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par manukib56
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La Croisière s’amuse

Le week-end avant le fameux long week-end de l’ascension, où la quasi-totalité des personnes actives pouvaient se voir octroyer cinq jours de congés pour une seule journée de posée, nous avions reçu un mail de Jean Pierre qui nous invitait à une petite croisière en voilier au départ de la Trinité sur Mer et pour destination de Belle Ile. Nous n’avions pas eu de nouvelles de leur part depuis la fameuse aventure avec Emilie, qui nous avait été livrée comme çà un samedi.

Après concertation avec chacun et au vu de la météo annoncée, nous acceptions l’invitation en sachant pertinemment que notre croisière aura une tournure particulière.

Nous étions tous excités par ce départ vers l’aventure et le total inconnu. De nous quatre, aucun n’avait fait de bateau et encore moins une croisière de ce type.

Nous arrivions donc tous les quatre au ponton où nous retrouvions nos deux connaissances accompagnés de leur petite protégée. L’accueil était convivial et on sentait bien qu’ils étaient contents de nous retrouver.

La météo annonçait un week-end plus que printanier, et une fois n’était pas coutume, avec des températures supérieures à la normale. Mais par mesure de précautions nous avions tous les quatre tout de même prévu de gros pull à mettre sous notre coupe-vent.

Marc nous présenta le bateau : « Quel plaisir de vous revoir les amis, je suis heureux que vous ailliez pu répondre présent à ce petit week-end. Voici ce qui va être notre maison pendant ces trois jours. C’est un First 36.7. Il fait 10 mètres 90. Vous verrez vous vous sentirez à l’aise dedans. Il y a tout le confort nécessaire. Même si pendant ces deux journées nous seront tout de même dans une certaine promiscuité. » Ne manquait il pas de nous rappeler.

Nous embarquions à son bord et étions stupéfaits de la beauté intérieure de ce navire. Il offrait trois chambres doubles et pouvait accueillir à son bord jusqu’à 8 personnes. Bien plus que nécessaire car nous n’étions que 7 convives.

Dans la partie centrale du bateau, une grande table entourée de banquettes meublaient la pièce de vie. Le bois des meubles donnait une touche très chic.

Jean Pierre nous aida à charger nos bagages dans les soutes et nous laissa prendre nos marques.

Il était 9h20, et le ciel était immaculé de bleu. Pas un nuage ne venait occulter le soleil. Il faisait doux. Pendant qu’Emilie s’activait en cabine à nous préparer un petit café, nous aidions le capitaine dans sa manœuvre. Nous venions de quitter le ponton pour faire route dans le chenal en direction de Belle Ile. Nous avancions au moteur le temps pour nous de préparer le bateau. Audrey et Manue avaient pour mission de relever les bouées de bastingage, tandis que Mathias préparait le SPI, j’étais moi occupé à retirer la housse sur la bôme de la grande voile. Nous étions tous excités par cette aventure et écoutions les consignes de notre capitaine avec la plus grande attention.

Le chenal du port de la Trinité sur mer était maintenant derrière nous, et nous pouvions apprécier la vue magnifique de notre côte bretonne de la mer. Nous n’étions pas les seuls à profiter de ce magnifique week-end ensoleillé pour mettre les voiles. Sur l’immense grande bleue on pouvait voir sur tous les horizons un grand nombre de voiles de toutes les couleurs peupler l’océan.

Marc aidé de Jean Pierre hissèrent les voiles et nous faisons maintenant cap vers l’ile.

« C’est bon, nous avons bien mérité notre petite pause-café. Le vent n’est pas très fort, je crains qu’il nous fasse un peu plus de temps que prévu pour y arriver. Mais on ne peut pas tout avoir : le soleil et le vent. » philosopha Marc.

Emile sortie de la cabine avec un petit plateau contenant 7 tasses à café fumantes et quelques biscuits de disposés sur une assiette. Marc s’assura de bien caler le bateau « au près », ce terme de navigation consiste à remonter le vent. Du fait que le bateau avance à l’inverse du vent, le ressenti de celui-ci est donc annulé et très vite la sensation de chaleur se fait sentir sur le ponton. Il était donc très agréable de s’assoir sur le pont du navire pour boire ce café. Mathias, Audrey et moi-même ôtions nos manteaux tellement la douceur du printemps était présente. Le port de lunettes de soleil était plus que nécessaire. Lézardant tous au soleil, les discussions allèrent bon train et très vite l’ambiance devint très sympathique.
Les sujets étaient diverses et variés. Nous étions tous les sept totalement détendus et nous comptions bien en profiter au maximum.

Ce petit moment détendu était l’occasion pour nos hôtes de reparler de notre dernier entrevu avec Emilie.

« Dis dons les amis, vous n’avez pas été de main morte avec notre petite protégée. Nous l’avions retrouvée totalement apeurée devant la porte de Jean Pierre. Et qu’elle ne fût pas notre surprise de voir au combien vous l’aviez rempli. Cela va peut-être vous paraitre choquant mais nous sommes passés dessus après vous. Et vous ne pouvez pas imaginer à quel point nous avons pris notre pied. Par contre vous l’aviez vachement détendu. Il lui a fallu plusieurs jours pour retrouver la normale. Bon en tout cas j’espère que vous avez apprécié notre petit cadeau. » (…)

Après cette petite pause-café, et qu’Audrey ai pu raconter toute l’histoire de notre soirée avec Emilie, il était maintenant grand temps de reprendre la barre. Car il nous restait encore beaucoup de miles avant d’arriver. Et dans ces conditions de navigation, qui étaient pour le moins le plus confortable nous n’avancions guère. Marc proposa aux filles de se mettre sur le pont avant du bateau et de profiter de cette croisière et surtout des premiers rayons de soleil du printemps bien tardif, tandis que nous les gars nous nous occuperions de les amener à bon port. Marc était incontestablement le capitaine du bateau, Jean Pierre était son second tandis que Mathias et moi en néophytes que nous étions, nous étions les mousses.

Emilie alla chercher dans la cabine, des petits matelas en mousses pour qu’elles puissent s’allonger tranquillement à la proue du bateau. Chacune d’elles avaient prévu un bouquin et nos trois miss étaient tranquillement en train de bouquiner tandis que nous nous efforcions de tirer les bords pour remonter le vent et ainsi nous assurer d’arriver sur Belle Ile avant la nuit.

Il nous fallut un peu plus de six heures de navigation pour enfin voir apparaitre notre destination. Pendant notre traversée nous avons eu l’agréable surprise de se faire convoyer par un petit groupe de marsouins, qui jouaient avec l’étrave de notre bateau. L’occasion pour nous de prendre quelques photos pour immortaliser ce moment rare.

En face de nous, Le Palais, un des ports de l’île. Le paysage était magnifique, les couleurs bleus de l’eau reflétaient la verdure de la cote. L’immense phare de l’entrée du Port dominait sur la digue.

Nous décidions de faire escale pour faire quelques courses et nous dégourdir les jambes.

C’était la première fois pour nous que nous visitions cette île. Nous étions tous très excités de découvrir ce paysage haut en couleur. Nous flânions dans les rues et trouvions une petite superette où nous trouvons tout le nécessaire pour se faire un copieux diner. Il fallait se l’avouer naviguer toute la journée ouvrait l’appétit.

Il était temps pour nous de reprendre la mer. Marc voulait nous amener dans un endroit où nous serions tranquilles pour passer la nuit. Avant de devoir refaire route demain matin vers le continent.

Nous sortions du port pour faire maintenant cap vers une petite plage : « Herlin ». Emilie connaissait bien cette plage, et nous assurait que si notre très cher capitaine faisait route vers cette destination c’était pour nous mettre totalement à l’abri du vent. Ainsi nous étions sur que le bateau ne bougerai pas la nuit et nous sauverait du mal de mer une fois tous les sept dans la cabine.

L’endroit était paradisiaque, l’eau turquoise et le banc de sable fin donnaient des allures de plages d’Outre-mer. On avait du mal à se croire en Bretagne.

Abrités par les falaises de l’île, le petit vent frais était totalement atténué. La surface de l’eau était aussi lisse que celle d’un lac. Toutes les conditions étaient rassemblées pour convenir que cet endroit était le meilleur pour passer la nuit.

A quelques mètres de notre bateau, une autre embarcation avait mouillée aussi dans la crique. Leur bateau était nettement plus petit que le n’autre mais il n’accueillait à son bord qu’un couple de trentenaire. Ils étaient tranquillement installés sur leur ponton. Pendant que Madame lisait une revue en profitant des rayons du soleil, monsieur bricolait un bout ou quelque chose comme çà.

Nous décidions nous aussi de profiter de ces rayons du soleil. Il était presque 17h cela nous laissait encore une heure ou deux de soleil. Nous supportions très très bien d’être en tee shirt. Emilie était plus courageuse que nous et opta pour le maillot de bain deux pièces. Quitte à avoir un petit peu froid, elle préférait profiter au maximum de ce capital soleil et éviter au maximum la marque des vêtements sur son corps. C’est vrai que sur l’eau on a tendance à bronzer beaucoup plus vite du fait de la réverbération de l’eau.

Pendant que Mathias moi et Marc étions tranquillement en train de discuter, Jean Pierre s’était éclipser dans la cabine pour commencer à cuisiner et nous préparer de quoi grignoter pour l’apéro. Les filles étaient tranquillement allongées sur le devant du bateau en espérant prendre quelques couleurs. Emilie demanda à Manue si elle pouvait lui passer un peu de crème solaire, elle avait peur que cela ne tourne en coups de soleil. Valait mieux donc prévenir.

Manue se redressa à coté de la jeune majeure, et posa quelques gouttes de crème dans le creux de son dos et le plus tendrement possible l’étala de manière très sensuelle. Le haut du maillot de bain la gênant, elle défit le nœud et pouvait aller maintenant sur toute la surface.

Audrey contemplait la scène et regrettait de ne pas avoir prévu elle aussi son maillot.
« Oh je regrette de ne pas avoir prévu mon maillot moi aussi. Je n’aurai jamais imaginé qu’il puisse faire aussi beau ce week-end. T’avais prévu le tiens Manue ? »
« Ben non, moi non plus. A part des pulls je n’ai pas prévu grand-chose. »
« Bon c’est sûr que pour se baigner c’est encore beaucoup trop tôt vu la température de l’eau. Mais pour un bain de soleil çà l’aurait fait. »
« Pourquoi ne vous mettez vous pas en sous-vêtements les filles. A part nous, il n’y a personne et tant bien que même. » Leur proposa Emilie.
« Oh mais oui tiens qu’elle bonne idée. » A peine l’idée énoncée qu’Audrey était déjà en train de retirer ses vêtements. Elle ne portait qu’un petit gilet qui recouvrait un débardeur, et un jean. Derrière ces habits se cachaient un petit ensemble de lingerie uni de couleur un peu mauve. Un string et un soutien-gorge assorti ne laissaient place à aucune dentelle. Elle avait pour le coup optée plus pour le confort que pour la sensualité. Mais elle restait néanmoins très désirable. A la différence de sa jeune camarade, elle dégrafa son haut pour ne se contenter que d’un monokini. Sa poitrine imposante nous fit relever la tête pour apprécier ce spectacle.

Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls. Notre voisin avait abandonné un instant ses cordages pour apprécier lui aussi des formes généreuses de la belle brune. Il essayait de rester discret pour ne pas se faire remarquer de sa femme qui était toujours occupée à lire.

Quand Manue eu finit avec sa petite rousse, à son tour elle se débarrassa de son accoutrement de marin pour ne s’habiller que d’un petit boxer blanc en dentelle. Les meilleures amies étaient maintenant en topless prêtes à bronzer.

Emilie se redressa de son matelas et ne prit pas la peine de relacer son haut, et ainsi nous offrir la vision de sa toute petite poitrine. Marc nous disait que depuis qu’elle avait rencontré les filles, elle complexait beaucoup moins sur corps et assumait maintenant ses formes.
Je répondais que pour Manue c’était la même chose. Elle complexait beaucoup sur son corps et sa timidité en était étouffante. Mais depuis que nous avons rencontré Mathias et Audrey, elle assumait plus sa féminité et acceptait qu’elle puisse avoir des désirs.

Pendant que nous étions en train de parler de nos femmes respectives, nos trois jolies demoiselles passaient du bon temps. Audrey et Manue étaient tranquillement allongées pendant qu’Emilie leur passait à son tour de la crème pour leur éviter les coups de soleils.
Cette scène en devenait très sensuelle, de temps en temps une petite brise arrivait à passer par-dessus la falaise ce qui provoquait une petite chair de poule sur la peau des jeunes filles. Ceci ne faisant qu’accentuer leur coté désirable.

Se laissant aller aux caresses promulguées par celle qui était il y a quelques semaines son jouet sexuel, Manue se rassit et embrassa langoureusement Emilie, ce geste était, je pense, pour lui montrer que malgré la fermeté qu’elle ait pu avoir avec elle, elle avait de l’affection pour cette fille. Et qu’au fond elle la respectait.

Elles s’enlacèrent l’une contre elle, leur petite poitrine venait se coller l’une contre l’autre. Après ce joli baiser partagé, Emilie alla vers Audrey pour lui offrir la douceur de ses lèvres.

Elles venaient, devant nous, nous montrer à quel point elles se trouvaient bien entre elles.

Jean Pierre avait abandonné un instant son coin cuisine pour assister à cette scène magnifique. Notre voisin de bateau ne s’en privait, jusqu’au moment où sa femme se rendit compte de la situation et lui fît remonter l’ancre pour changer de crique.

Pendant sa manœuvre, il prît soin de bien barrer au plus près de notre bateau pour une dernière fois apprécier de plus près la plastique des jeunes étudiantes. Sa femme nous adressa un regard fusillant, nous faisant bien comprendre qu’elle ne cautionnait pas ce genre de pratique. Un regard auquel nous répondant d’un grand sourire.

Nous étions maintenant totalement seuls, sur ce qui aurait pu nous paraitre être notre ile déserte.

Nous laissions le temps au temps et profitions de cette magnifique journée.

Le soleil commençait doucement à descendre et le corps des filles n’était plus suffisamment chauffé par ses rayons printaniers. Il était donc temps de penser remettre un petit quelque chose sur soit au risque de tomber malade.

L’activité sur le bateau commençait à reprendre, Jean Pierre avait terminé de préparer notre festin et au vu de l’heure qu’il était nous proposa de prendre l’apéro sur le ponton pendant qu’il faisait encore assez doux et nous rentrerons dans la cabine pour le diner.

Non installions donc une table à l’arrière du bateau, et tous les sept s’assirent autour. Les plus âgés de nous avaient pris leur position et s’étaient assis chacun à leur tour à coté de leur petite préférée. Jean Pierre déboucha une grosse bouteille de champagne. Tandis que Marc s’adressa à nous.
« Bon les amis, dites-moi quand terminez-vous vos cours ? Vous avez prévu quoi à la rentrée »
« Je termine mes cours le 30 mai. J’ai mes résultats de partiels le 5 juin. Et si tout se passe bien je continue en Master. » Lui répondis-je.
« Moi je termine mon BTS, fin juin. Et si je l’ai, et bien, à partir de septembre je cherche du boulot en tant que Technico-commercial. Je croise les doigts. »
« Et toi Manue ? »
« Je finis la semaine prochaine et j’enchaine sur une licence professionnelle Banque et assurance. C’est une formation en alternance donc faut que je trouver une agence qui accepte de me prendre. Et avec la crise c’est pas gagnée »
« A qui le dis tu, je suis bien placé pour te le confirmer. Même si mon entreprise de courtage en assurances tourne bien, c’est vrai que j’ai connu de meilleures années. Bon je ne vais pas tourner autour du pot, en fait si je vous pose cette question c’est que nous avons quelque chose à vous proposer. Mathias nous avait parler de vos suites, Jean Pierre et moi avons discuté. »
« Oui, voilà. Audrey, tu sais qu’avant d’être jeune retraité j’étais patron d’une petite boite de mécanique de précision. J’ai contacté mon remplaçant et par le pur des hasards il recherche un technico-commercial junior. J’ai bien entendu parlé de toi et donc si tu le souhaites tu peux commencer dès le 02 septembre. Bon le salaire n’est pas très élevé mais pour commencer c’est tout à fait acceptable. Et suivant tes objectifs fixés tu pourras aisément le faire évoluer. »
« C’est vrai ??? C’est trop cool ! » Audrey se leva pour se jeter dans les bras de Jean Pierre pour le remercier de ce petit coup de pouce.
« Quant à toi Manue, voilà … Je voudrais étendre mon cabinet de consulting sur d’autres marchés et cibler un nouveau portefeuille client. Mais ma charge de travail ne me permet pas de m’y atteler comme je le voudrais. Ma comptabilité ne me permet pas d’embaucher un plein temps, mais si tu acceptes je veux bien te prendre en alternance pour ta licence. Et ainsi tu m’assisteras dans ce projet. Je suis sûr que cela sera très formateur pour toi et je suis convaincu que tu me seras d’une très grande aide. »
Manue ne s’avait que répondre à cette avance. Elle ne cessait de me regarder comme pour me demander ma bénédiction. Ma seule réaction était de la jalousie, la savoir passer 8 heures par jour aux cotés de Marc me tiraillait le cœur. Même si je savais que sa préférence était clairement pour Audrey, il n’en restait de même qu’il aimait bien Manue et qu’il était tout de même le plus viril de nous tous dans sa manière d’être. J’étais donc partagé, cette opportunité était du pain béni pour Manue et je ne pouvais m’y opposer. C’est donc avec une petite tristesse que ma tête ocha timidement en direction de ma copine pour la motiver à accepter cette proposition, qui je le savais n’était pas si anodine que cela. Un petit sourire me remercia de ma compréhension. Et elle accepta cette faveur qui lui assura de pouvoir continuer ses études en toute tranquilité. Et l’alternance allait lui permettre de pouvoir toucher son premier salaire.
« Bon que de bonnes nouvelles dites-moi ! Trinquons à l’entrée des filles dans le monde professionnelle et encore merci pour ce week-end. » S’adressa Mathias à toute la communauté en levant sa coupe. Dans un bruit de verre, tout le monde se leva pour fêter l’occasion.

L’air dehors commençait à se rafraîchir, le soleil était maintenant passé derrière les dunes et ne nous réchauffait plus. Il était temps pour nous de rentrer dans le bateau pour diner à l’abri du vent pour apprécier à sa juste valeur le diner préparé par Jean Pierre.

Ce moment était détendu et festif. Par un petit jeu de passe-passe notre cher ami Jean Pierre réussit à créer l’occasion de s’installer à côté de Manue, qui était en bout de banquette et se retrouvait ainsi bloquée entre la coque du bateau et le retraité. Marc usa de cette même ruse pour de l’autre côté de la table se rapprocher de sa petite préférée. Il ne restait plus qu’à Mathias, moi et Emilie à nous serrer tous les trois sur le reste de bout de table.

Pendant tout la durée du repas, Jean Pierre ne cessait de s’adresser à Manue, sans même se soucier de nous. Cette attitude avait le don de créer en moi une petite jalousie. Ce que je redoutais le plus arriva. Nous étions sept personnes entassées dans un carré de quelques mètres carrés. Très vite la température monta et Manue ressentie le besoin de se mettre à l’aise. Et comme elle connaissait bien ses hôtes et qu’elle se sentait tout à fait à l’aise en leur présence. Elle retira son pull pour se mettre en débardeur. Ce qui ne fît qu’attiser le désir de Jean Pierre, qui s’empressa de venir déposer un petit baiser dans le creux de son cou.

Nous avions tous très chaud dans cet habitacle, et chacun à notre tour nous nous effeuillons un peu plus.

Le repas terminé la nuit était maintenant bien tombée. Le vin nous avait chauffé encore un peu plus. Marc nous proposa une petite partie de carte pour terminer cette soirée.

« On va tout de même pas aller se coucher maintenant. Que diriez-vous d’une petite partie de Belote ? »
« Oh oui c’est une bonne idée, çà fait longtemps que nous n’en avions pas fait eu » répondis-je spontanément sans en savoir les conséquences sur la tournure qu’allait prendre la soirée.

« Il faut un nombre pair pour jouer ? Je vous laisse ma place, je ne connais pas les règles. » s’excusa Emilie.

« Entendu. Bon faisons les équipes. Fred tu viens avec moi ? On laisse Manue et Audrey ensemble. Marc et Jean Pierre vous jouez ensemble ? Ca va à tout le monde ? »

« J’aurai pas fait mieux comme découpage Mathias. Je propose même de pimenter le jeu. Que diriez-vous d’une belote avec gages. Les vainqueurs de la partie ont autorité sur les perdants pour disons deux souhaits. Comme les équipes sont faites de binômes. » proposa le nouveau patron de ma copine.

Mathias me regarda et semblait trouver le deal plutôt intéressant. Cela nous ramenait dans nos pensées à notre soirée du jeu de l’oie.
Les filles étaient moins enthousiastes que nous, mais se laissèrent convaincre tout de même.

Les cartes étaient distribuées et la partie pouvait débuter. Chaque équipe était concentrée pour déjà ne pas perdre et éventuellement gagner. L’enjeu en valait la chandelle.

La partie dura une bonne partie de cette fin de soirée. Il fallut constater que Marc et Jean Pierre étaient des adeptes de ce jeu et avaient surtout l’habitude de jouer ensemble. C’était difficile de rivaliser avec eux. Mathias et moi arrivions tout de même à tenir le niveau tandis que nos deux amies étaient bien dernières.

La sentence est donc tombée à l’issue du jeu après avoir comptabilisé les points, les grands vainqueurs étaient Jean Pierre et Marc et les dernières Manue et Audrey. Mathias et moi étions soulagés de ne pas soumis aux désirs de ces hommes mais inquiets pour ce qui allait être demandé à nos conjointes.

