Bon écoute : Je veux pouvoir m’introduire en elle sans grande peine. Alors pour cela c’est toi qui va me préparer. Enduit mon sexe d’autant de lubrifiant que tu jugeras nécessaire »
« Ne vaudrait mieux pas appliquer le lubrifiant directement sur Manue »
« C’est toi qui donne les ordres maintenant ? Enduit moi le sexe et ne pose plus de question »
Je m’exécutai. J’ouvris le tube et vida une petite quantité sur son sexe totalement ramolli.
« Tu crois tout de même pas que cela est suffisant ! Tu crois vraiment que je vais pouvoir comme çà ? Et puis pense à ta petite copine, tu crois vraiment c’est ce dont ce qu’elle a envie ? Moi je ne crois pas. Elle cache bien son jeu tu sais. Elle aime les gros sexes comme le mien. » Je crois qu’elle était plutôt apeurée par les gros sexes comme le sien me fis-je la réflexion. Cette fois, je déposai directement le gel dans le creux de ma main et vint saisir son sexe. Déjà à l’état repos ces dimensions n’en restaient pour le moins surprenantes. C’était à ce jour le troisième sexe d’homme que je côtoyais. Il y avait eu celui de l’ancien propriétaire de Manue et celui de Mathias, mais celui-ci était encore plus impressionnant. Je me souviens d’avoir vu sur internet des vidéos de blacks avec des sexes hors normes, j’avais toujours pensé que c’était de la fiction et que dans la vraie vie cela ne pouvait exister. Mais là je tenais la preuve en main et en plus il n’était pas black.
A mes chaque allez et venus, je sentais qu’il se gonflait toujours un peu plus. Sa taille en devenait monstrueuse. Manue suivait çà avait intérêt et redoutait la suite.
Je ne minimisais pas sur la quantité de lubrifiant, je veillais à ce qu’il soit le plus enduit possible.
« Mmmmh, tu sais Fred, c’est la première fois qu’un homme me touche. Comme tu peux le voir je n’en reste pas insensible. Mais je crois que ce qui m’excite le plus c’est de savoir que tu es en train de me préparer pour ta petite copine… » Il savait qu’en me disant cela il ne faisait qu’attiser ma jalousie. Je rajoutais une dernière fois un peu de gel, et accéléra mon mouvement. Son sexe était maintenant dur comme de l’acier et dépassait largement son nombril. Même ma main avait du mal à en faire le tour.
« Très bien, merci Fred pour ton efficacité. Je me sens fin prêt à honorer ce petit passage. Manue ce que je te propose c’est que tu viennes au-dessus de moi, comme çà ce sera toi qui jugera la descente. »
« Je suis désolée Jean Pierre, mais je crois que çà ne va pas le faire. J’ai vraiment peur. Déjà quand les autres m’avaient préparé à vous recevoir c’était douloureux mais là je n’ose pas imaginer. »
« Je ne te demande pas d’imaginer ma pauvre Manue, je te demande de t’exécuter ! Allez grimpe sur ce lit et viens honorer notre contrat. »
Je m’écartai de l’homme pour laisser la place à Manue. Elle grimpa sur le lit, chevaucha l’homme allongé dos à lui. Il tenait dans sa main son sexe glissant et le dirigeait vers le ciel. Elle s’accroupie au-dessus de lui et s’arrêta quelques centimètres avant. Son regard était vague et son corps frissonnait de peur.
« Allez ne te fais pas prier. Viens donc … » lui commandait-il.
Elle s’accroupie encore un peu plus pour venir se mettre en contact. Il fallait maintenant prendre sur soi pour commencer la descente. Le plus lentement possible elle essaya de descendre mais très vite elle due stopper voyant bien que l’organe qu’on lui proposait était trop gros. L’homme ne voulait en démordre, il avait décidé que cela se passerait ainsi et il comptait bien y arriver. Il posa ses mains sur les épaules de jeune fille s’assurant ainsi de pouvoir la retenir quand elle souhaiterait se relever.
« Allez recommence ! »
Elle prenait le maximum d’inspirations pour se donner du courage, et entama à nouveau une nouvelle descente. Cette fois ci, l’homme exerçait une pression sur ses épaules ce qui l’empêchait de remonter pour se soulager. Son visage se crispait, elle mordait sa lèvre inférieure mais rien y faisait elle avait mal. Il appuyait toujours un peu pour l’obliger à s’assoir mais elle résistait tant bien que mal. Face à cette insistance, le sexe arriva tout de même à franchir quelques millimètres dans la partie la plus intime de ma petite amie. Cette intrusion provoqua chez la fille un cri de douleur. Des larmes suivirent cet acte.
