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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#1428663
Je me suis souvent interrogé sur les raisons qui m'ont emmené à en arriver à un point si radical avec ma femme (j'ai posté quelques témoignages sur le site). Et il faut reconnaître que dans mon cas, simplement, une constatation s'impose : je me suis marié avec une salope.
Point de déni de ma part dans l'emploi du mot, mais plutôt un jugement fasciné : par salope, j'entends une femme qui aime les choses du sexe sans restriction ni tabou, qui les assume ouvertement et qui, à la longue, se satisfait difficilement de n'avoir qu'un seul partenaire sexuel dans sa vie amoureuse (quitte à faire souffrir son ou ses partenaires).
Or, je sais combien les hommes, pour en être un moi-même, sont "aimantés" par les salopes et qu'à vivre avec une telle femme, il n'y a pas 50 perspectives possibles. Car si une femme est une salope avec son mari, il y a de fortes chances qu'elle le soit avec un autre. Dans ce cas, 2 solutions : soit elle finit par plaquer son mari pour un autre homme, c'est la version conventionnelle. Soit le mari finit par accepter qu'elle ai des relations extra-conjugales. Le degré de souffrance et de plaisir qu'occasionne cette acceptation dessine alors les contours de la nouvelle relation : le candaulisme ou le culckolding. Le partage complice dans un cas, la soumission quasi aveugle dans l'autre.

En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes passés du candaulisme au cuckolding.
Son emprise a été croissante. Son pouvoir érotique lui a attiré naturellement (l'instinct de brousse ?) les mâles les plus virils, les plus séduisants, les "mieux baisant". Aussi me suis-je retrouvé relégué, tout aussi naturellement, dans un arrière-plan assumé de moins bien baisant. Avec les conséquences que l'on sait : moins de relation sexuelle avec elle (je parle ici de pénétration, car nous avons d'autres pratiques sexuelles ensemble), puis plus du tout, port progressif d'une cage, éjaculations limitées, prise en charge du quotidien, extension du domaine de son vice sur mon espace personnel, divulgation décomplexée de mes piètres performances sexuelles à certains membres de notre entourage, etc.
Il me faut convenir que ma fascination pour elle est allée croissante, elle aussi. Et qu'à poursuivre son seul plaisir, j'ai accepté de payer le prix du manque, du désir rarement soulagé et l'humiliation de n'être parfois qu'une ombre, son ombre.
#1429372
La conséquence la plus directe, c'est sans doute qu'elle se fait régulièrement baiser... ,par d'autres que toi (en tout cas c'est ce que laisse supposer ton post). Ca ne me, parait pas plus scandaleux que ça (elle ouvre les cuisse et des bites viennent s'y fourrer), ta femme pourrait aussi être "P" mais elle a choisi la gratuité, c'est plus excitant et plus "noble" aussi. Tu dois avoir bien du plaisir à la voir se faire baiser, ou à la récupérer pleine de foutre en fin de soirée...
#1430620
Je ne connais pas tous ses amants, elle en a plusieurs. C'est sa vie, son démon : pour tout dire, elle passe la majeure partie de son temps dans le lit des mecs (certaines semaines, ça peut être tous les jours). Mais ce n'est pas pour autant qu'elle couche avec n'importe qui, elle est très exigeante.
Avec le temps, nous nous révélons à nous-même : moi à ma vie de cocu, elle de salope libérée. Mais il est évident que ce n'est plus la femme que j'ai connu lorsque nous nous sommes rencontrés et mariés.
#1430855
novilis a écrit :Je me suis souvent interrogé sur les raisons qui m'ont emmené à en arriver à un point si radical avec ma femme (j'ai posté quelques témoignages sur le site). Et il faut reconnaître que dans mon cas, simplement, une constatation s'impose : je me suis marié avec une salope.
Point de déni de ma part dans l'emploi du mot, mais plutôt un jugement fasciné : par salope, j'entends une femme qui aime les choses du sexe sans restriction ni tabou, qui les assume ouvertement et qui, à la longue, se satisfait difficilement de n'avoir qu'un seul partenaire sexuel dans sa vie amoureuse (quitte à faire souffrir son ou ses partenaires).
Or, je sais combien les hommes, pour en être un moi-même, sont "aimantés" par les salopes et qu'à vivre avec une telle femme, il n'y a pas 50 perspectives possibles. Car si une femme est une salope avec son mari, il y a de fortes chances qu'elle le soit avec un autre. Dans ce cas, 2 solutions : soit elle finit par plaquer son mari pour un autre homme, c'est la version conventionnelle. Soit le mari finit par accepter qu'elle ai des relations extra-conjugales. Le degré de souffrance et de plaisir qu'occasionne cette acceptation dessine alors les contours de la nouvelle relation : le candaulisme ou le culckolding. Le partage complice dans un cas, la soumission quasi aveugle dans l'autre.