« Bon nous allons Jean Pierre et moi nous retirer un instant pour délibérer de votre sentence les filles. En tout cas vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point nous sommes contents. On ne pouvait espérer mieux comme finalité. »

Ils entrèrent dans une des cabines et refermèrent derrière eux la porte, tel un juré qui s’apprêtait à délibérer pour la peine à encourir suite au jugement.

Emilie, pour nous faire passer le temps, nous proposa une boisson chaude. Les minutes nous semblaient interminables. Enfin le juré sorti de l’isoloir.

« Bon, les amis nous avons trouvé vos gages. Ils se passeront en deux temps. Jean Pierre je te laisse annoncer ton souhait »
« Oui, voilà je veux que Manue me rejoigne dans la cabine. Je voudrai profiter d’elle comme je le souhaite. Mais par contre Frédéric pour le coup je souhaiterai que tu sois présent aussi pour simplement regarder. Je veux être le seul décisionnaire, est-ce OK ? »
La règle était la règle et nous ne comptions pas y déroger.
« Quant à moi, mon gage se fera plus tard et bien entendu se portera sur Audrey. Je veux disposer de toi toute une journée mais d’une manière particulière. D’ailleurs je pense que Manue devra être présente aussi pour le côté technique. Mais nous en reparlerons en temps et en heure. Là j’ai plutôt envie d’un petit câlin. Emilie approche toi ! »

La jeune rousse se dirigea vers lui, au passage elle saisit la main d’Audrey comme pour l’inviter à l’accompagner. La brune se leva à son tour et guidée par son amie alla rejoindre le capitaine du bateau. Cette situation semblait amuser Mathias, à en lire sur ses lèvres.
Arrivées au niveau de Marc, les filles s’embrassèrent langoureusement ceci provoqua une excitation non dissimulable sur leur aïeul. Voyant qu’il commençait à être trop étroit dans son pantalon, Emilie le saisit par la ceinture pour l’amener à elle afin de procéder ou déboutonnage de son jean. Audrey tout en s’agenouillant devant lui elle accompagna le pantalon aux chevilles. Et sans plus attendre, engouffra le sexe déjà bien dressé au fond de sa gorge. Prit par surprise, il ne put que faire jaillir un énorme râle de plaisir. Très vite Audrey, fût rejointe par Emilie qui à son tour prit son maitre en bouche. Leurs salives se mêlaient sur l’organe du chef d’entreprise. C’était à son tour de les prendre en main pour les guider dans une des cabines de couchages. Il ouvrit la porte, et les attira dans le petit carré étroit. Il prît soin de retirer tous ses vêtements et s’allongea sur la couchette. Les filles s’accroupirent de chaque côté et reprirent leur caresse buccale, en alternant le sexe dans chacune de leur bouche. Marc se redressa sur ses avant-bras pour lever la tête tout en laissant les filles s’activer à leur tâche, et s’adressa à Mathias.

« Et ben mon salaud, je crois bien que ta petite copine est la meilleure suceuse de tous les temps. Regarde un peu comment elle m’avale entièrement. On y est bien dans sa bouche. »

Mathias ne se laissa pas intimidé par les paroles que l’on savait cru de notre ami, et tout en contemplant la scène auquel nous étions en train d’assister. A son tour il se dévêtit, et empoigna la jeune rousse par les cheveux pour coller son visage à son sexe, en partie en érection. Il força sa petite bouche et enfonça son sexe gonflé au maximum qu’il pouvait. La jeune cru s’étouffer devant face à cette intrusion. Et à chaque fois qu’il essayait de s’y enfoncer un peu plus, elle sentait que l’organe prenait du volume. Il lui fallut pas plus de quelques minutes pour être totalement en érection. Les deux hommes étaient maintenant occupés à se livrer une bataille de virilité avec la copine de l’autre.

« Bon laissons ce combat de coq se dérouler tranquillement, nous avons-nous aussi à faire. Je voudrais pouvoir bénéficier de ma récompense » tout en s’adressant à nous, Jean Pierre était en train de déboutonner sa chemise. Il invita de la tête Manue à passer dans l’autre cabine.

« Ne reste donc pas là tout seul Frédéric, vient avec nous. J’ai aussi à faire pour toi »
Nous étions maintenant tous dispersé dans nos cabines respectives. Des petits gémissements féminins se faisaient entendre chez les voisins, signe qu’ils étaient passés à l’étape supérieure.

Jean Pierre se déshabilla intégralement et s’allongea sur la couchette. Nous restions debout attendant les directives.

« Bon voilà ce que j’ai envie. Aujourd’hui Manue je ne te demanderai qu’une seule chose. Je veux tout simplement te sodomiser pendant que Frédéric sera bien sagement en train de nous regarder. Qu’il y a-t-il cela ne te convient pas ? »
« Ben … » elle était hésitante « Disons qu’à chaque fois que vous me l’avez fait y’avait toujours eu quelqu’un avant. Et là dans ces circonstances, je ne suis pas sure de pouvoir. Vous êtes beaucoup trop gros pour moi. »
« Raison de plus ma petite Manue, je vais t’éduquer à cela. Et malheureusement tu n’as pas trop le choix, les termes du contrat sont clairs. Je peux disposer de toi comme bon il me semble. Frédéric, peux-tu aller au niveau du banc à côté de la table, en dessous de ce banc il y a un coffre, où tu trouveras mon sac de voyage. Dans ce sac, il y a ma trousse de toilette, tu peux nous ramener le tube de lubrifiant. Nous en aurons besoin. Tu vois Manue, je ne suis pas si cruel que çà. Tu sais maintenant avec Emilie on arriverait presque à s’en passer. »
Elle ne répondit, et baissa la tête.

Je sorti donc de la cabine pour aller chercher ce que Jean Pierre m’avait demandé. En même pas cinq minutes que je m’étais absenté, le temps de retirer les coussins de la banquette et de trouver le sac, à peine arrivé de nouveau dans la cabine quelle ne fut pas ma surprise de voir Manue totalement nue debout à côté du lit tandis que le retraité était toujours allongé et profitait du paysage.

« Je crois que je ne me lacerai jamais de te voir nue. » Et il avait raison, cela en était de même pour moi. Son corps était harmonieux et son teint de peau appelait à y déposer des baisers. Ses fines hanches surplombaient un joli petit fessier musclé par le sport. Sa petite poitrine frôlait la perfection, du fait de son âge elle était ferme. Ses petits mamelons coloraient d’une manière sensuelle ses petits coussins. Quant à son sexe, il était comme à son habitude entièrement lisse. Aucune ombre d’un poil ne venait entraver son abricot. Il nous donnait envie d’y croquer. Elle se tenait droite, toute intimidée devant son sexagénaire et redoutait le moment.

J’arrivai dans la cabine quand Jean Pierre s’adressa à moi :
« Oui, super, tu l’as trouvé facilement ? Bon écoute : Je veux pouvoir m’introduire en elle sans grande peine. Alors pour cela c’est toi qui va me préparer. Enduit mon sexe d’autant de lubrifiant que tu jugeras nécessaire »
« Ne vaudrait mieux pas appliquer le lubrifiant directement sur Manue »
« C’est toi qui donne les ordres maintenant ? Enduit moi le sexe et ne pose plus de question »

Je m’exécutai. J’ouvris le tube et vida une petite quantité sur son sexe totalement ramolli.

« Tu crois tout de même pas que cela est suffisant ! Tu crois vraiment que je vais pouvoir comme çà ? Et puis pense à ta petite copine, tu crois vraiment c’est ce dont ce qu’elle a envie ? Moi je ne crois pas. Elle cache bien son jeu tu sais. Elle aime les gros sexes comme le mien. » Je crois qu’elle était plutôt apeurée par les gros sexes comme le sien me fis-je la réflexion. Cette fois, je déposai directement le gel dans le creux de ma main et vint saisir son sexe. Déjà à l’état repos ces dimensions n’en restaient pour le moins surprenantes. C’était à ce jour le troisième sexe d’homme que je côtoyais. Il y avait eu celui de l’ancien propriétaire de Manue et celui de Mathias, mais celui-ci était encore plus impressionnant. Je me souviens d’avoir vu sur internet des vidéos de blacks avec des sexes hors normes, j’avais toujours pensé que c’était de la fiction et que dans la vraie vie cela ne pouvait exister. Mais là je tenais la preuve en main et en plus il n’était pas black.
A mes chaque allez et venus, je sentais qu’il se gonflait toujours un peu plus. Sa taille en devenait monstrueuse. Manue suivait çà avait intérêt et redoutait la suite.
Je ne minimisais pas sur la quantité de lubrifiant, je veillais à ce qu’il soit le plus enduit possible.
« Mmmmh, tu sais Fred, c’est la première fois qu’un homme me touche. Comme tu peux le voir je n’en reste pas insensible. Mais je crois que ce qui m’excite le plus c’est de savoir que tu es en train de me préparer pour ta petite copine… » Il savait qu’en me disant cela il ne faisait qu’attiser ma jalousie. Je rajoutais une dernière fois un peu de gel, et accéléra mon mouvement. Son sexe était maintenant dur comme de l’acier et dépassait largement son nombril. Même ma main avait du mal à en faire le tour.

« Très bien, merci Fred pour ton efficacité. Je me sens fin prêt à honorer ce petit passage. Manue ce que je te propose c’est que tu viennes au-dessus de moi, comme çà ce sera toi qui jugera la descente. »
« Je suis désolée Jean Pierre, mais je crois que çà ne va pas le faire. J’ai vraiment peur. Déjà quand les autres m’avaient préparé à vous recevoir c’était douloureux mais là je n’ose pas imaginer. »
« Je ne te demande pas d’imaginer ma pauvre Manue, je te demande de t’exécuter ! Allez grimpe sur ce lit et viens honorer notre contrat. »

Je m’écartai de l’homme pour laisser la place à Manue. Elle grimpa sur le lit, chevaucha l’homme allongé dos à lui. Il tenait dans sa main son sexe glissant et le dirigeait vers le ciel. Elle s’accroupie au-dessus de lui et s’arrêta quelques centimètres avant. Son regard était vague et son corps frissonnait de peur.
« Allez ne te fais pas prier. Viens donc … » lui commandait-il.
Elle s’accroupie encore un peu plus pour venir se mettre en contact. Il fallait maintenant prendre sur soi pour commencer la descente. Le plus lentement possible elle essaya de descendre mais très vite elle due stopper voyant bien que l’organe qu’on lui proposait était trop gros. L’homme ne voulait en démordre, il avait décidé que cela se passerait ainsi et il comptait bien y arriver. Il posa ses mains sur les épaules de jeune fille s’assurant ainsi de pouvoir la retenir quand elle souhaiterait se relever.
« Allez recommence ! »
Elle prenait le maximum d’inspirations pour se donner du courage, et entama à nouveau une nouvelle descente. Cette fois ci, l’homme exerçait une pression sur ses épaules ce qui l’empêchait de remonter pour se soulager. Son visage se crispait, elle mordait sa lèvre inférieure mais rien y faisait elle avait mal. Il appuyait toujours un peu pour l’obliger à s’assoir mais elle résistait tant bien que mal. Face à cette insistance, le sexe arriva tout de même à franchir quelques millimètres dans la partie la plus intime de ma petite amie. Cette intrusion provoqua chez la fille un cri de douleur. Des larmes suivirent cet acte.
« Je vous en supplie Jean Pierre … »
Il ne l’écouta pas, et décolla légèrement son bassin pour venir forcer toujours un peu plus l’entrée encore interdite.
« S’il vous plait Jean Pierre, vous voyez bien qu’elle souffre. »
« T’inquiète pas mon petit, elle en redemandera après »
« Laissez-moi au moins remettre un peu de lubrifiant, cela la soulagera »
« Fallait y penser avant. Je t’ai laissé le temps de le faire maintenant c’est trop tard. Je sais qu’elle aime avoir mal, hein ? C’est pas vrai ? »
Voyant qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière et qu’il était impossible de raisonner le vieil homme elle essaya de se re-saisir et d’affronter l’impensable.
Sa main droite vint se poser sur son sexe lisse, et à l’aide de son index il vint jouer avec son petit bouton. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi, elle se caressait ainsi et surtout en quoi cela allait l’aider. Je savais qu’elle avait toujours été plus sensible au niveau du clitoris mais je n’arrivais pas à faire le lien. En fait, elle essayait tout simplement de faire monter son excitation et ainsi pouvoir se concentrer sur son plaisir pendant que de l’autre côté on forçait à s’y introduire. Elle essayait de détourner son attention.
« Oh mais dis donc, regarde un peu çà. On dirait que le fait de te voir souffrir attise le plaisir chez ton petit ami, ma belle ! » Le regard du sexagénaire se posait sur mon pantalon et il était vrai que je ne pouvais dissimuler une bosse naissante. Ceci l’amusait tandis que Manue moins.
« J’aimerai bien t’y voir tiens ! » me reprocha-t-elle. Son regard me fusillait. Son index s’intensifia sur son sexe, elle reprit une grande inspiration, redressa son dos le plus droit possible et entama sa descente lentement mais avec une rage. Le sexe commençait tout doucement à se frayer un passage. L’anus se dilatait toujours un peu plus. Les cris de Manue raisonnaient dans tout le bateau, les larmes coulaient le long de son visage. Elle souffrait, mais elle était décidée à y aller jusqu’au bout. Elle sentait ses chairs s’ouvrir et se dilater.
Jean Pierre avait maintenant décollé son fessier du matelas pour venir pousser un peu plus et s’assurer d’ouvrir le passage. Elle ferma les yeux et abandonna ses caresses clitoridiennes. La douleur était trop grande rien ne pouvait plus la masquer. Il relâcha ses mains de ses épaules et lui attrapa les seins. Il les tenait le plus fermement possible, et les tirait vers le bas pour l’accompagner dans sa descente. Cette accroche brutale lui faisait mal, même si ce n’était pas comparable avec celle de la sodomie qu’elle était en train de vivre. Elle ne pouvait plus résister et était obligée de se livrer à son sort. Le sexe continuait sa progression en avançant de millimètre en millimètre. Elle était dans un degré de douleur qu’elle s’était totalement déconnectée du monde qui l’entourait. Ses cris se faisaient toujours plus rapprochés et les larmes ne cessèrent de couler sur son visage. La torture qui était infligée à son petit 85b n’arrangeait rien à la chose mais avait le mérite de l’encourager à poursuive sa descente pour que cela cesse.
Jean Pierre relâcha un peu la pression au niveau de ses mains et reposa son bassin sur le matelas. Ceci pour provoquer un soulagement pour la fille, mais en fait c’était tout bonnement une ruse pour lui faire relâcher surtout son attention. Aussitôt qu’il sentit que la jeune fille se détendait et reprenait son souffle. Il ferma brusquement ses mains sur les seins très fortement et les tira vers le bas tout en poussant son sexe contre sa petite entrée. Ce moment d’inattention fut fatal pour Manue. Le sexe était maintenant entré jusqu’au gland autant dire que le plus dur et large était passé. Il la saisissait bien pour ne pas qu’elle se dégage. Elle reprit son souffle et ses esprits, se re caressa le petit bouton et fini sa descente. Ca y est-elle était enfin assise ! Jean Pierre relacha ses mains et reposa tout son corps sur la couchette, il n’était plus nécessaire pour lui d’être entreprenant.
Manue commence alors un très léger va et vient sur le sexe. On pouvait voir son visage se décrispé tout doucement. Au fil des minutes les allers et venues se faisaient plus amplement. Contre toute attente, je fus surpris de voir qu’elle arrivait même à accélérer légèrement le rythme. Elle releva la tête pour reprendre contact avec la pièce, son premier regard se porta sur moi. Elle voyait bien comme j’étais mal à l’aise, mais un petit sourire venant d’elle me rassura aussitôt. Le plus dur était derrière elle, elle pouvait maintenant se concentrer sur son plaisir. Elle se tenait toujours sur ses jambes accroupie au-dessus de lui, ses mains reposaient sur le torse velu pour bien prendre appui. Le passage était fait maintenant et l’organe surdimensionné coulissait à merveille dans ses entrailles.
« Regarde Frédéric comment çà lui plait maintenant. Tu vois, elle a un gros potentiel ta copine. Allez, on va changer, mets-toi à quatre pattes sur lit. Montre à ton petit ami comment tu aimes çà. »
Sans dire quoi que ce soit, Manue se désolidarisa de Jean Pierre et se positionna comme demandé. Elle se cambrait le plus possible pour s’ouvrir ainsi un maximum et surtout pour ne pas avoir à subir ce qu’elle venait d’endurer.
Jean Pierre descendit du lit pour se placer derrière ma belle. Son arme à la main, il ne prit soin de la ménager. Dans un mouvement brusque il l’enfourna. Surprise elle ne put contenir un cri strident. Elle étouffa ses gémissements en plaquant son visage sur le matelas. Les coups de reins qu’elle était en train de subir étaient très bestiaux. Le rythme était rapide et soutenu. Elle sentait les testicules de l’homme frapper sa vulve à chaque passage. Sa poitrine ballotait sous les assauts virulents. Il arrivait à faire disparaître totalement son sexe dans l’anus de ma petite amie.
Ses mains empoignaient les hanches de Manue, il s’agrippait tellement fort qu’on voyait la trace de ses mains et de ses ongles.
« Ca y est je vais jouir !!! Je vais bien te remplir ma petite … »
Son râle était grave et long. Quand il sentit qu’il était arrivé en butée il stoppa tout, pour bien s’assurer d’y déposer toute sa semence au plus profond d’elle. Cela dura un long moment preuve que la quantité devait être importante. Il se retira enfin amenant avec lui un long filet de sperme mélangé à la cyprine.
« Ne reste donc pas planté là ! Tu devrais déjà être totalement nu prêt à prendre la relève et à apprécier le travail bien fait. »
Ni une, ni deux je me débarrassai de tous mes habits, pas besoin de m’exciter encore plus j’étais déjà dur depuis plusieurs minutes. Jean Pierre se décala pour me laisser la place, Manue gardait la tête cachée dans le matelas et ne daigna m’adresser un regard. Je ressenti un petit sentiment de honte, j’étais en train de profiter de la situation au détriment de ma chère et tendre. Mais le désir était plus fort. Donc à mon tour, je présentai mon sexe dans l’entrée interdite. Je crois bien que c’était la première fois que je la voyais aussi dilatée. Mon sexe s’introduisit sans rencontrer la moindre difficulté. L’insertion de mon membre provoqua un gros bruit de succion, sans doute causé par la présence importante de sperme. Quand je ressorti mon sexe pour la première fois il était immaculé de blanc. Je ne suis pas sûr que Manue doive sentir quelque chose. Mon sexe touchait difficilement les parois et j’étais très loin d’aller aussi profond que mon prédécesseur. J’étais plus en contact avec son liquide que la chair même de ma chérie. Cela semblait amuser mon voisin de me voir aussi peu remplir ma copine.
« J’espère tu as de la réserve pour au moins la combler de ton chaud liquide ! » se moqua-t-il de moi.
La situation m’avait tellement excité qu’il était difficile pour moi d’établir un record aujourd’hui, je sentais très vite le plaisir monter en moi. A mon tour je déchargeais dans ma copine et venant rajouter encore un peu plus de sperme. La contenance maximum était arrivée, de longs filets de liquide blanchâtres coulaient le long de ses cuisses. Le sperme ruisselait dans le pli de son entre jambe, et goutait sur les lèvres de son sexe. A chaque spasme de son corps, une coulée sortait de son anus. Jean Pierre s’amusa à jouer avec en glissant un doigt pour essayer d’en faire sortir encore un peu plus.

Après avoir fini de jouer avec son sperme et le mien, il reprit ses habits dans les bras, embrassa furtivement Manue, me salua et quitta la cabine.

En refermant la porte derrière lui, il nous souhaita une bonne nuit (…).
par manukib56
#1385370
La Croisière s’amuse - le deuxième jour

Nous nous étions réveillés tôt. Le soleil inondait déjà notre cabine et la chaleur devenait insupportable dans notre petit espace. Très vite nous ressentions le besoin de monter sur le pont pour prendre l’air frais et profiter de ce beau ciel bleu.

Manue et moi sortions de notre cabine et tombions sur Mathias et Audrey (toujours endormies) qui avaient investi le carré principal comme chambre à coucher.
A pas de loup nous les contournions et grimpions les quelques marches pour accéder au pont.

L’air était encore frais mais nous faisait du bien, la vue était totalement dégagée et la luminosité naissante du matin ne faisait qu’accroitre la beauté des lieux.
On eut, le temps d’un instant, le sentiment de liberté. Cette vue que nous avions sur Belle Ile nous faisait croire que nous étions seul au monde.

Notre vie d’ermites se termina très vite, Jean Pierre était lui aussi réveillé et nous a rejoints sur le pont.

« Bonjour les jeunes, déjà réveillés ? Vous avez passé une bonne nuit ? »
« Oui, merci »
Il me serra la main et fît la bise à Manue. C’était à chaque fois étrange, quand nous n’étions pas en pleins ébats, nos relations étaient toujours très cordiales. Qui pouvait imaginer en nous voyant ainsi que hier soir il était en train de sodomiser sauvagement ma petite amie.
Mais c’est aussi pour cela que nous acceptions cette forme de relation car le respect était une clé de cette réussite.

On entendait bouger à l’intérieur du bateau, tout l’équipage était maintenant réveillé.

« Salut les amis, alors passé une bonne nuit ? En tout cas le début de nuit a été difficile pour certaine, à en entendre les cris ? » Marc avait toujours ce petit ton franc et désinvolte qui pour le coup gêna un peu Manue.
« Mais rougie pas ma mignonne ! On sait tous comment est monté notre ami, c’est normal que tu aies du t’exprimer à ce point. »

Mathias et Audrey émergeaient à leur tour sur le ponton du bateau, nous étions tous rassemblés à l’exception d’Emilie qui était dans la cabine à nous préparer le petit déjeuner.