« Je vous en supplie Jean Pierre … »
Il ne l’écouta pas, et décolla légèrement son bassin pour venir forcer toujours un peu plus l’entrée encore interdite.
« S’il vous plait Jean Pierre, vous voyez bien qu’elle souffre. »
« T’inquiète pas mon petit, elle en redemandera après »
« Laissez-moi au moins remettre un peu de lubrifiant, cela la soulagera »
« Fallait y penser avant. Je t’ai laissé le temps de le faire maintenant c’est trop tard. Je sais qu’elle aime avoir mal, hein ? C’est pas vrai ? »
Voyant qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière et qu’il était impossible de raisonner le vieil homme elle essaya de se re-saisir et d’affronter l’impensable.
Sa main droite vint se poser sur son sexe lisse, et à l’aide de son index il vint jouer avec son petit bouton. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi, elle se caressait ainsi et surtout en quoi cela allait l’aider. Je savais qu’elle avait toujours été plus sensible au niveau du clitoris mais je n’arrivais pas à faire le lien. En fait, elle essayait tout simplement de faire monter son excitation et ainsi pouvoir se concentrer sur son plaisir pendant que de l’autre côté on forçait à s’y introduire. Elle essayait de détourner son attention.
« Oh mais dis donc, regarde un peu çà. On dirait que le fait de te voir souffrir attise le plaisir chez ton petit ami, ma belle ! » Le regard du sexagénaire se posait sur mon pantalon et il était vrai que je ne pouvais dissimuler une bosse naissante. Ceci l’amusait tandis que Manue moins.
« J’aimerai bien t’y voir tiens ! » me reprocha-t-elle. Son regard me fusillait. Son index s’intensifia sur son sexe, elle reprit une grande inspiration, redressa son dos le plus droit possible et entama sa descente lentement mais avec une rage. Le sexe commençait tout doucement à se frayer un passage. L’anus se dilatait toujours un peu plus. Les cris de Manue raisonnaient dans tout le bateau, les larmes coulaient le long de son visage. Elle souffrait, mais elle était décidée à y aller jusqu’au bout. Elle sentait ses chairs s’ouvrir et se dilater.
Jean Pierre avait maintenant décollé son fessier du matelas pour venir pousser un peu plus et s’assurer d’ouvrir le passage. Elle ferma les yeux et abandonna ses caresses clitoridiennes. La douleur était trop grande rien ne pouvait plus la masquer. Il relâcha ses mains de ses épaules et lui attrapa les seins. Il les tenait le plus fermement possible, et les tirait vers le bas pour l’accompagner dans sa descente. Cette accroche brutale lui faisait mal, même si ce n’était pas comparable avec celle de la sodomie qu’elle était en train de vivre. Elle ne pouvait plus résister et était obligée de se livrer à son sort. Le sexe continuait sa progression en avançant de millimètre en millimètre. Elle était dans un degré de douleur qu’elle s’était totalement déconnectée du monde qui l’entourait. Ses cris se faisaient toujours plus rapprochés et les larmes ne cessèrent de couler sur son visage. La torture qui était infligée à son petit 85b n’arrangeait rien à la chose mais avait le mérite de l’encourager à poursuive sa descente pour que cela cesse.
Jean Pierre relâcha un peu la pression au niveau de ses mains et reposa son bassin sur le matelas. Ceci pour provoquer un soulagement pour la fille, mais en fait c’était tout bonnement une ruse pour lui faire relâcher surtout son attention. Aussitôt qu’il sentit que la jeune fille se détendait et reprenait son souffle. Il ferma brusquement ses mains sur les seins très fortement et les tira vers le bas tout en poussant son sexe contre sa petite entrée. Ce moment d’inattention fut fatal pour Manue. Le sexe était maintenant entré jusqu’au gland autant dire que le plus dur et large était passé. Il la saisissait bien pour ne pas qu’elle se dégage. Elle reprit son souffle et ses esprits, se re caressa le petit bouton et fini sa descente. Ca y est-elle était enfin assise ! Jean Pierre relacha ses mains et reposa tout son corps sur la couchette, il n’était plus nécessaire pour lui d’être entreprenant.