En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes passés du candaulisme au cuckolding.
Son emprise a été croissante. Son pouvoir érotique lui a attiré naturellement (l'instinct de brousse ?) les mâles les plus virils, les plus séduisants, les "mieux baisant". Aussi me suis-je retrouvé relégué, tout aussi naturellement, dans un arrière-plan assumé de moins bien baisant. Avec les conséquences que l'on sait : moins de relation sexuelle avec elle (je parle ici de pénétration, car nous avons d'autres pratiques sexuelles ensemble), puis plus du tout, port progressif d'une cage, éjaculations limitées, prise en charge du quotidien, extension du domaine de son vice sur mon espace personnel, divulgation décomplexée de mes piètres performances sexuelles à certains membres de notre entourage, etc.
Il me faut convenir que ma fascination pour elle est allée croissante, elle aussi. Et qu'à poursuivre son seul plaisir, j'ai accepté de payer le prix du manque, du désir rarement soulagé et l'humiliation de n'être parfois qu'une ombre, son ombre.


En fait la vraie question que vous devriez poser est "Mariée à une salope"... N'inversez pas les rôles.
Votre femme aime les hommes, c'est un point. C'est même naturel. La plupart des hommes aiment les femmes et beaucoup ici, dans ce forum, qui se définissent comme des cocufieurs ne pensent même qu'à éjaculer pour montrer qu'ils sont puissants et virils. Sont-ils pour autant des salopes? je ne pense pas. La question est donc à poser par rapport à vous. En aimant voir votre femme se faire prendre, en acceptant les humiliations qu'elle vous inflige (avec votre bénédiction) c'est vous qui êtes devenu une salope.
Quant aux conséquences, tout le bonheur est pour vous car elle vous accepte toujours.
C'est donc pour vous une situation win win, n'est-ce pas? Tout le monde est content non? et c'est bien là le principal! :)
#1437348
kipitushka a écrit :
novilis a écrit :Je me suis souvent interrogé sur les raisons qui m'ont emmené à en arriver à un point si radical avec ma femme (j'ai posté quelques témoignages sur le site). Et il faut reconnaître que dans mon cas, simplement, une constatation s'impose : je me suis marié avec une salope.
Point de déni de ma part dans l'emploi du mot, mais plutôt un jugement fasciné : par salope, j'entends une femme qui aime les choses du sexe sans restriction ni tabou, qui les assume ouvertement et qui, à la longue, se satisfait difficilement de n'avoir qu'un seul partenaire sexuel dans sa vie amoureuse (quitte à faire souffrir son ou ses partenaires).
Or, je sais combien les hommes, pour en être un moi-même, sont "aimantés" par les salopes et qu'à vivre avec une telle femme, il n'y a pas 50 perspectives possibles. Car si une femme est une salope avec son mari, il y a de fortes chances qu'elle le soit avec un autre. Dans ce cas, 2 solutions : soit elle finit par plaquer son mari pour un autre homme, c'est la version conventionnelle. Soit le mari finit par accepter qu'elle ai des relations extra-conjugales. Le degré de souffrance et de plaisir qu'occasionne cette acceptation dessine alors les contours de la nouvelle relation : le candaulisme ou le culckolding. Le partage complice dans un cas, la soumission quasi aveugle dans l'autre.