« Bon les amis, comme il est très tôt et que la météo a décidé d’être des plus clémentes, je propose qu’on prenne tranquillement notre petit dej’ et qu’on fasse route tranquillement vers notre port d’attache. Le vent me semble faible aujourd’hui, il va être super agréable de naviguer mais par contre il faudra le temps. En tout cas nous n’aurons pas besoin de coupe-vent ou autre. Les filles si vous voulez travailler votre bronzage c’est aujourd’hui, nous serons au portant sur toute la route du retour donc y’aura pas un souffle sur le bateau, je peux vous le garantir. » Telles étaient les recommandations de notre capitaine.

Nous redescendions tous dans la cabine pour prendre notre petit déjeuner, l’ambiance était feutrée et agréable.
Aussitôt terminé, les voiles étaient hissées et nous faisions cap sur la Trinité sur Mer.
La mer était calme et d’un bleu, on se serait cru dans des eaux méditerranéennes. Nous avancions à très petite allure ce qui nous permettait d’aller et venir dans le bateau comme bon il nous semblait.
On était tous très décontracté, certains bouquinaient, d’autres flânaient, chacun trouvait son compte dans cette traversée.

Cela faisait maintenant trois bonnes heures que nous avions quitté notre petite crique. On laissait sur notre droite l’ile d’Houat avec ses plages de sable fin. Et faisions vu sur le phare de la Teignouse. Ce phare marquait notre arrivée en baie de Quiberon.

Jean Pierre émettait l’idée de faire escale au mouillage pour déjeuner et profiter des rayons du soleil. La météo prévue pour les prochains jours était défaitiste, c’était maintenant ou jamais.

Marc contourna légèrement le phare pour s’abriter du petit vent résiduel et nous mettre à l’abri de la houle. On sorti à nouveau la table dehors et dans la bonne humeur collective entamions notre dernier repas à bord du bateau.

Après quelques verres de vin, Manue sentait la tête tourner, et opta pour une petite sieste réparatrice à la proue du bateau. Elle étendit une serviette de bain sur le tek du ponton, et se débarrassa de quelques vêtements pour profiter de l’occasion pour prendre un peu de couleur. Tout le monde assista à la scène de déshabillage de ma copine et chacun faisait son petit commentaire sur la finesse de ses formes et l’harmonie de son corps.
« Manue, je dois avoir un autre maillot si tu veux, je peux te le prêter. Tu seras certainement plus à l’aise »
« Merci Emilie, si cela ne te dérange je suis preneuse. »

Manue se dénuda complètement pour attendre son amie. Emilie lui tendit son maillot. Le bas du maillot était très échancré et tenait à l’aide de deux petits nœuds sur les hanches. Malheureusement le haut était beaucoup trop petit pour ma belle, ce qui lui valut une petite fierté, elle qui avait toujours complexé sur ses petits seins.
Elle s’étendit sur le pont face au soleil et se laissa bercer par le doux tangage du bateau.

Audrey trouvait l’idée de sa copine très bonne, quitta la table pour à son tour la rejoindre. Elle retira son jean et son tee shirt. En string et topless elle s’allongea à côté d’elle.

« Et ben alors Emilie, tu ne vas pas rejoindre tes copines ? » la questionna Jean Pierre.
« Oh non, ne m’en voulez pas, mais je ne suis pas d’humeur à flâner ce matin »
« Comment çà tu veux un peu d’action ? »
« Oh non ce n’est pas çà, mais je … » elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase que Marc l’empoigna par le bras. Dans un grand mouvement circulaire il fit tout valdinguer sur la table.
Il retourna la jeune fille, prise par surprise, et la fit se cambrer à 90° pour lui étendre son torse sur la table. Il la saisissait par la nuque et s’assurait que sa tête écrasait bien le bois sous la pression de sa main. Elle ne pouvait plus bouger. Avec son autre main, il dégagea le petit short de la jeune majeur et le rabaissa à mi-cuisse. Il déboutonna son pantalon et à peine son sexe sorti, il forçait le sexe de la rousse.
« Je vais t’en donner de l’action moi ! »

Ce spectacle était certes humiliant mais il était aussi très excitant. Jean Pierre ne resta pas longtemps immobile, très vite il était à son tour pantalon baissé à côté du couple. Marc retourna la tête de la jeune fille (toujours plaquée sur la table) dans la direction de son acolyte, afin qu’il puisse profiter de sa bouche.

Mathias, n’attendit pas plus longtemps d’avoir une invitation pour venir se joindre au petit groupe d’hommes. Tout en s’approchant du trio, il se dévêtit. Quand Audrey vît son petit ami se diriger vers la débauche, elle se redressa et abandonna son idée de sieste pour venir y mettre son grain de sel.

« Je ne vais tout de même pas la laisser comme çà toute seule livrée à ces brutes ! Manue tu viens avec moi ? »
« Oh non désolé, j’ai pas trop envie. Je préfère laisser ma place et vous regarder d’ici » Ceci n’était pas étonnant avec ce qu’elle avait vécu la nuit dernière. Elle s’octroyait le droit d’une petite pause.
Je m’approchai d’elle pour savoir comment elle allait. Elle me rassura que tout allait bien mais qu’effectivement qu’après hier soir elle ne sentait pas le courage d’y remettre.
Elle m’embrassa tendrement pour me donner sa bénédiction pour que je rejoigne à mon tour l’équipe.

Avant de me laisser aller à mes vacations, elle prit le temps et la délicatesse de ôter mes vêtements. Elle s’assura que mon sexe soit le plus tendu possible en le faisant passer quelques instants entre ses lèvres. Une fois mon organe bien gorgé de plaisir, elle me libéra pour aller m’amuser avec le reste de l’équipage.

Les hostilités étaient déjà bien entamées, Marc avait abandonné son poste pour le céder à Mathias qui y allait de bon train. Sans surprise, Marc s’était focalisé sur la brune, il était en train de se faire offrir une magnifique fellation. Audrey était agenouillée entre Jean-Pierre et le Capitaine, elle alternait les deux sexes un à un dans sa bouche. Chacun des hommes se livraient à une petite compétition, à qui enfoncerait son sexe le plus profondément possible. Chacun tirait de son avantage la taille du sexe. Jean Pierre arrivait sans peine à étouffer la jeune fille en lui remplissant sans peine sa bouche avec son sexe hors norme tandis que Marc qui était beaucoup plus fin pouvait facilement s’engouffrer jusqu’au fond de la gorge.
Chacun tenait dans sa main un sein d’Audrey. Sa lourde poitrine avait un succès fou chez nos deux aïeules. Ils y allaient avec vigueur et fermeté.
De temps à autres, Marc venait tapoter son sexe sur le mamelon, Jean Pierre préférait la biffler sur le visage.

Voyant qu’Audrey était déjà bien occupée avec ses deux bonhommes, je décidai d’aller donner main forte à mon ami d’enfance.
« Super Fredo, on ne sera pas de trop à deux dessus. Putain elle a de l’endurance la petite. »
« Prenez la par le cul les jeunes, elle aime ça. Et pas besoin d’y aller par quatre chemins avec elle. Elle est habituée à être prise directe. » Nous suggéra Marc.

Sans plus attendre, Mathias ressorti son sexe, il prit tout de même le soin de lâcher un petit filet de salive vers le petit orifice et lentement entama son intrusion. A l’aide de mes mains j’écartais les fesses d’Emilie pour faciliter le passage à mon ami. J’étais au premier rang du spectacle. Le sexe de mon ami (dont on connait tous maintenant sa taille) écartelait le petit anneau rose, il restait constant dans son geste et ne relâchait en rien sa pression. Voyant, que la pénétration se faisait difficilement à mon tour je salivais à l’endroit où le sexe et l’anus se rejoignaient. Ce petit apport de lubrifiant facilita l’engagement, et sous mes yeux le gland disparut. Mathias stoppa sa progression pour laisser souffler la jeune fille, nous étions effarés de voir ce qu’elle était en train de subir sans pour autant dégager le moindre petit gémissement. Une chose était sure elle était belle et bien habituée à se faire prendre de cette manière. Mathias en était un peu vexé. Pour cela il décida de se retirer totalement, pour la repénétrer en une seule fois sans prendre garde à elle. J’écartais au maximum les deux cuisses de la belle rousse, son anus s’ouvrait un peu mais le diamètre était loin d’être celui de la circonférence de Mathias. Je laissais tomber un long filet de salive dans l’entrée en espérant que cela suffirait. Il prit son élan et dans un coup de rein ferme, il la poignarda d’une seule traite. Le corps maigre de la jeune majeur s’écrasa sur la table. Tout le poids de l’étalon reposait sur son dos. Son ventre était écrasé par le coin de la table, elle arrivait à peine à tenir sur ses jambes. Sa petite poitrine était pressée sur le bois froid du meuble, son visage embrassait la dureté de la matière. Elle peinait à respirer. Le rythme de Mathias entre les cuisses d’Emilie était effroyable, il était bien décidé à ne lui épargner aucune compassion. Après quelques longues minutes d’interminables allers et venues, il me céda la place pour qu’à mon tour j’honore ce petit orifice.

« N’y vas pas avec le dos de la cuillère Fred ! Balance-lui tout ce que tu as »
A ma grande surprise je reçu même des encouragements de ma chère et tendre, qui était très attentive à nos ébats.
« Vas-y mon chéri ! »
Soutenu ainsi je ne pouvais décevoir l’assemblée. Mathias écartait à son tour les cuisses de la soumise, à l’inverse de moi il y allait très fermement et l’orifice se dilatait déjà beaucoup rien que par l’écartèlement.
Je crachais dans ma main et enduis mon sexe. Mon regard s’était figé sur mon objectif, et ne pensais plus qu’à une chose : m’y introduire le plus rapidement possible tout en cherchant à toucher le fond dès le début. Je pris un léger recul et après une grande inspiration me lança comme un chevalier le javelot à la main.
Mon sexe s’engouffra dans l’antre de la jeune fille. Mes testicules arrivèrent en butée, je venais de la pénétrer en une seule fois. Mon objectif était atteint. Je sentais mon gland taper contre sa paroi, m’assurant ainsi d’être bien arrivé au bout du bout. Mathias relâchai le fessier de la jeune fille et entreprit même de lui administrer une petite fessée pendant que je m’occupais à rentrer et sortir mon organe.

« Eh bien, à 18 ans avoir le cul aussi ouvert c’est du jamais vu. A croire que tu nous sens à peine. Ils t’ont bien éduqué tes patrons on dirait. » S’adressa Mathias à Emilie. La pauvre elle ne pouvait lui répondre, tellement je la mitraillais par derrière. Chaque coup de reins que je lui adressais la faisait s’écraser toujours un peu plus contre le coin de la table. Elle arriva à glisser une de ses mains entre ses cuisses et se caressait le clitoris pendant que je la malmenais.
J’y prenais un réel plaisir à la ramoner ainsi, vînt à nouveau le tour de Mathias de prendre la relève. Ce changement de partenaire fût comme un soulagement pour Emilie qui put enfin prendre une vraie inspiration. La trêve n’était que de très courte durée, à peine avais quitté le dit « cul » d’Emilie qu’à nouveau il était assaillit par l’étreinte de mon ami.

Pendant que nous étions tous les deux occupés à envahir le postérieur de cette jeune fille, nos deux compères étaient quant eux en train de se livrer à une double pénétration vaginale avec Audrey. Jean Pierre était tranquillement assis sur un coffre du ponton, tandis qu’Audrey était à califourchon dos à lui. Pendant ce temps Marc la pénétrait par devant accroupie pour arriver au mieux à la hauteur de la compagne de Mathias. Audrey montrait plus d’expression que sa cadette, cette intrusion en masse dans son sexe lui décuplait son plaisir et elle était bien décidée à nous le faire entendre.
Marc noyait son visage entre les seins de la brunette, et venait de temps en temps mordre un téton en tirant dessus comme pour le faire rallonger. Des fois, Jean Pierre passait ses mains par-dessus pour en saisir un à l’occasion et le maltraiter aussi à sa façon.
Audrey avait perdu tout contact avec la réalité, tout était doublé sur elle, les sexes, les mains, les langues. Elle n’arrivait pas à savoir où mettre ses idées, une chose était sur elle était en train de prendre un pied inimaginable. Les deux amis se donnaient à cœur joie dans l’acte, leur rythme à eux aussi était soutenu et ne laissait guère de répit à leur jeune partenaire.

Mathias avait observé aussi la scène du coin de l’œil se souciant tout de même de sa petite copine et se demandant à quoi elle était livrée. La voyant ainsi s’exclamer de plaisir le rassura. Il voulut un peu copier nos camarades à la différence près que chacun de nous occuperait un espace unique. Il se dégagea d’Emilie et alla s’assoir sur le coffre en face de Jean Pierre. Il accompagna Emilie à le chevaucher et lui guida son sexe pour lui dire où il voulait le voir disparaitre. Il avait choisi le chemin le plus étroit. Il me laissa donc le passage plus humide. Un petit jeu de rivalité était maintenant en train de se livrer entre le trio tribord et le trio bâbord. Jean Pierre et Marc qui étaient du côté bâbord intensifièrent leur pénétration dans le sexe écartelé de la jeune fille, ce qui provoquait en elle comme une décharge. Ses cris se firent plus rapprochés et toujours plus stridents. Quant à notre petite jeune, elle était toujours impassible à nos ébats. Bien qu’une petite crispation de son visage s’est vue lors du passage de Mathias.

Se désolant devant ce spectacle, Jean Pierre marqua une pause et proposa de nous venir en aide. Il se désolidarisa d’Audrey et changea de bord.

« Laisse-moi la place Fred. Mathias et moi à nous deux on devrait bien y arriver. Tu n’as qu’à continuer avec Audrey. »

Les équipes avaient donc changé, je me retrouvai donc avec Marc. Qui était en train de se faire sucer par sa belle. Je profitai l’occasion pour moi aussi me faire une petite douceur dans la bouche d’Audrey.

Les deux autres hommes aux sexes hors normes avaient fait mettre à quatre pattes la jeune fille, en ayant prit soin de mettre une serviette de bain au sol pour lui épargner ses genoux.
Comme moi tout à l’heure Mathias écartait ses fesses le plus largement possible, par contre aucun d’eux ne prit le soin de saliver sur la petite entrée. Une fois le passage dégagé, Jean Pierre enfourna violemment son pénis au fond d’Emilie. Cette intrusion non contrôlée eu son effet immédiat. Elle cria enfin. On pouvait lire la fierté que ressentait Jean Pierre, mais d’un côté rien non plus d’extraordinaire vu la taille de son sexe. Il laissa très vite la place à Mathias.

« La vache ! J’y rentre dedans comme ça. Elle n’est plus du tout serrée » Mathias était abasourdi de voir comment le retraité avec encore un peu plus dilaté cette entrée alors que cela faisait bien quinze bonnes minutes que nous étions tous les deux attachés à se focaliser la dessus. On ne pouvait définitivement pas rivaliser avec lui. Il m’en avait fait encore la preuve la nuit dernière.
« Putain les gars venez voir, j’y crois pas. On nage dedans »
A l’invitation de Mathias, Marc et moi abandonnions Audrey quelques instants pour aller sonder cet orifice élargit. Marc prit les devants et vint à son tour prendre conscience de l’ouverture de la jeune fille, vint ensuite mon tour. Et à tour de rôle tous les quatre nous alternions nos sexes dans le cul de la jeune rousse.
Quand arriva enfin le moment pour nous de décharger notre plaisir quelque part. Marc se préserva pour Audrey et lui administra une magnifique giclée sur son visage. Rien qu’à l’idée que son sperme allait dégouliner le long de sa joue et couler sur son imposante poitrine accentuait de manière in considérable son plaisir. Vint ensuite, très vite, le tour de Mathias qui lui aussi fît honneur à sa partenaire de tous les jours. Qui le bue totalement.
Etant le dernier dans Emilie, j’optais pour le plus simple. C’est donc bien au fond d’elle que je déversais mon liquide blanchâtre.

« Tiens on va changer les rôles, c’est moi qui vais passer après toi pour le coup » fît allusion Jean Pierre à notre épisode d’hier soir, où je déversé après lui dans Manue.
« Et bien mon salop, tu l’as bien tapissée. Regarde çà j’ai à peine rentré ma queue que ça déborde déjà de partout. »
Il resta encore quelques petites minutes à s’amuser avec elle et dans un grand râle aspergea le fessier de son foutre. L’épais liquide coulait de partout et de grosses gouttes venaient se perdre sur la matière absorbante de la serviette de plage.

Le calme revint tout doucement sur le bateau, nous étions tous les six éreintés de nos ébats en haute mer. Manue semblait amusée et ne cachait pas s’être bien rincée l’œil.

« Et ben dis donc, l’air de la mer vous donne des forces. De ma petite estrade j’ai eu une très belle vision de vos ébats. Certainement mieux que nos invités » De nos invités ? Mais de qui parlaient Manue. En faisant un tour d’horizon je compris que nous n’étions pas tout seul au mouillage et une petite bande de potes, venue pêcher avaient assisté avec grand intérêt au spectacle qui leur étaient livrés. Ils en étaient tellement contents qu’ils applaudirent pour nous remercier.

Il était temps pour nous de lever l’ancre et de faire route vers notre port d’attache pour retrouver la terre ferme. En tout cas cette aventure restera ancrer dans nos mémoires pendant longtemps.
par Cosey54
#1392560
Hello,
Je viens de lire d'une traite tous vos histoires !!!
Waouhhhh !
Que dire de plus , vive la Bretagne et vive les bretonnes !!
Vous devriez vendre vos aventures a Marc Dorcel ! ;)
Bises
par cffj14
#1395993
manukib56 a écrit :Y'a pas beaucoup de commentaires sur les récits. A croire que cela ne vous plaise pas :-(

biensur qu'ils plaisent et provoque certaine reactions

un seul regret que manu n accepte pas quelques photos
par manukib56
#1404358
The Phone game

Cela faisait déjà deux mois que nous n’avions pas revus nos amis. Mais un petit texto allait changer notre petit quotidien.

Mathias m’appela un soir pour m’en avertir.

« Salut Fred, la forme ? Dis-moi tu te souviens de notre petit week-end sur l’eau avec JP et Marc celui de l’ascension. »
« Oui, comment veux-tu que j’oublie ce moment-là. » Quand on me reparlait de cette virée j’avais toujours l’image de Manue venant s’empaler difficilement sur le sexe de Jean Pierre. Un moment qui avait été éprouvant pour elle.
« Tu sais la partie de belote qu’on avait fait, les filles avaient perdu la partie et se devaient de deux gages. »
« Oui je m’en souviens très bien »
« En fait, ils leur en restent un. Selon Marc, ils n’auraient consommé qu’un gage, celui de JP avec Manue quand vous êtes allés dans l’autre cabine. Ils demandent donc à nous voir vendredi soir chez lui pour nous expliquer le deuxième gage. »
« Putain mais c’est du passé ! Qu’est-ce qu’ils vont encore nous demander ? »
« Une parole c’est une parole mec on n’a pas le choix. Et de toute façon, entre nous, on ne risque rien. Ceux sont les filles qui sont visées. » Raccrocha t’il en se marrant.

Nous étions maintenant rentrés dans l’été depuis déjà deux semaines, et les premières chaleurs estivales étaient déjà maintenant établies. Manue avait opté pour une petite robe fleurie à bretelle légèrement échancrée ouvrant sur son très joli décolleté. Son teint était légèrement bronzé et ses cheveux prenaient la teinte de l’été en s’éclaircissant. Cette saison la rendait encore plus belle que les autres.

Manue avait revu Marc il y a quelque temps, pour qu’ils puissent officialiser son contrat en alternance. Mais à sa grande surprise, leur rencontre avait été très cordiale et le cadre professionnel avait été respecté. Elle avait même été surprise de voir à quel point il était professionnel et sérieux dans ce qu’il faisait. Ce qui l’a rassurait encore plus pour la suite de ses études.

Nous étions maintenant fin prêt pour notre rendez-vous. Mathias et Audrey nous avaient rejoints sur Vannes et tous les quatre (les inséparables) nous rendions chez nos amis. Audrey avait elle aussi mit à l’honneur son corps en ayant choisi dans sa garde-robe une tenue estivale au tissus léger. Qui laissait entre voir avec le contrejour un choix de sous vêtement tout aussi légers que le reste.
Ses hauts talons accentuaient sa cambrure qui mettait un peu plus en avant son imposante poitrine.

C’est Emilie qui nous ouvrit, totalement nue, perchée elle aussi sur de jolies chaussures à talons. Leurs règles internes n’avaient toujours pas changé, elle avait devoir de toujours être ainsi dénudée que ce soit chez Marc ou Jean Pierre.

« Entrez les amis. Marc et Jean Pierre vous attendent. Ils sont au bord de la piscine. »

La verrière était ouverte, et la piscine que nous avions connue intérieure donnait le sentiment d’être à l’extérieur.

« Ah les voilà ! Et ben dis donc cela faisait une éternité que nous nous n’étions pas revu. Comment allez-vous ? Les filles vous êtes ravissantes comme toujours. »

Jean Pierre se leva à son tour pour nous saluer et rendit hommage à Manue par une baise main.

« Toujours en splendeur ma petite Manue. Chaque rencontre est une agréable surprise. Tu sais combien tu en as de la chance Frédéric. »
Il assumait maintenant totalement son attirance pour Manue et ne s’en cachait plus.

« Venez-vous assoir, nous allons prendre un verre. Ainsi nous pourrons vous exposer ce que nous attendons de vous. »

Emilie, venait de dresser la table en verres et amena une bouteille de rosé bien fraiche.