Manue commence alors un très léger va et vient sur le sexe. On pouvait voir son visage se décrispé tout doucement. Au fil des minutes les allers et venues se faisaient plus amplement. Contre toute attente, je fus surpris de voir qu’elle arrivait même à accélérer légèrement le rythme. Elle releva la tête pour reprendre contact avec la pièce, son premier regard se porta sur moi. Elle voyait bien comme j’étais mal à l’aise, mais un petit sourire venant d’elle me rassura aussitôt. Le plus dur était derrière elle, elle pouvait maintenant se concentrer sur son plaisir. Elle se tenait toujours sur ses jambes accroupie au-dessus de lui, ses mains reposaient sur le torse velu pour bien prendre appui. Le passage était fait maintenant et l’organe surdimensionné coulissait à merveille dans ses entrailles.
« Regarde Frédéric comment çà lui plait maintenant. Tu vois, elle a un gros potentiel ta copine. Allez, on va changer, mets-toi à quatre pattes sur lit. Montre à ton petit ami comment tu aimes çà. »
Sans dire quoi que ce soit, Manue se désolidarisa de Jean Pierre et se positionna comme demandé. Elle se cambrait le plus possible pour s’ouvrir ainsi un maximum et surtout pour ne pas avoir à subir ce qu’elle venait d’endurer.
Jean Pierre descendit du lit pour se placer derrière ma belle. Son arme à la main, il ne prit soin de la ménager. Dans un mouvement brusque il l’enfourna. Surprise elle ne put contenir un cri strident. Elle étouffa ses gémissements en plaquant son visage sur le matelas. Les coups de reins qu’elle était en train de subir étaient très bestiaux. Le rythme était rapide et soutenu. Elle sentait les testicules de l’homme frapper sa vulve à chaque passage. Sa poitrine ballotait sous les assauts virulents. Il arrivait à faire disparaître totalement son sexe dans l’anus de ma petite amie.
Ses mains empoignaient les hanches de Manue, il s’agrippait tellement fort qu’on voyait la trace de ses mains et de ses ongles.
« Ca y est je vais jouir !!! Je vais bien te remplir ma petite … »
Son râle était grave et long. Quand il sentit qu’il était arrivé en butée il stoppa tout, pour bien s’assurer d’y déposer toute sa semence au plus profond d’elle. Cela dura un long moment preuve que la quantité devait être importante. Il se retira enfin amenant avec lui un long filet de sperme mélangé à la cyprine.
« Ne reste donc pas planté là ! Tu devrais déjà être totalement nu prêt à prendre la relève et à apprécier le travail bien fait. »
Ni une, ni deux je me débarrassai de tous mes habits, pas besoin de m’exciter encore plus j’étais déjà dur depuis plusieurs minutes. Jean Pierre se décala pour me laisser la place, Manue gardait la tête cachée dans le matelas et ne daigna m’adresser un regard. Je ressenti un petit sentiment de honte, j’étais en train de profiter de la situation au détriment de ma chère et tendre. Mais le désir était plus fort. Donc à mon tour, je présentai mon sexe dans l’entrée interdite. Je crois bien que c’était la première fois que je la voyais aussi dilatée. Mon sexe s’introduisit sans rencontrer la moindre difficulté. L’insertion de mon membre provoqua un gros bruit de succion, sans doute causé par la présence importante de sperme. Quand je ressorti mon sexe pour la première fois il était immaculé de blanc. Je ne suis pas sûr que Manue doive sentir quelque chose. Mon sexe touchait difficilement les parois et j’étais très loin d’aller aussi profond que mon prédécesseur. J’étais plus en contact avec son liquide que la chair même de ma chérie. Cela semblait amuser mon voisin de me voir aussi peu remplir ma copine.
« J’espère tu as de la réserve pour au moins la combler de ton chaud liquide ! » se moqua-t-il de moi.
La situation m’avait tellement excité qu’il était difficile pour moi d’établir un record aujourd’hui, je sentais très vite le plaisir monter en moi. A mon tour je déchargeais dans ma copine et venant rajouter encore un peu plus de sperme. La contenance maximum était arrivée, de longs filets de liquide blanchâtres coulaient le long de ses cuisses. Le sperme ruisselait dans le pli de son entre jambe, et goutait sur les lèvres de son sexe. A chaque spasme de son corps, une coulée sortait de son anus. Jean Pierre s’amusa à jouer avec en glissant un doigt pour essayer d’en faire sortir encore un peu plus.
Après avoir fini de jouer avec son sperme et le mien, il reprit ses habits dans les bras, embrassa furtivement Manue, me salua et quitta la cabine.
En refermant la porte derrière lui, il nous souhaita une bonne nuit (…).