En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes passés du candaulisme au cuckolding.
Son emprise a été croissante. Son pouvoir érotique lui a attiré naturellement (l'instinct de brousse ?) les mâles les plus virils, les plus séduisants, les "mieux baisant". Aussi me suis-je retrouvé relégué, tout aussi naturellement, dans un arrière-plan assumé de moins bien baisant. Avec les conséquences que l'on sait : moins de relation sexuelle avec elle (je parle ici de pénétration, car nous avons d'autres pratiques sexuelles ensemble), puis plus du tout, port progressif d'une cage, éjaculations limitées, prise en charge du quotidien, extension du domaine de son vice sur mon espace personnel, divulgation décomplexée de mes piètres performances sexuelles à certains membres de notre entourage, etc.
Il me faut convenir que ma fascination pour elle est allée croissante, elle aussi. Et qu'à poursuivre son seul plaisir, j'ai accepté de payer le prix du manque, du désir rarement soulagé et l'humiliation de n'être parfois qu'une ombre, son ombre.


En fait la vraie question que vous devriez poser est "Mariée à une salope"... N'inversez pas les rôles.
Votre femme aime les hommes, c'est un point. C'est même naturel. La plupart des hommes aiment les femmes et beaucoup ici, dans ce forum, qui se définissent comme des cocufieurs ne pensent même qu'à éjaculer pour montrer qu'ils sont puissants et virils. Sont-ils pour autant des salopes? je ne pense pas. La question est donc à poser par rapport à vous. En aimant voir votre femme se faire prendre, en acceptant les humiliations qu'elle vous inflige (avec votre bénédiction) c'est vous qui êtes devenu une salope.
Quant aux conséquences, tout le bonheur est pour vous car elle vous accepte toujours.
C'est donc pour vous une situation win win, n'est-ce pas? Tout le monde est content non? et c'est bien là le principal! :)

Bravo; je suis tout à fait d'accord avec vous sur le définition du mot " salope " . Mot trop souvent utilisé à tort ..
#1437361
Dans la vie courante, je déteste le mot "salope" qui est souvent utilisé par des hommes pour insulter des femmes qui ont repoussé leurs avances. En réalité, ces hommes-là auraient bien aimé que les femmes en question soient un peu plus "salopes".

Dans l'univers libertin, le mot "salope" prend un autre sens et sert plutôt à désigner une femme qui aime le sexe et l'assume ouvertement. Le qualificatif devient presque un compliment !

Tout est affaire de contexte... :twisted:
#1437364
open75 a écrit :Dans la vie courante, je déteste le mot "salope" qui est souvent utilisé par des hommes pour insulter des femmes qui ont repoussé leurs avances. En réalité, ces hommes-là auraient bien aimé que les femmes en question soient un peu plus "salopes".

Dans l'univers libertin, le mot "salope" prend un autre sens et sert plutôt à désigner une femme qui aime le sexe et l'assume ouvertement. Le qualificatif devient presque un compliment !

Tout est affaire de contexte... :twisted:



Tout à fait d'accord avec vous ...Le mot salope est souvent une insulte de la part des frustrés ..
Pour une femme , ce mot désigne son gout pour le plaisir du sexe et qui assume sa dévaince, sa gourmandise ...
#1437448
Pour l'avoir observé un certain nombre de fois, cela peut être dit et reçu comme un compliment. Mais il faut que celui qui le dit et celle qui le reçoit aient assez de connivence pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté. Dans ce cas, ça peut être très excitant. Mais sorti du bon contexte, c'est vrai que c'est juste grossier et vulgaire.
#1437494
Je suis bien d'accord. Moi-même je prends plaisir à l'utiliser dans le bon contexte comme un compliment et au boulot pas comme un compliment :)

En fait, ma remarque portait plus sur le titre du sujet qui devrait plutôt être ici "mariée à une salope"... Le mari cocu étant la vraie salope de l'histoire. :) Sa femme est dans son rôle lorsqu'elle se permet d'avoir autant d'amants qu'elle le souhaite.

et ici le mot salope est tout simplement un mot adapté à la situation. :)
#1437708
Gourmande est très approprié comme terme oui. J'aime beaucoup.

j'aime bien aussi cochonne dans le sens symbole des épicuriens (sans doute parce que le cochon est terre à terre et ne regarde pas vers le ciel comme le font tous les platoniciens qui aiment se détacher de la chair)... :)

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