« Bon comme vous le savez les filles vous nous êtes encore redevables d’un gage. Un étant déjà consommé par Jean Pierre, qui depuis ce temps a bien voulu me raconter ce qui c’était vraiment passé dans la cabine. Et je dois dire que je suis fier de toi Manue et comprends maintenant beaucoup mieux pourquoi tu ne souhaitais pas nous rejoindre le lendemain au pied de la Teignousse. Enfin bon, toujours est-il vous nous devez un gage. Bon comme Manue tu as déjà la cible du premier, celui-ci sera à l’attention d’Audrey mais bien entendu tu seras mise à contribution.
Marc déposa une petite boite sur la table ainsi que son macbook et tout en parlant. La boite contenait un iphone ainsi qu’une enveloppe.

« Je ne vais rien vous apprendre si je vous dis que mercredi dernier a eu lieu le lancement des soldes. Aussi voici un petit quelque chose qui va vous permettre d’en profiter. Il tendit l’enveloppe à Audrey. Qui eut la grande surprise de découvrir qu’elle contenait un bon nombre de billets de cent euros. Cinq au total.

« Bien sûr pour dépenser cet argent vous serez soumises à quelques petites contraintes qui je le suis certain vous exciterons autant que moi. Voici un téléphone, en aparté Manue ce sera le tien. Celui du boulot. J’y ai installé dessus une petite application qui s’appelle Facetime, vous connaissez tous Skype et bien c’est le même mais pour apple. Bien entendu moi aussi je l’ai sur mon ordinateur et mon téléphone. Donc à partir de ce soir minuit et ce pendant quarante-huit heures, Manue et Audrey vous ne devrez plus vous séparer et le téléphone devra toujours être avec l’une d’entre vous. A n’importe quel moment, où que vous soyez, selon mon humeur ou celle de Jean Pierre, nous pourrons vous demander d’allumer Facetime pour voir où vous êtes et vous diriger. Les règles sont simples : on dispose, vous exécutez. Vous serez toutes les deux. Ni Fred, ni Mathias ne peuvent vous accompagner. Vous serez livrées à vous seule. »

Les filles se regardèrent l’air très inquiet et trouvaient cette situation assez préoccupante. Marc avait bien calculé son coup, il voulait diriger les filles pendant leurs courses des soldes tout en sachant que les magasins seraient bondés.

Après avoir énoncé ses volontés, nous sommes passés à autre chose et cet apéritif prit une tournure plus décontracté. On retrouva notre ambiance conviviale très vite. Emilie était comme toujours à nos petits soins et veillait à ce que nos verres soient toujours remplis et que nous ne manquions de rien en amuse-bouche. Cela faisait des mois maintenant que nous nous connaissions et donc pas la première fois que je la voyais ainsi. Mais son corps juvénile avait toujours son petit effet. Sa très petite poitrine sur son corps tout fin accentuait le caractère sexuel de la chose. Son grain de peau de jeune fille rousse montrait à quel point son corps était doux. Malgré tous les sentiments que j’avais pour Manue et mon attirance pour sa beauté jamais encore égalée à mes yeux, je ressentais tout de même du désir pour cette jeune gamine.
Et Manue le savait pertinemment et avait bien remarqué que mes yeux se posaient sur les courbes de notre serveuse.

Nous restions un long moment en profitant du moment agréable. Il était maintenant temps de prendre congé de nos amis.

« Bon et bien merci d’être venus. On se revoit demain soir pour le débriefing de la journée si vous voulez ? »
« Très bonne idée Marc, écoutez je vous invite tous chez moi à diner demain soir » nous proposa Jean Pierre.
« Par contre vous jouez le jeu, Manue et Audrey doivent être seule jusque-là. Bien entendu les garçons pour combler ce manque Emilie viendra avec vous si vous le souhaitez. Faites en bon usage. »
Voilà une proposition intéressante. Juste le temps pour la jeune fille d’enfiler un vêtement décent pour venir avec nous, nous étions venus à quatre et nous repartons à cinq.

Après avoir déposé Manue et Audrey à l’appartement de Manue, Mathias et moi et notre petite soubrette allions sur Auray.

Samedi 05 juillet 00h00 :

Les chiffres sur le radio réveil de Manue venaient à peine d’indiquer minuit que le vendredi venait de donner sa place au samedi. Les filles étaient déjà couchées depuis une bonne heure dans le canapé lit de l’étudiante. Le portable vibra sur la table de salon qui les réveilla. C’était un SMS de Marc. Il comptait bien profiter de chaque minute de son temps.

« Votre gage commence à partir de maintenant. Etes-vous bien seules ? »
« Oui »
A peine de le SMS de réponse envoyé, le portable vibra aussitôt et les invitait à accepter une communication Facetime.
Manue toucha l’icône verte, et après quelques instants de chargement vit le visage de Marc apparaitre sur l’écran. Au bas à droite, un petit carré affichait le sien.

« Allume une plus grande lumière Manue afin que la qualité soit meilleure. »
Manue s’exécuta.
« Très bien, je vous vois impeccablement. Dites-moi vous avez fait l’impasse sur le côté sexy ? »
Marc parlait des tenues vestimentaires. En effet les filles ne s’attendaient pas à être réveillées comme çà en pleine nuit pour commencer la journée de gage. Manue s’était habillé d’un débardeur et d’une culotte, tandis qu’Audrey ne sachant pas qu’elle devait coucher chez Manue ce soir-là n’avait pas prévu de quoi et m’avait emprunté un tee shirt pour en faire chemise de nuit.
« En fait on ne pensait pas … » Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase.
« Je ne vous demande pas de penser. Enlevez-moi çà tout de suite. »
Une à une elles s’exécutaient devant le ton dominateur de leur contact téléphonique.
Chacune d’elles tenait à son tour le téléphone pour que Marc puisse assister en directe à l’effeuillage de ses petites soumises. Il demanda à Manue de bien vouloir rapprocher le téléphone du sexe d’Audrey.
« Et bien dis donc là aussi y’a dû laissé aller. C’est quoi cette toison ? »
« Oui désolée, c’est vrai que ça fait longtemps que je n’ai pas vu une esthéticienne. Et je ne pensais pas que ce week-end serait particulier. »
« Bon on rectifiera le tire après. Pour ta punition tu vas t’allonger sur le lit et t’exhiber devant moi. Tu vas te caresser, je veux que tu n’oublies aucune zone de ton corps. Fais-moi bander. Manue tu pourras tenir le téléphone et jouer le rôle du réalisateur. »
« Oui pas de soucis »

La jolie brune monta sur le lit à moitié excitée par la situation. Elle s’avait que Marc en pinçait beaucoup pour elle et que ce week-end serait à majorité orienté sur elle. Elle devait donc dès maintenant s’attendre à devoir se soumettre aux désirs les plus fous. Elle en avait déjà beaucoup connu avec Mathias, mais on commençait à connaitre Marc maintenant et on s’avait à quel point il pouvait être imprévisible et que ses limites étaient encore, à ce jour, inconnues. Pour pouvoir se recoucher très vite il fallait mettre le paquet dès le début, pensa-t-elle. Elle opta pour une position quatre pattes en exposant bien son petit cul devant l’objectif. Sa main glissa le long de son ventre pour venir en contact avec son sexe et commence délicatement à se caresser. Avec deux doigts elle écarta ses lèvres pour bien montrer à l’homme la cyprine déjà très présente. Manue s’approcha au maximum pour bien faire profiter le voyeur. Elle passa sa main sous Audrey pour venir filmer sa lourde poitrine pendante. Audrey l’a fit ballotter un peu plus sachant que l’homme était très friant de cela.

« Manue tu pourrais y glisser quelques doigts pendant que tu filmes ? »
Sans attendre Manue obéit, et introduisit deux doigts dans le sexe humide de sa partenaire.
Pendant que sa main droite parcourait son sexe, la main gauche immortalisait le moment grâce à l’IPhone.
« Ne la ménage pas, tu vois bien que deux doigts ne suffisent plus. Fais-moi voir jusqu’où elle peut aller »
Audrey comprit tout de suite, que l’homme passait à l’étape supérieure. Elle posa donc sa tête sur le lit et accentua bien sa cambrure pour ouvrir au maximum ses lèvres et ainsi faciliter la tâche à sa copine. Manue observa tout de même une certaine retenue en n’y ajoutant qu’un troisième. Et déjà elle sentait que le passage était serré. Marc insista à nouveau pour qu’elle rajoute un autre. Après avoir légèrement salivé, elle se risqua d’y glisser un autre. Avec la volonté commune des deux filles, les quatre doigts firent céder le passage. Manue utilisait le pouce (seul doigt encore à l’extérieur) pour venir caresser le petit orifice au-dessus.
Audrey gémissait timidement à cette caresse.

Marc resta silencieux un long moment appréciant à sa juste valeur ce moment intime spécialement pour lui.

« Audrey tu as peut être envie que ta petite copine te lèche ? »
Audrey répondit tout naturellement par l’affirmatif.
« Et puis non tient, vous allez vous lécher toutes les deux ensembles. Manue pose le téléphone sur la table basse et fais en sorte de bien le cadrer. Se sera toi qui sera allongée, je veux voir les seins d’Audrey balloter au rythme de ses coups de langue. »

Manue orienta l’appareil au mieux, le grand angle de l’objectif offrait une vision globale de la scène. Elle alluma deux lampes supplémentaires pour augmenter la luminosité et ainsi éviter la pixellisation de l’image. Elle s’allongea donc comme demandé sur le lit, les jambes tournées vers la caméra. Elle les écarta pour offrir au voyeur une belle vision. Son sexe était quant à lui, totalement absent de pilosité. Avec sa main droite elle écarta délicatement ses lèvres pour en dégager son petit bouton. Devant cette invitation, Audrey enfourcha sa camarade et glissa son visage entre les cuisses. La tentation de venir jouer avec son petit bouton était trop grande. Elle passa ses jambes au-dessus du visage de ma jeune étudiante et les déposa de chaque côté. Appuyée sur ses mains la tête penchée en ses cuisses, Marc assistait à un moment lesbien tout à lui. Manue n’avait pas demandé son reste et à son tour donnait du plaisir à sa partenaire du dessus.

Les gémissements des filles se mêlèrent entre elles, toutes les deux connaissaient très bien les attendes de l’autre et savaient où il fallait insister pour procurer le plaisir escompté. Audrey relevait de temps à autre les yeux en direction de l’écran pour voir les réactions de Marc. Son visage était aux anges, il se régalait.

Ces ébats lesbiens durèrent un très long moment. Après avoir chacune jouit sous la caresse de la langue, l’homme les libéra de leur obligation. Jusqu’à la prochaine fois.

« Ne vous rhabillez surtout pas. Tant que vous serez dans un endroit clos vous opterez pour la tenue d’Emilie. »
A savoir totalement nues à l’exception des chaussures si elles avaient un caractère sexuel. Talon haut etc …

La nuit pouvait reprendre pour nos deux jeunes filles.


Samedi 05 juillet 09h00 :

C’est à nouveau le bruit du vibreur sur la table du salon qui réveilla les deux jeunes filles dans les bras de Morphée.

C’était un sms de Marc pour leur annoncer qu’il était temps de se préparer. Les filles avaient pour ordre de ne porter aucuns sous-vêtements de la journée et que la jupe courte et les bas auto-agrippant étaient de rigueur.

Il était facile pour Manue de répondre aux exigences de leur maitre virtuel mais pour Audrey cela semblait impossible n’étant pas rentrée chez elle depuis. Elle se rhabilla de sa tenue estivale en ayant bien pris soin de ne mettre aucun sous-vêtement. La fin tissue de sa robe dévoilait sa nudité. Sa poitrine imposante n’était qu’à peine cachée. Elle osait à peine sortir ainsi mais quand son maitre la découvrit ainsi par l’intermédiaire de la visioconférence, elle avait ordre de garder cette tenue et d’assumer ne pas avoir anticipé.

10h30, les filles étaient maintenant prêtes après un rapide petit déjeuner, une petite douche (sous le regard de Marc). Elles avaient pour mission de se rendre au centre-ville de Vannes. Pendant que les filles étaient occupées à se préparer Marc avait réservé pour Audrey un soin chez l’esthéticienne. Il voulait que son abricot soit irréprochable. Manue avait pour mission quant à elle de participer à ce soin avec en main le téléphone et filmer discrètement la scène.

L’institut qui était réservé était celui du Port, il faisait aussi sauna. Marc avait réservé pour les filles ce qui avait de mieux. Le sauna leur était totalement réservé et personne ne pouvait venir les déranger. Cela tombait bien comme aucune d’elles n’avaient prévu de maillot, elles étaient obligées de se dévêtir complètement. De toute façon les règles avaient été fixées bien avant, tout endroit clos …

Elles prirent du temps pour elles, elles se laissèrent même à quelques caresses sans même avoir été ordonnée. L’humidité étant trop importante dans la pièce Manue avait laissé le portable au vestiaire.

Cela dura une bonne demi-heure, avant de passer dans la salle des soins Manue bifurqua par les vestiaires pour récupérer l’iPhone. En s’assurant avoir bien coupé toutes sonneries et micro, elle lança une conversation facetime avec Marc. Elle alla rejoindre Audrey, qui était en train de se faire épiler le maillot. Manue prétexta que sa grand-mère étant souffrante elle avait besoin de garder son téléphone avec elle afin de ne pas rater un appel. Les peignoirs qui étaient prêter par l’institut ne comprenait pas de poches ce qui arrangea bien les affaires de notre belle timide.

Elle le posa sur un guéridon et pris soin de bien l’orienter vers les tables de massage. Audrey et totalement nue pendant qu’une esthéticienne s’occupait activement de sa pilosité. En même pas un quart d’heure le sexe de la jeune brune avait retrouvé une seconde jeunesse. Il était luisant et tout lisse. Marc derrière son écran d’ordinateur ne ratait pas un instant de ce moment.

Les filles restèrent un long moment à se détendre et apprécier du moment qui leur était offert.
Après s’être fait massée, et avoir revêtu leurs habits d’été, Marc les dirigea (toujours en communication téléphonique avec ses deux filles) vers un petit restaurant derrière les remparts dans une petite ruelle de la ville close. Ce petit chemin brassait beaucoup de passage et en ces périodes de soldes, les rues étaient bondées.

Les filles s’installèrent donc à la terrasse du restaurant, Manue tenait très à cœur son rôle de caméraman et ne cessait de pointer l’objectif vers Audrey. La nouvelle mission était simple : Audrey devait allumer le serveur à tel point qu’on aperçoive à travers son pantalon le désir qu’il ait pour elle. Manue avait pour mission de bien suivre avec le téléphone ce nouveau défi afin que Marc soit aux premières loges.

Par chance, le serveur était plutôt mignon selon les dires des filles, vu son âge il devait être saisonnier. Il arriva à la table des filles pour prendre leur commande.

« Bonjour, vous avez eu le temps de faire votre choix »
« Bonjour, pour moi ce sera une salade Niçoise » répondit Manue
« Pour moi, je ne sais pas trop. Salade Niçoise me parait un peu copieuse. Et puis je dois faire attention à ma ligne. »
« Oh vous n’avez pas besoin. » Il venait de mordre à l’hameçon.
« Ah bon vous trouvez ? » Elle écarta sa chaise de la table pour que le garçon puisse avoir une vision plus globale sur elle.
« Mais hanche sont larges vous ne trouvez pas ? » Elle releva sa robe à la limite de son sexe pour que le jeune homme puisse bien se rendre compte de ses jambes.
« Oh non je vous assure, vous êtes parfaite. » Les réponses du serveur se faisaient plus bégayantes. Devant cette exhibition de cette jeune audacieuse, le garçon de table perdait tous ses moyens. Mais Audrey en rajoutait encore.
« Regarder comment cette petite robe tombe mal sur mes hanches. » Elle saisit le tissu et le tira volontairement par le bas comme pour la rallongée. Mais l’effet escompté était d’ouvrir un peu son décolleté. Les yeux du saisonnier se posèrent dessus quasi instinctivement. Voyant sa réaction, elle agita son épaule d’une manière où sa bretelle glissa tout doucement le long de son bras. Et pendant qu’elle était en train de blablater sur de faux prétextes de hanches, délicatement un sein se dévoilait un peu plus. Manue était autant amusée de la scène que Marc qui y assistait par écrans interposés. Il aura fallu pas plus de cinq minutes à notre brune ténébreuse pour faire naitre une érection dans le pantalon du jeune garçon. Manue qui tenait l’appareil, avait les yeux posé sur sa braguette pour vérifier de la chose. Pari gagné.
Après avoir commandé et que le serveur soit allé honorer la commande, les éclats de rire entre les filles étaient tout aussi communicatif.

Elles appréciaient beaucoup la tournure que prenait cette journée, elles y prenaient beaucoup de plaisir.

Après avoir déjeuné, il était pour les filles de faire un peu de shopping. Marc leur demanda de se joindre dans un magasin en particulier de la ville. Un magasin que les filles aimaient y aller mais n’achetaient pas grand-chose au vu des prix exorbitants. Mais période de soldes étant, il y avait peut-être moyen de dénicher la bonne affaire.

Arrivées dans le magasin, elles eurent la désagréable surprise de voir qu’il était bondé. Tout le monde était rué sur les portiques pour dénicher les derniers moins soixante-dix pour cent.

Manue équipa le téléphone du kit piéton, pour pouvoir en même temps qu’elle filme communiquer avec Marc.

« Manue, ne perdez pas de temps à faire des recherches de fringues. Prenez un au hasard et dirigez-vous vers les cabines d’essayage. »
« Entendu ! Audrey, choppe une fringue. N’importe laquelle, on doit ensuite en cabine »
Audrey prit à la volée un chemisier à paillette bien trop grand pour elle et totalement démodé à son gout.

Les filles arrivèrent devant les cabines.

« Ne prenez pas n’importe laquelle. Choisissez celle handicapée vous y serez moins serré »
Après de longues minutes d’attentes et de file, Audrey et Manue arrivèrent enfin dans la cabine convoitée. A peine le loquet de tourné …
« N’oubliez pas les filles vous êtes dans un endroit clos »
En prenant garde de poser l’appareil téléphonique sur le petit banc mis à disposition. Elle le cala avec son sac à main afin d’orienter l’objectif. Elle commençait à avoir l’habitude.
Une fois le téléphone calé, devant la caméra Manue due déshabiller de manière sensuelle Audrey et inversement. Cela ne faisait même pas cinq minutes que les filles étaient dans le magasin qu’elles étaient totalement nues dans une cabine d’essaye avec un monde indénombrable dehors. Marc avait tout pensé, il s’avait que ce magasin serait bondé en ces périodes de soldes et c’est ce qu’il recherchait.
« Allez les filles ne me dites pas que vous en l’avez jamais fait dans une cabine ? Laissez-vous aller »
Le jeu était plutôt marrant et la situation en devenait même excitante, il n’eut pas besoin de convaincre plus les filles que çà, pour se livrer entre elles à quelques caresses. Manue abandonna l’oreillette et alla se lover dans les bras de sa camarade. Un long baiser vient marquer ce rapprochement. Et tendrement leurs mains caressaient respectivement leur corps. Pendant qu’Audrey, se focalisait sur le joli fessier que l’on connait à Manue, ma douce était plus sur la poitrine de sa copine et cherchait à faire dresser les petits tétons entre ses doigts.

Elles oublièrent très vite où elles étaient, et le son bruyant des gens ne venait même plus les perturber. Elles étaient toutes les deux dans le petite bulle soucieuse chacune d’elle à donner du plaisir à l’autre.

De temps en temps elles jetaient un œil à l’écran pour voir comment réagissait leur petit mateur. Et savoir s’il avait des exigences particulières.

A la demande d’Audrey, Manue du se mettre à quatre pattes à même le sol. Le fessier bien tendu en face de l’objectif pour que Marc ne rate aucun moment du passage de la langue d’Audrey entre les cuisses de ma chère et tendre. Elle n’oubliait aucune zone, du clitoris au petit œillet rien n’était négligé.

A ce moment, un incident vint les perturber. On frappa à la porte de la cabine. Se seraient fait prendre ? N’auraient-elles pas été assez discrètes ? Depuis combien de temps étaient-elles dedans, elles en avaient perdu la notion du temps.

Elles se relevèrent à la hâte sans trop savoir quoi faire. Elles étaient encore nues et ne comptaient pas ouvrir la porte ainsi. Manue saisit l’oreillette pour faire part à Marc la raison de leur arrêt soudain.

« N’ayez crainte les filles, c’est bon. Manue dis à Audrey d’ouvrir la porte »
« Quoi vous êtes au courant. Comment vous pouvez savoir qui il y a derrière cette porte »
« Ai confiance Manue. »
« Audrey ! Marc me dit que tu peux ouvrir. »
« Putain mais qu’est-ce que c’est encore ce truc »
Timidement et sans aucune confiance, la brune totalement dénudée tendit son bras vers le loquet pour déverrouiller.

A peine le bruit du cliquetis retenti, que la porte se poussa doucement. Audrey essayait tant bien que mal de dissimulé ses seins avec son bras et son sexe avec son autre main, imitée de Manue.

Quelle ne fut pas leur surprise de découvrir Jean Pierre. Leur coup était parfaitement calculé et orchestré.

« Ah c’est vous ! Vous nous avez fait une frayeur »
« Bonjour, les filles. Alors comme çà on ne peut plus s’habiller dans des endroits clos. J’aime bien ce concept. Surtout quand on a à faire à d’aussi jolies demoiselles. Bon si je comprends bien je dois moi aussi me plier à cette règle. » Ni une ni deux, Jean Pierre se retrouva totalement nu entre les deux filles à l’étroit dans la cabine.

« Mais qu’est-ce que vous faites là » demanda Manue
« Et bien ma petite Manue, si je suis ici c’est pour rendre un petit service à mon pote Marc, qui nous regarde et nous entends. Tu nous entends Marc »
L’homme à l’écran hochait de la tête.
« Voilà, lors de notre petite virée en bateau, tu te souviens certainement Manue que nous sommes allés avec Fred dans la cabine, pendant que Mathias, Audrey, Emilie et Marc s’affairaient dans l’autre. Et bien Marc avait été surpris par tes cris. Jamais il ne t’avait entendu gindre ainsi. Je lui ai donc expliqué qu’effectivement nous avions pratiqué une sodomie sans préparation avant. Et me connaissant depuis pas mal de temps, il a très vite compris pourquoi donc tu avais besoin de t’exprimer autant. Il m’a donc demandé si j’accepterai d’en le cadre du gage qui nous lie vous deux avec nous pour cette journée, pratiquer cette même expérience avec Audrey. »
« Comment ça ? Ici ? Mais vous êtes fou ! Tout le monde va m’entendre. Et puis pour accueillir un sexe comme le vôtre il faut de la préparation » Audrey sentait la peur l’envahir, elle se souvenait des cris de sa copine et son abstinence le lendemain.
« Oh mais ne t’inquiète pas. Regarde il n’a pas l’air si méchant que çà. » Lui répondit-il en pointant son sexe.
En effet à l’état repos, ces dimensions n’étaient pas celles en érection, même si déjà les filles avaient en face d’elles un sexe hors nome.
« Bon assez parlé ! Par contre Manue, j’aimerai bien si ça ne te dérange pas que tu me fasses dresser çà comme tu sais si bien le faire. » Il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir un petit faible pour ma copine, et il savait très bien qu’en très peu de temps elle saurait le faire bander dur.
Les règles étaient ainsi faites …

Manue se cambra au-dessus du sexe encore mou du vieux, et le saisit dans sa bouche. Même dans cet état le prendre en totalité et quasi impossible. Jean Pierre lui saisit fermement un sein et le malaxait pour augmenter son plaisir. Il n’eut pas fallu plus pour que Manue sente la verge du soixantenaire prendre de la vigueur dans sa bouche à tel point qu’elle n’arrivait même plus à le faire entrer. Il était fin prêt.

« Ouah t’es quand même superbement douée, tu as vu à quelle vitesse tu as été capable à me faire bander. Merci ma belle. Bon Audrey, on va y aller. Je n’ai pas trop le temps aujourd’hui et j’en suis navré. Donc on va faire vite ok. Mais ne t’inquiète pas tout va bien se passer. Tu peux te mettre en levrette par terre s’il te plaît ? »

Annoncé ainsi, il voulait prendre le contrôle total de la pénétration. Pas comme avec Manue où c’était elle plus ou moins qui contrôlait la pénétration. Dans cette position Audrey n’aurait pas le choix que de subir l’évolution que donnera l’homme.

Un peu anxieuse, la jolie brune se positionna comme demandé et accentuait au maximum sa cambrure pour s’assurer d’ouvrir au mieux son petit passage.

Jean Pierre fit signe à Manue de prendre le téléphone et de graviter autour d’eux pour récolter les meilleures images de la scène. Marc se rapprocha de l’écran pour être sûr de ne rater aucun détail.

Jean Pierre s’agenouilla tranquillement derrière la jeune fille qu’il comptait sodomiser sans précautions. Il se pencha pour saliver abondamment sur la petite partie rosée. Cracha dans sa main pour enduire son sexe de salive. Il estimait que c’était amplement suffisant comme lubrification et voulu commencer tout de suite.
Il posa son gland sur l’entrée serrée, étala au mieux la salive qu’il avait déposée. Et par petits coups secs commença à forcer l’entrée. A l’aide de ses mains il appuyait très fort sur le bas du dos d’Audrey pour la forcer à se cambrer un peu plus. Voyant que cela ne suffirait pas, Audrey posa son visage à même le sol. La sensation de fraicheur sur sa joue lui donnait des frissons. Elle passa ses bras derrière elle et essayait d’écarter au mieux ses cuisses avec une main de chaque côté.

« Dis donc, tu m’as l’air mieux rodé que ta copine toi. J’ai bien l’impression qu’on va y arriver sans peine. Tu me diras ton petit compagnon n’est pas si mal bâti non plus. »

Tout en parlant, il exerçait une pression constante sur l’anus, à force cela allait bien rentrer. Manue avait beaucoup de compassion pour sa copine. Elle voyait bien sur son visage l’atrocité qu’elle était en train de vivre. La seule lubrification qu’elle avait été de la salive, et elle ne pouvait crier au risque de se faire surprendre dans tout le magasin.

Voyant, qu’il n’y arriverait pas du premier coup, Jean Pierre stoppa tout.
« Bon on va reprendre, mais je te préviens cette fois ca rentrera que tu le veuilles ou non. »
Il recracha sur le passage qu’il avait essayé de forcer. Y glissa un doigt. Recracha. Y glissa un second doigt. Les deux doigts à l’intérieur, il les faisait tourner dans tous les sens pour détendre la périphérie de la paroi, il ne cessait de cracher abondamment. Une fois satisfait de son travail, il recracha une nouvelle fois dans sa main et s’enduit le bout du sexe.
Audrey réussie à prendre sa robe qui trainait par terre, la roula et la mise en bouche pour étouffer ses cris qu’elle allait surement lancer.

Il fit glisser son sexe partant du bas du dos pour arriver en contact avec la zone convoitée. C’est à ce moment que son mouvement de rein était entreprit. La chair commençait légèrement à se desserré. La moitié du gland était maintenant masqué. Il relâcha la pression. Un filet de salive sorti de sa bouche pour venir mourir sur la jonction entre son sexe et l’anus

« Allez, ça va être bon ! » Il poussa très fort et n’était pas du tout décidé à arrêter cette fois. Il poussait, il poussait, il forçait comme il pouvait. Audrey essayait de se cambrer toujours un peu plus. Les mains de Jean Pierre l’écrasaient tellement qu’il était difficile de faire mieux. De petites larmes commençaient à rouler le long de son visage. Ses cris étouffés par le tissu dans sa bouche montraient à quel point c’était difficile pour elle. Manue n’avait jamais vu son ami ainsi. Elle était témoin d’une atrocité et ce disais que d’un côté elle avait été peut être plus chanceuse qu’elle. A petite mesure il avait été peut être plus précautionneux avec elle.

Ses mains étaient maintenant agrippées aux hanches de la jeune fille, il la ramenait à lui. Il poussait toujours aussi fort, jusqu’à enfin voir l’orifice céder sous la pression. La progression était lente, seulement quelques millimètres grappillèrent un peu plus l’entrée. Il ne relâchait rien, voir ainsi qu’il progressait lui donner même plus de force.

Au bout de quelques minutes de calvaire, son sexe disparu. Le passage était fait. Il exécuta quelques petits va et viens et se retira une nouvelle fois entièrement. Le corps de la jeune se décrispa un petit peu.

« Voilà le plus dur est fait, ça n’a pas été sans mal. Mais on est arrivé. »

Il recracha une nouvelle fois dans le trou maintenant béant, et la pénétra en une seule fois.

« Voilà !!! Super, çà rentre facilement maintenant. »
Audrey se redressa sur ses mains et commença un mouvement de bassin d’avant en arrière, elle voulait montrer à l’homme qu’elle pouvait elle-même s’empaler sur son membre.

Jean Pierre approuva ce petit geste désinvolte de la jeune fille et voulu lui rendre la monnaie de sa pièce. Il se redressa sur ses jambes et accroupie il prit un peu de hauteur pour bien s’axer. Il commença alors des allers et venus dans un rythme effréné. Ses testicules claquaient contre le clitoris à chaque entrée. Audrey continuait son mouvement de bassin pour amplifier le geste. Sa poitrine ballotait comme pas possible. Les deux corps étaient en sueur. Cette étreinte dura de longues minutes.

Jean Pierre arriva au moment crucial. Il décéléra et se figea bien enfoui au fond d’Audrey. Son sexe touchait la paroi interne de la jeune fille. Par spasmes successifs il se déchargea tout au fond elle. Vu le temps que çà lui a pris, cela laissait penser que la quantité devait être conséquente. Il se retira dans un bruit de succion. Se redressa sans prendre le temps d’apporter une petite attention particulière à la jeune fille qu’il venait de sodomiser sauvagement à même le sol d’un grand magasin de Vannes. Il se rhabilla, salua son ami par écran interposé et quitta la cabine.

Audrey était toujours couchée au sol essayant de reprendre ses esprits et son souffle. Après avoir déposé l’appareil, Manue câlinait son ami. Il était temps aussi pour elle de penser à sortir de cet endroit exigu.

Elles se rhabillèrent l’une et l’autre et sortir comme si de rien du magasin. Par chance, la surpopulation du magasin et le broua incessant n’avait éveillé aucun soupçon chez les gens.

Marc avait interrompu la conversation facetime, et dans un dernier sms avait donné ses consignes.

« Vous avez quartier libre cet après-midi. Avec l’enveloppe que je vous ai donné faites en sortes de vous faire plaisir et soyez les plus sexy pour ce soir. Je vous rendez vous à 19h en face de la porte Saint Vincent »

Les filles errèrent donc tout le reste de l’après-midi dans les rues de Vannes en quêtes des meilleures. Même si elle n’avait jamais connu auparavant tel budget pour du shopping, elles voulaient tout de même sentir le bonheur d’avoir fait la dite bonne affaire.

19h00 arriva très très vite, Audrey aurait souhaité passer chez Manue se faire un brin de toilette. Après avoir demandée par sms, elle se vu refuser sa requête.

Dans le dernier magasin qu’elles firent, elles prirent une nouvelle fois leur temps dans la cabine mais cette fois ci pas pour un moment de câlin, juste pour enfiler leur tenue de soirée.

Manue avait opté pour un débardeur blanc très moulant, qui par l’absence de soutien-gorge offrait un magnifique aperçu sur sa poitrine. Une petite jupe plissée très courte venait habiller ses jambes. Sa tenue la faisait rajeunir de cinq ans. On aurait vraiment cru qu’elle était à peine majeure.

Audrey été partie sur un déshabillé satin très pigeonnant, un pantalon lin très proche du corps, on pouvait voir par transparence. Encore heureux pour elle que ce matin elle était chez l’esthéticienne. En effet les filles avaient tenu les règles en omettant la lingerie sous leurs habits.

Elles se dirigèrent donc vers le port pour leur rendez-vous. Marc était déjà accompagné sans surprise de Jean Pierre.

« Bonsoir les filles, content de vous voir enfin en vrai. Je dois dire que vous avez été superbes aujourd’hui. Audrey, une fois encore tu as su me retourner. Dites mois vous devez avoir faim, allons grignoter un petit quelque chose »

Jean Pierre ne cessait de regarder Manue avec insistance, il était clair que sa nouvelle tenue faisait son petit effet chez le sexagénaire. Il appréciait le gage imposé du non port de sous-vêtement. Avoir un accès direct sur le petit 85b de ma belle lui faisait pousser des ailes. Totalement décomplexé maintenant de la relation qui c’était créé entre nos deux groupes : Manue, Mathias, Audrey, moi et Marc, Jean Pierre, Emilie, Jean Pierre se risqua furtivement de passer sa main sous la jupe de Manue pour s’assurer qu’elle ne portait bien aucun sous-vêtement. Surprise de ce geste inopinée, Manue se retourna.

« C’était juste pour m’assurer que les termes du contrat étaient maintenus ».
« Audrey, ma chérie ! Alors mon ami Jean Pierre ne t’a pas trop faire souffrir à ce que j’ai pu voir. Tout compte fait cela c’est bien passé. »

Marc avait réservé une table dans le bar brasserie en face du Port, nous montions à l’étage.

« Bon les filles plus que quelques heures avant que votre gage ne se termine. Contentes tout de même de votre journée ? Alors racontez-moi vos impressions. »
« Ben pour être totalement franche avec vous, on s’attendait peut être à pire. Non c’était cool, on a bien profité. Le massage c’était super, on a fait pleins d’emplettes. Non c’est sûr pour Audrey l’aventure dans la cabine avec Jean Pierre est peut être traumatisante mais au final on est contente. »

« Oh oui quel bon moment dans cette cabine. Tu as été vraiment très bonne Manue dans tes prises de vue. En tout cas j’ai été stupéfait comment tu as pu recevoir Jean Pierre aussi facilement. Certes le début semblait difficile mais au final tu t’es très bien débrouillée. J’ai pris un plaisir fou à vous observer. »

Contre toute attente le diner prit une tournure plus conventionnelle et politiquement correcte. Avec Marc, Manue avait pu aborder quelques points de détails sur sa venue au bureau. Jean Pierre donna aussi quelques nouvelles de son successeur et qu’il l’attendait bien Audrey à la rentrée pour sa prise de fonction. Les hommes prirent de nos nouvelles. Ils parlèrent aussi des vacances, des destinations de chacun etc …

Le moment était arrivé de se lever de table, Jean Pierre paya la note et nos quatre amis firent un petit tour digestif sur les rives du Port de Vannes. Manue était au bras de Jean Pierre et Audrey de Marc. Les têtes tournèrent dans tous les sens, les gens n’arrivaient pas à savoir de quoi étaient constitués ces deux couples. Des pères avec leurs filles ? Elles sont trop sexy pour être leurs filles disaient certain. Les femmes en étaient dégoutées tandis que les hommes les regardaient d’un air envieux.

« Ca fait bien longtemps qu’on n’a pas eu un début de juillet aussi chaud. Il fait encore bon à cette heure-ci. » Disait Marc
« Écoutez il est tout juste 22h, nous avons donc Jean Pierre et moi encore deux heures où nous pouvons disposer de votre compagnie. Que diriez-vous de terminer cette jolie soirée en buvant du champagne au bord de la plage »
Marc était-il devenu romantique. Tous les quatre embarquèrent dans la voiture de Jean Pierre qui était garé non loin de la rive gauche et direction Séné pour se rendre dans une petite crique au bord du Golfe du Morbihan.

Les filles ne furent même pas étonnées de voir qu’en fait tout était prévu et qu’une bouteille de champagne et quatre flutes ainsi qu’une couverture les attendaient dans le coffre.

Après cinq bonnes minutes de marches, ils arrivèrent enfin dans la petite crique. La mer montante venait doucement embrasser le sable tout juste tiède des premiers rayons du soleil de l’été Breton.

Jean Pierre allongea la couverture sur le sable pendant que Marc débouchait le champagne, abrité du vent, l’endroit était magique. Les filles étaient bien et se sentaient totalement détendues. Elles devraient peut être perdre plus souvent à ce genre de jeux. Après une petite coupe, Marc demanda aux filles de lui faire l’honneur de se dévêtir sur cette plage, pour avoir un peu deux autres magnifiques paysages à regarder.

Devant tant de romantisme et devant ce cadre idyllique les filles se laissèrent aller. Audrey abandonna la première ses vêtements et profita de sa nudité pour aller gouter la température de l’eau. Manue tarda un peu mais rejoignit son amie au bord. Elles étaient bien, un petit bain de pied après une journée de shopping était le bienvenu.

Très vite, elles furent rejointes par Marc et Jean Pierre leur tendant une nouvelle coupe.

« Alors ma petite stagiaire, contente de venir travailler avec moi. J’espère que Frédéric n’a pas trouvé ça désobligeant de ma part que de t’avoir proposé le poste ? »
« Oh non au contraire il est très content pour moi. Vous savez maintenant on commence à bien se connaitre, et il sait que vous n’êtes pas de mauvaises intentions. Tout comme avec Jean Pierre. En tout cas j’ai hâte de commencer, j’ai beaucoup de choses à apprendre. »
L’homme posa sa main sur l’épaule de la jeune fille.
« Je suis sur ma petite Manue que nous ferons du bon travail. Mais attention le boulot sera le boulot »
« Je vous rejoints sur ce point »
« Très bien, allez assez parlé de boulot, nous sommes là pour nous détendre. » Il caressa le visage de Manue tout en tentant une approche. Sa main descendit le long de son corps et saisit celle de la jeune fille. Il la tira vers lui et l’embrassa tendrement. Prise de surprise par la douceur de cet homme, dont ce n’était pas son fort, Manue se laissa aller. Le baiser dura un long moment. C’était doux, affectueux. Mais très vite il reprit sa fougue qu’on lui connait bien.

« Bon il nous reste à tout cassé une bonne heure avant la fin officiel de votre gage et je compte bien profiter de ce dernier moment. Retournez sur la serviette et mettez en levrette, c’est moi qui vais vous prendre comme il se doit. Je vous ai maté toute la journée vous ne pouvez imaginer comment j’ai envie de vous. »

Jean Pierre accompagne les filles en haut de la plage, leurs débarrassèrent de leur verre.

« Allez les filles, mettez-vous vite en position. Marc arrive. »
Collées l’une contre l’autre les filles adoptèrent la position demandée.
« Oui c’est ça, cambrez-vous plus. N’hésitez pas à poser votre tête vous serez mieux. Voilà c’est ça. »
« Tu me les prépares Jean Pierre ! »
« Oui, t’inquiète »
Pendant que Jean Pierre s’activait à mettre les filles en position, Marc quittait ses vêtements et observait les croupes offerts à lui.
Jean Pierre saisit dans un des sacs où étaient entreposés la couverture et le champagne, un petit tube de lubrifiant. Il administra à chacune une bonne dose. Avec ses doigts et veillait à bien lubrifier toutes les parties de l’entrecuisse des demoiselles, sexe, anus tout devait reluire.
Les filles ne bougeaient pas et attendaient leur sort.

Marc arriva à leur niveau, il faisait le tour d’elles en prenant le temps de se resservir une coupe de champagne.

« Alors mes petites chiennes, vous n’êtes pas belles là ? Hein ? Vous attendez quoi que je vienne vous baiser. Etes-vous sûre d’être assez mouillée ? Tu mouilles toi ma petite salope » s’adressait il a Manue qui n’osait répondre.
« Tient au moins comme ça on pourra dire que tu étais mouillée » Il renversa son verre sur le dos de Manue, et rajouta toute le reste du contenu de la bouteille. Elle était trempée de champagne de la tête au pied. Il avait mis un petit temps d’attente sur sa tête pour bien mouiller sa chevelure.
« Regarde-moi comment t’es dégoulinante maintenant ! Et toi ! Ça t’a plu de te faire défoncer le cul dans une cabine d’essayage ? Regarde-moi ça, il est à peine refermé ton cul, à croire qu’il a dû vraiment t’en foutre mon copain. Ton cul est prêt à accueillir n’importe qui maintenant, tout y passe. » Et là contre toute attente, il retourna la bouteille de champagne et introduisit le goulot dans l’anus d’Audrey.
« Regarde-moi çà Jean Pierre, un vrai garage ! »
Les filles qui avaient la tête posée sur la couverture ne voyaient rien de la scène. Manue ne comprenait pas ce qui était en train d’arriver à sa copine. Elle a juste entendu le cri de surprise d’Audrey à l’intrusion de cette bouteille dans sa partie intime.
Jean Pierre avait posé une main sur chaque dos des filles pour les obliger à garder leur position.
Il retourna en direction de Manue.
« Putain, ça sent bon le champagne ici ! Tu sais comment ça se boit le champagne ma petite ? Cul sec » A peine sa phrase dite qu’il s’accroupie au-dessus du fessier de Manue le sexe à la main et la sodomisa en une seule fois. Il ne prit même pas le temps de savoir si elle était serrée ou suffisamment lubrifiée. Manue ne put retenir un cri long et strident. Elle ne pensait pas qu’il aurait été si brutal. Jean Pierre lui caressait le dos tendrement comme pour lui donner du courage. Marc était comme un fou derrière elle à la pilonner sans ménage.
« Je vais t’apprendre la finance mais je vais aussi t’apprendre à bien savoir utiliser ton petit cul. Tu vas voir. » Le rythme était très bestial. Par chance il ne resta pas très longtemps et se retira aussi vite qu’il était entré.
« Allez ma brune aux gros seins montre-moi comment ton cul a été éduqué. » Il retira le goulot et prit sa place aussitôt.
« Et bien ça n’a rien à voir avec ta petite copine ! On pourrait presque y passer à deux ! » En plus de son sexe, il glissa un doigt.
« Jean Pierre, tu veux participer aussi ? Regarde la gamine n’attends que çà » en pointant de la tête Manue.
Jean Pierre ôta ses vêtements à son tour et pour le coup n’avait pas besoin qu’on le stimule avant. Sa verge était déjà parfaitement tendue et n’attendait qu’à entrer en action. C’était avec un plaisir non dissimulé qu’il aille se mettre derrière sa petite protégée. Il lui épargna trop de souffrance en optant pour un rapport traditionnel. Après avoir fait coulisser son sexe entre les cuisses de la belle, il investit le vagin de la manière la plus douce qu’il soit. Sa cadence était douce, ses mains se posèrent délicatement sur les hanches fines de la jeune châtain. Et il sentit très vite la tension descendre dans le corps de la jeune. Une sensation plus humide se faisait sentir entre ses lèvres. Il se retira, pour venir s’allonger le dos pour que Manue puisse s’assoir sur lui. Elle glissa lentement sur le long et gros sexe. Elle était arrivée en butée, elle sentait à quel point il était profond en elle. Son ventre était chaud. Elle se laissait aller à coulisser langoureusement sur l’édifice en profitant de chaque moment de plaisir. Jean Pierre caressait la douce poitrine de la belle. Il venait de temps à autre prendre un petit téton en bouche qui pour le coup avait un joli petit gout de champagne. Jamais avant il n’avait apprécié ce spiritueux de cette manière.

L’autre couple à côté était dans un univers différent. Marc se livrait à toutes sortes de bizarrerie avec Audrey, il lui avait réintroduit le goulot dans l’anus pendant que lui la pénétrait vaginalement.

« Il te plaît mon gode improvisé. De toute façon faut te remplir toi. Y’a que comme çà que tu aimes être prise. Un dans ton cul, un dans ta chatte. Il t’a bien dressé ton mec. »
Tellement son rythme était fort on entendait la lourde poitrine d’Audrey claquer contre sa peau.
« Allez couches toi sur le dos ! Je vais t’apprendre moi à ne plus perdre aux cartes. »
Audrey se retourna pour s’allonger. Elle était essoufflée et ne savais plus trop où elle était.
« Putain, ça se sont de vrais nibards ! Qu’est-ce que j’aime y foutre ma bite » Carrément assis sur elle, il déposa son sexe entre les seins d’Audrey et le faisait coulisser. Il crachait sans retenu sur les seins pour augmenter le coulissement.
« Allez ce n’est pas parce que je suis sur tes seins que tu dois te reposer. Relèves moi ces jambes et écarte moi ça. Audrey posa ses pieds au sol et écarta légèrement son entre cuisse pour créer un passage à son sexe.
« Tiens tes seins ! Allez colles les biens entre eux pour que je m’y sente serré. »
Les mains libres, il saisit à nouveau la bouteille de champagne, se pencha légèrement en arrière pour que sa main puisse atteindre le sexe fraichement épilé, et enfonça le goulot entre les lèvres. Quasi la totalité du goulot était maintenant entrée dans le sexe d’Audrey.
Marc s’accorda encore quelques vas et viens entre les seins, et les abandonna.
Il était trop occupé à jouer avec sa bouteille. Il la faisait ressortir pour aussitôt la remettre.
« Relève un peu tes jambes, oui comme çà. Décolle un peu ton bassin pour que je puisse voir ton petit trou, qui n’est plus si petit que çà. »
Audrey reposa ses jambes sur les épaules de Marc, qui maintenait toujours la bouteille avec une main. Avec l’autre, il prit son sexe et le présenta devant le petit orifice.
« Tiens prends ma queue dans ton cul ! On y est bien. »
Les gémissements d’Audrey montraient que malgré la virulence des propos et la dureté des gestes, elle prenait du plaisir.

Jean Pierre arrivait au moment de la jouissance et Manue l’avait bien ressenti. Elle se dégagea du sexe et s’agenouilla à côté de l’homme pour l’invité à jouir sur elle. Il se dressa en face d’elle, lui caressait le visage tout en astiquant son membre. Manue penchait la tête en arrière pour s’assurer de recevoir le maximum de semence.
« Non Manue se sont tes seins que je veux » elle obtempéra. Elle les saisit en main et les rapprocha comme pour en faire un présentoir. Elle les surélevait pour être au plus près de la verge en éruption. L’homme lâcha un râle roque en même temps que son liquide coulait abondamment sur la petite poitrine qui lui était offert. Son jus était épais et collait bien à la peau parfumée de ma douce.

« C’est ici qu’on se vide ? » Sans s’en rendre compte, Marc les avait rejoints et le sexe à la main à son tour vint éjaculer sur Manue. Par contre peu importe pour lui où sa semence tombait. Le visage de la jeune fille en prenait énormément, elle ne pouvait plus ouvrir les yeux et de longues coulées perlaient sur son menton et ses joues.

« Reste pas planté là toi, tu vois bien que ta copine est en difficulté. Viens la nettoyer »

Audrey obéit, elle se rapprocha de sa camarade et avec sa langue essayait de retirer le maximum de sperme qu’elle pouvait.

Marc leur jeta leurs habits.

« Bon allez rhabillez-vous maintenant, on en a fini avec vous. On vous ramène. »
par manukib56
#1407455
Merci à tous pour vos commentaires qui me poussent à continuer à conter nos aventures.

On ne sait de quoi la vie est faite, mais j'espère de tout coeur pouvoir continuer à vous mettre par écrit encore beaucoup de nos péripéties.
Avatar de l’utilisateur
par erwann1971
#1407509
manukib56 a écrit :Merci à tous pour vos commentaires qui me poussent à continuer à conter nos aventures.

On ne sait de quoi la vie est faite, mais j'espère de tout coeur pouvoir continuer à vous mettre par écrit encore beaucoup de nos péripéties.


J'espère aussi pouvoir continuer a lire vos aventures qui sont très bien écrites et très excitantes.
Je vais régulièrement sur Vannes ou sur Lorient, et des fois, en croisant certaines femmes je me pose la question: "et si c'était elle ou elle..."

J'espère a très vite pour lire la suite de vos aventures.
par manukib56
#1416034
L’heure de la rentrée a sonné

Les vacances d’été étaient maintenant derrières nous, et la rentrée était déjà bien entamée.

J’avais conservé mon petit studio sur Vannes, tandis que Manue avait quitté le sien d’en l’espoir de trouver un appartement plus confortable. Ayant maintenant un salaire elle pouvait s’offrir un peu plus d’espace. Pour ne pas cumuler les loyers et prendre son temps dans ses recherches, elle avait élu domicile chez Emilie. Enfin je devrais dire chez Marc, qui sous louait son spacieux appartement en plein cœur de la vieille ville à sa jeune majeur moyennant une parfaite docilité.

Mardi 03 septembre 2013 :

C’était le grand jour pour Manue, elle allait enfin rentrer dans la vie active, même si cette entrée était en alternance, trois semaines de stage contre une semaine de cours à l’IUT.

Elle se rendit à l’agence de Marc la boule au ventre. Elle avait soigné sa tenue. Habillée d’un pantalon noir, elle portait un chemisier blanc concassé, perchée sur une paire de sandales à petits talons. Ses mains étaient moites et son cœur battait fort.

« Ma chère Manue, tu es bien ponctuelle. » Marc apposa sa main sur l’épaule de la jeune fille et l’embrassa sur la joue.
« Ecoute, j’ai bloqué tout mon agenda de ce matin pour ne me consacrer qu’à toi. Viens suis moi, je vais te faire visiter les lieux. »

L’agence était moderne et décorée avec gout. La grande pièce d’accueil, où trônait un petit salon pour l’attente des clients, était entourée de trois grands bureaux séparés par des vitres où des stores vénitiens venaient donner l’intimité du rendez-vous clientèle.

Donc voici la salle d’attente, là à droite c’est mon bureau, celui de gauche sera le tient. Celui du milieu étant réservé pour le secrétariat.

« Parce que vous avez une secrétaire ? »
« Heu non pas encore, mais c’est en projet. Tu te rendras compte par toi-même que la paperasse prend énormément de temps. Pour l’instant c’est Emilie qui vient de temps en temps en semaine me donner un petit coup de main. Elle fait de la saisie et du classement. Tu verras son aide est précieuse. »
« Tiens je t’en prie entre dans mon bureau, je vais t’expliquer un peu plus en détail ce dont j’attends de toi. Tu prendras un café ? »
« Heu oui volontiers »

« Vas y installe toi, j’arrive dans cinq minutes. » l’invita t’il en désignant le canapé à entrer dans son bureau. Manue toujours in timidité alla attendre son boss sagement.

Marc arriva avec deux tasses et s’installa en face de la jeune fille.

« Bon, voilà comment ça se passe un peu ici. Le lundi est chômé, le mardi l’agence est ouverte, par contre le mercredi on ferme l’agence pour travailler sur nos dossiers. On ne reçoit aucun rendez-vous et l’agence est fermée au public. C’est d’ailleurs souvent là qu’Emilie viendra nous donner un coup de main pour classer les dossiers. Jeudi, vendredi et samedi matin comme le mardi. »
« Entendu »
« Bon ton boulot dans un premier temps va consister à m’assister sur des petits dossiers pour que tu comprennes bien les démarches et comment on constitue un portefeuille client. Tu viendras donc avec moi rencontrer les clients. D’ailleurs j’en arrive à une chose essentielle dans notre métier. L’apparence physique, tu auras bien compris que notre image de marque et notre sérieux va aussi compter dans notre tenue vestimentaire. La chance que tu aies, c’est que tu es jeune et mignonne. Il faut donc en jouer. Ta tenue là que tu portes, est certes sobre mais pour moi ici elle n’est pas acceptable. Je te veux féminine. Il faut savoir que la plus grande majorité des clients en assurance sont les hommes. Dans le ménage français c’est l’homme qui gère le contrat d’assurances. Je te veux sexy. Tu sais ici tu vas beaucoup apprendre avec moi, si tu travailles tu auras plus de responsabilité mais pour cela il faut que tu m’écoutes bien. Dis-toi qu’à chaque fois que tu passes la porte d’entrée de l’agence ton sort m’est destiné. Tu m’appartiens en quelque sorte. Ai-je été clair ? »
Manue baissa la tête et répondu par un petit hochement.
« Et surtout que je n’ai pas à te le redire. Un manquement de ta part aura de lourdes conséquences sur ta poursuite dans mon agence. »
Les règles avaient le mérite d’être claires et précises. Ce qui ne rassurait guère plus ma petite copine. Mais maintenant, elle savait à quoi s’en tenir. Si elle était conciliante elle savait qu’elle apprendrait beaucoup avec lui.

La journée se poursuivit de manière plus courtoise et Marc prenait bien le temps d’expliquer en détail les tenants et aboutissants de son métier.

Mercredi 04 septembre 2013 :

Pour son deuxième jour, elle avait compris les premières remarques de son patron et elle arriva à l’agence habillée plus féminine. Une jupe courte, des chaussures à talons, un chemisier légèrement déboutonné qui offrait un petit aperçu sur sa jeune et petite poitrine.

« Ah mais quel plaisir de te voir habillé ainsi ma petite assistance. Voilà qui est tout à fait charmant. Tu es juste bandante à souhait. Bon malheureusement comme je te le disais hier, le mercredi est une journée sans clients. Notre bureau est fermé pour ainsi nous permet de travailler sur nos dossiers. Donc nous sommes dans un endroit confiné. Mais les règles d’Emilie s’imposent à toi aussi. »

Manue ne comprenait pas où il voulait en venir.

« C’est-à-dire, je ne vous comprends pas ? »
« Oh si tu me comprends très bien. Tu vas m’enlever tous tes vêtements. Tu apprendras que le mercredi tu travailleras à poil. Tous les mercredis dorénavant dès que tu franchiras cette porte, tu iras dans la salle de pose retirer tes habits et ensuite nous pourrons nous mettre au travail. Ai-je été assez clair ? »

Sans répondre à son chef, elle se dirigea vers la petite porte de la salle de pause. Cette salle n’était meublée que d’une table, quelques chaises, une machine à café et un micron onde. Sur le derrière de la porte, un porte-manteau où Manue y accrocha ses vêtements.

Elle refît surface dans le hall d’accueil totalement nu en face de Marc.

« Non mais tu te fous de moi ? T’as vu ta chatte ? Ça fait combien de temps que tu ne t’es pas rasé ? »
« Je suis désolée, je ne pensais pas … »
« Je ne te demande pas de penser. Tu as intérêt de me raser çà pour la prochaine fois. Je veux te voir avec un sexe d’enfant !!! Allez va te mettre au travail maintenant ! » Marc était sorti de ses gonds. Le sexe pas entretenu de Manue l’avait mis dans une colère.

Manue se retrouva seule dans son grand bureau assise totalement nu derrière son écran. Il lui fallut de longues minutes avant qu’elle ne puisse se mettre au travail dans pareil accoutrement. Elle ne cessait de guetter sa porte, elle appréhendait que quelqu’un ne surgisse dans la pièce.

Une petite heure passa et son téléphone sonna.

« Oui c’est Marc. Va me préparer un café et vient me l’apporter. »

Elle s’exécuta. Arrivée devant la porte close du bureau de son chef, elle s’arrêta le temps d’un instant le temps pour elle de prendre une bonne inspiration avant de venir toquer.

« Entre ! »
Timidement elle ouvrit la porte, le plateau à la main. Marc était au téléphone et lui fît signe de venir le déposer.
Elle se tenait debout les mains jointes dans le dos devant le café fumant, attendant l’ordre qu’elle pouvait disposer.
L’ordre qu’elle reçut n’était pas tout à fait celui qu’elle escomptait. Tout en discutant avec un de ses clients au téléphone, Marc se décala de son bureau et déboutonna son pantalon. Le sexe ramolli il se tourna vers la jeune fille. Le message était clair.
Sans mots d’échanges entre les deux, elle s’agenouilla entre le bureau et lui. Ce n’était pas la première fois qu’elle prenait cet homme en bouche mais cette fois ci la situation n’était pas la même. Elle se sentait plus vulnérable.
Le sexe mou commençait à prendre de la vigueur dans sa bouche grâce à ses petits coups de langue.

« Entendu Mr Bihan, on se voit demain 10h dans nos bureaux. Passez une bonne journée. » Il raccrocha. Comme si de rien n’était, il se servit le café et le dégusta sans même adresser une attention à Manue.

Ce n’est qu’après avoir terminé son café qu’il décida enfin à desserrer les lèvres.
« Bon on va pas y passer la matinée tout de même. Tu vas me faire jouir ou non. Applique-toi mieux que ça ! » Il enfonça alors son sexe tout au fond de la gorge de Manue, ne s’attendant pas à cela elle eut un sursaut.
« En plus d’une bonne courtière en assurance je peux te garantir que je vais faire de toi une vraie petite salope. Allez tiens bouffe mon jus. » Elle n’eut pas le temps de s’y préparer qu’un jet puissant envahit le fond de sa gorge. La quantité en était importante.
« Je ne veux pas une goutte dehors, entendu ? »
La jeune fille s’efforçait à avaler au maximum le liquide blanchâtre et s’assurait que le sexe ressortait propre de sa bouche. A peine avait-elle terminé qu’il se rhabilla.

« Bon tu as pris connaissance du dossier pour la maison de vacances de Mr Brouillit ? Essaye de lister tout ce qui te semble primordiale. Et vient me voir après, je tacherai de voir çà avec toi. Tu peux disposer. »

Manue retourna à son bureau avec le gout de sperme en bouche et la sensation d’humiliation.

11h00, la porte d’entrée de l’agence s’ouvrit. Manue était tétanisée dans son bureau. Elle n’osait beaucoup de peur de se faire surprendre. Elle entendit des bruits de pas derrière sa porte, mais ils continuèrent. C’est le bruit de la porte de la salle de pause qu’elle entendit s’ouvrir et se refermer. Même pas cinq minutes passèrent qu’à nouveau la porte s’ouvrit et les bruits de pas firent à nouveau résonner la peur chez la jeune fille.

On toqua à sa porte, son cœur s’emballa. Elle n’eut pas le temps de se poser de questions que la porte s’ouvrit.

« Salut Manue ! »

C’était Emilie ! Elle aussi se présentait totalement nu.

« Ah ben je vois qu’on est à la même enseigne. Il exige aussi de toi que tu sois nue au bureau ? »
« Oui comme tu vois. »
« Tu verras on s’y fait. Au début ce n’est pas évident mais on oublie vite la nudité après. Bon tu m’excuses je vais aller lui dire bonjour. »

Emilie quitta la pièce et referma la porte derrière elle. Elle se dirigea vers le bureau de Marc, frappa et se fit invitée à ouvrir.

Manue tendait l’oreille pour savoir ce qu’ils pouvaient bien se dire. Mais les bureaux étaient trop éloignés pour entendre quoi que ce soit.
Le silence ne dura que quelques instants. Elle entendait un bruit qu’elle n’arrivait pas à reconnaitre au début et plus il prenait de l’intensité plus elle comprenait qu’en fait c’était Emilie qui était en train de gémir sous les assauts de Marc. A entendre la puissance des gémissements qui très vite se transformèrent en cris, elle imaginait bien avec quelle verve il était en train de la malmener. Cela dura dix bonnes minutes avant que le silence ne réapparut.

La porte du bureau du milieu se referma.

Manue essaya de replonger dans son dossier malgré tous les questionnements qu’elle avait dans sa tête. Il était difficile de se concentrer.

12h00.

Une voix les héla dans le hall d’accueil : « Bon les filles on va bouffer ? »
Manue et Emilie sortirent en même temps de leur bureau.
« Olala regardez-moi mes deux petites salopes. Putain vous méritez les gamines. Bon allez-vous habiller je vous invite au resto pour la première de Manue. »



14h00.

A peine avaient elles dépassés le seuil de la porte d’entrée qu’elles se dirigèrent toutes les deux dans la salle de pause pour quitter leurs habits.

Marc les attendait dans le hall.

« Alors vous n’êtes pas mieux comme çà. Regardez-moi ça, on a toutes les tailles avec vous. La plate, les petits seins, manque plus que votre copine aux gros nibars pour avoir tous les calibres. Et je peux vous dire que celle-là je l’aurai dans mon harem aussi. »

Son Harem ! Marc dominait maintenant deux sur trois. Une moyennant la gratuité d’un logement, la deuxième sous menace de perdre son emploi.

« Emilie, as-tu penseé à me rapporter ce que je t’avais demandé. »
« Oui, bien sûr. »
Emilie s’absenta le temps de quelques secondes pour aller chercher une petite boite dans son sac. »
« Tenez »
« Merci. Tu peux y aller. Toi Manue reste là. »

Il ouvrit la boite devant elle. Elle enfermait une sorte d’œuf bizarre avec à coté comme un boitier pour un portail.

« Ceci sera aussi ton outil de travail. Tu seras tenue de le porter tous les jours sans exception. »
« Qu’est-ce donc ? »
« Tu ne sais pas ce que c’est ? »
« Non. »
« Ecarte les jambes »

Debout au milieu du hall, la jeune fille écarta les jambes. Marc sorti l’œuf de sa boite et vint l’insérer dans le sexe de Manue. Il s’assura de l’enfoncer bien au fond.

« Tu vois ce petit boitier, c’est une télécommande. Maintenant je peux agir sur toi comme bon il me semble. » Il appuya sur le premier bouton et la jeune stagiaire sentie quelque chose vibrer dans son intérieur. Un petit cri de surprise se fit entendre. La sensation n’étant pas désagréable mais très étrange, elle ressentait tout de même un certain plaisir. L’homme ré appuya sur le bouton pour stopper la machine.

« Voilà tu peux retourner travailler. Mais sache qu’à tout moment je peux appuyer sur le bouton. Que tu sois seule ou non dans ton bureau. Tu le porteras tous les jours. »
« Mais, quand je serai indisposée je ne pourrai tout de même pas … »
« T’as qu’un trou ? Jean Pierre a bien su nous faire comprendre que te faire prendre par le cul ne te dérangeait pas, bien au contraire. Et bien tu te l’enfonceras. Allez va bosser.
Rendez-vous à 15h dans mon bureau pour faire un point sur ton état d’avancement sur la maison de vacances. »

Manue se hâta de retourner dans son bureau pour finaliser son dossier d’assurances pour une maison de vacances avec des biens immobiliers très importants.
Son téléphone sonna, à la sonnerie elle pouvait savoir s’il s’agissait d’un appel externe ou d’un appel interne. Celle-là résonnait comme étant son patron.

« C’est Marc, il est 15 heures, tu es prêtes à me présenter ton dossier ? »
« Oui, j’arrive de suite. »

Manue attrapa son dossier et se dépêcha d’aller au bureau Marc. Elle avait du mal à se déplacer avec cet objet inséré au fond elle. Mais elle savait qu’elle devrait si faire. Elle toqua et ouvrit la porte. S’approcha de lui tout en lui tendant le dossier.

« Qu’est-ce que c’est que çà ? » lui adressa t’il fermement
« Comment ça je ne comprends pas »
« Regardes tes seins ! Approche-toi ! »
Manue ne comprenait pas sa réaction et fît le tour de la table pour arriver à ses côtés comme demandé.
« Pourquoi tes tétons ne sont-ils pas durs ? Je n’accepterai pas ça. Je veux que quand tu te présentes à moi tout soit parfait. Chatte rasée, tétons dressés. Entendu !!!!! Fais-moi durcir ça ! » Il gifla les seins de la jeune fille comme pour ordonner aux tétons de se dresser dans la seconde. Il cramponna chaque extrémité du bout des doigts et tira violemment dessus.
« C’est quand même dingue que ce soit à moi de faire cela. »
« Vous me faites mal ! »
« Et tu crois que je vais te plaindre ? C’est de ma faute à moi peut être ? »
Les seins de la jeune fille étaient rouges, ses tétons lui faisaient mal. Une fois les avoir bien dressés, il les relâcha.

« Bon assis toi maintenant et explique-moi ton dossier. »

Le ton devenait plus professionnel, et après quelques instants pour reprendre ses esprits la jeune stagiaire développa sa méthodologie.

Marc, beaucoup plus courtois, lui donnait ses sentiments accompagnés de beaucoup de conseils, techniques, de management etc…
La réunion prenait une véritable tournure professionnelle. Manue se détendait dans son développement et appréciait la tournure qualitative de cette réunion.
L’échange dura une bonne heure. Où les remarques constructives de son maitre de stage amélioraient la qualité de son dossier.

Elle comprit au terme de cette journée, que ses petits sacrifices lui donneraient certainement pleine satisfaction d’un point de vue professionnel.
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par erwann1971
#1418174
Super comme toujours et très prenant.

J'attends la suite de son emploi du temps :D , et je suppose que je ne suis pas tout seul à être impatient.

Au plaisir de lire la suite, a très vite j'espère.
par manukib56
#1419347
Ses premiers pas dans la vie active

Cela faisait maintenant une semaine, que ma chère et tendre avait commencé dans l’agence de courtage en assurance de Marc. Après un début troublant, la fin de sa première semaine était plus studieuse ce qui la confortait dans son choix.

Elle savait qu’au prix de quelques sacrifices, cette expérience professionnelle ne serait que bénéfique pour elle. Pouvoir travailler dans une petite structure comme celle-là lui permis de toucher un peu à tout et d’avoir des responsabilités qu’elle n’aurait certainement pas eu dans une grande enseigne. Certes les règles de comportement que son Maitre de stage lui imposait pouvaient sembler inadmissibles mais pour elle c’était le prix à payer et il en était ainsi.

Après avoir passé un week-end détente en ma compagnie, ma belle était maintenant requinquée pour entamer une nouvelle semaine.

Mardi 10 septembre 8h00 :

Manue était arrivée une petite heure en avance pour finaliser un dossier. Elle avait son premier rendez-vous clientèle ce matin-là. Elle se devait de faire le maximum pour que cette rencontre se passe pour le mieux. En élève studieuse, elle était donc venue un peu plus tôt pour bien vérifier que rien de manquait.

Obéissante, elle avait revu sa garde-robe et s’habillait maintenant comme le demandait son patron, un savant mélange de classe et sobriété en ne délaissant pas l’aspect sexy de la chose.

9h00 :

Son rendez-vous était arrivé. Le Monsieur, retraité depuis maintenant quelques années, avait gardé le style classe du grand chef d’entreprise qu’il avait été.

« Monsieur Frossa, enchantée Emmanuelle Perle, si vous voulez bien nous allons nous installer dans mon bureau. Je vous en prie. »

Manue le fit passer devant lui. L’homme semblait agréablement surpris, il pouvait enfin mettre un visage sur la voix qu’il avait depuis quelques jours au téléphone. A en voir comment il posait son regard sur elle, montrait que la surprise devait être bonne.
Le vieillard s’assit sur une chaise en face du bureau de la jeune bureaucrate.

« Je peux vous servir un café, Monsieur Frossa ? »
« Oh non merci, c’est bien aimable à vous. Mais vous savez à mon âge on essaye d’arrêter ce genre d’existant »

Manue prit donc place dans son fauteuil. Elle commença alors la présentation de son montage financier pour les divers contrats d’assurances du Monsieur.

Son discours était clair. A chaque prix elle argumentait la raison et la conséquence. Le client était attentif à l’élocution de la jeune fille.

Quand soudain, Manue s’arrêta net dans son argumentation.

« Mademoiselle ? Mademoiselle ? Ça va ? Vous vous sentez bien ? »
« Oui, pardon désolée. J’ai eu un petit vertige ? »
« Vous voulez que j’appelle quelqu’un ? »
« Non ça va aller, rassurez-vous. Vous êtes gentil. Je reprends donc … »

Manue venait de ressentir une sensation bizarre pendant qu’elle était en train de parler à ce monsieur. Elle senti comme une bouffée de chaleur et comme si quelque chose vibrait dans son ventre. C’est alors qu’elle comprit ce qui était en train réellement de se passer. Pendant qu’elle était occupée à expliquer au Monsieur ces différentes solutions pour optimiser son contrat d’assurances. Elle n’avait remarqué que Marc était arrivé à l’agence, et de son bureau il était en train d’actionner le petit bouton de la télécommande qui commandait l’œuf qu’elle avait dans son sexe.

Son entre-jambe ne cessait de vibrer et au fil des minutes elle sentait son sexe s’humidifier sous l’emprise de cet œuf vibrant. Elle n’arrivait à tenir tranquille sur sa chaise, mais très professionnelle elle essayait tant bien que mal de ne pas montrer à son client dans quel état elle était.

C’était maintenant Mr Frossa qui avait pris la parole, pour rectifier quelques petits points sur son patrimoine. Manuel écoutait avec attention. Quand soudain le sextoy vibra à nouveau mais de manière plus forte. Il y avait donc la possibilité de régler l’intensité ? La jeune fille essaya de masquer son petit cri de surprise dans une toux sèche et brève. Elle sentait monter en elle du désir. Comment un si petit objet pouvait lui procurer autant de plaisir ? Etait-ce le fait qu’elle soit aussi dans un contexte particulier ?
Ce supplice était insoutenable, elle n’arrivait plus à contrôler son corps sous les assauts vibratoire de cet ovule.

« … voilà seulement ces quelques petits points à revoir, et tout sera parfait. En tout cas je vois que mon dossier est entre de bonnes mains. Je vous remercie encore Mademoiselle. Et vous laisse donc. Revoyons-nous d’ici deux semaines, le temps pour vous de finaliser ces quelques points. »

L’homme se leva pour prendre congé.

« Merci Mr Frossa de votre confiance. Et je vous dis donc à très bientôt. Au plaisir »

Le visage de la jeune fille était écarlate. Elle arrivait à peine à parler. Elle était au bord de l’orgasme.

L’homme sorti de son bureau, salua de la main Marc, qui se tenait à la porte de son bureau et quitta l’agence.

« Manue dans mon bureau ! Tout de suite »

Manue se hâta de rassembler son dossier et alla dans le bureau de son chef.

« Ferme la porte derrière toi ! Relève moi cette jupe et montre-moi ta chatte. »

Pudiquement elle releva sa jupe et écarta sa culotte pour montrer son sexe.

« Bien, voilà comment je l’aime parfaitement épilé. Qu’est-ce qu’en dis Frédéric ? Il ne préfère pas comme ça ? »
« Si » répondit-elle honteusement.
« Approche-toi ! »
Arrivée à son niveau, il lui fourra deux doigts dans son sexe, qui vinrent buter contre l’œuf.
« Mais t’es inondée ma salope ! Mon petit cadeau te plait ? Bon tu feras le fil de l’eau aujourd’hui. »

Dans le jargon des banques et assurances, faire le « fil de l’eau », c’est recevoir la clientèle qui se présente inopinément dans l’établissement. Tous ceux qui n’ont pas rendez-vous, ceux qui viennent juste prendre une info etc …

Après un bref débriefing de sa première réunion clientèle, la jeune fille retourna à son bureau. Comme d’un fait de par hasard, la journée fût chargée en visite. Bien souvent la rencontre avec le client ne durait que quelques minutes : changement d’adresse, demande de certificat etc …

Mais à chaque fois qu’une personne passait le pas de la porte du bureau de Manue, Marc actionnait sa petite télécommande pour faire vibrer l’œuf.

Cela dura toute la matinée. Manue en était exténuée. Les bouffées de chaleur que lui procurait cet instrument en devenait même une torture. Jamais son sexe n’avait été aussi sollicité dans le temps. Ses dessous en étaient trempés.

12h00.

Marc se présenta à son bureau.

« Tu manges dehors ce midi ? »
« Non, je pensais me faire réchauffer quelque chose au micro-onde. »
« Entendu, je ferme l’agence donc. »
« Vous mangez aussi ici ? »
« Oui je vais me prendre un sandwich. J’ai un rendez-vous clientèle à l’extérieur cet après-midi. Et j’ai deux trois trucs à finaliser avant. A tout de suite »

Marc claqua la porte de l’agence derrière lui. Elle était maintenant seule.
Pendant que son plat préparé chauffait dans le micron onde, la jeune fille se préparait un café.

Feuilletant le journal, elle déjeunait tranquillement dans le silence de l’agence. Elle était en train de terminer son repas quand Marc arriva à son tour dans la salle de pause.

« Non mais tu te fous de moi ou quoi ? Tu le fais exprès ? »
« Comment ça ? Je … »
« Je….. Arrête avec les je …. L’agence est fermée et ce jusqu’à 14h. Tu es donc dans un endroit clos. Qu’est-ce que tu fou encore habillée ! Va falloir que ça rentre ma petite fille ! Les règles sont les règles. Si tu as un souci avec l’autorité, y’a rien qui te retient. »
« Non ce n’est pas ça. Mais je pensais … »
« Je ne te demande pas de penser. Enlève-moi tout ça ! »
Il s’installa sur une chaise, son sandwich à la main. Il assistait au spectacle avec appétit.

Manue, se tenait devant la porte en face du porte manteau, et un à un venait y accrocher ses vêtements. Elle retira son soutien-gorge.

« Ah, ça me fait penser à copine. Putain ça c’est une vraie paire de loches qu’elle a. Rien que dis penser j’en arrive presque à bander dans mon fute. »

Déjà complexée par la poitrine, se voir ainsi comparée avec Audrey la rabaissait encore un peu plus. Elle laissa glisser maintenant sa culotte pour se retrouver ainsi totalement nue.

« Eh bien voilà. C’est quand même mieux comme ainsi. Et ce sexe épilé de jeune petite fille c’est quand même plus bandant. Allez vient t’assoir sur la table en face de moi. »

Manue, ne montrait aucune résistance et alla se percher sur la table en face de son patron.
Toujours attablé, il dégustait son repas le visage à la hauteur du sexe de la jeune fille.

« Ecarte un peu ses jambes ! »
Il délaissa le temps d’un instant son déjeuner pour venir avec sa langue titiller le clitoris de sa stagiaire.

Il était en train d’alterner cunnilingus et pause casse-croute. Elle ne savait pas comment réagir face à cette attitude. Mais la stimulation qu’elle avait eu toute la matinée ne mit pas longtemps à voir renaitre le plaisir.
Son sexe s’humidifiait toujours un peu plus, à chaque passage de langue. Elle bascula sa tête en arrière pour bien prendre cette fois ci le plaisir qui lui était donné. Elle pouvait enfin laisser sortir ses gémissements.
Marc y inséra deux doigts. Il arrivait à atteindre le petit jouet et le faisait rouler entre ses doigts tout en essayant de le pousser toujours un peu plus loin.

« Alors, comment tu trouves çà ? Ça n’avait pas l’air de te déplaire ? »
Manue ne put lui répondre que par un petit hochement de tête.
« Tu veux une bite maintenant ? »
Manue n’osait répondre à cette question même si elle en mourait d’envie. Marc rajouta un doigt dans la fente pour bien ouvrir le sexe.
« Hein ? Tu veux te faire baiser là comme çà sur la table ? Je veux t’entendre me le demander. Regarde comment ta chatte en demande. T’es une vraie fontaine ! Allez, je veux t’entendre me supplier d’accepter te foutre un coup de bite ! »
Manue abdiqua « Oui s’il vous plait, faites-moi l’amour ! »
« Quoi, faites-moi l’amour ??? Mais t’es juste bonne à baiser ma pauvre fille. Qu’est-ce que tu crois ? C’est la meilleure, faites-moi l’amour. On aura tout vu avec toi. » Marc retira ses doigts de la jeune fille, et sorti de la pièce laissant ainsi Manue avachie sur la table, les jambes écartées, le sexe luisant. Elle ressentait un sentiment de honte d’être ainsi exposée et d’avoir été humiliée de la sorte. Mais le sentiment de frustration était aussi bien présent en elle.

A peine le temps pour elle de se rhabiller, que 14h00 était déjà arrivé. Et la suite pouvait prendre son cours.

Le reste de la journée se passa comme une journée de travail habituelle, studieuse.

Je reçu un message de Manue dans l’après-midi.

« On se voit ce soir ? »
« Oui, je fini les cours à 18h. Chez toi ou chez Emilie »
« Non je viendrai. On sera plus tranquille »

18h00.

Ma belle frappa à ma porte, à peine eu je le temps de l’ouvrir, qu’elle me sauta dans mes bras. Elle me retira mon tee shirt dans un geste brusque. Pendant qu’elle était occupée à m’embrasser sauvagement, elle me poussait vers mon canapé. Me poussa pour me faire assoir. Elle s’accroupie entre mes jambes et déboutonna mon jean, pour le faire glisser à mes chevilles.

« Ben qu’est ce qui se passe ma chérie ? C’est bien la première fois que je te vois comme çà »
« Ta gueule ! »

Interloqué par ce langage dont je n’étais pas habitué dans la bouche de ma douce, elle me saisit mon sexe entre ses lèvres. Et avec une énergie rare l’aspira au fond de sa bouche. Dans un temps très court mon sexe se gorgea de sang et était maintenant hissé vers le haut.
Elle ne perdit pas plus de temps. Sans même prendre le temps de se déshabiller, elle ôta seulement sa culotte et vint directement s’empaler sur ma verge. Accroupie sur le canapé, elle glissait le long de mon organe avec une certaine fermeté. Elle enroula ses mains autour de mon cou et accentuait sa cadence. Ses coups de reins étaient rapides. Mes testicules étaient à chaque descente écrasés par son entrecuisse. C’était devenu pour moi incontrôlable et il ne fallut pas dix minutes pour que je me décharge en elle.

Sentant mon sperme couler en elle, elle se retira brusquement pour revenir à genou entre mes jambes. Elle avait envie de sperme et venait se servir directement à la source.
Enfonçant le plus profondément possible mon sexe dans sa bouche il ne fallut pas plus de quatre ou cinq passage pour le rentre totalement propre.

Après avoir chacun reprit nos esprits de cette chevauchée, Manue me raconta calmement sa journée. Ce qui me permit de mieux comprendre l’état dans lequel j’avais retrouvé ma petite amie.
par manukib56
#1423567
Une partie de Poker lourde de conséquences

Mathias m’appela un soir de semaine, cela faisait bien deux mois que je ne l’avais pas vu. Les vacances étant de mises nous n’avions aucun de nous trouver le temps de nous voir.

« Salut mec. Jean Pierre nous invite à une partie de poker chez lui. Ça te tente ? »
« J’en parle à Manue et je te dis. »
« Non c’est une soirée entre mecs. »

Etrange ! Surtout venant la part de Jean Pierre et Marc. Mais après tout …

« Ok. Par contre je ne joue pas des milles et des cents. Je n’ai pas de thunes moi. »

Nous calâmes chacun dans nos agendas la date du vendredi 13 septembre. Journée absolument de circonstance pour une soirée poker. Allait-il me porter chance ?

Arrivé chez Jean Pierre, l’ambiance était masculine. Ils avaient commandé des pizzas pour ne pas s’embêter avec la cuisine. Sur la table de salon, le tapis verre était au milieu, les cartes, les jetons, une bouteille de whisky. Toute la panoplie parfaite du joueur de poker.

« Alors Frédéric, qu’est ce tu deviens ça fait longtemps qu’on ne sait pas vu. »
« Oui, j’ai repris les cours là cette semaine. Mais bon c’est ma dernière année. Il est temps, je commence un peu à saturer. Et de voir que tout le monde travail à côté de moi me frustre un peu »
« Oui, c’est sûr. En tout cas ta petite copine s’intègre très bien dans la vie active. Elle comprend vite et travail bien. » Me répondit-il avec un air amusé.
« J’espère en tout cas que ça ne te dérange pas d’avoir embauché Manue ? »
« Non, tu sais c’est son avenir et je n’ai pas à dire à Manue ce qu’elle doit faire. On la connait tous, on sait qu’elle est réfléchie. » Qu’est-ce qu’il ne fallait pas dire. Bien sûr que si je bouillais de la savoir passer autant de temps avec lui. J’en arrivai à en devenir presque jaloux.

« Bon les gars, on se fait une cave de cinquante euros chacun çà vous va ? »

Dans le budget d’un étudiant comme cinquante euros, est loin d’être une somme négligeable mais je me laisse prendre au jeu et aligna moi aussi la somme sur le tapis.

La partie pouvait commencer. Tous les quatre assis autour de la table nous nous enfermions chacun dans notre bulle pour ne laisser paraitre aucune émotion qui pourrait nous desservir.

Au fil de la soirée, les verres de whisky s’enchainèrent et la partie de poker jouait avec les nerfs de chacun.

Une fois n’est pas coutume, cette soirée était pour moi bénéfique et la chance avait décidé d’être de mon côté. Mathias quant à lui était dans une passe bien moins confortable. Il enchainait les verres de whisky pour essayer de noyer sa difficulté à refaire surface dans le jeu. Sa cave était quasi vide.

La partie s’éternisa un bon moment. Nous étions maintenant tous les quatre totalement saoul et les prises de risque de notre jeu se faisaient moins calculées.

Pour redonner un peu de vigueur à la partie Marc proposa quelque chose.

« Bon, les gars pour clôturer la partie pourquoi ne jouerions nous pas toutes nos mises. Celui qui gagne ce service empoche tout. »

« Ben moi je veux bien mais j’ai plus rien vous m’avez plumé les gars » Il ne restait à Mathias que deux jetons, de la valeur de deux euros.

« Et ben faisons un deal. Joue ta copine. »
« Comment ça ? »
« Nous on joue de l’argent parce qu’on en a, toi tu joues ta copine. Celui qui remporte la partie gagne le droit de disposer de ta copine toute une journée. Sans limite imposée. »
« T’es fou qu’est-ce qu’elle va dire ? » L’alcool ne l’aidant pas dans sa réflexion et surtout à prendre la bonne décision, Mathias accepta le deal sans prendre réellement conscience des conséquences que cela pourraient avoir.
« Oh et puis Ok ça marche. Ce n’est pas la première fois qu’elle te sera soumise. A la belote dans le bateau. »

La partie pouvait reprendre. Jean Pierre et Marc avaient une toute manière différente de jouer. Ils étaient pour le coup un peu plus pro que les manches précédentes.

Ayant gagné la dernière main, c’est à moi de distribuer les cartes. Chacun se retranche derrière ces cartes et pense à quelle technique adopter pour tromper l’ennemi.

Je sens Mathias dans une mauvaise passe, il est nerveux. Son jeu ne doit pas être très bon.

Le moment de poser nos cartes sur le tapis est arrivé, le verdict allait tomber.

Je pose le premier une paire d’As, Jean Pierre n’avait rien non plus, Mathias sort une petite paire de dix. C’est donc moi pour l’instant le gagnant. Je sens mon ami d’enfance se détendre. C’est moi qui gagnais, il avait évité le pire pour Audrey. Mais un rictus sur le coin des lèvres de Marc annonçait une bien mauvaise nouvelle.

Marc abattit ses cartes et la sentence était tombée : il venait de jouer un brelan. Il passait donc au-dessus de nous tous et raflait la mise.

« Et voilà, c’est ce que j’appelle finir en beauté ! En plus de finir un peu plus riche qu’avant je me vois aussi offrir une bien belle compagnie. » Marc se leva de sa chaise et s’absenta.

Nous allions tous les trois nous retrancher dans le salon pour terminer quelques verres de Whisky pour clore cette soirée.

Marc, appela Mathias et lui demanda de le rejoindre dans son bureau. Les hommes s’isolèrent un long moment et quand la porte s’ouvrit Mathias avait perdu de sa gaité.

Qu’avait-il donc été convenu entre les deux ?
par manukib56
#1426096
Une bien mauvaise retrouvaille

Mardi 17 septembre 2013.

Alors que Manue entamait sa troisième semaine dans la vie active, elle commençait à se faire à sa nouvelle vie. Habillée très féminine, elle aimait jouer de ses charmes et appréciait les retournements de têtes qu’elle provoquait dans les rues de Vannes.

Mais ce jour allait résonner tout différemment pour elle.

9h00.

Elle arriva à l’agence, Marc y était déjà. Ils commençaient tous les deux à avoir leurs petits rituels matinaux.

Aussitôt que Manue arrivait à l’agence, elle allait préparer le café. Une fois celui-ci fait, elle allait dans le Bureau de Marc pour le partager pendant que son chef lui faisait le point de la journée.

Cette petite réunion de service était très importante pour Manue, c’était l’occasion pour elle de faire le point sur ses dossiers et demander conseil.

Marc était très à l’écoute de sa petite stagiaire et veillait à ce que sa formation soit la plus bénéfique.

La journée commença timidement, l’affluence des clients se faisait de manière très ponctuelle.

12h00.

L’heure du déjeuner arriva sans même qu’elle est eu le temps de s’en rendre compte. Prise dans son travail les heures défilaient.

Comme à son habitude, Marc se pointa à l’entrée du bureau de ma chère et tendre.

« Tu manges au bureau ? »
« Déjà midi ? Oui, je vais chercher un sandwich. »
« Je passe au traiteur chinois, je te prends un truc si tu veux et on mange ensemble. »
« Oui, ce sera parfait. »
« Ok, à tout de suite »

A peine, la porte de l’agence fermée, Manue alla, comme à l’accoutumé, dans la salle de pause pour se dévêtir. Les règles que lui imposait son patron étaient maintenant très claires et elle avait compris que cela ne servait à rien d’essayer d’y échapper.

Elle retourna tout de même à son bureau pour traiter encore un ou deux mails avant que Marc ne revienne avec le repas.

Quinze bonnes minutes plus tard, elle entendit la clé dans la serrure.
« Ahh, c’est quand même beaucoup plus agréable de rester manger au bureau depuis que tu es là. Tu es prête à passer à table ? »
« Oui j’envoie mon dernier mail et j’arrive »
« Si les clients savaient dans quelle tenue leur mail leur était adressé ! »

Les deux assureurs passèrent à table, à l’aide de leurs baguettes, ils venaient chacun à leur tour piocher dans les différents plats cuisinés.

« Alors dis-moi, on n’a pas eu l’occasion de parler de ton petit œuf, comment tu trouves mon cadeau ? »
« Troublant ! La dernière fois que vous l’avez utilisé j’ai cru que j’allais m’évanouir devant le client. Ça m’a surprise !!! »
Marc glissa discrètement sa main dans sa poche et actionna un des boutons de la télécommande.
« Comme çà ? »
« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh » Manue lâcha ses baguettes tellement surprise par ce qui était en train de se passer au plus profond d’elle.
« Arrêtez, je vous en prie. C’est trop fort ! »
« Trop fort ? Mais ma pauvre nous ne sommes qu’à trois sur sept. » Marc se leva et débarrassa la table.
« Allez, allonge toi dessus ! »
Manue arriva tant bien que mal à se hisser sur la table et s’allongea sur le dos comme lui demandait son maitre de stage.
Marc saisissa les barquettes de nourriture et les renversa sur le corps de la jeune fille.
Le ventre de Manue était maintenant recouvert de petit calamar huileux, du riz collant et autres spécialités chinoises.
Marc se rassit sur sa chaise et venait maintenant directement se servir sur le corps de sa stagiaire.
L’œuf était toujours actionné, ce qui faisait qu’elle avait du mal à tenir en place et la nourriture glissait toujours un peu plus sur sa peau.
« Va falloir apprendre à te maitriser, entendu ? Je voudrai manger tranquillement. »
Elle essayait le mieux qu’elle pouvait de contenir ses spammes et assurer une bonne stabilité au repas de son chef.

« Eh bien voilà des petits tétons bien dressés ! » Marc les pinça à l’aide de ses baguettes.
Après s’être amusé avec, il descendit au niveau du sexe de la jeune fille et serra le clitoris entre ses deux morceaux de bois.
« C’est bien la première fois que tu es en train de te faire astiquer le clito avec des baguettes chinoises ! »
La sensation de pincement sur cette petite protubérance était pour le moins désagréable. Manue gémissait doucement en espérant qu’il ne s’y attarderait pas de trop. Mais ses petits cris avec l’effet inverse sur lui.

« Voyons voir quel goût tu as. Es-tu bien assaisonnée ? » Marc attrapa à l’aide de ses baguettes une petite rondelle de carotte sur le ventre de la jeune fille. Et sans se soucier d’elle, les lui inséra dans son sexe. Après quelques allers et venues entre les lèvres inférieurs il les retira et porta la nourriture à sa bouche.
« Mmmmhhhh. Ta mouille a toujours aussi bon goût ! »
Manue se sentait sale, jamais auparavant elle ne s’était introduite de nourriture dans le sexe.
Se voir ainsi recouverte de toute cette nourriture et servir de plat à Marc lui semblait totalement inconcevable.
Marc se resservit une rondelle de carotte et opéra de la mienne manière, à un détail près que cette préparation était à l’intention de Manue.
Elle ouvra la bouche difficilement, mais abdiqua. Elle croqua dans le légume et reconnu le goût de cyprine.

Marc déboutonna son pantalon et sorti son sexe tendu, collé à la table il le dressa au-dessus du ventre de la belle et se masturba de manière énergique. Il ne lui fallut pas plus d’une ou deux minutes pour jouir abondamment sur le ventre et les seins de sa stagiaire. Il termina son éjaculation en donnant de petites gifles avec son sexe aux seins de Manue.

Il remonta son pantalon et sorti de la pièce pour se remettre au travail. Manue se redressa et attrapa un paquet de serviette pour s’essuyer. Dans son sac elle attrapa des lingettes nettoyantes et se fît un brin de toilette avant de retourner travailler.

14h00.

Après cette pause déjeunée bien particulière, le climat de travail reprit dans les murs de l’agence.

Manue recevait aujourd’hui les clients au fil de l’eau, Marc ne cessait de s’amuser avec la télécommande aussitôt qu’une personne passait le seuil de sa porte. Elle commençait maintenant à se contenir et faire en sorte que cela ne se voit moins.

L’après-midi suivit son cour jusqu’au moment où !

« Tiens tiens tiens comme on se retrouve. Je n’aurai jamais pensé te croiser ici. »
C’était l’ancien propriétaire de Manue qui se présentait à l’agence.
« Je vois que tu as bien changé dis donc. Une vraie petite femme maintenant. »
« Euhhh qu’est-ce que vous faites ici ? »
« Ben j’étais venu pour me renseigner pour un devis pour éventuellement changer d’assurance. Mais maintenant que je sais à qui j’ai à faire. Ah j’ai des bons souvenirs de ton petit cul. Tu es toujours avec ton petit ami ? »
« Ecoutez, je crois que ça ne va pas le faire. Je suis désolée. C’est du passé maintenant. » Manue se leva de son bureau pour accompagner son ancien propriétaire.
« Non mais attends ma petite. Maintenant que je t’ai retrouvé tu ne vas pas te débarrasser de moi comme çà. Pas avant de m’avoir fait une petite gâterie. Allez quoi comme dans le bon vieux temps. »
« Mais vous êtes fou ! »
Entendant la voix de Manue monter, Marc décida de sortir de son bureau pour voir ce qui se passait.

« Bonjour Monsieur, je peux vous renseigner peut être ? »
« Non çà ira la très charmante demoiselle va s’occuper de moi. »
Marc voyait sur le visage de sa jeune salariée une situation de mal être.
« Je suis le responsable de l’agence, si une personne doit être la plus compétente pour vous répondre, c’est bien moi. »
« Oh vous inquiétez pas votre salariée à tout à fait les compétences pour ce dont j’ai besoin. Je la connais bien vous savez »
« La vie privée de mes employés ne m’intéresse guère, Monsieur. Donc soit vous acceptez que nous rencontrions soit je vous demanderai de bien vouloir sortir. »
L’homme prit de rage quitta l’agence en menaçant Manue qu’ils allaient se revoir très vite.

Manue en avait encore les jambes qui tremblaient.

« Bon je dois me rendre à une réunion, ça va aller ? On en parle demain. »
« Oui merci. »

Manue resta tout le reste de l’après-midi seule à l’agence, la boule au ventre de revoir cet homme faire irruption dans son bureau.

Elle était bien contente de voir sa journée se terminer.

Mercredi 18 septembre 2013.

Manue arriva à l’agence tandis que son patron n’y était toujours pas arrivé. Elle alla se déshabiller et se mit au travail sans plus tarder.

Marc arriva heure plus tard, salua rapidement la jeune fille et alla à son bureau.
Manue se leva de sa chaise pour aller préparer le café pour le servir à son patron.

Arrivée dans le bureau de Marc, elle prit place sur le canapé en l’attendant.

« Bon alors c’était qui ce mec ? »
« Vous vous souvenez de l’histoire que Frédéric vous avait raconté avec mon ancien propriétaire ? »
« C’était lui ? »
Manue hocha honteusement la tête.
« Tu t’es laissée baiser par ce type ? » Manue ne répondit pas.
« Bon et qu’est-ce qu’il voulait ? »
« En fait il venait pour son contrat d’assurance, mais quand il m’a reconnu son attitude a tout de suite changée. »
« Ah oui, c’est lui qui t’as dépucelé du cul ! »
« Oui, en tout cas merci d’être intervenu. Je ne sais comment j’aurai pu m’en défaire. »
« Il faut savoir une chose. Ici tu es ma propriété et je ne suis pas partageur. Il n’a qu’à aller se trouver une pute ailleurs, toi tu es ma salope. »

La porte de l’agence s’ouvrit et deux personnes entrèrent. Manue tourna la tête pour voir qui arrivait et vie Emilie se rendre dans la salle de pause. Pour de dévêtir surement.

« Salut Marc ! »
« Ah Jean Pierre. Vient donc. »
« Oh bonjour Manue. Qu’elle bonne surprise de te voir. Je vois que tu es soumise aux règles de bonne conduite. »
« Bonjour Jean Pierre »
« Tu m’avais caché çà Marc. Je viendrai donc te rendre visite plus souvent maintenant. »

« Bonjour tout le monde ! »
« Tiens, bonjour Emilie ! Assis toi. C’est bien la première fois que nous sommes aussi nombreux un mercredi à l’agence. Oh Jean Pierre mais tu ne sais donc pas ce que j’ai offert à Manue ? »
« Euh non ? De quoi s’agit-il ? »Marc lui tendit la petite télécommande.
« Tiens vas-y essaye. Je te laisse découvrir la surprise. »
Sans prendre garde, et sans savoir qu’elle effet cela allait avoir Jean Pierre appuya longuement sur le bouton ce qui provoqua la mise en marche de l’œuf mais à grande vitesse.

Manue ne put se retenir et s’avachie sur Emilie tellement l’effet était fort. Elle n’arrivait pas à tenir en place. Ce n’était plus son ventre qui vibrait mais tout son corps. Ses cris emplissaient la pièce.

« Arrêtez, c’est trop fort. Je vous en supplie !!! »

Emilie essayait de rassurer par des caresses sa copine tandis que Jean Pierre semblait amusé de voir Manue dans cet état et n’avait aucunement l’envie d’y mettre fin.

Marc ordonna à Emilie de venir. Son sexe était sorti et il le lui tendait pour se faire prendre en bouche. La petite rousse obéissante à son éducateur le prit instantanément au plus profond de sa gorge. Elle ne le ménageait pas et allait le plus vite possible. Le sexe venait taper le fond de sa gorge et elle essayait toujours d’y gagner quelques centimètres.

Manue à coté était en sueur, elle ne contrôlait plus du tout son corps et était au bord de l’évanouissement. Jean Pierre était comme un enfant devant son jouet télécommandé.

Ses yeux étaient fermés comme pour oublier où elle était et ce qu’elle était en train de vivre. Quand elle sentit l’œuf enfin se calmer, elle ouvrit timidement les yeux pour reprendre contact avec son entourage. Emilie était toujours occupée à prendre en bouche Marc, qui lui agrippait les cheveux avec fermeté et l’obligeait à toujours s’enfoncer toujours un peu plus. Malgré les sursauts qu’elle pouvait avoir.
Manue tourna légèrement la tête en direction de Jean Pierre, qui était occupé à ouvrir son pantalon. Son sexe débordait déjà de son caleçon et annonçait une grosse érection.

« JP, tu lui prends la bouche si tu veux mais tu ne la baises pas. Ok ? »
« Pourquoi donc ? »
« Parce qu’elle en meurt d’envie tiens. Et ça lui apprendra à savoir attendre »
Et c’était vrai, stimulée ainsi Manue n’attendait qu’une chose qu’un homme vienne l’honorer. Son sexe avait été trop sollicité et sa jouissance coulait entre ses cuisses. Il fallait lui éteindre le feu qui était en elle. Mais Jean Pierre semblait vouloir suivre les directives de son ami. D’un regard désolé et surtout frustré, il malaxa tout de même le petit 85b de sa petite préférée et ne s’offrit même pas les services buccaux de la jeune étudiante. Comme Marc tout à l’heure, il se masturba aux cotés de la belle.
« Reste pas comme ça la bite à la main, vient avec moi. On va se faire la petite. »
Marc fit mettre Emilie à quatre pattes à même le sol, il passa derrière elle et la pénétra. Jean Pierre délaissa Manue pour aller se faire prendre en bouche par la jeune rousse.

Après quelques minutes, les deux hommes inversèrent les rôles. Emilie gémissait de plaisir. Manue les regardait frustrée de ne pouvoir assouvir son plaisir qui était si immense.

Les ébats entre ces trois personnes durèrent un long moment. Chacun alternait à des rythmes différents leur allers et venues entre les cuisses de la très jeune fille. C’est Jean Pierre qui marqua la fin des hostilités en demandant à Emilie de se mettre à genoux. A peine c’était d’elle redressée en face de lui qu’une grosse giclée vint s’abattre sur sa toute poitrine. Il étalait le sperme avec son sexe. Il voulait l’enduire le plus qu’il pouvait. Marc arriva à la suite en préférant la bouche dans un premier temps et s’essuya par la même caresse sur ses seins.

Manue qui avait assisté à toute la scène s’était même surprise à se caresser timidement devant.

« Viens donc nettoyer ta petite copine. Regarde comment elle est toute collante. »

Emilie resta dans sa position en attendant que Manue vienne à son niveau pour venir lécher les semences mélangées des deux hommes. Elle se sentait humiliée, juste bonne à boire les jouissances des hommes sur le corps de sa colocataire du moment.

Jean Pierre et Marc assistaient à la scène avec amusement.

« Bon allez déguerpissez maintenant ! Vous n’avez pas du travail à faire ? »

Les deux filles se relevèrent et quittèrent le bureau.

18h00.

Manue s’apprêtait à quitter le travail. Après un bref passage dans le bureau son patron pour souhaiter une bonne soirée aux deux hommes. (Jean Pierre avait passé toute l’après-midi avec Marc à discuter d’affaires, même s’il était à la retraite il faisait toujours des petits montages financiers avec son ami pour améliorer son cadre de vie). Elle sortit de l’agence. Elle se dirigea vers le port quand soudain elle fût alpaguée par un homme. Cet homme n’était autre que son ancien propriétaire.

« Ben alors, comme çà on joue la grosse timide devant son patron ? Tu ne lui as pas dit que tu faisais moins de manière la fois où j’étais dans ton petit cul. »
« Si vous plais, laissez-moi tranquille. C’est de l’histoire ancienne. »
« Tu vas pas me dire que tu serais contre le fait de remettre ça. »
« Ecoutez, vous vous faites une fausse image de moi. C’était un moment d’égarement avec vous. Je vous en prie »
L’homme la saisit par le bras tentant de la retenir.
« T’en vas pas comme çà. Maintenant que je t’ai retrouvé je ne vais pas te lâcher comme çà.
« Et pourtant vous auriez tout intérêt !!! »
Mais qui était cette voix ? Manue se retourna et vit Jean Pierre et Marc. Les deux hommes avaient décidé de finir leur discussion en terrasse d’un bar du port. Et par chance leur route croisait celle de mon amie.
Le propriétaire relâcha le bras de la jeune fille.
« Mais dis donc on se connait. Vous allez arrêter d’importuner ma salariée ? Ecoutez bien, je crois que vous vous trompez de cible. Et surtout vous êtes très mal tombé. Si je peux vous donner un conseil, ne vous aviser plus jamais à reproduire ce genre de gestes. »
« C’est pas à vous de me dire ce que j’ai à faire. Vous me l’avez bien dis d’ailleurs que vous ne vous occupiez pas de la vie privée de vos salariés. Alors passez votre chemin. »
Marc prit Manue par la main pour la ramener vers lui. Elle alla se caler entre les deux hommes, soulagée.
« Vous ne savez pas à qui vous avez à faire ! Méfiez-vous ! » Marc se retourna et raccompagna Manue à l’appartement d’Emilie.

« Bon ne t’inquiète plus de lui, j’en fais mon affaire. A demain. »

A peine avait-elle passé le pas de la porte, qu’elle m’appela pour me raconter l’histoire. Sans perdre plus de temps je me rendis à l’appartement pour lui apporter mon soutien.

19h00.

Je suis devant la porte de l’appartement, je frappe à la porte et c’est Emilie qui m’ouvre. Elle n’était habillée que d’une serviette de bain, les cheveux mouillés.

« Tiens, Fred ! Rentre. Manue est dans sa douche. Elle en avait bien besoin pour se détendre. Un truc de dingue quand même ! «
Emilie m’invita à prendre place dans le canapé, le temps que ma douce finisse sa douche.

Elle alla dans la kitchenette pour me servir un verre pour patienter, je ne cessais de la dévisager tout en espérant pouvoir voir toujours un peu de plus à chacun de ses pas.

Elle vint s’installer à côté de moi sur le canapé. Ses cheveux roux gouttaient sur ses épaules nus. Sa serviette bleu cachait légèrement ses petits seins et tombait sur ses hanches fines. Cela devenait très difficile pour moi d’être totalement insensible.

Emilie me raconta en détail, les péripéties de ma petite copine. J’entendis l’eau se couper dans la douche, elle n’allait donc pas tarder à sortir de la salle de bain.

La porte s’ouvrit. Emilie l’interpella : « Manue ! Fred est arrivé »
Elle traversa le petit couloir et arriva totalement nue dans le salon. Sans aucune pudeur, elle vint à ma rencontre pour m’embrasser.

« Tu as fait vite dis donc. Ne fallait pas te presser autant. Je vais bien tu sais. »
« Oui enfin heureusement que Marc et Jean Pierre étaient là » souligna Emilie.
« Oui c’est vrai, je leur dois beaucoup. »

Emilie se relava pour aller chercher un verre à Manue. Elle s’assit à côté de moi sans prendre le soin de s’habiller de quelque chose.

« Tu ne mets rien sur toi ? Tu vas avoir froid. »
Elle me répondit en souriant « oh non t’inquiète. C’est notre tenue ici ! »

Quand Emilie refît surface dans la pièce elle avait à son tour optée pour le simple habit.

J’étais maintenant accompagné de deux jeunes filles totalement nues. L’une d’elle était ma copine légitime. Il m’en fallait pas plus pour commencer à ressentir une certaine excitation.

Emilie changea vite de sujet pour ne pas continuer à ressacer les idées noires. Manue se détendit un peu plus. Je posai délicatement ma main sur sa cuisse pour lui montrer ma présence. Aussitôt ma main en contact de sa peau, elle écarta machinalement très légèrement les jambes. Pendant nos discussions à trois, ma main se baladait entre ses deux jambes et remontait timidement vers ses cuisses. Mais soudain c’était à mon tour de sentir une main baladeuse. Je regarde donc Manue et voyait bien ses mains en évidences. C’était Emilie qui adoptait la même technique d’approche à mon encontre. Quand ma petite amie vit sur mon visage cette gêne s’installer, elle m’embrassa aussitôt pour me détendre et me donner son accord pour ce qui allait se passer.

Je l’embrassais donc langoureusement, nos deux bouches étaient liées et nos langues s’entremêlaient. Ma main arpentait maintenant plus fermement son entre cuisse, et d’un doigt venait doucement à la recherche de son sexe.

La jeune rousse était plus directe dans ses gestes. Elle était déjà en train d’ouvrir mon pantalon. Sa main glissa sur mon ventre et se fraya un passage entre mon corps et mon caleçon pour venir saisir mon sexe déjà dur. Elle se pencha pour arriver à sa hauteur et le saisir en bouche. Ses lèvres glissaient lentement le long de mon organe, elle prenait soin d’y apposer au maximum sa langue et s’arrêtait de temps à autres sur mon gland pour lui administrer une caresse plus longue.

Manue et moi étions toujours enlacés en train de nous embrasser, ma main avait maintenant quitté son sexe pour se déporter sur ses magnifiques seins. Ils étaient fermes et les tétons parfaitement dressés. Je fis une petite entorse à notre baiser pour venir les embrasser à leur tour. Ma langue tournait autour de ces petites protubérances, tendrement je les mordillais. Cela provoquait des petits gémissements de plaisir à ma copine, qui caressait mes cheveux au rythme de mes caresses buccales.

Emilie se redressa pour nous inviter à nous déplacer vers sa chambre, où nous serions bien plus à l’aise. Tous les trois nous nous dirigions vers la pièce. Les filles s’entre lassaient et s’allongèrent toutes les deux sur le lit. Pendant qu’elles étaient occupées à s’embrasser, je profitai de l’occasion pour à mon tour de dévêtir.

Une fois totalement nu, Manue prit ma main pour m’inviter à prendre place entre elles. Après un baiser à ma belle et à sa colocataire, je m’allongeai sur lit. Chacune d’elle prenait chacun à leur tour mon sexe en bouche, s’offrant de temps en temps des baisers.

Je n’avais jamais senti autant d’excitation, je crois bien que c’est la première où je m’étais retrouvé ainsi seul livré à deux magnifiques jeunes filles.
J’avais très envie de Manue, sentant mon désir pour elle. Elle s’allongea à son tour à mes côtés et dans la position la plus simple qu’il puisse existé je vins m’allonger sur elle. Et ventre contre ventre, j’insérai le plus délicatement possible mon sexe entre ses cuisses. Elle entoura ses bras autour de mes hanches en posant ses mains sur mes fesses. En me les saisissant ainsi fermement elle voulait me faire comprendre qu’elle voulait me sentir au plus profond d’elle. Pour répondre à sa requête je lui redressai ses jambes pour gagner quelques centimètres. Je sentais la main d’Emilie qui me caressait le dos le plus doucement. Ce moment était intense en émotion. Je sentais à mes chaque mouvement de reins le plaisir que j’étais en train de procurer à ma petite amie motivé par les caresses de son amie.
Mon rythme était lent et doux, je lui laissais bien le temps d’apprécier chaque millimètre de progression de mon sexe dans le sien. Son sexe était humide de plaisir et permettait ce glissement doux.

Après de longues minutes de passées sur elle, elle me demanda de m’allonge à mon tour sur le dos. Obéissant, je pris place sur le lit, le sexe tendu vers le ciel. Elle s’agenouilla à côté de moi pour m’embrasser à nouveau. Dans un échange de regards, elle invita son amie à prendre place. Emilie me chevaucha donc, à l’aide de sa main dirigea mon organe entre ses petites lèvres et dans la plus grande sensualité s’assit lentement dessus. La pénétration se fît le plus doucement possible, une fois bien en elle. Elle resta collée à moi et balançait son bassin d’avant en arrière. Ses deux mains reposaient sur ma poitrine. Manue l’embrassait pendant ce temps-là tout en la caressant.
A un moment nos mains se sont réunies sur les petits seins de la jeune rousse. Quatre mains se baladant sur sa toute petite poitrine provoquèrent en elle un sursaut d’excitation. Elle se sentait partir, ses gémissements se faisaient plus marqués. Son bassin accentua légèrement la cadence. Elle se redressa, bascula sa tête en arrière les yeux fermés, sa main droite vint doucement caresser son clitoris pour accentuer encore plus son plaisir. Je sentais entre nos deux corps sa jouissance couler. Elle lâcha un cri qui prouva qu’elle venait d’atteindre l’orgasme.

Elle ralentit sa cadence pour reprendre petit à petit ses esprits, les yeux ré ouverts elle se dégagea de mon sexe pour donner place à ma chère et tendre. Qui comme sa copine vint se glisser sur moi. Emilie prit place au-dessus de mon visage, en face de Manue, me présentant son sexe totalement humide de désir. Je glissais donc ma langue dans la moiteur de son sexe, et buvais sa cyprine. C’était autour de Manue de ressentir l’orgasme arriver. Elle se pencha vers Emilie pour l’embrasser langoureusement et ainsi camoufler son cri de désir. Emilie se dégagea de mon visage pour me laissait respirer et pouvoir m’exprimer librement à la venue de ma jouissance. Dans un râle long, je me déversais au plus profond de ma petite amie. J’inondais de mon foutre tout l’intérieur de mon sexe. Depuis qu’elle travaillait chez Marc nous nous voyons moins souvent et nos rapports étaient beaucoup plus espacés. Et la quantité de sperme que je déversais en elle le prouvait bien.

Tous les trois exténués par notre belle et tendre chevauchée nous nous lovions de longues minutes sur le lit avant de reprendre le cours de la vie normale. Nous étions tous les trois aux anges devant la tournure qu’avait pris cette soirée et les inquiétudes de Manue étaient, le temps de ce moment intime, gommées.
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